Clinique ou une fibrose infra-clinique de la fonction cérébrale due à un coup, anormale, excessive, et désorganisés décharge des cellules de cerveau les signes cliniques sont : Troubles sensoriels et moteurs, les phénomènes psychiques. Attaques récurrentes sont communément appelés EPILEPSY ou "convulsions".
Crises survenant pendant un épisode fébrile. C'est une maladie commune, affectant 2-5 % des enfants âgés de 3 mois à cinq ans. Un modèle autosomale dominante d'héritage a été identifié dans certaines familles. La majorité sont simples convulsions fébriles (définie par la survenue des crises généralisées, célibataire avec une durée de moins de 30 minutes). Complexe se caractérise par de convulsions fébriles focales d ’ apparition soudaine, durée supérieure à 30 minutes, et / ou plus d'une attaque sur une période de 24 heures. La probabilité de développer l ’ épilepsie (soit une nonfebrile convulsions) après simple convulsions fébriles est faible. Complexe convulsions fébriles sont associés à une incidence accrue d ’ épilepsie modérément. (De Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, p784)
Un trouble caractérisé par des épisodes récurrents of paroxysmal dysfonctionnement cérébral dû à un coup, désordonnée et décharges neuronales excessive, épilepsies classification systèmes sont généralement basé sur : (1) caractéristiques cliniques de la saisie, moteur épisodes (par exemple convulsions), (2), de l ’ étiologie (par exemple), (3) région anatomique de crises d ’ origine (par exemple, lobe frontal convulsions), (4) tendance à se propager à d'autres structures dans le cerveau, et (5) modèles temporal (ex : L ’ épilepsie). (Nocturne d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p313)
Médicaments utilisés pour prévenir d'épilepsie ou de réduire sa sévérité.
Enregistrement de courant électrique... développé dans le cerveau par des électrodes appliqué au cuir chevelu, à la surface du cerveau ou placées sous la substance du cerveau.
Conditions caractérisé par récurrentes décharges neuronales paroxystique focale inhérents à une région du cerveau. Les crises partielles sont divisés en simple et complexe, selon que la conscience est inchangées (simple crises partielles) ou de troubles (crise partielle complexe). Les deux types peuvent être assortis de une grande variété de moteur, sensitive et autonome. Les crises partielles symptômes peuvent être classées par des signes cliniques associés ou d ’ une même emplacement de leur concentration. Une crise généralisée secondaire se réfère à une crise partielle qui répand d'impliquer le cerveau. (Diffuse oedémateuse d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp317)
Une forme agent qui ont montré une activité comme un stimulant du système nerveux central et respiratoire. C'est un antagoniste de l'acide gamma-aminobutyrique non-compétitif. Pentétrazole a été utilisé expérimentalement crise phénomène à étudier et de déterminer les produits pharmaceutiques qui contrôle peut-être crise de la sensibilité.
Conditions récurrentes caractérisée par des crises d'épilepsie inhérents diffuse oedémateuse et simultanément des deux hémisphères du cerveau. CLASSIFICATION repose généralement sur les manifestations motrice (par exemple, de la crise convulsive, nonconvulsive, akinétiques, hypotone, etc.) ou idiopathique (par exemple, l ’ étiologie, et symptomatiques, cryptogenic). (De Mayo Clin proc, avril 1996 ; 71 (4) : 405-14)
Substances qui agissent dans le tronc cérébral ou de la moelle épinière pour produire tonic ou convulsions cloniques, souvent en retirant ton inhibitrice normal. Ils étaient auparavant utilisé pour stimuler la respiration ou comme antidotes à une overdose de barbituriques. Ils sont maintenant en général utilisé comme outils expérimental.
Un trouble caractérisé par récurrentes épilepsies partielles marquée par une altération de la cognition. Pendant l'attaque l'individu peuvent ressentir une grande variété de phénomènes psychiques incluant formé hallucinations, illusions, déjà-vu, intense émotion, confusion et désorientation spatiale. Localisées, et l ’ activité motrice altération sensorielle automatisme peuvent également survenir. Crise épileptique partielle complexe souvent viennent de foyers dans un ou deux lobes temporaux. L ’ étiologie peut être idiopathique (épilepsie) ou partielle complexe cryptogenic apparaît en second résultat d'une lésion focale symptomatique corticale (épilepsie). (Partielle complexe d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp317-8)
Un localization-related (localisées forme d'épilepsie), caractérisée par des crises répétées qui résultent foyers dans le lobe temporal, plus fréquemment de son aspect Mesial. Une grande variété de phénomènes psychiques peuvent être associés, y compris des illusions, hallucinations, dyscognitive états, et affectifs expériences. La majorité des attaques complexes (voir EPILEPSY, COMPLEXE PARTIELLE) provenir des lobes temporaux. Lobe temporal convulsions peuvent être classées par l'étiologie comme cryptogenic, familiales, ou (c 'est-à-dire symptomatique identifiés, liés à une pathologie ou lésion). (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p321)
Une longue crise ou convulsions répété assez souvent pour prévenir la récupération entre les crises survenant sur une période de 20-30 minutes. Sous type c'est le plus fréquent crises généralisées tonico-cloniques primaires Etat épileptique, affection d ’ évolution potentiellement fatale, associée à une blessure et respiratoire. Nonconvulsive formes incluent un dysfonctionnement métabolique petit mal partielle complexe et statut, ce qui peut se manifester par des troubles comportementaux. Simple état épileptique partielle est constituée de moteur, persistante ou autonome sensorielle, crises convulsives qui ne pas perturber la cognition (voir également EPILEPSIA Partialis continu expérimental mixte). « Subclinique » état épileptique généralement d ’ expiration fait référence crises survenant dans un individu inconscient ou dans le coma en l'absence de signe de convulsion. (De n Engl J Med 2 avril 1998 ; 338 (14) : 970-6 ; Neurologia 1997 Dec ; 12 Suppl 6 : 25-30)
Un sous-groupe de l ’ épilepsie caractérisée par crises convulsives qui sont constamment provoqué par un certain stimulus spécifique, visuelles et auditives des stimuli somato-sensoriel ainsi que les actes d'écrire, lisant, mangeant, et prise de décision sont des exemples d'événements ou les activités pouvant induire attaque aux affecté individus. (Clin d'Neurol fév. 1994 ; 12 (1) : 57-8)
Une enfance convulsions caractérisé par des décharges de cerveau électrique rythmique précoce généralisé. Les signes cliniques concernent un arrêt du soudaine activité en cours habituellement sans perte de ton. Rythmique orthostatique cligner des paupières ou super accompagnant fréquemment les crises. La durée habituelle est de 5 à 10 secondes, et des épisodes multiples peut survenir par jour. Juvénile absences juvénile est caractérisé par le début d ’ une absence de crise, et une augmentation des myoclonies et des crises tonico-cloniques. (Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, p736)
La toxicologie de faible excitation les structures du cerveau, qui, progressivement, augmente la sensibilité à la même stimulation. Fil du temps, cela peut diminuer le seuil nécessaire pour déclencher des crises convulsives.
Un convulsant principalement utilisé chez l ’ animal. C'était anciennement utilisée pour provoquer des convulsions comme une alternative à la thérapie par électrochoc.
Un lent hydrolysé agoniste muscariniques sans effets. Nicotinique utilisé comme myotique pilocarpine et dans le traitement du glaucome.
(2S- (2 alpha, beta, beta) 3) 4) (1-methylethenyl -2-Carboxy-4- -3-pyrrolidineacetic acide. Ascaricide obtenu de l'algue rouge Digenea simplex. C'est un puissant acide aminé agonistes Des à certains types de récepteurs Des des acides aminés et a été utilisé pour discrimination types, comme plusieurs des récepteurs de l ’ acide aminé agonistes Des ça peut provoquer une neurotoxicité et a été utilisé expérimentalement à cet effet.
Un composé a suggéré d'être à la fois une nootropic et un agent neuroprotecteurs positifs.
Syndrome épileptique caractérisée par la triade de spasmes infantiles, hypsarrhythmia, et à l'arrestation de développement psychomoteur à attaque leur apparition. La majorité cadeau entre 3 à 12 mois de l ’ âge, avec spasmes composé de combinaisons de courte ou extenseurs fléchisseurs de la tête, le coffre, et membres. La condition est divisé en deux formes : Cryptogenic (idiopathique) et (symptomatique secondaire à une pathologie connue tels que l ’ infections ; anomalies neurologiques ; cerveau, maladies métaboliques innée ; nouveau-né prématuré ; Perinatal asphyxie ; sclérose tubéreuse, etc.). (De Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, pp744-8)
Un état où convulsions survenir en association avec l ’ éthanol (alcoolisme) abus sans autre cause identifiable. Convulsions apparaissent habituellement dans la première 6-48 heures après la cessation de consommation d'alcool, mais peuvent survenir pendant les périodes de d'alcool. Les crises généralisées tonico-cloniques unique motrices sont les plus courants sous-type, cependant, STATUS de mal peuvent survenir. (Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1174)
Une lame courbe surélever les gris AFFAIRE étendant toute la longueur du sol de la corne du ligament latéral TEMPORAL VENTRICLE lobe TEMPORAL) (voir aussi. L'hippocampe convenable, subiculum et gyrus DENTATE constituent la formation de l'hippocampe. Parfois, les auteurs inclure le cortex entorhinal dans la formation de l'hippocampe.
Un anticonvulsivant utilisé pour contrôler et de grand mal psychomotrice crises ou localisées. Son mode d'action n'est pas complètement élucidé, mais certains de ses actions ressemblent à ceux de la phénytoïne ; cas ressemblance entre les deux composés chimiques, leur structure tridimensionnelle est similaire.
Un anticonvulsivant qui est utilisé pour traiter diverses infections dues à des crises. C'est aussi un un et un décontractant musculaire. Le mécanisme d'action thérapeutique n ’ est pas clair, bien que plusieurs actes ont été décrits cellulaires notamment ses effets sur les canaux ioniques, transport actif, et général membrane de stabilisation. Le mécanisme de son effet relaxant musculaire semble entraîner une réduction de la sensibilité des broches musculaire de la phénytoïne a été proposée pour plusieurs autres vertus thérapeutiques sur, mais son utilisation n ’ a été limitée par ses nombreux effets indésirables et des interactions avec d'autres médicaments.
Dus aux attaques récurrentes traumatisme cranio-cérébral. Attaque apparition peut être immédiate mais est typiquement retardé pour plusieurs jours après la blessure et ne peuvent survenir pendant 2 ans. La majorité des attaques ont une apparition focale cliniquement ça correspond avec le site de lésion cérébrale. Cortex cérébral blessures provoquées par un objet étranger pénétrant (traumatisme cranio-cérébral, pénétrant) sont plus susceptibles que blessures à la tête, à la tête. (Fermé) pour être associés à l ’ épilepsie. Les convulsions sont concussive nonepileptic phénomènes survenir immédiatement après traumatisme crânien et caractérisées par un tonique et mouvements cloniques. (De Rev Neurol 1998 Fev ; 26 (150) : 256-261 ; Sports Med 1998 Fev ; 25 (2) : 131-6)
Le rôle de CENTRALE que le système nerveux est contenu dans le crâne (crâne). Facilité de neural embryonnaire TUBE, le cerveau se compose de trois parties principales incluant PROSENCEPHALON (réactivera) ; mésencéphale (le mésencéphale) ; et (les RHOMBENCEPHALON hindbrain). Les pays cerveau se compose de cerveau, le cervelet ; et autres structures dans le cerveau le STEM.
L ’ induction d ’ une réaction de stress dans normales. par un choc électrique ; s 'applique à soit convulsive ou non-convulsive états.
Un localization-related (localisées forme d'épilepsie), caractérisée par crises qui surviennent au lobe FRONTAL. Diverses existe des syndromes cliniques selon l'emplacement exact de leur concentration. Lobe frontal des convulsions peuvent être idiopathique (cryptogenic) ou causé par une maladie identifiables processus tels que blessures traumatiques, ou macroscopique tumeurs ou d'autres lésions microscopiques des lobes frontaux symptomatique (convulsions). (Lobe frontal de Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp318-9)
Un canal canaux sodiques sous-type qui est principalement exprimé dans le CENTRALE le système nerveux SCN1A. Une délétion du gène codant pour la sous-unité alpha de cette sont associées à des canaux sodiques épilepsie généralisée, syndrome du Dravet avec convulsions fébriles en plus, de type 2 (GEFS + 2), et familiale hémiplégique migraine type 3.
Le stockage ou préserver de signaux vidéo pour la télévision pour être joué plus tard via un émetteur ou récepteur. Enregistrements peuvent être faites sur bande magnétique ou disques vidéo pré-fabriqué (enregistrement).
Un analogue de l'acide gamma-aminobutyrique. C'est un inhibiteur irréversible de 4-AMINOBUTYRATE transaminase, enzyme responsable du catabolisme de l'acide gamma-aminobutyrique. (De Martindale Pharmacopée supplémentaires, 31e éditeur)
Une procédure neurochirurgicale qui retire les TEMPORAL antérieur incluant le lobe temporal médian de structures cortex CEREBRAL ; amygdale ; hippocampe ; et le gyrus gyrus adjacent. Cette procédure est généralement utilisé pour le traitement de l ’ épilepsie (temporal intraitable EPILEPSY, lobe TEMPORAL).
Non invasive mode de démontrer l'anatomie interne basé sur le principe que les noyaux atomiques dans un fort champ magnétique absorber pulsations d'eux comme une radio de l'énergie et émettent des ondes radio qui peut être reconstruit en images informatisée. Le concept inclut proton spin tomographique techniques.
Une benzodiazépine avec anticonvulsivants, anxiolytiques, sédatifs, relaxant musculaire et amnésique propriétés et une durée d ’ action longue. Ses actions sont arbitrées par une majoration de l ’ activité de l'acide gamma-aminobutyrique.
Naturelle de maladies animales ou expérimentalement avec processus pathologiques suffisamment similaires à ceux des maladies humaines. Ils sont pris en étude modèles pour les maladies humaines.
Propriétés acides gras avec un anticonvulsivant utilisé dans le traitement de l ’ épilepsie. Les mécanismes de ses effets thérapeutiques sont mal compris. Il peut agir en augmentant les taux de l'acide gamma-aminobutyrique du cerveau ou en influant sur les propriétés des canaux sodiques voltage dépendante.
Une condition marqué par récurrentes crises survenant au cours des premières 4 à 6 semaines de vie malgré un néonatale bénigne. Autosomale dominante formes familiales et sporadiques ont été identifiés. Convulsions généralement constitué de brève épisodes de tonic gesticulations et autres mouvements, apnée, oeil écarts et fluctuations de la pression artérielle. Ceux-ci tendent pourtrouver après la sixième semaine de la vie. Le risque de développer l ’ épilepsie, en grandissant est modérément augmenté en polypose forme de ce trouble. (Neurologia ; 11 février 1996 (2) : 51-5)
Un trouble caractérisé par la survenue des myoclonies à l'adolescence, une augmentation importante de l ’ incidence des crises convulsives (voir absence EPILEPSY, absence), et un déficit moteur principal, crises convulsives (voir EPILEPSY). La Myoclonic épisodes ont tendance à survenir peu après mon réveil. Les crises ont tendance à être aggravés par la privation de sommeil et la consommation d ’ alcool. Héréditaire et formes sporadiques ont été identifiés. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p323)
Implante chirurgicalement dans lesquelles les conducteurs électrique est livré à vestibulaire électrique ou l'activité électrique est enregistré par un point spécifique dans le corps.
Treatment of chronic grave et insoluble Affections psychiatriques par ablation chirurgicale ou une interruption du traitement de certaines régions ou les voies métaboliques du cerveau, surtout dans les lobes préfrontaux.
Un anticonvulsivant particulièrement utile dans le traitement des crises d ’ absences non accompagnée par d ’ autres types de crises.
La fine couche de gris d'importance à la surface du CEREBRAL hémisphères qui se développe à partir des TELENCEPHALON et se replie sur gyri et sulchi. Elle atteint son paroxysme développement chez l'homme qui est responsable de les facultés intellectuelles et fonctions cérébrales supérieures.
Anomalies dans le développement du cortex CEREBRAL, notamment des malformations découlant de cellule neuronales et gliales prolifération anormale ou l'apoptose (groupe) ; élévation je migration neuronal (Group II) ; et perturbation des établissement de organisation corticale (Group III). Plusieurs métabolique congénital DISORDERS affectant le cerveau de formation sur le SNC sont souvent associés à des malformations corticale. Ils sont fréquents causes de EPILEPSY et un retard de développement.
Un processus pathologique composée de induration ou une fibrose structure anatomique, souvent un vaisseau ou un nerf.
Un cours de la prise de nourriture riche en FATS, faible en glucides. Ce régime fournit suffisamment PROTEINS pour la croissance mais quantité insuffisante de glucides pour les besoins en énergie du corps. Un régime ketogenic génère des obligations de calorique 80-90 % de lipides et le reste de protéines.
Désordres mentaux organiques dans lequel il y a une altération de la capacité à maintenir conscience de soi et l'environnement et de réponse au stimuli environnementaux. Dysfonctionnement du cerveau ou du tronc cérébral MOUSSE réticulaire peut conduire dans cet état.
Infection du cerveau, dans la moelle épinière, ou perimeningeal structures avec les formes larvaire du genre Taenia solium (principalement T. chez l'homme). Lésions formé par l'organisme sont dénommés cysticerci. L'infection peut être subaiguë ou chronique, et la sévérité des symptômes dépend de la sévérité de la réponse immunitaire hôte et son nombre de lésions. Convulsions représentent les manifestations les plus fréquentes manifestation mais déficits neurologiques focaux peut survenir. (De Joynt Clinique neurologie, 1998, Ch27, pp46-50)
Une souche de rat albinos largement utilisé à des fins VÉRIFICATEUR à cause de sa sérénité et la facilité d'de manipulation. Il a été développé par les Sprague Dawley Animal Company.
Plus faible partie latérale de l'hémisphére cérébral responsable, auditives, olfactives et analyse sémantique. Elle est située inférieur au antérieur à la fissure latérale et OCCIPITAL lobe.
Conditions pathologique affectant le cerveau, qui se compose des composants du intracrânienne CENTRALE, cela inclut, entre autres, la matière blanche intracrânienne cortex CEREBRAL ; ; ; ; BASAL ganglions thalamus HYPOTHALAMUS ; cerveau STEM ; et le cervelet.
Les unités cellulaires de base de tissus nerveux. Chaque neurone est constitué d'un corps, une axone et dendrites. Leur but est de recevoir, conduite, et transmettre les impulsions électriques dans le système nerveux.
Une opération sur le système nerveux ou ses parties.
Convulsions électrique induit principalement utilisé dans le traitement des affectif sévère DISORDERS et première fois.
Wave-like oscillations de potentiel électrique entre parties du cerveau enregistré par EEG.
Gris d'importance au dessus de la circonvolution hippocampi. Il est composé de trois couches. La couche moléculaire est continue avec l'hippocampe dans la fissure de l'hippocampe granuleux. La couche se compose de étroitement arrangé sphérique ou ovales neurones appelés granules, dont des axones passer par l'enzyme polymorphe se terminant à la couche pyramidale de dendrites des dans l'hippocampe.
Heterocyclic sonne contenant trois atomes d'azote, particulièrement chez 1,2,4 ou 1,3,5 ou 2,4,6 formats. Certains sont utilisés comme herbicides.
Qui est fabriqué un fonctionnement intellectuel inférieur à la normale pendant la période de développement. Ça a de multiples étiologies possibles, y compris les défauts génétiques et des insultes. Périnatale quotien intellectuel (QI) scores sont fréquemment utilisés pour déterminer si un individu a une déficience intellectuelle. Q.I. Élevé entre 70 et 79 sont dans la limite de tir et marque ci-dessous 67 sont dans les handicapés portant. (De Joynt Clinique neurologie, 1992, Ch55, p28)
Études ont utilisé pour tester etiologic hypothèses dans lequel déductions pour une exposition à des facteurs de causalité putatif sont tirées de données relatives aux caractéristiques des personnes sous study or to événements ou expériences dans leur passé. La caractéristique essentielle est que certaines des personnes sous étude ont la maladie ou d'intérêt et de leurs caractéristiques sont comparés à ceux de personnes.
Traitement adjuvant pour PARTIELLE EPILEPSY ou réfractaires qui délivre une dépression impulsions électriques du cerveau via le nerf vague culot, une batterie implantées sous la peau fournit l'énergie.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
Le plus fréquent neurotransmetteur inhibiteur dans le système nerveux central.
Évaluation menée pour évaluer les résultats ou des suites de gestion et procédures utilisées dans la lutte contre la maladie afin de déterminer l'efficacité, efficacité, la tolérance et practicability de ces interventions dans des cas individuels, ou la série.
Un anticonvulsivant utilisé pour plusieurs types de crises, y compris myotonic ou hypotone convulsions, épilepsie photosensible, et une absence de crise, bien que la tolérance peut évoluer. C'est rarement efficace dans crises généralisées tonico-cloniques primaires ou des crises partielles. Le mécanisme d'action semble entraîner l 'amélioration des réponses des récepteurs de l'acide gamma-aminobutyrique.
L'âge, stade de développement, ou par durée de vie auquel une maladie ou les premiers symptômes ou les manifestations d'une maladie apparaissent dans un individu.
Une procédure neurochirurgicale qui élimine ou déconnecte l'éplleptogène CEREBRAL cortex de son hémisphère. Hémispérectomie est normalement effectuée chez les patients présentant une sténose unilatérale intraitable EPILEPSY due à des malformations de développement corticale ou de lésions cérébrales éplleptogène. Selon la zone corticale en Occident, peut être ablation totale ou partielle.
Équipe corps contenant principalement gris d'importance et faisant partie de la paroi latérale du troisième VENTRICLE du cerveau.
Un dérivé acide barbituric non sélectifs qui agit comme un dépresseur du système nerveux central. Il potentialise l'acide gamma-aminobutyrique action sur GABA-A récepteurs, et qu ’ il module courants dans les canaux chlorure. Il inhibe également récepteur induite depolarizations glutamate.
Un trouble mental organique aiguë induite par l ’ arrêt ou la diminution de la consommation chronique d'alcool, les caractéristiques inclure confusion ; hallucinations ; secousse hallucination ; vifs ; agitation ; insomnie ; et des signes d'hyperactivité autonome (par exemple, augmentation de la pression artérielle et fréquence cardiaque, pupilles dilatées, et hypersudation). Cette réaction peut occasionnellement être fatal. C'était autrefois appelé delirium tremens. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p1175)
L'arrêt brutal de toutes les fonctions corporelles vitales se manifestant par la perte totale de cérébrale totale et fonctions cardiovasculaires, respiratoires,.

