Anticorps trouver RHEUMATOID RHUMATOIDE patients adultes qui sont dirigées contre gamma-Chain immunoglobulines.
Une maladie systémique, chronique, principalement des articulations, marquée par des modifications inflammatoires dans les membranes synoviales et les structures articulaire, la généralisation fibrinoid dégénérescence de la fibre collagène dans les tissus mésenchymateuses, et par une atrophie des structures osseuses rarefaction. Et de l ’ étiologie est inconnu, mais auto-immune mécanismes ont été impliqués.
Une classe d ’ immunoglobuline portant mu chaînes (chaînes Lourdes Mu Des Immunoglobulines). IgM peut réparer COMPLEMENT. Le nom vient de son poids moléculaire élevé initialement être appelé un macroglobulin.
Le major isotype cours dans l ’ immunoglobuline humaine normale, il y a plusieurs sériques des IgG sous-classes isotype, par exemple, IgG1, anti-IgG2a et IgG2B.
Le complexe formé par la liaison des molécules. Des anticorps et la déposition de grands complexes antigen-antibody menant à l'abri provoque des lésions tissulaires complexe maladies.
Peptides dont les acides et carboxy extrémités sont liées avec une liaison peptidique formant une chaîne circulaire. Certains sont des agents anti-infectieux. Certains sont biosynthesized non-ribosomally (peptide la biosynthèse, NON-RIBOSOMAL).
Immunoglobulines anormale, surtout IGM ou IGG, qui précipitent spontanément quand sérum est refroidit au-dessus de 37 degrés Celsius. C'est typique d'une cryoglobulinémie.
Des anticorps réagir avec self-antigens (AUTOANTIGENS) de l'organisme.
Une maladie caractérisée par la présence de quantités anormales de Cryoglobuline dans le sang froid. Sur l ’ exposition, ces protéines anormaux précipité dans les microvaisseaux menant à mauvaise circulation dans les zones exposées.
Auto-anticorps dirigé contre différents antigènes nucléaire et d'ADN, l'ARN, acide histones protéines nucléaires, ou des complexes de ces éléments moléculaires. Anticorps antinucléaires sont retrouvées dans d ’ autres maladies auto- systémique, lupus érythémateux disséminé, sclérodermie, syndrome un sjögren polymyosite et mélangé connectivite.
Agglutination passive essais où antigène est adsorbé sur de latex des particules qui touffe en présence d'anticorps spécifique de l ’ antigène de surface (de Stedman, 26ème éditeur)
Des anticorps qui réagissent avec chacune des déterminants structurelles (idiotopes) sur la variable région d'autres anticorps.
Analyse basée sur le phénomène chimique, lumière, passant à travers un médium aux particules dispersés d'une autre de l'index de réfraction de celui de la discipline est atténuée par les disperse. Dans d ’ intensité Turbidimétrie, l'intensité de lumière transmis par l'intermédiaire, la lumière, se mesure unscattered. Dans nephelometry, l'intensité de la lumière est mesuré, mais pas nécessairement. À angle droit à l'incident rai de lumière.
Représente 15 à 20 % du taux sérique d ’ immunoglobulines humaines, principalement sous la 4-chain polymère chez l'homme ou dimère dans d'autres mammifères. Sécrétoires immunoglobuline A (IgA) constitue le principal, endomètre sécrétoire immunoglobulines chez sécrétions.
Genetically-controlled déterminants cadeau unique dont la spécificité d'anticorps est limitée à un seul groupe de protéines (par exemple, un autre anticorps molécule ou un individu protéines du myélome). La idiotype semble représenter la antigen-binding antigénicité du site de l'anticorps et d'être génétiquement codetermined avec. Le idiotypic déterminants était précisément localisé à l'immunoglobuline D 'OFFRES À région des deux immunoglobin polypeptide chaînes.
Nodules sous-cutanés observée chez 20 à 30 % des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde. Il s'agisse de n'importe où sur le corps, mais sont plus souvent observé sur les os prominences. Les nodules histologie se caractérise par des zones de dense avec nécrose due fibrinoid mèches et granulés, entourée par une palissade de cellules, principalement les fibroblastes et les histiocytes.
Maladie auto-immune inflammatoire chronique et dans laquelle les glandes salivaires et lacrymales subir progressiste destruction par les lymphocytes et plasmocytes entraînant une diminution de production de salive et de larmes. La forme primaire, appelé souvent sicca syndrome, kératoconjonctivite sicca concerne tous les deux et xerostomie. Le second formulaire comprend, outre la présence d ’ une maladie du tissu conjonctif, en général la polyarthrite rhumatoïde.
Le clair, un liquide visqueux sécrétée par la membrane synovial. Il contient Mucin, albumine, lipides et des sels minéraux et sert à lubrifier les articulations.
Médicaments utilisés pour traiter RHEUMATOID RHUMATOIDE.
Affections des tissus conjonctifs, surtout les articulations et de leurs structures, caractérisée par une inflammation, une dégénérescence, ou déséquilibre métabolique.
Des anticorps qui susciter Immunoprécipitation combiné avec l ’ antigène.
Une méthode immunosérologique utilisant un anticorps légendées avec une enzyme marqueur tels que le raifort peroxydase. Pendant que soit l ’ enzyme ou l ’ anticorps est lié à un immunosorbent substrat, ils conservent leur activité biologique ; la variation de l ’ activité enzymatique en conséquence de la réaction enzyme-antibody-antigen est proportionnelle à la concentration de l'antigène et peut être mesuré spectrophotometrically ou à l'œil nu. De variations du mode ont été développées.
L'arthrite est une inflammation des articulations qui peut entraîner des douleurs, des raideurs et une limitation du mouvement, avec plus de 100 types différents identifiés, dont les plus courants sont l'ostéoarthrite et la polyarthrite rhumatoïde. (source : American College of Rheumatology)
Crystallizable composé des fragments carboxy- terminaux tous les deux moitiés d'immunoglobuline lourde chaîne tous liés par disulfures obligations. FC fragments carboxy- terminaux contiennent les parties de la chaîne lourde constante des régions qui sont responsables des fonctions d'effecteurs une immunoglobuline (COMPLEMENT fixation, la liaison de la membrane cellulaire via FC récepteurs et transporter) placentaire. Ce fragment peuvent être obtenus sur des immunoglobulines avec la digestion de l'enzyme protéolytique PAPAIN.
Le dosage des taux de globules rouges dans anticoagulated reglement de sang.
La citrulline est un α-aminoacide non essentiel présent dans le corps, jouant un rôle dans le métabolisme de l'azote et synthétisé principalement dans les reins à partir de glutamine et de déchets du cycle de l'acide tricarboxylique, ainsi que dans d'autres tissus comme les entérocytes intestinaux.
Réactions sérologique dans lequel un antidote contre un antigène réagit avec un antigène non-jumelle mais étroitement liées.
Une qui est associé à d ’ antigènes HLA-DR, serrurerie HLA-DRB1 codée par DRB1 * 04 allèles.
Basé sur des tests sérologiques inactivation de complément par le complexe antigen-antibody (étape 1). La liaison de libre complément peut être visualisée par plus de seconde antigen-antibody système comme les globules rouges et globules rouges (anticorps approprié hemolysin) nécessitant complément à son perfectionnement (stade 2). Échec de la lyse de globules rouges indique qu ’ une réaction antigen-antibody spécifique a eu lieu au stade 1. Si les globules rouges lyse, libre complément restants antigen-antibody indiquant aucune réaction est survenue au stade 1.
