Une suspension de tué Bordetella pertussis organismes, utilisé pour la vaccination contre la coqueluche (HURLANT toussent). Il est généralement utilisé dans un mélange avec les anatoxines diphtérique et tétanique (DTC). Il existe un vaccin coquelucheux acellulaire antigénique purifiée à partir d ’ un des composants de Bordetella pertussis, qui provoque des effets indésirables moins que whole-cell whole-cell vaccin et, comme le vaccin, est généralement utilisé dans un mélange avec les anatoxines diphtérique et tétanique de Dorland, 28. (Éditeur)
Une infection des voies respiratoires dues à Bordetella pertussis et caractérisé par toux paroxystique crowing prolongée se termine par une inspiration.
Une espèce de bactéries aérobies à Gram négatif, c'est l'agent causal de HURLANT toussent. Ses cellules sont minuscules coccobacilli qui sont entourés de bave fourreau.
Les vaccins combinés TETANUS composée de l ’ anatoxine diphtérique, tétanique, coquelucheux acellulaire et une forme de CONTENANT LE VACCIN. Au moins cinq différents antigènes de B. pertussis purifiée ont été utilisées dans des combinaisons différentes dans ces vaccins.
Produit par des vaccins en utilisant seulement les antigénique partie de la maladie qui provoque organisme. Ils ont souvent besoin d'un "rappel" toutes les quelques années pour être efficaces.
Un vaccin constitué de l ’ anatoxine diphtérique, tétanique, coquelucheux et whole-cell TETANUS CONTENANT LE VACCIN. Le vaccin protège contre la diphtérie, tétanos, et la coqueluche.
Un des facteurs de virulence produit par Bordetella pertussis. C'est une protéine multimeric composé des cinq sous-unités S1 - S5. S1 contient mono ADPribose transférase activité.
Deux ou plusieurs vaccin dans une forme de dosage unique.
Des suspensions de tués ou atténué micro-organismes (bactéries, virus, champignons, des protozoaires) aux protéines, antigénique, constructions synthétique, ou autres dérivés transdistropie, administré pour la prévention ou le traitement de l'amélioration, et autres maladies infectieuses.
Planning donner fois habituellement optimale pour la primo-vaccination et / ou secondaires immunisation.
L ’ administration de vaccins pour stimuler l'hôte est réponse immunitaire. Y compris tout préparation destiné à être active prophylaxie immunologique.
Une infection de des muqueuses ou de la peau causée par les souches de Corynebacterium diphtheriae toxigenic. C'est caractérisé par la présence d'une pseudomembrane au site d ’ infection. La diphtérie prolactine - toxine femelle, fabriquée par C. diphteriae, peut provoquer une myocardite, polynévrite, et autres effet toxique systémique.
Un ensemble de adhésines bactériennes et de toxines, biologique produite par Bordetella organismes qui déterminent la pathogénèse des Bordetella INFECTIONS, comme ils sont, d ’ hémagglutinine filamenteuse ; FIMBRIAE PROTEINS ; Pertactine ; coquelucheux Adenylate cyclase prolactine - toxine femelle prolactine - toxine femelle ; ; ; ; la toxine dermonécrotique cytotoxin trachéale Bordetella LIPOPOLYSACCHARIDES ; et la colonisation trachéale facteur.
Vaccins dans lesquels les composantes de l ’ acide nucléique microbienne infectieuses ont été détruits par traitement physique ou chimique (par exemple, du formol, beta-propiolactone, radiations gamma) ou d ’ antigénicité sans modifier l ’ immunogénicité du manteau virale ou bactérienne des protéines de la membrane externe.
Une maladie causée par une protéine tetanospasmin puissante toxine produite par Clostridium tetani. Le tétanos arrive généralement après une lésion grave, comme une perforation ou lacération. Généralisé le tétanos, la plus commune, on est caractérisé par les contractions musculaires localisées hyperréflexie. Et le tétanos est présenté comme un léger état avec manifestations limitée aux muscles autour de la blessure. Ça peut évoluer à la forme généralisée.
La toxine formaldehyde-inactivated de Corynebacterium diphtheriae. Il est généralement utilisé en mélangées avec TETANUS anatoxine tétanique et CONTENANT LE VACCIN ; (DTC) ; ou avec l ’ anatoxine tétanique seul (DT pour usage pédiatrique et Td, qui contient 5 à 10 fois moins la toxine diphtérique, pour les autres cas). L ’ anatoxine diphtérique est utilisé pour la prévention de la diphtérie ; la diphtérie méritera son titre pour le traitement.
Une suspension de formalin-inactivated singe poliovirus cultivées dans les cultures de cellules rénales et utilisé pour prévenir la poliomyélite.
De la vaccination après la première vaccination et impliquant l ’ exposition à la même ou un antigène étroitement liés.
Un vaccin combiné utilisé pour prévenir l ’ infection par l ’ anatoxine diphtérique et tétanique. C'est utilisé en place des vaccins DTC (vaccin coquelucheux CONTENANT LE VACCIN DIPHTHERIA-TETANUS-PERTUSSIS CONTENANT LE VACCIN quand) est contre-indiquée.
Les immunoglobulines produites en réponse à des infections bactériennes antigènes.
Des suspensions de atténuée ou bactérie inactivée administré pour la prévention ou le traitement des bactéries infectieuses.
Petits peptides synthétiques qui imitent antigènes de surface de pathogènes et sont immunogène ou vaccins fabriqué grâce à des techniques d ’ ADN recombinant. Ce dernier vaccins peut également être entière virus dont les acides nucléiques ont été modifiés.
Des suspensions de atténuée ou tué virus administré pour la prévention ou le traitement des maladies virales infectieuses.
Vaccins semi-synthétique composée de polysaccharidique des antigènes de micro-organismes attaché à la protéine molécules vectrices. La protéine de transport est reconnu par les macrophages et les cellules T, renforçant ainsi l 'immunité. Les vaccins conjugués induire la formation d'anticorps chez les personnes qui ne répondaient pas seul polysaccharidique, induire une augmentation des anticorps, ainsi qu ’ une réponse de rappel après administration réitérée.
L'anatoxine tétanique est une toxine inactivée utilisée dans le vaccin contre le tétanos, qui a perdu sa toxicité mais conserve toujours la capacité d'induire une réponse immunitaire protectrice contre le bacille du tétanos.
Vecteurs d'ADN recombinante codants antigène administré pour la prévention ou le traitement de maladies. Les cellules infiltrées prendre l'ADN, exprimant l'antigène, et présentez-vous au système immunitaire d'une manière similaire à celui qui pourrait survenir pendant une infection naturelle. Ça induit une réponse immunitaire humorale et cellulaire contre les antigènes. Le vecteur est appelé ADN exogène parce qu'il y a pas besoin de complexe formulations ou la livraison, la génétique est injecté dans le sérum physiologique ou d'autres crétins.
Vaccins ni candidat polysaccharides antigénique vaccins contenant de l ’ Haemophilus influenzae et conçu pour prévenir l'infection. Le vaccin peut contenir les polysaccharides seul ou plus fréquemment polyosides conjugués de molécules vectrices. C'est également considéré comme un vaccin combiné avec diphtheria-tetanus-pertussis vaccin.
Des produits pouvant provoquer ’ agglutination des globules rouges. Ils comprennent les anticorps, groupe sanguin Antigens, lectine facteurs auto-immune, bactérienne, virale ou parasitaire agglutinine de sang, etc.
Les infections à bactéries du genre Bordetella.
Préparations, d'organismes pathogènes ou leurs dérivés fait non-toxique et destiné à être active prophylaxie immunologique. Ils incluent désactivé toxines. Anatoxin anatoxines sont distinctes de anatoxins qui sont TROPANES trouvé dans les cyanobactéries.
Une espèce de Bordetella avec similaire morphologie de Bordetella pertussis, mais la croissance est plus rapide. Ça ne se trouve que dans les TRACT respiratoire de l ’ homme.
Les vaccins inactivés ou candidats VIH ou des vaccins contenant le composant antigènes et visant à prévenir ou traiter le Sida. Certains vaccins contenant recombinantly antigènes sont produites.
Hôte délibéré stimulation de la réponse immunitaire active immunisation implique l ’ administration d ’ antigènes ou Immunologic adjuvants. Immunisation passive par administration d'immuniser l'implique SERA ou des lymphocytes (par exemple, ou les extraits de leur transfert ARN) immunitaire facteur, ou une greffe de cellules produisant immunocompétents tissus (thymus ou de moelle osseuse).
Composée de un ou plusieurs vaccins antigènes stimuler une réponse immunitaire fort. Ils sont purifiés de micro-organismes ou produit par les techniques de l ’ ADN recombinant, ou ils peuvent être synthétisé chimiquement peptides.
Un genre de bactéries aérobies à Gram négatif, dont les cellules sont minute coccobacilli. Il se compose de deux espèces pathogène et parasitaire.
Substances formulées par des bactéries ayant activité antigénique.
C'est un barbiturique efficace qu'un hypnotiques et sédatifs.
Vaccins faits à partir des antigènes résultant de l ’ un des souches de plasmodium qui provoquent la malaria chez l'homme, ou de P. Berghei qui provoque la malaria chez les rongeurs.
Une espèce de Bordetella pathogène et c'est parasitaire. On se retrouve dans les voies respiratoires de domestiques que sauvages des animaux et de mammifères peuvent être transmises des animaux à homme. C'est une cause fréquente de bronchopneumonie sur les animaux.
Vaccins utilisée pour prévenir. Ils sont, poliomyélitique inactivé (poliovirus CONTENANT LE VACCIN, INACTIVE) et les vaccins (oral poliovirus CONTENANT LE VACCIN, LYOPHILISAT).
Vaccins utilisés pour prévenir ou candidat vaccins Papillomavirus humain INFECTIONS vaccins sont destinés à réduire l'incidence des tumeurs du col utérin, donc ils sont parfois considéré comme un type de cancer VACCINES. Ils sont souvent composé de capside PROTEINS, surtout Protéine L1 de différents types de ALPHAPAPILLOMAVIRUS.
Livraison de médicaments par la muqueuse nasale.
Des composants ou appendices de bactéries qui facilitent adhésion adhésion (bactérienne) les autres cellules ou aux inanimés surfaces. Plus fimbriae (FIMBRIAE, bactériennes) de gram-négatives fonctionnelles adhésines, mais souvent sous-unité c'est un mineur à l'extrémité de la protéine fimbriae c'est le véritable adhesin. Dans les bactéries, une protéine ou polysaccharidique sert la couche superficielle adhesin spécifique qu'on appelle parfois adhesin polymères (BIOFILMS adhesin se distingue de protéine).
Le major isotype cours dans l ’ immunoglobuline humaine normale, il y a plusieurs sériques des IgG sous-classes isotype, par exemple, IgG1, anti-IgG2a et IgG2B.
Substances qui augmentent la stimulation et activer, potentialiser ou de moduler la réponse immunitaire à médiation humorale ou cellulaire soit le niveau. Les agents classique (Freund est adjuvant, BCG, Corynebacterium parvum et al.) contiennent des antigènes. Certains sont endogène bactériennes (par exemple, l ’ histamine, l'interféron, transfert facteur, tuftsin), l ’ interleukine-1. Leur mode d'action est plus non spécifique, entraînant une augmentation de la réponse immunitaire à un large éventail d ’ antigènes ou antigen-specific restreinte, c 'est-à-dire, affectant un type de réponse immunitaire à un groupe d'antigènes. L ’ effet thérapeutique de beaucoup d'activité biologique des modificateurs antigen-specific est liée à leurs immunoadjuvanticity.
Vaccins ni candidat vaccin utilisé pour prévenir l ’ infection par Neisseria meningitidis.
Processus qui a traversé pour une drogue pour recevoir l 'approbation, par une agence du gouvernement. Y compris tout requise pré-cliniques ou cliniques test, critique, soumission, et de l' évaluation des candidatures et les résultats, et la surveillance après commercialisation de la drogue.
Une antitoxine utilisé pour le traitement de TETANUS.
Protection conféré à l'hôte d'inoculation avec une contrainte ou composant d ’ un micro-organisme qui empêche l ’ infection lorsque tard géré avec la même souche. Et plus généralement la micro-organisme est un virus.
La souris de lignée Balb/c est une souche inbred de souris laboureuses, largement utilisées dans la recherche biomédicale, caractérisée par un génotype et un phénotype uniformes, une susceptibilité accrue aux tumeurs et à certaines maladies infectieuses, et une réponse immunitaire distinctive aux stimuli antigéniques.
Ou candidat vaccins contenant les vaccins inactivés de l ’ hépatite B ou un peu de son composant antigènes et visant à prévenir l ’ hépatite B. Certains vaccins peut être recombinantly produite.
Services organisé pour administrer immunisation procédures dans la prévention des maladies différentes. Les programmes sont transmises sur une large gamme de sites : Écoles, hôpitaux, les agences de santé publique, les agences de santé volontaire, etc. Ils sont administrés à une population aussi large éventail de groupes ou à plusieurs niveaux : Communauté administratives, municipal, état, national, international.
Un vaccin à virus vivant atténué d'origine d'embryons, utilisé pour la vaccination de routine pour la vaccination des enfants et adolescents et les adultes n'ayant pas reçu la rougeole ou vaccinés avec le vaccin vivant rougeoleux et n'ont aucun anticorps sériques contre la rougeole, les enfants sont immunisés habituellement avec le vaccin combiné de Dorland, 28. (Éditeur)
Une antitoxine produites contre la toxine de Corynebacterium diphtheriae c'est utilisé pour le traitement de la diphtérie.
Un agent immunisant active et une souche atténuée avirulent viable de Mycobacterium tuberculosis var. bovis, qui confère une immunité contre les infections mycobactériennes est utilisée également dans immunothérapie de néoplasmes stimulation en raison de son immunité d ’ anticorps et une diminution non spécifique.
La production d ’ anticorps par proliférer et mesurée par la stimulation des lymphocytes B sous antigènes.
Vaccins ni candidat vaccins utilisés pour prévenir et traiter la rage. Le vaccin à virus inactivé est -il utilisé preexposure vaccination pour les personnes à haut risque d ’ exposition, et en liaison avec rabies immunoglobulin, pour une prophylaxie après exposition au virus.
Manifestations de la réponse immunitaire qui sont médiés par ou via lymphokines lymphocytes antigen-sensitized cytotoxicité directe, ça l ’ absence d ’ anticorps circulants ou d ’ anticorps où joue un rôle subalterne.
Protéines isolée de la membrane externe de à des bactéries à Gram négatif.
Vaccins ni candidat vaccin utilisé pour prévenir une infection à rotavirus.
Un des facteurs de virulence produit par Bordetella organismes virulents. C'est une protéine bifonctionnel ADENYLYL CYCLASES et hemolysin avec les deux composantes.
Vaccins ni candidat vaccin utilisé pour prévenir l ’ infection par Vibrio cholerae. L'original était constituée de bactérie inactivée vaccin, mais d'autres genres de vaccins maintenant exister.
The United States is a country in North America, composed of 50 states, bordering Canada to the north and Mexico to the south, and having an overall population of approximately 331 million people as of 2020, known for its advanced medical research, highly developed healthcare system, and diverse range of medical specialties and subspecialties practiced within its borders.
Vaccins TYPHOID utilisée pour prévenir la fièvre et / ou de fièvre PARATYPHOID dus aux diverses espèces de SALMONELLA. Atténué sous-unité, et les vaccins inactivés formes d'exister.
Un élément métallique qui a le numéro atomique 13, symbole Al et poids atomique 26.98.
Un vaccin de veau VACCINIA VIRUS lymphe ou origine d'embryons, utilisée pour la vaccination contre la variole, et il est recommandée seulement au labo des travailleurs exposés aux virus de la variole. Certains pays continuent de vacciner ces dans les forces militaires. Complications résultant de vaccin contre la variole, infections secondaires incluent vaccinia et encéphalomyélite Dorland, 28. (Éditeur)
Les immunoglobulines produits en réponse au VIRAL antigènes.
Un type de H. influenzae isolé fréquent chez Inaba I. Avant le vaccin disponibilité, c'était la principale cause de méningite infantile.
Organisations représentant champs spécialisées qui peuvent être acceptées comme fiable ; peut être non-gouvernemental, université ou une organisation de recherche indépendant, par exemple les National Academy of Sciences, Brookings, etc.
Vaccins ni candidat vaccins utilisés pour prévenir ou traiter la tuberculose.
Un vivant, atténué le virus varicelle vaccin utilisé pour la vaccination contre la varicelle. Il est recommandé pour les enfants âgés de 12 mois et 13 ans.
Vaccins utilisés pour prévenir l ’ infection par MUMPS VIRUS. Plus connu est le vaccin à virus vivant atténué d'origine d'embryons, utilisé pour la vaccination de routine pour la vaccination des enfants et adolescents et les adultes n'ayant pas reçu les oreillons ou été vaccinées avec le vaccin vivant des oreillons, les enfants sont immunisés habituellement avec le vaccin combiné.
Une méthode immunosérologique utilisant un anticorps légendées avec une enzyme marqueur tels que le raifort peroxydase. Pendant que soit l ’ enzyme ou l ’ anticorps est lié à un immunosorbent substrat, ils conservent leur activité biologique ; la variation de l ’ activité enzymatique en conséquence de la réaction enzyme-antibody-antigen est proportionnelle à la concentration de l'antigène et peut être mesuré spectrophotometrically ou à l'œil nu. De variations du mode ont été développées.
Vaccins ni candidat vaccin utilisé pour prévenir l ’ infection par le virus de l ’ hépatite A (HEPATOVIRUS).
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
Une agence du service APPUI concernés dans la planification générale, promouvoir et de l ’ administration de programmes relatifs au maintien des normes de qualité de nourriture, médicaments, des dispositifs thérapeutiques, etc.
Un vaccin combiné utilisé pour prévenir MEASLES ; MUMPS ; et la rubéole.
Soudaine augmentation de l ’ incidence d ’ une maladie. Le concept inclut épidémies et épidémiques.
Vaccins ni candidat vaccins utilisée pour prévenir INFECTIONS streptocoques.
Vaccins vivants préparé de micro-organismes qui ont subi une adaptation physique (par exemple, par des radiations ou température conditionné) ou de passages en série hôtes animal de laboratoire ou infectés / cultures cellulaires, afin de produire avirulent souches mutantes capable d'induire une immunité protectrice.
Une méthode d'étudier une drogue ou procédure dans laquelle les deux nos sujets et les enquêteurs sont gardés inconscient de ce qui en fait, ça devient qui un traitement spécifique.
Vaccins vaccins utilisée pour prévenir ou candidats ANTHRAX.
Vaccins ni candidat vaccins utilisés pour prévenir l'infection, notamment avec la dengue VIRUS sous-unité, de l'ADN, et les vaccins inactivés.
Antigène VIROSOMES vaccins en utilisant le système de livraison qui stimule la réponse immunitaire désiré.
Immunité par transfert non immunisés de immunisés à hôte par l ’ administration d ’ anticorps sériques, ou de transplantation de lymphocytes (ADOPTIVE VIREMENT).

