Un trouble caractérisé par des épisodes récurrents of paroxysmal dysfonctionnement cérébral dû à un coup, désordonnée et décharges neuronales excessive, épilepsies classification systèmes sont généralement basé sur : (1) caractéristiques cliniques de la saisie, moteur épisodes (par exemple convulsions), (2), de l ’ étiologie (par exemple), (3) région anatomique de crises d ’ origine (par exemple, lobe frontal convulsions), (4) tendance à se propager à d'autres structures dans le cerveau, et (5) modèles temporal (ex : L ’ épilepsie). (Nocturne d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p313)
Conditions récurrentes caractérisée par des crises d'épilepsie inhérents diffuse oedémateuse et simultanément des deux hémisphères du cerveau. CLASSIFICATION repose généralement sur les manifestations motrice (par exemple, de la crise convulsive, nonconvulsive, akinétiques, hypotone, etc.) ou idiopathique (par exemple, l ’ étiologie, et symptomatiques, cryptogenic). (De Mayo Clin proc, avril 1996 ; 71 (4) : 405-14)
Un localization-related (localisées forme d'épilepsie), caractérisée par des crises répétées qui résultent foyers dans le lobe temporal, plus fréquemment de son aspect Mesial. Une grande variété de phénomènes psychiques peuvent être associés, y compris des illusions, hallucinations, dyscognitive états, et affectifs expériences. La majorité des attaques complexes (voir EPILEPSY, COMPLEXE PARTIELLE) provenir des lobes temporaux. Lobe temporal convulsions peuvent être classées par l'étiologie comme cryptogenic, familiales, ou (c 'est-à-dire symptomatique identifiés, liés à une pathologie ou lésion). (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p321)
Un groupe hétérogène de syndromes épileptiques cliniquement caractérisée par des crises myocloniques ou par myoclonies en association avec d'autres types de crises d ’ une épilepsie myoclonique. Tardifs sont divisés en trois sous-types basée sur l ’ étiologie : Polypose, cryptogenic, et (c 'est-à-dire, survenant symptomatique secondaire à un processus pathologique connus comme les infections, hypoxic-ischemic blessures, traumatisme, etc.).
Médicaments utilisés pour prévenir d'épilepsie ou de réduire sa sévérité.
Un sous-groupe de l ’ épilepsie caractérisée par crises convulsives qui sont constamment provoqué par un certain stimulus spécifique, visuelles et auditives des stimuli somato-sensoriel ainsi que les actes d'écrire, lisant, mangeant, et prise de décision sont des exemples d'événements ou les activités pouvant induire attaque aux affecté individus. (Clin d'Neurol fév. 1994 ; 12 (1) : 57-8)
Un trouble caractérisé par la survenue des myoclonies à l'adolescence, une augmentation importante de l ’ incidence des crises convulsives (voir absence EPILEPSY, absence), et un déficit moteur principal, crises convulsives (voir EPILEPSY). La Myoclonic épisodes ont tendance à survenir peu après mon réveil. Les crises ont tendance à être aggravés par la privation de sommeil et la consommation d ’ alcool. Héréditaire et formes sporadiques ont été identifiés. (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p323)
Une crise généralisée trouble caractérisé par récurrentes major moteur crises. La première brève phase tonique est marquée par coffre suivie extension diffus flexion du tronc et les extrémités. La phase clonique caractéristiques fléchisseur rythmique contractions du coffre et les membres, dilatation des pupilles, les élévations des pouls et pression sanguine, une incontinence urinaire, et de la langue mordre. Ceci est suivi par un profond état de dépression de conscience (choqué état) qui sont progressivement s 'améliore progressivement de minutes pour le trouble peuvent être cryptogenic, familiales, ou un traitement symptomatique (provoquée par une identifié processus pathologique). (D'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème p329)
Un trouble caractérisé par récurrentes épilepsies partielles marquée par une altération de la cognition. Pendant l'attaque l'individu peuvent ressentir une grande variété de phénomènes psychiques incluant formé hallucinations, illusions, déjà-vu, intense émotion, confusion et désorientation spatiale. Localisées, et l ’ activité motrice altération sensorielle automatisme peuvent également survenir. Crise épileptique partielle complexe souvent viennent de foyers dans un ou deux lobes temporaux. L ’ étiologie peut être idiopathique (épilepsie) ou partielle complexe cryptogenic apparaît en second résultat d'une lésion focale symptomatique corticale (épilepsie). (Partielle complexe d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp317-8)
Un localization-related (localisées forme d'épilepsie), caractérisée par crises qui surviennent au lobe FRONTAL. Diverses existe des syndromes cliniques selon l'emplacement exact de leur concentration. Lobe frontal des convulsions peuvent être idiopathique (cryptogenic) ou causé par une maladie identifiables processus tels que blessures traumatiques, ou macroscopique tumeurs ou d'autres lésions microscopiques des lobes frontaux symptomatique (convulsions). (Lobe frontal de Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp318-9)
Enregistrement de courant électrique... développé dans le cerveau par des électrodes appliqué au cuir chevelu, à la surface du cerveau ou placées sous la substance du cerveau.
Clinique ou une fibrose infra-clinique de la fonction cérébrale due à un coup, anormale, excessive, et désorganisés décharge des cellules de cerveau les signes cliniques sont : Troubles sensoriels et moteurs, les phénomènes psychiques. Attaques récurrentes sont communément appelés EPILEPSY ou "convulsions".
Hérité dominante autosomique avec syndrome d ’ une épilepsie partielle ayant entre 3 et 13 ans. Les crises se caractérise par des paresthésies tonic ou activité cloniques masque associée à de la bave et dysarthrie. Dans la plupart des cas, touchait les enfants sont neurologiquement et son développement mental normal. (De Epilepsia 1998 39 ; Suppl 4 : S32-S41)
Dus aux attaques récurrentes traumatisme cranio-cérébral. Attaque apparition peut être immédiate mais est typiquement retardé pour plusieurs jours après la blessure et ne peuvent survenir pendant 2 ans. La majorité des attaques ont une apparition focale cliniquement ça correspond avec le site de lésion cérébrale. Cortex cérébral blessures provoquées par un objet étranger pénétrant (traumatisme cranio-cérébral, pénétrant) sont plus susceptibles que blessures à la tête, à la tête. (Fermé) pour être associés à l ’ épilepsie. Les convulsions sont concussive nonepileptic phénomènes survenir immédiatement après traumatisme crânien et caractérisées par un tonique et mouvements cloniques. (De Rev Neurol 1998 Fev ; 26 (150) : 256-261 ; Sports Med 1998 Fev ; 25 (2) : 131-6)
Un processus pathologique composée de induration ou une fibrose structure anatomique, souvent un vaisseau ou un nerf.
Crises survenant pendant un épisode fébrile. C'est une maladie commune, affectant 2-5 % des enfants âgés de 3 mois à cinq ans. Un modèle autosomale dominante d'héritage a été identifié dans certaines familles. La majorité sont simples convulsions fébriles (définie par la survenue des crises généralisées, célibataire avec une durée de moins de 30 minutes). Complexe se caractérise par de convulsions fébriles focales d ’ apparition soudaine, durée supérieure à 30 minutes, et / ou plus d'une attaque sur une période de 24 heures. La probabilité de développer l ’ épilepsie (soit une nonfebrile convulsions) après simple convulsions fébriles est faible. Complexe convulsions fébriles sont associés à une incidence accrue d ’ épilepsie modérément. (De Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, p784)
Un anticonvulsivant utilisé pour contrôler et de grand mal psychomotrice crises ou localisées. Son mode d'action n'est pas complètement élucidé, mais certains de ses actions ressemblent à ceux de la phénytoïne ; cas ressemblance entre les deux composés chimiques, leur structure tridimensionnelle est similaire.
Une longue crise ou convulsions répété assez souvent pour prévenir la récupération entre les crises survenant sur une période de 20-30 minutes. Sous type c'est le plus fréquent crises généralisées tonico-cloniques primaires Etat épileptique, affection d ’ évolution potentiellement fatale, associée à une blessure et respiratoire. Nonconvulsive formes incluent un dysfonctionnement métabolique petit mal partielle complexe et statut, ce qui peut se manifester par des troubles comportementaux. Simple état épileptique partielle est constituée de moteur, persistante ou autonome sensorielle, crises convulsives qui ne pas perturber la cognition (voir également EPILEPSIA Partialis continu expérimental mixte). « Subclinique » état épileptique généralement d ’ expiration fait référence crises survenant dans un individu inconscient ou dans le coma en l'absence de signe de convulsion. (De n Engl J Med 2 avril 1998 ; 338 (14) : 970-6 ; Neurologia 1997 Dec ; 12 Suppl 6 : 25-30)
Un lent hydrolysé agoniste muscariniques sans effets. Nicotinique utilisé comme myotique pilocarpine et dans le traitement du glaucome.
Une procédure neurochirurgicale qui retire les TEMPORAL antérieur incluant le lobe temporal médian de structures cortex CEREBRAL ; amygdale ; hippocampe ; et le gyrus gyrus adjacent. Cette procédure est généralement utilisé pour le traitement de l ’ épilepsie (temporal intraitable EPILEPSY, lobe TEMPORAL).
Un composé a suggéré d'être à la fois une nootropic et un agent neuroprotecteurs positifs.
Un groupe hétérogène de troubles familiale essentiellement caractérisée par des crises myocloniques, les crises tonico-cloniques, ataxie, une dégradation intellectuelle progressive, et la dégénération Lafora maladie, notamment ; ; ; syndrome du MERRF CEROID-LIPOFUSCINOSIS neuronal sialidosis (voir MUCOLIPIDOSES) et la maladie d'Unverricht-Lundborg syndrome du.
Non invasive mode de démontrer l'anatomie interne basé sur le principe que les noyaux atomiques dans un fort champ magnétique absorber pulsations d'eux comme une radio de l'énergie et émettent des ondes radio qui peut être reconstruit en images informatisée. Le concept inclut proton spin tomographique techniques.
L'arrêt brutal de toutes les fonctions corporelles vitales se manifestant par la perte totale de cérébrale totale et fonctions cardiovasculaires, respiratoires,.
Propriétés acides gras avec un anticonvulsivant utilisé dans le traitement de l ’ épilepsie. Les mécanismes de ses effets thérapeutiques sont mal compris. Il peut agir en augmentant les taux de l'acide gamma-aminobutyrique du cerveau ou en influant sur les propriétés des canaux sodiques voltage dépendante.
Une opération sur le système nerveux ou ses parties.
Anomalies dans le développement du cortex CEREBRAL, notamment des malformations découlant de cellule neuronales et gliales prolifération anormale ou l'apoptose (groupe) ; élévation je migration neuronal (Group II) ; et perturbation des établissement de organisation corticale (Group III). Plusieurs métabolique congénital DISORDERS affectant le cerveau de formation sur le SNC sont souvent associés à des malformations corticale. Ils sont fréquents causes de EPILEPSY et un retard de développement.
Une lame courbe surélever les gris AFFAIRE étendant toute la longueur du sol de la corne du ligament latéral TEMPORAL VENTRICLE lobe TEMPORAL) (voir aussi. L'hippocampe convenable, subiculum et gyrus DENTATE constituent la formation de l'hippocampe. Parfois, les auteurs inclure le cortex entorhinal dans la formation de l'hippocampe.
Plus faible partie latérale de l'hémisphére cérébral responsable, auditives, olfactives et analyse sémantique. Elle est située inférieur au antérieur à la fissure latérale et OCCIPITAL lobe.
Treatment of chronic grave et insoluble Affections psychiatriques par ablation chirurgicale ou une interruption du traitement de certaines régions ou les voies métaboliques du cerveau, surtout dans les lobes préfrontaux.
Une condition marqué par récurrentes crises survenant au cours des premières 4 à 6 semaines de vie malgré un néonatale bénigne. Autosomale dominante formes familiales et sporadiques ont été identifiés. Convulsions généralement constitué de brève épisodes de tonic gesticulations et autres mouvements, apnée, oeil écarts et fluctuations de la pression artérielle. Ceux-ci tendent pourtrouver après la sixième semaine de la vie. Le risque de développer l ’ épilepsie, en grandissant est modérément augmenté en polypose forme de ce trouble. (Neurologia ; 11 février 1996 (2) : 51-5)
Un cours de la prise de nourriture riche en FATS, faible en glucides. Ce régime fournit suffisamment PROTEINS pour la croissance mais quantité insuffisante de glucides pour les besoins en énergie du corps. Un régime ketogenic génère des obligations de calorique 80-90 % de lipides et le reste de protéines.
La toxicologie de faible excitation les structures du cerveau, qui, progressivement, augmente la sensibilité à la même stimulation. Fil du temps, cela peut diminuer le seuil nécessaire pour déclencher des crises convulsives.
Traitement adjuvant pour PARTIELLE EPILEPSY ou réfractaires qui délivre une dépression impulsions électriques du cerveau via le nerf vague culot, une batterie implantées sous la peau fournit l'énergie.
Le rôle de CENTRALE que le système nerveux est contenu dans le crâne (crâne). Facilité de neural embryonnaire TUBE, le cerveau se compose de trois parties principales incluant PROSENCEPHALON (réactivera) ; mésencéphale (le mésencéphale) ; et (les RHOMBENCEPHALON hindbrain). Les pays cerveau se compose de cerveau, le cervelet ; et autres structures dans le cerveau le STEM.
Le stockage ou préserver de signaux vidéo pour la télévision pour être joué plus tard via un émetteur ou récepteur. Enregistrements peuvent être faites sur bande magnétique ou disques vidéo pré-fabriqué (enregistrement).
Un anticonvulsivant qui est utilisé pour traiter diverses infections dues à des crises. C'est aussi un un et un décontractant musculaire. Le mécanisme d'action thérapeutique n ’ est pas clair, bien que plusieurs actes ont été décrits cellulaires notamment ses effets sur les canaux ioniques, transport actif, et général membrane de stabilisation. Le mécanisme de son effet relaxant musculaire semble entraîner une réduction de la sensibilité des broches musculaire de la phénytoïne a été proposée pour plusieurs autres vertus thérapeutiques sur, mais son utilisation n ’ a été limitée par ses nombreux effets indésirables et des interactions avec d'autres médicaments.
Un analogue de l'acide gamma-aminobutyrique. C'est un inhibiteur irréversible de 4-AMINOBUTYRATE transaminase, enzyme responsable du catabolisme de l'acide gamma-aminobutyrique. (De Martindale Pharmacopée supplémentaires, 31e éditeur)
Syndrome épileptique caractérisée par la triade de spasmes infantiles, hypsarrhythmia, et à l'arrestation de développement psychomoteur à attaque leur apparition. La majorité cadeau entre 3 à 12 mois de l ’ âge, avec spasmes composé de combinaisons de courte ou extenseurs fléchisseurs de la tête, le coffre, et membres. La condition est divisé en deux formes : Cryptogenic (idiopathique) et (symptomatique secondaire à une pathologie connue tels que l ’ infections ; anomalies neurologiques ; cerveau, maladies métaboliques innée ; nouveau-né prématuré ; Perinatal asphyxie ; sclérose tubéreuse, etc.). (De Menkes, Le manuel de Child Neurologie, 5ème Ed, pp744-8)
Un spécialisée en chirurgie concerné par le traitement de maladies et troubles du cerveau, moelle épinière et périphérique et du système nerveux sympathique.
Substances qui agissent dans le tronc cérébral ou de la moelle épinière pour produire tonic ou convulsions cloniques, souvent en retirant ton inhibitrice normal. Ils étaient auparavant utilisé pour stimuler la respiration ou comme antidotes à une overdose de barbituriques. Ils sont maintenant en général utilisé comme outils expérimental.
Heterocyclic sonne contenant trois atomes d'azote, particulièrement chez 1,2,4 ou 1,3,5 ou 2,4,6 formats. Certains sont utilisés comme herbicides.
Un trouble caractérisé par récurrentes localisée décharges paroxystique neurones cérébrale qui font apparaître des crises convulsives qui a un moteur. La majorité des crises partielles moteur originaires de FRONTAL (voir également le lobe, lobe FRONTAL EPILEPSY), le moteur des convulsions peuvent se manifester par tonic ou mouvements cloniques impliquant le visage, une branche ou une partie du corps. Diverses actions plus complexes de mouvement, posture anormale incluant les extrémités peuvent également survenir.
L'âge, stade de développement, ou par durée de vie auquel une maladie ou les premiers symptômes ou les manifestations d'une maladie apparaissent dans un individu.
Qui est fabriqué un fonctionnement intellectuel inférieur à la normale pendant la période de développement. Ça a de multiples étiologies possibles, y compris les défauts génétiques et des insultes. Périnatale quotien intellectuel (QI) scores sont fréquemment utilisés pour déterminer si un individu a une déficience intellectuelle. Q.I. Élevé entre 70 et 79 sont dans la limite de tir et marque ci-dessous 67 sont dans les handicapés portant. (De Joynt Clinique neurologie, 1992, Ch55, p28)
Implante chirurgicalement dans lesquelles les conducteurs électrique est livré à vestibulaire électrique ou l'activité électrique est enregistré par un point spécifique dans le corps.
La fine couche de gris d'importance à la surface du CEREBRAL hémisphères qui se développe à partir des TELENCEPHALON et se replie sur gyri et sulchi. Elle atteint son paroxysme développement chez l'homme qui est responsable de les facultés intellectuelles et fonctions cérébrales supérieures.
Les signes de comportement de dominance cérébrale dans lequel il y a utiliser préférentielle et supérieur fonctionnement de celui de gauche, droite, comme dans le cadre d ’ utilisation de la main droite ou pied droit.
Infection du cerveau, dans la moelle épinière, ou perimeningeal structures avec les formes larvaire du genre Taenia solium (principalement T. chez l'homme). Lésions formé par l'organisme sont dénommés cysticerci. L'infection peut être subaiguë ou chronique, et la sévérité des symptômes dépend de la sévérité de la réponse immunitaire hôte et son nombre de lésions. Convulsions représentent les manifestations les plus fréquentes manifestation mais déficits neurologiques focaux peut survenir. (De Joynt Clinique neurologie, 1998, Ch27, pp46-50)
Infirmières qui tient Maître masters en infirmière avec une emphase au cours d'infirmière et qui fonctionner de façon indépendante dans la coordination des projets pour le patient.
Un anticonvulsivant particulièrement utile dans le traitement des crises d ’ absences non accompagnée par d ’ autres types de crises.
Gris d'importance au dessus de la circonvolution hippocampi. Il est composé de trois couches. La couche moléculaire est continue avec l'hippocampe dans la fissure de l'hippocampe granuleux. La couche se compose de étroitement arrangé sphérique ou ovales neurones appelés granules, dont des axones passer par l'enzyme polymorphe se terminant à la couche pyramidale de dendrites des dans l'hippocampe.
(2S- (2 alpha, beta, beta) 3) 4) (1-methylethenyl -2-Carboxy-4- -3-pyrrolidineacetic acide. Ascaricide obtenu de l'algue rouge Digenea simplex. C'est un puissant acide aminé agonistes Des à certains types de récepteurs Des des acides aminés et a été utilisé pour discrimination types, comme plusieurs des récepteurs de l ’ acide aminé agonistes Des ça peut provoquer une neurotoxicité et a été utilisé expérimentalement à cet effet.
Diverses affections provoquant neuromusculaire de MUTATIONS ION CHANNELS manifeste comme dans les épisodes d'EPILEPSY ; migraine DISORDERS ; et les dyskinésies.
Études ont utilisé pour tester etiologic hypothèses dans lequel déductions pour une exposition à des facteurs de causalité putatif sont tirées de données relatives aux caractéristiques des personnes sous study or to événements ou expériences dans leur passé. La caractéristique essentielle est que certaines des personnes sous étude ont la maladie ou d'intérêt et de leurs caractéristiques sont comparés à ceux de personnes.
Naturelle de maladies animales ou expérimentalement avec processus pathologiques suffisamment similaires à ceux des maladies humaines. Ils sont pris en étude modèles pour les maladies humaines.
Conditions pathologique affectant le cerveau, qui se compose des composants du intracrânienne CENTRALE, cela inclut, entre autres, la matière blanche intracrânienne cortex CEREBRAL ; ; ; ; BASAL ganglions thalamus HYPOTHALAMUS ; cerveau STEM ; et le cervelet.
Une spécialité médicale concerné par l'étude des structures, les réceptions, et de maladies du système nerveux.
Une forme agent qui ont montré une activité comme un stimulant du système nerveux central et respiratoire. C'est un antagoniste de l'acide gamma-aminobutyrique non-compétitif. Pentétrazole a été utilisé expérimentalement crise phénomène à étudier et de déterminer les produits pharmaceutiques qui contrôle peut-être crise de la sensibilité.
Évaluation menée pour évaluer les résultats ou des suites de gestion et procédures utilisées dans la lutte contre la maladie afin de déterminer l'efficacité, efficacité, la tolérance et practicability de ces interventions dans des cas individuels, ou la série.
Dominance d'une hémisphére cérébral sur les autres fonctions cérébral.
Un barbiturique avec hypnotiques et sédatifs pharmacodynamiques (mais pas contre l'anxiété). Les effets indésirables sont essentiellement une consequence de dépression du SNC et du risque de dépendance avec la poursuite de Martindale est élevé. (Pharmacopée supplémentaires, 30, Ed, p565)
Diminués ou échoué réponse d'un organisme, la maladie ou de tissus pour l'efficacité d'un produit chimique ou drogue. Ça devrait être différenciés des tolérance de la drogue qui est la diminution progressive de la sensibilité d'un humain ou animal aux effets de la drogue, en cas de la poursuite du traitement.
Les techniques d'imagerie utilisée pour colocalize sites des fonctions cérébrales ou activité physiologique avec les structures du cerveau.
La mesure des champs magnétiques sur la tête générée par les courants électriques dans le cerveau. Comme dans toute conducteur électrique, les champs électriques dans le cerveau sont étayées par des champs magnétiques orthogonaux. L 'évaluation de ces champs fournit des informations concernant le signal d'activité cérébrale qui complètent celles fournies par ELECTROENCEPHALOGRAPHY. Magnétoencéphalographie peut être utilisé seul ou ensemble avec electroencephalography, pour le dosage de spontané ou l'activité médiée par, et pour la recherche ou cliniques fins.
Une caractéristique complexe de symptomes.
Un agent antiépileptique liés aux barbituriques ; c'est partiellement métabolisée en du phénobarbital dans le corps et a une de ses actions de ce métabolite. Les effets indésirables sont décrits comme étant plus fréquente qu'avec du phénobarbital. (De Martindale, supplémentaires 30 Pharmacopée ", Ed, p309)
Les protéines de surface cellulaire qui attachent acide gamma-aminobutyrique et contiennent une membrane intégrale chlorure. Chaque canal récepteur est assemblé comme une pentamer d'une piscine d'au moins 19 sortes sous-unités. Les récepteurs appartiennent à une superfamille qui partagent un vulgaire cysteine Loop.
Tests conçus pour évaluer la fonction neurologique associée à certains comportements. Ils sont utilisés dans le diagnostic de dysfonctionnement cérébral ou dommage et troubles du système nerveux central ou des blessures.
Un acte de sorcellerie utilisant (l ’ utilisation de pouvoir gagner dans cette assistance ou le contrôle des esprits), notamment en toute intention diabolique, et l 'exercice des pouvoirs surnaturels, et prétendue relation sexuelle avec le diable ou un familier de Webster, 3d. (Éditeur)
Les unités cellulaires de base de tissus nerveux. Chaque neurone est constitué d'un corps, une axone et dendrites. Leur but est de recevoir, conduite, et transmettre les impulsions électriques dans le système nerveux.
Axones de certaines cellules du gyrus DENTATE. Ils projettent de l'enzyme polymorphe couche de la circonvolution dentate et sur l'artère de dendrites des pyramidale de l'hippocampe. Ces Mossy fibres ne doit pas être confondu avec l'Mossy Afferents cérébelleux (voir sang-froid fibres).
Syndrome neurocutaneous autosomale dominante classiquement caractérisé par un retard mental ; EPILEPSY ; et des lésions cutanées (par exemple, adénome hypomelanotic sebaceum et érythème). Il y a, cependant, une forte hétérogénéité les manifestations neurologiques. C'est également associé à tuber corticale et HAMARTOMAS formation dans le corps, surtout du cœur, reins, et les yeux. Mutations dans deux loci TSC1 et TSC2 qui encode hamartin et tuberin, respectivement, sont associés à la maladie.
La plus grande part du cortex CEREBRAL dans lequel les neurones sont disposées de six couches dans le cerveau des mammifères : Cellules granuleuse externe interne, externe, pyramidale, granuleuse pyramidal interne et multiformes, couches.
Études dans lesquelles les individus ou populations sont suivis pour évaluer l'issue des expositions, procédures ou d'une caractéristique, par exemple, la survenue de maladie.
'Personnes Célèbres' ne constitue pas un terme médical, il s'agit plutôt d'un terme général utilisé dans la vie courante pour décrire des individus largement reconnus et connus du grand public dans divers domaines tels que le divertissement, le sport, la politique, les affaires, etc. Il n'y a pas de définition médicale associée à ce terme.

