Un genre de la famille PICORNAVIRIDAE dont les membres préférentiellement dans les intestins des diverses hôtes. Le genre contient de nombreuses espèces Newly décrit membres de humaine continue les entérovirus sont assignés chiffres avec les espèces désignées entérovirus "humain".
Une espèce de entérovirus infecter les humains et contenant 10 sérotypes, surtout coxsackieviruses.
Une espèce de entérovirus infecter les humains et contenant 36 sérotypes. Elle est composée de toutes les echoviruses et quelques coxsackieviruses, y compris tous ceux précédemment nommé le virus Coxsackie B.
Espèces de entérovirus maladies neurologiques d ’ intensité légère à sévère avec des porcs surtout en Europe de l'Est. Moins nocives sont aussi présents au Canada, États-Unis et en Australie. Espèces spécifiques incluent l entérovirus A et l entérovirus B.
Une légère, hautement infectieux maladie virale des enfants, caractérisé par des lésions vésiculaires dans la bouche, sur tes mains et pieds. Elle est provoquée par coxsackieviruses A.
Une espèce de entérovirus infecter les humains et sous forme de 2 sérotypes : Humain entérovirus 68 et Human entérovirus 70.
Une espèce dans la famille entérovirus infecter bétail.
Maladie infectieuse processus, notamment méningite, la diarrhée et des troubles respiratoires, causée par echoviruses.
Un syndrome caractérisé par des maux de tête, raideur du cou, fébricule, une pléïocytose du LCR lymphoïde et dans l ’ absence d ’ une bactérie pathogène. Une méningite virale est la cause la plus fréquente quoique Mycoplasma INFECTIONS ; Rickettsia INFECTIONS procédures diagnostiques ou thérapeutiques ; ; ; septique PROCESSUS néoplasiques perimeningeal foyers ; et les autres conditions pouvant entraîner ce syndrome. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p745)
Une espèce de entérovirus qui est l'agent causal de poliomyélite chez l'homme. Trois sérotypes (souches) existe. Transmission est par la route, les sécrétions pharyngé fecal-oral ou mécanique vecteur (mouches). Avec les deux vaccins à virus vivant atténué inactivé et ont fait leurs preuves vaccine contre l'infection.
L'herpangine est une maladie virale aiguë généralement causée par les coxsackievirus A, caractérisée par l'apparition de petites vésicules douloureuses sur la muqueuse buccale, en particulier sur le palais dur, le fond de la gorge, la langue et les gencives, accompagnées souvent de fièvre, de maux de gorge et de difficultés à avaler.
Des infections virales du leptomeninges et espace sous-arachnoïdien. TOGAVIRIDAE INFECTIONS ; FLAVIVIRIDAE INFECTIONS ; rubéole BUNYAVIRIDAE INFECTIONS ORBIVIRUS ; ; ; ; ; ORTHOMYXOVIRIDAE PICORNAVIRIDAE INFECTIONS INFECTIONS RHABDOVIRIDAE INFECTIONS ; ARENAVIRIDAE INFECTIONS Herpesviridae INFECTIONS ADENOVIRIDAE INFECTIONS ; ; ; ; et les infections liées au JC virus RETROVIRIDAE INFECTIONS peut provoquer cette forme de méningite. Les signes cliniques inclure fièvre, maux de tête, douleur cervicale, vomissements, photophobie, et des signes d'un syndrome méningé. (De Joynt Clinique neurologie, 1996, Ch26, pp1-3)
Un groupe hétérogène de produit par coxsackieviruses, y compris infections HERPANGINA, méningite aseptique (méningite, ASEPTIC), un syndrome de common-cold-like non-paralytic poliomyelitis-like syndrome, épidémie pleurodynia (PLEURODYNIA, épidémie) et une sérieuse myocardite.
Liquide ou refuser déchets emporté par les égouts.
Processus de pousser les virus des animaux vivants, les plantes ou culture cellulaire.
Entérovirus associée à une espèce de cas de méningite aseptique (méningite, ASEPTIC).
L'acide ribonucléique qui fait le matériel génétique des virus.
Protéines qui forment la capside virale.
Un genre de PICORNAVIRIDAE peuplant principalement les voies respiratoires des hôtes. Il comprend plus de 100 humain associée à des sérotypes on disait à froid.
Une famille de petites virus RNA comprenant quelque important pathogènes des humains et animaux. Transmission habituellement se produit mécaniquement. Il y a neuf genera : APHTHOVIRUS CARDIOVIRUS ERBOVIRUS entérovirus ; ; ; ; ; ; ; KOBUVIRUS HEPATOVIRUS PARECHOVIRUS rhinovirus ; et TESCHOVIRUS.
Les maladies provoquées par le virus PICORNAVIRIDAE.
Les relations de groupes d'organismes comme reflété par leur matériel génétique.
La présence de bactéries, virus, et des champignons dans l'eau. Ce terme n'est pas limitée aux organismes pathogènes.
Une espèce de entérovirus qui a causé les épidémies de méningite aseptique chez les enfants et les adultes.
L'étude de la structure, la croissance, la fonction, genetics, et la reproduction des virus, virus et maladies.
Inflammation du cerveau parenchyme en cas de infection virale. Encéphalite peut être due à primaire ou secondaire manifestation de TOGAVIRIDAE INFECTIONS ; Herpesviridae INFECTIONS ; ADENOVIRIDAE INFECTIONS ; FLAVIVIRIDAE INFECTIONS ; BUNYAVIRIDAE INFECTIONS ; PICORNAVIRIDAE INFECTIONS ; paramyxoviridae INFECTIONS ; ORTHOMYXOVIRIDAE INFECTIONS ; RETROVIRIDAE INFECTIONS ; et ARENAVIRIDAE INFECTIONS.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
La séquence au 5 'fin de l'ARN messager qui ne produit pas un code pour ribosome. Cette séquence contient le site de liaison et autres transcription et traduction réguler séquences.
Un terme général souvent utilisé pour décrire sévère ou une perte totale de la force musculaire due à une maladie système moteur depuis le niveau du cortex cérébral aux fibres musculaires peuvent aussi parfois. Ce terme se rapportent à une perte de fonctions sensorielles. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, 6e Ed P45)
Processus de détermination et distinguer espèces de bactéries ou aux virus basé sur antigène ils partagent.
Le parfait complément génétique contenus dans une molécule d'ADN ou d'ARN dans un virus.
Un fluide aqueux continuellement produite dans le plexus choroïde et circule autour de la surface du cerveau ; et dans la colonne vertébrale CEREBRAL ventricules.
À un procédé qui inclut le clonage, subcloning façonner en physique, détermination de la séquence d'ADN, et les informations analyse.
La contamination des étendues d'eau (tels que LAKES ; Rivers ; mers ; et GROUNDWATER.)
Minute agents infectieux dont les génomes sont composées d'ADN ou d'ARN, mais pas les deux. Se caractérisent par une absence de métabolisme indépendant et de la difficulté à se répliquer dehors hôte vivant cellules.
Une maladie infectieuse aigüe des humains, en particulier les enfants, provoquée par une des trois sérotypes poliovirus (humaine). Habituellement l'infection est limitée dans le tractus gastro-intestinal et nasopharynx, et est souvent asymptomatique. Le système nerveux central, principalement la moelle épinière peuvent être modifiés, entraînant rapidement une paralysie progressive fasciculation grossière et hyporéflexie. Neurones moteurs sont principalement affecté. Encéphalite peuvent également survenir. Le virus se réplique dans le système nerveux et peut provoquer une importante perte neuronale, surtout dans la moelle épinière. Une rare, poliomyélitique nonpoliovirus, peuvent être dus à des infections nonpoliovirus entérovirus. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp764-5)
Un genre de famille PICORNAVIRIDAE infecter les humains et les rongeurs. Le type espèce est Human parechovirus.
Excréments des intestins, contenant les déchets solides, non absorbé, les sécrétions DIGESTIVE bactéries connues et du système.
Soudaine augmentation de l ’ incidence d ’ une maladie. Le concept inclut épidémies et épidémiques.
Une maladie très contagieuse caractérisée par une hémorragie sous-conjonctivale, gonflement brusque et la congestion de la paupière, rougeur et douleur dans les yeux. Épidémie conjonctivite causée par entérovirus 70 (EV-70) a été décrit pour la première fois en Afrique en 1969. Elle survient également par Coxsackievirus CA24v variante (24). Les épidémies par cet organisme sont apparus plus fréquemment en Asie.
Une variante du PCR technique où cDNA est faite de l'ARN VIH-1 et VIH-2. Via est alors amplifiée cDNA qui en utilisant un électrocardiogramme standard PCR protocoles.
La conjonctivite est une inflammation de la membrane conjonctive, la muqueuse qui tapisse la surface interne des paupières et la surface antérieure du globe oculaire, souvent caractérisée par une rougeur, un larmoiement, un écoulement et un grattage des yeux.
Les immunoglobulines produits en réponse au VIRAL antigènes.
In vitro méthode pour produire de grandes quantités de fragments d'ADN ou d'ARN spécifiques définies longueur et la séquence de petites quantités de courtes séquences encadrent oligonucléotide (Primer). Les étapes essentielles incluent une dénaturation thermique de la double-branche cible de molécules, des détonateurs d'leurs séquences complémentaires, et extension de la synthèse enzymatique recuits Primer par de l'ADN polymérase. La réaction est efficace, précise, et extrêmement sensible. Utilise pour la réaction inclure diagnostiquer des maladies, détection de mutation difficult-to-isolate pathogènes, analyse de séquençage ADN test génétique évolutionniste, et en analysant les relations.
La mesure des titre infection-blocking antisera par une série de tests effectuées les dilutions virus-antiserum critère d ’ interaction, ce qui est généralement la dilution auquel porteuses de cultures de tissu serum-virus mélangées démontrer la cytopathologie (CPE) ou la dilution à laquelle 50 % d'animaux injecté serum-virus mélangées spectacle infectivity (ID50) ou mourir (DL50).
Vertébrés aquatiques appartenant à la ou les mollusques subphylum Crustacea, et utilisé comme nourriture.
Des modifications morphologiques visibles dans les cellules infectées de virus, l'arrêt de l'ARN et de la synthèse protéique cellulaire, cellule enzymes lysosomales, libération de fusion, des modifications de la perméabilité de la membrane cellulaire, diffuser des changements de structures intracellulaire, la présence de l ’ inclusion des cadavres, des aberrations chromosomiques. Elle exclut cancer, qui est le téléphone portable de transformation, VIRAL. Viral cytopathogenic indésirables servent de mode pour identifier et classer la bactérie, virus.
Le processus inflammatoire de l ’ parois musculaires du cœ ur (myocarde) entraînant blessure au muscle cardiaque (myocytes CARDIAC). Les manifestations de plus d ’ une fibrose infra-clinique de la mort, mort subite (soudaine). Myocardite en association avec un dysfonctionnement cardiaque est classifiée comme CARDIOMYOPATHY inflammatoire généralement dû à l ’ infection, maladie auto-immune, ou les réponses à des substances toxiques. Myocardite est aussi une cause fréquente de DILATED CARDIOMYOPATHY et autres étant des cardiomyopathies.
Des infections virales du cerveau, moelle épinière, les méninges ou perimeningeal espaces.
Un train de se séparer des particules de fluide, comme l'air ou un liquide, en passant le fluide porteur à travers un médium qui ne passeront pas les particules. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 4e éditeur)
Protéines membranaires GPI-linked largement réparti entre les cellules hématopoïétiques non-hematopoietic. CD55 et prévient l ’ assemblage de C3 Convertase voire accélère le démontage de preformed Convertase, bloquant ainsi la formation de la membrane attaque complexe.
Un terme général pour des maladies produite par des virus.
Un espèces dans ce genre HEPATOVIRUS contenant une sérovar et deux souches : Les virus de l ’ hépatite A et Simian Virus de l ’ hépatite A hépatite provoque chez l'homme (hépatites A) et les primates, respectivement.
Le capuchon extérieur de protéine coquille d'un virus qui protège l'acide nucléique viral.
Une espèce de CERCOPITHECUS contenant 3 variétés : C. Tantale, C. pygerythrus, et C. sabeus. Elles sont retrouvées dans les forêts et savane d'Afrique. L'Africain Singe Vert (C. pygerythrus) est le virus de l ’ immunodéficience humaine de simien hôte naturel et est utilisé dans la recherche sida.
Protéines associées au n'importe quelle espèce de virus.
Protéines virales qui sont des composants du virus assemblé mature. Ils incluent des gâteaux au noyau nucleocapsid protéines (gag) aux protéines, enzymes conditionné dans le virus particule (pol protéines) et composantes (membrane env protéines). Ces n'incluent pas les protéines encodée dans le génome VIRAL produites en cellules infectées mais qui ne sont pas conditionnés dans de la plus mûre, c 'est-à-dire la soi-disant non-structural (protéines VIRAL Nonstructural PROTEINS).
La séquence des purines et PYRIMIDINES dans les acides nucléiques et polynucleotides. On l'appelle aussi séquence nucléotidique.
L 'application de biologie moléculaire de épidémiologiques répond aux questions. L' examen des motifs de modification de l'ADN pour impliquer particulier cancérogènes et l ’ utilisation de marqueurs moléculaire de prédire où les particuliers sont à haut risque pour une maladie sont fréquentes exemples.
Mode pour mesurer infectivity virale et multiplication des cellules CULTURED. Clair lysée zones ou les plaques se développer comme des gâteaux VIRAL sont libérés par les cellules infectées pendant la période d'incubation. Avec des virus, les cellules sont tués par un effet cytopathic ; avec les autres, les cellules infectées ne sont pas tués mais peut être détecté par leur capacité hemadsorptive. Parfois la plaque cellules contiennent des antigènes VIRAL qui peut être mesurée par IMMUNOFLUORESCENCE.
Poids moléculaire élevé, qui contiennent des groupes fonctionnels polymères insolubles qui sont capables de entreprenant échange indésirables (ION ÉVOLUTION) avec soit cations ou anions.
Jeter les déchets liquides ou médicaments ou de détruire leur transformation en quelque chose d'utile ou inoffensif.
Classification binaire mesures d ’ évaluation de résultats. Sensibilité ni vous rappeler la proportion de faux positifs. La précision est la probabilité de bien déterminer l'absence d'une condition. (Dictionnaire d'hier, d'épidémiologie, 2d éditeur)