Ce sérum gamma globulines migré dans la région (le plus chargé positivement) sur une électrophorèse. À un moment, gamma-globulins est venu pour être utilisé comme synonyme de immunoglobulines comme les immunoglobulines sont gamma globulines gamma globulines et inversement, la plupart sont des immunoglobulines. Mais comme des immunoglobulines présentant un alpha ou beta mobilité analyse électrophorétique, ce terme est en déclin.
Test positif résultats chez les sujets qui ne possèdent pas leur attribution pour lequel le test est effectuée. L'étiquetage de des sujets sains comme malade quand projection dans la détection de la maladie. (Hier, un dictionnaire d'épidémiologie, 2d éditeur)
La première composante complément à agir dans l'activation des COMPLEMENT bercer par cette voie. C'est un complexe calcium-dependent trimolecular composée de trois composantes : Complément C1Q ; COMPLEMENT C1R ; et COMPLEMENT C1S à 1 : 2 : 2 ratios. Quand le intacte C1 se lie à au moins deux des anticorps (impliquant C1Q), C1R et C1S sont séquentiellement activé, conduisant à étapes ultérieures de la cascade de COMPLEMENT ACTIVATION.
Arthrite des enfants, avec départ avant 16 ans. Les termes arthropathie idiopathique juvénile n) et d ’ arthrite juvénile idiopathique (AJI) polyarticulaire se référer à la classification des systèmes pour l'arthrite chronique chez les enfants. Seul sous-type d ’ arthrite (polyarticular-onset, la polyarthrite factor-positive adultes atteints de polyarthrite rhumatoïde) cliniquement ressemble à son enfance et est considérée comme équivalente.
La propriété des anticorps qui leur permet de réagir avec certains LES DÉTERMINANTS antigénique et pas avec les autres. La précision est dépendant de composition chimique, force physique et structure moléculaire au site de liaison.
Roentgenography d'un joint, généralement après injection de soit positive ou négative produit de contraste.
Tests de mesurer certains antigènes sensibles, des anticorps ou virus, en utilisant leur capacité à agglutinate certains les érythrocytes. (De Stedman, 26ème éditeur)
Endocarde infection qui est généralement due à Streptococcus. Endocardite infectieuse subaiguë évolue à travers semaines et mois avec modeste infection métastatique et rare.
Un sous-groupe de HLA-DRB beta chaînes qui comprend plus de cent allèle variantes. Le sous-type HLA-DRB1 est associé à plusieurs HLA-DR sous-types sérologique.
Inflammation de la membrane synovial. Elle est habituellement de douloureuses, et surtout sur la motion, et est caractérisée par une fluctuation de gonflements à cause de pleural dans un sac synovial. (Dorland, 27 e)
Immunoglobuline allelic variantes de la lumière (immunoglobulines chaînes légères de lourdes chaînes, serrurerie) ou (immunoglobulines lourde chaîne) codée par allèles en immunoglobuline gènes.
Allelic gamma-immunoglobulin variantes de la chaîne lourde (chaînes Lourdes Gamma Des Immunoglobulines) codée par allèles en immunoglobuline lourde chaîne gènes.
Trouble caractérisé par un syndrome associé à l ’ exposition lié à un antigène comme une drogue, l'agent infectieux ou aux autres avoirs ou substance endogène. Sa déposition et complexe immunitaire physiopathologie inclut un large intervalle d ’ hypersensibilité ou des lésions cutanées allergie est présent dans certains mais pas tous les cas.
Une sous-catégorie de HLA-D contiennent des antigènes alpha et bêta chaînes. L'héritage de antigènes HLA-DR diffère de celle du Hla-Dq antigènes et Hla-Dp antigènes.
Enzymes qui activer une ou plusieurs COMPLEMENT PROTEINS dans le système complément conduisant à la formation de la membrane COMPLEMENT ATTACK complexe, une importante réponse en hôte défense. Ils sont les enzymes dans les différents COMPLEMENT ACTIVATION voies.
Désordres qui se caractérise par la production d'anticorps réagir avec hôte de tissu ni effecteurs immunitaires autoreactive de cellules qui sont des peptides endogènes.
Multi-subunit fonctionner dans l'immunité des protéines qui ils sont produits par des lymphocytes B gènes de l'immunoglobuline. Ils sont composé de deux gros (immunoglobulines lourde chaîne) et deux chaînes légères de lumière (immunoglobuline, serrurerie) avec ancillary polypeptide chaînes supplémentaires selon leur isoformes. La variété des isoformes inclure protéines Monomériques ou chélateur polymérique du formes, et transmembranaires récepteurs des cellules B activées formulaires (antigène) ou sécrétés formes (anticorps). Ils sont classés par la séquence des aminoacides de leurs lourdes chaînes dans cinq classes (immunoglobuline A ; immunoglobuline D ; immunoglobuline E ; l ’ immunoglobuline G ; immunoglobuline M) et divers sous-classes.
Une protéine présente dans la paroi cellulaire de la plupart des souches de Staphylococcus aureus. La protéine se lie de façon sélective au région Fc de l ’ immunoglobuline humaine normale myeloma-derived G. C'lisses et l ’ activité d ’ anticorps et peut causer des réactions allergiques à cause de libération d ’ histamine ; a également été utilisé comme cellule Antigène de surface marqueur et en l ’ évaluation clinique de la fonction lymphocytaire B.
Aussi connu comme articulations, des connexions entre la fin de certains os, ou où les frontières d'autres os sont juxtaposées.
Historiquement, un groupe hétérogène de maladies aiguë et chronique, y compris polyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux disséminé, Sclérose systémique progressive, dermatomyosite, etc. ce classement tenait basé sur la notion que "collagène" représentait "du tissu conjonctif", mais avec le présent reconnaissance des différents types de collagène et les agrégats dérivés des entités comme distincts, le terme "collagène" maladies maintenant appartient exclusivement à ces hérité conditions dans lesquelles le principal défaut est au collagène au niveau génétique qui affecte la biosynthèse, post-translational modification, ou traitement extracellulaire directement. (De Cecil Le manuel de médecine, 19e Ed, p1494)
Paramètres biologiques et quantifiables mesurables (ex : Enzyme spécifique concentration, concentration hormone spécifique, gène spécifique phénotype dans une population distribution biologique), présence de substances qui servent à l ’ état de santé et de rapidité et physiology-related évaluations, tels que maladie risque, des troubles psychiatriques, environnement et ses effets, diagnostiquer des maladies, processus métaboliques, addiction, la gestation, le développement des cellules d ’ études, epidemiologic, etc.
Cellules lymphoïdes concerné par l'immunité humorale. Ils sont sans lendemain bursa-derived cellules identiques aux lymphocytes des oiseaux dans leur production d ’ immunoglobuline sur approprié stimulation.
Le plus grand de polypeptide chaînes comprenant immunoglobulines. Elles contiennent 450 à 600 acides aminés par chaîne, et ont des poids moléculaires de 51-72 kDa.
Cette région de la molécule d ’ immunoglobuline, qui varie en terme de séquence d ’ acides aminés et composition, et comprend le site de liaison pour un antigène spécifique. Elle se trouve à l ’ extrémité N-terminale des Fab fragment de l'immunoglobuline. Cela inclut hypervariable complémentarité régions (membres) et les régions. Cadre.
Sites surface locale sur des anticorps qui réagit avec des antigènes (antigènes sites déterminant galactogènes.) Ils sont formés à partir de parties de la variable régions de fragments Fab.