Les crises convulsives fébriles sont des convulsions qui surviennent chez les enfants en raison d'une fièvre élevée. Elles sont relativement courantes et concernent environ 2 à 5% des enfants avant l'âge de 5 ans. Ces crises ne sont généralement pas le signe d'un problème plus grave, surtout si l'enfant est en bonne santé autrement.

Les crises convulsives fébriles se produisent le plus souvent entre les âges de 6 mois et 5 ans, lorsque les enfants sont incapables de réguler leur température corporelle aussi bien que les adultes. La plupart des enfants qui en font une fois ou deux n'en auront plus jamais.

Les symptômes comprennent la rigidité musculaire, les secousses répétitives des membres, la perte de conscience et parfois la miction involontaire ou la défécation. Les crises durent généralement de quelques secondes à quelques minutes.

La cause exacte des crises convulsives fébriles n'est pas claire, mais elles sont associées à une infection qui provoque une fièvre élevée. Les infections courantes qui peuvent déclencher ces crises comprennent les infections de l'oreille, la varicelle, la rougeole et les infections respiratoires.

Il est important de consulter un médecin si votre enfant a une crise convulsive fébrile pour écarter toute autre cause possible de convulsion, comme l'épilepsie ou une infection plus grave. Le traitement se concentre généralement sur la réduction de la fièvre et l'administration de soins de soutien.

L'épilepsie est une condition médicale caractérisée par des crises récurrentes et imprévisibles, qui résultent d'une activité électrique anormale et excessive dans le cerveau. Ces crises peuvent se manifester de différentes manières, allant de secousses musculaires brèves et localisées à des périodes de confusion ou de perte de conscience. Pour poser un diagnostic d'épilepsie, une personne doit avoir eu au moins deux crises non provoquées, séparées par au moins 24 heures, à moins que la cause sous-jacente et le risque de futures crises ne justifient un traitement.

L'épilepsie peut être causée par divers facteurs, tels que des lésions cérébrales traumatiques, des infections cérébrales, des troubles congénitaux du cerveau, des tumeurs cérébrales ou un accident vasculaire cérébral. Dans certains cas, la cause peut être inconnue.

Le traitement de l'épilepsie dépend de la gravité et du type de crises, ainsi que des facteurs sous-jacents qui peuvent contribuer à la condition. Les options de traitement comprennent souvent des médicaments anticonvulsivants, une intervention chirurgicale, un régime alimentaire spécial ou d'autres thérapies complémentaires. Dans certains cas, les personnes atteintes d'épilepsie peuvent être en mesure de contrôler leurs crises avec un traitement approprié, tandis que d'autres peuvent continuer à avoir des crises malgré les efforts de traitement.

Les anticonvulsivants sont une classe de médicaments utilisés pour prévenir et contrôler les convulsions ou les crises épileptiques. Ils fonctionnent en régulant l'activité électrique dans le cerveau, ce qui peut aider à prévenir les saisies.

Les anticonvulsivants sont souvent prescrits pour traiter divers types d'épilepsie, mais ils peuvent également être utilisés hors indication pour traiter d'autres conditions telles que la douleur neuropathique, les troubles bipolaires et certains types de migraines.

Il existe plusieurs anticonvulsivants disponibles sur le marché, chacun ayant des mécanismes d'action et des profils d'effets secondaires uniques. Certains exemples courants incluent la phénytoïne, la carbamazépine, le valproate, le lamotrigine, le topiramate et le gabapentin.

Comme avec tout médicament, les anticonvulsivants peuvent entraîner des effets secondaires indésirables. Les effets secondaires courants comprennent la somnolence, les étourdissements, la nausée, les vomissements et les éruptions cutanées. Dans de rares cas, certains anticonvulsivants peuvent également entraîner des effets secondaires graves tels que des dommages hépatiques, des pensées suicidaires ou une diminution de la production de globules blancs.

Il est important de travailler en étroite collaboration avec un professionnel de la santé pour déterminer le plan de traitement anticonvulsivant le plus approprié et pour surveiller tout effet secondaire potentiel.

L'électroencéphalographie (EEG) est une procédure diagnostique non invasive utilisée pour enregistrer l'activité électrique du cerveau. Elle est réalisée en attachant de petits capteurs, appelés électrodes, à la surface du cuir chevelu avec un gel conducteur ou une pâte. Ces électrodes détectent les impulsions électriques minuscules et imperceptibles produites par l'activité neuronale dans le cerveau et transmettent ces informations à un amplificateur, où elles sont affichées sous forme d'ondes sur un moniteur.

L'EEG est utilisée pour aider au diagnostic et à la gestion de divers troubles neurologiques, tels que l'épilepsie, les convulsions, les tumeurs cérébrales, les accidents vasculaires cérébraux, l'encéphalite, la méningite, la sclérose en plaques et d'autres conditions qui affectent le fonctionnement du cerveau. Elle peut également être utilisée pour évaluer l'efficacité de certains médicaments, surveiller l'activité cérébrale pendant le sommeil et aider à la planification des interventions chirurgicales cérébrales.

L'EEG est considérée comme sûre et indolore, sans aucun risque connu associé à sa réalisation. Cependant, il peut être difficile pour certaines personnes de rester assises ou allongées immobiles pendant la durée de l'enregistrement, ce qui peut entraîner des artefacts dans les enregistrements EEG. Dans ces cas, des médicaments relaxants peuvent être administrés pour aider à réduire l'agitation et améliorer la qualité de l'enregistrement.

Les épilepsies partielles, également connues sous le nom d'épilepsie focale ou épilepsie localisée, sont un type d'épilepsie dans laquelle les crises surviennent à partir d'une région spécifique du cerveau. Contrairement aux crises généralisées qui impliquent tout le cerveau, les crises partielles affectent initialement une seule partie du cerveau, bien qu'elles puissent s'étendre à d'autres régions ou évoluer en crises généralisées.

Les épilepsies partielles peuvent être classées en deux catégories principales : les crises simples partielles et les crises complexes partielles.

1. Crises simples partielles : Durant ces crises, la personne reste consciente et alerte, bien qu'elle puisse présenter des symptômes variés tels que des mouvements involontaires d'un membre, des sensations étranges (paresthésies), des hallucinations visuelles ou auditives, des modifications de l'odorat ou du goût, une augmentation de la fréquence cardiaque ou de la respiration, ou un sentiment de dépersonnalisation. Ces crises durent généralement moins de deux minutes et ne causent pas de confusion ou de perte de mémoire après la crise.

2. Crises complexes partielles : Pendant ces crises, la personne peut présenter une altération de la conscience ou de la vigilance, ce qui signifie qu'elle peut être désorientée, confuse ou incapable de répondre aux questions ou d'interagir avec son environnement. Ces crises peuvent inclure des automatismes stéréotypés, tels que des mouvements répétitifs de la bouche, des mains ou des yeux, et peuvent durer plus de deux minutes. Après une crise complexe partielle, la personne peut présenter une amnésie pour l'événement et peut se sentir fatiguée ou désorientée.

