Une variante de l ’ épilepsie focale continue de marcher, caractérisée par une partie du corps en quelques heures, jours ou même des années sans se répand aux autres parties du corps. Contractions peuvent être aggravés par les mouvements et sont réduites, mais pas abolie pendant le sommeil. ELECTROENCEPHALOGRAPHY démontre epileptiform (pic) et agiter des décharges sur l'hémisphère à l'opposé de ce membre affecté dans la plupart des cas, les mouvements répétitifs peuvent provenir de la CEREBRAL cortex ou de sous-corticales fonctionnelles (par exemple, cerveau STEM ; BASAL ganglions). Cet état est associé à russe printemps et été encéphalite (voir encéphalite, tique supporté), syndrome de Rasmussen (voir encéphalite) ; des sclérose en plaques ; DIABETES sucré ; cerveau tumeurs ; et cérébrovasculaires. (DISORDERS de Cerveau, 1996 avril ; 119 (pt2) : 393-407 ; Epilepsia 1993 ; 34 ; Suppl 1 : S29-S36 ; et Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p319)
Conditions caractérisé par récurrentes décharges neuronales paroxystique focale inhérents à une région du cerveau. Les crises partielles sont divisés en simple et complexe, selon que la conscience est inchangées (simple crises partielles) ou de troubles (crise partielle complexe). Les deux types peuvent être assortis de une grande variété de moteur, sensitive et autonome. Les crises partielles symptômes peuvent être classées par des signes cliniques associés ou d ’ une même emplacement de leur concentration. Une crise généralisée secondaire se réfère à une crise partielle qui répand d'impliquer le cerveau. (Diffuse oedémateuse d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp317)
Enregistrement de courant électrique... développé dans le cerveau par des électrodes appliqué au cuir chevelu, à la surface du cerveau ou placées sous la substance du cerveau.
Inflammation du cerveau due à une infection, processus auto-immuns, toxines et d ’ autres maladies. Des infections virales (voir encéphalite, VIRAL) sont relativement fréquentes une cause de cet état.
Médicaments utilisés pour prévenir d'épilepsie ou de réduire sa sévérité.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Un trouble caractérisé par des épisodes récurrents of paroxysmal dysfonctionnement cérébral dû à un coup, désordonnée et décharges neuronales excessive, épilepsies classification systèmes sont généralement basé sur : (1) caractéristiques cliniques de la saisie, moteur épisodes (par exemple convulsions), (2), de l ’ étiologie (par exemple), (3) région anatomique de crises d ’ origine (par exemple, lobe frontal convulsions), (4) tendance à se propager à d'autres structures dans le cerveau, et (5) modèles temporal (ex : L ’ épilepsie). (Nocturne d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p313)
Clinique ou une fibrose infra-clinique de la fonction cérébrale due à un coup, anormale, excessive, et désorganisés décharge des cellules de cerveau les signes cliniques sont : Troubles sensoriels et moteurs, les phénomènes psychiques. Attaques récurrentes sont communément appelés EPILEPSY ou "convulsions".
Une contraction involontaire d'un muscle ou groupe de muscles, des spasmes peut impliquer ou tendre muscle, muscle squelettique
Un trouble caractérisé par récurrentes épilepsies partielles marquée par une altération de la cognition. Pendant l'attaque l'individu peuvent ressentir une grande variété de phénomènes psychiques incluant formé hallucinations, illusions, déjà-vu, intense émotion, confusion et désorientation spatiale. Localisées, et l ’ activité motrice altération sensorielle automatisme peuvent également survenir. Crise épileptique partielle complexe souvent viennent de foyers dans un ou deux lobes temporaux. L ’ étiologie peut être idiopathique (épilepsie) ou partielle complexe cryptogenic apparaît en second résultat d'une lésion focale symptomatique corticale (épilepsie). (Partielle complexe d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp317-8)

Épilepsie partialis continua (EPC) est un type rare mais grave d'épilepsie focale, caractérisée par des convulsions récurrentes et persistantes qui affectent une partie spécifique du corps. Contrairement aux crises épileptiques typiques, qui durent généralement une minute ou moins, les épisodes d'EPC peuvent durer plusieurs heures, voire jours, sans interruption.

Les symptômes de l'EPC comprennent des secousses musculaires rythmiques, des spasmes ou des contractions involontaires qui se produisent dans une zone limitée du corps, comme un bras, une jambe, le visage ou la langue. Ces mouvements anormaux peuvent être constants ou intermittents et peuvent s'intensifier avec l'activité physique ou mentale.

L'EPC peut être causé par divers facteurs, notamment des lésions cérébrales traumatiques, des infections cérébrales, des tumeurs cérébrales, des accidents vasculaires cérébraux ou des malformations congénitales du cerveau. Dans certains cas, la cause sous-jacente de l'EPC peut être difficile à identifier.

