Tumeurs Du Pancréas
Tumeurs
Tumeurs Kystiques, Mucineuses Et Séreuses
Tumeurs Primitives Multiples
Encyclopedias as Topic
Hémorragie Gastro-Intestinale
Imperforation Anale
Syndrome De Mallory-Weiss
Système Lymphatique
Maladie Du Système Nerveux Central
Métastase Tumorale
Déméclocycline
Métastase Lymphatique
Les tumeurs du jéjunum sont des growths anormaux qui se développent dans la paroi de l'intestin grêle moyen, également connu sous le nom de jéjunum. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs bénignes du jéjunum comprennent les lipomes, les léiomyomes, les adénomes et les fibromes. Elles sont généralement asymptomatiques, mais peuvent provoquer des douleurs abdominales, une sensation de satiété précoce, une obstruction intestinale ou une perte de poids si elles deviennent suffisamment grandes.
Les tumeurs malignes du jéjunum sont plus rares et comprennent les carcinomes adénocarcinomateux, les léiomyosarcomes et les carcinoïdes. Elles peuvent provoquer des symptômes tels que des douleurs abdominales, une perte de poids, une obstruction intestinale, une anémie, une occlusion intestinale ou une hémorragie digestive.
Le diagnostic des tumeurs du jéjunum peut être posé à l'aide d'une combinaison de tests d'imagerie, tels que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), et d'examens endoscopiques, tels que la coloscopie ou l'entéroscopie. Le traitement dépend du type de tumeur, de sa taille et de son stade, et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.
Les tumeurs du pancréas sont des croissances anormales qui se forment dans le tissu du pancréas. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être traitées par une intervention chirurgicale. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir cancéreuses avec le temps.
Les tumeurs malignes du pancréas sont des cancers qui se forment dans les cellules du pancréas et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les adénocarcinomes sont les types de cancer du pancréas les plus courants et représentent environ 90% de tous les cas. Ils se développent dans les cellules qui tapissent les conduits du pancréas qui produisent des enzymes digestives.
Les autres types de tumeurs malignes du pancréas comprennent les tumeurs neuroendocrines, qui se forment dans les cellules hormonales du pancréas, et les sarcomes, qui se développent dans le tissu conjonctif du pancréas.
Les symptômes des tumeurs du pancréas peuvent inclure une douleur abdominale supérieure, une perte de poids inexpliquée, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des nausées et des vomissements. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une intervention chirurgicale, une chimiothérapie ou une radiothérapie.
En médecine, une tumeur est une augmentation anormale et localisée de la taille d'un tissu corporel due à une croissance cellulaire accrue. Les tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).
Les tumeurs bénignes sont généralement des masses arrondies, bien circonscrites et ne se propagent pas aux tissus environnants. Elles peuvent cependant causer des problèmes si elles compriment ou déplacent des organes vitaux.
Les tumeurs malignes, en revanche, ont tendance à envahir les tissus voisins et peuvent se propager (métastaser) vers d'autres parties du corps via le système sanguin ou lymphatique. Elles sont souvent désignées sous le terme de «cancer».
Il est important de noter que toutes les augmentations anormales de la taille d'un tissu ne sont pas nécessairement des tumeurs. Par exemple, un œdème (gonflement) ou une inflammation peuvent également entraîner une augmentation temporaire de la taille d'une zone spécifique du corps.
Les tumeurs kystiques, mucineuses et séreuses sont des types spécifiques de lésions qui peuvent se former dans divers organes du corps. Bien qu'ils aient des caractéristiques similaires, ils présentent certaines différences au niveau histopathologique.
1. Tumeurs kystiques: Ce sont des lésions remplies de fluide ou de matériel semi-solide. Les kystes peuvent être uniques ou multiples et peuvent se former dans presque tous les organes du corps. Ils peuvent être congénitaux (présents depuis la naissance) ou acquis (apparaissant plus tard dans la vie). Leur taille varie de quelques millimètres à plusieurs centimètres.
2. Tumeurs mucineuses: Ces tumeurs sont caractérisées par la production excessive de mucus, une substance visqueuse sécrétée par certaines cellules du corps. Les tumeurs mucineuses peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Elles sont souvent associées aux glandes muqueuses, telles que les poumons, le tractus gastro-intestinal et les glandes salivaires.