Les maladies articulaires sont des affections médicales qui affectent les articulations, causant une variété de symptômes tels que douleur, gonflement, raideur et limitation fonctionnelle, et peuvent inclure des conditions telles que l'arthrite, l'arthrose, la bursite, la tendinite et la goutte.
Une complication rare du traitement de la polyarthrite rhumatoïde avec une maladie auto-immune NEUTROPENIA ; et splénomégalie.
Une rechute inflammatoire, chronique, et souvent maladie multisystémique avec pathologie fébrile de tissu conjonctif, caractérisés principalement par l'implication de la peau, les articulations, des reins et serosal muqueuses d'étiologie inconnue, mais pense que cela représente une baisse des mécanismes de régulation du système auto-immune. La maladie est marquée par une large gamme de dysfonctionnement du système de taux élevé de sédimentation, et la formation de LE cellules du sang ou de la moelle osseuse.
Un subcomponent de complément C1, composé de six copies de trois chaînes polypeptide (A, B et C), chaque codée par un gène (C1QA ; C1QB ; C1QC). Ce complexe est organisé dans neuf sous-unités (six disulfide-linked en microtubules de A et B, et trois disulfide-linked homodimers de C). C1Q a des sites de liaison des anticorps (la chaîne lourde de l ’ immunoglobuline G ou immunoglobuline M). L ’ interaction entre C1Q et immunoglobuline active les deux proenzymes COMPLEMENT C1R et COMPLEMENT C1S, ainsi l ’ initiation de la cascade de COMPLEMENT ACTIVATION bercer COMPLEMENT via la voie.
Anticorps produits par un seul clone de cellules.
La syphilis acquis in utero et se manifestant par une des nombreuses caractéristiques dent (Hutchinson est dents) ou de malformations et de la syphilis cutanéo-muqueuse à la naissance ou peu après. Oculaire et changements neurologiques peuvent également survenir.
Les cours d ’ immunoglobulines trouvé dans une espèce d'animal. En homme il y a 9 classes qui migrent dans cinq groupes de Electrophoresis ; ils chaque lumière composée de deux et deux grosses chaînes de protéine, et chaque groupe n ’ a propriétés structurelles et fonctionnelles.
L'activation successives de la COMPLEMENT PROTEINS pour créer la membrane COMPLEMENT ATTACK COMPLEXE. Facteurs incluent l ’ initiation d ’ activation du complément antigen-antibody microbienne ou des complexes, antigènes de surface polysaccharides.
Sur un antigène pouvant interagir avec des anticorps spécifiques.
Inflammation de l'un des vaisseaux sanguins, y compris les principales ; VEINS ; et reste de la vascularisation système dans le corps.
Un équipe de diagnostic qui sont établis par différents critères appliqués de mesure de la gravité d'un patient est trouble.
Une technique en utilisant les anticorps présents pour identifier ou quantifying habituellement une substance. La substance d ’ être étudiés sert antigène tous les deux dans la production d'anticorps et dans le dosage des anticorps par le test substance.
Glycoprotéines sérique participant au mécanisme de défense de COMPLEMENT ACTIVATION hôte qui crée la membrane COMPLEMENT glycoprotéines ATTACK COMPLEXE. Parmi ceux-ci se trouvent dans les différents courants de l'activation du complément (bercer ; COMPLEMENT COMPLEMENT MONDIAL ; et Lectin COMPLEMENT voie).
Une glycoprotéine qui joue un rôle central dans les deux le classique et l'alternative voie de COMPLEMENT ACTIVATION. C3 peut être déchirée en COMPLEMENT C3A et COMPLEMENT C3B spontanément à basse altitude ou par C3 Convertase à haut niveau. Le plus petit fragment Anaphylatoxin et C3A est un médiateur de processus inflammatoires locales. Le plus gros fragment C3B se lie avec C3 Convertase pour former C5 Convertase.
C'est une souris inter-souches génétiquement prédisposés au développement de syndrome de lupus érythémateux systémique, qui a été retrouvé d'être cliniquement similaire à la maladie humaine. Il a été déterminé que ces souches porte une mutation du gène fas. Aussi, aux LMR / Lpr est un bon modèle pour étudier les déficits cognitifs et de comportements trouvé dans les maladies auto-immunes et l ’ efficacité d ’ agents immunosuppresseurs.
Un sous-groupe de Non-Receptor protéine tyrosine alcalines qui se manifeste par la présence d'un domaine catalytique N-terminal et un propeptide C-terminal Proline-Rich toi la sous-type alcalines est principalement exprimé de lymphocytes et joue un rôle clé dans l ’ inhibition de l ’ activation lymphocytaire T. Polymorphismes en aval du gène qui encode cette alcalines sous-type sont associés à une variété de désordres auto-immuns maladies.
Cellules artificiellement créé par fusion des lymphocytes activés avec cellules néoplasiques. L'hybride en résultant cellules sont clonés et produire des anticorps monoclonaux pur ou produits à lymphocytes T, identique à celle induite par le parent compétentes immunologiquement cellule.
Polypeptide chaînes, constitué de 211 à 217 acides aminés et ayant un poids moléculaire d'environ 22 kDa. Il y a deux principaux types de lumière chaînes, kappa, lambda. Deux Ig deux chaînes légères de lourdes chaînes lourdes immunoglobulines (Ig) ne pouvant faire une molécule d ’ immunoglobuline.
Une glycoprotéine qui est important dans l ’ activation de bercer par cette voie COMPLEMENT. Le C4 est fendu par la activé COMPLEMENT C1S dans COMPLEMENT C4A et COMPLEMENT C4B.
Un des types de lumière chaînes des immunoglobulines avec un poids moléculaire d'environ 22 kDa.
Un groupe hétérogène de, des troubles héréditaires, autres acquise, caractérisé par structure anormale ou fonction d 'un ou plusieurs des éléments du tissu conjonctif, c' est-à-dire, collagène, Elastin, ou le mucopolysaccharides.
Le type (et uniquement) espèces de RUBIVIRUS causant une infection aiguë chez l'homme, principalement par les enfants et jeunes adultes, les humains sont le seul hôte naturel. Un vivant, atténué vaccin est disponible pour la prophylaxie.
Tissu endogène électeurs qui ont la capacité d'interagir avec auto-anticorps et provoquer une réponse immunitaire.
Les gènes codant pour les différentes sous-unités des immunoglobulines, par exemple l'immunoglobuline lumière gènes alimentaire et l'immunoglobuline. La chaîne lourde gènes immunoglobuline pesante et légère... comme des gênes gênes sont présents dans les cellules germline. The completed gènes sont créés quand les segments sont battues et assemblée (Légère Lymphocyte B pendant la maturation Légère Lymphocyte B) la structure de Gene. Le gène segments de la lumière humaine et lourde chaîne germline gènes sont symbolisés V (variable), J ((constante et Michèle) et C). La chaîne lourde germline gènes ont une diversité segment D (supplémentaires).
Anomalies des protéines plasmatiques réfèrent à des variations quantitatives ou qualitatives dans la composition et les concentrations sériques des protéines plasmatiques, incluant l'albumine, les immunoglobulines, les protéines de phase aiguë et les protéines du complément, qui peuvent indiquer une variété de conditions pathologiques.
Test antigène de tissus en utilisant une méthode directe des anticorps, conjuguée avec la teinture fluorescente, DIRECTS (technique d ’ anticorps) ou indirect mode, par la formation de antigen-antibody complexe qui est ensuite étiquetés fluorescein-conjugated anti-immunoglobulin anticorps (technique d ’ anticorps fluorescentes, INDIRECT). Le tissu est a examiné par microscopie à fluorescence.