L'épilepsie est une condition médicale caractérisée par des crises récurrentes et imprévisibles, qui résultent d'une activité électrique anormale et excessive dans le cerveau. Ces crises peuvent se manifester de différentes manières, allant de secousses musculaires brèves et localisées à des périodes de confusion ou de perte de conscience. Pour poser un diagnostic d'épilepsie, une personne doit avoir eu au moins deux crises non provoquées, séparées par au moins 24 heures, à moins que la cause sous-jacente et le risque de futures crises ne justifient un traitement.

L'épilepsie peut être causée par divers facteurs, tels que des lésions cérébrales traumatiques, des infections cérébrales, des troubles congénitaux du cerveau, des tumeurs cérébrales ou un accident vasculaire cérébral. Dans certains cas, la cause peut être inconnue.

Le traitement de l'épilepsie dépend de la gravité et du type de crises, ainsi que des facteurs sous-jacents qui peuvent contribuer à la condition. Les options de traitement comprennent souvent des médicaments anticonvulsivants, une intervention chirurgicale, un régime alimentaire spécial ou d'autres thérapies complémentaires. Dans certains cas, les personnes atteintes d'épilepsie peuvent être en mesure de contrôler leurs crises avec un traitement approprié, tandis que d'autres peuvent continuer à avoir des crises malgré les efforts de traitement.

La définition médicale de l'épilepsie généralisée est la suivante :

L'épilepsie généralisée est un type d'épilepsie caractérisé par des crises qui affectent les deux hémisphères cérébraux simultanément. Les personnes atteintes de ce type d'épilepsie peuvent présenter différents types de crises, notamment des convulsions tonico-cloniques (grand mal), des absences (petit mal) ou des myoclonies.

Les crises tonico-cloniques se manifestent par une perte de conscience soudaine, suivie d'une rigidité du corps (phase tonique) et de secousses musculaires rythmiques (phase clonique). Les crises d'absence sont caractérisées par une brève interruption de la conscience, sans perte de posture ni chute. Les myoclonies se manifestent par des secousses musculaires soudaines et brèves qui peuvent affecter n'importe quelle partie du corps.