3. Tumeurs séreuses: Ces tumeurs produisent un liquide clair et aqueux appelé liquide séreux. Comme les tumeurs mucineuses, elles peuvent être bénignes ou malignes. Les tumeurs séreuses sont souvent trouvées dans les ovaires, où elles sont appelées cystadénomes séreux, et peuvent également se développer dans d'autres organes, comme la glande pancréatique.
Il est important de noter que ces types de tumeurs nécessitent une évaluation et un traitement appropriés par un professionnel de la santé, en fonction de leur localisation, de leur taille, de leurs caractéristiques histopathologiques et du stade de la maladie.
Les tumeurs de la peau sont des croissances anormales qui se forment dans les tissus cutanés. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne mettent généralement pas la vie en danger et ne se propagent pas à d'autres parties du corps, mais elles peuvent parfois causer des problèmes esthétiques ou fonctionnels. Les tumeurs malignes, en revanche, peuvent envahir les tissus environnants et se propager (métastases) à d'autres parties du corps.
Les types courants de tumeurs bénignes de la peau comprennent les naevus (grains de beauté), les kystes epidermiques, les lipomes, les fibromes, et les papillomes. Les naevus melanocytaires sont les grains de beauté les plus courants et sont généralement inoffensifs, bien que certains puissent évoluer en mélanomes malins.
Les types courants de tumeurs malignes de la peau comprennent le carcinome basocellulaire, le carcinome spinocellulaire (ou carcinome épidermoïde), et le mélanome malin. Le carcinome basocellulaire est le type le plus courant de cancer de la peau et se développe généralement à partir des cellules basales de la peau. Il se propage rarement aux autres parties du corps, mais peut détruire les tissus environnants s'il n'est pas traité. Le carcinome spinocellulaire est moins courant que le carcinome basocellulaire, mais il a un potentiel de métastase plus élevé. Le mélanome malin est le type de cancer de la peau le plus agressif et peut se propager rapidement aux autres parties du corps s'il n'est pas traité à temps.
Les facteurs de risque pour les cancers de la peau comprennent une exposition excessive au soleil, des antécédents personnels ou familiaux de cancer de la peau, une peau claire, des grains de beauté anormaux, un système immunitaire affaibli, et l'utilisation de certains médicaments. Il est important de se protéger du soleil en portant des vêtements protecteurs, en utilisant un écran solaire avec un FPS d'au moins 30, en évitant les heures les plus chaudes de la journée, et en effectuant des auto-examens réguliers de la peau pour détecter tout changement anormal.
Les tumeurs primitives multiples (TPM) est un terme utilisé en oncologie pour décrire une situation où plusieurs types différents de tumeurs malignes se développent simultanément ou séquentiellement chez un même patient, sans preuve de métastases à partir d'une tumeur primitive initiale. Chaque tumeur est considérée comme indépendante et primaire, d'où le nom de "tumeurs primitives multiples".
Cette condition est relativement rare et peut être causée par des facteurs génétiques ou environnementaux. Dans certains cas, les TPM peuvent être associées à des syndromes héréditaires tels que le syndrome de Li-Fraumeni, le syndrome de Von Hippel-Lindau, et d'autres prédispositions génétiques au cancer.
Le diagnostic et la prise en charge des TPM peuvent être complexes, nécessitant une évaluation approfondie par une équipe multidisciplinaire de spécialistes pour déterminer le type et l'origine de chaque tumeur, ainsi que les options de traitement appropriées pour chacune d'entre elles.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
L'hémorragie gastro-intestinale (HGI) est un terme médical qui décrit une hémorragie ou un saignement dans le tractus gastro-intestinal, qui comprend l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle, le côlon et le rectum. Les symptômes peuvent varier en fonction de la localisation et de l'importance de l'hémorragie. Ils peuvent inclure du sang dans les selles, des vomissements de sang (hématémèse) ou de matière noire et malodorante qui ressemble à des marcs de café (méléna), une pâleur, une faiblesse, des étourdissements, une accélération du rythme cardiaque (tachycardie) et une pression artérielle basse (hypotension).