Le facteur rhumatoïde (FR) est un autoantigène, ce qui signifie qu'il s'agit d'une protéine normalement présente dans l'organisme qui est ciblée par le système immunitaire et déclenche une réponse immunitaire anormale. Dans le cas du facteur rhumatoïde, il s'agit d'anticorps (immunoglobulines) produits par le système immunitaire qui ciblent et se lient aux protéines appelées immunoglobulines G (IgG), qui sont également des anticorps.

Habituellement, les anticorps ne s'attaquent pas à d'autres anticorps dans l'organisme. Cependant, dans certaines conditions, comme la polyarthrite rhumatoïde, le système immunitaire peut produire des anticorps contre ses propres IgG, entraînant ainsi la production de facteur rhumatoïde.

Le facteur rhumatoïde est souvent présent dans les cas de polyarthrite rhumatoïde, une maladie auto-immune caractérisée par une inflammation chronique des articulations et d'autres tissus. Cependant, il peut également être détecté chez des personnes atteintes d'autres affections, telles que certaines infections, certains cancers et certaines maladies du foie. Par conséquent, la présence de facteur rhumatoïde ne confirme pas nécessairement un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde, mais elle peut indiquer une activation anormale du système immunitaire.

Le test du facteur rhumatoïde est généralement effectué en tant que test sanguin et mesure la quantité d'anticorps FR dans le sang. Un résultat positif pour le facteur rhumatoïde peut aider à soutenir un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde, mais il doit être combiné avec d'autres tests et évaluations cliniques pour confirmer le diagnostic.

L'arthrite juvénile est une maladie inflammatoire qui affecte les articulations des enfants et des adolescents. Elle peut également être appelée arthrite juvénile idiopathique (AJI). Cette forme d'arthrite provoque une douleur, un gonflement, une raideur et une chaleur dans les articulations touchées. Dans certains cas, elle peut entraîner une croissance anormale des os et des déformations articulaires permanentes si elle n'est pas traitée.

Les symptômes de l'arthrite juvénile peuvent varier en fonction de la forme spécifique de la maladie. Certaines formes ne concernent qu'une ou quelques articulations, tandis que d'autres peuvent affecter plusieurs articulations simultanément. Les symptômes peuvent également apparaître et disparaître de manière aléatoire.

Les causes exactes de l'arthrite juvénile ne sont pas encore complètement comprises, mais on pense qu'il s'agit d'une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire attaque les tissus sains des articulations. Les facteurs de risque comprennent une prédisposition génétique et certaines infections.

Le traitement de l'arthrite juvénile vise à soulager les symptômes, ralentir la progression de la maladie et prévenir les complications à long terme. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), des corticostéroïdes, des agents immunosuppresseurs et des biothérapies ciblées. La physiothérapie et l'exercice peuvent également être recommandés pour aider à maintenir la mobilité articulaire et renforcer les muscles autour des articulations touchées.

L'immunoglobuline M (IgM) est un type d'anticorps présent dans le sang et les fluides corporels. C'est la première ligne de défense du système immunitaire contre les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Les IgM sont les plus grands des anticorps et se lient aux antigènes (substances étrangères) pour aider à neutraliser ou éliminer ces menaces. Ils agissent en activant le système du complément, ce qui entraîne la destruction des cellules infectées ou cancéreuses. Les IgM sont produites par les plasmocytes, un type de globule blanc, en réponse à une infection aiguë. Cependant, leur concentration dans le sang diminue rapidement après la disparition de l'antigène.

L'immunoglobuline G (IgG) est un type d'anticorps, qui sont des protéines produites par le système immunitaire pour aider à combattre les infections et les agents pathogènes. L'IgG est la plus abondante et la plus diversifiée des cinq classes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM) trouvées dans le sang et les tissus corporels.

L'IgG est produite en réponse à la plupart des infections et joue un rôle crucial dans l'immunité humorale, qui est la composante du système immunitaire responsable de la production d'anticorps pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes. L'IgG peut traverser la barrière placentaire et offrir une protection passive contre certaines infections aux nourrissons pendant leurs premiers mois de vie.

L'IgG se compose de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, formant une molécule en forme de Y avec deux sites d'affinité pour les antigènes. Cela permet à l'IgG de se lier à plusieurs parties d'un agent pathogène, ce qui améliore sa capacité à neutraliser ou marquer les agents pathogènes pour une élimination ultérieure par d'autres cellules du système immunitaire.

