Dystonie
Troubles Dystoniques
Dystonie Musculaire Déformante
Torticolis
Antidyskinésiques
Syndrome De Meige
Pallidum
Crampe Musculaire
Troubles De La Motricité
Stimulation Cérébrale Profonde
Toxine Botulinique
Handwriting
Agents Neuromusculaires
Main
Chaperon Moléculaire
Botulinum Toxins, Type A
Dystonie Paroxystique Nocturne
Noyau Entopédonculaire
Lévodopa
Gtp Cyclohydrolase I
Affections Des Ganglions De La Base
Noyaux Basaux
Trihexyphénidyle
Chorée
Syndrome Douloureux Régional Complexe
Dyskinésie Due Aux Médicaments
Electromyography
Tremblement Essentiel
Spasme
Muscles De La Face
Troubles Sensitifs
Age of Onset
Dyscinésies
Syndromes Parkinsoniens
Encyclopedias as Topic
La dystonie est un trouble du mouvement caractérisé par des spasmes musculaires involontaires qui entraînent des contorsions ou des postures anormales. Ces spasmes peuvent affecter une seule partie du corps (focale), deux parties ou plus (segmentaire), plusieurs parties non reliées (multifocale) ou tout le corps (généralisée).
Les symptômes de la dystonie peuvent inclure des mouvements lents et répétitifs, une posture anormale, des tremblements et des douleurs. Dans certains cas, les symptômes peuvent être déclenchés ou aggravés par certaines activités ou positions.
La cause de la dystonie est inconnue dans la plupart des cas, mais elle peut être liée à une lésion cérébrale, à une maladie neurologique sous-jacente ou à un trouble génétique. Dans certains cas, la dystonie peut être traitée avec des médicaments, des injections de toxine botulique ou une intervention chirurgicale.
Il est important de noter que cette définition ne remplace pas l'avis médical et qu'il est recommandé de consulter un professionnel de santé pour tout problème de santé.
Les troubles dystoniques sont un groupe de mouvements anormaux et de postures causés par des dysfonctionnements dans le système nerveux qui contrôle les muscles. Dans ces troubles, les muscles se contractent involontairement, entraînant des répétitions de mouvements involontaires, des postures tordues ou des contorsions. Ces mouvements peuvent être douloureux et affecter un seul muscle ou un groupe de muscles. Les troubles dystoniques peuvent affecter n'importe quelle partie du corps, y compris le visage, la langue, le cou, les bras, les mains, les jambes et les pieds.
Les exemples courants de troubles dystoniques comprennent la dystonie cervicale (torticolis spasmodique), dans laquelle les muscles du cou se contractent involontairement, entraînant une tête penchée ou tournée; la dystonie focale, qui affecte un muscle ou un groupe de muscles spécifiques; et la dystonie généralisée, qui affecte tout le corps.
Les causes des troubles dystoniques peuvent être génétiques, liées à une lésion cérébrale ou à une maladie neurologique sous-jacente, ou être d'origine inconnue. Le traitement peut inclure des médicaments, la physiothérapie, la thérapie occupationnelle, les injections de toxine botulique et, dans certains cas, la chirurgie.
La dystonie musculaire déformante (DMD) est un trouble du mouvement caractérisé par des contractions musculaires involontaires prolongées qui peuvent entraîner des postures et des mouvements répétitifs, anormaux et souvent douloureux. Les symptômes de la DMD peuvent affecter n'importe quel muscle du corps, mais ils sont le plus souvent localisés dans les muscles du visage, de la langue, de la mâchoire, du cou, des bras et des jambes.
Dans certains cas, la dystonie peut être généralisée, affectant de nombreux groupes musculaires simultanément. La sévérité des symptômes peut varier considérablement d'une personne à l'autre, allant de légers à graves. Dans les cas graves, la dystonie peut entraîner une déformation et une incapacité fonctionnelle importantes.
La cause exacte de la DMD est inconnue dans la plupart des cas, mais elle est souvent associée à des anomalies génétiques qui affectent la transmission des signaux entre le cerveau et les muscles. Dans certains cas, la dystonie peut être un effet secondaire d'une lésion cérébrale ou d'une maladie neurologique sous-jacente.
Le traitement de la DMD dépend de la gravité des symptômes et de leur impact sur la fonction quotidienne. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments, des injections de toxine botulique, des thérapies physiques et de réadaptation, et dans certains cas, la chirurgie.
Le torticolis est un terme médical qui décrit une contracture ou une raideur musculaire dans le muscle sternocléidomastoïdien du cou, entraînant une rotation et/ou inclinaison anormale de la tête. Il peut être congénital (présent dès la naissance) ou acquis (résultant d'une blessure, d'une mauvaise posture ou d'une maladie sous-jacente). Le torticolis limite la mobilité de la tête et du cou, provoquant une gêne ou une douleur considérable. Dans les cas graves et/ou chroniques, il peut entraîner des complications telles que des maux de tête, des douleurs à l'épaule et une altération de la posture. Le traitement du torticolis dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des étirements, des massages, des médicaments contre la douleur et/ou l'inflammation, ainsi que des thérapies physiques ou occupationnelles. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour corriger le problème.
Les antidys kinésiques sont une classe de médicaments utilisés pour traiter les mouvements involontaires anormaux du corps, tels que ceux observés dans des conditions telles que la maladie de Parkinson et la chorée de Huntington. Ces médicaments fonctionnent en bloquant ou en modulant l'activité des récepteurs dopaminergiques et d'autres récepteurs du système nerveux central.
Les antidys kinésiques les plus couramment utilisés comprennent:
1. Les anticholinergiques, tels que la benztropine et le trihexyphénidyle, qui fonctionnent en bloquant l'activité des récepteurs cholinergiques dans le cerveau pour aider à contrôler les tremblements et les rigidités.
2. Les agonistes dopaminergiques, tels que la bromocriptine, la pramipexole et la ropinirole, qui imitent l'action de la dopamine dans le cerveau pour aider à contrôler les mouvements anormaux.
3. Les antagonistes dopaminergiques, tels que la tétrabénazine, qui fonctionnent en réduisant la quantité de dopamine disponible dans le cerveau pour aider à contrôler les mouvements involontaires excessifs.
4. Les benzodiazépines, telles que le clonazépam, qui peuvent être utilisées pour traiter certains types de mouvements anormaux en agissant sur les récepteurs GABAergiques dans le cerveau.
Il est important de noter que les antidys kinésiques peuvent avoir des effets secondaires significatifs, tels que la somnolence, les hallucinations, les nausées et les vertiges. Par conséquent, ils doivent être prescrits et surveillés par un professionnel de la santé qualifié pour minimiser les risques et maximiser les avantages thérapeutiques.
Le blépharospasme est un trouble du mouvement caractérisé par une contraction involontaire et répétitive des muscles des paupières. Dans les cas légers, il peut causer une augmentation fréquente du clignement des yeux, mais dans les cas plus sévères, il peut entraîner une fermeture complète et prolongée des paupières, rendant la vision difficile ou impossible.
Les causes exactes du blépharospasme ne sont pas complètement comprises, mais on pense qu'il est lié à des anomalies dans le fonctionnement des neurones du cerveau qui contrôlent les mouvements musculaires. Il peut être associé à d'autres troubles neurologiques ou oculaires, ou il peut survenir sans cause sous-jacente apparente.