Le traitement de l'EPC implique généralement une combinaison de médicaments anticonvulsivants pour contrôler les crises et des interventions chirurgicales pour éliminer la source sous-jacente du trouble, le cas échéant. Le pronostic dépend de la cause sous-jacente et de la réponse au traitement, mais dans certains cas, l'EPC peut entraîner des déficiences permanentes ou une invalidité.

Les épilepsies partielles, également connues sous le nom d'épilepsie focale ou épilepsie localisée, sont un type d'épilepsie dans laquelle les crises surviennent à partir d'une région spécifique du cerveau. Contrairement aux crises généralisées qui impliquent tout le cerveau, les crises partielles affectent initialement une seule partie du cerveau, bien qu'elles puissent s'étendre à d'autres régions ou évoluer en crises généralisées.

Les épilepsies partielles peuvent être classées en deux catégories principales : les crises simples partielles et les crises complexes partielles.

1. Crises simples partielles : Durant ces crises, la personne reste consciente et alerte, bien qu'elle puisse présenter des symptômes variés tels que des mouvements involontaires d'un membre, des sensations étranges (paresthésies), des hallucinations visuelles ou auditives, des modifications de l'odorat ou du goût, une augmentation de la fréquence cardiaque ou de la respiration, ou un sentiment de dépersonnalisation. Ces crises durent généralement moins de deux minutes et ne causent pas de confusion ou de perte de mémoire après la crise.

2. Crises complexes partielles : Pendant ces crises, la personne peut présenter une altération de la conscience ou de la vigilance, ce qui signifie qu'elle peut être désorientée, confuse ou incapable de répondre aux questions ou d'interagir avec son environnement. Ces crises peuvent inclure des automatismes stéréotypés, tels que des mouvements répétitifs de la bouche, des mains ou des yeux, et peuvent durer plus de deux minutes. Après une crise complexe partielle, la personne peut présenter une amnésie pour l'événement et peut se sentir fatiguée ou désorientée.

Les crises complexes partielles et les crises tonico-cloniques généralisées sont souvent associées à l'épilepsie du lobe temporal, qui est la forme d'épilepsie la plus courante chez les adultes. Les crises peuvent être déclenchées par des stimuli spécifiques, tels que le stress, les émotions fortes, les odeurs ou les sons inhabituels, et peuvent être difficiles à contrôler avec un traitement médical standard. Dans ces cas, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour retirer la zone cérébrale responsable des crises.

L'électroencéphalographie (EEG) est une procédure diagnostique non invasive utilisée pour enregistrer l'activité électrique du cerveau. Elle est réalisée en attachant de petits capteurs, appelés électrodes, à la surface du cuir chevelu avec un gel conducteur ou une pâte. Ces électrodes détectent les impulsions électriques minuscules et imperceptibles produites par l'activité neuronale dans le cerveau et transmettent ces informations à un amplificateur, où elles sont affichées sous forme d'ondes sur un moniteur.

L'EEG est utilisée pour aider au diagnostic et à la gestion de divers troubles neurologiques, tels que l'épilepsie, les convulsions, les tumeurs cérébrales, les accidents vasculaires cérébraux, l'encéphalite, la méningite, la sclérose en plaques et d'autres conditions qui affectent le fonctionnement du cerveau. Elle peut également être utilisée pour évaluer l'efficacité de certains médicaments, surveiller l'activité cérébrale pendant le sommeil et aider à la planification des interventions chirurgicales cérébrales.

L'EEG est considérée comme sûre et indolore, sans aucun risque connu associé à sa réalisation. Cependant, il peut être difficile pour certaines personnes de rester assises ou allongées immobiles pendant la durée de l'enregistrement, ce qui peut entraîner des artefacts dans les enregistrements EEG. Dans ces cas, des médicaments relaxants peuvent être administrés pour aider à réduire l'agitation et améliorer la qualité de l'enregistrement.

L'encéphalite est une affection médicale grave caractérisée par l'inflammation du cerveau. Elle est souvent causée par une infection virale, bien que d'autres facteurs tels que des troubles auto-immuns ou des réactions à un vaccin puissent également en être la cause. Les symptômes de l'encéphalite peuvent varier mais comprennent souvent des maux de tête sévères, une fièvre, une confusion, des convulsions, des hallucinations, des troubles de la parole et de la mémoire, ainsi que des mouvements anormaux. Dans les cas graves, l'encéphalite peut entraîner des dommages permanents au cerveau, des handicaps physiques ou mentaux, voire le décès. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments antiviraux, des corticostéroïdes pour réduire l'inflammation, et dans certains cas, une intervention chirurgicale.

Les anticonvulsivants sont une classe de médicaments utilisés pour prévenir et contrôler les convulsions ou les crises épileptiques. Ils fonctionnent en régulant l'activité électrique dans le cerveau, ce qui peut aider à prévenir les saisies.

Les anticonvulsivants sont souvent prescrits pour traiter divers types d'épilepsie, mais ils peuvent également être utilisés hors indication pour traiter d'autres conditions telles que la douleur neuropathique, les troubles bipolaires et certains types de migraines.