L'IgG est également connue pour son rôle dans l'activation du complément, un groupe de protéines qui aident à éliminer les agents pathogènes et les cellules mortes ou endommagées. De plus, l'IgG peut activer certaines cellules immunitaires, comme les neutrophiles et les macrophages, pour faciliter la phagocytose (processus d'ingestion et de destruction des agents pathogènes).

En raison de sa longue demi-vie (environ 21 jours) et de son rôle important dans l'immunité humorale, l'IgG est souvent utilisée comme biomarqueur pour évaluer la réponse immunitaire à une vaccination ou une infection.

Le système immunitaire est un réseau complexe de cellules, tissus, et organes qui travaillent ensemble pour détecter et éliminer les agents pathogènes étrangers tels que les bactéries, virus, parasites, et champignons, ainsi que les cellules cancéreuses et autres substances nocives pour l'organisme. Il est divisé en deux parties principales: le système immunitaire inné et le système immunitaire adaptatif (également appelé système immunitaire acquis).

Le système immunitaire inné est la première ligne de défense contre les agents pathogènes. Il comprend des barrières physiques telles que la peau et les muqueuses, ainsi que des cellules et molécules qui peuvent détecter et éliminer rapidement les menaces sans avoir besoin d'une reconnaissance préalable.

Le système immunitaire adaptatif, quant à lui, est plus spécifique et sophistiqué. Il s'agit d'un système de défense qui apprend à reconnaître et à se souvenir des agents pathogènes spécifiques qu'il a déjà rencontrés, ce qui lui permet de monter une réponse plus rapide et plus efficace lors d'une future exposition. Ce système est divisé en deux parties: l'immunité humorale (ou immunité à médiation humorale), qui implique la production d'anticorps par les lymphocytes B, et l'immunité cellulaire (ou immunité à médiation cellulaire), qui implique l'activation des lymphocytes T pour détruire directement les cellules infectées ou cancéreuses.

Le terme "complexe immun" peut faire référence à l'ensemble du système immunitaire, mais il est souvent utilisé dans un contexte plus spécifique pour décrire des interactions complexes entre différentes cellules et molécules du système immunitaire qui sont importantes pour la reconnaissance, la régulation et la réponse aux agents pathogènes. Par exemple, le complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) est un ensemble de protéines présent sur la surface des cellules qui permettent la présentation d'antigènes aux lymphocytes T pour qu'ils puissent reconnaître et répondre aux agents pathogènes.

Les dépsipeptides sont un type de peptides, qui sont des chaînes d'acides aminés, dans lesquels un ou plusieurs résidus d'acides aminés sont remplacés par des esters d'acide hydroxycarboxylique. Cette structure chimique modifiée confère aux dépsipeptides une grande diversité de structures et de propriétés biologiques, ce qui les rend intéressants pour la recherche pharmaceutique et médicale.

Les dépsipeptides peuvent être produits naturellement par des organismes vivants, tels que des bactéries ou des champignons, ou synthétisés chimiquement en laboratoire. Certains dépsipeptides ont montré une activité antimicrobienne, antivirale, antifongique et anticancéreuse dans les études de laboratoire. Cependant, seuls quelques dépsipeptides ont été approuvés pour un usage clinique en médecine, tels que l'éphédrine et la vancomycine.

En raison de leur potentiel thérapeutique, les dépsipeptides continuent d'être étudiés pour le développement de nouveaux médicaments dans le traitement de diverses maladies.

Les cryoglobulines sont des protéines présentes dans le sang qui ont la particularité de précipiter lorsque la température corporelle baisse, c'est-à-dire qu'elles deviennent solides ou gélatineuses lorsqu'il fait froid. Elles peuvent être classées en trois types selon leur composition immunochimique. Les cryoglobulines de type I sont constituées d'une seule protéine monoclonale, souvent associées à des maladies malignes comme les myélomes ou les lymphomes. Les cryoglobulines de types II et III sont dites mixtes, contenant une combinaison d'immunoglobulines polyclonales et de composants du complément. Elles sont souvent associées à des maladies auto-immunes telles que la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé ou l'hépatite C.

La présence de cryoglobulines dans le sang peut entraîner une variété de symptômes, notamment des douleurs articulaires, des éruptions cutanées, des neuropathies périphériques et une insuffisance rénale. Le diagnostic repose sur la détection et l'identification des précipités cryoglobuliniques dans le sérum sanguin après réfrigération à 4°C pendant au moins 7 jours, suivie d'une analyse immunochimique pour en déterminer le type. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments immunosuppresseurs ou des thérapies ciblant spécifiquement les cryoglobulines.

Les auto-anticorps sont des anticorps produits par le système immunitaire qui ciblent et attaquent les propres cellules, tissus ou molécules d'un organisme. Normalement, le système immunitaire est capable de distinguer entre les substances étrangères (antigènes) et les composants du soi, et il ne produit pas de réponse immunitaire contre ces derniers.

Cependant, dans certaines conditions, telles que les maladies auto-immunes, le système immunitaire peut commencer à produire des auto-anticorps qui attaquent et détruisent les tissus sains. Les auto-anticorps peuvent être dirigés contre une grande variété de substances, y compris les protéines, les acides nucléiques, les lipides et les glucides.

La présence d'auto-anticorps dans le sang peut indiquer une maladie auto-immune sous-jacente ou une autre condition médicale. Les tests de dépistage des auto-anticorps sont souvent utilisés pour aider au diagnostic et à la surveillance des maladies auto-immunes telles que le lupus érythémateux disséminé, la polyarthrite rhumatoïde, la sclérodermie et la thyroïdite auto-immune.

Il est important de noter que la présence d'auto-anticorps ne signifie pas nécessairement qu'une personne a une maladie auto-immune ou va développer des symptômes associés à une telle maladie. Certains auto-anticorps peuvent être détectés chez des personnes en bonne santé, et d'autres conditions médicales peuvent également entraîner la production d'auto-anticorps. Par conséquent, les résultats des tests doivent être interprétés dans le contexte de l'histoire clinique et des symptômes du patient.

La cryoglobulinémie est une affection caractérisée par la présence anormale de certaines protéines, appelées cryoglobulines, dans le sang. Ces protéines ont la particularité de précipiter et de former des complexes immuns lorsqu'elles sont exposées à des températures froides.

Il existe trois types de cryoglobulinémies classifiés en fonction des anticorps impliqués dans la formation des complexes immuns :

1. Type I : Elle est associée à un seul type de monoclonal d'immunoglobulines, généralement de l'IgM, et est souvent liée à des maladies malignes telles que les gammapathies monoclonales ou les lymphomes.
2. Type II : Elle implique une combinaison d'immunoglobulines monoclonales (généralement IgM) et de polyclonales (IgG). Ce type est souvent associé à des infections chroniques, telles que l'hépatite C, ou à des maladies auto-immunes.
3. Type III : Elle est caractérisée par la présence exclusive d'immunoglobulines polyclonales (généralement IgG). Ce type est fréquemment associé à des maladies auto-immunes, telles que le lupus érythémateux disséminé ou la polyarthrite rhumatoïde.