Les entérovirus sont un groupe de virus à ARN simple brin, sans enveloppe, qui comprennent plusieurs souches différentes, dont les poliovirus, les coxsackievirus et les echovirus. Ils tirent leur nom du fait qu'ils ont tendance à infecter le tractus gastro-intestinal, bien que leurs effets puissent se faire sentir dans d'autres parties du corps. Les entérovirus se transmettent généralement par contact direct avec des matières fécales ou des sécrétions respiratoires infectées.

Bien que de nombreuses infections à entérovirus soient asymptomatiques ou provoquent des symptômes bénins tels qu'un rhume ou une grippe, certains types peuvent causer des maladies plus graves, telles que la méningite, la myocardite et la paralysie. Les entérovirus sont une cause fréquente d'infections virales aux États-Unis et dans le monde, en particulier pendant les mois plus chauds de l'année.

Les vaccins sont disponibles pour prévenir certaines souches d'entérovirus, comme la polio, qui a été largement éradiquée dans de nombreuses régions du monde grâce aux efforts de vaccination. Cependant, il n'existe actuellement aucun vaccin contre la plupart des autres souches d'entérovirus. Le traitement des infections à entérovirus est généralement axé sur le soulagement des symptômes et peut inclure des mesures de soutien telles que l'hydratation et le repos au lit.

Les entérovirus A humains sont un groupe de virus à ARN simple brin, sans enveloppe, qui appartiennent au genre Enterovirus dans la famille Picornaviridae. Ils comprennent les poliovirus, coxsackievirus A, échovirus et autres entérovirus A qui peuvent causer une variété de maladies chez l'homme. Ces virus sont typically spread through direct contact with infected person's feces or respiratory secretions. Ils peuvent causer une gamme de symptômes, allant de maladies légères telles que le rhume et la conjonctivite à des maladies plus graves telles que la méningite, la myocardite et la paralysie. Les poliovirus sont un sous-groupe particulier d'entérovirus A qui peuvent causer une poliomyélite paralytique débilitante et ont été largement éradiqués dans de nombreuses régions du monde grâce à la vaccination.

Les Entérovirus B humains (HEV-B) font partie d'un groupe plus large de virus appelés Entérovirus, qui comprennent plusieurs souches différentes. Les HEV-B sont responsables de diverses affections médicales, allant de maladies relativement bénignes à des maladies graves.

Les HEV-B comprennent les sérotypes suivants : Coxsackievirus A1-A10, A12, A14-A16, A21-A24, B1-B5 et B7-B8; echovirus 1-7, 9, 11-21, 24-27, 29-33; et les entérovirus 69-71, 73-75, 77-80, 82, 87, 89-91, 97, 98, 100-101, 104, 106-107, 109, 111-113.

Ces virus sont fréquemment à l'origine d'infections respiratoires et gastro-intestinales aiguës. Les manifestations cliniques les plus courantes associées aux HEV-B comprennent la fièvre, le mal de gorge, l'écoulement nasal, les éruptions cutanées, la conjonctivite, la méningite aseptique et la paralysie flasque aiguë. Dans certains cas, les HEV-B peuvent également provoquer des maladies graves telles que la myocardite, la pancréatite et l'hépatite.

Les HEV-B se transmettent généralement par contact direct avec des sécrétions respiratoires ou fécales infectées, ainsi que par ingestion d'eau contaminée ou de denrées alimentaires. Il n'existe actuellement aucun vaccin disponible pour prévenir les infections à HEV-B. Le traitement des infections à HEV-B est généralement symptomatique et dépend de la gravité de la maladie. Dans les cas graves, un traitement antiviral peut être envisagé.

Les entérovirus porcins font référence à un groupe de virus qui infectent généralement les porcs et provoquent une variété de maladies, notamment la diarrhée, les vomissements, la fièvre, la déshydratation et la mortalité chez les porcelets. Ces virus sont membres de la famille des Picornaviridae et du genre Enterovirus. Ils se propagent généralement par contact direct avec des matières fécales infectées ou par ingestion d'aliments ou d'eau contaminés. Les entérovirus porcins peuvent également provoquer une maladie chez l'homme, bien que cela soit relativement rare. Les mesures de contrôle comprennent généralement des pratiques d'hygiène et de biosécurité strictes, ainsi que la vaccination des porcs contre certaines souches de ces virus.

Le syndrome Mains-Pieds-Bouche est une maladie virale contagieuse couramment observée chez les enfants en bas âge, bien que des cas chez les adultes puissent également se produire. Il est généralement causé par le coxsackievirus A16, mais d'autres types de coxsackievirus et d'entérovirus peuvent aussi en être la cause.

La maladie se caractérise par l'apparition de petites vésicules ou cloques douloureuses sur les paumes des mains, la plante des pieds et dans et autour de la bouche, y compris l'intérieur des joues, les gencives et les lèvres. Avant l'apparition des vésicules, il peut y avoir une période prodromique avec des symptômes non spécifiques tels que fièvre, maux de gorge, fatigue et perte d'appétit.

Les vésicules se développent généralement dans un délai d'un à trois jours après le début des symptômes généraux et peuvent être accompagnées de douleurs et d'un sentiment de malaise. Elles se rompent souvent d'elles-mêmes en quelques jours, ne laissant derrière elles qu'une petite zone rouge et plate. La guérison complète survient généralement en une à deux semaines sans traitement spécifique, bien que des analgésiques puissent être prescrits pour soulager la douleur et la fièvre.

Le syndrome Mains-Pieds-Bouche est souvent transmis par contact direct avec les sécrétions nasales ou salivaires d'une personne infectée, ainsi que par contact avec des matières fécales contenant le virus. Il n'existe actuellement aucun vaccin disponible pour prévenir cette maladie. Les mesures préventives comprennent une bonne hygiène des mains, l'évitement du partage d'articles personnels et la limitation de l'exposition aux personnes malades.

L'Enterovirus D humain, également connu sous le nom d'EV-D68, est un type spécifique d'entérovirus qui peut causer des maladies respiratoires allant de rhumes légers à des infections pulmonaires graves. Les symptômes courants de l'infection à EV-D68 comprennent la fièvre, la toux, les difficultés respiratoires et les douleurs corporelles. Dans certains cas, il peut également causer une inflammation du cerveau ou des méninges (méningite).

Les enterovirus sont des virus courants qui se propagent facilement d'une personne à l'autre par contact direct avec les sécrétions nasales ou salivaires infectées, telles que les éternuements et la toux. Ils peuvent également se propager en touchant des surfaces contaminées et en se touchant ensuite le visage.

Les personnes atteintes d'un système immunitaire affaibli, les jeunes enfants et les personnes âgées sont considérés comme plus à risque de développer des complications graves liées à l'infection à EV-D68. Actuellement, il n'existe pas de vaccin ou de traitement spécifique pour cette infection, et le traitement est généralement axé sur les symptômes. Il est important de maintenir une bonne hygiène des mains et de l'environnement pour prévenir la propagation de ce virus.

L'entérovirus bovin, également connu sous le nom de BoEV (Bovine Enteric Calicivirus), est un type de virus qui appartient à la famille des Caliciviridae. Il est spécifique aux bovins et peut causer une maladie intestinale chez ces animaux. Les symptômes peuvent inclure diarrhée, vomissements, perte d'appétit et déshydratation. La transmission se fait généralement par voie fécale-orale, à travers l'ingestion d'aliments ou d'eau contaminés. Il est à noter que ce virus ne présente aucun risque de zoonose, c'est-à-dire qu'il ne se transmet pas aux humains.

La méningite aseptique est un terme utilisé pour décrire une inflammation des méninges (les membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière) sans preuve de bactéries, de virus ou d'autres organismes infectieux dans le liquide céphalorachidien (LCR). Le LCR est le fluide clair qui baigne et protège le cerveau et la moelle épinière.

Dans la méningite aseptique, l'analyse du LCR peut révéler une augmentation des globules blancs, ce qui indique une inflammation, mais aucun agent infectieux n'est détecté. Cette condition peut être causée par un certain nombre de facteurs, y compris des infections virales, des maladies auto-immunes, des réactions à certains médicaments, ou dans de rares cas, cancers.

Il est important de noter que la méningite aseptique n'est pas contagieuse comme la méningite bactérienne ou virale. Toutefois, elle peut encore être une condition sérieuse et nécessite un traitement médical approprié.

Le poliovirus est un virus Enterovirus à ARN monocaténaire de la famille Picornaviridae, responsable de la poliomyélite. Il existe trois sérotypes distincts de ce virus, appelés PV1, PV2 et PV3. Le poliovirus se transmet généralement par voie fécale-orale, infectant initialement l'épithélium du tractus gastro-intestinal. Dans certains cas, il peut envahir le système nerveux central et causer une paralysie irréversible ou même la mort.