Les causes d'une HGI peuvent être diverses, allant de troubles bénins tels que des varices œsophagiennes, des ulcères gastroduodénaux, des gastrites, des diverticules ou des hémorroïdes, à des affections plus graves telles que des maladies inflammatoires de l'intestin, des tumeurs malignes, des ischémies intestinales ou des traumatismes.
Le diagnostic d'une HGI repose sur l'anamnèse, l'examen clinique, les tests de laboratoire (notamment la numération formule sanguine et le dosage de l'hémoglobine), les examens d'imagerie (tels que la tomodensitométrie ou l'angiographie) et les explorations endoscopiques (comme la gastroscopie, la colonoscopie ou l'entéroscopie).
Le traitement de l'HGI dépend de sa cause sous-jacente. Il peut inclure des mesures conservatrices telles que le repos au lit, la restriction alimentaire, la réhydratation et la transfusion sanguine, ainsi que des thérapeutiques spécifiques telles que les médicaments antiulcéreux, les antibiotiques, les anticoagulants ou les anti-inflammatoires. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour traiter la cause de l'HGI ou pour prévenir ses complications.
La ménorragie est un terme médical qui décrit des règles abondantes et prolongées. Il s'agit d'un type de saignement menstruel excessif en termes de volume et/ou de durée. Les médecins définissent souvent la ménorragie comme des saignements menstruels qui durent plus de sept jours ou qui impliquent le changement de plus d'une serviette hygiénique ou tampon toutes les heures pendant plusieurs heures consécutives.
Cette condition peut être causée par divers facteurs, notamment des déséquilibres hormonaux, des affections de l'utérus telles que des fibromes ou des polypes, des troubles de la coagulation sanguine et, plus rarement, des cancers gynécologiques. La ménorragie peut entraîner une anémie ferriprive en raison de pertes de sang répétées et importantes, ce qui peut nécessiter un traitement par suppléments de fer ou par transfusion sanguine dans les cas graves.
Le diagnostic de la ménorragie implique généralement un examen pelvien, des tests sanguins pour évaluer l'anémie et la fonction thyroïdienne, et éventuellement une hystéroscopie ou une biopsie de l'endomètre pour exclure toute cause structurelle sous-jacente. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments hormonaux, des dispositifs intra-utérins contenant du progestatif, une chirurgie pour enlever les fibromes ou polypes utérins, ou, dans les cas graves, une hystérectomie.
L'imperforation anale est une malformation congénitale rare dans laquelle l'anus ne se forme pas correctement, ce qui entraîne une obstruction totale ou partielle du passage des selles. Normalement, pendant le développement fœtal, l'anus se développe à partir d'un tube digestif qui se termine par le canal anal et l'ouverture anale externe. Chez les personnes atteintes d'imperforation anale, cette ouverture externe est absente ou mal formée.
Les symptômes de l'imperforation anale peuvent inclure une absence visible de l'anus à la naissance, des difficultés à évacuer les selles, des ballonnements abdominaux et des douleurs abdominales. Dans certains cas, il peut également y avoir une accumulation de méconium (les premières selles du bébé) dans l'abdomen, ce qui peut entraîner une infection potentiellement mortelle appelée péritonite.
Le traitement de l'imperforation anale consiste généralement en une intervention chirurgicale pour créer une ouverture anale appropriée et rétablir le passage des selles. Cette procédure est souvent effectuée dans les premiers jours de vie du bébé pour prévenir les complications telles que l'infection et les dommages intestinaux. Après la chirurgie, les bébés peuvent nécessiter une surveillance et des soins continus pour assurer une guérison adéquate et minimiser le risque de complications à long terme.
Je suis désolé, "Histoire du 19" ne semble pas être une terminologie médicale établie. Le terme "histoire" dans un contexte médical se réfère généralement à l'histoire de la santé d'un patient, y compris ses antécédents médicaux, ses symptômes actuels, ses allergies et son mode de vie. Le chiffre "19" pourrait faire référence à une certaine procédure, diagnostic ou événement médical spécifique lié à l'année 2019. Cependant, sans plus de contexte, il est difficile de fournir une définition médicale précise pour "Histoire du 19". Il serait préférable d'obtenir des éclaircissements sur ce terme à partir de la source qui l'a utilisé.