Il existe plusieurs anticonvulsivants disponibles sur le marché, chacun ayant des mécanismes d'action et des profils d'effets secondaires uniques. Certains exemples courants incluent la phénytoïne, la carbamazépine, le valproate, le lamotrigine, le topiramate et le gabapentin.

Comme avec tout médicament, les anticonvulsivants peuvent entraîner des effets secondaires indésirables. Les effets secondaires courants comprennent la somnolence, les étourdissements, la nausée, les vomissements et les éruptions cutanées. Dans de rares cas, certains anticonvulsivants peuvent également entraîner des effets secondaires graves tels que des dommages hépatiques, des pensées suicidaires ou une diminution de la production de globules blancs.

Il est important de travailler en étroite collaboration avec un professionnel de la santé pour déterminer le plan de traitement anticonvulsivant le plus approprié et pour surveiller tout effet secondaire potentiel.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

L'épilepsie est une condition médicale caractérisée par des crises récurrentes et imprévisibles, qui résultent d'une activité électrique anormale et excessive dans le cerveau. Ces crises peuvent se manifester de différentes manières, allant de secousses musculaires brèves et localisées à des périodes de confusion ou de perte de conscience. Pour poser un diagnostic d'épilepsie, une personne doit avoir eu au moins deux crises non provoquées, séparées par au moins 24 heures, à moins que la cause sous-jacente et le risque de futures crises ne justifient un traitement.

L'épilepsie peut être causée par divers facteurs, tels que des lésions cérébrales traumatiques, des infections cérébrales, des troubles congénitaux du cerveau, des tumeurs cérébrales ou un accident vasculaire cérébral. Dans certains cas, la cause peut être inconnue.

Le traitement de l'épilepsie dépend de la gravité et du type de crises, ainsi que des facteurs sous-jacents qui peuvent contribuer à la condition. Les options de traitement comprennent souvent des médicaments anticonvulsivants, une intervention chirurgicale, un régime alimentaire spécial ou d'autres thérapies complémentaires. Dans certains cas, les personnes atteintes d'épilepsie peuvent être en mesure de contrôler leurs crises avec un traitement approprié, tandis que d'autres peuvent continuer à avoir des crises malgré les efforts de traitement.

Un spasme est un terme médical décrivant une contraction soudaine, involontaire et souvent douloureuse d'un muscle ou d'un groupe de muscles. Cela peut survenir en réponse à un étirement, une fatigue, une irritation, une maladie ou une lésion des nerfs qui contrôlent ces muscles. Les spasmes peuvent également être un effet secondaire de certains médicaments. Dans certains contextes, le terme "spasme" peut aussi se référer à une constriction soudaine et involontaire d'un vaisseau sanguin ou d'une autre structure anatomique.

La « épilepsie, forme partielle complexe » est un type spécifique d'épilepsie qui implique des crises récurrentes. Pendant ces crises, une personne peut avoir des hallucinations visuelles ou auditives, des expériences déformées de la réalité, des émotions intenses et involontaires, ainsi qu'une perte partielle ou complète de conscience. Ces crises peuvent également inclure des mouvements corporels incontrôlables, tels que des mâchonnements ou des mouvements des membres.

Les personnes atteintes d'épilepsie, forme partielle complexe, ont souvent des difficultés à se souvenir de ce qui s'est passé pendant la crise et peuvent se sentir fatiguées ou désorientées après celle-ci. Ce type d'épilepsie est généralement plus difficile à traiter que les autres types et peut être causé par des lésions cérébrales, des malformations congénitales ou une épilepsie symptomatique.

Il est important de noter qu'une personne atteinte d'épilepsie, forme partielle complexe, a besoin d'un traitement médical approprié pour gérer ses crises et prévenir les complications à long terme. Un diagnostic précis et un plan de traitement individualisé sont essentiels pour assurer une qualité de vie optimale pour ces personnes.

en) Pandian JD, Thomas SV, Santoshkumar B et al., « Epilepsia partialis continua -- a clinical and electroencephalography study ... clinical features and outcome of epilepsia partialis continua in cohort of 51 children », Epilepsy Res, vol. 104,‎ 2013, p. 112 ...
... epilepsia partialis continua), elle est rarement nécessaire. Cependant, lEMG permet détablir une neuropathie périphérique ...
Epilepsia Partialis Continua Descripteur en espagnol: Epilepsia Parcial Continua Espagnol dEspagne Descripteur. epilepsia ... Epilepsia Parcial Contínua Synonymes:. Epilepsie partielle continue progressive de lenfance. Syndrome de Kojevnikov. Syndrome ... Variante de epilepsia caracterizada por sacudidas focales continuas de una parte del cuerpo durante un período de horas, días o ... De Brain, 1996 April;119(pt2):393-407; Epilepsia 1993;34;Suppl 1:S29-S36; and Adams et al., Principles of Neurology, 6th ed, ...

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