Les crises complexes partielles et les crises tonico-cloniques généralisées sont souvent associées à l'épilepsie du lobe temporal, qui est la forme d'épilepsie la plus courante chez les adultes. Les crises peuvent être déclenchées par des stimuli spécifiques, tels que le stress, les émotions fortes, les odeurs ou les sons inhabituels, et peuvent être difficiles à contrôler avec un traitement médical standard. Dans ces cas, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour retirer la zone cérébrale responsable des crises.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une confusion dans votre question. Le terme "Pentétrazole" ne correspond à aucun terme médical connu. Il est possible que vous ayez fait une erreur d'orthographe ou que vous vous référiez à un autre composé ou médicament. Veuillez vérifier l'orthographe et me fournir la bonne information afin que je puisse vous aider correctement.

La définition médicale de l'épilepsie généralisée est la suivante :

L'épilepsie généralisée est un type d'épilepsie caractérisé par des crises qui affectent les deux hémisphères cérébraux simultanément. Les personnes atteintes de ce type d'épilepsie peuvent présenter différents types de crises, notamment des convulsions tonico-cloniques (grand mal), des absences (petit mal) ou des myoclonies.

Les crises tonico-cloniques se manifestent par une perte de conscience soudaine, suivie d'une rigidité du corps (phase tonique) et de secousses musculaires rythmiques (phase clonique). Les crises d'absence sont caractérisées par une brève interruption de la conscience, sans perte de posture ni chute. Les myoclonies se manifestent par des secousses musculaires soudaines et brèves qui peuvent affecter n'importe quelle partie du corps.

L'épilepsie généralisée peut être causée par des facteurs génétiques ou acquis, tels que des lésions cérébrales traumatiques, des infections cérébrales, des tumeurs cérébrales ou un manque d'oxygène à la naissance. Le diagnostic est généralement posé sur la base de l'histoire clinique du patient, de l'examen neurologique et de l'enregistrement des crises par électroencéphalogramme (EEG).

Le traitement de l'épilepsie généralisée repose sur l'utilisation de médicaments anticonvulsivants, qui peuvent aider à prévenir ou à réduire la fréquence des crises. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour les personnes qui ne répondent pas au traitement médicamenteux.

Je suis désolé, "convulsivants" est un terme qui peut être interprété de différentes manières dans le contexte médical. Il pourrait se référer à des médicaments ou substances utilisés pour traiter ou prévenir les convulsions, telles que les benzodiazépines et l'acide valproïque. Alternativement, il peut également faire référence aux mouvements musculaires involontaires et rythmiques qui se produisent pendant une crise convulsive ou un spasme. Pourrait-il préciser ce que vous voulez savoir sur "convulsivants" pour fournir une réponse plus exacte?

La « épilepsie, forme partielle complexe » est un type spécifique d'épilepsie qui implique des crises récurrentes. Pendant ces crises, une personne peut avoir des hallucinations visuelles ou auditives, des expériences déformées de la réalité, des émotions intenses et involontaires, ainsi qu'une perte partielle ou complète de conscience. Ces crises peuvent également inclure des mouvements corporels incontrôlables, tels que des mâchonnements ou des mouvements des membres.

Les personnes atteintes d'épilepsie, forme partielle complexe, ont souvent des difficultés à se souvenir de ce qui s'est passé pendant la crise et peuvent se sentir fatiguées ou désorientées après celle-ci. Ce type d'épilepsie est généralement plus difficile à traiter que les autres types et peut être causé par des lésions cérébrales, des malformations congénitales ou une épilepsie symptomatique.

Il est important de noter qu'une personne atteinte d'épilepsie, forme partielle complexe, a besoin d'un traitement médical approprié pour gérer ses crises et prévenir les complications à long terme. Un diagnostic précis et un plan de traitement individualisé sont essentiels pour assurer une qualité de vie optimale pour ces personnes.

L'épilepsie du lobe temporal est un type spécifique d'épilepsie, qui est une condition caractérisée par des crises récurrentes. Dans cette forme, les crises commencent dans le lobe temporal du cerveau. Les lobes temporaux sont situés sur les côtés de votre tête, juste derrière vos yeux.

Il existe deux types principaux de crises dans l'épilepsie du lobe temporal : les crises complexes et les crises simples. Les crises complexes, également appelées crises avec perte de conscience ou crises focales compliquées, impliquent souvent une altération de la conscience ou du comportement. La personne peut regarder vide, se comporter bizarrement, ou effectuer des mouvements automatiques comme se frotter les mains ou se mordre la langue. Les crises simples, ou crises focales simples, ne causent pas de perte de conscience et la personne peut continuer à interagir avec son environnement pendant la crise.

Les causes de l'épilepsie du lobe temporal peuvent inclure des lésions cérébrales antérieures, telles qu'un accident vasculaire cérébral ou une infection, ou des anomalies congénitales. Dans certains cas, la cause est inconnue. Le diagnostic est généralement posé sur la base d'un examen clinique, d'une évaluation des antécédents médicaux et de résultats d'examens complémentaires tels qu'un électroencéphalogramme (EEG) ou une imagerie cérébrale.

Le traitement de l'épilepsie du lobe temporal implique généralement des médicaments anticonvulsivants. Dans certains cas, la chirurgie peut être recommandée si les médicaments ne contrôlent pas adéquatement les crises.

Le statut épileptique est une condition médicale grave caractérisée par une crise épileptique prolongée ou deux crises successives sans que la personne ne retrouve un état de conscience normal entre les deux. Il s'agit d'une urgence médicale qui nécessite une prise en charge rapide, car elle peut entraîner des dommages cérébraux permanents ou même la mort si elle n'est pas traitée rapidement.

Les crises épileptiques sont généralement définies comme étant prolongées si elles durent plus de cinq minutes, bien que certaines sources puissent considérer qu'une crise qui dure plus de trois minutes est déjà anormale et nécessite une intervention médicale urgente.

Les causes du statut épileptique peuvent être variées, allant de facteurs déclenchants tels que le stress, la fièvre ou l'absence de traitement adéquat d'une crise épileptique préexistante, à des causes plus graves telles qu'un traumatisme crânien, une infection cérébrale, un accident vasculaire cérébral ou une tumeur cérébrale.

Le traitement du statut épileptique dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des médicaments anticonvulsivants, une oxygénothérapie, une surveillance étroite de la fonction cardiorespiratoire et, dans les cas graves, une intervention chirurgicale. Dans tous les cas, il est essentiel de consulter rapidement un médecin en cas de suspicion de statut épileptique.

La définition médicale de « Epilepsy, Reflex » est la suivante :

Le reflex epilepsy est un type d'épilepsie qui est déclenché par des stimuli spécifiques et répétitifs. Ces stimuli peuvent être sensoriels, cognitifs ou psychogènes. Les exemples courants de reflex epilepsy comprennent l'epilepsie photosensible, où les crises sont déclenchées par des flashs lumineux ou des motifs à haute fréquence ; l'epilepsie tactile, où les crises sont provoquées par des stimuli tactiles spécifiques ; et l'epilepsie auditive, où les crises sont déclenchées par des sons spécifiques.

Dans certains cas, les personnes atteintes de reflex epilepsy peuvent développer des crises sans la présence du stimulus déclencheur après une période de temps. Cette condition est appelée épilepsie réflexe symptomatique. Le traitement de l'épilepsie réflexe dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments antiépileptiques, la modification du mode de vie pour éviter les déclencheurs et, dans certains cas, la chirurgie.

En médecine, l'embrasement (ou conflagration en termes plus formels) est un terme utilisé pour décrire une situation où il y a une propagation rapide et incontrôlable d'une maladie, d'une infection ou d'une réaction inflammatoire dans tout le corps. Cela peut se produire lorsqu'un processus pathologique local s'étend rapidement à travers la circulation sanguine, entraînant une défaillance potentiellement mortelle de plusieurs organes.

Un exemple courant est l'embrasement septique, qui survient lorsque le système immunitaire réagit de manière excessive à une infection, libérant une cascade de cytokines et d'autres molécules inflammatoires dans la circulation sanguine. Cela peut entraîner une inflammation généralisée, une hypotension, une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) et d'autres complications graves.

Le traitement de l'embrasement nécessite une prise en charge agressive et rapide, y compris des soins intensifs, une antibiothérapie à large spectre, une thérapie de support et souvent des interventions telles que la dialyse rénale ou la ventilation mécanique.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une petite erreur dans votre requête. Il n'y a pas de terme médical communément reconnu appelé "Flurotyl". Cependant, il existe un médicament appelé "flunitrazépam" qui est sometimes referred to in a shortened form as "Flurotyl".

Le flunitrazépam est un médicament appartenant à la classe des benzodiazépines, qui sont souvent prescrits pour traiter les troubles du sommeil et l'anxiété. Il agit en augmentant l'activité d'un neurotransmetteur inhibiteur dans le cerveau appelé GABA (acide gamma-aminobutyrique), ce qui a un effet sédatif, relaxant musculaire, et potentialisateur de l'inhibition.

Il est important de noter que le flunitrazépam est considéré comme un médicament contrôlé en raison de son potentiel élevé d'abus et de dépendance. Il doit être utilisé sous la supervision étroite d'un professionnel de la santé et ne doit pas être arrêté brusquement sans consulter un médecin, car cela peut entraîner des symptômes de sevrage graves.

La pilocarpine est un agent parasympathomimétique, ce qui signifie qu'il imite l'action de l'acétylcholine, un neurotransmetteur dans le corps qui stimule certaines cellules nerveuses et muscles.

Plus spécifiquement, la pilocarpine active les récepteurs muscariniques de la jonction neuromusculaire et des glandes exocrines, entraînant une augmentation de la sécrétion de sueur, de salive et d'autres sécrétions.

Elle est souvent utilisée dans le traitement du glaucome pour réduire la pression intraoculaire en augmentant le flux d'humeur aqueuse hors de l'œil. Elle peut également être utilisée pour traiter la bouche sèche sévère (xérostomie) causée par des médicaments ou des radiations dans la tête et le cou.

Les effets secondaires courants de la pilocarpine comprennent une sudation excessive, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des maux de tête et des troubles visuels. Dans de rares cas, elle peut provoquer des réactions allergiques graves.

L'acide kaïnique est un dérivé de l'acide glutamique, qui est un acide aminé naturellement présent dans le cerveau et qui joue un rôle important dans la transmission des signaux nerveux. L'acide kaïnique est souvent utilisé en recherche médicale comme un agoniste des récepteurs du glutamate, ce qui signifie qu'il se lie à ces récepteurs et les active, entraînant une série de réponses cellulaires.

L'acide kaïnique est connu pour ses effets excitotoxiques, ce qui signifie qu'à des concentrations élevées, il peut provoquer la mort des neurones en surexcitant les récepteurs du glutamate. Ce phénomène a été étudié dans le cadre de diverses affections neurologiques, telles que l'épilepsie et la maladie d'Alzheimer.

En bref, l'acide kaïnique est un outil important en recherche médicale pour étudier les mécanismes de la transmission des signaux nerveux et les effets excitotoxiques sur le cerveau.

Le Piracétam est un médicament cognitivement stimulant, appartenant à la classe des nootropiques. Il est largement utilisé dans le traitement de divers troubles neurologiques et cognitifs, tels que la démence, les troubles de l'apprentissage et de la mémoire, ainsi que pour aider à prévenir les accidents vasculaires cérébraux et améliorer les fonctions cérébrales globales.

Le Piracétam agit en modulant l'activité des neurotransmetteurs dans le cerveau, tels que l'acétylcholine et le glutamate, ce qui peut entraîner une amélioration de la mémoire, de l'humeur, de la concentration et de la capacité d'apprentissage. Il est également connu pour améliorer la circulation sanguine dans le cerveau, ce qui peut aider à protéger les cellules cérébrales contre les dommages et à favoriser leur survie.

Le Piracétam est disponible sous forme de comprimés, de gélules ou de solution liquide et est généralement bien toléré, avec peu d'effets secondaires graves signalés. Cependant, il est important de noter que l'utilisation du Piracétam doit être supervisée par un professionnel de la santé qualifié, car il peut interagir avec d'autres médicaments et conditions médicales préexistantes.

Les spasmes infantiles, également connus sous le nom de syndrome de West ou d'épilepsie myoclonique du nourrisson, sont un type rare mais grave de convulsions et d'épilepsie chez les nourrissons. Ils se manifestent généralement entre 3 et 12 mois après la naissance.

Les spasmes infantiles se caractérisent par des mouvements soudains, rapides et brusques du corps ou des membres, qui durent moins de deux secondes. Ces mouvements ressemblent à ceux d'un chat qui étire ses pattes arrière. Les spasmes peuvent se produire en salves ou en séries, souvent après le réveil ou pendant le sommeil.

Les nourrissons atteints de cette condition peuvent également présenter un retard du développement et une perte des acquis précédemment atteints, tels que la capacité à s'asseoir, à ramper ou à parler. Les spasmes infantiles sont souvent associés à des anomalies cérébrales structurelles ou fonctionnelles, telles qu'une lésion cérébrale, une malformation congénitale ou une encéphalopathie.

Le traitement des spasmes infantiles implique généralement l'utilisation de médicaments anticonvulsivants, tels que le vigabatrin ou le cannabidiol, ainsi qu'une prise en charge multidisciplinaire pour soutenir le développement du nourrisson. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour traiter les lésions cérébrales sous-jacentes.

L'hippocampus est une structure du cerveau en forme de cheval de mer, située dans la région médiale temporale du lobe temporal. Il joue un rôle crucial dans le processus de formation de la mémoire à long terme, en particulier pour les souvenirs déclaratifs et spatiaux. Les neurones de l'hippocampus sont également importants pour la navigation et la reconnaissance des environnements. Des anomalies ou des dommages à cette région peuvent entraîner des troubles de la mémoire, tels que ceux observés dans la maladie d'Alzheimer.

La carbamazépine est un médicament anticonvulsivant utilisé pour traiter l'épilepsie et certains types de douleurs neuropathiques. Il fonctionne en réduisant les saisies nerveuses excessives dans le cerveau. Dans certains cas, il peut également être prescrit hors indication pour traiter d'autres conditions telles que les troubles bipolaires.

Le médicament est disponible sous forme de comprimés ou de suspension orale et doit être pris selon les directives d'un professionnel de la santé. Les effets secondaires courants peuvent inclure des étourdissements, des nausées, des vomissements, des maux de tête, des éruptions cutanées et une somnolence. Dans de rares cas, il peut provoquer des réactions allergiques graves ou affecter le nombre de cellules sanguines dans l'organisme.

Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques et de signaler tout effet indésirable à un professionnel de la santé. La carbamazépine peut interagir avec d'autres médicaments, y compris certains antidépresseurs, antibiotiques et contraceptifs oraux, il est donc essentiel d'informer le médecin de tous les autres médicaments pris.