Le syndrome de Mallory-Weiss est un trouble médical qui affecte l'œsophage, une partie du tube digestif qui relie la gorge à l'estomac. Il est caractérisé par des déchirures ou des lésions dans la muqueuse de l'œsophage, généralement près de son extrémité inférieure où elle rejoint l'estomac.
Ces déchirures sont souvent causées par des vomissements violents et répétitifs, en particulier lorsqu'ils sont associés à une pression accrue dans l'abdomen, comme cela peut se produire avec la toux sévère, les efforts physiques intenses ou pendant le travail. L'alcoolisme chronique est également un facteur de risque connu pour ce syndrome.
Les symptômes du syndrome de Mallory-Weiss peuvent inclure du sang dans les vomissures, des selles noires et goudronneuses (appelées méléna), une douleur thoracique ou abdominale, des nausées et des vomissements. Dans certains cas, ces déchirures peuvent entraîner une hémorragie interne grave, nécessitant une intervention médicale immédiate.
Le diagnostic du syndrome de Mallory-Weiss est généralement posé sur la base des antécédents médicaux du patient, d'un examen physique et de tests de laboratoire tels qu'une endoscopie ou une gastroscopie, qui permettent de visualiser directement l'intérieur de l'œsophage et de l'estomac.
Le traitement du syndrome de Mallory-Weiss dépend de la gravité de l'hémorragie. Dans les cas légers, le repos et une hydratation adéquate peuvent être suffisants pour permettre à la déchirure de guérir d'elle-même. Cependant, dans les cas plus graves, des procédures telles que l'injection de médicaments ou la cautérisation à l'aide d'un laser peuvent être nécessaires pour arrêter le saignement. Dans les cas extrêmes, une intervention chirurgicale peut être requise pour réparer la déchirure et prévenir d'autres complications.
Le rectum, dans l'anatomie humaine, est la dernière section du gros intestin avant l'anus. Il s'agit d'un segment musculo-membraneux d'environ 15 cm de long qui stocke les selles temporairement avant l'évacuation. Sa fonction principale est donc la continuation du processus d'absorption de l'eau et des électrolytes à partir des matières fécales, ainsi que le stockage et l'expulsion de ces dernières. Le rectum commence à la jonction avec le sigmoïde, juste en dessous de la courbure sacrée, et se termine à l'anus.
Le canal anal, qui est la partie terminale du tube digestif, est souvent considéré comme faisant partie du rectum dans un contexte plus large, mais il a en fait une structure et une fonction différentes. Le canal anal est entouré de muscles sphinctériens qui assurent la continence fécale, tandis que le rectum n'a pas ce type de contrôle musculaire actif. Au lieu de cela, le rectum se dilate lorsqu'il se remplit de matières fécales, déclenchant des réflexes qui peuvent conduire à l'envie d'évacuer les selles.
Le système lymphatique est un réseau complexe de vaisseaux, d'organes et de tissus qui fonctionnent en collaboration pour maintenir l'homéostasie du corps. Il joue un rôle crucial dans la défense immunitaire de l'organisme en éliminant les déchets, les toxines et les pathogènes grâce à un processus appelé drainage lymphatique.
La lymphe, un liquide clair ou jaunâtre, circule dans ce système via des vaisseaux lymphatiques, qui sont similaires aux veines mais ont des valves unidirectionnelles pour empêcher le reflux du fluide. Ces vaisseaux s'écoulent dans des ganglions lymphatiques, qui filtrent et nettoient la lymphe en éliminant les débris cellulaires, les bactéries et les virus.
Le système lymphatique comprend également la rate, le thymus, les amygdales, le tonsillement palatinal et certaines parties du tissu intestinal (comme les plaques de Peyer). Ces organes sont responsables de la production de cellules immunitaires telles que les lymphocytes B et T, qui aident à combattre les infections.
Dans l'ensemble, le système lymphatique est essentiel pour maintenir un système immunitaire sain et réguler divers processus corporels tels que la circulation des fluides, la réparation des tissus et la régulation de l'inflammation.