L'épilepsie généralisée peut être causée par des facteurs génétiques ou acquis, tels que des lésions cérébrales traumatiques, des infections cérébrales, des tumeurs cérébrales ou un manque d'oxygène à la naissance. Le diagnostic est généralement posé sur la base de l'histoire clinique du patient, de l'examen neurologique et de l'enregistrement des crises par électroencéphalogramme (EEG).

Le traitement de l'épilepsie généralisée repose sur l'utilisation de médicaments anticonvulsivants, qui peuvent aider à prévenir ou à réduire la fréquence des crises. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour les personnes qui ne répondent pas au traitement médicamenteux.

L'épilepsie du lobe temporal est un type spécifique d'épilepsie, qui est une condition caractérisée par des crises récurrentes. Dans cette forme, les crises commencent dans le lobe temporal du cerveau. Les lobes temporaux sont situés sur les côtés de votre tête, juste derrière vos yeux.

Il existe deux types principaux de crises dans l'épilepsie du lobe temporal : les crises complexes et les crises simples. Les crises complexes, également appelées crises avec perte de conscience ou crises focales compliquées, impliquent souvent une altération de la conscience ou du comportement. La personne peut regarder vide, se comporter bizarrement, ou effectuer des mouvements automatiques comme se frotter les mains ou se mordre la langue. Les crises simples, ou crises focales simples, ne causent pas de perte de conscience et la personne peut continuer à interagir avec son environnement pendant la crise.

Les causes de l'épilepsie du lobe temporal peuvent inclure des lésions cérébrales antérieures, telles qu'un accident vasculaire cérébral ou une infection, ou des anomalies congénitales. Dans certains cas, la cause est inconnue. Le diagnostic est généralement posé sur la base d'un examen clinique, d'une évaluation des antécédents médicaux et de résultats d'examens complémentaires tels qu'un électroencéphalogramme (EEG) ou une imagerie cérébrale.

Le traitement de l'épilepsie du lobe temporal implique généralement des médicaments anticonvulsivants. Dans certains cas, la chirurgie peut être recommandée si les médicaments ne contrôlent pas adéquatement les crises.

L'épilepsie myoclonique est un type d'épilepsie caractérisé par des spasmes musculaires brusques et involontaires appelés myoclonies. Ces spasmes peuvent affecter une seule partie du corps ou tout le corps et peuvent varier en fréquence de quelques fois par jour à plusieurs fois par semaine.

Les épilepsies myocloniques peuvent être causées par divers facteurs, y compris des anomalies génétiques, des lésions cérébrales, certaines infections ou intoxications. Dans certains cas, la cause peut rester inconnue.

Ce type d'épilepsie peut se manifester à tout âge, mais il est plus fréquent chez les enfants et les adolescents. Les épilepsies myocloniques peuvent être associées à d'autres symptômes, tels que des absences, des convulsions tonico-cloniques ou une déficience intellectuelle.

Le diagnostic d'épilepsie myoclonique repose sur l'observation des crises, la réalisation d'un électroencéphalogramme (EEG) et l'exclusion de toute autre cause possible de myoclonies. Le traitement dépend de la gravité et de la fréquence des crises, mais peut inclure des médicaments antiépileptiques, une alimentation spéciale ou, dans certains cas, une intervention chirurgicale.

Il est important de noter que les épilepsies myocloniques peuvent être bien contrôlées avec un traitement approprié, mais sans traitement, elles peuvent avoir des répercussions importantes sur la qualité de vie et le fonctionnement quotidien des personnes atteintes.

Les anticonvulsivants sont une classe de médicaments utilisés pour prévenir et contrôler les convulsions ou les crises épileptiques. Ils fonctionnent en régulant l'activité électrique dans le cerveau, ce qui peut aider à prévenir les saisies.

Les anticonvulsivants sont souvent prescrits pour traiter divers types d'épilepsie, mais ils peuvent également être utilisés hors indication pour traiter d'autres conditions telles que la douleur neuropathique, les troubles bipolaires et certains types de migraines.

Il existe plusieurs anticonvulsivants disponibles sur le marché, chacun ayant des mécanismes d'action et des profils d'effets secondaires uniques. Certains exemples courants incluent la phénytoïne, la carbamazépine, le valproate, le lamotrigine, le topiramate et le gabapentin.

Comme avec tout médicament, les anticonvulsivants peuvent entraîner des effets secondaires indésirables. Les effets secondaires courants comprennent la somnolence, les étourdissements, la nausée, les vomissements et les éruptions cutanées. Dans de rares cas, certains anticonvulsivants peuvent également entraîner des effets secondaires graves tels que des dommages hépatiques, des pensées suicidaires ou une diminution de la production de globules blancs.

Il est important de travailler en étroite collaboration avec un professionnel de la santé pour déterminer le plan de traitement anticonvulsivant le plus approprié et pour surveiller tout effet secondaire potentiel.

La définition médicale de « Epilepsy, Reflex » est la suivante :

Le reflex epilepsy est un type d'épilepsie qui est déclenché par des stimuli spécifiques et répétitifs. Ces stimuli peuvent être sensoriels, cognitifs ou psychogènes. Les exemples courants de reflex epilepsy comprennent l'epilepsie photosensible, où les crises sont déclenchées par des flashs lumineux ou des motifs à haute fréquence ; l'epilepsie tactile, où les crises sont provoquées par des stimuli tactiles spécifiques ; et l'epilepsie auditive, où les crises sont déclenchées par des sons spécifiques.

Dans certains cas, les personnes atteintes de reflex epilepsy peuvent développer des crises sans la présence du stimulus déclencheur après une période de temps. Cette condition est appelée épilepsie réflexe symptomatique. Le traitement de l'épilepsie réflexe dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments antiépileptiques, la modification du mode de vie pour éviter les déclencheurs et, dans certains cas, la chirurgie.

La myoclonie épilepsie juvénile (JME) est un type d'épilepsie caractérisée par des secousses musculaires brusques et involontaires appelées myoclonies. Ces secousses peuvent affecter une partie du corps ou tout le corps et peuvent se produire de manière isolée ou en série. Les crises de JME sont généralement déclenchées par des stimuli sensoriels tels que le bruit, la lumière ou le toucher, et ont tendance à s'aggraver avec l'excitation émotionnelle ou le stress.

Les symptômes de JME commencent généralement à l'adolescence ou au début de l'âge adulte, bien que des cas précoces aient été décrits. Les personnes atteintes de JME peuvent également présenter d'autres types de crises épileptiques, telles que des absences et des convulsions tonico-cloniques généralisées.

JME est souvent héréditaire et est causée par des mutations dans certains gènes qui affectent la façon dont les neurones communiquent dans le cerveau. Le diagnostic de JME repose sur l'histoire clinique, les résultats de l'examen neurologique et les résultats de l'électroencéphalogramme (EEG), qui peuvent montrer des modèles caractéristiques d'activité cérébrale.

Le traitement de JME implique généralement la prise de médicaments anticonvulsivants pour contrôler les crises. Les options de traitement comprennent la lamotrigine, le valproate et le topiramate. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour les personnes qui ne répondent pas au traitement médicamenteux.

Les personnes atteintes de JME peuvent également bénéficier d'un soutien psychologique et éducatif pour faire face aux défis associés à la gestion des crises et à la vie avec une maladie chronique.

La « épilepsie, forme partielle complexe » est un type spécifique d'épilepsie qui implique des crises récurrentes. Pendant ces crises, une personne peut avoir des hallucinations visuelles ou auditives, des expériences déformées de la réalité, des émotions intenses et involontaires, ainsi qu'une perte partielle ou complète de conscience. Ces crises peuvent également inclure des mouvements corporels incontrôlables, tels que des mâchonnements ou des mouvements des membres.

Les personnes atteintes d'épilepsie, forme partielle complexe, ont souvent des difficultés à se souvenir de ce qui s'est passé pendant la crise et peuvent se sentir fatiguées ou désorientées après celle-ci. Ce type d'épilepsie est généralement plus difficile à traiter que les autres types et peut être causé par des lésions cérébrales, des malformations congénitales ou une épilepsie symptomatique.

Il est important de noter qu'une personne atteinte d'épilepsie, forme partielle complexe, a besoin d'un traitement médical approprié pour gérer ses crises et prévenir les complications à long terme. Un diagnostic précis et un plan de traitement individualisé sont essentiels pour assurer une qualité de vie optimale pour ces personnes.

L'épilepsie du lobe frontal est un type d'épilepsie focale qui prend origine dans le lobe frontal du cerveau. Cette région du cerveau est responsable de fonctions telles que le mouvement volontaire, l'expression faciale, le langage et la pensée complexe.

Les crises d'épilepsie du lobe frontal peuvent être très variées, allant de mouvements anormaux subtils à des convulsions généralisées. Les symptômes courants incluent des mouvements saccadés ou rythmiques des membres, des cris soudains, une rigidité ou des secousses musculaires, une perte de conscience partielle ou totale, et des changements soudains d'humeur ou de comportement.

Les crises peuvent survenir à tout moment de la journée, mais sont souvent plus fréquentes pendant le sommeil. Les personnes atteintes d'épilepsie du lobe frontal peuvent également présenter des symptômes interictaux tels que des changements de personnalité, des problèmes de mémoire et des difficultés de concentration.

Le diagnostic de l'épilepsie du lobe frontal repose sur l'histoire clinique, les résultats de l'examen neurologique et les enregistrements vidéo-EEG. Le traitement peut inclure des médicaments antiépileptiques, la chirurgie ou d'autres thérapies telles que la stimulation du nerf vague.

L'électroencéphalographie (EEG) est une procédure diagnostique non invasive utilisée pour enregistrer l'activité électrique du cerveau. Elle est réalisée en attachant de petits capteurs, appelés électrodes, à la surface du cuir chevelu avec un gel conducteur ou une pâte. Ces électrodes détectent les impulsions électriques minuscules et imperceptibles produites par l'activité neuronale dans le cerveau et transmettent ces informations à un amplificateur, où elles sont affichées sous forme d'ondes sur un moniteur.

L'EEG est utilisée pour aider au diagnostic et à la gestion de divers troubles neurologiques, tels que l'épilepsie, les convulsions, les tumeurs cérébrales, les accidents vasculaires cérébraux, l'encéphalite, la méningite, la sclérose en plaques et d'autres conditions qui affectent le fonctionnement du cerveau. Elle peut également être utilisée pour évaluer l'efficacité de certains médicaments, surveiller l'activité cérébrale pendant le sommeil et aider à la planification des interventions chirurgicales cérébrales.

L'EEG est considérée comme sûre et indolore, sans aucun risque connu associé à sa réalisation. Cependant, il peut être difficile pour certaines personnes de rester assises ou allongées immobiles pendant la durée de l'enregistrement, ce qui peut entraîner des artefacts dans les enregistrements EEG. Dans ces cas, des médicaments relaxants peuvent être administrés pour aider à réduire l'agitation et améliorer la qualité de l'enregistrement.

La épilepsie de Rolando, également connue sous le nom d'épilepsie benigne centrotemporale de l'enfance (CBTE), est un type focal de épilepsie qui se produit principalement chez les enfants. Il tire son nom de la région du cerveau où il commence généralement, appelée gyrus central de Rolando ou sillon central.

Les crises associées à l'épilepsie de Rolando impliquent typiquement des contractions unilatérales (un seul côté) des muscles du visage, de la langue et de la bouche, qui peuvent entraîner des sensations désagréables telles que des picotements ou des engourdissements dans ces régions. Les crises peuvent également inclure des mouvements involontaires d'un côté du corps, tels qu'une jambe ou un bras. Ces crises sont généralement brèves, durent moins de deux minutes et se produisent le plus souvent pendant le sommeil ou juste après s'être endormi.

L'épilepsie de Rolando est généralement diagnostiquée pendant l'enfance, entre les âges de 3 et 13 ans, avec un pic d'apparition autour de 8 à 10 ans. Les garçons sont plus susceptibles d'être touchés que les filles. Dans la plupart des cas, cette forme d'épilepsie disparaît spontanément à l'adolescence.

Le traitement de l'épilepsie de Rolando implique généralement des médicaments anticonvulsivants pour contrôler les crises. Dans certains cas, le médecin peut recommander une surveillance attentive sans traitement, en particulier si les crises sont rares et ne perturbent pas la vie quotidienne de l'enfant. Les enfants atteints d'épilepsie de Rolando ont généralement un bon pronostic et peuvent s'attendre à une vie normale et productive après la disparition des crises.

La épilepsie post-traumatique (EPT) est un type de épilepsie qui se développe después de una lesión cerebral traumática (LCT). La LCT puede ser causada por una variedad de eventos, como un accidente automovilístico, una caída, un trauma contuso o penetrante al cerebro, o un shock eléctrico.

Para que se diagnostique la EPT, generalmente se requiere que la primera convulsión ocurra dentro de los siete días posteriores a la lesión cerebral. Sin embargo, algunos estudios sugieren que las convulsiones que ocurren más tarde también pueden estar relacionadas con la lesión cerebral y, por lo tanto, también se consideran parte de la EPT.

La EPT puede presentarse como convulsiones recurrentes, pero también puede manifestarse como deterioro cognitivo, cambios de personalidad o problemas emocionales. El tratamiento de la EPT generalmente implica el uso de medicamentos antiepilépticos para controlar las convulsiones y la rehabilitación para ayudar a mejorar los déficits cognitivos y funcionales resultantes de la lesión cerebral. En algunos casos, la cirugía puede ser una opción de tratamiento si los medicamentos no son efectivos en el control de las convulsiones.