Le poliovirus est maintenant sur le point d'être éradiqué grâce aux efforts mondiaux de vaccination, ce qui en ferait seulement la troisième maladie infectieuse à être éliminée dans l'histoire de l'humanité après la variole et la peste bovine.

L'herpangine est une maladie virale aiguë généralement causée par les coxsackievirus A, qui appartiennent au groupe des enterovirus. Elle se manifeste principalement chez les enfants d'âge préscolaire et scolaire pendant les mois d'été et au début de l'automne.

Les symptômes typiques de l'herpangine comprennent une fièvre soudaine, des maux de gorge, une perte d'appétit et des douleurs abdominales. Après quelques jours, de petites vésicules (petites cloques remplies de liquide) se forment rapidement sur la muqueuse de la bouche, en particulier sur la partie postérieure du palais, le fond de la gorge, la langue et les gencives. Ces vésicules se transforment ensuite en ulcères douloureux après éruption.

L'herpangine est généralement bénigne et guérit spontanément en une semaine environ sans traitement spécifique. Les mesures de soutien, telles que l'hydratation adéquate et la prise d'analgésiques en vente libre pour soulager la douleur et la fièvre, peuvent être recommandées. Il est important de se laver régulièrement les mains et de nettoyer les surfaces contaminées pour prévenir la propagation du virus.

La méningite virale, également connue sous le nom d'asceptique ou méningite lymphocytaire, est une forme d'inflammation des membranes (méninges) qui recouvrent le cerveau et la moelle épinière. Contrairement à la méningite bactérienne, qui peut être grave et mortelle, la méningite virale est généralement moins sévère et plus autolimitative, ce qui signifie qu'elle disparaît souvent d'elle-même sans traitement spécifique.

Elle est le plus souvent causée par des entérovirus, qui sont des virus courants qui se propagent par voie féco-orale et peuvent provoquer une gamme de symptômes allant de la diarrhée légère à des maladies plus graves telles que la méningite. D'autres virus pouvant provoquer une méningite virale comprennent les virus du herpès, le virus de l'influenza et le virus de la varicelle-zona.

Les symptômes de la méningite virale peuvent inclure une fièvre soudaine, des maux de tête sévères, une raideur de la nuque, une sensibilité à la lumière, des nausées et des vomissements. Dans certains cas, les personnes atteintes de méningite virale peuvent également présenter des éruptions cutanées ou d'autres symptômes dépendamment du virus en cause.

Le diagnostic de méningite virale est généralement posé après avoir effectué une ponction lombaire, qui consiste à prélever un échantillon de liquide céphalorachidien dans le bas du dos pour analyse. Si les résultats montrent une augmentation du nombre de globules blancs (lymphocytes) dans le LCR, associée à l'absence de bactéries et à un faible taux de protéines, cela peut indiquer une méningite virale.

Le traitement de la méningite virale consiste généralement à soulager les symptômes avec des analgésiques, des médicaments contre la fièvre et des liquides pour prévenir la déshydratation. Dans certains cas, des antiviraux peuvent être prescrits si le virus en cause est connu et qu'il répond à ce traitement.

La plupart des gens atteints de méningite virale se rétablissent complètement en une à deux semaines, bien que certains puissent présenter des symptômes plus graves ou persistants. Il est important de consulter un médecin si vous pensez avoir la méningite, car certaines formes peuvent être très graves et nécessiter un traitement urgent.

Dans le contexte médical, un « culture virus » ne fait pas référence à un type spécifique de virus ou d'agent infectieux. Il s'agit plutôt d'un terme utilisé dans les sciences sociales et comportementales pour décrire l'influence des normes, des valeurs et des pratiques partagées au sein d'une communauté ou d'une organisation sur le comportement et les croyances de ses membres.

Cependant, il est important de noter que dans certains contextes, en particulier dans les médias populaires et la culture Internet, le terme « culture virus » peut être utilisé de manière informelle pour décrire une idée, un comportement ou une tendance qui se propage rapidement et devient largement adopté au sein d'un groupe ou d'une population.

Dans aucun cas, cependant, le terme « culture virus » ne fait référence à un agent pathogène ou infectieux dans la médecine ou la biologie.

L'échovirus 9 est un type spécifique de virus appartenant au genre des entérovirus et à la famille des Picornaviridae. Il a été découvert pour la première fois en 1955 et est l'un des nombreux sérotypes d'échovirus identifiés. Les échovirus sont généralement associés aux infections humaines et peuvent provoquer une variété de symptômes, allant de maladies bénignes à des affections plus graves.

L'échovirus 9 est souvent associé aux infections du système nerveux central, telles que la méningite aseptique et l'encéphalite. Cependant, il peut également être responsable d'autres manifestations cliniques, notamment des infections respiratoires, des conjonctivites, des myocardites, des péricardites et des éruptions cutanées.

La transmission de l'échovirus 9 se produit généralement par contact direct avec les sécrétions nasales ou fécales d'une personne infectée ou par ingestion d'eau contaminée. Après l'infection, le virus se multiplie dans les voies respiratoires supérieures et peut ensuite envahir d'autres tissus et organes, provoquant une gamme de symptômes en fonction de la réponse immunitaire de l'hôte.

Le diagnostic d'une infection à échovirus 9 repose généralement sur la détection du virus dans les liquides biologiques, tels que le liquide céphalo-rachidien ou le sang, par des méthodes de laboratoire telles que la culture virale, la PCR en temps réel ou la détection d'anticorps sériques spécifiques.

Le traitement d'une infection à échovirus 9 est généralement symptomatique et soutenu, car il n'existe actuellement aucun antiviral spécifique pour cibler ce virus. Les mesures de prévention comprennent l'hygiène des mains adéquate, l'évitement du contact avec les personnes malades et la désinfection des surfaces contaminées.

L'ARN viral (acide ribonucléique viral) est le matériel génétique présent dans les virus qui utilisent l'ARN comme matériel génétique, à la place de l'ADN. L'ARN viral peut être de simple brin ou double brin et peut avoir différentes structures en fonction du type de virus.

Les virus à ARN peuvent être classés en plusieurs groupes en fonction de leur structure et de leur cycle de réplication, notamment:

1. Les virus à ARN monocaténaire (ARNmc) positif : l'ARN viral peut servir directement de matrice pour la synthèse des protéines après avoir été traduit en acides aminés par les ribosomes de la cellule hôte.
2. Les virus à ARN monocaténaire (ARNmc) négatif : l'ARN viral ne peut pas être directement utilisé pour la synthèse des protéines et doit d'abord être transcrit en ARNmc positif par une ARN polymérase spécifique du virus.
3. Les virus à ARN bicaténaire (ARNbc) : ils possèdent deux brins complémentaires d'ARN qui peuvent être soit segmentés (comme dans le cas de la grippe) ou non segmentés.

Les virus à ARN sont responsables de nombreuses maladies humaines, animales et végétales importantes sur le plan épidémiologique et socio-économique, telles que la grippe, le rhume, l'hépatite C, la poliomyélite, la rougeole, la rubéole, la sida, etc.

Les protéines de capside sont des protéines structurales importantes dans la composition de la capside, qui est la couche protectrice externe de certains virus. La capside entoure le matériel génétique du virus et joue un rôle crucial dans la reconnaissance et l'attachement du virus à une cellule hôte, ainsi que dans la facilitation de l'infection de la cellule hôte. Les protéines de capside sont synthétisées à partir des informations génétiques contenues dans le matériel génétique du virus et s'assemblent pour former la structure complexe de la capside. Ces protéines peuvent être organisées en une variété de formes géométriques, y compris icosaédrique et hélicoïdale, selon le type de virus.

Le rhinovirus est un type de virus respiratoire très contagieux qui est la cause la plus fréquente du rhume. Il existe plus de 100 souches différentes de rhinovirus et elles se transmettent facilement d'une personne à l'autre par contact direct avec des gouttelettes respiratoires infectées ou par le biais de surfaces contaminées.

Les symptômes du rhume dû au rhinovirus comprennent généralement un nez qui coule ou bouché, une toux, des éternuements, des maux de gorge et parfois une légère fièvre. Les symptômes peuvent durer jusqu'à deux semaines, bien que la plupart des gens se sentent mieux après quelques jours.

Bien qu'il n'existe pas de vaccin contre le rhinovirus, certaines mesures peuvent être prises pour prévenir sa propagation, telles que se laver régulièrement les mains, éviter de toucher son visage et nettoyer fréquemment les surfaces partagées. Les personnes atteintes d'un rhume dû au rhinovirus devraient également éviter de partager des objets personnels tels que des mouchoirs ou des verres.

Dans la plupart des cas, le traitement du rhume dû au rhinovirus est symptomatique et peut inclure des analgésiques en vente libre pour soulager les maux de tête et la fièvre, ainsi que des hydratants pour prévenir la déshydratation due à la congestion nasale. Il est important de se reposer suffisamment pour aider le corps à combattre l'infection.

Picornaviridae est une famille de virus à ARN simple brin, sans enveloppe, qui infectent les animaux, y compris les humains. Ils sont responsables d'une variété de maladies allant des rhumes légers aux maladies plus graves telles que la méningite et la paralysie. Les picornaviridés comprennent plusieurs genres, dont Enterovirus (qui comprend les poliovirus), Rhinovirus, Hepatovirus (qui comprend le virus de l'hépatite A) et Aphthovirus (qui comprend le virus de la fièvre aphteuse). Ces virus sont relativement résistants aux acides gastriques et peuvent survivre pendant plusieurs heures à des températures froides, ce qui facilite leur transmission par voie fécale-orale ou respiratoire.

La phylogénie est une discipline scientifique qui étudie et reconstruit l'histoire évolutive des espèces ou groupes d'organismes vivants, en se basant sur leurs caractères biologiques partagés. Elle vise à déterminer les relations de parenté entre ces différents taxons (unités systématiques) et à établir leur arbre évolutif, appelé également phylogramme ou cladogramme.

Dans un contexte médical, la phylogénie peut être utilisée pour comprendre l'évolution des agents pathogènes, tels que les virus, bactéries ou parasites. Cette approche permet de mieux appréhender leur diversité génétique, l'origine et la diffusion des épidémies, ainsi que d'identifier les facteurs responsables de leur virulence ou résistance aux traitements. En conséquence, elle contribue au développement de stratégies préventives et thérapeutiques plus efficaces contre les maladies infectieuses.

La microbiologie de l'eau est la branche de la microbiologie qui étudie les micro-organismes présents dans l'eau, y compris les bactéries, les virus, les champignons, les protozoaires et les algues. Elle se concentre sur l'identification, la quantification, le rôle éco-physiologique, la surveillance et le contrôle de ces micro-organismes dans l'eau douce, les eaux usées, les eaux côtières et marines.

L'objectif principal de la microbiologie de l'eau est d'assurer la sécurité sanitaire de l'eau potable, de protéger l'environnement aquatique contre la pollution microbienne et de prévenir la propagation des maladies hydriques. Les professionnels de la microbiologie de l'eau travaillent dans divers domaines tels que la santé publique, l'industrie alimentaire, l'aquaculture, l'ingénierie environnementale et la recherche scientifique.

Les méthodes d'analyse couramment utilisées en microbiologie de l'eau comprennent la culture traditionnelle, la PCR en temps réel, la spectrométrie de masse et les techniques immunologiques. Les paramètres microbiologiques couramment surveillés dans l'eau potable comprennent les coliformes fécaux, les entérocoques intestinaux et les Escherichia coli, qui sont des indicateurs de contamination fécale et de risque de maladies d'origine hydrique.