La maladie du système nerveux central (SNC) se réfère à un large éventail de troubles et de conditions qui affectent la fonction du cerveau et de la moelle épinière. Le système nerveux central est responsable de notre capacité à traiter les informations sensorielles, à réguler les fonctions corporelles automatiques telles que la respiration et le rythme cardiaque, ainsi que de notre capacité à réguler les mouvements volontaires et à avoir des pensées et des émotions.
Les maladies du système nerveux central peuvent être causées par une variété de facteurs, y compris des infections, des traumatismes crâniens, des tumeurs, des accidents vasculaires cérébraux, des malformations congénitales, des maladies dégénératives et des expositions à des toxines environnementales. Les symptômes de ces maladies peuvent varier considérablement en fonction de la région du cerveau ou de la moelle épinière qui est affectée et de la gravité de la lésion ou de la maladie sous-jacente.
Les exemples courants de maladies du système nerveux central comprennent la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, l'épilepsie, la méningite, l'encéphalite, les accidents vasculaires cérébraux et les tumeurs cérébrales. Le traitement de ces conditions dépend du type et de la gravité de la maladie sous-jacente et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une thérapie physique ou une combinaison de ces options.
Une métastase tumorale se réfère à la propagation de cancer à partir d'un site primaire (où le cancer a commencé) vers un autre organe ou tissu distant dans le corps. Cela se produit généralement lorsque les cellules cancéreuses se détachent du site tumoral initial, pénètrent dans la circulation sanguine ou lymphatique, et migrent ensuite pour former une nouvelle tumeur dans un autre endroit.
Les métastases peuvent affecter pratiquement n'importe quel organe du corps, mais elles sont le plus souvent trouvées dans les poumons, le foie, les os et le cerveau. Les symptômes de métastase dépendent de l'emplacement et de la taille de la tumeur secondaire. Par exemple, une métastase au cerveau peut causer des maux de tête, des convulsions ou des problèmes de vision, tandis qu'une métastase osseuse peut entraîner des douleurs osseuses et une augmentation du risque de fractures.
Le diagnostic d'une métastase tumorale implique généralement des examens d'imagerie tels que la tomodensitométrie (TDM), l'imagerie par résonance magnétique (IRM) ou la scintigraphie osseuse, ainsi qu'éventuellement une biopsie pour confirmer le diagnostic et déterminer le type de cancer. Le traitement des métastases peut inclure une chimiothérapie, une radiothérapie, une thérapie ciblée ou une intervention chirurgicale, en fonction du type de cancer, de l'emplacement et de l'étendue des métastases.
Les vaisseaux lymphatiques sont un élément crucial du système lymphatique dans le corps humain. Il s'agit d'un réseau complexe de tubes minces et flexibles qui transportent la lymphe, une fluide transparente et incolore, à travers tout le corps.
La lymphe contient des globules blancs appelés lymphocytes, qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les infections et les maladies. Les vaisseaux lymphatiques aident à drainer l'excès de liquide interstitiel hors des tissus corporels et à éliminer les déchets et les toxines du corps.
Les vaisseaux lymphatiques sont classés en deux types : les vaisseaux lymphatiques afférents, qui collectent la lymphe dans les tissus, et les vaisseaux lymphatiques efférents, qui transportent la lymphe vers le système circulatoire. Les vaisseaux lymphatiques se rejoignent pour former des troncs lymphatiques, qui se déversent dans la veine sous-clavière gauche près du cœur.
Les valves unidirectionnelles présentes dans les parois des vaisseaux lymphatiques empêchent le reflux de la lymphe et assurent son mouvement unidirectionnel vers le cœur. Les contractions musculaires et la pression artérielle aident également à faire circuler la lymphe dans les vaisseaux lymphatiques.
La déméclocycline est un antibiotique de la classe des tétracyclines, utilisé pour traiter divers types d'infections bactériennes. Il fonctionne en inhibant la synthèse des protéines dans les bactéries, ce qui empêche leur croissance et leur reproduction.