Le traitement du blépharospasme dépend de sa gravité et de ses causes sous-jacentes. Dans les cas légers, des lunettes teintées ou des lentilles de contact peuvent aider à réduire la sensibilité à la lumière qui peut aggraver les symptômes. Des médicaments tels que les anticholinergiques ou les relaxants musculaires peuvent également être utilisés pour soulager les spasmes des paupières.
Dans les cas plus sévères, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour déconnecter les nerfs qui contrôlent les muscles des paupières ou pour affaiblir ces muscles. La thérapie botulique (toxine botulique de type A) est également souvent utilisée pour traiter le blépharospasme en injectant la substance dans les muscles des paupières pour les paralyser temporairement et réduire ainsi les spasmes.
Le syndrome de Ménière est un trouble de l'oreille interne qui provoque des épisodes récurrents de vertiges, de bourdonnements dans les oreilles (acouphènes), de perte auditive et d'une sensation de plénitude dans l'oreille affectée. Ces symptômes peuvent survenir séparément ou ensemble. Ils varient en durée et en gravité d'un épisode à l'autre, mais pour la plupart des gens, les symptômes s'aggravent progressivement au fil du temps.
Les causes exactes du syndrome de Ménière ne sont pas entièrement comprises, mais il semble que ce soit lié à une anomalie dans le volume ou la composition du liquide dans l'oreille interne. Certaines théories suggèrent qu'un excès de fluide peut accumuler dans l'oreille interne, provoquant des changements de pression et entraînant des symptômes. D'autres facteurs peuvent également contribuer au développement du syndrome de Ménière, notamment la génétique, les allergies, les infections virales, le stress et la consommation excessive de sel.
Le diagnostic est généralement posé sur la base des symptômes caractéristiques et après l'exclusion d'autres affections qui peuvent présenter des symptômes similaires. Des tests auditifs et des examens de l'équilibre peuvent être effectués pour confirmer le diagnostic.
Le traitement du syndrome de Ménière vise à contrôler les symptômes et à prévenir les épisodes. Les options de traitement comprennent des changements de mode de vie, tels qu'une réduction de la consommation de sel et de caféine, une thérapie de relaxation pour gérer le stress et l'évitement des déclencheurs connus. Des médicaments peuvent également être prescrits pour contrôler les vertiges, les nausées et les vomissements. Dans certains cas, des procédures chirurgicales peuvent être envisagées pour soulager les symptômes sévères ou persistants.
Le pallidum est une structure cérébrale profonde qui fait partie du système extrapyramidal. Il s'agit d'un noyau gris situé dans la région sous-thalamique du diencéphale. Le pallidum joue un rôle crucial dans le contrôle moteur et est impliqué dans des processus tels que l'initiation, la planification et l'exécution des mouvements volontaires.
Le pallidum se compose de deux parties distinctes : le globus pallidus interna (GPi) et le globus pallidus externa (GPe). Le GPi est une structure de sortie qui envoie des signaux inhibiteurs aux noyaux thalamiques, tandis que le GPe est une structure intrinsèque qui reçoit des entrées du cortex cérébral et d'autres structures sous-corticales.
Le pallidum est souvent affecté dans certaines maladies neurologiques dégénératives, telles que la maladie de Parkinson. Dans ces conditions, la dégénérescence des neurones dopaminergiques dans la substance noire entraîne une augmentation de l'activité dans le pallidum, ce qui peut entraîner des symptômes moteurs caractéristiques tels que les tremblements au repos, la rigidité musculaire et la bradykinésie. Des traitements tels que la stimulation cérébrale profonde peuvent être utilisés pour moduler l'activité du pallidum et améliorer les symptômes moteurs dans ces maladies.
Une crampe musculaire est une contraction involontaire et douloureuse d'un muscle ou d'un groupe de muscles, qui se produit soudainement et dure généralement de quelques secondes à quelques minutes. Pendant la crampe, le muscle se raidit et devient très sensible à la palpation. Les crampes musculaires peuvent survenir pendant l'exercice ou au repos, mais elles sont plus fréquentes pendant ou après un effort physique intense, en particulier dans des conditions de chaleur extrême ou lors d'un manque d'hydratation et d'électrolytes. Les crampes musculaires peuvent également être liées à une maladie sous-jacente, telles que les neuropathies périphériques, l'insuffisance rénale ou la cirrhose du foie. Dans de nombreux cas, cependant, la cause exacte des crampes musculaires est inconnue.
Les troubles de la motricité, également connus sous le nom de troubles du mouvement, sont des conditions médicales qui affectent la capacité d'une personne à contrôler, coordonner et effectuer des mouvements volontaires et involontaires. Ces troubles peuvent affecter un seul muscle ou groupe musculaire, un membre ou une partie du corps, ou tout le corps.
Les causes sous-jacentes des troubles de la motricité peuvent varier considérablement et dépendent du type spécifique de trouble. Les causes courantes comprennent les lésions cérébrales, les maladies neurologiques, les troubles musculaires et les affections congénitales.
Les symptômes des troubles de la motricité peuvent inclure des mouvements anormaux, tels que des tremblements, des secousses, des spasmes ou des rigidités musculaires; une coordination et une équilibre altérés; des difficultés à initier ou à maintenir des mouvements volontaires; et une fatigue ou une faiblesse musculaire.
Les troubles de la motricité peuvent être classés en deux catégories principales: les troubles du mouvement hyperkinétiques, qui sont caractérisés par des mouvements excessifs ou involontaires, tels que les tremblements et les tics; et les troubles du mouvement hypokinétiques, qui sont caractérisés par une réduction ou une absence de mouvement, tels que la maladie de Parkinson.
Le traitement des troubles de la motricité dépend du type spécifique de trouble et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une chirurgie ou une combinaison de ces options.
La stimulation cérébrale profonde (SCP) est une intervention neurochirurgicale réversible et généralement bien tolérée qui consiste à implanter des électrodes dans des structures cibles spécifiques du cerveau. Ces électrodes sont connectées à un générateur d'impulsions implantable (IPG) situé sous la peau, généralement près de la clavicule. Le IPG délivre des impulsions électriques stéréotaxiques de haute fréquence (généralement entre 100 et 130 Hz) à la structure cible du cerveau.
Cette méthode est utilisée pour traiter une variété de troubles du mouvement, tels que la maladie de Parkinson, les tremblements essentiels, la dystonie et certains types d'épilepsie. Elle fonctionne en modulant l'activité neuronale dans la zone cible, ce qui peut entraîner une réduction des symptômes moteurs invalidants. Les structures cérébrales couramment ciblées comprennent le thalamus, le globus pallidus interne et le noyau sous-thalamique.
La SCP est un processus en deux étapes : d'abord, l'électrode est implantée de manière stéréotaxique dans la zone cible prédéterminée du cerveau ; ensuite, une période de test et de titration des paramètres de stimulation a lieu pour déterminer les réglages optimaux pour chaque patient. Ces réglages peuvent être ajustés au fil du temps en fonction de l'évolution des symptômes ou des effets secondaires.
Bien que la SCP soit généralement considérée comme sûre et efficace, elle comporte certains risques potentiels, tels que des infections, des hémorragies cérébrales, des dysfonctionnements matériels ou des changements cognitifs légers. Cependant, ces complications sont relativement rares et la plupart des patients bénéficient d'une amélioration significative de leur qualité de vie après l'implantation de la SCP.