L'échovirus 6 humain est un type spécifique de virus appartenant au genre Enterovirus dans la famille Picornaviridae. Les échovirus sont des entérovirus qui ne sont pas associés à des maladies manifestes telles que la poliomyélite ou la méningite aseptique. L'échovirus 6 est l'un des nombreux sérotypes d'échovirus et peut causer une variété de symptômes chez l'homme.

Habituellement, l'infection par l'échovirus 6 est asymptomatique ou provoque des maladies bénignes telles que la fièvre, les maux de gorge, les éruptions cutanées et les douleurs musculaires. Cependant, dans certains cas, il peut entraîner des complications plus graves, telles que la méningite, la myocardite et la pancréatite.

L'échovirus 6 se transmet généralement par contact direct avec les sécrétions nasales ou fécales d'une personne infectée. Il peut également se propager par l'intermédiaire de gouttelettes en suspension dans l'air, telles que celles expirées lors de la toux ou des éternuements. Le virus peut survivre pendant de longues périodes sur les surfaces et dans l'environnement, ce qui facilite sa propagation.

Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique contre l'infection par l'échovirus 6. Le traitement est généralement symptomatique et vise à soulager les symptômes désagréables. Les mesures préventives comprennent une bonne hygiène des mains, le maintien d'une bonne hygiène personnelle et l'évitement du contact avec les personnes malades.

La virologie est une sous-spécialité de la microbiologie qui se concentre sur l'étude des virus, y compris leur structure, classification, évolution, croissance, reproduction, pathogenèse (capacité à provoquer une maladie), immunologie, méthodes diagnostiques et thérapeutiques. Les virologistes étudient également les interactions entre les virus et leurs hôtes, y compris les humains, les animaux, les plantes et les bactéries. Cette discipline scientifique joue un rôle crucial dans la compréhension des maladies infectieuses émergentes et réémergentes, telles que le VIH/SIDA, l'hépatite virale, la grippe pandémique et les infections à coronavirus, y compris la COVID-19. Les virologistes travaillent souvent en étroite collaboration avec des cliniciens, des épidémiologistes et d'autres scientifiques pour développer des stratégies de prévention, de contrôle et de traitement des maladies virales.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Je suis désolé, "Régions 5" non traduites ne semble pas être une terminologie ou un concept reconnu dans le domaine médical. Il est possible que ce terme soit utilisé dans un contexte spécifique à une certaine étude, recherche, ou dans un document en particulier, dans ce cas, je vous recommande de chercher la source d'origine pour avoir une définition claire et précise. Sinon, il est possible que ce ne soit pas une expression médicale correcte ou couramment utilisée.

La paralysie est un terme médical qui décrit la perte complète ou partielle de la fonction musculaire dans une partie ou plusieurs parties du corps. Cela se produit généralement à la suite d'une lésion nerveuse, d'une maladie ou d'un trouble qui affecte le fonctionnement des nerfs responsables du contrôle des mouvements musculaires volontaires.

La paralysie peut affecter n'importe quelle partie du corps, y compris les membres supérieurs (bras, mains), les membres inférieurs (jambes, pieds), le visage, la gorge ou d'autres parties du corps. Elle peut être localisée, ne touchant qu'un seul muscle ou groupe de muscles, ou généralisée, affectant l'ensemble du corps.

Les causes les plus courantes de paralysie comprennent les accidents vasculaires cérébraux, les traumatismes de la moelle épinière, les maladies neurodégénératives telles que la sclérose en plaques et la maladie de Charcot, ainsi que certaines infections ou intoxications.

Le traitement de la paralysie dépend de sa cause sous-jacente. Dans certains cas, des thérapies physiques et occupationales peuvent aider à améliorer la fonction musculaire et à réduire les symptômes associés à la paralysie. Dans d'autres cas, des médicaments ou des interventions chirurgicales peuvent être nécessaires pour traiter la cause sous-jacente de la paralysie.

La sérotypie est un terme utilisé en microbiologie pour classer les bactéries ou autres agents pathogènes sur la base des antigènes somatiques (O) et capsulaires (K) qu'elles portent à leur surface. Ces antigènes sont des molécules spécifiques qui peuvent être reconnues par le système immunitaire et déclencher une réponse immunitaire.

Dans le cas de la sérotypie des bactéries, on utilise des sérums contenant des anticorps spécifiques pour identifier les différents types d'antigènes présents à la surface des bactéries. Les bactéries qui partagent les mêmes antigènes sont regroupées dans la même sérotype.

La sérotypie est particulièrement utile en médecine pour identifier et classifier certaines bactéries responsables de maladies infectieuses, telles que Escherichia coli, Salmonella, Shigella, Vibrio cholerae, et Streptococcus pneumoniae. Cette classification peut aider au diagnostic, à la surveillance épidémiologique, et à la prévention des maladies infectieuses.

Le génome viral se réfère à l'ensemble complet de gènes ou matériel génétique qu'un virus contient. Il peut être composé d'ADN (acide désoxyribonucléique) ou d'ARN (acide ribonucléique), et peut être soit à double brin, soit à simple brin. La taille du génome viral varie considérablement selon les différents types de virus, allant de quelques kilobases à plusieurs centaines de kilobases. Le génome viral contient toutes les informations nécessaires à la réplication et à la propagation du virus dans l'hôte infecté.

Le liquide cérébrospinal (LCS) est un fluide clair, stérile et circulant qui remplit les espaces sous-arachnoïdiens et la cavité ventriculaire du système nerveux central. Il agit comme un coussin protecteur pour le cerveau et la moelle épinière, absorbant les chocs mécaniques et maintenant une pression constante à l'intérieur du crâne. Le LCS est produit principalement par les plexus choroïdes dans les ventricules latéraux du cerveau, et il circule ensuite autour du cerveau avant d'être résorbé dans le sang via les granulations arachnoïdiennes. Le LCS joue également un rôle important dans la régulation des nutriments et déchets métaboliques du cerveau, ainsi que dans l'homéostasie ionique et la défense immunitaire de ce dernier.

La détermination de la séquence d'ADN est un processus de laboratoire qui consiste à déterminer l'ordre des nucléotides dans une molécule d'ADN. Les nucléotides sont les unités de base qui composent l'ADN, et chacun d'entre eux contient un des quatre composants différents appelés bases : adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T). La séquence spécifique de ces bases dans une molécule d'ADN fournit les instructions génétiques qui déterminent les caractéristiques héréditaires d'un organisme.

La détermination de la séquence d'ADN est généralement effectuée en utilisant des méthodes de séquençage de nouvelle génération (NGS), telles que le séquençage Illumina ou le séquençage Ion Torrent. Ces méthodes permettent de déterminer rapidement et à moindre coût la séquence d'un grand nombre de molécules d'ADN en parallèle, ce qui les rend utiles pour une variété d'applications, y compris l'identification des variations génétiques associées à des maladies humaines, la surveillance des agents pathogènes et la recherche biologique fondamentale.

Il est important de noter que la détermination de la séquence d'ADN ne fournit qu'une partie de l'information génétique d'un organisme. Pour comprendre pleinement les effets fonctionnels des variations génétiques, il est souvent nécessaire d'effectuer d'autres types d'analyses, tels que la détermination de l'expression des gènes et la caractérisation des interactions protéine-protéine.

La pollution de l'eau est un type de contamination qui affecte l'état naturel des ressources hydriques, telles que les rivières, les lacs, les océans et les eaux souterraines. Elle se produit lorsque des substances nocives ou des agents pathogènes sont introduits dans ces sources d'eau, les rendant impropres à une utilisation sûre et réduisant la qualité de l'habitat pour les organismes aquatiques.

Les sources courantes de pollution de l'eau comprennent :

1. Décharge industrielle : Les eaux usées industrielles peuvent contenir une variété de produits chimiques dangereux, y compris des métaux lourds, des solvants et des composés organiques, qui peuvent être toxiques pour la vie aquatique et présenter des risques pour la santé humaine.

2. Eaux usées domestiques : Les eaux usées provenant des ménages peuvent contenir des agents pathogènes, des nutriments (comme l'azote et le phosphore) et des produits chimiques ménagers, ce qui peut entraîner une prolifération d'algues nocives et perturber les écosystèmes aquatiques.

3. Agriculture : L'utilisation de pesticides et d'engrais dans l'agriculture peut entraîner la contamination des eaux souterraines et de surface, entraînant une augmentation des niveaux de nutriments et de produits chimiques toxiques.

4. Ruissellement urbain : Les précipitations qui s'écoulent sur les surfaces pavées dans les zones urbaines peuvent collecter une variété de polluants, y compris des hydrocarbures, des métaux lourds et des débris, avant d'être déversées dans les cours d'eau.

5. Déversements accidentels : Les déversements accidentels de pétrole, de produits chimiques et d'autres substances nocives peuvent avoir un impact dévastateur sur les écosystèmes aquatiques.

La pollution de l'eau peut entraîner une variété d'effets néfastes, notamment la diminution de la qualité de l'eau potable, la réduction de la biodiversité, la perturbation des écosystèmes et la menace pour la santé humaine. Par conséquent, il est essentiel de prendre des mesures pour prévenir et contrôler la pollution de l'eau.

Un virus est un agent infectieux submicroscopique qui se compose d'une coque de protéine protectrice appelée capside et, dans la plupart des cas, d'un noyau central d'acide nucléique (ADN ou ARN) contenant l'information génétique. Les virus ne peuvent se multiplier qu'en parasitant les cellules vivantes d'un organisme hôte. Ils sont responsables de nombreuses maladies allant du rhume et la grippe aux hépatites, poliomyélite et SIDA. Les virus ont été trouvés dans presque tous les types d'organismes vivants, des plantes et les animaux aux bactéries et les archées.

La poliomyélite, également appelée paralysie infantile, est une maladie infectieuse causée par le virus de la poliomyélite. Elle affecte principalement le système nerveux, en particulier les cellules nerveuses dans la moelle épinière, et peut entraîner une paralysie permanente.

Le virus se transmet généralement par voie orale, via des gouttelettes de salive ou des matières fécales contaminées. Après l'infection initiale, le virus se multiplie dans la gorge et l'intestin grêle avant d'envahir le système nerveux central.

Les symptômes initiaux peuvent inclure de la fièvre, des maux de tête, de la fatigue, des vomissements et des douleurs musculaires dans les premiers stades de l'infection. Cependant, dans environ 1% à 5% des cas, le virus attaque les cellules nerveuses de la moelle épinière, entraînant une inflammation aiguë et une dégénérescence des neurones moteurs.

Cela peut provoquer une paralysie flasque aiguë, qui peut affecter un ou plusieurs membres, voire les muscles respiratoires. Dans certains cas graves, la poliomyélite peut entraîner la mort en raison d'une insuffisance respiratoire.

Heureusement, grâce aux vaccins contre la poliomyélite développés dans les années 1950, l'incidence de cette maladie a considérablement diminué dans le monde entier. Cependant, il est toujours important de maintenir des taux de vaccination élevés pour prévenir toute résurgence de la maladie.