Un vaccin coquelucheux est un type de vaccination utilisé pour prévenir la coqueluche, une infection bactérienne hautement contagieuse des voies respiratoires. Il existe deux principaux types de vaccins coquelucheux : le vaccin à cellules entières (DTC) et le vaccin acellulaire (DTaP / Tdap).

Le vaccin DTC est fabriqué en utilisant des bactéries coquelucheuses tuées et contient des antigènes de la toxine diphtérique, du tétanos et de la coqueluche. Il offre une protection robuste mais peut provoquer des effets secondaires plus fréquents et plus graves que le vaccin acellulaire.

Le vaccin DTaP / Tdap est fabriqué en utilisant uniquement certaines parties (antigènes) de la bactérie coquelucheuse, ce qui entraîne moins d'effets secondaires mais peut offrir une protection plus courte dans le temps. Ce type de vaccin contient également des antigènes contre la diphtérie et le tétanos.

Les vaccins coquelucheux sont généralement administrés aux nourrissons en plusieurs doses, avec des rappels ultérieurs recommandés pour les enfants plus âgés et les adultes afin de maintenir une immunité protectrice contre la maladie.

La coqueluche, également connue sous le nom de «toux des cent jours», est une infection respiratoire aiguë très contagieuse causée par la bactérie Bordetella pertussis. Elle se caractérise principalement par des quintes de toux paroxystiques (des épisodes soudains et incontrôlables de toux) souvent suivies d'un inspir interrompu, produisant un son «coq-coq» typique. Les complications peuvent être graves, en particulier chez les nourrissons et les jeunes enfants, et comprennent la pneumonie, l'insuffisance respiratoire, les convulsions et même la mort dans certains cas. Le vaccin contre la coqueluche est recommandé pour prévenir cette maladie.

Bordetella pertussis est une bactérie gram-negative, encapsulée, à croissance lente qui est le principal agent causal de la coqueluche, une maladie respiratoire hautement contagieuse et grave. Cette bactérie possède plusieurs facteurs virulents, dont les pertussis toxine, filamentes hémolysantes, fimbriae et adésines, qui lui permettent de se fixer et de coloniser les cellules ciliées de l'épithélium respiratoire.

La coqueluche est caractérisée par trois stades cliniques: catarrhal, paroxystique et convalescent. Les symptômes du stade catarrhal comprennent un écoulement nasal, une toux sèche et des éternuements. Le stade paroxystique est marqué par des quintes de toux violentes et persistantes, souvent suivies d'un inspir interrompu caractéristique, appelé "chant du coq". Ces accès de toux peuvent entraîner des vomissements et une cyanose. Le stade convalescent est marqué par une réduction progressive de la fréquence et de l'intensité des quintes de toux, mais elles peuvent persister pendant plusieurs semaines ou mois.

La transmission de B. pertussis se produit principalement par voie aérienne, à travers les gouttelettes respiratoires émises lors de la toux ou des éternuements d'une personne infectée. La période d'incubation varie généralement de 7 à 10 jours, mais peut aller jusqu'à 21 jours. Les nourrissons et les jeunes enfants sont les plus vulnérables aux complications graves de la coqueluche, telles que la pneumonie, l'insuffisance respiratoire et les convulsions.

Le diagnostic de la coqueluche repose sur la combinaison des antécédents cliniques, des signes et symptômes, et des résultats des tests de laboratoire. Les méthodes de diagnostic comprennent la culture de B. pertussis à partir d'un écouvillon nasopharyngé, la détection de l'ADN de B. pertussis par PCR et la détermination du titre des anticorps spécifiques de B. pertussis dans le sérum.

Le traitement de la coqueluse antibiothérapie à base d'érythromycine, d'azithromycine ou de clarithromycine. Le traitement précoce peut réduire la durée et la contagiosité de la maladie, mais il ne prévient pas nécessairement les complications graves. Les mesures de contrôle comprennent l'isolement des personnes infectées, la vaccination et la prophylaxie antibiotique des contacts étroits.

La prévention de la coqueluche repose sur la vaccination. Le vaccin contre la coqueluche est généralement administré en combinaison avec d'autres vaccins dans le cadre du programme national d'immunisation. Les vaccins actuellement disponibles aux États-Unis sont des vaccins acellulaires qui contiennent des antigènes purifiés de B. pertussis. Les vaccins contre la coqueluche sont recommandés pour tous les enfants, à commencer par une série primaire de trois doses à l'âge de 2 mois, 4 mois et 6 mois, suivie d'un rappel entre 15 et 18 mois. Un autre rappel est recommandé entre 4 et 6 ans, avant l'entrée à l'école primaire. Les adolescents et les adultes doivent recevoir un rappel tous les 10 ans pour maintenir une immunité protectrice.

La coqueluche est une maladie infectieuse causée par la bactérie Bordetella pertussis. Elle se transmet d'une personne à l'autre par des gouttelettes respiratoires qui sont projetées dans l'air lorsqu'une personne infectée tousse ou éternue. Les symptômes de la coqueluche comprennent une toux sévère et persistante, souvent accompagnée d'un sifflement ou d'un reniflement, et des quintes de toux qui peuvent entraîner des vomissements ou une respiration sifflante. Les nourrissons de moins de 6 mois sont les plus susceptibles de développer des complications graves, telles que la pneumonie, l'insuffisance respiratoire et même la mort.

La coqueluche est une maladie très contagieuse qui peut se propager rapidement dans les communautés. Les personnes non vaccinées ou dont le schéma de vaccination n'est pas à jour sont les plus susceptibles d'être infectées. La vaccination est le moyen le plus efficace de prévenir la coqueluche. Les vaccins contre la coqueluche sont sûrs et efficaces, et ils offrent une protection durable contre la maladie.

Il est important de se faire vacciner contre la coqueluche pour se protéger soi-même et les autres, en particulier les nourrissons qui ne peuvent pas encore être vaccinés. Les personnes qui sont en contact étroit avec des nourrissons, telles que les parents, les grands-parents, les frères et sœurs, les baby-sitters et les fournisseurs de soins de santé, devraient également se faire vacciner pour aider à prévenir la propagation de la maladie.

La coqueluche est une maladie grave qui peut entraîner des complications graves, en particulier chez les nourrissons de moins de 6 mois. La vaccination est le moyen le plus efficace de prévenir la coqueluche et de protéger les personnes les plus vulnérables. Il est important de se faire vacciner contre la coqueluche pour se protéger soi-même et les autres, en particulier les nourrissons qui ne peuvent pas encore être vaccinés.

Les vaccins diphtériques, tétaniques et coquelucheux acellulaires (dTca) sont des vaccins combinés qui offrent une protection contre trois maladies bactériennes graves : la diphtérie, le tétanos et la coqueluche. Contrairement aux anciens vaccins à cellules entières, les vaccins dTca contiennent des composants acellulaires de la bactérie Bordetella pertussis qui cause la coqueluche, ce qui les rend généralement plus sûrs et moins susceptibles de provoquer des effets secondaires graves.

La diphtérie est une maladie infectieuse aiguë caractérisée par un revêtement membraneux sur la muqueuse du pharynx, une inflammation du cœur et des nerfs, ainsi que d'autres complications potentiellement mortelles. Le tétanos est causé par la bactérie Clostridium tetani, qui produit une toxine neurotoxique entraînant une raideur musculaire sévère et des spasmes. La coqueluche est une infection respiratoire hautement contagieuse caractérisée par des quintes de toux persistantes, souvent accompagnées d'un "vomi" inspiratoire (expiration forcée avec ouverture buccale) et d'une cyanose (coloration bleue de la peau due à une mauvaise oxygénation).

Les vaccins dTca sont généralement administrés sous forme de vaccinations de rappel aux nourrissons, aux enfants, aux adolescents et aux adultes pour maintenir l'immunité contre ces maladies. Ils peuvent être combinés avec d'autres vaccins, tels que le vaccin antipoliomyélitique inactivé (VPI) ou le vaccin contre Haemophilus influenzae de type b (Hib), pour former des vaccins combinés qui offrent une protection contre plusieurs maladies.

Les effets secondaires courants des vaccins dTca comprennent la douleur, l'enflure et l'érythème au site d'injection, ainsi que des symptômes pseudo-grippaux tels que la fièvre, les frissons, la fatigue et les maux de tête. Dans de rares cas, des réactions allergiques graves peuvent survenir, bien qu'elles soient généralement traitables avec des médicaments d'urgence.

Dans l'ensemble, les vaccins dTca sont considérés comme sûrs et efficaces pour prévenir la coqueluche, le tétanos et la diphtérie. Ils jouent un rôle crucial dans la protection de la population contre ces maladies évitables par la vaccination et contribuent à réduire la propagation des infections.

Les vaccins acellulaires sont des types de vaccins qui sont fabriqués en utilisant uniquement certaines parties d'un agent infectieux, telles que des protéines ou des sucres, plutôt que l'ensemble du microbe. Ces composants sont sélectionnés pour stimuler une réponse immunitaire protectrice contre l'infection sans utiliser tout le micro-organisme vivant ou inactivé.

Les vaccins acellulaires sont souvent utilisés pour prévenir les maladies infectieuses telles que la coqueluche, le tétanos et la diphtérie. Contrairement aux vaccins à virus vivants atténués, qui contiennent des versions affaiblies du microbe entier, les vaccins acellulaires sont considérés comme plus sûrs pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli ou pour les femmes enceintes.

Cependant, les vaccins acellulaires peuvent nécessiter des doses de rappel plus fréquentes pour maintenir une protection à long terme contre la maladie infectieuse, car la réponse immunitaire qu'ils induisent peut être moins durable que celle induite par les vaccins à virus vivants atténués.

La diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTaP) est un vaccin combiné qui protège contre trois maladies infectieuses graves : la diphtérie, le tétanos et la coqueluche.

* La diphtérie est une infection bactérienne aiguë des voies respiratoires supérieures qui peut entraîner des complications cardiaques, neurologiques et respiratoires graves, ainsi que la mort dans les cas sévères.
* Le tétanos est une infection causée par une bactérie qui pénètre dans le corps via des blessures cutanées. Il peut entraîner une raideur musculaire sévère et des spasmes, y compris des spasmes respiratoires dangereux.
* La coqueluche est une infection bactérienne hautement contagieuse qui affecte les voies respiratoires et peut entraîner une toux prolongée et sévère, ainsi que des complications graves telles que des pneumonies et des convulsions.

Le vaccin DTaP est généralement administré en cinq doses à des âges spécifiques : 2 mois, 4 mois, 6 mois, entre 15 et 18 mois, et entre 4 et 6 ans. Le vaccin contient des versions inactivées ou acellulaires de la diphtérie, du tétanos et de la coqueluche pour stimuler une réponse immunitaire protectrice sans causer la maladie.

Il est important de se faire vacciner contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche pour prévenir ces maladies graves et protéger les autres membres de la communauté, en particulier les nourrissons et les jeunes enfants qui sont les plus à risque de complications graves.

La toxine coquelucheuse est une exotoxine produite par la bactérie Bordetella pertussis, qui est responsable de la maladie connue sous le nom de coqueluche ou « coq ». Cette toxine est l'un des principaux facteurs virulents de la bactérie et joue un rôle crucial dans les manifestations cliniques de la coqueluche.

La toxine coquelucheuse se compose de plusieurs domaines fonctionnels, dont le principal est une chaîne A qui possède une activité ADP-ribosyltransférase. Cette activité permet à la toxine de modifier la protéine G régulatrice de l'adénylate cyclase (GARC) dans les cellules humaines, entraînant une augmentation de la concentration intracellulaire d'AMPc et des changements subséquents dans la perméabilité ionique et l'excitabilité neuronale.

Les symptômes caractéristiques de la coqueluche, tels que les quintes de toux paroxystiques et inspiratoires, sont principalement dus à l'activité de cette toxine sur le système nerveux périphérique. En outre, la toxine coquelucheuse peut également supprimer la fonction immunitaire, favorisant ainsi la persistance de l'infection bactérienne et potentialisant les complications associées à la maladie.

Le vaccin contre la coqueluche contient souvent une forme inactivée de la toxine coquelucheuse (toxoïde coquelucheux), qui est utilisée pour induire une réponse immunitaire protectrice sans provoquer de maladie.

Les vaccins combinés sont des préparations qui contiennent deux ou plusieurs vaccins différents, conçues pour protéger contre plusieurs maladies à la fois. Ils sont fabriqués en combinant différentes souches de virus ou de bactéries inactivées ou atténuées dans une seule injection. Cela simplifie le processus de vaccination, réduit le nombre de piqûres nécessaires et peut améliorer les taux de couverture vaccinale.

Les exemples courants de vaccins combinés comprennent :

1. Le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) : il protège contre la rougeole, les oreillons et la rubéole.
2. Le vaccin DTP (Diphtérie-Tétanos-Coqueluche) : il protège contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche.
3. Le vaccin DTaP-IPV/Hib (Diphtérie-Tétanos-Coqueluche acellulaire-Poliovirus inactivé-Haemophilus influenzae de type b) : il protège contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la poliomyélite et l'infection à Haemophilus influenzae de type b.
4. Le vaccin PRP-T (Haemophilus influenzae de type b) : il protège contre l'infection à Haemophilus influenzae de type b.
5. Le vaccin Hib-MenC (Haemophilus influenzae de type b et Méningocoque C) : il protège contre l'infection à Haemophilus influenzae de type b et le méningocoque de sérogroupe C.
6. Le vaccin dTap (Diphtérie-Tétanos-Coqueluche acellulaire) : il protège contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche.
7. Le vaccin Td/IPV (Tétanos-Diphtérie-Poliovirus inactivé) : il protège contre le tétanos, la diphtérie et la poliomyélite.
8. Le vaccin HPV (Papillomavirus humain) : il protège contre les papillomavirus humains à haut risque de cancer du col de l'utérus.
9. Le vaccin RRO (Rougeole-Oreillons-Rubéole) : il protège contre la rougeole, les oreillons et la rubéole.
10. Le vaccin VHB (Virus de l'hépatite B) : il protège contre le virus de l'hépatite B.

Il est important de noter que certains de ces vaccins peuvent être combinés en un seul vaccin pour réduire le nombre d'injections nécessaires. Il est également possible qu'un vaccin ne soit pas disponible dans tous les pays ou régions. Il est recommandé de consulter un professionnel de santé pour connaître les vaccins recommandés et disponibles dans votre région.

Un vaccin est un produit médical utilisé pour créer une réponse protectrice du système immunitaire contre des agents infectieux spécifiques. Il contient généralement une forme affaiblie ou inactivée d'un micro-organisme (comme une bactérie ou un virus) ou de ses composants. Lorsqu'un vaccin est administré, il stimule le système immunitaire à reconnaître et à combattre l'agent infectieux, ce qui permet au corps de se défendre plus efficacement contre une infection future par ce même agent.

Les vaccins sont souvent administrés par injection, mais ils peuvent également être administrés par voie orale ou nasale. Ils sont un élément crucial de la médecine préventive et jouent un rôle vital dans la protection de la santé publique en prévenant la propagation de maladies infectieuses graves et évitables. De nombreux vaccins sont administrés pendant l'enfance, mais des rappels peuvent être nécessaires à l'âge adulte pour maintenir une protection continue contre certaines maladies.

Un calendrier de vaccination, également connu sous le nom de programme de vaccination, est un guide recommandé pour administrer des vaccins à des intervalles spécifiques du temps, en fonction de l'âge, du statut de santé et d'autres facteurs pertinents. Il est conçu pour optimiser la protection immunitaire contre les maladies infectieuses évitables par la vaccination. Les calendriers de vaccination sont élaborés par des organismes de santé publique, tels que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et d'autres autorités sanitaires nationales et internationales.

Les calendriers de vaccination peuvent varier selon les pays et les régions en fonction des maladies prévalentes, des risques pour la santé publique et des priorités de santé publique. Ils sont conçus pour fournir une protection adéquate contre les maladies infectieuses tout au long de la vie, en commençant par les nourrissons et se poursuivant jusqu'à l'âge adulte. Les calendriers de vaccination peuvent inclure des séries de vaccins recommandés pour prévenir des maladies spécifiques, ainsi que des doses de rappel pour maintenir une immunité protectrice.

Il est important de suivre le calendrier de vaccination recommandé pour assurer une protection adéquate contre les maladies infectieuses. Les professionnels de la santé peuvent fournir des conseils et un soutien pour aider les gens à respecter le calendrier de vaccination recommandé.

La vaccination, également appelée immunisation active, est un processus qui introduit dans l'organisme des agents extérieurs (vaccins) capable de provoquer une réponse immunitaire. Ces vaccins sont généralement constitués de micro-organismes morts ou affaiblis, ou de certaines parties de ceux-ci.

Le but de la vaccination est d'exposer le système immunitaire à un pathogène (germe causant une maladie) de manière contrôlée, afin qu'il puisse apprendre à le combattre et à s'en protéger. Cela prépare le système immunitaire à réagir rapidement et efficacement si la personne est exposée au pathogène réel dans le futur, empêchant ainsi ou atténuant les symptômes de la maladie.

La vaccination est considérée comme l'une des interventions de santé publique les plus importantes et les plus réussies, ayant permis d'éradiquer certaines maladies graves telles que la variole et de contrôler d'autres maladies infectieuses majeures.

La diphtérie est une maladie infectieuse aiguë causée par la bactérie Corynebacterium diphtheriae. Elle affecte principalement le nez, la gorge et les voies respiratoires supérieures, et peut entraîner de graves complications, telles que l'obstruction des voies respiratoires, une insuffisance cardiaque ou des dommages nerveux. Les symptômes courants comprennent un mal de gorge, une toux, une difficulté à avaler, des ganglions lymphatiques enflés et un revêtement gris blanc sur les amygdales. La diphtérie est généralement transmise par contact direct avec une personne infectée ou par l'intermédiaire de gouttelettes respiratoires. Heureusement, la vaccination contre la diphtérie est très efficace et est incluse dans les calendriers de vaccination standard dans de nombreux pays.