La déméclocycline est souvent utilisée pour traiter les infections urinaires, la gonorrhée, la chlamydia, le psittacosis, la brucellose, l'infection à Bartonella et certaines formes de pneumonie. Elle peut également être utilisée dans le traitement de l'acné sévère et de l'hyperplasie réactionnelle des glandes salivaires.
Cependant, il est important de noter que la déméclocycline n'est pas couramment utilisée en raison de la disponibilité d'autres antibiotiques moins toxiques. L'un des effets secondaires importants de la déméclocycline est sa toxicité rénale, qui peut entraîner une insuffisance rénale aiguë. Par conséquent, son utilisation est généralement réservée aux cas où d'autres antibiotiques se sont avérés inefficaces.
Comme avec tous les médicaments, la déméclocycline doit être prise sous la supervision d'un médecin et selon les instructions prescrites.
Une métastase lymphatique est le processus par lequel le cancer se propage d'un organe primaire vers les ganglions lymphatiques voisins ou éloignés. Cela se produit lorsque les cellules cancéreuses se détachent de la tumeur primitive, pénètrent dans les vaisseaux lymphatiques et sont transportées jusqu'aux ganglions lymphatiques où elles peuvent former une nouvelle tumeur. Ce phénomène est souvent associé à un pronostic plus défavorable car il indique que le cancer a déjà commencé à se propager dans le corps.
Une dent incluse, dans la terminologie dentaire, se réfère à une situation où une dent ne parvient pas à émerger dans la bouche ou à percer la gencive à son emplacement normal dans l'arcade dentaire. Cela peut arriver pour diverses raisons, y compris le manque d'espace, une orientation anormale ou un développement incomplet de la dent.
Les dents incluses sont souvent asymptomatiques et découvertes par hasard lors d'examens radiologiques buccaux. Cependant, elles peuvent sometimes causer des problèmes, tels que la douleur, une infection, la formation de kystes ou des dommages aux dents adjacentes. Le traitement dépend de la situation spécifique et peut inclure l'observation, l'extraction ou la chirurgie pour exposer et aligner la dent.
Il est important de noter que les dents de sagesse sont les plus fréquemment touchées par ce phénomène, bien qu'il puisse survenir avec n'importe quelle dent.
Hématochézie
Iléon
Sténose
Tumeurs endocrines
CIM-10 Chapitre 02 : Tumeurs
Tumeur neuroendocrinienne
Syndrome de Zollinger-Ellison
Cancer duodénal
Intestin grêle
Cellule entéro-endocrine
Mésentère
Angle duodénojéjunal
Theodor Billroth
Pancréatite aiguë
Appareil digestif aviaire
Métabolisme du fer
Zonuline
Microbiote intestinal humain
Protéine
Hématochézie - Wikipedia
J - Dictionnaire médical
Revue générale des tumeurs endocrines du pancréas - Troubles gastro-intestinaux - Édition professionnelle du Manuel MSD
Chirurgie digestive
Archives des 2008 - Abstracts des congrès de l'ANGH
Définition de "Iléon" - Dictionnaire médical
ENTRAIDE ESI IDE - Sens des mots
Papille ou sphincter d'Oddi : c'est quoi ?
Leishmaniose viscérale de l'enfant - Medicinus
Rétinoblastome | Lexique | Fondation contre le Cancer
Iconothèque numérique de l'Université libre de Bruxelles
Système digestif - Concept, fonctions, parties et maladies
Syndrome de Li-Fraumeni | Lexique | Fondation contre le Cancer
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Danazol En Pharmacie En Belgique Levy - Argent Lion Games
Scrtions pancratiques exocrines Aude FERRAN 2020 Pancras 2
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Prise en charge des fistules entéro-cutanées - Service de chirurgie générale et digestive Hôpital Saint-Antoine
Syndrome de l'intestin irritable - Wikipédia
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Chirurgie de l'intestin grêle | Swiss Medical Network
Protéine - Wikipédia
Jéjunum : définition, rôle de cette partie de l'intestin grêle
Cancer de l'intestin
Symptômes et traitement du cancer de l'intestin - Gastrite November
DeCS
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InfoCancer - ARCAGY - GINECO - Localisations - Appareil digestif - Cancer du pancréas - Maladie - Un peu de physiologie...