En résumé, la carbamazépine est un médicament anticonvulsivant utilisé pour traiter l'épilepsie et certains types de douleurs neuropathiques. Il doit être pris sous surveillance médicale stricte en raison des risques potentiels d'effets secondaires graves et d'interactions médicamenteuses.

La phénytoïne est un anticonvulsivant, utilisé principalement dans le traitement et la prévention des crises épileptiques. Il agit en régulant l'activité électrique dans le cerveau en réduisant l'excitabilité neuronale. La phénytoïne est également utilisée dans le traitement du trouble bipolaire et comme anti-arythmique pour certains types de battements cardiaques irréguliers. Les effets secondaires courants peuvent inclure des étourdissements, une somnolence, des nausées, des éruptions cutanées et des problèmes de coordination. Des niveaux sanguins excessifs de phénytoïne peuvent entraîner une toxicité, qui peut se manifester par des symptômes tels que des tremblements, une vision double, une confusion, une perte d'équilibre et une sensation de engourdissement ou picotement dans les mains et les pieds.

La épilepsie post-traumatique (EPT) est un type de épilepsie qui se développe después de una lesión cerebral traumática (LCT). La LCT puede ser causada por una variedad de eventos, como un accidente automovilístico, una caída, un trauma contuso o penetrante al cerebro, o un shock eléctrico.

Para que se diagnostique la EPT, generalmente se requiere que la primera convulsión ocurra dentro de los siete días posteriores a la lesión cerebral. Sin embargo, algunos estudios sugieren que las convulsiones que ocurren más tarde también pueden estar relacionadas con la lesión cerebral y, por lo tanto, también se consideran parte de la EPT.

La EPT puede presentarse como convulsiones recurrentes, pero también puede manifestarse como deterioro cognitivo, cambios de personalidad o problemas emocionales. El tratamiento de la EPT generalmente implica el uso de medicamentos antiepilépticos para controlar las convulsiones y la rehabilitación para ayudar a mejorar los déficits cognitivos y funcionales resultantes de la lesión cerebral. En algunos casos, la cirugía puede ser una opción de tratamiento si los medicamentos no son efectivos en el control de las convulsiones.

L'encéphale est la structure centrale du système nerveux situé dans la boîte crânienne. Il comprend le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral. L'encéphale est responsable de la régulation des fonctions vitales telles que la respiration, la circulation sanguine et la température corporelle, ainsi que des fonctions supérieures telles que la pensée, la mémoire, l'émotion, le langage et la motricité volontaire. Il est protégé par les os de la boîte crânienne et recouvert de trois membranes appelées méninges. Le cerveau et le cervelet sont floating dans le liquide céphalo-rachidien, qui agit comme un coussin pour amortir les chocs et les mouvements brusques.

Électrochoc, également connu sous le nom de thérapie électroconvulsive (TEC), est une procédure médicale dans laquelle des courants électriques sont passés à travers le cerveau pour provoquer une convulsion généralisée contrôlée. Il est principalement utilisé comme traitement pour les troubles psychiatriques graves tels que la dépression sévère qui ne répond pas aux autres formes de traitement, y compris les médicaments.

L'Electroshock est généralement administré sous anesthésie générale et avec un muscle relaxant pour prévenir les blessures physiques pendant la convulsion. Les effets secondaires à court terme peuvent inclure confusion, maux de tête, nausées et perte de mémoire à court terme. Bien que l'utilisation d'Electroshock ait été controversée dans le passé en raison des risques potentiels pour la mémoire et le cerveau, il est considéré comme un traitement sûr et efficace lorsqu'il est utilisé correctement sous la surveillance de professionnels de la santé mentale expérimentés.

L'épilepsie du lobe frontal est un type d'épilepsie focale qui prend origine dans le lobe frontal du cerveau. Cette région du cerveau est responsable de fonctions telles que le mouvement volontaire, l'expression faciale, le langage et la pensée complexe.

Les crises d'épilepsie du lobe frontal peuvent être très variées, allant de mouvements anormaux subtils à des convulsions généralisées. Les symptômes courants incluent des mouvements saccadés ou rythmiques des membres, des cris soudains, une rigidité ou des secousses musculaires, une perte de conscience partielle ou totale, et des changements soudains d'humeur ou de comportement.

Les crises peuvent survenir à tout moment de la journée, mais sont souvent plus fréquentes pendant le sommeil. Les personnes atteintes d'épilepsie du lobe frontal peuvent également présenter des symptômes interictaux tels que des changements de personnalité, des problèmes de mémoire et des difficultés de concentration.

Le diagnostic de l'épilepsie du lobe frontal repose sur l'histoire clinique, les résultats de l'examen neurologique et les enregistrements vidéo-EEG. Le traitement peut inclure des médicaments antiépileptiques, la chirurgie ou d'autres thérapies telles que la stimulation du nerf vague.

La chaîne de navires voltage-gated NaV1.1, également connue sous le nom de SCN1A, est un type spécifique de canal sodium qui joue un rôle crucial dans la génération et la propagation des potentiels d'action dans les neurones. Il s'agit d'un canal sodium dépendant du voltage qui est sensible aux changements du potentiel membranaire et qui permet le flux d'ions sodium dans la cellule lorsqu'il est actif.

Le canal NaV1.1 est largement exprimé dans le système nerveux central, en particulier dans les corps corticaux et les fibres myélinisées des neurones. Il joue un rôle important dans l'initiation et la propagation des potentiels d'action le long des axones, en particulier dans les régions non myélinisées de l'arbre dendritique.

Les mutations du gène SCN1A peuvent entraîner diverses maladies neurologiques, notamment l'épilepsie généralisée avec pointes-ondes polyspiques et absence (GEFS+), le syndrome de Dravet et d'autres formes d'épilepsie. Ces mutations peuvent entraîner une altération de la fonction du canal NaV1.1, ce qui peut perturber l'équilibre des ions sodium dans les neurones et entraîner une hyperexcitabilité neuronale et une épilepsie.

Je suis désolé, mais "Enregistrement Vidéo" en soi n'est pas une définition médicale spécifique. Cependant, l'enregistrement vidéo peut être utilisé dans un contexte médical pour documenter des procédures médicales, des consultations, des entretiens ou des symptômes visibles du patient. Ces enregistrements sont utilisés à des fins de surveillance, d'enseignement, de recherche et de documentation médico-légale. Ils doivent être réalisés avec le consentement éclairé du patient, sauf dans certaines circonstances spécifiques où la loi l'autorise sans ce consentement.

La vigabatrine est un anticonvulsivant, un type de médicament utilisé pour traiter l'épilepsie. Il agit en bloquant certains neurotransmetteurs dans le cerveau, ce qui aide à réduire la propagation de l'activité convulsive.

La vigabatrine est spécifiquement un inhibiteur de la gamma-aminobutyric acid transaminase (GABA-T), une enzyme qui dégrade l'acide gamma-aminobutyrique (GABA), un neurotransmetteur inhibiteur important dans le cerveau. En inhibant cette enzyme, la vigabatrine augmente les niveaux de GABA disponibles dans le cerveau, ce qui aide à contrôler l'activité convulsive.

La vigabatrine est souvent utilisée pour traiter les crises partielles complexes et les crises tonico-cloniques généralisées chez les adultes et les enfants de plus de 2 ans. Elle peut être prise seule ou en combinaison avec d'autres médicaments anticonvulsivants.

Les effets secondaires courants de la vigabatrine comprennent des étourdissements, une somnolence, des maux de tête, des nausées et des vomissements. Dans de rares cas, elle peut également causer des problèmes oculaires graves tels qu'une vision floue ou une perte de vision périphérique. Par conséquent, les patients prenant de la vigabatrine doivent faire l'objet d'un suivi régulier pour dépister tout effet indésirable sur la vue.

Une lobectomie temporale antérieure est une procédure chirurgicale dans laquelle une partie ou la totalité du lobe temporal du cerveau est enlevée. Cette région du cerveau se trouve derrière l'os situé à la tempe et contient des structures importantes telles que l'hippocampus, qui joue un rôle crucial dans la formation de la mémoire.

Dans le cas d'une lobectomie temporale antérieure, c'est généralement une partie du lobe temporal qui est retirée, souvent comme traitement pour des crises d'épilepsie réfractaires (qui ne répondent pas aux autres formes de traitement). Cette procédure vise à éliminer la source des crises épileptiques en retirant le tissu cérébral endommagé ou mal fonctionnant.

Il est important de noter que cette intervention comporte des risques, tels que des changements possibles dans les capacités cognitives et émotionnelles, car le lobe temporal contient également des zones liées au langage, à l'audition et aux émotions. Par conséquent, une évaluation approfondie et un plan de traitement personnalisé sont nécessaires avant d'entreprendre cette procédure.

Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.

Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.

Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.

Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.

Le diazépam est un médicament appartenant à une classe de médicaments appelés benzodiazépines. Il agit en augmentant l'activité d'un neurotransmetteur inhibiteur dans le cerveau appelé GABA (acide gamma-aminobutyrique). Cela a un effet calmant et relaxant sur les muscles, et il est souvent utilisé pour traiter l'anxiété, les spasmes musculaires, les convulsions et les troubles du sommeil.

Le diazépam est disponible sous forme de comprimés, de solutions liquides et de solutions injectables. Il est généralement prescrit à court terme en raison du risque de dépendance et de tolérance. Les effets secondaires courants du diazépam peuvent inclure la somnolence, l'étourdissement, la faiblesse, la fatigue, la perte de coordination et la confusion.

Il est important de suivre les instructions posologiques de votre médecin lorsque vous prenez du diazépam et de ne pas arrêter brusquement de prendre le médicament si vous l'avez utilisé régulièrement pendant une période prolongée, car cela peut entraîner des symptômes de sevrage désagréables.

Je suis désolé, mais la phrase "Maladies Expérimentales" ne correspond pas à une définition médicale spécifique. Le terme "maladie expérimentale" peut faire référence à des études ou recherches scientifiques dans lesquelles des maladies sont simulées ou créées dans un laboratoire, généralement sur des animaux de laboratoire, pour mieux comprendre la pathogenèse, le développement et les traitements possibles d'une maladie. Cependant, il ne s'agit pas d'un terme médical standardisé. Si vous cherchez des informations sur une procédure ou un concept médical spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

Le valproate est un médicament utilisé dans le traitement des troubles neurologiques et psychiatriques. Il est disponible sous différentes formes, notamment l'acide valproïque, le valproate de sodium et le valpromidate. Le valproate est principalement prescrit pour le traitement des crises d'épilepsie, car il peut aider à réduire la fréquence et l'intensité des convulsions. Il est également utilisé dans le traitement du trouble bipolaire et de la migraine.

Le valproate agit en augmentant les niveaux de neurotransmetteurs inhibiteurs dans le cerveau, tels que le GABA (acide gamma-aminobutyrique), ce qui aide à réguler l'activité électrique anormale des neurones. Les effets secondaires courants du valproate peuvent inclure des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des étourdissements, des maux de tête et des troubles de la coordination.

Il est important de noter que le valproate peut avoir des effets tératogènes importants pendant la grossesse, entraînant un risque accru de malformations congénitales graves chez le fœtus. Par conséquent, il est généralement recommandé d'éviter l'utilisation du valproate pendant la grossesse si possible, et les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement.

Benigne Neonatal Epilepsy (BNE) est un type rare d'épilepsie qui se produit chez les nouveau-nés pendant les premiers mois de leur vie. Le terme "benign" est utilisé ici pour décrire le fait que l'état est généralement autolimité et a tendance à disparaître spontanément au cours de la première ou deuxième année de vie, sans causer de dommages neurologiques permanents.

Les crises associées à BNE sont souvent caractérisées par des mouvements cloniques (des contractions rythmiques) d'un seul groupe musculaire ou d'un côté du corps. Ces crises peuvent être déclenchées par le réveil, l'alimentation ou d'autres stimuli sensoriels.

BNE est souvent causé par des mutations génétiques spécifiques et peut se produire dans le cadre de certaines syndromes neurogénétiques. Cependant, dans certains cas, la cause sous-jacente peut rester inconnue. Le diagnostic repose généralement sur l'observation des crises, l'historique clinique et les résultats d'examens complémentaires tels que l'EEG (électroencéphalogramme) et l'IRM (imagerie par résonance magnétique).

Il est important de noter que, bien que BNE soit considéré comme bénin en raison de son caractère autolimité, une prise en charge appropriée des crises est nécessaire pour prévenir les complications à court terme et assurer le confort et le bien-être du nouveau-né.

La myoclonie épilepsie juvénile (JME) est un type d'épilepsie caractérisée par des secousses musculaires brusques et involontaires appelées myoclonies. Ces secousses peuvent affecter une partie du corps ou tout le corps et peuvent se produire de manière isolée ou en série. Les crises de JME sont généralement déclenchées par des stimuli sensoriels tels que le bruit, la lumière ou le toucher, et ont tendance à s'aggraver avec l'excitation émotionnelle ou le stress.

Les symptômes de JME commencent généralement à l'adolescence ou au début de l'âge adulte, bien que des cas précoces aient été décrits. Les personnes atteintes de JME peuvent également présenter d'autres types de crises épileptiques, telles que des absences et des convulsions tonico-cloniques généralisées.

JME est souvent héréditaire et est causée par des mutations dans certains gènes qui affectent la façon dont les neurones communiquent dans le cerveau. Le diagnostic de JME repose sur l'histoire clinique, les résultats de l'examen neurologique et les résultats de l'électroencéphalogramme (EEG), qui peuvent montrer des modèles caractéristiques d'activité cérébrale.

Le traitement de JME implique généralement la prise de médicaments anticonvulsivants pour contrôler les crises. Les options de traitement comprennent la lamotrigine, le valproate et le topiramate. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour les personnes qui ne répondent pas au traitement médicamenteux.

Les personnes atteintes de JME peuvent également bénéficier d'un soutien psychologique et éducatif pour faire face aux défis associés à la gestion des crises et à la vie avec une maladie chronique.

Les électrodes implantées sont des dispositifs médicaux utilisés dans le traitement de diverses affections neurologiques et cardiaques. Elles sont insérées chirurgicalement dans des parties spécifiques du corps, telles que le cerveau, la moelle épinière ou le muscle cardiaque.

Dans le cerveau, elles peuvent être utilisées pour stimuler certaines régions afin de contrôler les mouvements dans des maladies comme la maladie de Parkinson ou pour traiter l'épilepsie en détectant et en interrompant les crises. Dans le muscle cardiaque, elles sont souvent utilisées dans les dispositifs de resynchronisation cardiaque pour aider à coordonner la contraction du cœur chez les patients atteints d'insuffisance cardiaque congestive sévère.

Les électrodes implantées consistent généralement en un fil ou une sonde conductrice avec un ou plusieurs éléments d'enregistrement ou de stimulation à son extrémité. Ces éléments sont souvent recouverts d'un matériau biocompatible pour réduire le risque de rejet par le corps. Le fil est ensuite passé sous la peau jusqu'à ce qu'il atteigne un boîtier externe qui contient la batterie et l'électronique nécessaires pour traiter les signaux.