La sclérose est un terme médical qui décrit le processus de durcissement et d'épaississement des tissus conjonctifs dans le corps. Cela se produit lorsque les fibres de collagène dans ces tissus deviennent excessives ou anormalement organisées, ce qui entraîne une perte de flexibilité et de fonction. La sclérose peut affecter divers organes et tissus du corps, y compris la peau, les muscles, les tendons, les os, les vaisseaux sanguins et les organes internes.

Dans certains cas, la sclérose est une réponse normale à une blessure ou à une maladie sous-jacente. Cependant, dans d'autres cas, cela peut être le résultat d'une maladie auto-immune ou dégénérative, telle que la sclérose en plaques (SEP) ou la sclérodermie. Dans ces conditions, le système immunitaire du corps attaque et endommage les tissus conjonctifs, entraînant une sclérose progressive.

Les symptômes de la sclérose dépendent de l'emplacement et de la gravité de la maladie. Ils peuvent inclure des douleurs articulaires, des raideurs musculaires, des engourdissements, des picotements, une fatigue extrême et des problèmes respiratoires ou digestifs. Le traitement dépend également de la cause sous-jacente de la sclérose et peut inclure des médicaments, des thérapies physiques ou des changements de style de vie.

Les crises convulsives fébriles sont des convulsions qui surviennent chez les enfants en raison d'une fièvre élevée. Elles sont relativement courantes et concernent environ 2 à 5% des enfants avant l'âge de 5 ans. Ces crises ne sont généralement pas le signe d'un problème plus grave, surtout si l'enfant est en bonne santé autrement.

Les crises convulsives fébriles se produisent le plus souvent entre les âges de 6 mois et 5 ans, lorsque les enfants sont incapables de réguler leur température corporelle aussi bien que les adultes. La plupart des enfants qui en font une fois ou deux n'en auront plus jamais.

Les symptômes comprennent la rigidité musculaire, les secousses répétitives des membres, la perte de conscience et parfois la miction involontaire ou la défécation. Les crises durent généralement de quelques secondes à quelques minutes.

La cause exacte des crises convulsives fébriles n'est pas claire, mais elles sont associées à une infection qui provoque une fièvre élevée. Les infections courantes qui peuvent déclencher ces crises comprennent les infections de l'oreille, la varicelle, la rougeole et les infections respiratoires.

Il est important de consulter un médecin si votre enfant a une crise convulsive fébrile pour écarter toute autre cause possible de convulsion, comme l'épilepsie ou une infection plus grave. Le traitement se concentre généralement sur la réduction de la fièvre et l'administration de soins de soutien.

La carbamazépine est un médicament anticonvulsivant utilisé pour traiter l'épilepsie et certains types de douleurs neuropathiques. Il fonctionne en réduisant les saisies nerveuses excessives dans le cerveau. Dans certains cas, il peut également être prescrit hors indication pour traiter d'autres conditions telles que les troubles bipolaires.

Le médicament est disponible sous forme de comprimés ou de suspension orale et doit être pris selon les directives d'un professionnel de la santé. Les effets secondaires courants peuvent inclure des étourdissements, des nausées, des vomissements, des maux de tête, des éruptions cutanées et une somnolence. Dans de rares cas, il peut provoquer des réactions allergiques graves ou affecter le nombre de cellules sanguines dans l'organisme.

Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques et de signaler tout effet indésirable à un professionnel de la santé. La carbamazépine peut interagir avec d'autres médicaments, y compris certains antidépresseurs, antibiotiques et contraceptifs oraux, il est donc essentiel d'informer le médecin de tous les autres médicaments pris.

En résumé, la carbamazépine est un médicament anticonvulsivant utilisé pour traiter l'épilepsie et certains types de douleurs neuropathiques. Il doit être pris sous surveillance médicale stricte en raison des risques potentiels d'effets secondaires graves et d'interactions médicamenteuses.

Le statut épileptique est une condition médicale grave caractérisée par une crise épileptique prolongée ou deux crises successives sans que la personne ne retrouve un état de conscience normal entre les deux. Il s'agit d'une urgence médicale qui nécessite une prise en charge rapide, car elle peut entraîner des dommages cérébraux permanents ou même la mort si elle n'est pas traitée rapidement.

Les crises épileptiques sont généralement définies comme étant prolongées si elles durent plus de cinq minutes, bien que certaines sources puissent considérer qu'une crise qui dure plus de trois minutes est déjà anormale et nécessite une intervention médicale urgente.

Les causes du statut épileptique peuvent être variées, allant de facteurs déclenchants tels que le stress, la fièvre ou l'absence de traitement adéquat d'une crise épileptique préexistante, à des causes plus graves telles qu'un traumatisme crânien, une infection cérébrale, un accident vasculaire cérébral ou une tumeur cérébrale.

Le traitement du statut épileptique dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des médicaments anticonvulsivants, une oxygénothérapie, une surveillance étroite de la fonction cardiorespiratoire et, dans les cas graves, une intervention chirurgicale. Dans tous les cas, il est essentiel de consulter rapidement un médecin en cas de suspicion de statut épileptique.

La pilocarpine est un agent parasympathomimétique, ce qui signifie qu'il imite l'action de l'acétylcholine, un neurotransmetteur dans le corps qui stimule certaines cellules nerveuses et muscles.

Plus spécifiquement, la pilocarpine active les récepteurs muscariniques de la jonction neuromusculaire et des glandes exocrines, entraînant une augmentation de la sécrétion de sueur, de salive et d'autres sécrétions.

Elle est souvent utilisée dans le traitement du glaucome pour réduire la pression intraoculaire en augmentant le flux d'humeur aqueuse hors de l'œil. Elle peut également être utilisée pour traiter la bouche sèche sévère (xérostomie) causée par des médicaments ou des radiations dans la tête et le cou.

Les effets secondaires courants de la pilocarpine comprennent une sudation excessive, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des maux de tête et des troubles visuels. Dans de rares cas, elle peut provoquer des réactions allergiques graves.

Une lobectomie temporale antérieure est une procédure chirurgicale dans laquelle une partie ou la totalité du lobe temporal du cerveau est enlevée. Cette région du cerveau se trouve derrière l'os situé à la tempe et contient des structures importantes telles que l'hippocampus, qui joue un rôle crucial dans la formation de la mémoire.

Dans le cas d'une lobectomie temporale antérieure, c'est généralement une partie du lobe temporal qui est retirée, souvent comme traitement pour des crises d'épilepsie réfractaires (qui ne répondent pas aux autres formes de traitement). Cette procédure vise à éliminer la source des crises épileptiques en retirant le tissu cérébral endommagé ou mal fonctionnant.

Il est important de noter que cette intervention comporte des risques, tels que des changements possibles dans les capacités cognitives et émotionnelles, car le lobe temporal contient également des zones liées au langage, à l'audition et aux émotions. Par conséquent, une évaluation approfondie et un plan de traitement personnalisé sont nécessaires avant d'entreprendre cette procédure.

Le Piracétam est un médicament cognitivement stimulant, appartenant à la classe des nootropiques. Il est largement utilisé dans le traitement de divers troubles neurologiques et cognitifs, tels que la démence, les troubles de l'apprentissage et de la mémoire, ainsi que pour aider à prévenir les accidents vasculaires cérébraux et améliorer les fonctions cérébrales globales.

Le Piracétam agit en modulant l'activité des neurotransmetteurs dans le cerveau, tels que l'acétylcholine et le glutamate, ce qui peut entraîner une amélioration de la mémoire, de l'humeur, de la concentration et de la capacité d'apprentissage. Il est également connu pour améliorer la circulation sanguine dans le cerveau, ce qui peut aider à protéger les cellules cérébrales contre les dommages et à favoriser leur survie.

Le Piracétam est disponible sous forme de comprimés, de gélules ou de solution liquide et est généralement bien toléré, avec peu d'effets secondaires graves signalés. Cependant, il est important de noter que l'utilisation du Piracétam doit être supervisée par un professionnel de la santé qualifié, car il peut interagir avec d'autres médicaments et conditions médicales préexistantes.

La définition médicale des "Myoclonies Progessives" ou "Epilepsies Myocloniques Progressives" (EMP) est un groupe de troubles neurologiques caractérisés par la présence de myoclonies, qui sont des secousses musculaires brusques et involontaires, ainsi que d'autres types de crises épileptiques. Les myoclonies peuvent affecter n'importe quel muscle du corps, mais elles sont souvent observées dans les membres supérieurs et inférieurs.

Les EMP sont considérées comme progressives car les symptômes ont tendance à s'aggraver avec le temps. Les personnes atteintes de ces troubles peuvent présenter des difficultés croissantes pour effectuer des tâches quotidiennes, telles que marcher, parler ou manger, en raison de l'aggravation des myoclonies et d'autres symptômes.

Les EMP peuvent être causées par diverses affections sous-jacentes, notamment des maladies génétiques, des infections cérébrales, des traumatismes crâniens ou des tumeurs cérébrales. Dans certains cas, la cause peut rester inconnue même après une évaluation approfondie.

Le traitement des EMP dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments anticonvulsivants pour contrôler les crises épileptiques, ainsi que des thérapies de réadaptation pour aider à gérer les difficultés fonctionnelles. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être envisagée pour traiter les foyers épileptogènes spécifiques dans le cerveau.

Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.

Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.

Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.

Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.

La mort subite est un décès soudain et inattendu, généralement survenant dans les heures qui suivent l'apparition des symptômes ou au cours d'une activité apparemment sans danger. Dans la plupart des cas, elle est causée par une insuffisance cardiaque aiguë due à des arythmies ventriculaires malignes, telles que la fibrillation ventriculaire ou la torsade de pointes. Cependant, d'autres causes peuvent également être à l'origine d'une mort subite, notamment un infarctus du myocarde massif, une embolie pulmonaire massive, une hypertension maligne, une rupture aortique ou certaines maladies neurologiques.

Il est important de noter que la mort subite ne doit pas être confondue avec le décès soudain d'une personne qui était précédemment en bonne santé et n'avait aucun antécédent médical connu. Ce dernier scénario peut également être qualifié de décès subit, mais il ne relève pas nécessairement de la définition strictement médicale de la mort subite.

En outre, il existe des différences entre la mort subite cardiaque et la mort subite d'origine non cardiaque. La première est spécifiquement liée à des troubles cardiovasculaires, tandis que la seconde peut être due à une variété de causes, y compris respiratoires, neurologiques, infectieuses ou autres.

Dans le domaine médical, la mort subite fait souvent référence à la mort subite cardiaque, qui est un problème de santé publique majeur et la principale cause de décès chez les personnes souffrant de maladies cardiovasculaires. Des stratégies de prévention et de traitement sont mises en œuvre pour tenter de réduire le risque de mort subite, telles que l'utilisation d'un défibrillateur automatisé externe (DAE) et la mise en place de programmes de réanimation cardio-pulmonaire (RCP) dans les lieux publics.

Le valproate est un médicament utilisé dans le traitement des troubles neurologiques et psychiatriques. Il est disponible sous différentes formes, notamment l'acide valproïque, le valproate de sodium et le valpromidate. Le valproate est principalement prescrit pour le traitement des crises d'épilepsie, car il peut aider à réduire la fréquence et l'intensité des convulsions. Il est également utilisé dans le traitement du trouble bipolaire et de la migraine.

Le valproate agit en augmentant les niveaux de neurotransmetteurs inhibiteurs dans le cerveau, tels que le GABA (acide gamma-aminobutyrique), ce qui aide à réguler l'activité électrique anormale des neurones. Les effets secondaires courants du valproate peuvent inclure des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des étourdissements, des maux de tête et des troubles de la coordination.

Il est important de noter que le valproate peut avoir des effets tératogènes importants pendant la grossesse, entraînant un risque accru de malformations congénitales graves chez le fœtus. Par conséquent, il est généralement recommandé d'éviter l'utilisation du valproate pendant la grossesse si possible, et les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement.

Les interventions neurochirurgicales sont des procédures médico-chirurgicales complexes qui impliquent l'intervention directe sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) ou périphérique (nerfs crâniens, racines nerveuses et plexus nerveux). Ces interventions sont généralement effectuées par des médecins spécialisés appelés neurochirurgiens.

Elles peuvent être réalisées pour diverses raisons telles que le traitement de tumeurs cérébrales ou spinaux, la décompression des nerfs comprimés, la stabilisation de la colonne vertébrale dans les cas de fractures ou de maladies dégénératives, l'épilepsie, les anévrismes et autres malformations vasculaires cérébrales, les mouvements anormaux comme la maladie de Parkinson, etc.

Les techniques utilisées dans ces interventions varient considérablement, allant de procédures minimales invasives telles que la rhizotomie percutanée et la stimulation cérébrale profonde, à des opérations plus complexes nécessitant une craniotomie ou une laminectomie. Récemment, avec l'avancée de la technologie, certaines interventions neurochirurgicales peuvent également être effectuées à l'aide de robots chirurgicaux contrôlés par le médecin.

Comme toute intervention chirurgicale, les interventions neurochirurgicales comportent des risques et des complications potentielles, y compris, mais sans s'y limiter, l'hémorragie, l'infection, la réaction adverse à l'anesthésie, les dommages aux structures nerveuses environnantes et les effets indésirables liés à la pathologie sous-jacente. Par conséquent, une évaluation approfondie et un consentement éclairé sont essentiels avant de procéder à ces interventions.

Les malformations du développement cortical (MDC) représentent un groupe hétérogène d'anomalies congénitales du cerveau qui affectent la structure et la fonction du cortex cérébral. Elles résultent de perturbations survenant pendant la période critique du développement neuronal, qui s'étend de la neuvième semaine de gestation à la fin de la vingt-quatrième semaine.