Les facteurs de virulence des Bordetella font référence aux diverses caractéristiques et composants moléculaires que les bactéries du genre Bordetella, en particulier B. pertussis, B. parapertussis et B. bronchiseptica, utilisent pour coloniser, infecter et survivre dans l'environnement respiratoire des hôtes mammifères. Ces facteurs de virulence jouent un rôle crucial dans la pathogenèse de ces bactéries, contribuant à leur capacité à provoquer des maladies allant de la coqueluche légère à la bronchite sévère et à d'autres infections respiratoires.

Voici une liste non exhaustive des principaux facteurs de virulence des Bordetella :

1. Adhésines : Les adhésines sont des protéines qui médient l'attachement initial des bactéries aux cellules épithéliales respiratoires de l'hôte. Chez les Bordetella, les principales adhésines comprennent la fimbriae (Fim2 et Fim3) et la protéine d'adhésion filamenteuse (FHA).
2. Toxines : Les toxines sont des facteurs de virulence importants qui contribuent à la pathogenèse des Bordetella. La toxine pertussis (PT), également appelée toxine lytique adénylcyclase, est une toxine exotoxine sécrétée par B. pertussis et B. parapertussis qui inhibe la fonction cellulaire en augmentant les niveaux de cAMP dans les cellules hôtes. Une autre toxine importante est la dermonecrotique toxine (DNT), produite par B. bronchiseptica, qui provoque des lésions tissulaires et une inflammation localisées.
3. Pertactines : Les pertactines sont des protéines de surface adhésives qui se lient aux récepteurs du facteur de croissance épidermique (EGFR) sur les cellules épithéliales respiratoires, favorisant l'entrée et la colonisation bactériennes.
4. Autotransporteurs : Les autotransporteurs sont des protéines qui se transportent elles-mêmes à travers la membrane externe de la bactérie. Chez les Bordetella, ils jouent un rôle dans l'adhésion et la colonisation des cellules hôtes. Les exemples incluent le transporteur d'adhésine filamenteuse (FhaB) et le transporteur de trichome (TcfA).
5. Systèmes de sécrétion : Les Bordetetta utilisent divers systèmes de sécrétion pour délivrer des facteurs de virulence dans l'environnement extracellulaire ou directement dans les cellules hôtes. Le type III secretion (T3SS) est utilisé par B. bronchiseptica pour injecter des effecteurs bactériens dans les cellules hôtes, favorisant la colonisation et l'évasion du système immunitaire.
6. Régulation de l'expression génique : Les Bordertella utilisent divers mécanismes de régulation de l'expression génique pour contrôler la production de facteurs de virulence en réponse aux signaux environnementaux. Par exemple, le système deux composants BvgAS régule l'expression des gènes de phase 1 et de phase 2, permettant à la bactérie d'adapter sa virulence aux conditions changeantes.

En résumé, les Bordertella utilisent une gamme complexe de facteurs de virulence pour coloniser et survivre dans l'environnement respiratoire des hôtes. Ces facteurs comprennent des adhésines, des systèmes de sécrétion, des autotransporteurs et divers mécanismes de régulation de l'expression génique. Une meilleure compréhension de ces processus peut fournir des cibles pour le développement de stratégies thérapeutiques visant à prévenir ou traiter les maladies causées par ces bactéries.

Les vaccins inactivés, également appelés vaccins tués, sont des types de vaccins créés en utilisant des micro-organismes (comme des virus ou des bactéries) qui ont été désactivés ou tués. Bien que ces organismes ne soient plus vivants et ne puissent donc pas infecter et causer de maladies, ils contiennent toujours des antigènes - des substances qui peuvent déclencher une réponse immunitaire dans le corps.

Lorsque vous recevez un vaccin inactivé, votre système immunitaire reconnaît les antigènes comme étant étrangers et produit des anticorps pour les combattre. Même si l'organisme est désactivé, ces anticorps restent dans votre organisme, prêts à agir rapidement si vous êtes exposé au micro-organisme vivant dans le futur.

Les vaccins inactivés présentent plusieurs avantages : ils sont généralement très sûrs car les organismes ne peuvent pas se multiplier et causer des maladies ; cependant, ils peuvent parfois provoquer des réactions allergiques graves. De plus, comme les organismes sont tués, il peut être nécessaire d'administrer plusieurs doses pour générer une immunité protectrice adéquate.

Quelques exemples de vaccins inactivés comprennent le vaccin contre la grippe (influenza), le vaccin contre l'hépatite A et le vaccin contre la poliomyélite inactivée (IPV).

Le tétanos est une maladie infectieuse grave causée par la bactérie Clostridium tetani. Cette bactérie produit une toxine puissante, la tétanospasmine, qui provoque des spasmes musculaires douloureux, particulièrement au niveau de la mâchoire (d'où le nom de "lockjaw" ou "trismus" en français) et du cou. Les muscles du visage, du thorax, de l'abdomen et des extrémités peuvent également être affectés.

La bactérie C. tetani est souvent présente dans le sol, la poussière et les excréments d'animaux. Elle entre dans l'organisme through wounds or cuts contaminated with dirt, faeces or saliva, especially if the wound is not cleaned properly or if it's a deep puncture wound.

Once inside the body, the bacteria multiply and produce the toxin, which then circulates in the bloodstream and interferes with the nervous system's ability to control muscle movements. This leads to the characteristic symptoms of tétanos : stiffness of the neck and jaw muscles, difficulty swallowing, rigid abdominal muscles, and spasms that can be so severe they cause fractures or breaks in the spine.

Tétanos is a medical emergency that requires immediate treatment. The usual treatment includes antibiotics to kill the bacteria, tetanus immune globulin to neutralize the toxin, and supportive care to manage the symptoms. Vaccination against tétanos is also available and recommended for all children and adults.

L'anatoxine diphtérique est une toxine diphtérique inactivée qui a été traitée pour qu'elle ne puisse plus causer de maladie, mais qui conserve toujours la capacité de stimuler une réponse immunitaire protectrice chez les individus qui y sont exposés. Il s'agit d'un composant clé du vaccin contre la diphtérie, une infection bactérienne aiguë causée par la bactérie Corynebacterium diphtheriae.

La toxine diphtérique est produite par ces bactéries et peut causer des dommages graves aux tissus du corps, notamment au cœur, aux nerfs et aux voies respiratoires supérieures. L'anatoxine diphtérique est utilisée dans le vaccin pour induire une immunité active contre la toxine diphtérique, protégeant ainsi les personnes vaccinées contre l'infection et ses complications potentiellement mortelles.

Le processus d'inactivation de la toxine diphtérique en anatoxine implique généralement l'exposition à des températures élevées, à des produits chimiques ou à des méthodes de radiation spécifiques qui dénaturent la protéine sans altérer sa structure globale. Cela permet à l'anatoxine diphtérique de conserver son épitope antigénique, ce qui signifie qu'elle peut encore se lier aux cellules du système immunitaire et déclencher une réponse protectrice sans provoquer de maladie.

Le vaccin contre la diphtérie est généralement administré en combinaison avec d'autres vaccins pour protéger contre plusieurs maladies à la fois, telles que le tétanos et la coqueluche (vaccin DTP). Ces vaccins sont considérés comme sûrs et efficaces et ont permis de réduire considérablement l'incidence de ces maladies dans les populations vaccinées.

Le vaccin antipoliomyélitique inactivé, également connu sous le nom de vaccin IPV, est un type de vaccin utilisé pour prévenir la poliomyélite. Contrairement au vaccin antipoliomyélitique oral (OPV), qui contient des virus vivants affaiblis, le vaccin IPV utilise des virus inactivés, ce qui signifie qu'ils ont été tués et ne peuvent plus se répliquer.

Le vaccin IPV est généralement administré par injection dans le bras ou la cuisse, en une série de doses. Il est important de noter que bien que le vaccin IPV soit très efficace pour prévenir la poliomyélite, il ne prévient pas d'autres maladies causées par des virus apparentés.

Le vaccin IPV a été développé dans les années 1950 et est largement utilisé dans le monde entier pour contrôler et éradiquer la poliomyélite. Grâce aux efforts de vaccination, les cas de poliomyélite ont considérablement diminué dans le monde entier, et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a fixé comme objectif son élimination complète d'ici 2023.

Un rappel de vaccination, également connu sous le nom de vaccination de rappel ou simplement rappel, est l'administration d'une dose supplémentaire d'un vaccin à une personne qui avait précédemment été vaccinée contre la même maladie. Le but d'un rappel est de stimuler à nouveau le système immunitaire pour maintenir ou renforcer l'immunité contre une maladie infectieuse spécifique.

L'efficacité des vaccins peut diminuer avec le temps, et les rappels sont souvent recommandés pour maintenir la protection immunitaire à long terme. Les rappels peuvent également être recommandés si de nouvelles preuves scientifiques indiquent que la protection offerte par une dose initiale du vaccin n'est pas suffisante ou si des souches plus récentes de la maladie émergent et nécessitent une protection supplémentaire.

Les rappels sont couramment recommandés pour les vaccins contre le tétanos, la diphtérie, la coqueluche, le pneumocoque et l'hépatite B, entre autres. Les calendriers de vaccination et les fréquences des rappels peuvent varier en fonction du vaccin et des recommandations spécifiques de santé publique pour différents groupes d'âge et populations.

Le vaccin diphtérique-tétanique, également connu sous le nom de vaccin d'association diphtérie et tétanos ou VDT, est un vaccin combiné qui offre une protection contre deux maladies infectieuses graves: la diphtérie et le tétanos.

La diphtérie est causée par une bactérie appelée Corynebacterium diphtheriae et se caractérise par des symptômes tels que l'inflammation de la gorge, une toux sévère, une fièvre élevée et une fatigue extrême. Dans les cas graves, elle peut entraîner des complications cardiaques et neurologiques, voire la mort.

Le tétanos, également connu sous le nom de verrouillage, est causé par une bactérie appelée Clostridium tetani qui se trouve dans le sol et les excréments d'animaux. Il provoque des contractions musculaires douloureuses et involontaires, en particulier dans les muscles du cou et du visage, ainsi qu'une fièvre élevée et une hypertension artérielle. Dans les cas graves, il peut entraîner des complications respiratoires et la mort.

Le vaccin diphtérique-tétanique contient des antigènes inactivés de ces deux bactéries qui stimulent le système immunitaire à produire des anticorps pour se protéger contre l'infection. Il est généralement administré aux nourrissons et aux jeunes enfants sous forme d'une série de trois doses, suivies de rappels ultérieurs pour maintenir la protection.

Le vaccin diphtérique-tétanique est considéré comme sûr et efficace, avec des effets secondaires mineurs tels que douleur, rougeur et gonflement au site d'injection étant les plus courants. Il est important de se faire vacciner contre la diphtérie et le tétanos pour prévenir ces maladies graves et potentiellement mortelles.

Les anticorps antibactériens sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à la présence d'une bactérie spécifique dans l'organisme. Ils sont également appelés immunoglobulines et sont capables de se lier à des antigènes bactériens spécifiques, tels que des protéines ou des polysaccharides situés à la surface de la bactérie.

Les anticorps antibactériens peuvent être de différents types, selon leur fonction et leur structure :

* Les immunoglobulines G (IgG) sont les plus courantes et assurent une protection à long terme contre les infections bactériennes. Elles peuvent traverser la barrière placentaire et protéger le fœtus contre certaines infections.
* Les immunoglobulines M (IgM) sont les premières à être produites lors d'une infection et ont une activité bactéricide élevée. Elles sont principalement présentes dans le sang et la lymphe.
* Les immunoglobulines A (IgA) se trouvent principalement sur les muqueuses, telles que les voies respiratoires et digestives, où elles protègent contre l'infection en empêchant l'adhésion des bactéries aux cellules épithéliales.
* Les immunoglobulines E (IgE) sont associées aux réactions allergiques et peuvent également jouer un rôle dans la défense contre certaines bactéries parasites.

Les anticorps antibactériens peuvent neutraliser les bactéries en se liant à leur surface, ce qui empêche leur multiplication et leur invasion des tissus. Ils peuvent également activer le complément, une cascade de protéines qui aboutit à la lyse de la bactérie. Enfin, ils peuvent faciliter la phagocytose, c'est-à-dire l'ingestion et la destruction des bactéries par les cellules immunitaires.

Un vaccin antibactérien est un type de vaccin utilisé pour prévenir les maladies infectieuses causées par des bactéries. Les vaccins antibactériens fonctionnent en exposant le système immunitaire à une forme affaiblie ou inactivée d'une bactérie ou à certaines de ses toxines, ce qui permet au corps de développer une réponse immunitaire et de créer des anticorps pour combattre l'infection.

Les vaccins antibactériens peuvent être classés en deux catégories principales : les vaccins vivants atténués et les vaccins inactivés. Les vaccins vivants atténués contiennent une forme affaiblie de la bactérie qui est capable de se répliquer, mais ne cause pas de maladie. Les vaccins inactivés, en revanche, contiennent des bactéries tuées ou des toxines inactivées qui ne peuvent pas se répliquer.

Les vaccins antibactériens sont généralement administrés par injection, mais certains peuvent être administrés par voie orale ou nasale. Les exemples de vaccins antibactériens comprennent le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC), le vaccin contre le méningocoque, le vaccin contre la pneumonie à pneumocoques et le vaccin contre Haemophilus influenzae de type b.

Il est important de noter que les vaccins antibactériens ne sont pas toujours efficaces à 100% pour prévenir l'infection, mais ils peuvent réduire considérablement le risque de maladie grave et de complications graves associées à certaines infections bactériennes.

Les vaccins synthétiques, également connus sous le nom de vaccins à base de peptides ou de sous-unités, sont des types de vaccins qui contiennent des parties spécifiques du pathogène (comme des protéines ou des sucres) qui ont été créées en laboratoire. Contrairement aux vaccins vivants atténués ou inactivés, les vaccins synthétiques ne contiennent pas de particules entières du pathogène.

Les vaccins synthétiques sont conçus pour stimuler une réponse immunitaire spécifique contre le pathogène sans exposer le patient au risque d'infection par le pathogène réel. Ils peuvent être fabriqués en utilisant des techniques de génie génétique ou chimique pour produire les composants antigéniques du pathogène.

Les vaccins synthétiques présentent plusieurs avantages potentiels, tels qu'une production plus facile et plus rapide, une stabilité accrue, une réduction des coûts de production et l'élimination du risque d'infection par le pathogène vivant. Cependant, ils peuvent également présenter des défis en termes de capacité à induire une réponse immunitaire robuste et durable, ce qui peut nécessiter des stratégies d'adjuvantation ou de formulation supplémentaires pour améliorer leur efficacité.

Il convient de noter que les vaccins synthétiques sont encore un domaine relativement nouveau et en évolution dans le développement de vaccins, et il y a encore beaucoup à apprendre sur la manière dont ils peuvent être optimisés pour une utilisation clinique.

Les vaccins antiviraux sont des préparations biologiques conçues pour induire une réponse immunitaire active spécifique contre les virus, offrant ainsi une protection contre l'infection ou atténuant la gravité de la maladie. Ils contiennent généralement des agents infectieux inactivés ou affaiblis qui ne peuvent pas causer la maladie mais sont toujours capables d'être reconnus par notre système immunitaire. Une fois exposé à ces agents via le vaccin, notre corps développe une mémoire immunologique, ce qui signifie qu'il peut rapidement et efficacement combattre l'infection réelle si nous y sommes ultérieurement exposés.

Les vaccins antiviraux jouent un rôle crucial dans la prévention de nombreuses maladies virales graves, telles que la varicelle, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite et l'influenza. De nouveaux vaccins antiviraux sont continuellement développés et mis au point pour faire face aux nouvelles menaces virales émergentes ou pour améliorer l'efficacité des vaccins existants.

Les vaccins conjugués sont un type de vaccin qui combine un antigène polysaccharidique (généralement présent dans les vaccins contre les bactéries) avec une protéine de transport. Cette combinaison améliore la réponse immunitaire du système, en particulier chez les jeunes enfants, car les polysaccharides seuls ont tendance à induire une réponse immunitaire plus faible et moins durable.

En attachant l'antigène polysaccharidique à une protéine de transport, le système immunitaire est capable de reconnaître et de combattre plus efficacement l'antigène, ce qui entraîne une réponse immunitaire plus forte et plus durable. Les vaccins conjugués sont souvent utilisés pour prévenir les maladies causées par des bactéries encapsulées, telles que le pneumocoque, le méningocoque et l'haemophilus influenzae de type b (Hib).

Les vaccins conjugués sont considérés comme une avancée majeure dans la prévention des maladies infectieuses, en particulier chez les enfants. Ils ont permis de réduire considérablement l'incidence et la gravité de certaines maladies graves et invasives causées par ces bactéries.

L'anatoxine tétanique est une toxine inactivée utilisée comme vaccin pour prévenir le tétanos. Elle est dérivée de la bactérie Clostridium tetani, qui produit la toxine tétanique hautement toxique responsable du tétanos.

L'anatoxine tétanique est produite en exposant la toxine tétanique à des températures ou à des produits chimiques qui désactivent sa toxicité, tout en conservant sa capacité à stimuler une réponse immunitaire protectrice. Lorsqu'elle est administrée comme vaccin, l'anatoxine tétanique déclenche la production d'anticorps qui neutralisent la toxine tétanique active si une personne est exposée ultérieurement à la bactérie Clostridium tetani.

Le vaccin contre le tétanos contenant de l'anatoxine tétanique est souvent combiné avec d'autres vaccins, tels que ceux contre la diphtérie et la coqueluche, pour former des vaccins combinés tels que DTaP (diphtérie, tétanos et coqueluche acellulaire) et Tdap (tétanos, diphtérie et coqueluche réduite). Ces vaccins sont administrés à divers moments de la vie pour assurer une protection continue contre ces maladies évitables par la vaccination.

Les vaccins anti-Haemophilus, également connus sous le nom de vaccins contre Haemophilus influenzae de type b (Hib), sont des vaccins conçus pour prévenir les infections causées par la bactérie Haemophilus influenzae de type b. Ces infections peuvent inclure des méningites, des pneumonies, des épiglottites et d'autres infections invasives.

Le vaccin Hib est généralement administré aux nourrissons à partir de l'âge de deux mois, avec des doses supplémentaires à quatre et six mois. Dans certains cas, une dose de rappel peut être recommandée entre 12 et 15 mois. Le vaccin est généralement bien toléré et présente un profil d'innocuité favorable.