Comme avec toute intervention chirurgicale, il existe des risques associés à l'implantation d'électrodes, tels que l'infection, la migration de l'électrode et les réactions indésirables du corps. Cependant, pour de nombreux patients, les avantages de ce traitement peuvent dépasser ces risques.

La psychochirurgie, également connue sous le nom de neurochirurgie fonctionnelle ou de chirurgie cérébrale stéréotaxique, est un type de procédure neurochirurgicale qui implique l'altération délibérée des structures cérébrales pour traiter certaines conditions mentales et neurologiques graves et réfractaires. Historiquement, la psychochirurgie a été pratiquée dans le passé pour traiter une variété de troubles mentaux, tels que la schizophrénie et la dépression sévère, mais elle est actuellement largement limitée à des indications très spécifiques et restreintes.

Les procédures de psychochirurgie consistent généralement à créer de petites lésions dans certaines régions ciblées du cerveau en utilisant diverses techniques, telles que la thermocoagulation par radiofréquence, la stimulation ultrasonique focalisée des faisceaux ou le traitement au gamma-knife. Ces interventions sont conçues pour modifier de manière sélective la connectivité et la fonctionnalité des circuits neuronaux impliqués dans les processus pathologiques sous-jacents aux troubles mentaux ciblés.

Actuellement, les indications approuvées pour la psychochirurgie comprennent principalement le traitement de certaines affections neurologiques et psychiatriques graves et réfractaires, telles que:

1. Troubles obsessionnels compulsifs (TOC) sévères et réfractaires: Dans ces cas, des lésions ciblées peuvent être créées dans les noyaux gris centraux ou dans le cortex cingulaire antérieur pour soulager les symptômes invalidants.

2. Épilepsie réfractaire: Lorsque les médicaments et d'autres traitements ne parviennent pas à contrôler efficacement les crises épileptiques, une chirurgie ciblée peut être envisagée pour éliminer ou désactiver la zone du cerveau responsable des crises.

3. Douleur chronique réfractaire: Dans certains cas, des lésions ciblées peuvent être créées dans les voies de la douleur pour soulager les symptômes chez les patients atteints de douleurs chroniques sévères et réfractaires.

4. Syndrome de Gilles de la Tourette (SGT) sévère et réfractaire: Dans ces cas, des lésions ciblées peuvent être créées dans le thalamus ou dans le cortex cingulaire antérieur pour soulager les symptômes invalidants.

5. Maladie de Parkinson avancée: Lorsque les médicaments ne parviennent pas à contrôler efficacement les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson, une chirurgie ciblée peut être envisagée pour éliminer ou désactiver la zone du cerveau responsable des symptômes.

Il est important de noter que ces interventions sont considérées comme des traitements de dernier recours et ne sont envisagées qu'après l'échec d'autres options thérapeutiques moins invasives. De plus, les risques et les avantages doivent être soigneusement évalués au cas par cas pour chaque patient.

Ethosuximide est un médicament prescrit principalement pour le traitement des crises d'épilepsie, en particulier dans le type d'absence ou petit mal épilepsie. Il fonctionne en réduisant l'excitation anormale des cellules cérébrales ou des neurones qui provoquent des convulsions.

L'ethosuximide est un succinimide, une classe de médicaments antiépileptiques. Il agit en modifiant le fonctionnement des canaux sodiques voltage-dépendants dans le cerveau. Ces canaux jouent un rôle crucial dans la génération et la propagation des impulsions électriques dans les neurones. En modulant leur activité, l'ethosuximide peut aider à prévenir les crises d'épilepsie.

Comme avec tout médicament, l'utilisation de l'ethosuximide peut entraîner des effets secondaires, notamment des nausées, des vomissements, des maux de tête, de la somnolence, des étourdissements et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques graves ou des pensées suicidaires. Il est important que les patients discutent avec leur médecin de tous les risques potentiels avant de commencer à prendre ce médicament.

En plus du traitement de l'épilepsie, l'ethosuximide peut également être utilisé hors indication pour d'autres conditions, telles que le trouble des conduites et le trouble explosif intermittent. Toutefois, cela ne doit être fait qu'après une évaluation approfondie des bénéfices potentiels par rapport aux risques possibles.

Le cortex cérébral, également connu sous le nom de cortex ou écorce, est la structure extérieure et la plus externe du cerveau. Il s'agit d'une fine couche de tissu nerveux gris qui recouvre les hémisphères cérébraux et joue un rôle crucial dans de nombreuses fonctions cognitives supérieures, telles que la perception sensorielle, la pensée consciente, la mémoire, l'attention, le langage, l'apprentissage et les décisions volontaires.

Le cortex cérébral est divisé en plusieurs régions ou lobes, chacun étant responsable de différents types de traitement de l'information. Les principaux lobes du cortex cérébral sont le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe temporal et le lobe occipital. Le cortex cérébral contient également des sillons et des circonvolutions qui augmentent la surface et la capacité de traitement de l'information du cerveau.

Le cortex cérébral est composé de deux types de cellules nerveuses : les neurones et les cellules gliales. Les neurones sont responsables du traitement et de la transmission des informations, tandis que les cellules gliales fournissent un soutien structurel et métabolique aux neurones.

Le cortex cérébral est une structure complexe et hautement organisée qui est le siège de nombreuses fonctions supérieures du cerveau. Des dommages au cortex cérébral peuvent entraîner des déficiences cognitives, sensorielles et motrices.

Les malformations du développement cortical (MDC) représentent un groupe hétérogène d'anomalies congénitales du cerveau qui affectent la structure et la fonction du cortex cérébral. Elles résultent de perturbations survenant pendant la période critique du développement neuronal, qui s'étend de la neuvième semaine de gestation à la fin de la vingt-quatrième semaine.

Les MDC peuvent être classées en trois catégories principales :

1. Malformations focales : Elles sont dues à des anomalies localisées dans une région spécifique du cortex cérébral. Les exemples incluent la schizencéphalie, l'ectopie péricentrique et l'hétérotopie sous-corticale.
2. Malformations diffuses : Elles concernent des anomalies plus largement réparties dans le cortex cérébral. Les exemples comprennent la lissencéphalie, la pachygyrie et la polymicrogyrie.
3. Malformations mixtes : Elles combinent à la fois des caractéristiques focales et diffuses.

Les MDC peuvent être causées par des facteurs génétiques, environnementaux ou une combinaison des deux. Les conséquences cliniques varient considérablement en fonction de l'étendue et de la localisation des anomalies, allant d'un retard mental léger à une déficience intellectuelle sévère, ainsi qu'à des troubles moteurs, épileptiques et sensoriels. Le diagnostic repose sur l'imagerie médicale, telle que l'IRM, et peut être confirmé par des tests génétiques moléculaires. Le traitement est généralement symptomatique et dépend de la présentation clinique spécifique de chaque patient.

La sclérose est un terme médical qui décrit le processus de durcissement et d'épaississement des tissus conjonctifs dans le corps. Cela se produit lorsque les fibres de collagène dans ces tissus deviennent excessives ou anormalement organisées, ce qui entraîne une perte de flexibilité et de fonction. La sclérose peut affecter divers organes et tissus du corps, y compris la peau, les muscles, les tendons, les os, les vaisseaux sanguins et les organes internes.

Dans certains cas, la sclérose est une réponse normale à une blessure ou à une maladie sous-jacente. Cependant, dans d'autres cas, cela peut être le résultat d'une maladie auto-immune ou dégénérative, telle que la sclérose en plaques (SEP) ou la sclérodermie. Dans ces conditions, le système immunitaire du corps attaque et endommage les tissus conjonctifs, entraînant une sclérose progressive.

Les symptômes de la sclérose dépendent de l'emplacement et de la gravité de la maladie. Ils peuvent inclure des douleurs articulaires, des raideurs musculaires, des engourdissements, des picotements, une fatigue extrême et des problèmes respiratoires ou digestifs. Le traitement dépend également de la cause sous-jacente de la sclérose et peut inclure des médicaments, des thérapies physiques ou des changements de style de vie.

Une diète cétogène est un type de régime alimentaire à très faible teneur en glucides et riche en graisses qui est conçu pour imiter les effets métaboliques du jeûne. Lorsqu'une personne suit un régime cétogène, son corps passe à un état de cétose, où il brûle les graisses pour l'énergie au lieu des glucides.

Ce processus entraîne la production accrue de molécules appelées cétones, qui peuvent être utilisées comme source d'énergie alternative pour le cerveau et d'autres organes. Les régimes cétogènes sont souvent utilisés dans le traitement de certaines conditions médicales, telles que l'épilepsie réfractaire chez les enfants, ainsi que dans la gestion du poids et le contrôle de la glycémie chez les personnes atteintes de diabète de type 2.

Les régimes cétogènes sont généralement très restrictifs en termes de glucides et peuvent inclure des aliments tels que des viandes, des poissons, des œufs, des produits laitiers gras, des noix et des légumes à faible teneur en glucides. Les aliments riches en glucides tels que les céréales, les fruits, les légumineuses et les sucres ajoutés sont généralement évités.

Il est important de noter que les régimes cétogènes ne sont pas appropriés pour tout le monde et peuvent entraîner des effets secondaires indésirables tels que la constipation, la fatigue, les nausées et les maux de tête. Avant de commencer un régime cétogène, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour déterminer si cela convient à vos besoins et à votre état de santé général.

Les troubles de la conscience sont des désordres qui affectent l'état de conscience d'une personne, c'est-à-dire sa capacité à être consciente de son environnement et de ses propres pensées et sentiments. Ces troubles peuvent varier en gravité, allant d'un état de somnolence ou de confusion légère à un coma profond.

Les causes possibles des troubles de la conscience incluent des lésions cérébrales traumatiques, des maladies neurologiques telles que l'encéphalopathie ou l'épilepsie, des infections cérébrales, une privation d'oxygène, un manque de sucre dans le sang, une intoxication aux drogues ou à l'alcool, et certaines maladies métaboliques.

Les symptômes des troubles de la conscience peuvent inclure une réduction de la vigilance, une altération de la capacité à répondre aux stimuli, une confusion mentale, des hallucinations, des illusions, des changements de comportement et d'humeur, ainsi que des difficultés à communiquer ou à se souvenir.

Le diagnostic et le traitement des troubles de la conscience dépendent de la cause sous-jacente et peuvent inclure une combinaison de médicaments, de thérapies de réadaptation, de soins de soutien et de surveillance continue. Dans certains cas, les troubles de la conscience peuvent être réversibles avec un traitement approprié, mais dans d'autres, ils peuvent entraîner des dommages permanents ou même la mort.

La neurocysticercose est une infection parasitaire du système nerveux central causée par le développement de larves (métacestodes) de Taenia solium, un ver plat connu sous le nom de ténia porcin ou ténia du porc. Lorsque les œufs de T. solium sont ingérés, généralement via une mauvaise hygiène alimentaire en mangeant des aliments contaminés par des excréments humains, ils peuvent se transformer en larves qui migrent vers divers tissus, y compris le cerveau.

Dans le cerveau, ces larves forment des kystes, appelés kystes neurocysticerqueux. Selon la localisation et le nombre de kystes, les symptômes peuvent varier considérablement. Les kystes intra-parenchymateux (se trouvant dans le tissu cérébral) sont souvent asymptomatiques, mais peuvent entraîner des crises épileptiques, des maux de tête, des modifications de la personnalité ou des troubles cognitifs. Les kystes extra-parenchymateux (se trouvant en dehors du tissu cérébral) peuvent provoquer une méningite, une hydrocéphalie (dilatation des ventricules cérébraux), une myélite (inflammation de la moelle épinière) ou une arachnoïdite (inflammation de la membrane qui entoure le cerveau et la moelle épinière).

Le diagnostic de neurocysticercose repose sur l'imagerie médicale, telle que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que sur des tests sérologiques pour détecter les anticorps contre T. solium. Le traitement peut inclure des médicaments antiparasitaires, tels que l'albendazole ou le praziquantel, en association avec des corticostéroïdes et des anticonvulsivants pour contrôler les crises épileptiques. La prévention de la neurocysticercose passe par l'amélioration de l'hygiène alimentaire et de l'assainissement, en particulier dans les zones où la taeniasis (infection à T. solium) est endémique.

La souche de rat Sprague-Dawley est une souche albinos commune de rattus norvegicus, qui est largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces rats sont nommés d'après les chercheurs qui ont initialement développé cette souche, H.H. Sprague et R.C. Dawley, au début des années 1900.

Les rats Sprague-Dawley sont connus pour leur taux de reproduction élevé, leur croissance rapide et leur taille relativement grande par rapport à d'autres souches de rats. Ils sont souvent utilisés dans les études toxicologiques, pharmacologiques et biomédicales en raison de leur similitude génétique avec les humains et de leur réactivité prévisible aux stimuli expérimentaux.

Cependant, il est important de noter que, comme tous les modèles animaux, les rats Sprague-Dawley ne sont pas parfaitement représentatifs des humains et ont leurs propres limitations en tant qu'organismes modèles pour la recherche biomédicale.

Le lobe temporal est une région de l'encéphale (cerveau) situé dans la partie inférieure et latérale de chaque hémisphère cérébral. Il est délimité par les sillons latéraux et occipitaux. Le lobe temporal contient plusieurs structures importantes, dont le gyrus hippocampique et l'amygdale, qui sont associées à la mémoire et aux émotions. Cette région du cerveau est également responsable de l'audition et du traitement des informations auditives complexes, y compris la compréhension du langage parlé. Des dommages au lobe temporal peuvent entraîner des troubles de la mémoire, des difficultés d'apprentissage, des problèmes de langage et des changements dans le comportement émotionnel.

Les encéphalopathies sont des troubles du fonctionnement cérébral qui peuvent être dus à diverses causes, telles que des infections, des intoxications, une privation d'oxygène, un traumatisme crânien ou une maladie métabolique. Elles se caractérisent par une altération de la conscience, de la cognition, de l'humeur, du comportement et de diverses fonctions cérébrales supérieures. Les encéphalopathies peuvent être aiguës ou chroniques et peuvent entraîner des séquelles neurologiques permanentes ou même le décès si elles ne sont pas traitées rapidement et efficacement.

Les encéphalopathies peuvent être classées en fonction de leur cause sous-jacente, par exemple :

* Encéphalopathie infectieuse : due à une infection virale ou bactérienne du cerveau, comme l'encéphalite herpétique ou la méningo-encéphalite.
* Encéphalopathie métabolique : due à un déséquilibre métabolique, comme l'encéphalopathie hypertensive ou l'encéphalopathie hépatique.
* Encéphalopathie toxique : due à une exposition à des substances toxiques, comme les métaux lourds ou les médicaments.
* Encéphalopathie hypoxique-ischemique : due à une privation d'oxygène ou une mauvaise circulation sanguine vers le cerveau.
* Encéphalopathie post-traumatique : due à un traumatisme crânien ou une commotion cérébrale.