Les MDC peuvent être classées en trois catégories principales :

1. Malformations focales : Elles sont dues à des anomalies localisées dans une région spécifique du cortex cérébral. Les exemples incluent la schizencéphalie, l'ectopie péricentrique et l'hétérotopie sous-corticale.
2. Malformations diffuses : Elles concernent des anomalies plus largement réparties dans le cortex cérébral. Les exemples comprennent la lissencéphalie, la pachygyrie et la polymicrogyrie.
3. Malformations mixtes : Elles combinent à la fois des caractéristiques focales et diffuses.

Les MDC peuvent être causées par des facteurs génétiques, environnementaux ou une combinaison des deux. Les conséquences cliniques varient considérablement en fonction de l'étendue et de la localisation des anomalies, allant d'un retard mental léger à une déficience intellectuelle sévère, ainsi qu'à des troubles moteurs, épileptiques et sensoriels. Le diagnostic repose sur l'imagerie médicale, telle que l'IRM, et peut être confirmé par des tests génétiques moléculaires. Le traitement est généralement symptomatique et dépend de la présentation clinique spécifique de chaque patient.

L'hippocampus est une structure du cerveau en forme de cheval de mer, située dans la région médiale temporale du lobe temporal. Il joue un rôle crucial dans le processus de formation de la mémoire à long terme, en particulier pour les souvenirs déclaratifs et spatiaux. Les neurones de l'hippocampus sont également importants pour la navigation et la reconnaissance des environnements. Des anomalies ou des dommages à cette région peuvent entraîner des troubles de la mémoire, tels que ceux observés dans la maladie d'Alzheimer.

Le lobe temporal est une région de l'encéphale (cerveau) situé dans la partie inférieure et latérale de chaque hémisphère cérébral. Il est délimité par les sillons latéraux et occipitaux. Le lobe temporal contient plusieurs structures importantes, dont le gyrus hippocampique et l'amygdale, qui sont associées à la mémoire et aux émotions. Cette région du cerveau est également responsable de l'audition et du traitement des informations auditives complexes, y compris la compréhension du langage parlé. Des dommages au lobe temporal peuvent entraîner des troubles de la mémoire, des difficultés d'apprentissage, des problèmes de langage et des changements dans le comportement émotionnel.

La psychochirurgie, également connue sous le nom de neurochirurgie fonctionnelle ou de chirurgie cérébrale stéréotaxique, est un type de procédure neurochirurgicale qui implique l'altération délibérée des structures cérébrales pour traiter certaines conditions mentales et neurologiques graves et réfractaires. Historiquement, la psychochirurgie a été pratiquée dans le passé pour traiter une variété de troubles mentaux, tels que la schizophrénie et la dépression sévère, mais elle est actuellement largement limitée à des indications très spécifiques et restreintes.

Les procédures de psychochirurgie consistent généralement à créer de petites lésions dans certaines régions ciblées du cerveau en utilisant diverses techniques, telles que la thermocoagulation par radiofréquence, la stimulation ultrasonique focalisée des faisceaux ou le traitement au gamma-knife. Ces interventions sont conçues pour modifier de manière sélective la connectivité et la fonctionnalité des circuits neuronaux impliqués dans les processus pathologiques sous-jacents aux troubles mentaux ciblés.

Actuellement, les indications approuvées pour la psychochirurgie comprennent principalement le traitement de certaines affections neurologiques et psychiatriques graves et réfractaires, telles que:

1. Troubles obsessionnels compulsifs (TOC) sévères et réfractaires: Dans ces cas, des lésions ciblées peuvent être créées dans les noyaux gris centraux ou dans le cortex cingulaire antérieur pour soulager les symptômes invalidants.

2. Épilepsie réfractaire: Lorsque les médicaments et d'autres traitements ne parviennent pas à contrôler efficacement les crises épileptiques, une chirurgie ciblée peut être envisagée pour éliminer ou désactiver la zone du cerveau responsable des crises.

3. Douleur chronique réfractaire: Dans certains cas, des lésions ciblées peuvent être créées dans les voies de la douleur pour soulager les symptômes chez les patients atteints de douleurs chroniques sévères et réfractaires.

4. Syndrome de Gilles de la Tourette (SGT) sévère et réfractaire: Dans ces cas, des lésions ciblées peuvent être créées dans le thalamus ou dans le cortex cingulaire antérieur pour soulager les symptômes invalidants.

5. Maladie de Parkinson avancée: Lorsque les médicaments ne parviennent pas à contrôler efficacement les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson, une chirurgie ciblée peut être envisagée pour éliminer ou désactiver la zone du cerveau responsable des symptômes.

Il est important de noter que ces interventions sont considérées comme des traitements de dernier recours et ne sont envisagées qu'après l'échec d'autres options thérapeutiques moins invasives. De plus, les risques et les avantages doivent être soigneusement évalués au cas par cas pour chaque patient.

Benigne Neonatal Epilepsy (BNE) est un type rare d'épilepsie qui se produit chez les nouveau-nés pendant les premiers mois de leur vie. Le terme "benign" est utilisé ici pour décrire le fait que l'état est généralement autolimité et a tendance à disparaître spontanément au cours de la première ou deuxième année de vie, sans causer de dommages neurologiques permanents.

Les crises associées à BNE sont souvent caractérisées par des mouvements cloniques (des contractions rythmiques) d'un seul groupe musculaire ou d'un côté du corps. Ces crises peuvent être déclenchées par le réveil, l'alimentation ou d'autres stimuli sensoriels.

BNE est souvent causé par des mutations génétiques spécifiques et peut se produire dans le cadre de certaines syndromes neurogénétiques. Cependant, dans certains cas, la cause sous-jacente peut rester inconnue. Le diagnostic repose généralement sur l'observation des crises, l'historique clinique et les résultats d'examens complémentaires tels que l'EEG (électroencéphalogramme) et l'IRM (imagerie par résonance magnétique).

Il est important de noter que, bien que BNE soit considéré comme bénin en raison de son caractère autolimité, une prise en charge appropriée des crises est nécessaire pour prévenir les complications à court terme et assurer le confort et le bien-être du nouveau-né.

Une diète cétogène est un type de régime alimentaire à très faible teneur en glucides et riche en graisses qui est conçu pour imiter les effets métaboliques du jeûne. Lorsqu'une personne suit un régime cétogène, son corps passe à un état de cétose, où il brûle les graisses pour l'énergie au lieu des glucides.

Ce processus entraîne la production accrue de molécules appelées cétones, qui peuvent être utilisées comme source d'énergie alternative pour le cerveau et d'autres organes. Les régimes cétogènes sont souvent utilisés dans le traitement de certaines conditions médicales, telles que l'épilepsie réfractaire chez les enfants, ainsi que dans la gestion du poids et le contrôle de la glycémie chez les personnes atteintes de diabète de type 2.

Les régimes cétogènes sont généralement très restrictifs en termes de glucides et peuvent inclure des aliments tels que des viandes, des poissons, des œufs, des produits laitiers gras, des noix et des légumes à faible teneur en glucides. Les aliments riches en glucides tels que les céréales, les fruits, les légumineuses et les sucres ajoutés sont généralement évités.

Il est important de noter que les régimes cétogènes ne sont pas appropriés pour tout le monde et peuvent entraîner des effets secondaires indésirables tels que la constipation, la fatigue, les nausées et les maux de tête. Avant de commencer un régime cétogène, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour déterminer si cela convient à vos besoins et à votre état de santé général.

En médecine, l'embrasement (ou conflagration en termes plus formels) est un terme utilisé pour décrire une situation où il y a une propagation rapide et incontrôlable d'une maladie, d'une infection ou d'une réaction inflammatoire dans tout le corps. Cela peut se produire lorsqu'un processus pathologique local s'étend rapidement à travers la circulation sanguine, entraînant une défaillance potentiellement mortelle de plusieurs organes.

Un exemple courant est l'embrasement septique, qui survient lorsque le système immunitaire réagit de manière excessive à une infection, libérant une cascade de cytokines et d'autres molécules inflammatoires dans la circulation sanguine. Cela peut entraîner une inflammation généralisée, une hypotension, une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) et d'autres complications graves.

Le traitement de l'embrasement nécessite une prise en charge agressive et rapide, y compris des soins intensifs, une antibiothérapie à large spectre, une thérapie de support et souvent des interventions telles que la dialyse rénale ou la ventilation mécanique.

La stimulation du nerf vague (VNS) est une procédure médicale dans laquelle un dispositif implantable génère des impulsions électriques qui sont transmises à un nerf crânien spécifique, le nerf vague. Le nerf vague est le dixième nerf crânien pair et il a des branches qui innervent de nombreuses structures dans le cerveau et le corps.

Dans la stimulation du nerf vague, un générateur d'impulsions électriques est implanté chirurgicalement dans la poitrine du patient, et un fil conducteur est enroulé autour du nerf vague dans le cou. Le générateur d'impulsions peut être programmé pour délivrer des impulsions électriques à des intervalles prédéterminés ou lorsque des événements spécifiques se produisent, tels qu'une crise convulsive dans le traitement de l'épilepsie.

La stimulation du nerf vague est approuvée par la Food and Drug Administration (FDA) pour le traitement de certaines formes d'épilepsie réfractaire et de certains types de dépression résistante au traitement. Il peut également être utilisé hors AMM pour traiter une variété d'autres conditions, telles que les migraines, l'anxiété, le syndrome des jambes sans repos et la douleur chronique.

Les effets secondaires de la stimulation du nerf vague peuvent inclure une toux, une voix rauque ou enrouée, une sensation d'étourdissement ou une gêne au niveau du site d'implantation. Ces effets secondaires sont généralement légers et transitoires.

L'encéphale est la structure centrale du système nerveux situé dans la boîte crânienne. Il comprend le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral. L'encéphale est responsable de la régulation des fonctions vitales telles que la respiration, la circulation sanguine et la température corporelle, ainsi que des fonctions supérieures telles que la pensée, la mémoire, l'émotion, le langage et la motricité volontaire. Il est protégé par les os de la boîte crânienne et recouvert de trois membranes appelées méninges. Le cerveau et le cervelet sont floating dans le liquide céphalo-rachidien, qui agit comme un coussin pour amortir les chocs et les mouvements brusques.

Je suis désolé, mais "Enregistrement Vidéo" en soi n'est pas une définition médicale spécifique. Cependant, l'enregistrement vidéo peut être utilisé dans un contexte médical pour documenter des procédures médicales, des consultations, des entretiens ou des symptômes visibles du patient. Ces enregistrements sont utilisés à des fins de surveillance, d'enseignement, de recherche et de documentation médico-légale. Ils doivent être réalisés avec le consentement éclairé du patient, sauf dans certaines circonstances spécifiques où la loi l'autorise sans ce consentement.

La phénytoïne est un anticonvulsivant, utilisé principalement dans le traitement et la prévention des crises épileptiques. Il agit en régulant l'activité électrique dans le cerveau en réduisant l'excitabilité neuronale. La phénytoïne est également utilisée dans le traitement du trouble bipolaire et comme anti-arythmique pour certains types de battements cardiaques irréguliers. Les effets secondaires courants peuvent inclure des étourdissements, une somnolence, des nausées, des éruptions cutanées et des problèmes de coordination. Des niveaux sanguins excessifs de phénytoïne peuvent entraîner une toxicité, qui peut se manifester par des symptômes tels que des tremblements, une vision double, une confusion, une perte d'équilibre et une sensation de engourdissement ou picotement dans les mains et les pieds.

La vigabatrine est un anticonvulsivant, un type de médicament utilisé pour traiter l'épilepsie. Il agit en bloquant certains neurotransmetteurs dans le cerveau, ce qui aide à réduire la propagation de l'activité convulsive.

La vigabatrine est spécifiquement un inhibiteur de la gamma-aminobutyric acid transaminase (GABA-T), une enzyme qui dégrade l'acide gamma-aminobutyrique (GABA), un neurotransmetteur inhibiteur important dans le cerveau. En inhibant cette enzyme, la vigabatrine augmente les niveaux de GABA disponibles dans le cerveau, ce qui aide à contrôler l'activité convulsive.

La vigabatrine est souvent utilisée pour traiter les crises partielles complexes et les crises tonico-cloniques généralisées chez les adultes et les enfants de plus de 2 ans. Elle peut être prise seule ou en combinaison avec d'autres médicaments anticonvulsivants.

Les effets secondaires courants de la vigabatrine comprennent des étourdissements, une somnolence, des maux de tête, des nausées et des vomissements. Dans de rares cas, elle peut également causer des problèmes oculaires graves tels qu'une vision floue ou une perte de vision périphérique. Par conséquent, les patients prenant de la vigabatrine doivent faire l'objet d'un suivi régulier pour dépister tout effet indésirable sur la vue.

Les spasmes infantiles, également connus sous le nom de syndrome de West ou d'épilepsie myoclonique du nourrisson, sont un type rare mais grave de convulsions et d'épilepsie chez les nourrissons. Ils se manifestent généralement entre 3 et 12 mois après la naissance.

Les spasmes infantiles se caractérisent par des mouvements soudains, rapides et brusques du corps ou des membres, qui durent moins de deux secondes. Ces mouvements ressemblent à ceux d'un chat qui étire ses pattes arrière. Les spasmes peuvent se produire en salves ou en séries, souvent après le réveil ou pendant le sommeil.

Les nourrissons atteints de cette condition peuvent également présenter un retard du développement et une perte des acquis précédemment atteints, tels que la capacité à s'asseoir, à ramper ou à parler. Les spasmes infantiles sont souvent associés à des anomalies cérébrales structurelles ou fonctionnelles, telles qu'une lésion cérébrale, une malformation congénitale ou une encéphalopathie.

Le traitement des spasmes infantiles implique généralement l'utilisation de médicaments anticonvulsivants, tels que le vigabatrin ou le cannabidiol, ainsi qu'une prise en charge multidisciplinaire pour soutenir le développement du nourrisson. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour traiter les lésions cérébrales sous-jacentes.