Il existe plusieurs types de vaccins Hib disponibles, qui utilisent différentes approches pour stimuler une réponse immunitaire protectrice contre la bactérie Haemophilus influenzae de type b. Certains vaccins contiennent des protéines de surface purifiées de la bactérie, tandis que d'autres utilisent des particules virales génétiquement modifiées pour présenter les protéines de surface de la bactérie à notre système immunitaire.

Grâce à l'utilisation généralisée du vaccin Hib, les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b ont considérablement diminué dans de nombreux pays développés au cours des dernières décennies. Cependant, ces infections restent un problème de santé important dans certaines régions du monde où l'accès aux vaccins est limité.

Les hémagglutinines sont des protéines présentes à la surface du virus de la grippe. Elles jouent un rôle crucial dans la capacité du virus à infecter les cellules humaines. Les hémagglutinines se lient aux récepteurs de sucre spécifiques sur la membrane des cellules humaines, facilitant ainsi l'entrée du virus dans ces cellules.

Il existe 18 sous-types différents d'hémagglutinines (H1 à H18) qui peuvent varier selon les souches de virus de la grippe. Les variations des hémagglutinines sont un facteur important dans l'évolution du virus de la grippe et dans la capacité du virus à échapper au système immunitaire humain, ce qui peut entraîner des pandémies de grippe si une nouvelle souche de virus apparaît.

Les vaccins contre la grippe sont conçus pour cibler spécifiquement les hémagglutinines du virus, en incitant le système immunitaire à produire des anticorps qui peuvent neutraliser le virus et prévenir l'infection.

La bordetellose est une infection causée par la bactérie Bordetella. Le type le plus courant de bordetellose est la coqueluche, qui est une maladie hautement contagieuse des voies respiratoires. Les symptômes de la coqueluche comprennent une toux persistante et paroxystique, suivie d'un inspirium sifflant ou "whoop". D'autres types de bordetellose peuvent affecter les animaux, tels que la maladie de Kennel chez les chiens.

Le traitement de la bordetellose implique généralement des antibiotiques pour éliminer l'infection bactérienne. La prévention est possible grâce à la vaccination, qui est recommandée pour les nourrissons et les jeunes enfants. Il est également important de maintenir une bonne hygiène des voies respiratoires, comme se couvrir la bouche et le nez lorsque l'on tousse ou éternue, et de se laver régulièrement les mains pour prévenir la propagation de la maladie.

Les toxoides sont des formes inactivées ou atténuées de toxines produites par certaines bactéries, qui ont perdu leur pouvoir toxique mais sont encore capables de stimuler une réponse immunitaire protectrice. Ils sont souvent utilisés comme vaccins pour prévenir les maladies causées par ces bactéries. Un exemple courant est le vaccin contre le tétanos, qui utilise des toxoides de la bactérie Clostridium tetani pour induire une immunité contre le tétanos sans provoquer la maladie elle-même.

Bordetella parapertussis est une bactérie gram-négative qui peut causer une maladie respiratoire chez l'homme, connue sous le nom de coqueluche ou "toux de cent jours". Cette maladie infectieuse affecte principalement les poumons et se transmet par voie aérienne, à travers des gouttelettes expulsées lors de toux ou d'éternuements.

Les symptômes de la coqueluche causée par Bordetella parapertussis sont généralement moins graves que ceux causés par une autre bactérie apparentée, Bordetella pertussis. Cependant, les personnes atteintes peuvent encore présenter une toux persistante, des quintes de toux sévères et des vomissements après la toux. Les nourrissons, en particulier ceux qui ne sont pas vaccinés ou partiellement vaccinés, courent un risque accru de complications graves, telles que pneumonie, convulsions et lésions cérébrales.

Le traitement de la coqueluche due à Bordetella parapertussis implique généralement des antibiotiques pour éliminer l'infection et prévenir sa propagation à d'autres personnes. Les mesures de contrôle des infections, telles que l'isolement des personnes malades et la vaccination, sont également importantes pour prévenir la propagation de la maladie.

Il est important de noter que la coqueluche est une maladie évitable grâce à la vaccination. Les programmes de vaccination recommandent généralement des vaccins contre la coqueluche pour les nourrissons, les enfants, les adolescents et les adultes à risque élevé, tels que les professionnels de la santé et les femmes enceintes. La vaccination est cruciale pour protéger non seulement l'individu vacciné, mais aussi les personnes vulnérables autour d'eux, telles que les nourrissons qui ne sont pas encore entièrement vaccinés.

À l'heure actuelle, il n'existe pas de vaccin contre le VIH/SIDA approuvé pour une utilisation générale. Des années de recherche ont été consacrées au développement d'un vaccin efficace contre le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Cependant, malgré plusieurs essais cliniques prometteurs, aucun candidat vaccin n'a démontré une efficacité suffisante pour prévenir l'infection par le VIH ou modifier le cours de la maladie.

Les vaccins fonctionnent généralement en exposant le système immunitaire à un agent pathogène affaibli ou inactivé, ou à certaines de ses protéines, afin qu'il puisse apprendre à se défendre contre ce pathogène spécifique. Cependant, le VIH est un virus particulièrement difficile à combattre en raison de sa grande variabilité génétique et de sa capacité à intégrer son matériel génétique dans les cellules hôtes, où il peut se cacher des défenses immunitaires.

Bien que des progrès aient été réalisés dans le développement de vaccins préventifs contre le VIH, d'importants défis subsistent. Les chercheurs continuent d'étudier différentes approches et stratégies pour créer un vaccin efficace contre le VIH/SIDA.

L'immunisation, également appelée vaccination, est un processus actif qui vise à protéger une personne contre certaines maladies infectieuses en introduisant dans l'organisme des agents pathogènes (comme des virus ou des bactéries) ou des fragments de ces agents sous une forme affaiblie, tuée ou modifiée. Cela permet au système immunitaire de la personne de développer une réponse immunitaire spécifique contre ces pathogènes, ce qui entraîne l'acquisition d'une immunité protectrice contre ces maladies.

L'immunisation peut être réalisée par différentes méthodes, telles que la vaccination avec des vaccins vivants atténués, des vaccins inactivés, des vaccins à sous-unités protéiques ou des vaccins à ARN messager. Les vaccins peuvent prévenir l'infection et la transmission de maladies infectieuses graves, réduire la gravité de la maladie et prévenir les complications potentiellement mortelles.

L'immunisation est considérée comme l'une des interventions de santé publique les plus efficaces pour prévenir et contrôler la propagation des maladies infectieuses, protégeant ainsi non seulement l'individu vacciné mais aussi la communauté dans son ensemble en réduisant la transmission du pathogène.

Les vaccins sous-unités sont un type de vaccin qui contient des antigènes spécifiques d'un agent pathogène, tels que des protéines ou des polysaccharides, mais pas l'agent pathogène entier. Ces antigènes sont capables de stimuler une réponse immunitaire protectrice sans causer la maladie. Les vaccins sous-unités sont généralement plus purs et plus stables que les vaccins vivants atténués, mais ils peuvent nécessiter plusieurs doses pour induire une immunité protectrice adéquate. Ils sont considérés comme sûrs car ils ne contiennent pas de matériel infectieux viable. Les exemples de vaccins sous-unités comprennent le vaccin contre l'hépatite B et le vaccin contre la grippe.

Bordetella est un genre de bactéries gram-négatives qui comprend plusieurs espèces, dont certaines sont importantes pour la santé humaine et animale. Les deux espèces les plus connues sont Bordetella pertussis et Bordetella parapertussis, qui sont responsables de la coqueluche, une maladie respiratoire infectieuse courante également appelée "toux des 100 jours".

Bordetella pertussis est l'espèce la plus virulente et est à l'origine de la majorité des cas de coqueluche. Elle produit plusieurs facteurs de virulence qui lui permettent de coloniser les voies respiratoires supérieures, d'échapper à la réponse immunitaire de l'hôte et de provoquer une toux paroxystique caractéristique.

Bordetella parapertussis est moins virulente que Bordetella pertussis mais peut également causer des infections respiratoires similaires à la coqueluche. D'autres espèces de Bordetella, telles que Bordetella bronchiseptica et Bordetella avium, sont principalement associées aux maladies respiratoires chez les animaux, mais peuvent occasionnellement infecter les humains.

La transmission de la coqueluche se produit généralement par inhalation de gouttelettes respiratoires contenant des bactéries Bordetella pertussis ou Bordetella parapertussis, qui sont expulsées lors de toux ou d'éternuements. Les symptômes de la coqueluche comprennent une toux persistante et paroxystique, des quintes de toux suivies d'un inspir interrompu ("whoop") et des vomissements après la toux.

Le diagnostic de la coqueluche repose sur l'identification des bactéries dans les échantillons respiratoires ou sur la détection d'anticorps spécifiques dans le sang. Le traitement précoce avec des antibiotiques peut aider à réduire la durée et la gravité de la maladie, ainsi que la transmission aux autres personnes. La vaccination est recommandée pour prévenir la coqueluche chez les nourrissons, les enfants et les adultes à risque élevé d'infection.

Un antigène bactérien est une molécule située à la surface ou à l'intérieur d'une bactérie qui peut être reconnue par le système immunitaire du corps comme étant étrangère. Cette reconnaissance déclenche une réponse immunitaire, au cours de laquelle le système immunitaire produit des anticorps spécifiques pour combattre l'infection bactérienne.

Les antigènes bactériens peuvent être de différents types, tels que les protéines, les polysaccharides ou les lipopolysaccharides. Certains antigènes bactériens sont communs à plusieurs espèces de bactéries, tandis que d'autres sont spécifiques à une seule espèce ou même à une souche particulière de bactérie.

Les antigènes bactériens peuvent être utilisés en médecine pour diagnostiquer des infections bactériennes spécifiques. Par exemple, la détection d'un antigène spécifique dans un échantillon clinique peut confirmer la présence d'une infection bactérienne particulière et aider à guider le traitement approprié.

Il est important de noter que certaines bactéries peuvent développer des mécanismes pour éviter la reconnaissance de leurs antigènes par le système immunitaire, ce qui peut rendre plus difficile le diagnostic et le traitement des infections qu'elles causent.

L'hexobarbital est un type de barbiturique, qui est une classe de médicaments utilisés comme sédatifs, hypnotiques et anticonvulsivants. Il agit en diminuant l'excitation nerveuse dans le cerveau pour produire des effets calmants, relaxants musculaires et sédatifs.

L'hexobarbital est rapidement absorbé après ingestion orale et a une durée d'action relativement courte par rapport à d'autres barbituriques. Il est utilisé dans le traitement de l'insomnie, de l'anxiété et de la tension musculaire, ainsi que pour induire l'anesthésie générale avant les interventions chirurgicales.

Cependant, il convient de noter que les barbituriques tels que l'hexobarbital peuvent être associés à un risque élevé d'effets indésirables et de dépendance, ce qui a entraîné une réduction de leur utilisation au profit de médicaments plus sûrs et moins addictifs. Par conséquent, l'utilisation de l'hexobarbital est désormais limitée à des indications spécifiques et nécessite une surveillance étroite du patient.

Les vaccins contre le paludisme, également connus sous le nom de vaccins contre la malaria, sont des vaccins en développement qui visent à prévenir l'infection par le parasite Plasmodium, qui est responsable de la maladie du paludisme. Actuellement, il n'existe pas de vaccin approuvé contre le paludisme disponible dans le monde entier.

Les efforts de recherche et développement de vaccins contre le paludisme ont été compliqués par plusieurs facteurs, notamment la complexité biologique du parasite Plasmodium et sa capacité à évoluer rapidement pour éviter les réponses immunitaires de l'hôte. De plus, le cycle de vie complexe du parasite, qui implique des étapes dans le moustique vecteur ainsi que dans l'homme, rend difficile la conception d'un vaccin qui puisse cibler toutes les étapes pertinentes de l'infection.

Cependant, il y a eu quelques progrès récents dans le développement de vaccins contre le paludisme. Le candidat vaccin le plus avancé à ce jour est le RTS,S/AS01, qui cible la forme sporozoïte du parasite Plasmodium falciparum. Dans des essais cliniques de phase III, le vaccin a montré une efficacité modeste pour prévenir les cas de paludisme chez les enfants d'âge scolaire et plus jeunes, bien que son efficacité diminue avec le temps.

Malgré ces progrès, il reste encore beaucoup de travail à faire avant qu'un vaccin contre le paludisme ne devienne largement disponible. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour améliorer l'efficacité et la durabilité des vaccins actuellement en développement, ainsi que pour identifier et développer de nouveaux candidats vaccins qui peuvent cibler d'autres étapes du cycle de vie du parasite.

*Bordetella bronchiseptica* est une bactérie gram-négative qui appartient au genre *Bordetella*. Cette bactérie peut coloniser les voies respiratoires supérieures et inférieures des mammifères, y compris des humains. Cependant, elle est plus souvent associée aux maladies chez les animaux, en particulier les chiens, les chats, les porcs et les rongeurs. Chez l'homme, *Bordetella bronchiseptica* peut causer une infection des voies respiratoires supérieures, telle que la bronchite, surtout chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli.

La bactérie se transmet généralement par inhalation de gouttelettes en suspension dans l'air contenant des bactéries, qui sont expulsées lorsqu'une personne ou un animal infecté tousse ou éternue. Les symptômes d'une infection à *Bordetella bronchiseptica* peuvent inclure une toux sèche et persistante, des écoulements nasaux, de la fièvre et des difficultés respiratoires.

Le traitement de l'infection à *Bordetella bronchiseptica* implique généralement des antibiotiques pour tuer les bactéries. Les personnes atteintes peuvent également avoir besoin de soins de soutien, tels que l'hydratation et le repos au lit, pour aider à soulager les symptômes. Pour prévenir la propagation de l'infection, il est important de se laver fréquemment les mains, de couvrir la bouche et le nez lorsque l'on tousse ou éternue, et d'éviter tout contact étroit avec des personnes ou des animaux malades.

Les vaccins antipoliomyélitiques sont des préparations biologiques utilisées pour immuniser contre la poliomyélite, une maladie infectieuse causée par le poliovirus. Il existe deux types de vaccins antipoliomyélitiques:

1. Vaccin antipoliomyélitique inactivé (IPV): Ce vaccin contient des virus polio inactivés et ne peut pas causer la maladie. Il est administré par injection et offre une protection contre les trois types de poliovirus.

2. Vaccin antipoliomyélitique oral vivant (OPV): Ce vaccin contient des virus polio vivants atténués, ce qui signifie qu'ils ont été affaiblis et ne peuvent pas causer la maladie. Il est administré par voie orale et offre une protection contre les trois types de poliovirus. Cependant, dans de rares cas, le virus vivant atténué peut se multiplier dans l'intestin et être transmis à d'autres personnes, provoquant éventuellement des cas de poliomyélite chez ces dernières.

Les deux types de vaccins sont efficaces pour prévenir la poliomyélite, mais le choix du type de vaccin dépend de divers facteurs tels que l'épidémiologie locale de la maladie, les ressources disponibles et les préférences des prestataires de soins de santé et des patients. Les programmes de vaccination antipoliomyélitique ont permis d'éradiquer la poliomyélite dans la plupart des pays du monde, mais il est important de maintenir l'immunité de la population grâce à la vaccination pour prévenir une résurgence de la maladie.

Les vaccins antipapillomavirus (HPV) sont des vaccins conçus pour prévenir les infections par certains types de papillomavirus humains (HPV), qui sont des virus sexuellement transmissibles. Ces vaccins agissent en provoquant une réponse immunitaire qui protège contre l'infection par ces virus, ce qui peut à son tour prévenir les maladies associées telles que le cancer du col de l'utérus, les verrues génitales et d'autres cancers liés au HPV.

Les vaccins HPV actuellement disponibles sont des vaccins à base de protéines recombinantes qui ciblent les types de HPV les plus couramment associés aux maladies. Les deux vaccins approuvés par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis sont le Gardasil 9 et le Cervarix.

Le Gardasil 9 protège contre neuf types de HPV, dont les sept types à haut risque qui peuvent causer le cancer du col de l'utérus et d'autres cancers, ainsi que deux types à faible risque qui peuvent causer des verrues génitales. Le Cervarix protège uniquement contre les deux types de HPV à haut risque les plus couramment associés au cancer du col de l'utérus.

Les vaccins HPV sont généralement administrés en deux ou trois doses, selon l'âge et le type de vaccin utilisé. Ils sont recommandés pour les jeunes filles et garçons âgés de 11 à 12 ans, mais peuvent être administrés dès l'âge de 9 ans. Les adultes qui n'ont pas été vaccinés lorsqu'ils étaient plus jeunes peuvent également recevoir le vaccin jusqu'à un certain âge, selon les directives des autorités sanitaires locales.

La voie intranasale est un terme utilisé en médecine et en pharmacologie pour décrire l'administration de médicaments ou de substances thérapeutiques par le passage through le nez. Cette méthode d'administration est souvent utilisée pour les médicaments sous forme de spray ou de gouttes, tels que les décongestionnants nasaux, les sprays d'hormones thyroïdiennes, et les vaccins contre la grippe.

L'administration intranasale offre plusieurs avantages, notamment un début d'action rapide, une bonne biodisponibilité, et la possibilité d'éviter l'effet de premier passage hépatique, ce qui signifie que le médicament n'a pas besoin de passer par le foie pour être métabolisé avant d'atteindre la circulation systémique. De plus, cette voie est généralement bien tolérée et présente un faible risque d'effets indésirables systémiques.

Cependant, il est important de noter que l'administration intranasale doit être effectuée correctement pour assurer une distribution adéquate du médicament dans la muqueuse nasale et éviter les effets secondaires locaux tels que l'irritation ou la douleur. Il est également crucial de respecter les doses recommandées et de ne pas utiliser cette voie pour des médicaments qui peuvent être irritants ou nocifs pour la muqueuse nasale.

Les adhésines bactériennes sont des protéines situées à la surface des bactéries qui leur permettent de s'attacher et d'adhérer aux surfaces, y compris les cellules hôtes. Cette capacité d'adhésion est une étape critique dans le processus d'infection bactérienne, car elle permet aux bactéries de coloniser des sites spécifiques dans l'organisme et d'éviter d'être éliminées par les mécanismes de défense de l'hôte.

Les adhésines bactériennes peuvent se lier à divers récepteurs situés sur la surface des cellules hôtes, tels que des protéines ou des sucres spécifiques. Certaines adhésines bactériennes sont très spécifiques et ne se lient qu'à un seul type de récepteur, tandis que d'autres peuvent se lier à plusieurs types de récepteurs différents.

Une fois attachées aux cellules hôtes, les bactéries peuvent utiliser divers mécanismes pour pénétrer dans l'hôte et causer une infection. Les adhésines bactériennes jouent donc un rôle important dans le processus d'infection et sont des cibles importantes pour le développement de nouveaux traitements antimicrobiens.