La toxine botulique est une neurotoxine produite par la bactérie Clostridium botulinum. Il existe sept sérotypes différents de cette toxine, notés A à G. La toxine botulinique agit en bloquant la libération d'acétylcholine dans la jonction neuromusculaire, ce qui entraîne une paralysie musculaire temporaire.
Dans un contexte médical, la toxine botulique est utilisée comme traitement thérapeutique pour une variété de conditions, y compris les spasmes musculaires dystoniques, le strabisme, les troubles de la sudation excessive (hyperhidrose), et les migraines chroniques. Le type de toxine botulique le plus couramment utilisé à des fins médicales est la toxine botulinique de type A.
L'utilisation de la toxine botulique en médecine esthétique pour réduire les rides du visage, telles que les rides du lion et les pattes d'oie, est également devenue très populaire. Cependant, il convient de noter que l'utilisation non médicale de la toxine botulique peut comporter des risques et devrait être effectuée sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié.
Je suis désolé, mais "handwriting" est un terme anglais qui se traduit par "écriture manuscrite". Il ne s'agit pas d'un terme médical. Cependant, l'écriture manuscrite peut être évaluée dans le cadre de certaines évaluations neurologiques ou psychologiques pour aider à diagnostiquer certains troubles tels que les troubles moteurs ou cognitifs. Une déficience de l'écriture manuscrite peut être un symptôme d'une maladie sous-jacente, comme la maladie de Parkinson ou une blessure au cerveau.
Les agents neuromusculaires sont des substances, y compris les médicaments et toxines, qui peuvent affecter le fonctionnement du système neuromusculaire. Le système neuromusculaire est la connection entre les nerfs et les muscles qui permet la communication nerveuse pour contrôler les mouvements musculaires.
Les agents neuromusculaires peuvent être classés en deux grandes catégories: les curarelike et les non-curarelike. Les agents curarelike, tels que la tubocurarine et le pancuronium, sont des relaxants musculaires qui agissent en bloquant la transmission neuromusculaire au niveau de la jonction neuromusculaire, ce qui entraîne une paralysie musculaire. Ces agents sont souvent utilisés pendant les anesthésies pour faciliter l'intubation et la ventilation mécanique.
Les agents non-curarelike peuvent affecter le système neuromusculaire de différentes manières. Certains, comme la botuline, une toxine produite par la bactérie Clostridium botulinum, peuvent également bloquer la transmission neuromusculaire et provoquer une paralysie musculaire. D'autres, tels que les stéroïdes et l'alcool, peuvent affaiblir les muscles en affectant leur fonctionnement ou leur structure.
Les agents neuromusculaires peuvent avoir des effets indésirables graves, notamment une faiblesse musculaire, une paralysie et des difficultés respiratoires. Par conséquent, il est important que ces agents soient utilisés avec précaution et sous surveillance médicale étroite.
Dans le contexte médical, la main est la partie terminale du membre supérieur qui comprend les os carpien, métacarpien et phalangien, ainsi que les muscles, tendons, ligaments, articulations, vaisseaux sanguins et nerfs associés. Elle est essentielle pour la préhension fine, la manipulation des objets et la communication tactile. La main humaine adulte moyenne contient 27 os, ce qui en fait l'une des structures anatomiques les plus complexes du corps. Les maladies courantes affectant la main comprennent les blessures traumatiques, les infections, les troubles dégénératifs comme l'arthrose et les affections neurologiques entraînant une perte de fonction.
Un chaperon moléculaire est une protéine qui assiste et régule le pliage et l'assemblage corrects d'autres protéines dans les cellules vivantes. Ils aident à prévenir l'agrégation des protéines mal pliées et favorisent leur dégradation si un repliage correct ne peut être accompli. Les chaperons moléculaires jouent donc un rôle crucial dans la protection de l'intégrité du proteome cellulaire et dans la prévention des maladies liées à des protéines mal pliées, telles que les maladies neurodégénératives.
Les chaperons moléculaires sont souvent classés en fonction de leur taille et de leur structure. Les plus étudiés comprennent les chaperonnes de la famille des chocs thermiques (HSP), comme Hsp60, Hsp70 et Hsp90. Ces protéines sont hautement conservées dans divers organismes vivants, ce qui témoigne de leur importance fonctionnelle cruciale.
Les chaperons moléculaires peuvent se lier aux protéines clientes à différents stades du processus de pliage, depuis la traduction des ARNm jusqu'à l'assemblage et au transport des complexes multiprotéiques vers leurs destinations intracellulaires. Leur activité est généralement régulée par des changements dans les interactions protéine-protéine, la modification post-traductionnelle et l'énergie fournie par l'hydrolyse de l'ATP.
Dans l'ensemble, les chaperons moléculaires sont essentiels pour maintenir l'homéostasie protéique et prévenir le stress cellulaire associé aux protéines mal pliées. Leur dysfonctionnement a été lié à diverses affections pathologiques, notamment les maladies neurodégénératives, la fibrose kystique, le cancer et les infections virales.
La toxine botulique de type A est une neurotoxine produite par la bactérie Clostridium botulinum. Elle agit en bloquant la libération d'acétylcholine dans la jonction neuromusculaire, ce qui entraîne une paralysie musculaire temporaire.
Cette toxine est utilisée dans le traitement médical pour réduire l'activité musculaire excessive dans diverses conditions, telles que les spasmes musculaires douloureux, les mouvements involontaires anormaux, et les rides faciales excessives. Les préparations de toxine botulique de type A approuvées par la FDA comprennent le Botox, le Dysport et le Xeomin.
L'utilisation de la toxine botulique de type A nécessite une administration précise et contrôlée pour minimiser les risques d'effets indésirables graves, tels que la difficulté à avaler, la paralysie des muscles respiratoires et la propagation de la toxine au-delà du site d'injection.
La dystonie paroxystique nocturne (DPN) est un trouble neurologique rare et généralement idiopathique qui se caractérise par des épisodes soudains de mouvements anormaux et involontaires, appelés dystonies, survenant principalement pendant le sommeil ou l'endormissement. Ces épisodes peuvent inclure des spasmes musculaires, des contorsions, des torsions ou des postures anormales, qui affectent généralement les membres supérieurs et/ou inférieurs. Les épisodes durent généralement de quelques secondes à quelques minutes et peuvent entraîner une agitation, un réveil brutal et une détresse considérable. La DPN est souvent associée à des antécédents familiaux de ce trouble et peut être déclenchée par le stress, la fatigue, l'alcool ou certains médicaments. Bien que les causes exactes de cette affection soient inconnues, on pense qu'elle est liée à des anomalies du système dopaminergique dans le cerveau. Le diagnostic repose généralement sur l'anamnèse détaillée et l'exclusion d'autres causes sous-jacentes de mouvements anormaux. Le traitement peut inclure des changements de mode de vie, des médicaments anticholinergiques ou des benzodiazépines, ainsi que, dans certains cas, une intervention chirurgicale telle qu'une stimulation cérébrale profonde.
Le noyau entopédonculaire est une structure dans le tronc cérébral qui joue un rôle important dans la régulation des mouvements oculaires et de la tête. Il s'agit d'un amas de neurones situé dans la région tegmentale centrale du pont, près du noyau abducens (VI).