Le diagnostic d'encéphalopathie repose sur l'anamnèse, l'examen clinique, les tests de laboratoire et les examens d'imagerie cérébrale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une oxygénothérapie, une dialyse ou une intervention chirurgicale.

Les neurones, également connus sous le nom de cellules nerveuses, sont les unités fonctionnelles fondamentales du système nerveux. Ils sont responsables de la réception, du traitement, de la transmission et de la transduction des informations dans le cerveau et d'autres parties du corps. Les neurones se composent de trois parties principales : le dendrite, le corps cellulaire (ou soma) et l'axone.

1. Les dendrites sont des prolongements ramifiés qui reçoivent les signaux entrants d'autres neurones ou cellules sensoriques.
2. Le corps cellulaire contient le noyau de la cellule, où se trouvent l'ADN et les principales fonctions métaboliques du neurone.
3. L'axone est un prolongement unique qui peut atteindre une longueur considérable et transmet des signaux électriques (potentiels d'action) vers d'autres neurones ou cellules effectrices, telles que les muscles ou les glandes.

Les synapses sont les sites de communication entre les neurones, où l'axone d'un neurone se connecte aux dendrites ou au corps cellulaire d'un autre neurone. Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques libérées par les neurones pour transmettre des signaux à travers la synapse vers d'autres neurones.

Les neurones peuvent être classés en différents types en fonction de leur morphologie, de leurs propriétés électriques et de leur rôle dans le système nerveux. Par exemple :

- Les neurones sensoriels capturent et transmettent des informations sensorielles provenant de l'environnement externe ou interne vers le cerveau.
- Les neurones moteurs transmettent les signaux du cerveau vers les muscles ou les glandes pour provoquer une réponse motrice ou hormonale.
- Les interneurones sont des neurones locaux qui assurent la communication et l'intégration entre les neurones sensoriels et moteurs dans le système nerveux central.

Les interventions neurochirurgicales sont des procédures médico-chirurgicales complexes qui impliquent l'intervention directe sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) ou périphérique (nerfs crâniens, racines nerveuses et plexus nerveux). Ces interventions sont généralement effectuées par des médecins spécialisés appelés neurochirurgiens.

Elles peuvent être réalisées pour diverses raisons telles que le traitement de tumeurs cérébrales ou spinaux, la décompression des nerfs comprimés, la stabilisation de la colonne vertébrale dans les cas de fractures ou de maladies dégénératives, l'épilepsie, les anévrismes et autres malformations vasculaires cérébrales, les mouvements anormaux comme la maladie de Parkinson, etc.

Les techniques utilisées dans ces interventions varient considérablement, allant de procédures minimales invasives telles que la rhizotomie percutanée et la stimulation cérébrale profonde, à des opérations plus complexes nécessitant une craniotomie ou une laminectomie. Récemment, avec l'avancée de la technologie, certaines interventions neurochirurgicales peuvent également être effectuées à l'aide de robots chirurgicaux contrôlés par le médecin.

Comme toute intervention chirurgicale, les interventions neurochirurgicales comportent des risques et des complications potentielles, y compris, mais sans s'y limiter, l'hémorragie, l'infection, la réaction adverse à l'anesthésie, les dommages aux structures nerveuses environnantes et les effets indésirables liés à la pathologie sous-jacente. Par conséquent, une évaluation approfondie et un consentement éclairé sont essentiels avant de procéder à ces interventions.

La thérapie par électroconvulsivothérapie (ECT), également anciennement appelée thérapie par électrochocs, est une procédure médicale au cours de laquelle des courants électriques sont brièvement appliqués aux lobes temporaux du cerveau, généralement via des électrodes attachées à la tête, pour provoquer une convulsion contrôlée.

L'ECT est utilisée principalement pour traiter certaines affections mentales sévères. Il s'agit notamment de la dépression sévère ou grave qui ne répond pas aux autres traitements, des épisodes maniaques sévères associés au trouble bipolaire, et dans certains cas, de la schizophrénie sévère.

Bien que l'ECT soit souvent décrite négativement dans les médias et la culture populaire, il s'agit d'un traitement sûr et efficace lorsqu'il est correctement administré par des professionnels de la santé mentale qualifiés. Cependant, comme toute procédure médicale, l'ECT comporte certains risques et effets secondaires potentiels, tels que pertes de mémoire à court terme et confusion à court terme. Ces effets sont généralement transitoires, mais dans de rares cas, ils peuvent persister.

Les « ondes cérébrales » ou « brain waves » en anglais, sont des désignations courantes pour décrire l'activité électrique rythmique produite par les neurones du cerveau. Ces oscillations électriques peuvent être mesurées et enregistrées à l'aide d'un électroencéphalogramme (EEG). Les ondes cérébrales sont classées selon leur fréquence, qui s'exprime en hertz (Hz), et sont généralement divisées en cinq catégories :

1. Delta (δ) waves : 0,5-4 Hz. Ces ondes sont dominantes pendant le sommeil profond et chez les nouveau-nés. Elles peuvent aussi être observées dans des états pathologiques tels que le coma ou l'épilepsie.
2. Theta (θ) waves : 4-8 Hz. Ces ondes sont principalement associées au sommeil léger, à la relaxation et à la méditation. Elles peuvent également être observées chez les enfants et pendant certaines activités créatives ou réflexives.
3. Alpha (α) waves : 8-12 Hz. Ces ondes sont généralement associées à un état de repos et de détente, avec des yeux fermés. Elles sont dominantes chez les adultes et peuvent être supprimées par l'attention visuelle ou mentale.
4. Beta (β) waves : 12-30 Hz. Ces ondes sont liées à l'activité cognitive, la concentration, le raisonnement et l'état d'éveil conscient. Elles peuvent être divisées en trois sous-catégories : beta faible (12-15 Hz), beta moyen (15-20 Hz) et beta élevé (20-30 Hz).
5. Gamma (γ) waves : 30-100 Hz. Ces ondes sont associées à des processus cognitifs complexes tels que la perception, l'attention, la mémoire de travail et la conscience de soi. Elles peuvent être divisées en trois sous-catégories : gamma faible (30-50 Hz), gamma moyen (50-70 Hz) et gamma élevé (70-100 Hz).

Il est important de noter que les fréquences des ondes cérébrales ne sont pas strictement définies et peuvent varier d'une personne à l'autre. De plus, différentes activités mentales et physiques peuvent entraîner des changements dans la dominance des ondes cérébrales.

Le gyrus dentatus est une structure anatomique dans le cerveau qui fait partie du système limbique et plus spécifiquement du lobe hippocampique. Il s'agit d'une région située dans le circuit de Papez, qui est associée à la mémoire et aux émotions.

Le gyrus dentatus est composé de cellules granulaires et de cellules mousses, qui sont des neurones importants pour le traitement et l'intégration des informations sensorielles. Il joue un rôle crucial dans la formation de nouveaux souvenirs et dans la consolidation de la mémoire à long terme.

Des anomalies du gyrus dentatus ont été associées à certaines maladies neurologiques, telles que l'épilepsie et la maladie d'Alzheimer. Des études ont montré que les personnes atteintes de ces maladies peuvent présenter une réduction du nombre de cellules dans le gyrus dentatus, ce qui peut contribuer à leurs symptômes.

Les triazines sont un type de composé heterocyclique qui contient trois atomes d'azote et trois atomes de carbone dans leur structure cyclique. Ils forment un sous-groupe des diazines et sont largement utilisés dans l'industrie chimique pour la synthèse de divers produits, y compris les pesticides et les colorants.

Dans le contexte médical, certaines triazines ont été étudiées pour leurs propriétés thérapeutiques potentielles. Par exemple, certaines triazines ont montré des activités antimicrobiennes, antifongiques et antivirales dans des études de laboratoire. Cependant, il convient de noter que la plupart des triazines ne sont pas directement utilisées comme médicaments et nécessitent souvent d'être modifiées chimiquement pour être efficaces à des fins thérapeutiques.

En outre, certaines triazines peuvent également avoir des propriétés toxiques ou cancérigènes, il est donc important de les étudier soigneusement avant de les considérer comme des candidats potentiels pour une utilisation en médecine.

L'intelligence désigne les capacités d'une personne à apprendre, à raisonner, à résoudre des problèmes, à faire preuve de jugement et de pensée abstraite. Un handicap intellectuel, également connu sous le nom de déficience intellectuelle ou retard mental, est un trouble du développement qui affecte ces capacités intellectuelles et la capacité d'une personne à fonctionner de manière indépendante dans la vie quotidienne.

Il est généralement diagnostiqué avant l'âge de 18 ans et peut varier de léger à sévère. Les personnes atteintes de handicap intellectuel peuvent avoir des difficultés à acquérir et à appliquer de nouvelles connaissances, à communiquer efficacement, à prendre soin d'elles-mêmes, à établir des relations sociales et à faire face aux situations stressantes.

Les causes du handicap intellectuel peuvent être génétiques, environnementales ou résulter de complications pendant la grossesse ou la naissance. Il est important de noter que les personnes atteintes de handicap intellectuel ont des capacités et des besoins uniques, et qu'un diagnostic précoce et une intervention appropriée peuvent améliorer considérablement leur qualité de vie et leurs perspectives d'avenir.

Les études rétrospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte rétrospectives ou d'études cas-témoins rétrospectives, sont un type d'étude observationnelle dans laquelle les chercheurs examinent et analysent des données recueillies à partir de dossiers médicaux, de questionnaires ou d'autres sources préexistantes pour tenter de découvrir des relations de cause à effet ou des associations entre des facteurs de risque et des résultats de santé.

Dans ces études, les chercheurs identifient et sélectionnent des participants en fonction de leur exposition à un facteur de risque spécifique ou d'un résultat de santé particulier dans le passé, puis examinent les antécédents médicaux et les données de ces participants pour déterminer si des associations significatives existent entre l'exposition et le résultat.

Les études rétrospectives présentent plusieurs avantages, notamment leur faible coût, la rapidité de réalisation et la possibilité d'inclure un grand nombre de participants. Cependant, elles peuvent également être limitées par des biais potentiels dans la collecte et l'enregistrement des données, ainsi que par l'absence de contrôle sur les variables confondantes qui peuvent affecter les résultats.

En raison de ces limites, les études rétrospectives sont généralement considérées comme moins robustes que les études prospectives, dans lesquelles les participants sont suivis activement au fil du temps pour évaluer l'incidence et la progression des maladies ou des résultats de santé. Néanmoins, elles peuvent fournir des informations précieuses sur les associations entre les facteurs de risque et les résultats de santé, en particulier dans les situations où la réalisation d'études prospectives est difficile ou impossible.

La stimulation du nerf vague (VNS) est une procédure médicale dans laquelle un dispositif implantable génère des impulsions électriques qui sont transmises à un nerf crânien spécifique, le nerf vague. Le nerf vague est le dixième nerf crânien pair et il a des branches qui innervent de nombreuses structures dans le cerveau et le corps.

Dans la stimulation du nerf vague, un générateur d'impulsions électriques est implanté chirurgicalement dans la poitrine du patient, et un fil conducteur est enroulé autour du nerf vague dans le cou. Le générateur d'impulsions peut être programmé pour délivrer des impulsions électriques à des intervalles prédéterminés ou lorsque des événements spécifiques se produisent, tels qu'une crise convulsive dans le traitement de l'épilepsie.

La stimulation du nerf vague est approuvée par la Food and Drug Administration (FDA) pour le traitement de certaines formes d'épilepsie réfractaire et de certains types de dépression résistante au traitement. Il peut également être utilisé hors AMM pour traiter une variété d'autres conditions, telles que les migraines, l'anxiété, le syndrome des jambes sans repos et la douleur chronique.

Les effets secondaires de la stimulation du nerf vague peuvent inclure une toux, une voix rauque ou enrouée, une sensation d'étourdissement ou une gêne au niveau du site d'implantation. Ces effets secondaires sont généralement légers et transitoires.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

L'acide gamma-aminobutyrique (GABA) est un neurotransmetteur inhibiteur dans le système nerveux central des mammifères. Il joue un rôle crucial dans la régulation de l'excitation neuronale et est impliqué dans divers processus physiologiques tels que la relaxation, la somnolence, la douleur, l'anxiété et les crises épileptiques.

Le GABA est synthétisé à partir de l'acide glutamique, un neurotransmetteur excitateur, par l'action d'une enzyme appelée glutamate décarboxylase. Une fois libéré dans la fente synaptique, il se lie aux récepteurs GABAergiques de la membrane postsynaptique des neurones adjacents, entraînant une hyperpolarisation de la membrane et empêchant ainsi l'activation du neurone.

Il existe deux types principaux de récepteurs GABA : les récepteurs ionotropes (GABA-A et GABA-C) et les récepteurs métabotropes (GABA-B). Les récepteurs ionotropes sont des canaux ioniques sensibles au GABA qui permettent le flux d'ions chlorure, entraînant une hyperpolarisation de la membrane. Les récepteurs métabotropes, en revanche, activent des second messagers intracellulaires qui modulent l'activité électrique du neurone.

Le GABA est impliqué dans divers troubles neurologiques et psychiatriques, tels que l'anxiété, la dépression, les crises épileptiques, la schizophrénie et la toxicomanie. Des médicaments qui ciblent le système GABAergique sont souvent utilisés dans le traitement de ces conditions, notamment les benzodiazépines, qui se lient aux récepteurs GABA-A et potentialisent leur activité.

En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.

Le clonazépam est un médicament appartenant à une classe de médicaments appelés benzodiazépines. Il agit en augmentant l'activité d'un neurotransmetteur inhibiteur dans le cerveau appelé GABA (acide gamma-aminobutyrique). Cela a un effet calmant et sédatif sur le système nerveux central.

Le clonazépam est principalement utilisé pour le traitement des crises d'épilepsie, en particulier dans les formes graves ou difficiles à contrôler. Il peut également être prescrit hors AMM pour le traitement de l'anxiété sévère et des troubles du sommeil.

Comme avec tous les médicaments de cette classe, le clonazépam comporte un risque de dépendance et d'abus, en particulier lorsqu'il est utilisé à long terme ou à des doses élevées. Par conséquent, il doit être prescrit avec prudence et sous surveillance médicale étroite. Les effets secondaires courants du clonazépam comprennent la somnolence, l'étourdissement, la faiblesse musculaire et la coordination altérée.

L'âge d'apparition, également connu sous le nom d'âge de début ou d'âge de survenue, fait référence à l'âge auquel une personne développe pour la première fois les symptômes ou manifestations d'une maladie, d'un trouble de santé mentale, d'un handicap ou d'autres conditions médicales. Il peut être exprimé en années, mois ou même semaines après la naissance, selon le type et la gravité de la condition concernée.

L'âge d'apparition est un aspect important du diagnostic et de la prise en charge médicale, car il peut fournir des indices sur les causes sous-jacentes de la maladie, influencer le choix des traitements et des interventions, et aider à prévoir l'évolution et le pronostic de la condition.