Les symptômes de la cryoglobulinémie peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre et dépendent de la gravité de la maladie, du type de cryoglobulines impliquées et des organes touchés. Les manifestations courantes comprennent des éruptions cutanées purpuriques (petites taches rouges ou violettes) sur la peau, en particulier au niveau des extrémités exposées au froid ; des engourdissements, des picotements ou des douleurs dans les mains et les pieds ; une fatigue générale ; et des douleurs articulaires. Dans les cas plus graves, la cryoglobulinémie peut entraîner des complications telles que des lésions rénales, des neuropathies périphériques (dommages aux nerfs situés en dehors du cerveau et de la moelle épinière) ou une insuffisance cardiaque.

Le diagnostic de la cryoglobulinémie repose sur l'analyse sanguine des taux de cryoglobulines et sur l'identification du type de cryoglobulines présentes dans le sang. Le traitement dépend du type de cryoglobulines impliquées, de la gravité de la maladie et des organes touchés. Les options thérapeutiques peuvent inclure des médicaments immunosuppresseurs, tels que les corticostéroïdes ou le rituximab (un anticorps monoclonal qui cible les cellules B du système immunitaire), ainsi que des traitements spécifiques pour les complications associées à la cryoglobulinémie, telles que l'hémodialyse pour les lésions rénales.

Les anticorps antinucléaires (ANA) sont des auto-anticorps qui se dirigent contre les composants du noyau cellulaire. Ils peuvent être détectés dans le sérum sanguin d'un certain nombre de personnes atteintes de diverses maladies auto-immunes, y compris la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé et la sclérodermie.

Un test de dépistage des ANA est souvent utilisé comme un outil de dépistage pour ces maladies, bien que des résultats positifs ne signifient pas nécessairement qu'une personne a une maladie auto-immune. D'autres facteurs, tels que l'âge, le sexe et la prise de certains médicaments, peuvent également influencer les niveaux d'ANA.

Les ANA sont généralement détectés en utilisant une technique appelée immunofluorescence indirecte (IFL), qui implique l'utilisation d'un échantillon de sérum sanguin pour marquer les antigènes nucléaires sur une lame de tissu. Les résultats sont ensuite interprétés en fonction de la distribution et de l'intensité des marqueurs fluorescents.

Il est important de noter que les ANA peuvent également être présents chez des personnes en bonne santé, en particulier chez les personnes âgées. Par conséquent, un résultat positif doit toujours être interprété dans le contexte des antécédents médicaux et des symptômes d'une personne.

La réaction au latex est une réponse immunologique à certaines protéines présentes dans le caoutchouc naturel, qui peut provoquer des symptômes allergiques chez certaines personnes. Ces symptômes peuvent varier d'une légère irritation de la peau à une réaction anaphylactique sévère et potentiellement mortelle. Les professionnels de santé, les enfants souffrant d'spina bifida et ceux qui sont exposés au latex dans leur environnement de travail courent un risque plus élevé de développer une allergie au latex. Les réactions au latex peuvent être évitées en utilisant des alternatives sans latex et en prenant d'autres précautions telles que le port de gants en nitrile lors de l'exposition possible au latex.

Un anti-anticorps, également connu sous le nom d'anti-immunoglobuline ou d'anti-γ-globuline, est un type d'anticorps produit par le système immunitaire qui cible et se lie à des anticorps spécifiques. Les anti-anticorps sont généralement formés en réponse à une exposition préalable à des anticorps exogènes, tels que ceux trouvés dans les transfusions sanguines ou les greffes d'organes. Ils peuvent également être produits de manière anormale en raison de certaines maladies auto-immunes.

Les anti-anticorps sont souvent utilisés en médecine diagnostique pour identifier et mesurer la présence d'anticorps spécifiques dans le sang. Ils peuvent également être utilisés thérapeutiquement pour traiter certaines maladies auto-immunes, telles que le purpura thrombocytopénique idiopathique (PTI), en éliminant les anticorps pathogènes du sang.

Cependant, la présence d'anti-anticorps peut également entraîner des complications lors de transfusions sanguines ou de greffes d'organes, car ils peuvent provoquer une réaction immunitaire contre les propres anticorps du receveur. Par conséquent, il est important de dépister et de surveiller la présence d'anti-anticorps avant de procéder à de telles interventions médicales.

La néphélométrie et la turbidimétrie sont des méthodes de mesure de la quantité de particules présentes dans une solution. Bien que ces deux termes soient souvent utilisés de manière interchangeable, ils ont des différences subtiles dans leur technique de mesure.

La néphélométrie est une méthode qui mesure la lumière diffusée à un angle droit par rapport à la lumière incidente. Cette méthode est particulièrement sensible aux particules de taille uniforme et est couramment utilisée pour mesurer la concentration de protéines dans le sang ou l'urine, telles que la protéine C-réactive (CRP).

D'autre part, la turbidimétrie est une méthode qui mesure la réduction de l'intensité lumineuse totale à travers une solution contenant des particules. Cette méthode est moins sensible aux petites variations de taille des particules et est souvent utilisée pour mesurer la turbidité globale d'une solution, telle que l'eau ou les échantillons de sol.

Dans l'ensemble, ces deux techniques sont importantes dans le domaine médical pour diagnostiquer et surveiller diverses conditions pathologiques, y compris les maladies infectieuses, les maladies inflammatoires et les troubles rénaux.

L'immunoglobuline A (IgA) est un type d'anticorps présent dans le corps humain. Il s'agit d'une protéine essentielle du système immunitaire qui joue un rôle crucial dans la défense contre les infections. L'IgA se trouve principalement dans les sécrétions corporelles, telles que les larmes, la salive, le suc gastrique, le mucus des poumons et des voies respiratoires supérieures, ainsi que les fluides génitaux et les sécrétions intestinales.

Il existe deux sous-types d'IgA : l'IgA1 et l'IgA2. L'IgA1 est la forme prédominante dans le sang et les sécrétions, tandis que l'IgA2 est plus abondante dans les muqueuses des voies respiratoires inférieures et du tractus gastro-intestinal.

L'IgA agit en se liant aux antigènes, tels que les bactéries, les virus et les toxines, pour empêcher leur adhésion et leur pénétration dans les muqueuses. Cela contribue à prévenir l'infection et l'inflammation des tissus environnants. De plus, l'IgA peut également neutraliser directement certains agents pathogènes en inhibant leur capacité à se répliquer ou à provoquer une infection.