Le Parechovirus est un genre de virus à ARN simple brin, non enveloppé, appartenant à la famille des Picornaviridae. Il existe plusieurs types de Parechovirus, dont le type le plus courant qui infecte les humains est le Parechovirus A, qui peut causer une variété de maladies, allant de maladies respiratoires légères à des infections du système nerveux central, telles que la méningite et l'encéphalite. Les nourrissons et les jeunes enfants sont particulièrement sensibles aux infections à Parechovirus. Les symptômes peuvent inclure de la fièvre, des éruptions cutanées, une irritabilité, une diarrhée, une déshydratation, une difficulté à respirer et une inflammation du cerveau ou des méninges. La transmission se fait généralement par contact direct avec les sécrétions nasales ou la salive d'une personne infectée. Il n'existe actuellement aucun vaccin ou traitement spécifique contre l'infection à Parechovirus, et le traitement est principalement symptomatique.

Les fèces, également connues sous le nom de selles ou excréments, se réfèrent à la substance finale résultant du processus digestif dans le tube digestif. Il s'agit principalement des déchets non absorbés et de divers sous-produits de la digestion qui sont expulsés par l'anus lors de la défécation.

Les fèces contiennent une variété de composants, y compris de l'eau, des fibres alimentaires non digérées, des bactéries intestinales, des cellules épithéliales mortes de l'intestin, des graisses, des protéines et des électrolytes. La composition spécifique peut varier en fonction de facteurs tels que l'alimentation, l'hydratation, l'activité physique et la santé globale du système gastro-intestinal.

Des changements dans les caractéristiques des fèces, comme la consistance, la couleur ou la fréquence, peuvent indiquer divers problèmes de santé, tels que la constipation, la diarrhée, une malabsorption ou des infections. Par conséquent, il est important d'être attentif à ces changements et de consulter un professionnel de la santé si nécessaire.

Une épidémie de maladie, également appelée outbreak en anglais, est un événement dans lequel une maladie infectieuse se produit soudainement et de manière inattendue dans une population donnée à des taux supérieurs aux normales attendues. Pour qu'un événement soit qualifié d'épidémie, il doit y avoir un nombre accru de cas liés dans le temps et l'espace. Les épidémies peuvent être causées par des agents pathogènes nouveaux ou existants et peuvent survenir lorsque les conditions favorisent la transmission de ces agents.

Les facteurs qui peuvent contribuer à une épidémie comprennent les déplacements internationaux, les changements climatiques, les catastrophes naturelles, les conflits armés et les effondrements des systèmes de santé publique. Les épidémies peuvent être localisées dans une communauté ou une région spécifique, ou elles peuvent se propager à d'autres régions ou pays, devenant ainsi une pandémie.

Les professionnels de la santé publique travaillent activement à prévenir et à contrôler les épidémies en surveillant les maladies infectieuses, en identifiant rapidement les cas et les clusters de cas, en mettant en œuvre des mesures d'intervention rapides pour arrêter la propagation de l'agent pathogène et en fournissant des soins aux personnes touchées.

La conjonctivite aiguë hémorragique est une forme inflammatoire aiguë de la conjonctive, la membrane muqueuse qui tapisse la paupière et recouvre le blanc de l'œil. Cette condition est caractérisée par des saignements sous la conjonctive, ce qui donne à l'œil un aspect rouge ou violacé. Les symptômes peuvent inclure une douleur oculaire légère à modérée, une sensation de brûlure, des démangeaisons, une photophobie (sensibilité à la lumière) et un larmoiement accru.

L'inflammation est souvent causée par une infection virale, bien qu'elle puisse également résulter d'une infection bactérienne ou d'une irritation chimique. Dans certains cas, aucune cause spécifique ne peut être identifiée, auquel cas la condition est appelée conjonctivite hémorragique idiopathique.

La plupart des cas de conjonctivite aiguë hémorragique sont bénins et se résolvent spontanément en une à deux semaines sans traitement spécifique. Toutefois, dans certains cas, des antibiotiques peuvent être prescrits pour prévenir ou traiter une infection bactérienne secondaire. Il est également important de maintenir une bonne hygiène des mains et de ne pas partager de serviettes ou de linge de lit pour prévenir la propagation de l'infection.

La réaction de polymérisation en chaîne par transcriptase inverse (RT-PCR en anglais) est une méthode de laboratoire utilisée pour amplifier des fragments d'ARN spécifiques. Cette technique combine deux processus distincts : la transcription inverse, qui convertit l'ARN en ADN complémentaire (ADNc), et la polymérisation en chaîne, qui permet de copier rapidement et de manière exponentielle des millions de copies d'un fragment d'ADN spécifique.

La réaction commence par la transcription inverse, où une enzyme appelée transcriptase inverse utilise un brin d'ARN comme matrice pour synthétiser un brin complémentaire d'ADNc. Ce processus est suivi de la polymérisation en chaîne, où une autre enzyme, la Taq polymérase, copie le brin d'ADNc pour produire des millions de copies du fragment d'ADN souhaité.

La RT-PCR est largement utilisée dans la recherche médicale et clinique pour détecter et quantifier l'expression génétique, diagnostiquer les maladies infectieuses, détecter les mutations génétiques et effectuer des analyses de génome. Elle est également utilisée dans les tests de diagnostic COVID-19 pour détecter le virus SARS-CoV-2.

La conjonctivite est une inflammation ou une infection de la conjonctive, qui est la membrane muqueuse et transparente qui recouvre la surface interne des paupières et la partie blanche de l'œil (la sclère). Cette condition peut être causée par divers facteurs, tels que des virus, des bactéries, des allergènes, des irritants environnementaux ou une exposition à des produits chimiques.

Les symptômes courants de la conjonctivite comprennent :

1. Rougeur et gonflement des paupières
2. Sensation de brûlure, picotement ou démangeaison dans l'œil
3. Décharge jaunâtre ou verdâtre (dans les cas de conjonctivite bactérienne)
4. Larmoiement accru
5. Paupières collées ensemble au réveil (en particulier chez les enfants)
6. Sensibilité à la lumière

La conjonctivite peut affecter un ou les deux yeux et peut être contagieuse, surtout dans le cas d'une infection virale ou bactérienne. Il est important de maintenir une bonne hygiène des mains et de ne pas partager de serviettes, de lingettes pour les yeux ou d'autres articles personnels pour prévenir la propagation de l'infection.

Le traitement de la conjonctivite dépend de sa cause sous-jacente. Les cas légers peuvent se résoudre sans traitement spécifique en quelques jours à une semaine. Toutefois, dans les cas plus graves ou persistants, un médecin peut prescrire des médicaments, tels que des antibiotiques pour une infection bactérienne, des antihistaminiques pour une réaction allergique ou des stéroïdes pour soulager l'inflammation. Dans tous les cas, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé si vous soupçonnez une conjonctivite pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.

Les anticorps antiviraux sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à une infection virale. Ils sont spécifiquement conçus pour se lier à des parties spécifiques du virus, appelées antigènes, et les neutraliser, empêchant ainsi le virus de pénétrer dans les cellules saines et de se répliquer.

Les anticorps antiviraux peuvent être détectés dans le sang plusieurs jours après l'infection et sont souvent utilisés comme marqueurs pour diagnostiquer une infection virale. Ils peuvent également fournir une protection immunitaire à long terme contre une réinfection par le même virus, ce qui est important pour le développement de vaccins efficaces.

Certaines thérapies antivirales comprennent des anticorps monoclonaux, qui sont des anticorps artificiels créés en laboratoire pour imiter les anticorps naturels produits par l'organisme. Ces anticorps monoclonaux peuvent être utilisés comme traitement contre certaines infections virales graves, telles que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de l'hépatite C.

La réaction de polymérisation en chaîne est un processus chimique au cours duquel des molécules de monomères réagissent ensemble pour former de longues chaînes de polymères. Ce type de réaction se caractérise par une vitesse de réaction rapide et une exothermie, ce qui signifie qu'elle dégage de la chaleur.

Dans le contexte médical, les réactions de polymérisation en chaîne sont importantes dans la production de matériaux biomédicaux tels que les implants et les dispositifs médicaux. Par exemple, certains types de plastiques et de résines utilisés dans les équipements médicaux sont produits par polymérisation en chaîne.

Cependant, il est important de noter que certaines réactions de polymérisation en chaîne peuvent également être impliquées dans des processus pathologiques, tels que la formation de plaques amyloïdes dans les maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer. Dans ces cas, les protéines se polymérisent en chaînes anormales qui s'accumulent et endommagent les tissus cérébraux.

La réaction de neutralisation est un processus dans le domaine de l'immunologie qui se produit lorsqu'un anticorps se lie spécifiquement à un antigène, entraînant la neutralisation ou l'inactivation de ce dernier. Cela se produit généralement lorsque l'anticorps se lie aux sites actifs du pathogène (comme une bactérie ou un virus), empêchant ainsi le pathogène de se lier et d'infecter les cellules hôtes.

Ce processus est crucial dans la réponse immunitaire adaptative, où des lymphocytes B spécifiques produisent des anticorps après avoir été activés par la reconnaissance d'un antigène étranger. Les anticorps neutralisants sont particulièrement importants dans la défense contre les virus et les toxines bactériennes, car ils peuvent prévenir l'infection initiale ou limiter la propagation de l'infection en empêchant le pathogène de se lier aux cellules hôtes.

La réaction de neutralisation est souvent utilisée dans les tests de laboratoire pour détecter et mesurer la présence d'anticorps spécifiques contre un antigène donné, ce qui peut être utile dans le diagnostic des maladies infectieuses et l'évaluation de l'efficacité des vaccins.

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Le pouvoir cytopathogène d'un virus fait référence à sa capacité à causer des dommages et des modifications visibles dans les cellules qu'il infecte. Ces changements peuvent inclure la destruction des cellules (cytolyse), l'arrêt de leur division et de leur croissance, ou l'induction de leur transformation maligne.

Lorsqu'un virus pénètre dans une cellule hôte, il s'intègre à son génome et utilise les mécanismes cellulaires pour se répliquer. Ce processus peut perturber le fonctionnement normal de la cellule et entraîner des changements structurels et fonctionnels qui sont caractéristiques de l'infection virale.

Le pouvoir cytopathogène varie selon les différents types de virus et peut être un facteur important dans la gravité de la maladie qu'ils causent. Certains virus, comme le virus de la grippe, ont un pouvoir cytopathogène relativement faible et ne causent que des dommages limités aux cellules infectées. D'autres virus, tels que les papillomavirus humains (HPV) ou le virus de l'herpès simplex (HSV), ont un pouvoir cytopathogène plus élevé et peuvent entraîner des modifications significatives dans les cellules infectées, y compris la transformation maligne dans le cas du HPV.

En général, le pouvoir cytopathogène d'un virus est déterminé par l'étude de ses effets sur les cultures cellulaires en laboratoire. Les changements observés dans les cellules infectées peuvent être utilisés pour identifier et caractériser le virus, ainsi que pour évaluer son potentiel pathogène.

La myocardite est une affection dans laquelle le muscle cardiaque (myocarde) s'enflamme et s'endommage. Cela peut être causé par une infection virale ou bactérienne, ou par des causes moins courantes telles que les maladies auto-immunes ou les réactions aux médicaments. Les symptômes peuvent varier de légers à graves et peuvent inclure des douleurs thoraciques, un essoufflement, une arythmie (rythme cardiaque anormal), une fatigue extrême et, dans les cas graves, une insuffisance cardiaque congestive. Le diagnostic est généralement posé en combinant l'histoire clinique du patient, les résultats de l'électrocardiogramme (ECG), les images médicales telles que l'échocardiogramme et la résonance magnétique cardiaque, ainsi que des biopsies cardiaques dans certains cas. Le traitement dépend de la gravité de la maladie et peut inclure des médicaments pour contrôler l'inflammation et le rythme cardiaque, ainsi qu'un support cardiovasculaire tel qu'un respirateur ou un appareil de circulation extra-corporelle dans les cas graves.