L'immunoglobuline G (IgG) est un type d'anticorps, qui sont des protéines produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les agents pathogènes. L'IgG est la plus abondante et la plus diversifiée des cinq classes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM) trouvées dans le sang et les tissus corporels.

L'IgG est produite en réponse à la plupart des infections et joue un rôle crucial dans l'immunité humorale, qui est la composante du système immunitaire responsable de la production d'anticorps pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes. L'IgG peut traverser la barrière placentaire et offrir une protection passive contre certaines infections aux nourrissons pendant leurs premiers mois de vie.

L'IgG se compose de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, formant une molécule en forme de Y avec deux sites d'affinité pour les antigènes. Cela permet à l'IgG de se lier à plusieurs parties d'un agent pathogène, ce qui améliore sa capacité à neutraliser ou marquer les agents pathogènes pour une élimination ultérieure par d'autres cellules du système immunitaire.

L'IgG est également connue pour son rôle dans l'activation du complément, un groupe de protéines qui aident à éliminer les agents pathogènes et les cellules mortes ou endommagées. De plus, l'IgG peut activer certaines cellules immunitaires, comme les neutrophiles et les macrophages, pour faciliter la phagocytose (processus d'ingestion et de destruction des agents pathogènes).

En raison de sa longue demi-vie (environ 21 jours) et de son rôle important dans l'immunité humorale, l'IgG est souvent utilisée comme biomarqueur pour évaluer la réponse immunitaire à une vaccination ou une infection.

Les adjuvants immunologiques sont des substances ou agents qui sont combinés avec un vaccin pour améliorer la réponse immunitaire du corps au vaccin. Ils ne contiennent pas de partie du virus ou de la bactérie contre lequel le vaccin est destiné à protéger, mais ils aident à renforcer la réponse immunitaire en stimulant les cellules immunitaires pour qu'elles reconnaissent et répondent plus vigoureusement au vaccin.

Les adjuvants peuvent fonctionner de différentes manières pour améliorer l'efficacité des vaccins. Certains d'entre eux prolongent la durée pendant laquelle le système immunitaire est exposé au vaccin, ce qui permet une réponse immunitaire plus forte et plus durable. D'autres adjuvants peuvent attirer les cellules immunitaires vers le site de l'injection du vaccin, ce qui entraîne une augmentation de la production d'anticorps contre l'agent pathogène ciblé.

Les adjuvants sont souvent utilisés dans les vaccins pour les populations à risque élevé de maladies graves, telles que les personnes âgées ou les jeunes enfants, car leur système immunitaire peut ne pas répondre aussi vigoureusement aux vaccins sans adjuvant. Les adjuvants peuvent également être utilisés pour réduire la quantité de virus ou de bactérie nécessaire dans un vaccin, ce qui peut rendre le processus de production du vaccin plus simple et moins coûteux.

Cependant, l'utilisation d'adjuvants peut entraîner des effets secondaires tels que des rougeurs, des gonflements ou de la douleur au site d'injection, ainsi qu'une légère fièvre ou des douleurs musculaires. Dans de rares cas, les adjuvants peuvent déclencher une réponse immunitaire excessive qui peut entraîner des effets indésirables graves. Par conséquent, l'utilisation d'adjuvants doit être soigneusement évaluée et surveillée pour garantir leur sécurité et leur efficacité.

Les vaccins antiméningococciques sont des préparations biologiques conçues pour fournir une immunisation active contre les infections causées par le méningocoque, un type de bactérie responsable de maladies graves telles que la méningite et la septicémie. Il existe plusieurs souches différentes de méningocoques (A, B, C, Y, W-135) et chaque vaccin cible généralement une ou plusieurs de ces souches.

Les vaccins antiméningococciques fonctionnent en exposant le système immunitaire à des parties du méningocoque, telles que les polysaccharides capsulaires ou les protéines de la surface bactérienne, ce qui permet au corps de développer une réponse immunitaire protectrice sans causer la maladie.

Il existe différents types de vaccins antiméningococciques, y compris les vaccins conjugués et les vaccins polysaccharidiques. Les vaccins conjugués sont considérés comme plus efficaces pour prévenir les infections à méningocoque chez les jeunes enfants, tandis que les vaccins polysaccharidiques sont souvent utilisés chez les adolescents et les adultes.

Il est important de noter que la protection offerte par ces vaccins peut être temporaire et que des rappels peuvent être nécessaires pour maintenir une immunité à long terme. De plus, les vaccins antiméningococciques ne protègent pas contre toutes les souches de méningocoques et ne préviennent pas d'autres types d'infections bactériennes ou virales.

Une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) pour un médicament est une décision réglementaire prise par une autorité compétente, telle que l'Agence européenne des médicaments (EMA) ou la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, qui permet à un fabricant de commercialiser et de distribuer un médicament dans un pays ou dans un ensemble de pays.

L'AMM est délivrée après l'évaluation rigoureuse des données soumises par le fabricant, y compris les résultats des essais cliniques et non cliniques, qui démontrent la qualité, la sécurité et l'efficacité du médicament. L'AMM peut être assortie de conditions ou de restrictions, telles que des mises en garde, des précautions d'emploi ou des restrictions d'âge, pour garantir que le médicament est utilisé de manière sûre et appropriée.

L'AMM est un processus réglementaire essentiel pour assurer la sécurité et l'efficacité des médicaments mis sur le marché, protéger la santé publique et garantir que les patients aient accès à des traitements médicaux sûrs et efficaces.

L'antitoxine tétanique est un type d'immunoglobuline (une protéine) utilisée pour prévenir ou traiter le tétanos, une maladie causée par la bactérie Clostridium tetani. Cette bactérie produit une toxine qui affecte les nerfs et peut provoquer des contractions musculaires douloureuses et involontaires, en particulier dans le cou et les muscles de l'abdomen.

L'antitoxine tétanique est dérivée du sang de chevaux qui ont été immunisés contre le tétanos. Elle contient des anticorps qui peuvent neutraliser la toxine tétanique dans l'organisme. Lorsqu'elle est administrée par injection, elle peut aider à prévenir ou à traiter les symptômes du tétanos en empêchant la toxine de se lier aux cellules nerveuses.

L'antitoxine tétanique est généralement administrée en combinaison avec une vaccination contre le tétanos, qui aide l'organisme à produire ses propres anticorps pour se protéger contre la maladie. Elle peut également être utilisée chez les personnes qui ont été exposées au tétanos mais ne sont pas encore symptomatiques, dans le but de prévenir l'apparition de la maladie.

Il est important de noter que l'antitoxine tétanique ne traite pas l'infection elle-même, qui doit être traitée avec des antibiotiques et une intervention chirurgicale si nécessaire pour éliminer la source de l'infection.

La "cross-protection" en médecine et en immunologie fait référence à la protection contre des souches ou des agents pathogènes légèrement différents de celui qui a initialement déclenché la réponse immunitaire. Cela se produit lorsque le système immunitaire est capable de reconnaître et de combattre des épitopes similaires ou croisés partagés par ces souches ou agents pathogènes apparentés. Ce phénomène est important dans la conception de vaccins, car il permet de protéger contre plusieurs souches d'un même agent pathogène avec un seul vaccin. Toutefois, il est crucial de noter que la protection croisée n'est pas toujours garantie et peut varier en fonction des similitudes entre les épitopes des différentes souches.

Balb C est une souche inbred de souris de laboratoire largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces souris sont appelées ainsi en raison de leur lieu d'origine, le laboratoire de l'Université de Berkeley, où elles ont été développées à l'origine.

Les souries Balb C sont connues pour leur système immunitaire particulier. Elles présentent une réponse immune Th2 dominante, ce qui signifie qu'elles sont plus susceptibles de développer des réponses allergiques et asthmatiformes. En outre, elles ont également tendance à être plus sensibles à certains types de tumeurs que d'autres souches de souris.

Ces caractéristiques immunitaires uniques en font un modèle idéal pour étudier diverses affections, y compris les maladies auto-immunes, l'asthme et le cancer. De plus, comme elles sont inbredées, c'est-à-dire que chaque souris de cette souche est génétiquement identique à toutes les autres, elles offrent une base cohérente pour la recherche expérimentale.

Cependant, il est important de noter que les résultats obtenus sur des modèles animaux comme les souris Balb C peuvent ne pas toujours se traduire directement chez l'homme en raison des différences fondamentales entre les espèces.

Un vaccin antihépatite B est un type de vaccin utilisé pour prévenir les infections par le virus de l'hépatite B. Il fonctionne en exposant le système immunitaire à une petite quantité d'une protéine de surface du virus de l'hépatite B, ce qui permet au système immunitaire de développer une réponse immunitaire et de créer des anticorps contre le virus.

Le vaccin est généralement administré par injection dans un muscle, en trois doses sur une période de six mois. Il est considéré comme sûr et efficace pour prévenir l'hépatite B, qui peut entraîner des maladies graves du foie telles que la cirrhose et le cancer du foie.

Le vaccin antihépatite B est recommandé pour tous les nourrissons dès leur naissance, ainsi que pour les enfants et les adultes à risque élevé d'exposition au virus de l'hépatite B, tels que ceux qui ont des relations sexuelles avec plusieurs partenaires, ceux qui utilisent des drogues injectables, ceux qui sont nés de mères infectées par le virus de l'hépatite B, et ceux qui travaillent dans des professions à risque élevé, telles que les professionnels de la santé.

Les programmes d'immunisation, également appelés programmes de vaccination, sont des initiatives de santé publique conçues pour promouvoir et fournir des vaccins systématiques à une population donnée dans le but de prévenir la propagation des maladies infectieuses évitables par la vaccination. Ces programmes sont généralement mis en œuvre par les gouvernements, en collaboration avec les organismes de santé internationaux et les prestataires de soins de santé, et visent à assurer une couverture vaccinale adéquate et équitable dans l'ensemble de la population.

Les programmes d'immunisation comprennent souvent des calendriers recommandés pour l'administration des vaccins, en fonction de l'âge et du statut de santé de l'individu, ainsi que des stratégies pour atteindre les populations mal desservies ou difficiles à atteindre. Ils peuvent également inclure des efforts de sensibilisation et d'éducation du public, des systèmes de surveillance et de notification des événements indésirables, ainsi que des programmes de suivi et de rappel pour assurer la complétion des séries de vaccins.

Les programmes d'immunisation ont contribué à éradiquer ou à contrôler efficacement un certain nombre de maladies infectieuses graves, telles que la variole, la poliomyélite et la rougeole, et continuent de jouer un rôle crucial dans la protection de la santé publique.

Un vaccin antivariolique, également connu sous le nom de vaccin contre la variole, est un vaccin utilisé pour prévenir la variole, une maladie infectieuse causée par le virus variola. Le vaccin contient une forme atténuée du virus variola, qui ne provoque pas la maladie mais stimule néanmoins le système immunitaire à développer une réponse immunitaire protectrice contre l'infection.

La vaccination contre la variole a été largement utilisée dans le monde entier pendant de nombreuses années et a finalement conduit à l'éradication mondiale de la maladie en 1980. Bien que la variole ne soit plus considérée comme une menace pour la santé publique, certaines personnes peuvent encore recevoir le vaccin pour des raisons de recherche ou de protection contre une exposition accidentelle au virus variola.

Les effets secondaires courants du vaccin antivariolique comprennent une rougeur, une douleur et un gonflement au site d'injection, ainsi qu'une fièvre légère et des douleurs musculaires. Dans de rares cas, le vaccin peut provoquer des réactions plus graves, telles que la maladie du vaccin (une forme atténuée de la variole) ou une inflammation du cerveau (encéphalite).

Il est important de noter que le vaccin antivariolique n'est pas disponible dans le commerce général et ne doit être administré que sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié.

L'antitoxine diphtérique est un type de sérum thérapeutique utilisé pour traiter les infections causées par la bactérie Corynebacterium diphtheriae. Cette antitoxine est dérivée du sang d'animaux, tels que des chevaux, qui ont été immunisés contre la diphtérie. Lorsque l'antitoxine est administrée à un humain infecté par la bactérie diphtérique, elle agit en neutralisant la toxine produite par la bactérie, ce qui aide à prévenir les complications graves de la maladie, telles que l'inflammation du cœur et des voies respiratoires supérieures.

L'utilisation de l'antitoxine diphtérique est réservée aux cas graves de diphtérie confirmés en laboratoire ou fortement suspectés, car elle peut entraîner des effets indésirables graves tels que des réactions allergiques et une anaphylaxie. Par conséquent, son utilisation doit être supervisée par un médecin expérimenté dans le traitement de la diphtérie.

Il est important de noter que l'antitoxine diphtérique ne protège pas contre l'infection elle-même ; elle ne fait qu'empêcher les effets toxiques de la bactérie. Par conséquent, il est essentiel de prévenir la diphtérie grâce à la vaccination, qui confère une immunité active contre la maladie.

Le vaccin BCG (Bacille Calmette-Guérin) est un vaccin vivant atténué utilisé pour prévenir la tuberculose. Il est nommé d'après ses créateurs, Albert Calmette et Camille Guérin, qui ont développé le vaccin en 1921. Le vaccin BCG contient une souche vivante affaiblie de Mycobacterium bovis, une bactérie apparentée à la Mycobacterium tuberculosis qui cause la tuberculose chez l'homme.

Le vaccin BCG est administré par injection sous la peau (voie intradermique). Il agit en exposant le système immunitaire aux antigènes de la bactérie affaiblie, ce qui permet au corps de développer une réponse immunitaire protectrice contre la tuberculose. Cependant, il convient de noter que la protection offerte par le vaccin BCG n'est pas complète et peut varier en fonction du type de souche utilisée dans le vaccin et des caractéristiques de l'individu vacciné.

Le vaccin BCG est largement utilisé dans les pays où la tuberculose est fréquente, en particulier chez les nourrissons et les jeunes enfants. Cependant, il n'est pas recommandé pour une utilisation généralisée dans les pays à faible prévalence de tuberculose, comme les États-Unis, car la maladie est relativement rare et le vaccin peut provoquer des réactions cutanées chez certaines personnes. De plus, le vaccin BCG peut compliquer le diagnostic de la tuberculose en raison de sa capacité à induire une réaction positive au test cutané à la tuberculine (TST).

En général, le vaccin BCG est considéré comme sûr et bien toléré, bien que des effets secondaires locaux tels qu'une rougeur, un gonflement ou une induration au site d'injection puissent survenir. Des réactions systémiques telles que la fièvre, les ganglions lymphatiques enflés et la fatigue sont également possibles mais rares. Dans de très rares cas, des complications graves telles qu'une infection bactérienne ou une inflammation du cerveau (encéphalite) peuvent survenir après la vaccination BCG.

La formation d'anticorps est un processus crucial du système immunitaire dans la réponse adaptative contre les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries, les virus et les toxines. Un anticorps, également connu sous le nom d'immunoglobuline (Ig), est une protéine spécialisée produite par les lymphocytes B activés en réponse à un antigène spécifique.

Le processus de formation d'anticorps commence lorsqu'un antigène pénètre dans l'organisme et se lie aux récepteurs des lymphocytes B spécifiques, entraînant leur activation et leur différenciation en plasmocytes. Ces plasmocytes sécrètent alors des quantités massives d'anticorps identiques à ces récepteurs de lymphocytes B initiaux.

Les anticorps se lient aux épitopes (régions spécifiques) des antigènes, ce qui entraîne une neutralisation directe de leur activité biologique ou marque ces complexes pour être éliminés par d'autres mécanismes immunitaires. Les anticorps peuvent également activer le système du complément et faciliter la phagocytose, ce qui contribue à l'élimination des agents pathogènes.

La formation d'anticorps est une caractéristique clé de l'immunité humorale et joue un rôle essentiel dans la protection contre les réinfections en fournissant une mémoire immunologique. Les anticorps produits pendant la première exposition à un agent pathogène offrent une protection accrue lors d'expositions ultérieures, ce qui permet au système immunitaire de répondre plus rapidement et plus efficacement aux menaces répétées.

Les vaccins antirabiques sont des vaccins utilisés pour prévenir la rage, une maladie virale mortelle qui affecte le système nerveux central des mammifères. Le virus de la rage est généralement transmis à l'homme par une morsure ou une griffure d'un animal infecté.

Les vaccins antirabiques contiennent des particules du virus de la rage qui ont été inactivées ou atténuées, ce qui signifie qu'elles ne peuvent pas causer la maladie mais sont toujours capables de stimuler une réponse immunitaire protectrice.

La vaccination contre la rage est recommandée pour les personnes à haut risque d'exposition au virus de la rage, telles que les vétérinaires, les travailleurs des services de santé animale, les chercheurs travaillant avec le virus de la rage, les voyageurs se rendant dans des régions où la rage est courante, et les personnes qui ont été mordues ou griffées par un animal suspecté d'avoir la rage.

La vaccination contre la rage nécessite généralement une série de trois injections administrées sur une période de 28 jours. Les personnes qui ont été exposées au virus de la rage et qui n'ont pas été préalablement vaccinées doivent également recevoir une dose supplémentaire d'immunoglobuline antirabique pour fournir une protection immédiate contre l'infection.

L'immunité cellulaire, également connue sous le nom d'immunité à médiation cellulaire, est un type important de réponse immunitaire adaptative qui aide à protéger l'organisme contre les infections et les tumeurs. Elle est médiée principalement par des cellules telles que les lymphocytes T (y compris les lymphocytes T CD4+ et les lymphocytes T CD8+) et les cellules Natural Killer (NK).

Les lymphocytes T CD4+, également appelés cellules helper T, aident à coordonner la réponse immunitaire en sécrétant des cytokines qui activent d'autres cellules du système immunitaire. Ils peuvent aussi directement tuer certaines cellules infectées ou cancéreuses en les liant à leur surface et en libérant des substances toxiques.

Les lymphocytes T CD8+, également appelés cellules cytotoxiques T, sont spécialisés dans la destruction des cellules infectées ou cancéreuses. Ils reconnaissent et se lient aux protéines présentées à leur surface par les cellules infectées ou cancéreuses, puis libèrent des substances toxiques pour tuer ces cellules.

Les cellules Natural Killer (NK) sont des lymphocytes qui peuvent détecter et éliminer les cellules anormales sans nécessiter de présentation antigénique préalable. Elles jouent un rôle crucial dans la défense contre les virus, les bactéries intracellulaires et les tumeurs.