Le noyau entopédonculaire est divisé en deux parties : le noyau paramédian et le noyau médian. Le noyau paramédian contient des neurones qui innervent les muscles oculomoteurs, tandis que le noyau médian contient des neurones qui innervent les muscles cervicaux.
Cette structure est responsable de la génération de réflexes oculo-céphaliques et vestibulo-oculaires, qui permettent de maintenir une image stable sur la rétine lors des mouvements de la tête. Les signaux provenant du système vestibulaire sont intégrés dans le noyau entopédonculaire pour générer des réponses appropriées des muscles oculaires et cervicaux.
Des lésions ou des dysfonctionnements du noyau entopédonculaire peuvent entraîner des troubles de la coordination des mouvements oculaires et de la tête, tels que des nystagmus, des déviations oculaires ou des difficultés à maintenir l'équilibre.
La lévodopa, également connue sous le nom de L-dopa, est un médicament utilisé dans le traitement de la maladie de Parkinson. Il s'agit d'un précurseur direct de la dopamine, un neurotransmetteur qui joue un rôle crucial dans le contrôle du mouvement et qui est souvent déficient chez les personnes atteintes de cette maladie.
Dans l'organisme, la lévodopa est convertie en dopamine par une enzyme appelée DOPA décarboxylase. Ce processus permet d'augmenter les niveaux de dopamine dans le cerveau et de soulager ainsi les symptômes moteurs associés à la maladie de Parkinson, tels que les tremblements, la rigidité musculaire et la difficulté à initier des mouvements.
La lévodopa est généralement prescrite en combinaison avec un inhibiteur de la DOPA décarboxylase périphérique, comme la carbidopa ou la benserazide, pour améliorer sa biodisponibilité et réduire les effets secondaires gastro-intestinaux. Ces combinaisons sont commercialisées sous divers noms de marque, tels que Sinemet, Madopar et Stalevo.
Il est important de noter que l'utilisation à long terme de la lévodopa peut entraîner des fluctuations motrices, appelées "fluctuations de la réponse moteure" ou "phénomènes 'on-off'", qui peuvent être difficiles à gérer et nécessiter un ajustement du traitement.
La GTP cyclohydrolase I est une enzyme clé impliquée dans la biosynthèse de la tétrahydrobioptérine (BH4), un cofacteur essentiel pour plusieurs enzymes clés du métabolisme, telles que la tyrosine hydroxylase et la tryptophane hydroxylase, qui sont responsables de la synthèse des neurotransmetteurs catecholamines et sérotonine. La GTP cyclohydrolase I catalyse la première étape de la biosynthèse de la BH4 en convertissant le GTP en dihydrobioptérine (DBH) via plusieurs intermédiaires. Une carence en cette enzyme peut entraîner une diminution des niveaux de neurotransmetteurs et a été associée à des maladies telles que la phénylcétonurie, la dépression et le parkinsonisme.
Les affections des ganglions de la base sont un groupe de troubles neurologiques qui affectent les noyaux gris centraux du cerveau, également connus sous le nom de ganglions de la base. Les ganglions de la base jouent un rôle crucial dans le contrôle des mouvements corporels, l'expression émotionnelle, les processus cognitifs et le fonctionnement exécutif.
Les affections des ganglions de la base peuvent être classées en deux catégories principales : les maladies dégénératives et les troubles du développement. Les maladies dégénératives comprennent des conditions telles que la maladie de Parkinson, la dystonie, l'atrophie multisystématisée et la paralysie supranucléaire progressive. Ces affections sont caractérisées par une dégénérescence progressive des neurones dans les ganglions de la base, entraînant une variété de symptômes moteurs et non moteurs.
Les troubles du développement comprennent des conditions telles que le syndrome de Tourette, le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) et les troubles du spectre autistique. Ces affections sont caractérisées par des anomalies structurelles ou fonctionnelles des ganglions de la base qui se développent tôt dans la vie et peuvent entraîner une variété de symptômes, y compris des mouvements anormaux, des comportements répétitifs et des problèmes cognitifs.
Le traitement des affections des ganglions de la base dépend du type et de la gravité de la condition. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments, une thérapie physique ou occupationnelle, une stimulation cérébrale profonde ou une chirurgie. Dans certains cas, un traitement multidisciplinaire impliquant plusieurs spécialités peut être nécessaire pour gérer les symptômes complexes associés à ces affections.
Les noyaux basaux sont une collection de grands groupes de neurones situés à la base du prosencéphale, qui est la partie antérieure du cerveau. Ils jouent un rôle crucial dans le contrôle des mouvements volontaires et involontaires du corps. Les noyaux basaux comprennent les noyaux caudé, putamen, globus pallidus et le noyau sous-thalamique. Ensemble, ils forment le système nerveux extrapyramidal qui est responsable de la régulation fine des mouvements musculaires. Les lésions ou les dysfonctionnements des noyaux basaux peuvent entraîner des troubles du mouvement tels que la maladie de Parkinson, la dystonie et la chorée. Dans un contexte médical, le terme "noyaux basaux" peut également être utilisé pour se référer à des structures similaires dans d'autres parties du système nerveux central.
Le trihexyphénidyle est un anticholinergique d'ordonnance utilisé principalement pour traiter les symptômes extrapyramidaux associés aux syndromes parkinsoniens et aux effets secondaires des médicaments antipsychotiques. Les symptômes extrapyramidaux peuvent inclure des raideurs, des tremblements, des spasmes musculaires involontaires, des mouvements corporels anormaux et une instabilité posturale.
Le trihexyphénidyle agit en bloquant les récepteurs cholinergiques dans le cerveau, ce qui aide à rétablir l'équilibre entre les systèmes cholinergique et dopaminergique. Il peut également être utilisé pour traiter la maladie de Parkinson elle-même en complément des agonistes dopaminergiques ou de la L-dopa, ainsi que dans le traitement de la dyskinésie tardive, une complication motrice à long terme du traitement de la maladie de Parkinson.
Les effets indésirables courants associés au trihexyphénidyle comprennent la bouche sèche, la constipation, les étourdissements, la somnolence, la vision floue, la rétention urinaire et des difficultés à uriner. Les effets secondaires plus graves peuvent inclure une pression artérielle élevée, une accélération du rythme cardiaque, une confusion, des hallucinations, des mouvements corporels involontaires et une fièvre neuroleptique maligne, qui est une urgence médicale nécessitant une hospitalisation immédiate.
Le trihexyphénidyle est disponible sous forme de comprimés ou de solution liquide et doit être utilisé avec prudence chez les personnes âgées, les personnes atteintes de glaucome à angle fermé, d'hypertrophie de la prostate, de maladies cardiovasculaires et de troubles psychiatriques. Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques du médecin et de signaler tout effet indésirable ou changement de santé inattendu à votre professionnel de la santé.
La chorée est un trouble du mouvement caractérisé par des mouvements involontaires, irréguliers et souvent rapides des muscles du visage, du tronc et des membres. Ces mouvements peuvent être continus ou se produire de manière intermittente. La chorée est généralement observée dans certaines maladies neurologiques, telles que la maladie de Huntington, la chorée de Sydenham (une complication du rhumatisme articulaire aigu), les troubles hépatiques et certains types d'intoxications. Dans certains cas, la chorée peut être un effet secondaire de certains médicaments, comme les antipsychotiques.