La neurochirurgie est une spécialité médico-chirurgicale qui se concentre sur le diagnostic, le traitement et la gestion des conditions et des maladies affectant le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) et le système nerveux périphérique (nerfs crâniens, nerfs spinaux et leurs racines, plexus nerveux et ganglions). Les neurochirurgiens utilisent une combinaison de techniques chirurgicales ouvertes, mini-invasives et stéréotaxiques, ainsi que des traitements non chirurgicaux tels que la radiothérapie stéréotaxique, pour traiter des affections telles que les tumeurs cérébrales et de la moelle épinière, l'épilepsie, les anévrismes et dissections des artères intracrâniennes, les malformations vasculaires, les traumatismes crâniens et médullaires, les hernies discales, la sténose spinale, la maladie dégénérative du rachis, les infections du système nerveux central et d'autres pathologies neurologiques.

Je suis désolé, "convulsivants" est un terme qui peut être interprété de différentes manières dans le contexte médical. Il pourrait se référer à des médicaments ou substances utilisés pour traiter ou prévenir les convulsions, telles que les benzodiazépines et l'acide valproïque. Alternativement, il peut également faire référence aux mouvements musculaires involontaires et rythmiques qui se produisent pendant une crise convulsive ou un spasme. Pourrait-il préciser ce que vous voulez savoir sur "convulsivants" pour fournir une réponse plus exacte?

Les triazines sont un type de composé heterocyclique qui contient trois atomes d'azote et trois atomes de carbone dans leur structure cyclique. Ils forment un sous-groupe des diazines et sont largement utilisés dans l'industrie chimique pour la synthèse de divers produits, y compris les pesticides et les colorants.

Dans le contexte médical, certaines triazines ont été étudiées pour leurs propriétés thérapeutiques potentielles. Par exemple, certaines triazines ont montré des activités antimicrobiennes, antifongiques et antivirales dans des études de laboratoire. Cependant, il convient de noter que la plupart des triazines ne sont pas directement utilisées comme médicaments et nécessitent souvent d'être modifiées chimiquement pour être efficaces à des fins thérapeutiques.

En outre, certaines triazines peuvent également avoir des propriétés toxiques ou cancérigènes, il est donc important de les étudier soigneusement avant de les considérer comme des candidats potentiels pour une utilisation en médecine.

La définition médicale de "Epilepsy, Partial, Motor" est la suivante :

L'épilepsie partielle motrice, également appelée épilepsie focale avec atteinte motrice, est un type d'épilepsie qui se caractérise par des crises récurrentes causées par une activité électrique anormale dans une partie spécifique du cerveau. Ces crises peuvent affecter les mouvements musculaires d'une partie ou de tout le côté du corps, en fonction de la zone du cerveau où l'activité épileptique se produit.

Les symptômes de l'épilepsie partielle motrice peuvent inclure des contractions musculaires involontaires, des spasmes ou des mouvements anormaux d'un côté du corps, une faiblesse ou une paralysie temporaire d'un côté du visage ou du corps, des sensations inhabituelles telles que des picotements ou des engourdissements dans une partie du corps, et des modifications de la conscience ou du comportement.

Les causes de l'épilepsie partielle motrice peuvent varier, mais elles peuvent inclure des lésions cérébrales telles que des tumeurs, des accidents vasculaires cérébraux, des infections cérébrales ou des traumatismes crâniens, ainsi que des facteurs génétiques. Le diagnostic de cette condition est généralement posé sur la base d'un examen clinique, d'une électroencéphalographie (EEG) et d'une imagerie cérébrale telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM).

Le traitement de l'épilepsie partielle motrice peut inclure des médicaments anticonvulsivants, la chirurgie cérébrale ou d'autres thérapies telles que la stimulation du nerf vague. Le choix de traitement dépendra de la cause sous-jacente de la condition et de la réponse au traitement médicamenteux initial.

L'âge d'apparition, également connu sous le nom d'âge de début ou d'âge de survenue, fait référence à l'âge auquel une personne développe pour la première fois les symptômes ou manifestations d'une maladie, d'un trouble de santé mentale, d'un handicap ou d'autres conditions médicales. Il peut être exprimé en années, mois ou même semaines après la naissance, selon le type et la gravité de la condition concernée.

L'âge d'apparition est un aspect important du diagnostic et de la prise en charge médicale, car il peut fournir des indices sur les causes sous-jacentes de la maladie, influencer le choix des traitements et des interventions, et aider à prévoir l'évolution et le pronostic de la condition.

Par exemple, certaines maladies génétiques ou congénitales peuvent se manifester dès la naissance ou dans les premiers mois de vie, tandis que d'autres troubles, tels que la maladie d'Alzheimer ou la démence, ne se développent généralement qu'à un âge plus avancé. De même, certains troubles mentaux, comme l'autisme et le trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH), peuvent présenter des signes avant-coureurs dès la petite enfance, tandis que d'autres, comme la schizophrénie, peuvent ne se manifester qu'à l'adolescence ou à l'âge adulte.

Il est important de noter que l'âge d'apparition peut varier considérablement d'une personne à l'autre, même au sein d'une même famille ou d'un même groupe de population. Des facteurs tels que les antécédents familiaux, l'environnement, le mode de vie et d'autres facteurs de risque peuvent influencer le moment où une personne développe les symptômes d'une condition donnée.

L'intelligence désigne les capacités d'une personne à apprendre, à raisonner, à résoudre des problèmes, à faire preuve de jugement et de pensée abstraite. Un handicap intellectuel, également connu sous le nom de déficience intellectuelle ou retard mental, est un trouble du développement qui affecte ces capacités intellectuelles et la capacité d'une personne à fonctionner de manière indépendante dans la vie quotidienne.

Il est généralement diagnostiqué avant l'âge de 18 ans et peut varier de léger à sévère. Les personnes atteintes de handicap intellectuel peuvent avoir des difficultés à acquérir et à appliquer de nouvelles connaissances, à communiquer efficacement, à prendre soin d'elles-mêmes, à établir des relations sociales et à faire face aux situations stressantes.

Les causes du handicap intellectuel peuvent être génétiques, environnementales ou résulter de complications pendant la grossesse ou la naissance. Il est important de noter que les personnes atteintes de handicap intellectuel ont des capacités et des besoins uniques, et qu'un diagnostic précoce et une intervention appropriée peuvent améliorer considérablement leur qualité de vie et leurs perspectives d'avenir.

Les électrodes implantées sont des dispositifs médicaux utilisés dans le traitement de diverses affections neurologiques et cardiaques. Elles sont insérées chirurgicalement dans des parties spécifiques du corps, telles que le cerveau, la moelle épinière ou le muscle cardiaque.

Dans le cerveau, elles peuvent être utilisées pour stimuler certaines régions afin de contrôler les mouvements dans des maladies comme la maladie de Parkinson ou pour traiter l'épilepsie en détectant et en interrompant les crises. Dans le muscle cardiaque, elles sont souvent utilisées dans les dispositifs de resynchronisation cardiaque pour aider à coordonner la contraction du cœur chez les patients atteints d'insuffisance cardiaque congestive sévère.

Les électrodes implantées consistent généralement en un fil ou une sonde conductrice avec un ou plusieurs éléments d'enregistrement ou de stimulation à son extrémité. Ces éléments sont souvent recouverts d'un matériau biocompatible pour réduire le risque de rejet par le corps. Le fil est ensuite passé sous la peau jusqu'à ce qu'il atteigne un boîtier externe qui contient la batterie et l'électronique nécessaires pour traiter les signaux.

Comme avec toute intervention chirurgicale, il existe des risques associés à l'implantation d'électrodes, tels que l'infection, la migration de l'électrode et les réactions indésirables du corps. Cependant, pour de nombreux patients, les avantages de ce traitement peuvent dépasser ces risques.

Le cortex cérébral, également connu sous le nom de cortex ou écorce, est la structure extérieure et la plus externe du cerveau. Il s'agit d'une fine couche de tissu nerveux gris qui recouvre les hémisphères cérébraux et joue un rôle crucial dans de nombreuses fonctions cognitives supérieures, telles que la perception sensorielle, la pensée consciente, la mémoire, l'attention, le langage, l'apprentissage et les décisions volontaires.

Le cortex cérébral est divisé en plusieurs régions ou lobes, chacun étant responsable de différents types de traitement de l'information. Les principaux lobes du cortex cérébral sont le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe temporal et le lobe occipital. Le cortex cérébral contient également des sillons et des circonvolutions qui augmentent la surface et la capacité de traitement de l'information du cerveau.

Le cortex cérébral est composé de deux types de cellules nerveuses : les neurones et les cellules gliales. Les neurones sont responsables du traitement et de la transmission des informations, tandis que les cellules gliales fournissent un soutien structurel et métabolique aux neurones.

Le cortex cérébral est une structure complexe et hautement organisée qui est le siège de nombreuses fonctions supérieures du cerveau. Des dommages au cortex cérébral peuvent entraîner des déficiences cognitives, sensorielles et motrices.

La latéralité fonctionnelle est un terme utilisé en médecine et en neurologie pour décrire la préférence ou la dominance d'un côté du corps dans certaines fonctions cognitives ou motrices. Il s'agit essentiellement de la capacité à utiliser de manière privilégiée et prédominante un côté du corps, généralement le droit ou le gauche, pour effectuer des tâches spécifiques.

Cette dominance latérale se manifeste souvent dans les domaines moteurs (utilisation préférentielle de la main, du pied, etc.) et sensoriels (perception auditive, visuelle, etc.). La plupart des gens sont droitiers, ce qui signifie qu'ils utilisent principalement leur main droite pour écrire, manger ou effectuer d'autres activités complexes. De même, ils peuvent également avoir une oreille préférée pour le téléphone ou un œil dominant pour la visée.

La latéralité fonctionnelle est généralement établie pendant la petite enfance et reste stable à travers de la vie adulte. Elle est liée au développement du cerveau, en particulier aux hémisphères cérébraux gauche et droit, qui sont spécialisés dans différentes fonctions cognitives. Par exemple, le langage et l'analyse logique sont souvent traités par l'hémisphère gauche, tandis que les processus spatiaux et créatifs peuvent être plus associés à l'hémisphère droit.

Cependant, il est important de noter qu'il existe des variations individuelles considérables dans la latéralité fonctionnelle, et certaines personnes peuvent ne pas avoir de dominance claire d'un côté du corps. Ces cas sont appelés ambidextrie ou ambiguïté latérale.

La neurocysticercose est une infection parasitaire du système nerveux central causée par le développement de larves (métacestodes) de Taenia solium, un ver plat connu sous le nom de ténia porcin ou ténia du porc. Lorsque les œufs de T. solium sont ingérés, généralement via une mauvaise hygiène alimentaire en mangeant des aliments contaminés par des excréments humains, ils peuvent se transformer en larves qui migrent vers divers tissus, y compris le cerveau.

Dans le cerveau, ces larves forment des kystes, appelés kystes neurocysticerqueux. Selon la localisation et le nombre de kystes, les symptômes peuvent varier considérablement. Les kystes intra-parenchymateux (se trouvant dans le tissu cérébral) sont souvent asymptomatiques, mais peuvent entraîner des crises épileptiques, des maux de tête, des modifications de la personnalité ou des troubles cognitifs. Les kystes extra-parenchymateux (se trouvant en dehors du tissu cérébral) peuvent provoquer une méningite, une hydrocéphalie (dilatation des ventricules cérébraux), une myélite (inflammation de la moelle épinière) ou une arachnoïdite (inflammation de la membrane qui entoure le cerveau et la moelle épinière).

Le diagnostic de neurocysticercose repose sur l'imagerie médicale, telle que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que sur des tests sérologiques pour détecter les anticorps contre T. solium. Le traitement peut inclure des médicaments antiparasitaires, tels que l'albendazole ou le praziquantel, en association avec des corticostéroïdes et des anticonvulsivants pour contrôler les crises épileptiques. La prévention de la neurocysticercose passe par l'amélioration de l'hygiène alimentaire et de l'assainissement, en particulier dans les zones où la taeniasis (infection à T. solium) est endémique.

Le titre « Infirmier Agréé en Soins Cliniques » (ou Clinical Nurse Specialist, CNS, en anglais) fait référence à un rôle infirmier avancé aux États-Unis et dans d'autres pays. Il s'agit d'un infirmier diplômé au niveau master ou doctorat qui a acquis une expertise clinique spécialisée dans une population de patients ou dans un domaine de soins spécifiques. Les CNS assument des responsabilités dans les domaines suivants :

1. Soins directs aux patients : Ils fournissent des évaluations, des diagnostics et des interventions infirmières complexes pour résoudre des problèmes de santé chez les patients.
2. Recherche : Ils mènent et participent à des activités de recherche pour améliorer les pratiques infirmières et la qualité des soins.
3. Éducation : Ils enseignent aux étudiants en sciences infirmières, aux autres professionnels de santé et aux patients/familles. Ils peuvent également être responsables de la formation continue du personnel infirmier.
4. Leadership et consultation : Les CNS exercent un leadership clinique dans leur domaine d'expertise, fournissent des conseils aux autres professionnels de santé et participent à l'élaboration et à la mise en œuvre de politiques et de procédures infirmières.
5. Gestion des soins : Ils coordonnent les soins pour des patients présentant des problèmes de santé complexes, travaillant souvent en collaboration avec d'autres membres de l'équipe de soins.

Pour devenir un CNS, un infirmier doit généralement obtenir une maîtrise ou un doctorat en sciences infirmières et accumuler une expérience clinique considérable dans sa spécialité. Ils doivent également réussir des examens de certification dans leur domaine d'expertise spécifique, tels que la santé mentale, les soins intensifs, la gériatrie ou l'oncologie, entre autres.