Par exemple, certaines maladies génétiques ou congénitales peuvent se manifester dès la naissance ou dans les premiers mois de vie, tandis que d'autres troubles, tels que la maladie d'Alzheimer ou la démence, ne se développent généralement qu'à un âge plus avancé. De même, certains troubles mentaux, comme l'autisme et le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH), peuvent présenter des signes avant-coureurs dès la petite enfance, tandis que d'autres, comme la schizophrénie, peuvent ne se manifester qu'à l'adolescence ou à l'âge adulte.

Il est important de noter que l'âge d'apparition peut varier considérablement d'une personne à l'autre, même au sein d'une même famille ou d'un même groupe de population. Des facteurs tels que les antécédents familiaux, l'environnement, le mode de vie et d'autres facteurs de risque peuvent influencer le moment où une personne développe les symptômes d'une condition donnée.

L'hémisphérectomie est une procédure chirurgicale extrême et rare dans laquelle une grande partie ou l'intégralité d'un hémisphère cérébral (gauche ou droit) est retirée ou désactivée. Cette intervention est généralement réservée aux patients atteints de graves troubles du développement du cerveau, tels que l'épilepsie qui ne répond pas à d'autres traitements et qui affecte gravement la qualité de vie du patient.

L'hémisphère cérébral est responsable de diverses fonctions cognitives et physiques. L'hémisphère gauche contrôle généralement le langage, l'écriture, la motricité fine de la main droite et certaines capacités de raisonnement. L'hémisphère droit gère principalement les perceptions visuelles spatiales, la reconnaissance des formes, la coordination des mouvements du côté gauche du corps et certaines capacités artistiques et musicales.

Lors d'une hémisphérectomie, le neurone de l'hémisphère affecté est coupé des connexions avec le reste du cerveau pour empêcher la propagation des crises épileptiques. Cela peut être accompli en retirant physiquement une partie ou la totalité de l'hémisphère, ou en utilisant une technique appelée hemispherotomy, qui implique de couper les connexions nerveuses tout en laissant le tissu cérébral en place.

Bien que cette procédure puisse considérablement améliorer le contrôle des crises et la qualité de vie de certains patients, elle comporte également des risques importants, notamment un risque accru d'hémiparésie (faiblesse ou paralysie d'un côté du corps), des changements dans les capacités cognitives et comportementales, et une déficience visuelle possible. Par conséquent, l'hémisphérectomie n'est généralement envisagée que chez les patients atteints de formes graves d'épilepsie qui ne répondent pas aux autres traitements.

Le thalamus est une structure en forme de noix dans le cerveau qui joue un rôle central dans la perception sensorielle et la conscience. Il sert essentiellement comme un relais pour les signaux sensoriels en provenance du corps et des yeux, avant qu'ils ne soient transmis vers les régions appropriées du cortex cérébral pour une analyse plus poussée et une perception consciente. Le thalamus est également impliqué dans le contrôle de la vigilance, du sommeil et de l'éveil, ainsi que dans divers processus cognitifs tels que la mémoire et l'apprentissage. Il est composé de deux parties symétriques appelées thalamus gauche et droit, situées de chaque côté du troisième ventricule, un petit espace rempli de liquide dans le cerveau.

Le phénobarbital est un barbiturique à longue durée d'action, souvent utilisé comme anticonvulsivant dans le traitement de divers types de crises, y compris les convulsions généralisées tonico-cloniques et les absences. Il agit en potentialisant l'activité du neurotransmetteur inhibiteur GABA (acide gamma-aminobutyrique) dans le cerveau, ce qui a pour effet de réduire l'excitabilité neuronale et de prévenir ainsi les crises.

En plus de ses propriétés anticonvulsivantes, le phénobarbital possède également des effets sédatifs, hypnotiques, anxiolytiques et amnésiantes. Il peut être utilisé dans le traitement de l'épilepsie, de l'insomnie, de l'anxiété grave et du delirium tremens.

Cependant, il convient de noter que les barbituriques comme le phénobarbital sont associés à un risque élevé de dépendance et d'abus, ainsi qu'à des effets secondaires importants tels que la somnolence diurne, la confusion, les troubles de la mémoire et la toxicité hépatique. Par conséquent, leur utilisation est généralement réservée aux cas où les autres options thérapeutiques se sont avérées inefficaces ou mal tolérées.

Le delirium tremens (DT) est un syndrome clinique caractérisé par une conscience altérée, des hallucinations visuelles et tactiles, une désorientation, une agitation ou une hyperactivité, ainsi qu'une instabilité autonome. Il s'agit d'une complication grave du sevrage alcoolique aigu, généralement survenant 2 à 4 jours après la dernière consommation d'alcool. Les symptômes peuvent inclure une transpiration abondante, une tachycardie, des tremblements, de l'agitation, de l'anxiété, des troubles du sommeil et une augmentation de la pression artérielle. Dans les cas graves, le delirium tremens peut entraîner des convulsions et être fatal si il n'est pas traité rapidement et correctement.

La mort subite est un décès soudain et inattendu, généralement survenant dans les heures qui suivent l'apparition des symptômes ou au cours d'une activité apparemment sans danger. Dans la plupart des cas, elle est causée par une insuffisance cardiaque aiguë due à des arythmies ventriculaires malignes, telles que la fibrillation ventriculaire ou la torsade de pointes. Cependant, d'autres causes peuvent également être à l'origine d'une mort subite, notamment un infarctus du myocarde massif, une embolie pulmonaire massive, une hypertension maligne, une rupture aortique ou certaines maladies neurologiques.

Il est important de noter que la mort subite ne doit pas être confondue avec le décès soudain d'une personne qui était précédemment en bonne santé et n'avait aucun antécédent médical connu. Ce dernier scénario peut également être qualifié de décès subit, mais il ne relève pas nécessairement de la définition strictement médicale de la mort subite.

En outre, il existe des différences entre la mort subite cardiaque et la mort subite d'origine non cardiaque. La première est spécifiquement liée à des troubles cardiovasculaires, tandis que la seconde peut être due à une variété de causes, y compris respiratoires, neurologiques, infectieuses ou autres.

Dans le domaine médical, la mort subite fait souvent référence à la mort subite cardiaque, qui est un problème de santé publique majeur et la principale cause de décès chez les personnes souffrant de maladies cardiovasculaires. Des stratégies de prévention et de traitement sont mises en œuvre pour tenter de réduire le risque de mort subite, telles que l'utilisation d'un défibrillateur automatisé externe (DAE) et la mise en place de programmes de réanimation cardio-pulmonaire (RCP) dans les lieux publics.