La cause sous-jacente de la chorée est généralement une anomalie dans le fonctionnement des neurones qui produisent et régulent la dopamine, un neurotransmetteur important dans le cerveau. Selon la cause sous-jacente, la chorée peut être traitée en traitant la maladie sous-jacente ou en ajustant les médicaments qui peuvent causer des mouvements involontaires. Dans certains cas, des médicaments spécifiques peuvent être utilisés pour contrôler les symptômes de la chorée.
Le Syndrome Douloureux Régional Complexe (SDRC), également connu sous le nom de algodystrophie, est une condition douloureuse chronique qui affecte généralement les membres - mains, bras, pieds ou jambes. Il se développe souvent à la suite d'une blessure, d'une chirurgie ou d' un événement traumatique, bien que la cause exacte soit inconnue.
Le SDRC se caractérise par des douleurs intenses, une sensibilité accrue au toucher, un gonflement, des changements de couleur et de température dans la peau, ainsi qu'une limitation du mouvement articulaire. Dans certains cas, ces symptômes peuvent s'étendre au-delà de la zone initialement blessée.
Il existe deux types de SDRC : le type 1, qui survient après une lésion tissulaire, et le type 2, qui est associé à des dommages nerveux directs. Le diagnostic repose sur les symptômes rapportés par le patient, l'examen physique et parfois des tests complémentaires pour éliminer d'autres causes possibles de douleur.
Le traitement du SDRC vise à soulager la douleur et à préserver la fonction articulaire et musculaire. Il peut inclure des médicaments contre la douleur, une thérapie physique, des techniques de relaxation, des blocs nerveux et, dans certains cas, des traitements invasifs tels que la stimulation nerveuse électrique transcutanée ou la sympathectomie.
La dyskinésie due aux médicaments est un effet secondaire de certains médicaments, principalement les antipsychotiques et les agents dopaminergiques. Il se caractérise par des mouvements involontaires, anormaux et incontrôlables du corps. Ces mouvements peuvent affecter les muscles du visage, la langue, le cou, les bras, les jambes et le tronc. Les exemples de ces mouvements incluent des grimaces faciales, des tics, des secousses musculaires, des mouvements ondulants ou sinueux, des contorsions et des tortillements.
Cette condition est souvent liée à une surstimulation des récepteurs dopaminergiques dans le cerveau. Les médicaments qui bloquent ces récepteurs peuvent entraîner une dyskinésie lorsqu'ils sont utilisés à fortes doses ou pendant de longues périodes. La dyskinésie due aux médicaments peut être difficile à traiter et peut persister même après l'arrêt du médicament.
Il est important de noter que la dyskinésie due aux médicaments doit être distinguée d'autres formes de dyskinésies, telles que la dyskinésie tardive, qui peuvent se développer après une exposition prolongée à certains médicaments antipsychotiques.
L'électromyographie (EMG) est un examen diagnostique qui enregistre l'activité électrique des muscles au repos et pendant la contraction. Il utilise des aiguilles ou des électrodes de surface pour détecter ces impulsions électriques, known as action potentials, qui sont générées par les cellules musculaires lorsqu'elles sont stimulées.
L'EMG est utilisé pour diagnostiquer diverses affections neuromusculaires, telles que les maladies des nerfs moteurs, les lésions nerveuses, les troubles de la jonction neuromusculaire, les maladies musculaires et les conditions liées à la douleur ou à la faiblesse musculaire. Les résultats de l'EMG peuvent aider à déterminer la cause sous-jacente des symptômes du patient, à guider le plan de traitement et à évaluer la gravité et la progression de la maladie.
L'examen comporte deux parties : l'enregistrement au repos et l'enregistrement pendant la contraction volontaire. L'enregistrement au repos vise à détecter toute activité spontanée anormale, telle que des fasciculations ou des potentiels de fibrillation, qui peuvent indiquer une neuropathie ou une myopathie. L'enregistrement pendant la contraction volontaire évalue l'intégrité du nerf moteur et de la fonction musculaire en examinant la forme, l'amplitude et la durée des potentiels d'action générés par les muscles lorsqu'ils se contractent.
L'EMG est généralement considéré comme sûr et bien toléré, bien que certains patients puissent ressentir un certain degré d'inconfort ou de douleur pendant l'insertion des aiguilles. Les risques associés à l'examen sont minimes et comprennent généralement des ecchymoses, une infection ou une blessure nerveuse rare.
Le tremblement essentiel est une forme courante de tremblement physiologique qui se produit principalement dans les membres, bien qu'il puisse également affecter la tête, le menton, la langue, les cordes vocales et parfois même le tronc. Il s'agit d'un trouble neurologique caractérisé par des mouvements oscillatoires rythmiques involontaires d'un organe ou d'une partie du corps. Les tremblements essentiels se produisent généralement pendant l'activité musculaire, contrairement aux tremblements de repos liés à la maladie de Parkinson. Ils peuvent s'aggraver avec le stress, l'anxiété, l'effort physique ou mental, l'absence de sommeil et après la consommation d'alcool ou de caféine. Les tremblements essentiels sont considérés comme idiopathiques, ce qui signifie qu'ils n'ont pas de cause connue. Cependant, des facteurs génétiques peuvent jouer un rôle dans son développement, car il existe une prédisposition héréditaire dans environ 50 à 60 % des cas. Les tremblements essentiels sont généralement traitables et leur intensité peut être atténuée par des médicaments, des thérapies ou, dans certains cas, par la chirurgie.
Un spasme est un terme médical décrivant une contraction soudaine, involontaire et souvent douloureuse d'un muscle ou d'un groupe de muscles. Cela peut survenir en réponse à un étirement, une fatigue, une irritation, une maladie ou une lésion des nerfs qui contrôlent ces muscles. Les spasmes peuvent également être un effet secondaire de certains médicaments. Dans certains contextes, le terme "spasme" peut aussi se référer à une constriction soudaine et involontaire d'un vaisseau sanguin ou d'une autre structure anatomique.
Les muscles de la face, également connus sous le nom de musculature faciale, sont un groupe complexe et hautement spécialisé de muscles squelettiques qui se trouvent dans la région faciale de l'être humain. Ils jouent un rôle crucial dans les expressions faciales, la mastication, la déglutition, la mimique, la communication non verbale et d'autres fonctions importantes.
Les muscles de la face peuvent être divisés en deux catégories principales : les muscles superficiels et les muscles profonds. Les muscles superficiels sont principalement responsables des expressions faciales et de la mobilité du visage, tandis que les muscles profonds sont plus impliqués dans les fonctions de mastication et de déglutition.
Les muscles de la face comprennent des muscles tels que le frontal, l'orbicularis oculi, le nasalis, le zygomaticus major et minor, le levator labii superioris alaeque nasi, le depressor septi nasi, le levator anguli oris, le risorius, le mentalis, le buccinator, le masseter, le temporalis, et le platysma.
Chaque muscle de la face a une fonction spécifique et travaille en synergie avec les autres muscles pour permettre une variété de mouvements et d'expressions faciales. Les lésions ou les dysfonctions des muscles de la face peuvent entraîner des difficultés à manger, à parler, à exprimer des émotions et à interagir socialement.
Les Troubles Sensitifs, également connus sous le nom de Sensibilité Chimique Multiples (MCS) ou Intolérance Environnementale Idiosyncrasique (IEI), sont des affections caractérisées par une réaction excessive et répétée à des doses faibles ou normales de divers produits chimiques et autres facteurs environnementaux. Ces réactions peuvent affecter plusieurs systèmes d'organes et entraîner une variété de symptômes, tels que des maux de tête, des vertiges, des nausées, des éruptions cutanées, des problèmes respiratoires, des douleurs articulaires et musculaires, et des troubles cognitifs.