Archives des suffixe - ENTRAIDE ESI IDE
La pullulation microbienne intestinale (SIBO) : mythe ou réalité ?
Paul d'Egine : Le livre de la chirurgie.
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Hémorroïdes - Encyclopédie médicale
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Pancréas : rôle, schéma, anatomie et maladies
Maladie de Parkinson - Wikipédia
Diarrhée du cheval : causes, symptômes et traitements - Classequine
ANATOMIE
Maligne5
- Lors d'un tel cancer, une tumeur maligne se développe dans le gros intestin (colon + rectum). (chirurgiebruxelles.be)
- Une tumeur maligne se forme alors dans l'intestin grêle, composé du duodénum, jéjunum et iléon. (chirurgiebruxelles.be)
- Le cancer de l'intestin (code CIM 10 - C17-20) est un cancer caractérisé par la présence d'une tumeur maligne dans la muqueuse intestinale. (happyheartholistichealth.com)
- Les symptômes commencent à apparaître lorsqu'une tumeur maligne grossit et rétrécit la lumière de l'intestin. (happyheartholistichealth.com)
- Une insuffisance hépato-cellulaire ou une tumeur maligne du foie par hypocatabolisme hépatique de l'insuline. (medinfos.com)
Gros intestin1
- Le tube digestif du cheval est composé de l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle (duodénum, jéjunum et iléon) et du gros intestin (caecum, côlon ascendant et côlon descendant). (classequine.com)
D'une3
- Les cancers de l'intestin grêle regroupent diversité étiologique, clinique et histologique de les tumeurs malignes développées aux ces cancersnous a fait présager d'une possible dépends du duodénum, du jéjunum ou spécificité de leur présentation en milieu semi de l'iléon[1,2]. (who.int)
- Il s'agit d'une tumeur unique ou multiple, parfois intégrée dans le cadre des néoplasies endocriniennes multiples (NEM) de type I, développée aux dépend des cellules bêta de Langerhans et sécrétant d'importantes quantités d'insuline. (medinfos.com)
- Les médecins ont recours à la mammographie de dépistage pour déceler des changements aux seins ou détecter des tumeurs ou des kystes (genre de sac habituellement rempli d'une substance liquide ou semi-solide) qui ne sont pas palpables. (cancer.be)
Abdominale3
- Disposé dans la partie gauche de l'abdomen, le jéjunum est relié à la paroi abdominale postérieure par le mésentère contenant les vaisseaux sanguins et lymphatiques qui lui sont destinés. (passeportsante.net)
- Les tumeurs non fonctionnelles peuvent entraîner des symptômes d'obstruction des voies biliaires ou du duodénum, des hémorragies digestives ou des syndromes de masse abdominale. (msdmanuals.com)
- Les personnes ayant subi une intervention chirurgicale abdominale ou souffrant de tumeurs intestinales malignes ont également un risque plus élevé de perforation intestinale. (santemagazine.fr)
Paroi1
- 3a - la tumeur capture plus de la moitié de la lumière intestinale, pénétrant dans toute l'épaisseur de la paroi. (happyheartholistichealth.com)
Polypes1
- La présence de tumeurs bénignes, appelées polypes , sur la muqueuse des intestins. (chirurgiebruxelles.be)
Manifestent1
- Au début, la plupart des tumeurs se manifestent de la même manière: asymptomatique. (happyheartholistichealth.com)
Rectum2
- Une hémorragie digestive basse est une hémorragie qui survient en aval de l'angle duodéno-jéjunal : jéjunum, iléon, côlon, rectum et anus. (wikipedia.org)
- Si la tumeur est plus volumineuse, une partie de l'intestin ou du rectum devra être retirée (colectomie ou excision mésorectale). (chirurgiebruxelles.be)
Localisation1
- Les symptômes cliniques du cancer et sa gravité dépendent de la taille, du stade de développement, de la forme de la croissance et de la localisation de la tumeur. (happyheartholistichealth.com)
Partie6
- Situé entre le duodénum et l'iléon, le jéjunum correspond à la partie moyenne de l'intestin grêle. (passeportsante.net)