L'immunité cellulaire est essentielle pour éliminer les agents pathogènes qui peuvent se cacher à l'intérieur des cellules ou présenter une résistance aux mécanismes de l'immunité humorale (basée sur les anticorps). Elle joue également un rôle important dans la reconnaissance et l'élimination des cellules cancéreuses.

Les protéines de la membrane externe bactérienne se réfèrent à des protéines spécifiques qui sont intégrées dans la membrane externe de certaines bactéries gram-négatives. La membrane externe est une structure unique à ces bactéries, séparée de la membrane cytoplasmique par une région intermédiaire appelée le périplasme.

Les protéines de la membrane externe jouent un rôle crucial dans la survie et la pathogénicité des bactéries. Elles sont souvent impliquées dans des processus tels que l'adhésion à des surfaces, la formation de biofilms, la résistance aux antibiotiques, la lyse de cellules hôtes, et le transport de nutriments.

Les protéines les plus abondantes de la membrane externe bactérienne sont appelées protéines de porine. Elles forment des canaux qui permettent le passage de molécules hydrophiles à travers la membrane externe. D'autres protéines de la membrane externe, telles que les lipoprotéines et les protéines d'ancrage, sont ancrées dans la membrane et jouent des rôles structurels ou enzymatiques spécifiques.

La composition et la fonction des protéines de la membrane externe peuvent varier considérablement selon le type de bactérie. Cependant, leur étude est importante pour comprendre la physiologie bactérienne et pour développer de nouvelles stratégies thérapeutiques contre les infections bactériennes.

Les vaccins anti-rotavirus sont des vaccins utilisés pour prévenir les infections à rotavirus, qui sont la cause la plus fréquente de diarrhée sévère et de déshydratation chez les nourrissons et les jeunes enfants dans le monde. Les rotavirus se transmettent principalement par voie fécale-orale, ce qui signifie qu'ils peuvent être contractés en ingérant des particules virales présentes dans des matières fécales.

Les vaccins anti-rotavirus sont généralement administrés par voie orale et contiennent des souches vivantes atténuées du virus. Ils fonctionnent en exposant le système immunitaire de l'enfant au virus affaibli, ce qui permet à son corps de développer une réponse immunitaire protectrice contre les rotavirus sans causer de maladie grave.

Les deux vaccins anti-rotavirus actuellement disponibles sont le Rotarix et le RotaTeq. Le Rotarix est un vaccin à dose unique qui contient une souche vivante atténuée du rotavirus humain, tandis que le RotaTeq est un vaccin à trois doses qui contient cinq souches vivantes atténuées de rotavirus humains et bovins.

Les vaccins anti-rotavirus sont recommandés pour tous les nourrissons dans les pays où ils sont disponibles, avec des doses administrées à l'âge de 2 mois, 4 mois et 6 mois pour le RotaTeq, et à l'âge de 2 mois et 4 mois pour le Rotarix. Les vaccins ont démontré une efficacité élevée dans la prévention des infections graves à rotavirus et des hospitalisations associées.

La toxine adénylate cyclase est une protéine hautement toxique produite par certaines bactéries, telles que Bacillus anthracis (anthrax), Bordetella pertussis (coqueluche) et Pseudomonas aeruginosa. Il s'agit d'une enzyme qui, une fois internalisée dans une cellule, est capable d'augmenter considérablement les niveaux de second messager intracellulaire appelé AMP cyclique (cAMP). Cela se produit lorsque la toxine catalyse la conversion de l'ATP en cAMP, entraînant une perturbation des processus cellulaires et finalement la mort de la cellule.

L'activité de la toxine adénylate cyclase est divisée en deux domaines fonctionnels distincts : le domaine d'ancrage et le domaine catalytique. Le domaine d'ancrage permet à la toxine de se lier à la membrane cellulaire et de faciliter son internalisation dans la cellule. Une fois à l'intérieur de la cellule, le domaine catalytique est capable d'augmenter les niveaux de cAMP en convertissant l'ATP en cAMP, entraînant une variété d'effets toxiques sur la cellule hôte.

L'activation de la toxine adénylate cyclase nécessite souvent la présence d'une autre protéine bactérienne, appelée facteur d'activation ou d'édition. Ce facteur est requis pour activer le domaine catalytique de la toxine et permettre l'augmentation des niveaux de cAMP à l'intérieur de la cellule.

Les effets de la toxine adénylate cyclase sur les cellules hôtes peuvent inclure une variété de processus pathologiques, tels que l'inflammation, la désorganisation des jonctions intercellulaires et la cytotoxicité directe. En comprenant le fonctionnement de cette toxine, il est possible de développer des stratégies pour contrer ses effets et traiter les maladies associées à son activité.

Les vaccins anticholériques sont des vaccins utilisés pour prévenir la maladie du choléra, qui est causée par la bactérie Vibrio cholerae. Il existe deux types de vaccins anticholériques actuellement disponibles :

1. Le vaccin oral inactivé (Dukoral) : Ce vaccin contient des particules entières de la souche inactivée du vibrion cholérique et est administré par voie orale. Il offre une protection contre les sérotypes O1 de Vibrio cholerae, qui sont responsables de la majorité des épidémies de choléra dans le monde. Le vaccin est généralement administré en deux doses, avec un intervalle d'une à six semaines entre chaque dose.
2. Le vaccin injectable inactivé (Shanchol) : Ce vaccin contient des particules entières de souches inactivées des sérotypes O1 et O139 du vibrion cholérique. Il est administré par injection intramusculaire et nécessite deux doses, avec un intervalle d'au moins deux semaines entre chaque dose.

Les vaccins anticholériques sont recommandés pour les personnes qui voyagent dans des zones où le choléra est fréquent ou endémique, en particulier si elles prévoient de séjourner dans des conditions sanitaires précaires ou d'avoir un contact étroit avec la population locale. Ils peuvent également être recommandés pour les professionnels de santé et les travailleurs humanitaires qui travaillent dans ces zones.

Il convient de noter que les vaccins anticholériques ne offrent pas une protection complète contre le choléra, mais ils peuvent réduire le risque d'infection et les symptômes graves de la maladie. Il est donc important de continuer à prendre des précautions pour éviter l'exposition au vibrion cholérique, telles que boire de l'eau potable et se laver soigneusement les mains avant de manger ou de préparer des aliments.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre question. Le terme "United States" fait référence à un pays, pas à un concept médical ou anatomique. Il s'agit de la République fédérale composée de 50 États et d'autres territoires, situés en Amérique du Nord. Si vous cherchez des informations sur une condition médicale ou un terme anatomique, je serais heureux de vous aider avec cela.

Les vaccins antitypho-paratyphoïdiques sont des vaccins conçus pour prévenir les infections causées par les bactéries Salmonella Paratyphi et Salmonella Typhi, qui sont responsables de la fièvre typhoïde et de la fièvre paratyphoïde. Ces maladies peuvent entraîner une forte fièvre, des maux de tête, des nausées, des vomissements, une fatigue extrême, une perte d'appétit, une douleur abdominale, une diarrhée ou une constipation, et dans les cas graves, elles peuvent être mortelles.

Les vaccins antitypho-paratyphoïdiques sont généralement administrés par injection ou par voie orale. Ils fonctionnent en exposant le système immunitaire à une forme affaiblie ou inactivée de la bactérie, ce qui permet au corps de développer une immunité contre l'infection sans tomber malade. Les vaccins offrent une protection partielle contre ces infections et leur efficacité peut varier.

Il existe plusieurs types de vaccins antitypho-paratyphoïdiques, y compris les vaccins à virus tués et les vaccins vivants atténués. Les vaccins à virus tués contiennent des bactéries tuées qui ne peuvent pas se multiplier dans le corps, mais qui peuvent encore déclencher une réponse immunitaire. Les vaccins vivants atténués contiennent des bactéries vivantes qui ont été affaiblies de sorte qu'elles ne peuvent pas causer la maladie, mais elles peuvent toujours se multiplier et déclencher une réponse immunitaire.

Les vaccins antitypho-paratyphoïdiques sont souvent recommandés pour les personnes qui voyagent dans des régions où ces infections sont fréquentes, ainsi que pour les professionnels de la santé et les travailleurs alimentaires qui courent un risque accru d'exposition. Ils peuvent être administrés seuls ou en combinaison avec d'autres vaccins.

L'aluminium est un métal argenté, léger et mou qui est abondant dans la croûte terrestre. Il n'a pas de rôle connu dans le corps humain et il est considéré comme un élément non essentiel. Cependant, l'exposition à des niveaux élevés d'aluminium peut être toxique pour les êtres humains.

L'aluminium est souvent utilisé dans la fabrication de produits industriels et de consommation courante tels que les ustensiles de cuisine, les emballages alimentaires, les vaccins et certains médicaments. Cependant, l'exposition à des niveaux élevés d'aluminium peut entraîner une accumulation dans le cerveau et d'autres organes, ce qui peut causer des problèmes de santé tels que la démence, les troubles de la mémoire, l'anxiété, la dépression et les problèmes de coordination musculaire.

Les niveaux élevés d'aluminium peuvent provenir de diverses sources, notamment :

* L'eau potable contaminée par des sels d'aluminium utilisés pour traiter l'eau
* Les aliments cuits dans des ustensiles en aluminium ou emballés dans de l'aluminium
* Les vaccins qui contiennent de l'aluminium comme adjuvant
* Certains médicaments, tels que les antacides et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), qui peuvent contenir de l'aluminium
* L'exposition professionnelle à des poussières ou des vapeurs d'aluminium dans certaines industries.

Il est important de limiter l'exposition à l'aluminium autant que possible pour prévenir les effets néfastes sur la santé. Les personnes atteintes de maladies rénales ou hépatiques peuvent être plus sensibles aux effets toxiques de l'aluminium et doivent donc faire particulièrement attention à limiter leur exposition.

Le vaccin antivariolique, également connu sous le nom de vaccin contre la variole, est un vaccin utilisé pour prévenir l'infection par le virus de la variole. Il contient une forme affaiblie du virus de la vaccine, qui est lié mais moins virulent que le virus de la variole. Lorsqu'il est administré, le vaccin stimule le système immunitaire à développer une réponse immunitaire contre le virus de la vaccine, ce qui offre également une protection contre le virus de la variole.

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré la variole éradiquée en 1980, grâce à un programme mondial de vaccination systématique et à des efforts de santé publique intenses. Depuis lors, l'utilisation du vaccin antivariolique est limitée à des fins de recherche et de surveillance, ainsi qu'à la protection des travailleurs de la santé qui pourraient être exposés au virus de la variole dans des laboratoires ou dans le cadre d'une réponse à une éventuelle fuite ou utilisation malveillante du virus.

Les anticorps antiviraux sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à une infection virale. Ils sont spécifiquement conçus pour se lier à des parties spécifiques du virus, appelées antigènes, et les neutraliser, empêchant ainsi le virus de pénétrer dans les cellules saines et de se répliquer.

Les anticorps antiviraux peuvent être détectés dans le sang plusieurs jours après l'infection et sont souvent utilisés comme marqueurs pour diagnostiquer une infection virale. Ils peuvent également fournir une protection immunitaire à long terme contre une réinfection par le même virus, ce qui est important pour le développement de vaccins efficaces.

Certaines thérapies antivirales comprennent des anticorps monoclonaux, qui sont des anticorps artificiels créés en laboratoire pour imiter les anticorps naturels produits par l'organisme. Ces anticorps monoclonaux peuvent être utilisés comme traitement contre certaines infections virales graves, telles que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de l'hépatite C.

'Haemophilus Influenzae Type B' (Hib) est une bactérie gram-négative qui peut causer une variété de maladies infectieuses, y compris la méningite, l'épiglottite, la pneumonie, et la septicémie. Ces infections peuvent survenir chez les personnes de tous âges, mais elles sont particulièrement fréquentes et graves chez les jeunes enfants de moins de cinq ans.

La bactérie Hib colonise habituellement la gorge et le nez sans causer de maladie, mais elle peut parfois pénétrer dans d'autres parties du corps et entraîner une infection grave. Les symptômes dépendent du type d'infection, mais peuvent inclure de la fièvre, des frissons, des maux de tête, des nausées, des vomissements, une raideur de la nuque, une respiration difficile, et une toux.

Avant l'introduction du vaccin contre Hib dans les années 1980, l'infection à Hib était la principale cause de méningite bactérienne chez les enfants de moins de cinq ans aux États-Unis. Depuis lors, l'incidence de cette maladie a considérablement diminué grâce à la vaccination généralisée des nourrissons.

Le vaccin contre Hib est généralement administré à partir de deux mois et jusqu'à 15 mois, en fonction du calendrier de vaccination recommandé dans chaque pays. Il est important de suivre les recommandations de vaccination pour protéger les enfants contre cette maladie grave et évitable.

Je suppose que vous recherchez des définitions ou des informations sur les académies et les instituts dans le contexte médical. Les académies et les instituts sont généralement des organisations dédiées à la promotion de l'éducation, de la recherche et de la pratique dans un domaine particulier des sciences de la santé. Ils peuvent être indépendants ou affiliés à une université, un hôpital ou un autre établissement de santé.

Voici quelques exemples d'académies et d'instituts médicaux bien connus :

1. Académie nationale de médecine (États-Unis) : Il s'agit d'une organisation indépendante à but non lucratif qui vise à améliorer la santé des personnes aux États-Unis en fournissant des conseils et des recommandations fondés sur des preuves dans les domaines de la médecine, de la santé publique, de la politique de santé et des sciences biomédicales.

2. Institut national de la santé (États-Unis) : Il s'agit d'un institut de recherche médicale financé par le gouvernement fédéral américain qui se consacre à la recherche sur les maladies humaines et aux sciences de la santé connexes. L'INSERM est l'équivalent français de cet institut.

3. Institut national du cancer (États-Unis) : Il s'agit d'un institut de recherche médicale financé par le gouvernement fédéral américain qui se consacre à la recherche sur le cancer et aux sciences de la santé connexes. L'INCa est l'équivalent français de cet institut.

4. Académie nationale de médecine de France : Il s'agit d'une organisation indépendante à but non lucratif qui vise à promouvoir l'excellence dans la pratique médicale, la recherche et l'enseignement en France.

5. Institut Pasteur : Il s'agit d'un institut de recherche médicale français qui se consacre à la recherche sur les maladies infectieuses et les vaccins.

6. Collège royal des médecins : Il s'agit d'une organisation professionnelle britannique qui vise à promouvoir l'excellence dans la pratique médicale, la recherche et l'enseignement au Royaume-Uni.

7. Institut national de la santé et de la recherche médicale (France) : Il s'agit d'un institut de recherche médicale financé par le gouvernement français qui se consacre à la recherche sur les maladies humaines et aux sciences de la santé connexes.

8. Institut Max Planck pour la biologie du vieillissement (Allemagne) : Il s'agit d'un institut de recherche allemand qui se consacre à l'étude des mécanismes du vieillissement et des maladies liées au vieillissement.

9. Université médicale de Vienne (Autriche) : Il s'agit d'une université autrichienne qui se consacre à la formation et à la recherche en médecine.

10. Institut Karolinska (Suède) : Il s'agit d'un institut de recherche suédois qui se consacre à la recherche sur les maladies humaines et aux sciences de la santé connexes.

Les vaccins antituberculeux sont des préparations biologiques utilisées pour prévenir la tuberculose, une maladie infectieuse causée par le bacille Mycobacterium tuberculosis. Le vaccin le plus couramment utilisé est le BCG (Bacillus Calmette-Guérin). Il est composé d'une souche vivante atténuée de Mycobacterium bovis.

Le vaccin BCG est administré par injection sous la peau et provoque une réaction immunitaire qui offre une protection contre certaines formes graves de tuberculose, en particulier chez les jeunes enfants. Cependant, il ne prévient pas complètement l'infection par le bacille de la tuberculose et ne remplace pas les mesures de contrôle de l'infection, telles que la détection et le traitement précoce des cas de tuberculose.

Il convient de noter que l'utilisation du vaccin BCG varie considérablement dans le monde, en fonction de l'incidence de la tuberculose dans chaque pays. Dans certains pays où l'incidence est élevée, le vaccin est administré à tous les nouveau-nés, tandis que dans d'autres pays où l'incidence est plus faible, il n'est administré qu'aux personnes présentant un risque accru d'exposition ou de maladie.

Un vaccin contre la varicelle est un agent d'immunisation qui contient un virus vivant affaibli (ou atténué) de la varicelle-zona, également connue sous le nom de virus varicelle-zoster. Le vaccin est utilisé pour prévenir la varicelle, une infection virale hautement contagieuse qui provoque une éruption cutanée caractérisée par des vésicules prurigineuses et des croûtes.

Il existe deux types de vaccins contre la varicelle approuvés aux États-Unis : le vaccin contre la varicelle vivant atténué (VAR) et le vaccin combiné contre la rougeole, les oreillons, la rubéole et la varicelle (MMRV). Le vaccin VAR est généralement administré en deux doses, à 12-15 mois et à 4-6 ans. Le MMRV est généralement administré en deux doses, à 12-15 mois et à 4-6 ans également, mais il peut être utilisé pour la première dose chez les enfants âgés de 12 mois à 12 ans.

Le vaccin contre la varicelle est efficace pour prévenir la maladie dans environ 90% des cas après une dose et dans plus de 95% des cas après deux doses. Les effets secondaires courants du vaccin comprennent une douleur ou une rougeur au site d'injection, une fièvre légère et une éruption cutanée bénigne qui ressemble à la varicelle dans environ 5% des cas après la première dose.

Bien que le vaccin contre la varicelle soit très efficace pour prévenir la maladie, il ne peut pas éliminer complètement le risque d'infection. Certaines personnes qui ont été vaccinées peuvent toujours contracter une forme légère de la varicelle, mais les symptômes sont généralement moins graves que chez les personnes qui n'ont pas été vaccinées.

Un vaccin anti-ourlien, également connu sous le nom de vaccin contre la varicelle, est un vaccin vivant atténué utilisé pour prévenir l'infection par le virus de la varicelle-zona (VZV). Il contient une forme affaiblie du virus qui stimule une réponse immunitaire protectrice sans causer la maladie.

Le vaccin est généralement administré en deux doses, la première dose étant donnée entre l'âge de 12 et 15 mois et la deuxième dose entre les âges de 4 et 6 ans. Il peut également être administré à des personnes de tout âge qui n'ont pas eu la varicelle ou qui n'ont pas été vaccinées auparavant, en fonction de leur état de santé et de leur exposition potentielle au virus.