Les causes sous-jacentes des Troubles Sensitifs ne sont pas entièrement comprises, mais il est généralement admis qu'ils résultent d'une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux qui affectent la capacité du corps à détoxifier et à éliminer les substances chimiques. Les personnes atteintes de Troubles Sensitifs peuvent présenter une hypersensibilité accrue aux produits chimiques, ce qui signifie qu'elles réagissent plus fortement et plus rapidement que la population générale à des expositions à des doses faibles.
Les Troubles Sensitifs sont souvent difficiles à diagnostiquer en raison de l'absence de tests objectifs et de critères de diagnostic clairs. Le diagnostic repose généralement sur une évaluation approfondie de l'histoire médicale du patient, des antécédents d'exposition aux produits chimiques et des symptômes rapportés.
Le traitement des Troubles Sensitifs se concentre généralement sur l'évitement des expositions déclenchantes et la gestion des symptômes à l'aide de thérapies telles que l'oxygénothérapie, les médicaments anti-inflammatoires et les régimes d'élimination. Dans certains cas, une désensibilisation progressive aux substances chimiques peut être bénéfique.
Les Troubles Sensitifs peuvent avoir un impact significatif sur la qualité de vie des personnes atteintes, entraînant des symptômes invalidants et une limitation des activités quotidiennes. Il est important que les professionnels de la santé soient conscients de cette condition et qu'ils travaillent en étroite collaboration avec les patients pour élaborer un plan de traitement personnalisé qui tienne compte de leurs besoins spécifiques.
L'âge d'apparition, également connu sous le nom d'âge de début ou d'âge de survenue, fait référence à l'âge auquel une personne développe pour la première fois les symptômes ou manifestations d'une maladie, d'un trouble de santé mentale, d'un handicap ou d'autres conditions médicales. Il peut être exprimé en années, mois ou même semaines après la naissance, selon le type et la gravité de la condition concernée.
L'âge d'apparition est un aspect important du diagnostic et de la prise en charge médicale, car il peut fournir des indices sur les causes sous-jacentes de la maladie, influencer le choix des traitements et des interventions, et aider à prévoir l'évolution et le pronostic de la condition.
Par exemple, certaines maladies génétiques ou congénitales peuvent se manifester dès la naissance ou dans les premiers mois de vie, tandis que d'autres troubles, tels que la maladie d'Alzheimer ou la démence, ne se développent généralement qu'à un âge plus avancé. De même, certains troubles mentaux, comme l'autisme et le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH), peuvent présenter des signes avant-coureurs dès la petite enfance, tandis que d'autres, comme la schizophrénie, peuvent ne se manifester qu'à l'adolescence ou à l'âge adulte.
Il est important de noter que l'âge d'apparition peut varier considérablement d'une personne à l'autre, même au sein d'une même famille ou d'un même groupe de population. Des facteurs tels que les antécédents familiaux, l'environnement, le mode de vie et d'autres facteurs de risque peuvent influencer le moment où une personne développe les symptômes d'une condition donnée.
Les dyscinésies sont un groupe de troubles du mouvement caractérisés par des mouvements involontaires, anormaux et irréguliers. Ces mouvements peuvent inclure des contractions musculaires rapides et rythmiques (myoclonie), des tremblements, des secousses musculaires soutenues (tone élevé), des mouvements lents et fluents (chorée), des mouvements de torsion et de flexion (dystonie) ou une combinaison de ces caractéristiques. Les dyscinésies peuvent affecter un seul muscle ou groupe musculaire, ou être généralisées à travers le corps.
Les causes sous-jacentes des dyscinésies sont variées et comprennent des affections génétiques, des lésions cérébrales, des infections, des tumeurs cérébrales, des effets secondaires de médicaments ou une exposition à des toxines. Les exemples courants de dyscinésies incluent la maladie de Huntington, la paralysie supranucléaire progressive (PSP), la dystonie et les mouvements involontaires induits par les médicaments, tels que ceux observés chez certains patients traités pour la maladie de Parkinson.
Le diagnostic des dyscinésies repose sur l'observation clinique des symptômes et des antécédents médicaux du patient. Des tests d'imagerie cérébrale, tels que l'IRM ou le scanner, peuvent être utilisés pour exclure d'autres causes potentielles de symptômes. Dans certains cas, une étude électrophysiologique, comme l'électromyographie (EMG), peut être utile pour confirmer le diagnostic.
Le traitement des dyscinésies dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des interventions chirurgicales ou une thérapie de réadaptation. Les médicaments couramment utilisés pour traiter les dyscinésies comprennent les anticholinergiques, les benzodiazépines et les antidopaminergiques. Dans certains cas graves, la stimulation cérébrale profonde (DBS) peut être une option de traitement efficace pour soulager les symptômes.
Les syndromes parkinsoniens sont un groupe de conditions neurologiques caractérisées par des symptômes moteurs similaires à ceux de la maladie de Parkinson. Ces symptômes comprennent les tremblements au repos, la rigidité musculaire, la bradykinésie (lenteur des mouvements) et l'instabilité posturale. Cependant, contrairement à la maladie de Parkinson, ces syndromes peuvent être causés par une variété de facteurs, y compris d'autres troubles dégénératifs du cerveau, des lésions cérébrales, certaines médications ou toxines.
Les exemples de syndromes parkinsoniens incluent la démence à corps de Lewy, la paralysie supranucléaire progressive, la maladie de Parkinson à début précoce avec mutations génétiques spécifiques, et les parkinsonismes secondaires dus à des médicaments ou à des toxines. Il est important de distinguer ces syndromes de la maladie de Parkinson idiopathique pour assurer un traitement approprié et une gestion efficace des symptômes.
Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.
Les antiparkinsoniens sont des médicaments utilisés pour traiter les symptômes de la maladie de Parkinson. Cette maladie est un trouble neurologique progressif qui affecte le mouvement. Les personnes atteintes de la maladie de Parkinson ont des niveaux anormalement bas de dopamine, un neurotransmetteur chimique dans le cerveau qui régule les mouvements musculaires.
Les antiparkinsoniens fonctionnent en compensant ce déficit en dopamine ou en imitant son action. Ils peuvent aider à améliorer les symptômes tels que la rigidité, les tremblements au repos, la lenteur des mouvements et l'instabilité posturale.
Il existe plusieurs types d'antiparkinsoniens, y compris :
1. Agonistes de la dopamine : Ces médicaments imitent l'action de la dopamine dans le cerveau. Des exemples incluent la pramipexole, la ropinirole et le rotigotine.
2. Inhibiteurs de la MAO-B : Ces médicaments empêchent la dégradation de la dopamine existante dans le cerveau. Des exemples incluent la sélégiline et la rasagiline.
3. Inhibiteurs de la COMT : Ces médicaments empêchent la décomposition de la dopamine en dehors des cellules nerveuses. Un exemple est l'entacapone.
4. Levodopa : Ce médicament est converti en dopamine dans le cerveau. Il est souvent utilisé en combinaison avec un inhibiteur de la carboxylase aromatique pour prolonger son effet.