Les maladies virales du système nerveux central (SNC) sont des infections causées par des virus qui affectent directement le cerveau et la moelle épinière. Ces virus peuvent pénétrer dans le SNC en traversant la barrière hémato-encéphalique, une structure protectrice qui régule normalement ce qui peut entrer dans le cerveau.

Il existe plusieurs types de maladies virales du SNC, dont certaines des plus courantes sont :

1. Encéphalite: Inflammation du cerveau causée par des virus tels que l'herpès simplex, le virus de la grippe, les arbovirus (comme ceux transmis par les moustiques) et d'autres. Les symptômes peuvent inclure fièvre, maux de tête, confusion, convulsions, troubles de la conscience et parfois coma.

2. Méningite: Inflammation des membranes qui entourent le cerveau et la moelle épinière (les méninges). La méningite virale est généralement moins grave que la méningite bactérienne. Les symptômes comprennent fièvre, maux de tête, raideur de la nuque et sensibilité à la lumière.

3. Myélite: Inflammation de la moelle épinière qui peut entraîner des faiblesses musculaires, une paralysie, des picotements ou des engourdissements dans différentes parties du corps. Des virus tels que ceux de la poliomyélite, de l'herpès zoster (zona) et du HIV peuvent causer une myélite.

4. Encéphalomyélite: Inflammation simultanée du cerveau et de la moelle épinière. Un exemple est l'encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM), qui peut survenir après une infection virale ou une vaccination.

5. Encéphalopathie: Trouble cérébral global associé à des modifications de la conscience, du comportement et de la fonction cognitive. Des virus tels que ceux de l'encéphalite de St. Louis, de l'encéphalite japonaise et du HIV peuvent provoquer une encéphalopathie.

Le traitement dépendra du type d'infection virale et des symptômes spécifiques. Dans certains cas, des médicaments antiviraux peuvent être utiles. Le repos au lit, les fluides et la gestion de la douleur sont également importants. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour assurer une surveillance étroite et un traitement approprié.

En médecine, la filtration est un processus utilisé pour séparer des substances ou des cellules d'une solution liquide à travers un matériau poreux ou un filtre. Ce procédé permet de retenir les particules ou molécules plus larges ou plus grossières, tandis que le liquide et les composants plus petits peuvent traverser le filtre.

La filtration est fréquemment employée dans divers contextes médicaux, tels que :

1. Hémodialyse : Pendant ce traitement de suppléance rénal, le sang du patient passe à travers un filtre (appelé dialyseur ou néphron artificiel) qui retient les déchets et l'excès de liquide, permettant au sang épuré de retourner dans le corps.
2. Plasmaphérèse : Ce procédé thérapeutique consiste à séparer le plasma du sang en utilisant une centrifugeuse ou un filtre spécifique, puis à échanger ce plasma contre un plasma sain ou une solution de remplacement.
3. Prélèvement et analyse de liquides biologiques : Lorsqu'il est nécessaire d'examiner des fluides corporels tels que l'urine, le liquide céphalo-rachidien ou l'ascite, la filtration peut être utilisée pour éliminer les cellules et les débris avant l'analyse.
4. Stérilisation : La filtration des solutions ou des médicaments à l'aide de filtres stériles permet d'éliminer les bactéries, les virus et d'autres micro-organismes, assurant ainsi la stérilité du produit final.

En résumé, la filtration est une technique essentielle en médecine pour purifier, séparer et traiter divers liquides biologiques dans le cadre du diagnostic, de la thérapie et de la prévention des maladies.

L'antigène CD55, également connu sous le nom de decay-accelerating factor (DAF), est une protéine qui se trouve à la surface de certaines cellules du corps, en particulier les globules rouges et les cellules endothéliales. Cette protéine joue un rôle important dans la régulation du système immunitaire et aide à prévenir l'activation excessive du complément, un groupe de protéines qui contribuent à la défense du corps contre les infections.

Le CD55 est l'un des nombreux antigènes qui peuvent être utilisés pour caractériser et identifier différents types de cellules dans le sang et d'autres tissus. Il est souvent utilisé en médecine de laboratoire pour aider au diagnostic de certaines maladies, telles que les anémies hémolytiques et les troubles du complément.

Des variations dans l'expression du CD55 peuvent être associées à des maladies, y compris certains types de cancer. Par exemple, une expression réduite de CD55 a été observée dans certaines formes de cancer colorectal et peut contribuer à la progression de la maladie en permettant une activation accrue du complément.

Les maladies virales sont des affections causées par des virus, qui sont des agents infectieux extrêmement petits. Ils se composent d'un simple brin ou de plusieurs brins d'ARN ou d'ADN entourés d'une coque protéique. Les virus ne peuvent pas se répliquer sans un hôte vivant, ils doivent donc infecter des cellules vivantes pour survivre et se multiplier.

Une fois qu'un virus pénètre dans l'organisme, il s'attache aux cellules saines et les utilise pour se répliquer. Cela provoque souvent une réaction immunitaire de la part du corps, entraînant des symptômes cliniques. Les symptômes varient considérablement selon le type de virus et l'organe ou le tissu qu'il infecte.

Certaines maladies virales courantes incluent le rhume, la grippe, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle, l'herpès, l'hépatite, la poliomyélite et le VIH/SIDA. Certaines de ces maladies peuvent être prévenues par des vaccins, tandis que d'autres doivent être traitées avec des médicaments antiviraux spécifiques une fois qu'elles se sont développées.

Il est important de noter que certaines infections virales peuvent devenir chroniques et persister dans le corps pendant des mois ou même des années, entraînant des complications à long terme. De plus, certains virus ont la capacité de muter, ce qui rend difficile le développement d'un traitement ou d'un vaccin efficace contre eux.

L'hépatite A est une infection du foie causée par le virus de l'hépatite A (VHA). Il s'agit d'un virus à ARN, non enveloppé, appartenant à la famille des Picornaviridae et au genre Hepatovirus. Le VHA se transmet principalement par voie fécale-orale, c'est-à-dire qu'il est ingéré après avoir été en contact avec des matières fécales contaminées, souvent via de la nourriture ou de l'eau souillée. Les aliments crus ou mal cuits, tels que les fruits de mer, les légumes et les produits laitiers, peuvent être des véhicules de transmission. L'infection peut également se propager par contact direct avec une personne infectée, en particulier dans les ménages, les institutions pour enfants, les établissements de soins de longue durée et parmi les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes.

Après l'ingestion, le virus se multiplie dans les cellules du tractus gastro-intestinal avant de se propager vers le foie. L'infection peut provoquer une inflammation du foie (hépatite), entraînant des symptômes tels que la fatigue, la perte d'appétit, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, de la fièvre, des urines foncées et une coloration jaunâtre de la peau et du blanc des yeux (ictère). Cependant, certaines personnes, en particulier les enfants, peuvent ne présenter aucun symptôme.

Le diagnostic d'hépatite A repose généralement sur la détection des anticorps IgM spécifiques du VHA dans le sérum sanguin, qui indiquent une infection récente. Il n'existe pas de traitement spécifique pour l'hépatite A, et la plupart des gens se rétablissent spontanément en quelques semaines à quelques mois. Le traitement principal consiste à soulager les symptômes et à assurer une hydratation adéquate.

La prévention de l'hépatite A repose sur la vaccination et l'adoption de mesures d'hygiène appropriées, telles que le lavage des mains après avoir utilisé les toilettes et avant de préparer ou de consommer des aliments. Les voyageurs se rendant dans des régions où l'hépatite A est fréquente peuvent bénéficier d'une vaccination avant leur départ.

Un capside est une structure protectrice constituée de protéines qui entoure le génome d'un virus. Il s'agit d'une couche extérieure rigide ou semi-rigide qui protège l'acide nucléique du virus contre les enzymes et autres agents dégradants présents dans l'environnement extracellulaire. Le capside est généralement constitué de plusieurs copies d'une ou quelques protéines différentes, qui s'assemblent pour former une structure géométrique symétrique.

Le capside joue un rôle important dans la reconnaissance et l'entrée du virus dans la cellule hôte. Il contient souvent des sites de liaison spécifiques aux récepteurs qui permettent au virus d'interagir avec les molécules situées à la surface de la cellule hôte, déclenchant ainsi le processus d'infection.

Le capside est l'une des deux principales structures constituant un virus, l'autre étant l'enveloppe virale, une membrane lipidique qui peut être présente chez certains virus et absente chez d'autres. Les virus dont le génome est entouré par un capside mais pas par une enveloppe sont appelés virus nus ou non enveloppés.

'Cercopithecus Aethiops' est le nom latin de l'espèce pour le singe vert africain. Il appartient au genre Cercopithecus et à la famille des Cercopithecidae. Le singe vert africain est originaire d'Afrique subsaharienne et se trouve dans une grande variété d'habitats, y compris les forêts, les savanes et les zones humides.

Ces primates omnivores ont une longue queue qui peut être aussi longue que leur corps et sont connus pour leurs mouvements gracieux et agiles dans les arbres. Ils ont un pelage vert olive à brun avec des touffes de poils blanches ou jaunes sur le visage et les oreilles. Les singes verts africains vivent en groupes sociaux dirigés par un mâle dominant et se nourrissent d'une grande variété d'aliments, y compris les fruits, les feuilles, les insectes et les petits vertébrés.

Leur communication est complexe et comprend une variété de vocalisations, des expressions faciales et des gestes. Les singes verts africains sont également connus pour leur intelligence et ont été observés utilisant des outils dans la nature. Malheureusement, ces primates sont menacés par la perte d'habitat due à la déforestation et à l'expansion agricole, ainsi que par la chasse illégale pour la viande de brousse et le commerce des animaux de compagnie exotiques.

Les protéines virales sont des molécules protéiques essentielles à la structure et à la fonction des virus. Elles jouent un rôle crucial dans presque tous les aspects du cycle de vie d'un virus, y compris l'attachement et l'entrée dans une cellule hôte, la réplication du génome viral, l'assemblage de nouvelles particules virales et la libération de ces particules pour infecter d'autres cellules.

Les protéines virales peuvent être classées en plusieurs catégories fonctionnelles :

1. Protéines de capside : Ces protéines forment la structure protectrice qui entoure le matériel génétique du virus. Elles sont souvent organisées en une structure géométrique complexe et stable.

2. Protéines d'enveloppe : Certaines espèces de virus possèdent une membrane lipidique externe, ou enveloppe virale, qui est dérivée de la membrane cellulaire de l'hôte infecté. Les protéines virales intégrées dans cette enveloppe jouent un rôle important dans le processus d'infection, comme l'attachement aux récepteurs de la cellule hôte et la fusion avec la membrane cellulaire.

3. Protéines de matrice : Ces protéines se trouvent sous la membrane lipidique externe des virus enveloppés et sont responsables de l'organisation et de la stabilité de cette membrane. Elles peuvent également participer à d'autres étapes du cycle viral, comme la réplication et l'assemblage.

4. Protéines non structurées : Ces protéines n'ont pas de rôle direct dans la structure du virus mais sont importantes pour les fonctions régulatrices et enzymatiques pendant le cycle de vie du virus. Par exemple, certaines protéines virales peuvent agir comme des polymerases, des protéases ou des ligases, catalysant des réactions chimiques essentielles à la réplication et à l'assemblage du génome viral.