Ethosuximide est un médicament prescrit principalement pour le traitement des crises d'épilepsie, en particulier dans le type d'absence ou petit mal épilepsie. Il fonctionne en réduisant l'excitation anormale des cellules cérébrales ou des neurones qui provoquent des convulsions.

L'ethosuximide est un succinimide, une classe de médicaments antiépileptiques. Il agit en modifiant le fonctionnement des canaux sodiques voltage-dépendants dans le cerveau. Ces canaux jouent un rôle crucial dans la génération et la propagation des impulsions électriques dans les neurones. En modulant leur activité, l'ethosuximide peut aider à prévenir les crises d'épilepsie.

Comme avec tout médicament, l'utilisation de l'ethosuximide peut entraîner des effets secondaires, notamment des nausées, des vomissements, des maux de tête, de la somnolence, des étourdissements et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques graves ou des pensées suicidaires. Il est important que les patients discutent avec leur médecin de tous les risques potentiels avant de commencer à prendre ce médicament.

En plus du traitement de l'épilepsie, l'ethosuximide peut également être utilisé hors indication pour d'autres conditions, telles que le trouble des conduites et le trouble explosif intermittent. Toutefois, cela ne doit être fait qu'après une évaluation approfondie des bénéfices potentiels par rapport aux risques possibles.

Le gyrus dentatus est une structure anatomique dans le cerveau qui fait partie du système limbique et plus spécifiquement du lobe hippocampique. Il s'agit d'une région située dans le circuit de Papez, qui est associée à la mémoire et aux émotions.

Le gyrus dentatus est composé de cellules granulaires et de cellules mousses, qui sont des neurones importants pour le traitement et l'intégration des informations sensorielles. Il joue un rôle crucial dans la formation de nouveaux souvenirs et dans la consolidation de la mémoire à long terme.

Des anomalies du gyrus dentatus ont été associées à certaines maladies neurologiques, telles que l'épilepsie et la maladie d'Alzheimer. Des études ont montré que les personnes atteintes de ces maladies peuvent présenter une réduction du nombre de cellules dans le gyrus dentatus, ce qui peut contribuer à leurs symptômes.

L'acide kaïnique est un dérivé de l'acide glutamique, qui est un acide aminé naturellement présent dans le cerveau et qui joue un rôle important dans la transmission des signaux nerveux. L'acide kaïnique est souvent utilisé en recherche médicale comme un agoniste des récepteurs du glutamate, ce qui signifie qu'il se lie à ces récepteurs et les active, entraînant une série de réponses cellulaires.

L'acide kaïnique est connu pour ses effets excitotoxiques, ce qui signifie qu'à des concentrations élevées, il peut provoquer la mort des neurones en surexcitant les récepteurs du glutamate. Ce phénomène a été étudié dans le cadre de diverses affections neurologiques, telles que l'épilepsie et la maladie d'Alzheimer.

En bref, l'acide kaïnique est un outil important en recherche médicale pour étudier les mécanismes de la transmission des signaux nerveux et les effets excitotoxiques sur le cerveau.

Les canalopathies sont un groupe de troubles neuromusculaires causés par des mutations dans les gènes qui codent pour les protéines des canaux ioniques. Les canaux ioniques sont des structures présentes dans la membrane cellulaire qui permettent le passage d'ions tels que le sodium, le potassium et le calcium à travers la membrane. Ils jouent un rôle crucial dans la régulation de l'excitabilité neuromusculaire et du potentiel électrique des cellules.

Les mutations dans les gènes des canaux ioniques peuvent entraîner une altération de leur fonctionnement, ce qui peut provoquer une variété de symptômes, en fonction du type de canal affecté et de la gravité de la mutation. Les canalopathies peuvent affecter différents systèmes corporels, y compris le système nerveux périphérique, le muscle squelettique et le cœur.

Les exemples courants de canalopathies comprennent :

1. La maladie de Charcot-Marie-Tooth de type 1A (CMT1A), qui est causée par une mutation dans le gène PMP22 et affecte la gaine de myéline des nerfs périphériques, entraînant une faiblesse musculaire et une perte de sensation.
2. La myotonie congénitale (MC), qui est causée par des mutations dans les gènes CLCN1 ou SCN4A et affecte la capacité des muscles à se relâcher après une contraction, entraînant une raideur musculaire et des spasmes.
3. La maladie de l'X fragile (FXS), qui est causée par une mutation dans le gène FMR1 et affecte la fonction cognitive, comportementale et neuromusculaire.
4. L'hyperkaliémie périodique familiale (HPf), qui est causée par des mutations dans les gènes CASQ1 ou KCNJ1 et affecte la régulation du potassium dans le sang, entraînant des épisodes de faiblesse musculaire et de paralysie.
5. La paramyotonie congénitale (PC), qui est causée par des mutations dans le gène SCN4A et affecte la capacité des muscles à se contracter et à se relâcher normalement, entraînant une faiblesse musculaire et des spasmes.

Le traitement de ces maladies dépend de leur type et de leur gravité. Il peut inclure des médicaments, des thérapies physiques et occupationnelles, des appareils orthopédiques et des interventions chirurgicales. Dans certains cas, il n'existe pas encore de traitement curatif pour ces maladies, mais la recherche continue à avancer pour trouver de nouvelles options thérapeutiques.

Les études rétrospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte rétrospectives ou d'études cas-témoins rétrospectives, sont un type d'étude observationnelle dans laquelle les chercheurs examinent et analysent des données recueillies à partir de dossiers médicaux, de questionnaires ou d'autres sources préexistantes pour tenter de découvrir des relations de cause à effet ou des associations entre des facteurs de risque et des résultats de santé.

Dans ces études, les chercheurs identifient et sélectionnent des participants en fonction de leur exposition à un facteur de risque spécifique ou d'un résultat de santé particulier dans le passé, puis examinent les antécédents médicaux et les données de ces participants pour déterminer si des associations significatives existent entre l'exposition et le résultat.

Les études rétrospectives présentent plusieurs avantages, notamment leur faible coût, la rapidité de réalisation et la possibilité d'inclure un grand nombre de participants. Cependant, elles peuvent également être limitées par des biais potentiels dans la collecte et l'enregistrement des données, ainsi que par l'absence de contrôle sur les variables confondantes qui peuvent affecter les résultats.

En raison de ces limites, les études rétrospectives sont généralement considérées comme moins robustes que les études prospectives, dans lesquelles les participants sont suivis activement au fil du temps pour évaluer l'incidence et la progression des maladies ou des résultats de santé. Néanmoins, elles peuvent fournir des informations précieuses sur les associations entre les facteurs de risque et les résultats de santé, en particulier dans les situations où la réalisation d'études prospectives est difficile ou impossible.

Je suis désolé, mais la phrase "Maladies Expérimentales" ne correspond pas à une définition médicale spécifique. Le terme "maladie expérimentale" peut faire référence à des études ou recherches scientifiques dans lesquelles des maladies sont simulées ou créées dans un laboratoire, généralement sur des animaux de laboratoire, pour mieux comprendre la pathogenèse, le développement et les traitements possibles d'une maladie. Cependant, il ne s'agit pas d'un terme médical standardisé. Si vous cherchez des informations sur une procédure ou un concept médical spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

Les encéphalopathies sont des troubles du fonctionnement cérébral qui peuvent être dus à diverses causes, telles que des infections, des intoxications, une privation d'oxygène, un traumatisme crânien ou une maladie métabolique. Elles se caractérisent par une altération de la conscience, de la cognition, de l'humeur, du comportement et de diverses fonctions cérébrales supérieures. Les encéphalopathies peuvent être aiguës ou chroniques et peuvent entraîner des séquelles neurologiques permanentes ou même le décès si elles ne sont pas traitées rapidement et efficacement.

Les encéphalopathies peuvent être classées en fonction de leur cause sous-jacente, par exemple :

* Encéphalopathie infectieuse : due à une infection virale ou bactérienne du cerveau, comme l'encéphalite herpétique ou la méningo-encéphalite.
* Encéphalopathie métabolique : due à un déséquilibre métabolique, comme l'encéphalopathie hypertensive ou l'encéphalopathie hépatique.
* Encéphalopathie toxique : due à une exposition à des substances toxiques, comme les métaux lourds ou les médicaments.
* Encéphalopathie hypoxique-ischemique : due à une privation d'oxygène ou une mauvaise circulation sanguine vers le cerveau.
* Encéphalopathie post-traumatique : due à un traumatisme crânien ou une commotion cérébrale.

Le diagnostic d'encéphalopathie repose sur l'anamnèse, l'examen clinique, les tests de laboratoire et les examens d'imagerie cérébrale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une oxygénothérapie, une dialyse ou une intervention chirurgicale.

La neurologie est une spécialité médicale qui se concentre sur l'étude du système nerveux et des maladies associées. Cela inclut le diagnostic et le traitement des conditions affectant le cerveau, la moelle épinière, les nerfs périphériques, les muscles et les organes sensoriels tels que les yeux et les oreilles. Les neurologues sont des médecins spécialement formés pour diagnostiquer et traiter une large gamme de conditions neurologiques, allant des maux de tête et des étourdissements aux accidents vasculaires cérébraux, à la sclérose en plaques, à la maladie de Parkinson et à d'autres troubles neurodégénératifs.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une confusion dans votre question. Le terme "Pentétrazole" ne correspond à aucun terme médical connu. Il est possible que vous ayez fait une erreur d'orthographe ou que vous vous référiez à un autre composé ou médicament. Veuillez vérifier l'orthographe et me fournir la bonne information afin que je puisse vous aider correctement.

En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.

La dominance cérébrale est un terme utilisé en neurologie et en psychologie pour décrire la tendance d'un individu à favoriser l'utilisation d'un côté de son cerveau par rapport à l'autre dans certaines fonctions cognitives. Cela ne signifie pas que l'hémisphère non dominant est inactif ou incapable, mais plutôt qu'il est moins prédominant dans le traitement des informations et la prise de décision.

Traditionnellement, on pense que le côté gauche du cerveau est plus associé aux fonctions logiques, analytiques, séquentielles et verbales, tandis que le côté droit est plus impliqué dans les processus créatifs, spatiaux, intuitifs et non verbaux. Cependant, il convient de noter que ces associations ne sont pas absolues et qu'il existe une grande variabilité interindividuelle.

La dominance cérébrale est généralement évaluée à travers des tests neuropsychologiques qui mesurent les préférences d'un individu pour certains types de tâches ou de stimuli. Bien que la dominance cérébrale ait été associée à certaines différences dans le traitement de l'information et le comportement, son rôle dans la détermination des aptitudes, des talents ou des performances est encore largement débattu et nécessite davantage de recherches.

L'amobarbital est un type de barbiturique, qui est une classe de médicaments dépresseurs du système nerveux central. Il est utilisé comme sédatif, hypnotique et anticonvulsivant. L'amobarbital agit en ralentissant l'activité du cerveau et en produisant un état de calme et de somnolence.

L'amobarbital est disponible sous forme de comprimés ou de solution injectable et est généralement utilisé à court terme pour traiter l'insomnie, la tension nerveuse et l'anxiété. Il peut également être utilisé avant les interventions chirurgicales pour aider à détendre les muscles et à produire une sédation.

Comme avec d'autres barbituriques, l'amobarbital comporte un risque élevé de dépendance et d'abus. Il peut également entraîner des effets secondaires graves tels que des étourdissements, une somnolence excessive, une confusion, une mauvaise coordination, des problèmes respiratoires et une pression artérielle basse. L'utilisation à long terme de l'amobarbital peut entraîner une tolérance, une dépendance physique et psychologique, ainsi que des symptômes de sevrage graves en cas d'arrêt soudain du médicament.

En raison de ces risques, l'utilisation de l'amobarbital est généralement réservée aux situations où les avantages thérapeutiques l'emportent sur les risques potentiels. Il ne doit être prescrit que par un médecin agréé et utilisé sous surveillance médicale stricte.

La résistance aux médicaments, également appelée résistance antimicrobienne, se produit lorsqu'un micro-organisme devient insensible à un médicament qui était auparavant efficace pour le traiter. Cela signifie que le médicament n'est plus capable de tuer ou d'inhiber la croissance du micro-organisme, ce qui peut entraîner des infections difficiles à traiter et potentially life-threatening.

La résistance aux médicaments peut être naturelle ou acquise. La résistance naturelle est lorsqu'un micro-organisme est intrinsèquement résistant à un certain médicament en raison de ses caractéristiques génétiques. D'autre part, la résistance acquise se produit lorsque le micro-organisme développe une résistance au fil du temps en raison d'une exposition répétée au même médicament.

La résistance aux antibiotiques est un type courant de résistance aux médicaments et constitue une préoccupation majeure en matière de santé publique dans le monde entier. Elle peut être causée par plusieurs mécanismes, tels que la modification des cibles du médicament, l'efflux accru de médicaments ou la production d'enzymes qui détruisent le médicament.

La résistance aux médicaments peut être prévenue ou retardée en utilisant des antibiotiques et d'autres agents antimicrobiens de manière appropriée et prudente, en évitant les surprescriptions et les sous-prescriptions, et en encourageant l'hygiène et la prévention des infections.

La cartographie cérébrale est une technique d'investigation utilisée en neurosciences pour représenter les fonctions cognitives, sensorielles et motrices spécifiques à différentes régions du cerveau. Elle permet de comprendre la relation entre l'anatomie cérébrale et la fonction cognitive. Cette méthode est particulièrement utile dans le domaine de la neurologie et de la neurochirurgie pour planifier des interventions chirurgicales délicates, comme l'ablation de tumeurs cérébrales ou l'implantation d'électrodes pour le traitement de l'épilepsie.