Le vaccin anti-ourlien est considéré comme sûr et efficace pour prévenir la varicelle, qui peut être une maladie grave et compliquée chez les personnes ayant un système immunitaire affaibli, les femmes enceintes et les nouveau-nés. Les effets secondaires courants du vaccin comprennent une douleur ou une rougeur au site d'injection, une légère fièvre et une éruption cutanée bénigne qui ressemble à la varicelle.

ELISA est l'acronyme pour "Enzyme-Linked Immunosorbent Assay". Il s'agit d'un test immunologique quantitatif utilisé en médecine et en biologie moléculaire pour détecter et mesurer la présence d'une substance antigénique spécifique, telle qu'un anticorps ou une protéine, dans un échantillon de sang ou d'autres fluides corporels.

Le test ELISA fonctionne en liant l'antigène ciblé à une plaque de wells, qui est ensuite exposée à des anticorps marqués avec une enzyme spécifique. Si l'antigène ciblé est présent dans l'échantillon, les anticorps se lieront à l'antigène et formeront un complexe immun. Un substrat pour l'enzyme est ensuite ajouté, ce qui entraîne une réaction enzymatique qui produit un signal colorimétrique ou luminescent détectable.

L'intensité du signal est directement proportionnelle à la quantité d'antigène présente dans l'échantillon, ce qui permet de mesurer la concentration de l'antigène avec une grande précision et sensibilité. Les tests ELISA sont largement utilisés pour le diagnostic de diverses maladies infectieuses, y compris les infections virales telles que le VIH, l'hépatite B et C, et la syphilis, ainsi que pour la détection d'allergènes et de marqueurs tumoraux.

Les vaccins antihépatite A sont des préparations biologiques conçues pour fournir une immunisation active contre l'hépatite A, une infection du foie causée par le virus de l'hépatite A (VHA). Ils contiennent généralement des formes inactivées ou affaiblies du virus qui stimulent le système immunitaire à produire des anticorps protecteurs sans provoquer la maladie.

Les vaccins antihépatite A sont généralement administrés en deux doses, avec un intervalle de six à douze mois entre les injections. Ils offrent une protection efficace contre l'hépatite A chez environ 95% des personnes vaccinées et cette protection peut durer jusqu'à 20 ans ou plus.

Les groupes recommandés pour la vaccination contre l'hépatite A comprennent les enfants vivant dans des zones où l'hépatite A est fréquente, les personnes atteintes de maladies chronliques du foie, les utilisateurs de drogues injectables, les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, les voyageurs se rendant dans des régions où l'hépatite A est courante, et les personnes qui pourraient avoir été exposées au virus.

Les effets secondaires courants du vaccin antihépatite A comprennent la douleur, l'enflure et la rougeur au site d'injection, ainsi que des symptômes généraux tels que la fatigue, les maux de tête et les douleurs musculaires. Ces effets secondaires sont généralement légers et disparaissent en quelques jours.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

La United States Food and Drug Administration (FDA) est l'autorité réglementaire responsable de la protection et de la promotion de la santé publique aux États-Unis en assurant la réglementation et la supervision des aliments, des médicaments, des dispositifs médicaux, des produits cosmétiques, des compléments alimentaires et des radiations émettrices. La FDA est une agence du département américain de la Santé et des Services sociaux et est dirigée par un commissaire nommé par le président et confirmé par le Sénat.

Les principales responsabilités de la FDA incluent l'examen et l'approbation des demandes de nouveaux médicaments, y compris les thérapies géniques et les produits biologiques ; inspection des installations alimentaires, pharmaceutiques et de dispositifs médicaux pour assurer la conformité aux normes de sécurité et de qualité ; établissement et application de normes pour les additifs alimentaires, les colorants et les contaminants ; surveillance et réglementation des produits du tabac ; et fournir des informations et des conseils au public sur les risques pour la santé liés aux produits qu'elle réglemente.

La FDA travaille en étroite collaboration avec d'autres agences fédérales, étatiques et locales, ainsi qu'avec des partenaires internationaux, pour promouvoir la sécurité et l'innocuité de la chaîne d'approvisionnement alimentaire et pharmaceutique mondiale.

Le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) est un vaccin combiné qui protège contre trois maladies virales évitables par la vaccination : la rougeole, les oreillons et la rubéole. Il est généralement administré par injection dans le bras.

Le vaccin ROR contient des versions affaiblies des virus qui causent ces maladies. Lorsque le vaccin est administré, le système immunitaire de l'organisme est exposé aux virus affaiblis, ce qui permet au système immunitaire de produire une réponse immunitaire et de créer des anticorps pour se protéger contre ces maladies.

Le vaccin ROR est recommandé pour les enfants dès l'âge de 12 mois, avec une dose de rappel administrée avant l'entrée à l'école (généralement vers l'âge de 4 à 6 ans). Les doses doivent être espacées d'au moins 4 semaines.

Il est important de se faire vacciner contre la rougeole, les oreillons et la rubéole pour prévenir la propagation de ces maladies et protéger les personnes qui ne peuvent pas être vaccinées en raison de problèmes de santé sous-jacents. La rougeole, en particulier, peut être une maladie grave et même mortelle chez certaines personnes, en particulier les nourrissons et les jeunes enfants, ainsi que les personnes dont le système immunitaire est affaibli.

Une épidémie de maladie, également appelée outbreak en anglais, est un événement dans lequel une maladie infectieuse se produit soudainement et de manière inattendue dans une population donnée à des taux supérieurs aux normales attendues. Pour qu'un événement soit qualifié d'épidémie, il doit y avoir un nombre accru de cas liés dans le temps et l'espace. Les épidémies peuvent être causées par des agents pathogènes nouveaux ou existants et peuvent survenir lorsque les conditions favorisent la transmission de ces agents.

Les facteurs qui peuvent contribuer à une épidémie comprennent les déplacements internationaux, les changements climatiques, les catastrophes naturelles, les conflits armés et les effondrements des systèmes de santé publique. Les épidémies peuvent être localisées dans une communauté ou une région spécifique, ou elles peuvent se propager à d'autres régions ou pays, devenant ainsi une pandémie.

Les professionnels de la santé publique travaillent activement à prévenir et à contrôler les épidémies en surveillant les maladies infectieuses, en identifiant rapidement les cas et les clusters de cas, en mettant en œuvre des mesures d'intervention rapides pour arrêter la propagation de l'agent pathogène et en fournissant des soins aux personnes touchées.

Les vaccins anti-streptocoques sont des vaccins conçus pour prévenir les infections causées par le streptocoque du groupe A, une bactérie responsable d'une variété de maladies allant des infections cutanées mineures aux affections graves telles que la scarlatine, la fasciite nécrosante et le rhumatisme articulaire aigu.

Il existe deux types principaux de vaccins anti-streptocoques :

1. Vaccin contre le streptococcus pyogenes : Ce vaccin contient des antigènes de la bactérie streptococcus pyogenes et est conçu pour prévenir les infections cutanées et les pharyngites (angines) dues à cette bactérie. Il est souvent utilisé dans les populations à haut risque, telles que les personnes atteintes de maladies cardiaques ou rénales chroniques.

2. Vaccin contre le rhumatisme articulaire aigu (RAA) : Ce vaccin est conçu pour prévenir le rhumatisme articulaire aigu, une complication rare mais grave de l'infection streptococcique. Il contient des antigènes qui stimulent la production d'anticorps contre les toxines produites par la bactérie streptococcus pyogenes. Ce vaccin est utilisé dans certaines régions où le rhumatisme articulaire aigu est encore courant, comme dans certains pays en développement.

Il convient de noter que ces vaccins ne sont pas largement utilisés dans la population générale et sont généralement réservés aux personnes à haut risque d'infections streptococciques graves ou de complications liées au rhumatisme articulaire aigu.

Les vaccins atténués, également connus sous le nom de vaccins vivants atténués, sont un type de vaccin qui contient une version affaiblie d'un agent pathogène (virus, bacteria) capable de provoquer une maladie. Ces vaccins sont conçus pour stimuler une réponse immunitaire protectrice sans causer la maladie elle-même.

Pour produire des vaccins atténués, les agents pathogènes sont d'abord isolés à partir de patients ou d'animaux infectés, puis cultivés en laboratoire. À l'aide de diverses techniques, les micro-organismes sont affaiblis ou atténués, ce qui signifie qu'ils ont perdu leur capacité à provoquer une maladie grave tout en conservant la capacité de se répliquer dans l'organisme hôte.

Lorsqu'une personne reçoit un vaccin atténué, son système immunitaire reconnaît le micro-organisme affaibli comme une menace potentielle et monte une réponse immunitaire pour l'éliminer. Ce processus implique la production d'anticorps et l'activation de cellules T spécifiques à l'antigène, qui resteront en mémoire après la vaccination. Si la personne est exposée plus tard au micro-organisme sauvage, son système immunitaire sera prêt à le combattre rapidement et efficacement, offrant ainsi une protection contre la maladie.

Les vaccins atténués sont couramment utilisés pour prévenir diverses maladies infectieuses telles que la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle, la tuberculose et la poliomyélite. Cependant, ils peuvent ne pas être recommandés pour certaines personnes présentant un système immunitaire affaibli ou des problèmes de santé sous-jacents, car il existe un risque théorique que les micro-organismes atténués puissent se multiplier et provoquer une maladie.

La méthode double insu, également connue sous le nom de randomisation double-aveugle, est un type de conception d'étude clinique utilisé dans la recherche médicale pour minimiser les biais et améliorer l'objectivité des résultats. Dans cette méthode, ni le participant à l'étude ni l'investigateur ne savent quel traitement spécifique est attribué au participant.

Le processus commence par la randomisation, dans laquelle les participants sont assignés de manière aléatoire à un groupe d'intervention ou à un groupe témoin. Le groupe d'intervention reçoit le traitement expérimental, tandis que le groupe témoin reçoit généralement un placebo ou le traitement standard existant.

Ensuite, les médicaments ou interventions sont préparés de manière à ce qu'ils soient identiques en apparence et dans la façon dont ils sont administrés, masquant ainsi l'identité du traitement réel aux participants et aux investigateurs. Ce processus est appelé mise en aveugle.

Dans une étude à double insu, même le chercheur principal ne sait pas quels participants ont reçu quel traitement jusqu'à ce que l'analyse des données soit terminée. Cela aide à prévenir les biais potentiels dans la collecte et l'interprétation des données, car ni les attentes du chercheur ni celles du participant ne devraient influencer les résultats.

Cependant, il convient de noter que la conception à double insu n'est pas toujours possible en raison de facteurs tels que l'absence d'un placebo approprié ou lorsque le traitement expérimental a des effets évidents qui ne peuvent être dissimulés. Dans ces cas, une étude simple insu (ouverte) peut être plus adaptée.

Les vaccins anticharbonneux sont des vaccins utilisés pour prévenir la maladie du charbon, qui est une maladie infectieuse causée par la bactérie Bacillus anthracis. Le vaccin contient généralement des composants inactivés de la toxine produite par cette bactérie. Il stimule le système immunitaire pour développer une réponse protectrice contre l'infection réelle.

Le schéma posologique et la formulation du vaccin peuvent varier en fonction du type de vaccin utilisé. Dans certains cas, plusieurs doses sont nécessaires pour assurer une protection adéquate. Les vaccins anticharbonneux sont souvent utilisés pour protéger les personnes qui courent un risque élevé d'exposition à la bactérie du charbon, telles que les travailleurs de laboratoire manipulant des souches vivantes de Bacillus anthracis, le personnel militaire ou les premiers intervenants susceptibles d'être exposés lors d'une attaque bioterroriste.

Il convient de noter que les vaccins anticharbonneux peuvent avoir des effets secondaires, tels que la douleur et l'enflure au site d'injection, la fatigue, les maux de tête et les douleurs musculaires. Dans de rares cas, ils peuvent également provoquer des réactions allergiques graves. Par conséquent, avant de recevoir le vaccin, il est important de discuter avec un professionnel de la santé des risques et des avantages potentiels du vaccin en fonction de votre situation individuelle.

Les vaccins contre la dengue sont des vaccinations conçues pour prévenir les infections par le virus de la dengue, qui est transmis à l'homme par les moustiques infectés. Il existe plusieurs candidats vaccins contre la dengue en développement et deux sont actuellement autorisés : Dengvaxia® (chacun des quatre sérotypes vivants atténués recombinants du virus de la dengue) et Qdenga™ (chacun des quatre sérotypes vivants atténués recombinants du virus de la dengue).

Ces vaccins sont destinés à être utilisés dans la population générale âgée de 9 à 45 ans, selon les recommandations réglementaires spécifiques à chaque pays. Ils nécessitent généralement une série de deux ou trois doses, administrées à des intervalles déterminés.

Il est important de noter que ces vaccins peuvent ne pas protéger contre tous les sérotypes du virus de la dengue et qu'ils peuvent augmenter le risque de formes graves de la maladie chez certaines personnes qui n'ont jamais été infectées auparavant par un sérotype particulier. Par conséquent, il est crucial que les professionnels de la santé évaluent soigneusement l'historique d'infection antérieure au virus de la dengue des individus avant de décider de les vacciner.

L'immunisation passive est un type d'immunisation dans lequel des anticorps préformés sont administrés à une personne pour protéger contre une maladie infectieuse spécifique. Contrairement à l'immunisation active, où le système immunitaire de la personne est stimulé pour produire sa propre réponse immunitaire, l'immunisation passive fournit une protection immédiate mais temporaire, généralement pendant quelques semaines ou mois.

L'immunisation passive peut être réalisée en injectant des anticorps polyclonaux ou monoclonaux provenant de sources animales ou humaines. Les anticorps polyclonaux sont un mélange d'anticorps produits par différents lymphocytes B, tandis que les anticorps monoclonaux sont des anticorps identiques produits par une seule ligne de cellules clonées.

L'immunisation passive est utilisée dans certaines situations d'urgence où une personne est exposée à une maladie infectieuse et n'a pas eu le temps de développer sa propre réponse immunitaire, comme dans le cas de la rage ou du tétanos. Elle peut également être utilisée pour fournir une protection temporaire aux personnes dont le système immunitaire est affaibli, telles que les patients atteints de cancer ou ceux qui ont subi une transplantation d'organe.

Cependant, l'immunisation passive présente également des inconvénients, tels qu'un risque accru de réactions allergiques et le fait que les anticorps administrés peuvent interférer avec la réponse immunitaire naturelle de la personne. Par conséquent, elle est généralement utilisée de manière temporaire et dans des situations spécifiques où les avantages l'emportent sur les risques.