5. Anticholinergiques : Ces médicaments bloquent l'action d'un autre neurotransmetteur, l'acétylcholine, qui peut être hyperactif chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Des exemples incluent la benztropine et le trihexyphénidyle.
Les effets secondaires de ces médicaments peuvent varier considérablement, allant des nausées et des étourdissements aux mouvements involontaires ou à une somnolence excessive. Il est important que les patients travaillent en étroite collaboration avec leur médecin pour trouver le bon équilibre entre l'efficacité du traitement et la minimisation des effets secondaires.
Dystonie
Dystonie oromandibulaire
Dystonie myoclonique
Dystonie neurovégétative
Dystonie (maladie)
Dystonie chez l'enfant
Dystonie (trouble moteur)
Dystonie dopa-sensible
Dystonie avec parkinsonisme liée à l'X
Cyamémazine
Mouvements anormaux
Ganglions de la base
Benzatropine
Crampe
Covid long
Dyskinésie kinésigénique paroxystique
Dystopie
Saison 3 de Dr House
Syndrome de Partington
Maladie de Niemann-Pick type C
G24
Jana Castillo
DNV
Crampe de l'écrivain
Graphothérapie
DaxibotulinumtoxinA
Leanne Smith (natation)
Trazodone
Contraction musculaire
Apraxie buccofaciale
Dystonie - Wikipedia
À propos de la dystonie | Medtronic
Recette aux huiles essentielles pour traiter Dystonie neurovégétative chez l'adulte
Dystonie et mouvements anormaux pédiatriques | Hôpital Fondation Rothschild
DYSTONIE - Festival ça me dit cirque - Compagnie Defracto
Dystonie - Amadys
Dystonie - temoignages | Medipedia
Parlons Dystonie : charte - Amadys
Dystonie cervicale - Clinique Synapse
FR<...
Dystonie-Qc.Org - La génétique
La dystonie d'origine médicamenteuse | Drupal
Dystonie - Comment diagnostiquer la dystonie? | Medipedia
Ressources pour vivre avec la dystonie | Drupal
Qu'est-ce que la dystonie, trouble moteur touchant principalement les seniors ?
Pathologies prises en charge par stimulation cérébrale profonde - Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Toulouse
Pramipexole biogaran 0,18 mg, comprimé : posologie et effets secondaires | Santé Magazine
PasseportSanté.net - Yves Cambrai (Rédacteur )
Dysphonie Spasmodique | Centre de Ressources pour les Patients Neuro - McGill University
Vente du livre "De jouer ma main s'est arr t e" sur la dystonie du musicien crit par Coralie Cousin, kin des musiciens Paris ...
Formation de base - L'Approche CO-OP - UQTR
IMIGRANE - Sumatriptan - Posologie
Les faits en bref: Dystonie - Manuels MSD pour le grand public
État actuel des maladies dégénératives du système nerveux central liées à des neurolipidoses d'origine génétique - Académie...
Traitement osthero après mois tete de phemus hanche - docteurclic.com
Site de la Ville d'Istres
Tout sur le médicament SULPIRIDE MYLAN - Top Santé
Actualités Monze - ladepeche.fr
ATTEINTS DE DYSTONIE6
- Accueil des malades atteints de Dystonie - Clermont-Ferrand Les Délégués Auvergne se tiennent à la disposition des patients, les jours de vos injections de toxine botulinique, au CHU Gabriel-Montpied. (amadys.fr)
- AMADYS est une association d'intérêt général, sans but lucratif, loi 1901, de malades atteints de dystonie ou de spasme hémifacial. (amadys.fr)
- récolter des dons pour AMADYS, l'association des malades atteints de dystonie. (pa-sport.fr)
- Chez les patients atteints de dystonie vasculaire, des crises de panique constantes se produisent souvent, ce qui aggrave encore la situation. (me-medical.com)
- Une étude de 2012 a montré des améliorations chez 24 % (8 sur 34) des patients atteints de dystonie, 27,8 % des patients avec une dystonie généralisée, 31 % des patients avec une dystonie de la main et 17,8 % avec un syndrome de Meige ou bléspharospasme [ 6 ] . (medscape.com)
- Une étude de 2010 a montré des améliorations chez 41 % des 29 patients atteints de dystonie [ 7 ] . (medscape.com)
Formes de dystonie4
- La dystonie dopa-sensible est une expression générale utilisée pour décrire les formes de dystonie qui répondent à un médicament appelé la lévodopa, une forme synthétique d'un produit chimique du cerveau appelé la dopamine. (dystoniacanada.org)
- Ces formes de dystonie se caractérisent par une difficulté progressive à marcher. (dystoniacanada.org)
- Il existe plusieurs formes de dystonie. (amadys.fr)
- Retenez qu'il existe plusieurs formes de dystonie, mais la forme primaire est plus fréquente que les autres. (directionsante.com)
Maladie5
- Les expressions utilisées pour décrire la dystonie dopa-sensible sont la dystonie de Segawa, la maladie de Segawa, la dystonie DYT5. (dystoniacanada.org)
- Suite à une complication à sa naissance, il est atteint de dystonie, une maladie neurologique qui entraîne un trouble de la motricité et de l'éloquence. (pa-sport.fr)
- En revanche, la marijuana ne semble pas efficace dans la prise en charge des dyskinésies liées à la lévodopa dans la maladie de Parkinson et les données sont insuffisantes pour tirer des conclusions dans la maladie de Huntington, le syndrome de la Tourette, la dystonie cervicale et l'épilepsie . (medscape.com)
- Soulagement de la douleur chronique et des symptômes de certains troubles du mouvement tels que la dystonie, la maladie de Huntingdon, la maladie de Parkinson et le syndrome de la Tourette. (passeportsante.net)
- Vers la fin des années 1980, il souffre d'une maladie musculaire, la dystonie focale, qui touche sa main gauche. (thecanadianencyclopedia.ca)
Cervicale2
- la dystonie cervicale (torticolis spasmodique), qui provoque des spasmes aléatoires dans le cou et une torsion de la tête dans des positions inconfortables. (dontmiss.fr)
- Le Botox MD a d'abord été développé et commercialisé au début des années 1990 pour traiter des muscles qui bougent involontairement: blépharospasme (mouvement involontaire des paupières), strabisme, trouble du nerf facial, dystonie cervicale (mouvement involontaire de la tête), paralysie cérébrale, spasticité invalidante, dysphonie spasmodique (perte de la voix) et transpiration excessive des mains, des pieds et des aisselles. (lebelage.ca)
Personnes atteintes de dystonie4
- Les personnes atteintes de dystonie myoclonique manifestent des symptômes de dystonie en plus de mouvements myocloniques très prononcés. (dystoniacanada.org)
- Une caractéristique étonnante chez certaines personnes atteintes de dystonie myoclonique est le soulagement des symptômes lors de la consommation d'alcool. (dystoniacanada.org)
- Environ 40 % des personnes atteintes de dystonie dopa-sensible ne sont pas porteuses de la mutation du gène GTP-CH1 associée à la dystonie DYT5. (dystoniacanada.org)
- Toutes les personnes atteintes de dystonie dopa-sensible réagissent immédiatement à la lévodopa. (dystoniacanada.org)
Musculaire4
- Dans la dystonie, le tonus musculaire anormal entraîne en général des crampes. (msdmanuals.com)
- La dystonie est un trouble du tonus musculaire lié à un mauvais signal envoyé par le cerveau, qui provoque des postures ou des mouvements anormaux. (amadys.fr)