Les techniques de cartographie cérébrale incluent l'enregistrement des potentiels évoqués, la stimulation magnétique transcrânienne (TMS), la stimulation électrique transcrânienne (TES) et l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Chacune de ces méthodes a ses avantages et inconvénients, mais elles visent toutes à fournir une image détaillée des zones cérébrales actives pendant l'exécution de diverses tâches mentales ou physiques.

En résumé, la cartographie cérébrale est une approche essentielle pour comprendre le fonctionnement du cerveau et aider au diagnostic et au traitement des troubles neurologiques.

La magnétoencéphalographie (MEG) est une technique d'imagerie cérébrale non invasive qui enregistre et mesure les champs magnétiques produits par l'activité électrique des neurones dans le cerveau. Ces champs magnétiques sont extrêmement faibles, donc la MEG utilise des détecteurs très sensibles appelés superconducteurs quantiques à point critique (SQUIDs).

Contrairement aux autres techniques d'imagerie cérébrale telles que l'IRMf ou la tomographie par émission de positrons, qui mesurent indirectement l'activité neuronale en détectant des changements dans le flux sanguin ou l'oxygénation du sang, la MEG fournit une mesure directe de l'activité électrique des neurones.

La MEG est couramment utilisée en recherche et en clinique pour localiser avec précision les sources d'activité cérébrale anormale dans diverses conditions neurologiques et psychiatriques, telles que l'épilepsie, les accidents vasculaires cérébraux, les tumeurs cérébrales, la schizophrénie et les troubles du spectre autistique. Elle est également utilisée pour étudier les fonctions cognitives normales, telles que la perception auditive et visuelle, le langage et la mémoire.

Un syndrome, dans le contexte médical, est un ensemble de symptômes ou de signes cliniques qui, considérés dans leur globalité, suggèrent l'existence d'une pathologie spécifique ou d'un état anormal dans le fonctionnement de l'organisme. Il s'agit essentiellement d'un ensemble de manifestations cliniques qui sont associées à une cause sous-jacente commune, qu'elle soit connue ou inconnue.

Un syndrome n'est pas une maladie en soi, mais plutôt un regroupement de signes et symptômes qui peuvent être liés à différentes affections médicales. Par exemple, le syndrome métabolique est un ensemble de facteurs de risque qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète de type 2. Ces facteurs comprennent l'obésité abdominale, l'hypertension artérielle, l'hyperglycémie à jeun et les taux élevés de triglycérides et de faibles taux de HDL-cholestérol.

La définition d'un syndrome peut évoluer avec le temps, alors que la compréhension des mécanismes sous-jacents s'améliore grâce aux recherches médicales et scientifiques. Certains syndromes peuvent être nommés d'après les professionnels de la santé qui ont contribué à leur identification ou à leur description, comme le syndrome de Down (trisomie 21) ou le syndrome de Klinefelter (XXY).

Il est important de noter que la présence d'un syndrome ne permet pas toujours d'établir un diagnostic définitif, car plusieurs affections médicales peuvent partager des symptômes similaires. Cependant, l'identification d'un syndrome peut aider les professionnels de la santé à orienter le diagnostic et le traitement vers des causes probables ou à fournir des informations sur le pronostic et la prise en charge globale du patient.

La primidone est un anticonvulsivant, un type de médicament utilisé pour traiter l'épilepsie. Il fonctionne en réduisant l'excitation anormale des cellules cérébrales ou en ralentissant les impulsions nerveuses dans le cerveau.

La primidone est métabolisée dans le foie en deux autres anticonvulsivants, la phénylétatone et la phénylethylmalonamide. Ces métabolites, ainsi que la primidone elle-même, aident à contrôler les crises convulsives.

Ce médicament est souvent utilisé lorsque d'autres traitements anticonvulsivants se sont avérés inefficaces. Les effets secondaires courants de la primidone peuvent inclure la somnolence, la fatigue, des étourdissements, des maux de tête et des nausées.

Il est important de noter que la primidone peut interagir avec d'autres médicaments et substances, il est donc crucial d'informer votre médecin de tous les autres médicaments que vous prenez avant de commencer à prendre de la primidone.

Les récepteurs GABA-benzodiazépines sont des sites de liaison protéiques complexes qui se trouvent sur les neurones dans le cerveau et le système nerveux central. Ils forment une partie importante du système de transmission de signaux inhibiteurs dans le cerveau.

Le GABA (acide gamma-aminobutyrique) est un neurotransmetteur qui inhibe l'activité neuronale en réduisant la probabilité de dépolarisation et de déclenchement d'un potentiel d'action dans les neurones. Les benzodiazépines sont une classe de médicaments psychoactifs qui se lient aux récepteurs GABA-benzodiazépines et potentialisent l'activité du GABA en augmentant la fréquence des canaux chlorures ouverts, ce qui entraîne une hyperpolarisation de la membrane neuronale et une diminution de l'excitabilité.

Les récepteurs GABA-benzodiazépines sont composés de cinq sous-unités protéiques différentes (α, β, γ, δ, ε) qui s'assemblent pour former un complexe fonctionnel. Les benzodiazépines se lient spécifiquement aux sous-unités γ du récepteur, ce qui entraîne une modification de la conformation du récepteur et une augmentation de l'affinité du GABA pour son site de liaison.

Les benzodiazépines sont utilisées dans le traitement de diverses affections médicales, notamment l'anxiété, l'insomnie, les convulsions et les troubles musculaires squelettiques. Cependant, leur utilisation à long terme peut entraîner une dépendance physique et une tolérance, ce qui peut compliquer le sevrage et entraîner des symptômes de sevrage graves.

Les tests neuropsychologiques sont une évaluation structurée et standardisée d'une variété de fonctions cognitives et comportementales. Ils sont utilisés pour aider à diagnostiquer, évaluer la gravité et suivre les progrès des troubles du cerveau et du système nerveux, tels que les lésions cérébrales, les maladies neurodégénératives (comme la maladie d'Alzheimer), les troubles mentaux, les troubles d'apprentissage et les handicaps développementaux.

Les tests peuvent évaluer divers aspects de la cognition, y compris la mémoire, l'attention, le langage, la perception visuelle spatiale, les fonctions exécutives (comme la planification et la résolution de problèmes), et les capacités psychomotrices. Les professionnels de la neuropsychologie utilisent ces tests pour comprendre comment différentes régions du cerveau contribuent à ces fonctions et comment des dommages ou des maladies peuvent affecter le fonctionnement cognitif et comportemental.

Les résultats des tests neuropsychologiques sont souvent comparés aux normes établies pour des groupes d'âge, d'éducation et de sexe similaires pour interpréter les performances. Les professionnels de la santé peuvent utiliser ces informations pour élaborer des plans de traitement individualisés, suivre l'évolution de la maladie ou des blessures et déterminer l'aptitude à certaines tâches ou activités.

La sorcellerie ne fait pas partie des termes reconnus dans la médecine ou la science médicale. Il s'agit plutôt d'une croyance culturelle ou religieuse selon laquelle certaines personnes peuvent utiliser des forces surnaturelles ou magiques pour infliger du mal ou causer des événements indésirables. Ces croyances varient considérablement parmi différentes cultures et sociétés, et elles ne sont pas soutenues par la preuve scientifique. Dans un contexte médical, on s'efforcerait de comprendre les causes sous-jacentes des symptômes ou des préoccupations d'une personne en termes de processus physiologiques et mentaux établis, plutôt que d'attribuer des événements à la sorcellerie.

Les neurones, également connus sous le nom de cellules nerveuses, sont les unités fonctionnelles fondamentales du système nerveux. Ils sont responsables de la réception, du traitement, de la transmission et de la transduction des informations dans le cerveau et d'autres parties du corps. Les neurones se composent de trois parties principales : le dendrite, le corps cellulaire (ou soma) et l'axone.

1. Les dendrites sont des prolongements ramifiés qui reçoivent les signaux entrants d'autres neurones ou cellules sensoriques.
2. Le corps cellulaire contient le noyau de la cellule, où se trouvent l'ADN et les principales fonctions métaboliques du neurone.
3. L'axone est un prolongement unique qui peut atteindre une longueur considérable et transmet des signaux électriques (potentiels d'action) vers d'autres neurones ou cellules effectrices, telles que les muscles ou les glandes.

Les synapses sont les sites de communication entre les neurones, où l'axone d'un neurone se connecte aux dendrites ou au corps cellulaire d'un autre neurone. Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques libérées par les neurones pour transmettre des signaux à travers la synapse vers d'autres neurones.

Les neurones peuvent être classés en différents types en fonction de leur morphologie, de leurs propriétés électriques et de leur rôle dans le système nerveux. Par exemple :

- Les neurones sensoriels capturent et transmettent des informations sensorielles provenant de l'environnement externe ou interne vers le cerveau.
- Les neurones moteurs transmettent les signaux du cerveau vers les muscles ou les glandes pour provoquer une réponse motrice ou hormonale.
- Les interneurones sont des neurones locaux qui assurent la communication et l'intégration entre les neurones sensoriels et moteurs dans le système nerveux central.

Je suis désolé, mais la dénomination "fibres moussues de l'hippocampus" ne semble pas être une terminologie médicalement reconnue ou établie. Il est possible que vous ayez fait une erreur dans l'orthographe ou la formulation.

Cependant, les "fibres moussues" peuvent faire référence aux "fibres moussues de la substance blanche", qui sont des lésions cérébrales caractérisées par une accumulation anormale de protéines tau dans le cerveau. Ces fibres moussues sont souvent associées à des maladies neurodégénératives telles que la démence, la maladie d'Alzheimer et certaines formes de la maladie de Parkinson.

L'hippocampus est une structure cérébrale importante pour la mémoire et l'apprentissage. Les dommages à cette région peuvent entraîner des troubles de la mémoire et de la cognition. Si vous pouviez me fournir plus d'informations ou clarifier votre demande, je serais heureux de vous aider davantage.

La sclérose tubéreuse de Bourneville, également connue sous le nom de maladie de Bourneville-Pringle ou simplement de sclérose tubéreuse, est une maladie génétique rare et complexe qui affecte plusieurs organes du corps. Elle est causée par des mutations dans deux gènes spécifiques, TSC1 et TSC2, qui codent pour des protéines régulatrices de la croissance cellulaire.

Les manifestations cliniques de cette maladie peuvent varier considérablement d'un individu à l'autre, mais les signes les plus courants comprennent :

1. Lésions cutanées : apparition de taches cutanées pigmentées (naevus flammeus ou angiomes plans) et de plaques cutanées blanches (leucinocytoclastic vasculopathy).
2. Tumeurs bénignes : développement de tumeurs bénignes dans divers organes, telles que les reins (angiomyolipomes), le cerveau (tubers corticaux et sous-épendymaires) et le cœur (rhabdomyomes).
3. Épilepsie : présence d'une épilepsie réfractaire, souvent associée à des retards de développement intellectuel et moteur.
4. Troubles du comportement : apparition de troubles du comportement, tels que l'autisme ou le syndrome d'Asperger.
5. Autres complications : risque accru de développer des complications rénales, cardiaques, pulmonaires et ophtalmologiques.

Le diagnostic de la sclérose tubéreuse de Bourneville repose sur les critères cliniques, radiologiques et génétiques. Le traitement est multidisciplinaire et vise à prévenir et gérer les complications associées à cette maladie. Les options thérapeutiques comprennent des médicaments anticonvulsivants, une surveillance régulière des organes touchés, une intervention chirurgicale si nécessaire et un soutien psychologique pour les patients et leur famille.

Le néocortex est la partie la plus externe et la plus récente évolutivement du cortex cérébral dans le cerveau des mammifères. Il est responsable de hautes fonctions cognitives telles que la perception sensorielle, la génération de mouvements volontaires, la pensée spatiale, la conscience, la mémoire et le langage. Le néocortex est divisé en plusieurs lobes (frontal, pariétal, temporal et occipital) et contient des milliards de neurones organisés en six couches distinctes. Sa structure hautement plastique et ses propriétés d'apprentissage et de mémoire en font une zone cruciale pour la cognition et le comportement.

Les études de suivi, également appelées études de cohorte longitudinales, sont un type d'étude de recherche médicale ou de santé publique dans laquelle une population ou une cohorte initialement identifiée comme exposée ou non exposée à un facteur de risque particulier est surveillée au fil du temps pour déterminer l'incidence d'un événement de santé spécifique, tel qu'une maladie ou un décès.

L'objectif principal des études de suivi est d'établir une relation temporelle entre le facteur d'exposition et l'issue de santé en évaluant les participants à plusieurs reprises sur une période prolongée, ce qui permet de déterminer si l'exposition au facteur de risque entraîne des conséquences négatives sur la santé.

Les études de suivi peuvent fournir des informations importantes sur les causes et les effets des maladies, ainsi que sur les facteurs de risque et de protection associés à une issue de santé spécifique. Elles peuvent également être utiles pour évaluer l'efficacité et la sécurité des interventions de santé publique ou cliniques.

Cependant, il est important de noter que les études de suivi présentent certaines limites, telles que la perte de participants au fil du temps, qui peut entraîner un biais de sélection, et la possibilité d'un biais de rappel lorsque les données sont collectées par enquête. Par conséquent, il est essentiel de concevoir et de mettre en œuvre des études de suivi avec soin pour minimiser ces limites et garantir la validité et la fiabilité des résultats.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre demande. Le terme "Personnes Célèbres" ne fait pas partie de la terminologie médicale. Il s'agit plutôt d'un terme général utilisé pour décrire des individus qui sont largement reconnus et reçoivent une attention significative de la part du public, souvent en raison de leur succès dans des domaines tels que le divertissement, les sports, la politique, ou d'autres contributions remarquables à la société. Si vous cherchez une définition médicale pour un terme spécifique, veuillez me fournir l'information et je serai heureux de vous aider.

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