5. Protéines d'évasion immunitaire : Certains virus produisent des protéines qui aident à échapper aux défenses de l'hôte, comme les interférons, qui sont des molécules clés du système immunitaire inné. Ces protéines peuvent inhiber la production ou l'activation des interférons, permettant au virus de se répliquer plus efficacement et d'éviter la détection par le système immunitaire.

En résumé, les protéines virales jouent un rôle crucial dans tous les aspects du cycle de vie des virus, y compris l'attachement aux cellules hôtes, la pénétration dans ces cellules, la réplication et l'assemblage du génome viral, et l'évasion des défenses immunitaires de l'hôte. Comprendre la structure et la fonction de ces protéines est essentiel pour développer des stratégies thérapeutiques et préventives contre les maladies infectieuses causées par les virus.

Les protéines virales structurelles sont des protéines qui jouent un rôle crucial dans la composition de la capside et de l'enveloppe du virus. Elles sont essentielles à la formation de la structure externe du virus et assurent sa protection, ainsi que la protection de son matériel génétique. Les protéines virales structurelles peuvent être classées en trois catégories principales : les protéines de capside, qui forment la coque protectrice autour du matériel génétique du virus ; les protéines d'enveloppe, qui constituent la membrane externe du virus et facilitent l'entrée et la sortie du virus des cellules hôtes ; et les protéines de matrice, qui se trouvent entre la capside et l'enveloppe et fournissent une structure supplémentaire au virus. Ensemble, ces protéines travaillent pour assurer la réplication et la propagation du virus dans l'organisme hôte.

Une séquence nucléotidique est l'ordre spécifique et linéaire d'une série de nucléotides dans une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN. Chaque nucléotide se compose d'un sucre (désoxyribose dans le cas de l'ADN et ribose dans le cas de l'ARN), d'un groupe phosphate et d'une base azotée. Les bases azotées peuvent être adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T) dans l'ADN, tandis que dans l'ARN, la thymine est remplacée par l'uracile (U).

La séquence nucléotidique d'une molécule d'ADN ou d'ARN contient des informations génétiques cruciales qui déterminent les caractéristiques et les fonctions de tous les organismes vivants. La décodage de ces séquences, appelée génomique, est essentiel pour comprendre la biologie moléculaire, la médecine et la recherche biologique en général.

La génétique moléculaire et l'épidémiologie sont deux domaines distincts des sciences de la santé, mais ils se sont récemment croisés pour donner naissance à une nouvelle discipline appelée épidémiologie moléculaire. L'épidémiologie moléculaire est définie comme l'application des méthodes et des principes de la génétique moléculaire à l'étude des facteurs de risque, de la distribution, de la prévalence et de la propagation des maladies dans les populations.

Cette approche permet aux chercheurs d'utiliser des marqueurs génétiques spécifiques pour identifier des sous-groupes à haut risque au sein d'une population plus large, ce qui peut conduire à une compréhension améliorée de la pathogenèse des maladies et à la découverte de nouvelles cibles thérapeutiques. En outre, l'épidémiologie moléculaire peut également être utilisée pour étudier la transmission des agents pathogènes et suivre l'évolution des souches au fil du temps, ce qui est crucial pour la surveillance des maladies infectieuses et le développement de stratégies de contrôle.

Dans l'ensemble, l'épidémiologie moléculaire offre une approche puissante pour comprendre les facteurs sous-jacents des maladies et améliorer la santé publique en identifiant les populations à risque élevé et en développant des interventions ciblées.

Un essai de plaque virale est une méthode de laboratoire utilisée pour quantifier le nombre de virus infectieux dans un échantillon. Cette technique consiste à mélanger l'échantillon avec des cellules sensibles aux virus en culture, qui sont ensuite réparties dans un plateau à fond plat et incubées pendant plusieurs heures. Au cours de cette incubation, les virus infectent et tuent les cellules, créant des zones claires ou "plaques" visibles à l'œil nu contre le fond opaque des cellules vivantes.

L'étape suivante consiste à ajouter une substance qui réagit avec les protéines des cellules mortes, comme un colorant vital ou un anticorps marqué, produisant une réaction visible dans les plaques. En comptant le nombre de plaques dans chaque puits et en tenant compte du volume d'échantillon utilisé pour l'infection, on peut calculer le titre viral, exprimé comme le nombre de particules virales infectieuses par millilitre (pvu/mL).

Cette méthode est largement utilisée dans la recherche et le diagnostic des maladies infectieuses pour déterminer la charge virale, évaluer l'efficacité des traitements antiviraux et étudier les propriétés des virus. Cependant, il convient de noter que tous les types de virus ne forment pas de plaques visibles, ce qui limite l'utilité de cette méthode à certains types de virus.

La «gestion des déchets, fluides» dans un contexte médical fait référence au processus de élimination en toute sécurité et correcte des déchets liquides générés dans les établissements de santé. Ces déchets peuvent inclure des fluides corporels tels que l'urine, les selles, le sang et d'autres fluides biologiques qui sont produits pendant les procédures médicales, le diagnostic ou le traitement des patients.

L'objectif de la gestion appropriée des déchets liquides est de protéger les travailleurs de la santé, les patients et l'environnement contre les infections et les risques pour la santé associés à ces déchets. Les déchets doivent être manipulés, stockés et éliminés conformément aux réglementations locales, étatiques et fédérales applicables.

Les méthodes d'élimination des déchets liquides peuvent inclure l'utilisation de récipients étiquetés et scellés, de systèmes de collecte centralisés et de pompes de transfert, ainsi que le traitement sur place ou le transport vers une installation de traitement hors site. Les déchets doivent être stérilisés ou désinfectés avant l'élimination finale pour réduire les risques d'exposition aux agents pathogènes.

Il est important de noter que la gestion des déchets liquides doit être effectuée par du personnel formé et qualifié, en utilisant des équipements de protection individuelle appropriés pour minimiser les risques d'exposition aux fluides corporels infectieux.