- La dystonie est une pathologie neurologique rare qui entraine un trouble du tonus musculaire relatif à un mauvais signal transmis par le cerveau. (directionsante.com)
- Éventuelle dystonie musculaire pendant les épisodes. (genodog.fr)
Diagnostic de dystonie3
- Le diagnostic de dystonie myoclonique se fonde sur les antécédents familiaux de la personne atteinte et sur un examen physique et neurologique. (dystoniacanada.org)
- Il n'existe pas de test unique pour établir de façon définitive le diagnostic de dystonie dopa-sensible. (dystoniacanada.org)
- L'obtention d'un échantillon de fluide cérébrospinal (au moyen d'une ponction lombaire) est une importante composante de l'établissement du diagnostic de dystonie dopa-sensible. (dystoniacanada.org)
Mouvements6
- Sur les autres projets Wikimedia : dystonie, sur le Wiktionnaire Le terme de dystonie est utilisé pour désigner : La dystonie qui est un symptôme entrant dans le cadre des mouvements anormaux. (wikipedia.org)
- La dystonie myoclonique, une forme de dystonie héréditaire, se manifeste par des mouvements saccadés rapides qui se présentent seuls ou de concert avec des contractions musculaires soutenues et des postures de dystonie. (dystoniacanada.org)
- La myoclonie est une dystonie du mouvement qui se caractérise par des mouvements saccadés, brefs et soudains. (dystoniacanada.org)
- En d'autres termes, lorsque la dystonie survient, vous n'arrivez plus à avoir le contrôle sur vos mouvements. (directionsante.com)
- Lorsque vous souffrez de la dystonie, vos mouvements deviennent anormaux, vos paupières peuvent se fermer toutes seules. (directionsante.com)
- Il prend en charge au sein du service de neurochirurgie pédiatrique des enfants présentant des mouvements anormaux rares et/ou venant pour une prise en charge neurochirurgicale pour dystonie ou spasticité. (fo-rothschild.fr)
Mouvement3
- Comme notifié au-dessus, la dystonie est un trouble de mouvement causé par un dysfonctionnement du cerveau. (directionsante.com)
- Les premières manifestations de la dystonie se résument en des difficultés à contrôler un mouvement. (directionsante.com)
- Il a soutenu sa thèse sur le thème de la dystonie à l'Institut des Sciences du Mouvement (EDSMH, Aix-Marseille Université). (editions-frison-roche.com)
Myoclonique6
- Les dystonies qui sont un groupe de maladies caractérisées par des troubles moteurs, regroupant la dystonie idiopathique de torsion (DIT) ou dystonie généralisée, les autres dystonies héréditaires comme la dystonie myoclonique, la dystonie secondaire à des lésions cérébrales et les dystonies en foyer. (wikipedia.org)
- Parmi les expressions utilisées pour décrire la dystonie myoclonique, mentionnons la myoclonie, la myoclonie héréditaire - syndrome de la dystonie, la dystonie DYT11. (dystoniacanada.org)
- Remarque - Certains chercheurs croient que la dystonie myoclonique est une variation de la myoclonie essentielle héréditaire. (dystoniacanada.org)
- La répartition des symptômes de la dystonie myoclonique est différente de la dystonie généralisée à apparition précoce typique en ce qu'elle touche le plus souvent le haut du corps, tandis que la dystonie à apparition précoce typique touche habituellement les jambes. (dystoniacanada.org)
- La dystonie myoclonique est souvent un trouble familial qui apparaît au fil de générations successives. (dystoniacanada.org)
- Les médicaments qui peuvent être utiles pour le traitement de la dystonie myoclonique incluent la benzatropine, le clonazépam, les neuroleptiques, les agonistes dopaminergiques et peut-être le 4-hydroxybutanoate (GHB). (dystoniacanada.org)
Forme4
- La dystonie généralisée est une forme de dystonie qui intéresse le corps pratiquement dans son entier. (wikipedia.org)
- Cette forme de dystonie apparaît au cours des 10 ou 20 premières années de la vie d'une personne, bien que certains cas ayant apparu à l'âge adulte ont été signalés. (dystoniacanada.org)
- Les chercheurs ont découvert plusieurs mutations du gène epsilon-sarcoglycane associées à cette forme de dystonie. (dystoniacanada.org)
- Parfois appelée dystonie DYT5, il s'agit de la forme de dystonie dopa-sensible la plus communément identifiée. (dystoniacanada.org)
Corps1
- la dystonie, qui provoque des spasmes musculaires inattendus et la torsion ou la déformation de la partie du corps affectée. (dontmiss.fr)
Manifeste1
- La dystonie dopa-sensible se manifeste généralement comme un trouble dystonique de la démarche qui apparaît tôt dans l'enfance. (dystoniacanada.org)
Syndrome1
- La mutation du gène est associée à la dystonie juvénile et au syndrome de Baraitser-Winter type 1. (cismef.org)
Involontaire1
- La dystonie est un trouble qui provoque un raidissement involontaire des muscles. (msdmanuals.com)
Touche1
- Cependant, si les symptômes d'une dystonie dopa-sensible transmise sur le mode de dominant touche l'élocution d'une personne, on peut supposer un problème cognitif même si, en réalité, la fonction cognitive de la personne est normale. (dystoniacanada.org)
N'est1
- Ces affections génétiques transmises selon le mode récessif touchent souvent les facultés cognitives, ce qui n'est pas associé à la dystonie dopa-sensible transmise selon le mode dominant. (dystoniacanada.org)
Souvent1
- Les symptômes de la dystonie dopa-sensible s'aggravent souvent vers la fin de la journée. (dystoniacanada.org)
Hypertonie1
- Ces derniers sont à type d' hypertonie et de tremblement pseudo-parkinsoniens, de dystonie paroxystique et de sialorrhée . (medinfos.com)
D'autres1
- D'autres affections métaboliques héréditaires peuvent causer la dystonie dopa-sensible (notamment une mutation du gène tyrosine hydroxylase (hTH) transmise selon le mode récessif, les déficiences du GTP-CH1 et de la décarboxylase des acides aminés aromatiques transmises sur le mode récessif et d'autres anomalies du métabolisme de la tétrahydrobioptérine). (dystoniacanada.org)
Connaitre1
- Vous pouvez cliquer ici pour mieux connaitre les causes et conséquences de la dystonie et savoir quand contacter un spécialiste pour bénéficier d'une prise en charge rapide. (directionsante.com)
Patients1
- Un réseau de médecins référents a également été mis en place au sein de l'Hôpital Fondation Rothschild afin de faciliter la prise en charge des patients (ORL spécialisé en dystonie, neuro-ophtalmologue, anesthésistes pédiatres). (fo-rothschild.fr)
Cause1
- Toutefois, si la dystonie survient généralement sans cause apparente, elle peut être diagnostiquée à l'occasion d'un stress ou d'un choc, un traumatisme. (directionsante.com)
Suivantes1
- Les directives suivantes relativement à la thérapie de la dystonie par stimulation cérébrale profonde (SCP) vous aideront à tirer le meilleur parti de votre thérapie par SCP. (medtronic.com)
Troubles1
- La dystonie neurovégétative ou vagosympathique, ainsi appelée à tort alors qu'elle n'a aucun rapport avec des troubles moteurs. (wikipedia.org)