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La vaccination obligatoire dans la plupart des pays européens repose sur ladministration initiale de trois doses de vaccin au ... La coqueluche à lère des vaccins. Les premiers vaccins introduits dans les années 50 qui contenaient des bacilles coquelucheux ... Les mères vaccinées sont celles ayant reçu une dose du vaccin au cours de leur grossesse. Les nourrissons vaccinés ont reçu, au ... Covid-19 : interrogations sur les tests, les traitements et les vaccins * Exclusif : les prescriptions darrêt de travail de la ...
... le vaccin coquelucheux entier qui était alors utilisé pour vacciner les nourrissons contenait à lui seul un nombre beaucoup ... Le vaccin utilisé auparavant pour satisfaire à ces obligations vaccinales était le vaccin D.T. POLIO MERIEUX. Or ce vaccin, qui ... Limbroglio du vaccin DTP Limbroglio du vaccin DTP Lu fois Publié le 13 fév. 2017 à 10h25 • Mis à jour le 14 fév. 2017 à 11h17 ... Le vaccin DTP est demandé par ceux qui ne veulent que les vaccins obligatoires, soit 2 à 3 % de la population française. ...
Vaccin diphtérique, tétanique et coquelucheux acellulaire (adsorbé) Boostrix est un vaccin utilisé en dose de rappel chez les ... Tribaccine - AJ Vaccins (cliquez pour ouvrir). Vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche acellulaire (adsorbé, ... Que sont les vaccins contre le papillomavirus humain (HPV) ?. *Le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) peut-il ... Que sont les vaccins contre le papillomavirus humain (HPV) ?. *Le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) peut-il ...
Si dernier rappel de vaccin anti-coquelucheux datant de • Intervalle de deux ans avec dernier vaccin comportant Rapport ... Toxine pertussique contenue dans tous les vaccins anti-coquelucheux commercialisés en Europe Immunité post-vaccinale ne peut ... Au moins 5 ans avec vaccin acellulaire (pas de données au- Toux persistante , 1 semaine Recrudescence nocturne et insomniante ... non Enfants de moins de 16 mois ayant reçu 3 doses de vaccins Enfants de plus de 16 mois ayant reçu 4 doses de vaccin, ...
à lâge de 11-13 ans avec un vaccin contenant des concentrations réduites danatoxine diphtérique et dantigènes coquelucheux ( ... à 6 ans, avec un vaccin contenant des concentrations normales danatoxine diphtérique et dantigènes coquelucheux (DTCaP: ... Un rappel contre la coqueluche à dose réduite en antigènes coquelucheux est recommandé à lâge de 25 ans (dTcaP: Boostrixtetra ...
Pour les parents et les adultes qui sont proches de lenfant, vérifier que le vaccin anti- coquelucheux est à jour. Pensez ... Les vaccins sont à débuter au deuxième mois de lenfant quel que soit son terme de naissance. ...
1)HEXAVAC® : vaccin diptérique, tétanique, coquelucheux acellulaire, poliomyélitique inactivé, de lhépatite B (recombinant) et ... que le vaccin HBVAXPRO® (3) est produit selon le même procédé que la valence hépatite B du vaccin HEXAVAC® ;. - que ... à dautres vaccins peuvent avoir aggravé le phénomène ;. - que le vaccin HBVAXPRO® a pu être utilisé pour limmunisation active ... 3)HBVAXPRO® : vaccin de lhépatite B recombinant.. (4)Articles R. 2122-1 à R. 2122-3 du code de la santé publique.. (5) ...
Quels sont les vaccins disponibles ?. Un seul vaccin est disponible en France pour les jeunes enfants : le vaccin Bexsero®. ... coquelucheux acellulaire et hépatite B. Un rattrapage vaccinal peut être effectué jusquà lâge de 5 ans. ... Novartis Vaccins est le 5ème fabricant mondial de vaccins et le deuxième plus gros fournisseur de vaccins anti grippaux aux ... Quest-ce que le vaccin Bexsero ?. Le vaccin Bexsero est un nouveau vaccin fabriqué par Novartis Vaccines and Diagnostics, qui ...
... en mars et décembre 2001 et le constat dune couverture vaccinale très insuffisante par 4 doses de vaccin anti-coquelucheux sur ... Dans la zone littorale, une amélioration a été observée uniquement pour la couverture vaccinale à 24 mois par le vaccin anti- ... Couverture vaccinale par le vaccin antiamaril de la population résidant dans la zone littorale. - Couverture vaccinale des ...
... mais le dun vaccin diphtérique, tétanique, coquelucheux, de lhépatite b, la politique de vaccination contre lhépatite b en ... vaccin hepatite b en sous cutane. vaccin de lhépatite b recombinant adsorbé exceptionnellement, le vaccin peut être administré ... des vaccins sont donc tenant bien codifiées antigrippal vaccin contre lhépatite a vaccin contre lhépatite b les contre ... vaccin hepatite b contre indication. avant toute vaccination, il faut sassurer de labsence de contreindications. dans ce but ...
e] Vaccin diphtérique, tétanique, coquelucheux acellulaire (DTCa) Vaccin diphtérie, tétanos, coqueluche Le vaccin contre la ... b] Vaccin antirotavirus Vaccin contre le rotavirus Le vaccin contre le rotavirus est un vaccin à virus vivant qui protège ... a] Vaccin contre lhépatite B Vaccin contre lhépatite B Le vaccin anti-hépatite B protège contre l hépatite B et ses ... i] Vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR) Vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole Le vaccin contre la rougeole ...
Pourquoi ajouter un rappel coquelucheux à lâge de 6 ans ? * Jai entendu dire que la vaccination contre lhépatite B pouvait ... Certaines décisions de justice ont été interprétées comme la preuve de la responsabilité du vaccin, car des professionnels de ... Les effets indésirables éventuels de la vaccination contre lhépatite B sont communs à de nombreux vaccins : rash cutané, ... il y a présomption dimputabilité du vaccin sans nécessité dapporter de preuve. ...
Vaccins pour usage humain. Vaccin diphtérique, tétanique, coquelucheux (acellulaire, multicomposé) et de lhépatite B (ADNr), ... Vaccins pour usage vétérinaire. Vaccin botulinique pour usage vétérinaire. Drogues végétales et préparations à base de drogues ... Vaccin diphtérique, tétanique, coquelucheux. (à cellules entières), poliomyélitique (inactivé) et conjugué de lhaemophilus ...
Vaccin coquelucheux acellulaire non combiné à dautres valences (notamment contre la diphtérie ou le tétanos). Non autorisé ... vaccin Pa monovalent) ou au vaccin Pa de Pertagen associé à lanatoxine tétanique et à lanatoxine diphtérique réduite (vaccin ... La considération précédente de lOMS soutient lutilisation potentielle de Pertagen, un vaccin coquelucheux acellulaire ... Ce vaccin ne doit pas être mélangé avec dautres vaccins dans la même seringue. ...
... ladministration des deux vaccins, vaccin diphtérique-tétanique-coquelucheux-poliomyélitique et du vaccin Haemophilus ... à un vaccin coquelucheux (acellulaire ou à "germes entiers").. Réaction sévère après une injection précédente du vaccin ou dun ... Ce vaccin peut être administré simultanément, mais en deux sites séparés, avec le vaccin M-M-RVAXPRO ou le vaccin HBVAXPRO. ... Vaccin pédiatrique diphtérique (anatoxine, dose standard), tétanique (anatoxine), coquelucheux (acellulaire multicomposé, dose ...
Ces injections sont réalisées avec un vaccin coquelucheux acellulaire associé aux vaccins tétanos, diphtérie, poliomyélite, ... Des rappels ont pu être introduits grâce à la mise sur le marché de vaccins acellulaires (cest-à-dire composés de protéines ... La coqueluche, tout comme le vaccin, ne confère pas une immunité à vie et il est donc possible de contracter la maladie ... La vaccination contre la coqueluche a été introduite dans les années 1940-50 avec un vaccin à germe entier inactivé. Dans les ...
Vaccin diphtérique, tétanique et coquelucheux acellulaire (adsorbé) Boostrix est un vaccin utilisé en dose de rappel chez les ... Tribaccine - AJ Vaccins (cliquez pour ouvrir). Vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche acellulaire (adsorbé, ... Que sont les vaccins contre le papillomavirus humain (HPV) ?. *Le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) peut-il ... Que sont les vaccins contre le papillomavirus humain (HPV) ?. *Le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) peut-il ...
à 25 ans : une dose de dTcaPolio, ou, si la personne a reçu une dose de vaccin coquelucheux depuis moins de 5 ans, une dose de ... Vaccination avec un vaccin combiné comportant la valence D : une dose à lâge de 2 mois (8 semaines) et 4 mois suivie dune ... Il est resté hospitalisé 8 semaines, a reçu des anticorps anti tétanos et le vaccin DTPac. Sa blessure a été rincée et débridée ... Lenfant était suivi par un pédiatre tourangeau, connu pour des positions « anti-vaccin ». Celui-ci a, par la suite, été radié ...
2- Vaccins inactivés tués :. * Bactériens : vaccin coquelucheux entier (ou cellulaire).. * Viraux : poliomyélite injectable, ... Ce sont des vaccins inactivés.. * Le vaccin contre la varicelle est un vaccin vivant (souche OKA) mis au point au Japon depuis ... 14- Autres vaccins :. * Le vaccin contre la rage est un vaccin inactivé préparé sur culture cellulaire de lignées continue Vero ... Il existe deux vaccins disponibles : le vaccin inactivé, injectable par voie sous-cutanée ou intramusculaire, et le vaccin oral ...
Type de vaccin coquelucheux utilisé pour le 2eme rappel 11-13 ans ...
... à Haemophilus influenzae sera le 3ème vaccin hexavalent en Europe. Quid des vaccins tétra et pentavalents ? ... nouveau vaccin pédiatrique contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, lhépatite B et les infections ... Lexplosion de la demande mondiale en vaccins coquelucheux acellulaires.. - Le renforcement des contrôles de qualité (70% du ... Un profil defficacité et de sécurité comparable aux autres vaccins hexavalents Le nouveau vaccin, disponible sous forme de ...
... à Haemophilus influenzae sera le 3ème vaccin hexavalent en Europe. Quid des vaccins tétra et pentavalents ? ... nouveau vaccin pédiatrique contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, lhépatite B et les infections ... Lexplosion de la demande mondiale en vaccins coquelucheux acellulaires.. - Le renforcement des contrôles de qualité (70% du ... Un profil defficacité et de sécurité comparable aux autres vaccins hexavalents Le nouveau vaccin, disponible sous forme de ...
Le vaccin dTcaPolio est un vaccin sous-dosé en anatoxines diphtérique (d) et coquelucheuse (ca, pour coquelucheux acellulaire, ... Un rappel est recommandé tous les 10 ans à tous les adultes avec un vaccin combiné. Le vaccin utilisé est un vaccin combiné ... Un rappel est recommandé tous les 10 ans à tous les adultes avec un vaccin combiné. Le vaccin utilisé est un vaccin combiné ... Le vaccin utilisé est un vaccin combiné dTPolio ou dTcaPolio (si la vaccination contre la coqueluche est recommandée). La ...
9 avec un vaccin combiné de rappel diphtérique, tétanique, coquelucheux et poliomyélitique a montré quil y avait plus de ... le vaccin nonavalent (HPV 9v) Gardasil® 9 (1) et le vaccin bivalent (HPV 2v) Cervarix® (2). Chaque vaccin protège contre ... Le vaccin HPV 2v moins utilisé protège contre 2 types de virus (16 et 18).. Bien que les vaccins contre le HPV ne préviennent ... 05- Jai été vacciné-e avec le vaccin HPV 4v, Gardasil. Dois-je me faire revacciner avec le vaccin HPV 9v, Gardasil® 9 ? ...
L aspect trouble blanch tre de la suspension apr s reconstitution par une seringue de vaccin dipht rique-t tanique-coquelucheux ... Comme tout vaccin, ce vaccin doit tre administr avec pr caution en cas de thrombocytop nie ou de troubles de la coagulation car ... Classe pharmacoth rapeutique : Vaccins bact riens, code ATC : J07AG01.. Le vaccin Haemophilus influenzae type b conf re une ... soit par le contenu d une seringue de vaccin combin dipht rique-t tanique-coquelucheux ou dipht rique-t tanique-coquelucheux- ...
Vaccins diphtérique tétanique coquelucheux acellulaires [D20.215.894.691.263.290] Vaccins diphtérique tétanique coquelucheux ...
  • En 2012, face à l'augmentation du nombre d'hospitalisations de nourrissons de moins de 3 mois non vaccinés, ce pays a recommandé la vaccination contre la coqueluche chez les femmes enceintes, entre la 28 ème et la 32 ème semaine de grossesse, sous la forme d'une dose unique de vaccin acellulaire. (jim.fr)
  • Les nourrissons vaccinés ont reçu, au titre d'une primo-vaccination, au moins 1 dose du vaccin acellulaire plus de 14 jours avant l'apparition des symptômes. (jim.fr)
  • Boostrix est un vaccin utilisé en dose de rappel chez les enfants de 4 ans et plus, les adolescents et les adultes pour la prévention de la diphtérie, du tétanos et de la coqueluche acellulaire (adsorbée). (corvelva.it)
  • Vaccin acellulaire contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (adsorbé). (corvelva.it)
  • Vaccin diphtérique, tétanique, coquelucheux et poliomyélitique Le vaccin diphtérique, tétanique, coquelucheux et poliomyélitique (abrégé vaccin DTCP ou dTcP) est un vaccin combiné quadrivalent, contenant les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et la poliomyélite. (wikipedia.org)
  • Ils diffèrent essentiellement par la quantité de vaccins contre la diphtérie et la coqueluche dans chaque unité. (wikipedia.org)
  • Le premier vaccin en rappel de l'adulte contre la coqueluche disponible. (notrefamille.com)
  • Le premier vaccin en rappel de l'adulte contre la coqueluche sera disponible en officine aux alentours du 15 novembre, a annoncé le laboratoire Aventis-Pasteur-MSD, dans des indications conformes aux recommandations formulées par le Conseil supérieur d'hygiène publique de France (CSHPF). (notrefamille.com)
  • Seule la prévention vaccinale chez les adutes permettra de contrôler efficacement la coqueluche chez l'enfant, a plaidé le Dr Benoît Soubeyrand, directeur médical d'Aventis-Pasteur-MSD, n'hésitant pas à qualifier Repevax* de " vaccin altruiste " de l'adulte. (notrefamille.com)
  • Par ailleurs, le calendrier vaccinal français recommande la vaccination des nourrissons contre trois autres maladies : la coqueluche, les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b et l'hépatite B. L'utilisation des vaccins dits hexavalents ( Infanrixhexa , Hexyon ) est privilégiée car ces vaccins confèrent une protection contre l'ensemble des maladies à prévention vaccinale citées ci-dessus, que ce soit dans le cadre d'obligations ou de recommandations vaccinales. (mesvaccins.net)
  • Les doses de rappel sont prévues vers 18 mois de vie et entre 4 et 6 ans et peuvent également être administrées aux enfants préalablement vaccinés avec des vaccins triples contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, dont la composante coqueluche était à cellules entières. (corvelva.it)
  • D'autre part, la survenue de deux épidémies de coqueluche successives en mars et décembre 2001 et le constat d'une couverture vaccinale très insuffisante par 4 doses de vaccin anti-coquelucheux sur tout le territoire ont amené à évaluer également les activités de vaccination contre la coqueluche. (gouv.fr)
  • Par exemple, il existe un vaccin qui combine les vaccins contre la coqueluche, la diphtérie, le tétanos, la polio et Haemophilus influenzae de type b en une seule injection. (msdmanuals.com)
  • Dans toutes les études cliniques, les sujets qui avaient reçu des immunoglobulines ou des produits dérivés du sang au cours des 6 mois précédant la première dose du vaccin ont été exclus.Utilisation avec d'autres vaccinsL'administration concomitante (mais, pour les vaccins injectables, en des sites d'injection différents) de Gardasil et d'un vaccin hépatite B (recombinant) n'a pas modifié la réponse immunitaire vis-à-vis des types d'HPV. (topsante.com)
  • Depuis de nombreuses années, la demande de disposer d'un vaccin DTP (vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite) sans adjuvant à base de sels d'aluminium et sans formaldéhyde pour satisfaire aux seules obligations vaccinales des enfants est une question récurrente de certains parents et d'associations auprès des autorités de santé. (mesvaccins.net)
  • Le fabricant recommande deux doses supplémentaires d'un vaccin contenant la diphtérie et le tétanos, un et six mois après la première dose, afin de maximiser la réponse vaccinale contre la diphtérie et le tétanos. (corvelva.it)
  • avec un vaccin contenant des doses réduites d'anatoxine diphtérique et d'antigène coquelucheux. (pasteur.fr)
  • avec un vaccin contenant une dose réduite d'anatoxine diphtérique. (pasteur.fr)
  • Les personnes nées depuis 1980 devraient avoir reçu au total deux doses de vaccin trivalent, en respectant un délai minimum d'un mois entre les deux doses, quels que soient les antécédents vis à vis des trois maladies. (pasteur.fr)
  • Les autres adultes concernés par la vaccination sont ceux en contact professionnel avec des nourrissons trop jeunes pour avoir reçu 3 doses de vaccins coquelucheux. (notrefamille.com)
  • La vaccination obligatoire dans la plupart des pays européens repose sur l'administration initiale de trois doses de vaccin au cours de la première année de vie, des rappels étant effectués au cours de l'enfance et de l'adolescence. (jim.fr)
  • Le calendrier ci-dessous montre les vaccins nécessaires, l'âge recommandé pour la vaccination et le nombre de doses (indiqué par les numéros dans les symboles). (msdmanuals.com)
  • Les mères vaccinées sont celles ayant reçu une dose du vaccin au cours de leur grossesse. (jim.fr)
  • Les vaccins à dose réduite sont fabriqués par GlaxoSmithKline sous le nom Boostrixtetra et par Sanofi sous le nom Repevax. (wikipedia.org)
  • Il y a une tranche d'âge recommandée pour de nombreux vaccins. (msdmanuals.com)
  • L'utilisation de ce vaccin est définie sur la base des recommandations du CSHPF. (notrefamille.com)
  • Sur 829 nourrissons présentant des symptômes coquelucheux, 336 (41 %) étaient trop jeunes pour être vaccinés. (jim.fr)
  • Les vaccins hexavalents évitent la multiplication des injections vaccinales tout en exposant le nourrisson à un nombre plus faible d'antigènes que dans les années 1980 par exemple (le vaccin coquelucheux entier qui était alors utilisé pour vacciner les nourrissons contenait à lui seul un nombre beaucoup plus élevé d'antigènes que l'ensemble des vaccins utilisés aujourd'hui). (mesvaccins.net)
  • A partir de 65 ans, une injection annuelle de vaccin grippal est recommandée systématiquement à toute la population. (pasteur.fr)
  • le vaccin Hiberix : 10 µg d'un polysaccharide capsulaire d' Hæmophilus influenzæ de type b, le PRP purifié et lié par covalence à environ 25 µg d'anatoxine tétanique, 12,6 mg de lactose et 4,5 mg de chlorure de sodium. (gouv.qc.ca)
  • Comme pour tous les vaccins, des réactions allergiques graves peuvent exceptionnellement survenir. (associationpetitange.com)
  • Les vaccins ont l'aspect d'une solution trouble et blanchâtre. (gouv.qc.ca)
  • Seringue unidose de 0,5 ml de vaccin DCaT‑HB‑VPI (Pediarix) et fiole unidose de vaccin Hib lyophilisé (Hiberix). (gouv.qc.ca)
  • Seringue unidose de 0,5 ml de vaccin DCaT‑VPI. (gouv.qc.ca)
  • Seringue unidose de 0,5 ml de vaccin DCaT‑VPI (Infanrix‑IPV) et fiole unidose de vaccin Hib lyophilisé (Hiberix). (gouv.qc.ca)
  • Vaccin pédiatrique diphtérique (anatoxine, dose standard), tétanique (anatoxine) et coquelucheux (entier inactivé). (mesvaccins.net)
  • Les vaccins contiennent soit des composants non infectieux des bactéries ou des virus, soit des formes entières. (msdmanuals.com)
  • Certains vaccins ne sont préconisés que dans certaines circonstances, par exemple, uniquement lorsque les enfants sont exposés à un risque accru de contracter la maladie prévenue par le vaccin. (msdmanuals.com)
  • Ce problème n'existe pas pour les autres vaccins anti-hépatite B disponibles en France dans cette indication. (aphp.fr)
  • Le vaccin à dose réduite est recommandé en rappel chez l'enfant à un âge entre 11 et 13 ans puis chez l'adulte à l'âge de 25 ans. (wikipedia.org)
  • Le vaccin Bexsero® peut entrainer une réaction au point d'injection (douleur, rougeur, gonflement) et des effets géné- raux comme de la fièvre et une irritabilité. (associationpetitange.com)
  • Si les enfants manquent une dose de vaccin, les parents doivent en parler à leur médecin pour rattraper la dose. (msdmanuals.com)
  • Or ce vaccin, qui était distribué par le laboratoire Sanofi Pasteur MSD, a été suspendu en 2008 en raison de complications allergiques. (mesvaccins.net)
  • Le vaccin à dose usuelle est recommandé chez l'enfant en rappel à l'âge de six ans. (wikipedia.org)
  • Ainsi, l'obligation vaccinale pourrait contribuer à faire accroire que les vaccins recommandés sont facultatifs et moins importants que les vaccins obligatoires. (mesvaccins.net)
  • Les vaccins à dose usuelle sont fabriqués par GlaxoSmithKline sous le nom Infanrixtetra et par Sanofi sous le nom Tetravac. (wikipedia.org)
  • ce vaccin est homologué, mais non commercialisé seul au Canada. (gouv.qc.ca)
  • On obtient l'Infanrix‑IPV/Hib en utilisant l'Infanrix‑IPV comme diluant pour le vaccin lyophilisé Hiberix (voir Présentation ). (gouv.qc.ca)
  • Les premiers vaccins introduits dans les années 50 qui contenaient des bacilles coquelucheux ont été le plus souvent remplacés par des vaccins acellulaires composés exclusivement d'antigènes immunisants dont l'acceptabilité est meilleure. (jim.fr)
  • Il existe 2 types principaux : le vaccin à dose usuelle (DTCP) et celui à dose réduite (dTcP) en antigènes. (wikipedia.org)
  • Si la deuxième dose de vaccin est administrée moins de 6 mois après la première dose, une troisième dose devra toujours être administrée. (topsante.com)
  • Le Conseil d'Etat vient de demander à la Ministre de la santé de rendre disponible les vaccins DTP dans un délai de six mois. (mesvaccins.net)