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Article détaillé : entérovirus. Cette maladie est causée par des virus appartenant aux espèces du genre Enterovirus pouvant ... être causée par plusieurs virus du genre Enterovirus, appartenant majoritairement à l'espèce entérovirus A. La maladie atteint ... à entérovirus au 7 août 2013, sur le site de l'Institut de veille sanitaire [1] sur le site du ministère de la Santé française ... 2010 Enterovirus A sur le site Picornavirus home (en) Lauren J Stockman et al., « Notes from the Field: Severe Hand, Foot, and ...
L'évolution peut être défavorable ou favorable, elle peut être rapide (encéphalite à arbovirus, méningite à entérovirus), lente ... et d'autres entérovirus responsables de méningites virales du nourrisson dans les pays développés. (en) Stephen S. Morse (dir ... autres entérovirus, rage...). Myélite et myélopathie (cytomégalovirus, virus d'Epstein-Barr, HTLV-1...). Syndrome de Reye ( ... entérovirus, arbovirus, rougeole...). Encéphalite aiguë (rage, arbovirus, herpès...). Encéphalite post-infectieuse (rougeole, ...
... entérovirus, mononucléose infectieuse...), le plus souvent sans anomalies des extrémités ; infection parasitaire, comme la ...
Il est le découvreur des enterovirus. Notices d'autorité : VIAF ISNI IdRef LCCN GND Japon Pays-Bas Israël NUKAT Norvège ...
Les entérovirus D68 et A71 semblent causer des symptômes neurologiques plus souvent que les autres entérovirus, mais ce sont ... Enterovirus D68 and Paralysis, « Enterovirus D68 and Paralysis », The Disease Daily/Outbreak News/Healthmap, 3 octobre 2014. « ... les entérovirus non-polio, le virus du Nil occidental et des adénovirus. Un an plus tard, la responsabilité des entérovirus non ... Un autre entérovirus EV-A71 a été retrouvé chez un malade. De plus, il n'y a pas eu de pic de maladie causée par EV-68 en 2016 ...
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Ce phénomène peut ainsi être observé in vitro lors d'infections à entérovirus. Il pourrait jouer un rôle dans la pathogénèse du ...
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21 octobre : une étude prouve qu'un entérovirus non-polio est à l'origine de la paralysie flasque aiguë, une affection touchant ...
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Enterovirus E (ou entérovirus bovin A) : 4 sérotypes ; Enterovirus F (ou entérovirus bovin B) : 6 sérotypes ; Enterovirus G : 7 ... Enterovirus Enterovirus Poliovirus, le virus de la poliomyélite. Genre Enterovirus ICTV 1971 Enterovirus (du grec ἔντερον, « ... Enterovirus A : 24 sérotypes dont 11 coxsackievirus (A2 à A8, A10, A12, A14, A16), 1 entérovirus babouin (A13) et 3 entérovirus ... Article détaillé : Entérovirus 71. Il sagit dun entérovirus de type A, une des responsables du syndrome pieds-mains-bouche et ...
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En général, les entérovirus se propagent lété et lautomne en Amérique du Nord. On observe une augmentation de ces types de ... Par rapport aux autres entérovirus, lEV-D68 rend les enfants plus malades, en particulier les plus jeunes. Aux États-Unis, un ...
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Ce virus nommé « entérovirus D68 » donne les mêmes symptômes quun rhume - écoulement et congestion nasale sans fièvre. ...
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Surveillance des entérovirus en France métropolitaine, 2000-2004. », Bulletin épidémiologique hebdomadaire, nos 39-40,‎ 11 ... En revanche, il existe une surveillance virologique au niveau des laboratoires hospitaliers (réseau national des entérovirus) ... et qui peuvent se recombiner avec dautres entérovirus. Un risque de retour à la virulence est possible (virus révertant), de ... et ils peuvent se recombiner avec dautres entérovirus. Sils circulent et se maintiennent suffisamment longtemps, ils peuvent ...
Madagascar : traquer les entérovirus. Neuchâtel : sauver les grands singes. Télécharger la brochure ...
Circulation, diversité génétique et évolution des entérovirus humains au Cameroun; interactions avec les poliovirus vaccinaux ... et les entérovirus simiens. Unité de Biologie des Virus Entériques. Francis Delpeyroux Université Paris Diderot ...
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Recrudescence des infections à Enterovirus en Finlande. 16 sept. 2022 • Patrick GEROME ...
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Un essai clinique est en cours pour mesurer comment le combat contre les entérovirus pourrait contribuer à une cure du diabète ... Le lien entre entérovirus et diabète de type 1 nest pas un mirage. Après avoir rappelé la prévalence des facteurs ... Parmi les facteurs dans la ligne de mire des chercheurs, on trouve les entérovirus. Un essai clinique est en cours pour mesurer ... Cette étude interventionnelle a consisté en une biopsie du pancréas et a permis didentifier la présence dentérovirus vivants ...
Entérovirus. 2) Diagnostic 1A, 1B, 1C. Clinique. Obstruction nasale, rhinorrhée et toux (, 15 jours). Fièvre (, 3 jours). ...
entérovirus ;. *du virus de lherpès ;. *du virus dEpstein-Barr.. Lorsque les symptômes de langine virale ou bactérienne ...
Développement dun diabète de type 1 : forte corrélation avec une infection à entérovirus. Publié le 31 octobre 2022 par ... Larticle Développement dun diabète de type 1 : forte corrélation avec une infection à entérovirus est apparu en premier sur ... Développement dun diabète de type 1 : forte corrélation avec une infection à entérovirus Lire la suite » ... à entérovirus est fortement corrélée au développement dun diabète de type 1. Il ressort que les personnes vivant avec un ...
  • Cette étude interventionnelle a consisté en une biopsie du pancréas et a permis d'identifier la présence d' entérovirus vivants : des infections des voies digestives capables de se répandre dans le corps via le sang. (glucosetoujours.com)
  • Pour la semaine du 12 juillet, il est à noter que la courbe des infections à entérovirus a commencé à baisser, après avoir atteint son plus haut pic depuis la mise en place du réseau en 2017. (infovac.fr)
  • Étant causée par un virus de la famille des entérovirus, cette maladie infectieuse ne nécessite pas d'antibiotiques , mais fait l'objet d'un traitement symptomatique. (medisite.fr)
  • Même si ce projet de feuille de route omet d'autres causes importantes de méningite comme la tuberculose, les cryptocoques, les entérobactéries et les entérovirus, plusieurs mesures destin es à r duire la charge de la maladie s'appliquent à toutes les causes de méningite. (who.int)
  • La maladie Pieds-mains-bouche est causée par des virus appartenant à la famille des entérovirus . (microbiologie-clinique.com)
  • La MMPB est une maladie infectieuse courante et très contagieuse causée par une famille de virus appelée Entérovirus. (imc-healthcare.com)
  • Enterovirus Enterovirus Poliovirus, le virus de la poliomyélite. (wikipedia.org)
  • Ainsi, les sérotypes de poliovirus sont désormais inclus dans l'espèce entérovirus C. Par ailleurs, la nomenclature définie avant l'apparition des techniques de biologie moléculaire peut être source de confusion. (wikipedia.org)
  • Les entérovirus regroupent notamment de nombreuses souches de coxsackievirus, d'échovirus et de poliovirus. (precidiab.org)
  • La présence d'entérovirus (Non-polio entérovirus, sabin-like et poliovirus variants de tous les types) dans les échantillons collectés, démontre la fonctionnalité des sites. (who.int)
  • Souvent bénin, le syndrome pieds-mains-bouche est causé par le virus Cosackie A , de la famille des entérovirus. (medisite.fr)
  • Parmi les infectieuses, on retrouve fréquemment des virus (entérovirus, famille herpès. (medicalbigpicture.com)
  • Genre Enterovirus ICTV 1971 Enterovirus (du grec ἔντερον, « intestin ») est un genre de virus non enveloppés à ARN simple brin de polarité positive. (wikipedia.org)
  • Contrairement à ce que l'étymologie pourrait laisser croire, les virus du genre Enterovirus ne sont pas spécifiques des intestins et ne regroupent pas tous les virus atteignant les intestins. (wikipedia.org)
  • Les analyses phylogénétiques actuelles conduites sur de nombreux virus circulant conduisent à l'identification de nouveaux génotypes et sont à l'origine de certaines modifications de la classification du genre Enterovirus. (wikipedia.org)
  • Ce virus nommé « entérovirus D68 » donne les mêmes symptômes qu'un rhume - écoulement et congestion nasale sans fièvre. (annevastelherboriste.ca)
  • Parmi les virus, on considère que les entérovirus peuvent déclencher ou accélérer l'auto-immunité dirigée contre les îlots pancréatiques. (precidiab.org)
  • Petits virus, non enveloppés, d'une taille d'environ 30 nanomètres, les entérovirus sont composés d'une capside entourant un génome constitué d'une molécule d'ARN simple-brin . (precidiab.org)
  • Causée par différents types de virus (principalement les entérovirus mais aussi les virus des oreillons, du groupe herpès ou encore le VIH), la méningite virale guérit généralement spontanément en 3 à 8 jours et ne nécessite pas de traitement particulier. (yahoo.com)
  • Dans la plupart des cas, les entérovirus de type virus coxsackie sont en cause. (may.app)
  • En 2013, on dénombre environ 300 sérotypes répartis en 12 espèces dont voici la liste (les sérotypes nommés entérovirus ou rhinovirus sans autre qualificatif qu'une lettre et un nombre ne sont pas cités dans cette liste) : Enterovirus A : 24 sérotypes dont 11 coxsackievirus (A2 à A8, A10, A12, A14, A16), 1 entérovirus babouin (A13) et 3 entérovirus simiens (19, 43, 46). (wikipedia.org)
  • Il s'agit notamment des entérovirus A à D, qui regroupent plus de 110 sérotypes (caractéristiques antigéniques permettant de différencier des souches appartenant à une même espèce), dont les échovirus et les coxsackievirus de type B (CVB 1 à 6). (precidiab.org)
  • Les entérovirus sont excrétés dans les sécrétions respiratoires et les selles. (precidiab.org)
  • Ainsi, certains sérotypes d'entérovirus simiens appartiennent à l'espèce entérovirus B (anciennement « entérovirus humain B »). De même, certains echovirus (de l'anglais Enterovirus Cytopathogenic Orphan Viruses), initialement réputés non pathogènes pour l'humain ("orphan" signifiant ici « non pathogène ») peuvent entraîner des manifestations cliniques plus ou moins sévères. (wikipedia.org)
  • Cependant, d'autres entérovirus non poliomyélitiques ont commencé à émerger. (etreparents.com)
  • Cette fois, il était lié à d'autres entérovirus non poliomyélitiques, qui ont également une affinité pour le système nerveux central. (etreparents.com)
  • Le genre Enterovirus comporte 15 espèces, dont 7 infectent l'homme. (precidiab.org)
  • Plusieurs études épidémiologiques et cliniques, auxquelles s'ajoutent des travaux expérimentaux, sont fortement en faveur de l'hypothèse selon laquelle les entérovirus sont fortement impliqués dans la pathogénèse du DT1. (precidiab.org)
  • Les entérovirus sont responsables de deux principaux tableaux cliniques chez l'enfant : le syndrome mains-pieds-bouche et l'herpangina, particulièrement fréquentes en hiver - printemps en Italie. (pharmaplanet.net)
  • Selon les résultats d'une méta-analyse et d'une revue systématique de la littérature médicale menée par une équipe australienne, une infection à entérovirus est fortement corrélée au développement d'un diabète de type 1. (precidiab.org)
  • Par rapport aux autres entérovirus, l'EV-D68 rend les enfants plus malades, en particulier les plus jeunes. (santepubliqueottawa.ca)
  • Le lien entre entérovirus et diabète de type 1 n'est pas un mirage. (glucosetoujours.com)
  • L'article Développement d'un diabète de type 1 : forte corrélation avec une infection à entérovirus est apparu en premier sur Le Diabète dans tous ses états . (clubdesmedecinsblogueurs.com)
  • Ce genre comprend neuf espèces dénommées entérovirus et trois espèces dénommées rhinovirus, elles-mêmes subdivisées en 300 sérotypes environ. (wikipedia.org)
  • Pour minimiser le risque de confusion dans cet article, on réservera la graphie « Enterovirus » au genre, et la graphie « entérovirus » à une espèce ou à un sérotype. (wikipedia.org)
  • Ce genre comprend neuf espèces dénommées entérovirus et trois espèces dénommées rhinovirus, elles-mêmes subdivisées en 300 sérotypes environ. (wikipedia.org)
  • En 2013, 12 espèces sont dénombrées parmi le genre Enterovirus, et identifiées par des lettres : 9 espèces entérovirus (A à H et J) et 3 espèces rhinovirus (A à C). Ces espèces sont définies selon des critères phylogénétiques basés sur la partie du génome codant les protéines structurales. (wikipedia.org)
  • En 2013, on dénombre environ 300 sérotypes répartis en 12 espèces dont voici la liste (les sérotypes nommés entérovirus ou rhinovirus sans autre qualificatif qu'une lettre et un nombre ne sont pas cités dans cette liste) : Enterovirus A : 24 sérotypes dont 11 coxsackievirus (A2 à A8, A10, A12, A14, A16), 1 entérovirus babouin (A13) et 3 entérovirus simiens (19, 43, 46). (wikipedia.org)
  • Au cours de la semaine, parmi les 28 prélèvements réalisés par le réseau Grog Midi-Pyrénées chez des patients présentant une IRA : aucun n'a été positif à la grippe A (H1N1), 8 étaient des rhinovirus et 3 des entérovirus. (toulouse7.com)
  • Ceux-ci comprennent entre autres les rhinovirus (et leurs cousins les entérovirus), le virus respiratoire syncitial (RSV), les coronavirus, les virus parainfluenza, les adénovirus, les métapneumovirus. (planetesante.ch)
  • Co-infection in SARS-CoV-2 infected patients: where are influenza virus and rhinovirus/enterovirus? (sante-sur-le-net.com)
  • Plusieurs virus peuvent être en cause, notamment le rotavirus , les adénovirus ou les entérovirus . (medisite.fr)
  • Non sanglantes , d'origine virale dans 60% des cas (rotavirus, entérovirus), bactérienne ( Vibrio cholerae, Escherichia coli entérotoxinogène , Salmonella non Typhi , Yersinia enterolitica ) ou parasitaire (giardiase). (msf.org)
  • Les virus entériques parmi les plus courants sont les entérovirus, les norovirus, les rotavirus et le virus de l'hépatite A. (cannforecast.com)
  • On sait que certains virus du groupe des entérovirus peuvent parfois causer des troubles neurologiques. (gouv.qc.ca)
  • Les entérovirus peuvent causer des symptômes tels que de la fièvre, des maux de gorge, une éruption cutanée et des douleurs abdominales. (medmesafe.com)
  • Stockholm, Suède - Selon une méta-analyse australienne, l'infection à entérovirus est bien plus fréquente chez les patients présentant un diabète de type 1 (DT1) ou une auto-immunité dirigée contre les cellules pancréatiques productrices d'insuline. (medscape.com)
  • Le terme « entérovirus » désigne le mode de transmission plutôt que les symptômes de l'infection. (ac.ma)
  • Contrairement à ce que l'étymologie pourrait laisser croire, les virus du genre Enterovirus ne sont pas spécifiques des intestins et ne regroupent pas tous les virus atteignant les intestins. (wikipedia.org)
  • Les entérovirus se transmettant essentiellement par contact direct ou indirect, la prévention repose avant tout sur une hygiène rigoureuse des mains. (ac.ma)
  • En se focalisant sur les 16 études portant sur la réaction auto-immune contre les îlots, l'analyse montre que cette auto-immunité est associée à deux fois plus d'infection à entérovirus, comparativement au groupe témoin (OR=2,07). (medscape.com)
  • L'auto-immunité contre les îlots de Langerhans est associée à deux fois plus d'infection à entérovirus, comparativement au groupe témoin. (medscape.com)
  • L es entérovirus (EV) sont un groupe de virus qui provoquent généralement une maladie bénigne. (hygienes.net)
  • Cette corrélation apparait suffisamment importante, surtout le premier mois du diagnostic du diabète de type 1, pour constituer « un argument supplémentaire justifiant le développement d'un vaccin ciblant les entérovirus et d'une thérapie antivirale dans le but de prévenir et réduire l'impact du DT1 », a souligné l'auteure principale de l'étude, la Dr Sonia Isaacs (Département of pédiatrics and child health, University of new South Wales, Sydney, Australie), lors de sa présentation. (medscape.com)
  • La mise en évidence d'un entérovirus dans les selles associée à un tableau de méningite est par contre un argument pour une méningite à entérovirus devant un tableau de méningite aseptique. (ulb-ibc.be)
  • Les Entérovirus sont les Coxsackie virus A et B. (medixdz.com)
  • Les virus Coxsackie B et les échovirus représentent la plupart des cas de méningite à entérovirus. (ac.ma)
  • L'institut Pasteur y participe en tant que Centre collaborateur de l'OMS sur les entérovirus et les vaccins viraux. (pasteur.fr)