En résumé, l'immunoglobuline A est un anticorps essentiel qui contribue à la défense immunitaire contre les infections en se liant aux agents pathogènes et en empêchant leur adhésion et pénétration dans les muqueuses.

L'idiotype d'une immunoglobuline est la région variable unique de la chaîne lourde et légère des anticorps qui confère à ces molécules leur spécificité antigénique. Cette région varie considérablement entre différents clones d'immunoglobulines et peut être reconnue par des anticorps dirigés contre elle, appelés anti-idiotypes.

L'étude des idiotypes a été importante dans la compréhension de la reconnaissance antigénique et de la régulation du système immunitaire. Les idiotypes peuvent être utilisés comme marqueurs pour identifier et caractériser différents clones d'immunoglobulines, ce qui est particulièrement utile dans l'étude des maladies auto-immunes et des processus tumoraux.

Les vaccins anti-idiotypiques ont également été développés pour cibler les idiotypes spécifiques de certaines immunoglobulines pathologiques, tels que ceux trouvés dans certains types de cancer ou de maladies auto-immunes. Ces vaccins visent à stimuler la production d'anticorps dirigés contre l'idiotype, qui peuvent alors aider à contrôler la maladie.

Un nodule rhumatoïde est une masse ferme et bien délimitée, généralement située sous la peau et dans les tissus environnants. Ces nodules sont composés de tissu conjonctif anormal et d'une accumulation de cellules inflammatoires. Ils sont souvent associés à la polyarthrite rhumatoïde, une maladie auto-immune qui affecte les articulations, mais peuvent également être observés dans d'autres affections telles que certaines maladies vasculaires et infections. Les nodules rhumatoïdes se forment le plus souvent aux sites d'appui, comme les coudes, les genoux, les mains et les pieds, bien qu'ils puissent apparaître n'importe où sur le corps. Bien que ces nodules soient généralement indolores, leur présence peut être un indicateur de l'activité et de la gravité de la polyarthrite rhumatoïde.

Le syndrome de Gougerot-Sjögren (SGS) est un trouble auto-immun caractérisé par une sécheresse excessive des yeux et de la bouche due à une inflammation des glandes lacrymales et salivaires. Ce syndrome peut également affecter d'autres glandes et tissus du corps, entraînant une variété de symptômes.

Les symptômes oculaires typiques comprennent une sensation de brûlure, de picotement ou de sable dans les yeux, une rougeur des yeux et une sensibilité accrue à la lumière. Les symptômes buccaux peuvent inclure une sécheresse extrême de la bouche et de la langue, une sensation de brûlure ou de gonflement de la langue, une difficulté à avaler et à mâcher des aliments secs, et une augmentation de la carie dentaire.

Le syndrome de Gougerot-Sjögren peut également affecter d'autres organes du corps, entraînant des symptômes tels que la fatigue, les douleurs articulaires, les éruptions cutanées, les problèmes pulmonaires et rénaux. Dans de rares cas, il peut également causer des complications neurologiques.

La cause exacte du syndrome de Gougerot-Sjögren est inconnue, mais on pense qu'il est dû à une réaction anormale du système immunitaire qui attaque et endommage les glandes productrices de liquides dans le corps. Le diagnostic est généralement posé sur la base des antécédents médicaux, d'un examen physique et de tests de laboratoire spécifiques.

Le traitement du syndrome de Gougerot-Sjögren vise à soulager les symptômes et peut inclure des substituts artificiels de larmes et de salive, des médicaments anti-inflammatoires, des immunosuppresseurs et des analgésiques. Dans certains cas, une thérapie physique ou une intervention chirurgicale peuvent être recommandées pour traiter les complications du syndrome de Gougerot-Sjögren.

La synoviale est une membrane qui tapisse les articulations mobiles dans le corps humain. Elle a deux parties fonctionnellement distinctes : la membrane synoviale proprement dite et la capsule articulaire. La membrane synoviale produit un liquide, appelé liquide synovial, qui lubrifie la surface des articulations et réduit ainsi la friction lors des mouvements. Cette membrane fine et délicate a également un rôle immunologique, protégeant l'articulation contre les infections et les agents étrangers. Des anomalies ou des maladies de cette membrane, telles que l'inflammation (synovite), peuvent entraîner des douleurs, un gonflement et une limitation du mouvement articulaire.

Les anti-rhumatismaux sont un groupe de médicaments utilisés pour traiter les affections rhumatismales, telles que la polyarthrite rhumatoïde, le rhumatisme psoriasique et l'arthrose. Il existe deux types principaux d'anti-rhumatismaux :

1. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) : Ces médicaments aident à soulager la douleur, l'enflure et la raideur articulaires en réduisant l'inflammation. Ils comprennent des médicaments couramment utilisés tels que l'ibuprofène, le naproxène et le diclofénac.
2. Les médicaments modificateurs de la maladie rhumatismale (DMARD) : Ces médicaments sont utilisés pour traiter les affections rhumatismales plus graves et aident à ralentir ou à prévenir les dommages articulaires. Ils comprennent des médicaments tels que le méthotrexate, le léflunomide, la sulfasalazine et l'hydroxychloroquine.

Certains anti-rhumatismaux peuvent également être utilisés pour traiter d'autres affections, telles que la colite ulcéreuse et la maladie de Crohn. Les effets secondaires des anti-rhumatismaux dépendent du type de médicament et peuvent inclure des maux d'estomac, des nausées, des vomissements, des diarrhées, des éruptions cutanées, des étourdissements et une augmentation du risque de saignements ou d'infections. Il est important de suivre les instructions de dosage et de prendre les médicaments sous la surveillance d'un médecin pour minimiser les risques d'effets secondaires graves.

Les rhumatismes sont un terme général utilisé en médecine pour décrire des affections affectant le système musculo-squelettique, c'est-à-dire les os, les articulations, les muscles, les tendons et les ligaments. Ils peuvent causer de la douleur, de la raideur, de l'inflammation et une limitation du mouvement. Les rhumatismes comprennent un large éventail de conditions, allant des maladies dégénératives telles que l'arthrose aux maladies inflammatoires comme la polyarthrite rhumatoïde. Certains types de rhumatismes peuvent également affecter d'autres organes du corps. Il est important de noter que les rhumatismes ne sont pas contagieux.

Je suis désolé, mais le terme "précipitine" n'est plus utilisé en médecine et en immunologie. Il s'agissait autrefois d'un terme pour décrire une protéine présente dans le sérum qui peut précipiter avec un antigène spécifique, ce qui indiquerait la présence d'une réponse immune humorale à cet antigène. Cependant, il est désormais plus courant d'utiliser les termes "anticorps" ou "immunoglobulines" pour décrire ces molécules. Si vous avez des questions sur les anticorps ou l'immunologie en général, n'hésitez pas à me les poser.