- Le jéjunum est une partie de l'intestin grêle, avec le duodénum et l'iléon. (passeportsante.net)
- En effet, la majeure partie de la digestion et de l'absorption des éléments nutritifs a lieu dans le jéjunum. (passeportsante.net)
- Dans la majorité des cas, une partie des tissus sains entourant la tumeur sont aussi retirés, afin d'être certain qu'aucune cellule cancéreuse ne soit oubliée. (chirurgiebruxelles.be)
- Cependant, la grande majorité des tumeurs se développe dans la partie exocrine. (arcagy.org)
- Le traitement repose ensuite sur la chirurgie (si le cancer n'a pas ou peu métastasé) afin de retirer la partie du pancréas sur laquelle la tumeur s'est développée, associée ou non à des séances de chimiothérapie ou de radiothérapie pour arrêter la progression du cancer. (journaldesfemmes.fr)
L'estomac1
- La digestion, commencée dans l'estomac, va ainsi se poursuivre le long de plusieurs mètres d'intestin comprenant : la suite du duodénum, le jéjunum et l'iléon. (arcagy.org)
Endocrines2
- Les tumeurs endocrines pancréatiques se développent à partir des cellules des îlots de Langerhans et des cellules productrices de gastrine et sécrètent souvent de nombreuses hormones. (msdmanuals.com)
- dans lesquelles les tumeurs ou hyperplasie touche deux glandes endocrines ou plus, habituellement la parathyroïde, l'hypophyse, la thyroïde ou les surrénales. (msdmanuals.com)
Maladies1
- Revue générale des syndromes de néoplasie endocrinienne multiple (NEM) Le syndrome de néoplasie endocrinienne multiple (NEM) correspond à 3 maladies familiales génétiquement différentes impliquant une hyperplasie adénomateuse et des tumeurs malignes de plusieurs. (msdmanuals.com)
Fonctions2
- Le jéjunum a également des fonctions sécrétoires puisqu'il produit du mucus et des immunoglobulines. (passeportsante.net)
- Lorsque la tumeur se développe, elle peut interférer avec les fonctions exocrine et endocrine du pancréas et entraîner différents symptômes. (arcagy.org)
Milieu2
- Mais si l'humeur est déposée entre la peau et le péricrâne, et si la tumeur est petite, nous faisons, par son milieu, une seule incision transversale. (remacle.org)
- Si la collection se trouve entre le péricrâne et l'os, et si la tumeur est grosse, nous ferons deux incisions qui se couperont par leur milieu. (remacle.org)
Exemple1
- Quand la cause de l'occlusion est mécanique (une tumeur par exemple), on évoque plutôt une occlusion qu'un iléus , sauf dans le cas de l' iléus biliaire, dans lequel l'occlusion est provoquée par l'obstruction de l'intestin grêle par un calcul biliaire, passé de la vésicule dans le duodénum via une fistule cholécysto-duodénale. (dictionnaire-medical.fr)
Cancer1
- Le cancer était localisé sur l'iléon dans 27 cas (50%), sur le jéjunum dans 11 cas (20,3%) et sur le duodénum dans 16 (29,7%) cas. (who.int)
Petite1
- Lorsque la tumeur est de petite taille , un chirurgien pourra l'éliminer grâce à une opération locale (exérèse locale, exérèse transanale par microchirurgie endoscopique). (chirurgiebruxelles.be)
Parties1
- Lorsque l'humeur se tient entre la peau et le péricrâne, il s'ensuit une tumeur facile au toucher, sans changement de couleur à la peau, indolente, élevée et convexe, séparée des doigts qui la pressent par peu de parties, cédant et se déplaçant facilement. (remacle.org)
Patients1
- La mise en culture de liquide d'aspiration du jéjunum proximal avait permis de mettre en évidence une prolifération de bactéries anaérobies gram- négatif (essentiellement des Bacteroïdes), similaire en composition au microbiote fécal et capable d'hydrolyser les sels biliaires, chez des patients avec fistules jéjuno-coliques, diverticules duodéno-jéjunaux, après gastrectomie partielle ou résections intestinales avec anse borgne (3). (fmcgastro.org)