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... ou convulsion fébrile, apparait surtout chez l'enfant entre 6 mois et 5 ans, est une crise convulsive avec des contractions ... à l'aide d'une canule en cas de risque de récidive convulsive. Rarement, la crise peut être grave lorsqu'elle dure plus de 10 ... émis des recommandations concernant la prise en charge du traitement médical de la crise convulsive hyperthermique. Le document ... émis des recommandations concernant la prise en charge médicale de la crise convulsive hyperthermique : une ponction lombaire ...
Une crise convulsive peut facilement être confondue avec une crise de tétanie, et une crise convulsive peut être due à un ... par une hyperthermie pendant 30 minutes afin de modéliser une crise fébrile. Chez certains rats (environ 30 %), des crises ... Toutes les crises épileptiques ne sont pas forcément accompagnées de crises convulsives, et toutes les crises convulsives ne ... la crise clonique ; la crise tonique ; la crise myoclonique atonique ; la crise myoclonique tonicoclonique ; la crise atonique ...
Des crises convulsives peuvent aussi n'avoir aucune cause organique et s'inscrire dans le cadre de manifestations hystériques ... épisodes de convulsions fébriles (surtout si le nombre d'épisodes de fièvre par an est important) est un facteur prédictif ... Le traitement comprend deux axes : faire cesser la crise convulsive le plus rapidement possible et prévenir une récidive. Les ... La convulsion hyperthermique du nourrisson et de l'enfant est très fréquente, impressionnante (lors d'une première crise, la ...
... syndrome bénin de susceptibilité aux crises convulsives ». Les diverses manifestations de l'EEG et des crises suivent souvent ... La prévalence des crises fébriles est élevée (environ 17 %). Des mutations de SCN1A ont été rapportées chez un enfant et chez ... Cas 1. Une fille a eu deux crises au cours de son sommeil, à l'âge de 6 ans. Dans la première crise, elle a été trouvée en ... Un garçon métis âgé de 8 ans a eu deux crises prolongées à l'âge de 5 ans. La première crise s'est produite lors d'une courte ...
... crises convulsives, épilepsie, parésie postérieure,. La maladie de Carré peut être soupçonnée, chez un jeune chien (de 4-5 mois ... La symptomatologie associe des manifestations fébriles, des écoulements oculaires et nasaux, une atteinte respiratoire, gastro- ...
L'EEG est utile pour identifier et surveiller des crises convulsives et des troubles de la vigilance, mais elle n'est pas ... Cette confusion fébrile associe une fièvre et notamment des troubles de la vigilance, pouvant aller de l'obnubilation au coma, ...
... également nécessiter une protection des voies respiratoires et la prévention des crises convulsives. Le nombre de cas signalés ... Les tableaux cliniques principaux étaient l'encéphalite (57,9 %), la maladie fébrile (24,4 %) et la méningite (15,9 %). ... l'épisode fébrile apparaît après une période d'incubation de 3 à 6 jours. Il se caractérise par la survenue, accompagnée de ... la seconde est un discret syndrome fébrile, semblable à la grippe, connu sous le nom de fièvre du Nil occidental, la troisième ...
Début août, une crise plus violente que les autres le conduit à l'hôpital de Chinon, où est préconisée une opération d'urgence ... tout en sollicitant après coup leur jugement avec une anxiété fébrile. C'est là aussi qu'il explique à son ami pourquoi il ... émergent des formes convulsives, des lignes tourmentées jusqu'à la déformation du sujet, suscitant une ambiance dramatique. ... Léopold Zborowski, qui s'était notablement enrichi dans la vente de tableaux, meurt subitement en 1932, ruiné par la crise de ...
... crise convulsive hyperthermique CCI : cathéter de chambre implantable, commission de conciliation et d'indemnisation ou ... réaction fébrile non hémolytique RFNL : retina nerve fiber layer (fibres nerveuses rétiniennes péripapillaires) RGO : reflux ... crise tonico-clonique CTh : chimiothérapie CTMSP : classification par types en milieu de soins et services prolongés CTO : ... crise aigüe par fermeture de l'angle CAI / CAE : conduit auditif interne / externe CAM : complexe d'attaque membranaire CAMSP ...
Tel est « le cadre général du roman » (the general frame of the novel), arrêté au moment de la crise accablant Pip lorsqu'il ... En un long et convulsif processus de changement, les thèmes conflictuels, classiques chez Dickens, de la richesse et de la ... Une fébrile et nostalgique transition Au cours des quelques années précédant le roman, ce retour aux sources s'annonce par la ... À la fois débordant d'énergie et épuisé, grandiose et mesquin, conventionnel et excentrique, sortant tout juste d'une crise ...
Il raconta un trait féroce dont il avait été témoin et fut pris d'un rire qui avait quelque chose de convulsif. Je lui dis à ... Sa vanité est comblée, mais sa santé continue à se dégrader ; il est malade du cœur et les crises d'étouffement sont de plus en ... à sa famille avec un enthousiasme fébrile, se poursuit avec les Scènes de la vie parisienne dont fait partie Le Colonel Chabert ... Elle tient lieu de « gouvernante » à l'écrivain - ce qui provoquera des crises de jalousie chez Mme Hańska lorsque celle-ci ...
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Alors que de nombreux enfants sont victimes de crises dasthme ou de crises convulsives fébriles, peu... ...
Un petit mot sur les convulsions lors de la fièvre, encore appelées crises convulsives fébriles. Bien que très impressionnantes ... après la crise, le retour à un comportement habituel est long. - lenfant a déjà eu des problèmes au niveau du cerveau ( ... Éviter autant que possible de se disputer quand cest déjà la crise avec bébé (qui hurle depuis une heure/ne veut pas se ... Combattre la fièvre du point de vue médical, na ni pour but de prévenir les convulsions fébriles, ni dobtenir la disparition ...
... ainsi que les convulsions fébriles survenant avant lâge de cinq ans (sans crise convulsive postérieure). Les données dont on ... Il cite toutefois comme éventuelles exceptions les crises convulsives causées par une stimulation du nerf vague (évanouissement ... Les crises épileptiques focales peuvent évoluer vers des crises généralisées. Linfluence de lenvironnement de plongée sur ... Selon la littérature médicale la plus récente, il semblerait que chacun de nous ait 9 % de probabilité de subir une crise ...
Crise fébrile: crise convulsive dans un cadre de fièvre * Amaigrissement * Hyperthermie , 40°C ...
Le syndrome dépilepsie liée à une infection fébrile (FIRES) provoque des crises convulsives consécutives chez les enfants ... Les crises commencent généralement 24 heures à deux semaines après le début de la maladie et laissent la majorité des personnes ... Un garçon de trois ans a subi des lésions cérébrales et des crises récurrentes après que son amygdalite a déclenché une maladie ... Deux mois plus tard, des médecins experts lui ont diagnostiqué un FEU, ce qui peut provoquer des crises récurrentes chez les ...
Les convulsions fébriles simples peuvent survenir chez un enfant de quelques mois jusquà lâge de 4-5 ans. ... Cette crise convulsive hyperthermique risque de récidiver, si la première convulsion fébrile est survenue à un très jeune âge. ... Pendant la crise convulsive, lentourage doit garder son calme et sa lucidité. Il faut écarter autour de lenfant tous les ... Ce nest pas toujours simple ; en effet, la crise convulsive se déclenche assez souvent au début dune poussée de fièvre. En ...
Troubles convulsifs - En savoir plus sur les causes, les symptômes, les diagnostics et les traitements à partir des Manuels MSD ... Avant la première crise myoclonico-atonique, deux tiers des enfants présentent des convulsions fébriles et des crises ... Dans les deux types de crises, la conscience est temporairement perdue et une crise convulsive a lieu lorsque les décharges ... Les crises débutent en général par des mouvements rapides des deux bras. Environ 90 % de ces crises sont suivis de crises ...
Une crise convulsive peut être focale ou généralisée :. *une crise convulsive focale est une crise qui commence dans une région ... Convulsions liées à la fièvre (convulsions fébriles) Avez-vous trouvé ce guide-patient utile ?. Un commentaire ? Une remarque ? ... une crise convulsive généralisée est une crise qui commence dans les 2 parties (hémisphères) du cerveau. Une crise généralisée ... Crise convulsive. Une crise convulsive est le résultat dune perturbation soudaine et temporaire de léquilibre électrique dans ...
Crise convulsive hyperthermique (convulsion fébrile) Maladies à déclaration obligatoire Léviction de la collectivité ...
Il existe cependant un risque de crises convulsives.. Un lavage gastrique associé à un traitement symptomatique peut être ... Quelques cas de diarrhée, douleurs musculaires, étourdissements, éruptions cutanées, états fébriles, ont été signalés. ... Il existe cependant un risque de crises convulsives.. Un lavage gastrique associé à un traitement symptomatique peut être ... Quelques cas de diarrhée, douleurs musculaires, étourdissements, éruptions cutanées, états fébriles, ont été signalés. ...
Il sagit souvent dune crise apparentée à une crise de spamsmophilie/tétanie. En attendant, la technique du sac par dessus la ... Il sagite de plus en plus et tombe, agité de soubresauts convulsifs, les yeux à moitiés révulsés. Vraiment impressionnant. ... Niveau 1 : psychose cocaïnique angoisse, accélération cardiaque, regard fixe, gestes fébriles, hallucinations, paranoia …. Que ... Comme une crise de tétanie consciente. Le personnel et les autres usagers ne saffolent pas. Ils lemmènent dans une pièce ...
Crises convulsives (incluant convulsions, convulsions de type "grand mal", état de mal épileptique) Fréquent: 1 (1%) Fréquent: ... Des leucopénies, thrombocytopénies, anémies et neutropénies (incluant des neutropénies fébriles) ont été associées à un ...
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Prise en charge des crises convulsives de ladulte 2009. Haifa Ben Abid•67.3K. visualizações ... Les ictères-fébriles-2013 por Les ictères-fébriles-2013Hassan HAMALA. 10.3K. visualizações•39 slides ... Prise en charge des crises convulsives de ladulte 2009 por Haifa Ben Abid. ...
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Traitement dune crise isolée ou prolongée. Lorsque lenfant fait une crise convulsive de plus de 5 minutes ou se répétant sur ... Les convulsions fébriles sont des crises généralisées tonico-cloniques associées à une fièvre supérieure à 38°5 C, quelle que ... Cest un traitement efficace puisque 50% des enfants voient leurs crises diminuer et 15 % dentre eux sont libres de crises. ... Dans le syndrome dAngelman, il précise les anomalies présentes entre les crises (intercritiques ) et pendant les crises ...
Risque de survenue de crises convulsives, par augmentation du métabolisme hépatique du valproate par la rifampicine. ... Très Fréquent : épisodes fébriles (pyrexie), frissons. Fréquent : réaction paradoxale (la réapparition ou lapparition de ...
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Le traitement de crise doit être administré si la crise dure plus de 5min ou sil y a plus de 2 crises sans retour à la ... Le BMJ a publié un article sur les troubles fonctionnels neurologiques (TFN), notamment moteurs et convulsifs. La plupart des ... des céphalées fébriles en labsence de contexte grippal, les céphalée avec troubles neurologiques, les céphalées avec contexte ... En cas de crises répétées et le temps de mettre en place un traitement de fond, de la prednisone 100mg/j pendant 5 jours suivie ...
confusion, perte de la vue ou troubles visuels, cécité, crises convulsives, maux de tête ... Trouble de loreilleOedèmeInflammation de loesophageÉruption cutanéeIncontinence analeFièvreGoutteAveugleNeutropénie fébrile ... Insuffisance cardiaque, crise cardiaque, douleur thoracique, gêne thoracique, rythme cardiaque augmenté ou diminué ...
1. La notion dantécédents psychiatriques et de crises convulsives contre-indique lutilisation prophylactique de la méfloquine ... Laccès palustre grave regroupe le neuropaludisme, encéphalopathie aiguë fébrile, ainsi que dautres manifestations de ... de crises convulsives, de troubles visuels et auditifs et de troubles psychiatriques qui sont 10 fois plus fréquents en ...
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  • Les convulsions fébriles simples peuvent survenir chez un enfant de quelques mois jusqu'à l'âge de 4-5 ans. (santemeds.com)
  • Une seule crise de convulsions n'est pas considérée comme de l'épilepsie. (msdmanuals.com)
  • Les convulsions épileptiques sont appelées trouble convulsif ou épilepsie. (msdmanuals.com)
  • Convulsions fébriles Les convulsions fébriles sont des convulsions déclenchées par une fièvre d'au moins 38 °C. La plupart des convulsions fébriles sont inoffensives et sont causées par une fièvre due à une infection. (msdmanuals.com)
  • Les convulsions fébriles peuvent être les premières manifestations épileptiques du syndrome d'Angelman. (livret-angelman-afsa.org)
  • Les convulsions fébriles sont des crises généralisées tonico-cloniques associées à une fièvre supérieure à 38°5 C, quelle que soit l'origine de la fièvre (en dehors des infections cérébro-méningées). (livret-angelman-afsa.org)
  • Après la crise, l'enfant ne présente pas de problème particulier, il a parfaitement récupéré. (santemeds.com)
  • Elles peuvent cependant être nécessiter certaines investigations quand elles durent trop longtemps, quand elles surviennent chez un enfant de moins de 18 mois, si l'enfant n'a pas de fièvre, ou si l'enfant garde un déficit après la crise. (santemeds.com)
  • L'élévation brutale de la température du corps de l'enfant ou du bébé réagit par une crise convulsive. (santemeds.com)
  • Si la convulsion fébrile est terminée quand les parents sont avec le médecin, et que la convulsion a duré moins de 15 minutes, le médecin examine attentivement l'enfant. (santemeds.com)
  • Éventuellement, il peut prescrire un traitement (à donner à l'enfant par voie rectale) que les parents donneront si la même crise se renouvelle. (santemeds.com)
  • Bien que cela puisse surprendre, les crises épileptiques sont en fait des manifestations non spécifiques et très courantes d'une maladie ou lésion neurologique. (susv.ch)
  • Les crises épileptiques peuvent avoir de nombreuses causes, notamment une prédisposition génétique, un traumatisme crânien, un AVC, une tumeur cérébrale ou encore le sevrage de l'alcool ou d'une drogue. (susv.ch)
  • Elle augmente non seulement le risque de subir une crise sous l'eau, mais également celui d'une conséquence mortelle pratiquement inévitable, comme la noyade. (susv.ch)
  • D'une manière générale, on peut la classer en deux catégories : les crises focales, dont les décharges électriques des neurones (cellules cérébrales) impliquent une région spécifique du cerveau, et les crises généralisées, qui impliquent tout le cerveau. (susv.ch)
  • Les pointes épileptiformes interictales focales ou ondes pointues sont l'indication neurophysiologique clinique d'une crise focale, et leur corrélat neurophysiologique cellulaire est la dépolarisation paroxystique ou PDS (paroxysmal depolarization shift). (susv.ch)
  • Les crises commencent généralement 24 heures à deux semaines après le début de la maladie et laissent la majorité des personnes atteintes d'une forme de déficience intellectuelle. (toutsavoir.info)
  • Si tout va bien, le médecin ne fera rien de plus s'il s'agit d'une première crise et que le médecin juge qu'aucun examen complémentaire n'est nécessaire. (santemeds.com)
  • en effet, la crise convulsive se déclenche assez souvent au début d'une poussée de fièvre. (santemeds.com)
  • Une crise convulsive est le résultat d'une perturbation soudaine et temporaire de l'équilibre électrique dans le cerveau. (infosante.be)
  • La crise d'épilepsie est un dysfonctionnement passager et réversible du cerveau, elle est liée à une décharge électrique soudaine, hypersynchrone d'une population de neurones. (livret-angelman-afsa.org)
  • Cette crise convulsive hyperthermique risque de récidiver, si la première convulsion fébrile est survenue à un très jeune âge. (santemeds.com)
  • Réactions d'hypersensibilité respiratoires : la survenue de crises d'asthme peut être observé chez certazins sujets notamment allergiques à l'aspirine et aux autres anti-inflammatoires non stéroïdiens, ainsi que d'exceptionnelles réactions anaphylactiques, anaphylactoïdes (décrits par voie orale). (biam2.org)
  • Les mécanismes pouvant coexister en différentes combinaisons pour déclencher une crise focale sont la diminution du niveau d'inhibition du réseau neuronal ou la surexcitabilité des neurones. (susv.ch)
  • une crise convulsive focale est une crise qui commence dans une région déterminée du cerveau. (infosante.be)
  • L'épilepsie est une maladie du cerveau qui se manifeste par des crises. (infosante.be)
  • une crise convulsive généralisée est une crise qui commence dans les 2 parties (hémisphères) du cerveau. (infosante.be)
  • Entre les crises, le cerveau fonctionne normalement. (infosante.be)
  • Cependant, si une crise dure plus de 5 minutes, il existe un risque de lésion au niveau du cerveau. (infosante.be)
  • Le diazépam est notamment utile dans le cadre du traitement des crises comitiales et épileptiques. (wikipedia.org)
  • Il expliquera aux parents l'origine de cette crise et prescrit un traitement pour faire baisser la fièvre. (santemeds.com)
  • L'identification des crises d'épilepsie permet un traitement rapide et souvent, le contrôle de l'épilepsie. (livret-angelman-afsa.org)
  • La ciprofloxacine peut être utilisée pour le traitement des patients neutropéniques fébriles dont l'origine bactérienne est suspectée. (univadis.fr)
  • La combinaison de l'un des facteurs cités précédemment avec l'immersion augmente le risque de crise chez une personne épileptique. (susv.ch)
  • Médicalement parlant, l'épilepsie est une maladie associée à des crises récurrentes dites « non provoquées » (non expliquées par un facteur causal immédiat). (susv.ch)
  • Un garçon de trois ans a subi des lésions cérébrales et des crises récurrentes après que son amygdalite a déclenché une maladie incurable sur un million. (toutsavoir.info)
  • En effet, certaines situations peuvent déclencher une seule crise (voir ci-dessous). (infosante.be)
  • Certaines situations peuvent déclencher une seule crise convulsive. (infosante.be)
  • En général, les troubles convulsifs se manifestent tôt au cours de l'enfance ou à un âge adulte tardif. (msdmanuals.com)
  • Les crises généralisées tonico-cloniques se manifestent par une chute brutale puis le corps se raidit avec une élévation des paupières et des globes oculaires (révulsion oculaire): c'est la phase tonique. (livret-angelman-afsa.org)
  • Les facteurs favorisants sont : une montée rapide de la température, un âge inférieur à 18 mois, et si le bébé a déjà fait une crise de ce type auparavant. (santemeds.com)
  • Deux mois plus tard, des médecins experts lui ont diagnostiqué un FEU, ce qui peut provoquer des crises récurrentes chez les enfants qui durent plus de 24 heures. (toutsavoir.info)
  • Qu'est-ce que le syndrome d'épilepsie lié à une infection fébrile? (toutsavoir.info)
  • Les troubles convulsifs se produisent lors d'anomalies périodiques de l'activité électrique cérébrale, entraînant une perturbation transitoire des fonctions cérébrales à des degrés variables. (msdmanuals.com)
  • Les crises d'épilepsie peuvent débuter à tout âge de la vie mais elles surviennent le plus souvent avant 3 ans, se stabilisent en moyenne vers 8-9 ans puis ont tendance à diminuer avec l'âge. (livret-angelman-afsa.org)
  • Certaines crises sont très impressionnantes, d'autres sont assez discrètes et ne se remarquent quasiment pas. (infosante.be)
  • Habituellement, les discussions exaltent le patriotisme local alors même que la Cité des Doges traverse une crise politique et économique majeure. (baroquiades.com)
  • Les crises d'épilepsie sont des manifestations paroxystiques (imprévisibles et incontrôlables) de l'activité électrique du cortex cérébral. (susv.ch)
  • Selon la littérature médicale la plus récente, il semblerait que chacun de nous ait 9 % de probabilité de subir une crise épileptique au cours de la vie, et 3 % de probabilité de recevoir un diagnostic d'épilepsie. (susv.ch)
  • Si vous souffrez d'épilepsie ou d'un trouble convulsif, ne pensez pas que vous ne pouvez pas obtenir une assurance-vie approuvée. (carilis.fr)
  • Il s'agit d'un tableau de céphalées fébriles avec trouble de la vigilance obligeant à évoquer une encéphalite infectieuse, soit une atteinte du cerveau. (medscape.com)
  • Enfin, l'encéphalite limbique touche caricaturalement le sujet jeune ayant un tératome ovarien avec un tableau parfois pseudo-psychiatrique et ne peut être éliminée complètement à ce stade, bien qu'il s'agisse d'une entité rare et souvent accompagnée d'un tableau de crise convulsive et d'aphasie ou trouble de la parole avant d'être responsable d'une atteinte du système nerveux autonome et créer un syndrome dysautonomique. (medscape.com)
  • La toux est une expiration spasmodique et bruyante de l'air, accompagnée d'un mouvement convulsif du larynx et de la trachée-artère. (homeopathie-conseils.fr)
  • Traitement symptomatique des affections douloureuses d'intensité légère à modérée et/ou des états fébriles. (santemagazine.fr)
  • Dans les états de mal non-convulsifs, l' EEG montre une activité paroxystique continue d'apparence généralisée ou focale 1A . (medg.fr)
  • Il s'agit d'accidents qui pourraient survenir en conséquence directe d'une crise. (carilis.fr)
  • l'état de mal épileptique (EME) est un état épileptique fixe et durable, caractérisé par la répétition de crises épileptiques à très court terme avec persistance durant la phase intercritique d'une altération de la conscience et/ou de signes neuro traduisant un épuisement neuronal. (medg.fr)
  • En général, les troubles convulsifs se manifestent tôt au cours de l'enfance ou à un âge adulte tardif. (msdmanuals.com)
  • Les troubles convulsifs se produisent lors d'anomalies périodiques de l'activité électrique cérébrale, entraînant une perturbation transitoire des fonctions cérébrales à des degrés variables. (msdmanuals.com)
  • Les EME focaux (moteurs ou non) avec troubles de conscience sont définis par une crise qui se prolonge ≥ 10 minutes ou par des crises qui se répètent (≥ 2) à des intervalles brefs sans reprise de conscience intercritique. (medg.fr)
  • 1 sachet à 400 mg le plus tôt possible dès le début de la crise de migraine. (santemagazine.fr)
  • Huit jours plus tard, les lésions vésiculeuses et croûteuses avaient disparu, mais la patiente se plaignait de toux et de dyspnée, et était toujours fébrile. (pediatre-online.fr)
  • La mayoría son convulsiones febriles simples (generalmente definidas como una única convulsión de comienzo generalizado con una duración de menos de 30 minutos). (bvsalud.org)
  • C'est une crise généralisée tonicoclonique à haut risque de complications. (medg.fr)
  • Avec les autres types de crises, cela dépend vraiment de leur degré de contrôle. (carilis.fr)
  • Las convulsiones febriles complejas se caracterizan por tener un comienzo focal, una duración mayor de 30 minutos, y más de una convulsión en un período de 24 horas. (bvsalud.org)