ELISA est l'acronyme pour "Enzyme-Linked Immunosorbent Assay". Il s'agit d'un test immunologique quantitatif utilisé en médecine et en biologie moléculaire pour détecter et mesurer la présence d'une substance antigénique spécifique, telle qu'un anticorps ou une protéine, dans un échantillon de sang ou d'autres fluides corporels.

Le test ELISA fonctionne en liant l'antigène ciblé à une plaque de wells, qui est ensuite exposée à des anticorps marqués avec une enzyme spécifique. Si l'antigène ciblé est présent dans l'échantillon, les anticorps se lieront à l'antigène et formeront un complexe immun. Un substrat pour l'enzyme est ensuite ajouté, ce qui entraîne une réaction enzymatique qui produit un signal colorimétrique ou luminescent détectable.

L'intensité du signal est directement proportionnelle à la quantité d'antigène présente dans l'échantillon, ce qui permet de mesurer la concentration de l'antigène avec une grande précision et sensibilité. Les tests ELISA sont largement utilisés pour le diagnostic de diverses maladies infectieuses, y compris les infections virales telles que le VIH, l'hépatite B et C, et la syphilis, ainsi que pour la détection d'allergènes et de marqueurs tumoraux.

L'arthrite est une maladie inflammatoire qui affecte les articulations. Elle peut causer des douleurs, des raideurs, de l'enflure et une limitation du mouvement dans les articulations touchées. Il existe plusieurs types d'arthrite, dont la plus courante est l'ostéoarthrite, qui est causée par l'usure normale ou accélérée du cartilage des articulations avec le temps. D'autres types communs d'arthrite comprennent la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé et la goutte.

Le traitement de l'arthrite dépend du type et de la gravité de la maladie. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments anti-inflammatoires, des analgésiques, des corticostéroïdes, des suppléments de calcium et de vitamine D, de la physiothérapie, de l'exercice et, dans certains cas, une intervention chirurgicale. Dans tous les cas, il est important de travailler avec un médecin pour élaborer un plan de traitement adapté à vos besoins spécifiques.

Les fragments Fc d'immunoglobulines sont des portions structurales constantes des molécules d'immunoglobulines (anticorps), qui jouent un rôle crucial dans l'activation du système immunitaire et l'élimination des agents pathogènes. Les fragments Fc sont composés de deux chaînes lourdes et peuvent se lier à divers récepteurs Fc et protéines effectrices, telles que les lectines et les protéines de la classe Fc, pour initier une variété de réponses immunitaires.

Les fragments Fc des immunoglobulines peuvent être séparés des parties variables antigéniques (Fab) par digestion enzymatique, ce qui permet d'isoler et d'étudier leurs fonctions spécifiques dans la modulation de l'activité immunitaire. Les fragments Fc présentent des propriétés biochimiques uniques, telles que la capacité à se lier aux récepteurs Fc sur les cellules immunitaires et à activer la phagocytose, la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps (ADCC) et la libération de médiateurs inflammatoires.

Dans un contexte clinique, les fragments Fc peuvent être utilisés dans le développement de thérapies immunologiques ciblées pour traiter diverses affections pathologiques, telles que les infections, l'inflammation et les maladies auto-immunes. Par exemple, des fragments Fc d'immunoglobulines spécifiquement conçus peuvent être utilisés pour neutraliser les toxines bactériennes ou virales, bloquer la signalisation inflammatoire excessive ou favoriser l'élimination des cellules anormales par le système immunitaire.

En résumé, les fragments Fc d'immunoglobulines sont des composants structuraux et fonctionnels importants des anticorps qui jouent un rôle crucial dans la régulation de l'activité du système immunitaire et peuvent être exploités pour le développement de thérapies ciblées dans diverses applications cliniques.

La vitesse de sédimentation des globulines, ou VSG, est un test de laboratoire utilisé en médecine pour évaluer l'inflammation dans le corps. Il mesure la rapidité avec laquelle les globulines, un type de protéine présent dans le sang, se déposent au fond d'un tube à essai lors du repos.

Lorsque l'inflammation est présente dans le corps, les protéines de phase aiguë, y compris certaines globulines, sont produites en plus grande quantité et peuvent entraîner une augmentation de la vitesse à laquelle ces protéines se déposent. Par conséquent, une VSG élevée peut indiquer la présence d'une inflammation ou d'une maladie sous-jacente.

Cependant, il est important de noter que la VSG n'est pas spécifique à une maladie particulière et qu'elle peut être affectée par de nombreux facteurs, tels que l'âge, le sexe, l'obésité et d'autres conditions médicales. Par conséquent, les résultats de la VSG doivent être interprétés en conjonction avec d'autres tests diagnostiques et les antécédents médicaux du patient.

La citrulline est un α-aminoacide non essentiel, ce qui signifie qu'il peut être produit par l'organisme. Il joue un rôle important dans le cycle de la urea, un processus métabolique qui aide à éliminer l'ammoniac du corps. La citrulline est convertie en arginine, un autre acide aminé, qui à son tour est transformée en nitrite d'oxyde, un neurotransmetteur et vasodilatateur.

La citrulline est présente dans certains aliments comme la pastèque, les melons, la courge, les produits laitiers et la viande. Elle peut également être trouvée sous forme de supplément nutritionnel. Dans le contexte médical, des suppléments de citrulline peuvent être utilisés pour traiter certaines affections telles que la dysfonction érectile, la fatigue chronique et les maladies cardiovasculaires. Cependant, les preuves scientifiques à l'appui de ces utilisations sont encore limitées et des recherches supplémentaires sont nécessaires.

Une réaction croisée, dans le contexte de l'allergologie, se réfère à une réponse immunologique adverse qui se produit lorsqu'un individu allergique est exposé à des antigènes (substances étrangères) qui sont différents de ceux qui ont initialement déclenché la sensibilisation du système immunitaire. Cependant, ces nouveaux antigènes partagent des similitudes structurales avec les allergènes d'origine, provoquant une réponse immunitaire croisée.

Dans le mécanisme de cette réaction, les IgE (immunoglobulines E), qui sont des anticorps spécifiques produits par le système immunitaire en réponse à l'exposition initiale à un allergène, se lient aux récepteurs des mast cells (cellules mésentériques) et des basophiles. Lors d'une exposition ultérieure à un antigène similaire, ces IgE reconnaissent l'antigène étranger et déclenchent la dégranulation des cellules, entraînant la libération de médiateurs chimiques tels que l'histamine.

Ces médiateurs provoquent une cascade de réactions physiologiques qui aboutissent aux symptômes typiques d'une réaction allergique, tels que des démangeaisons, un écoulement nasal, des éternuements, une respiration sifflante et, dans les cas graves, un choc anaphylactique.

Les exemples courants de réactions croisées incluent la sensibilité aux pollens de certains arbres, herbes et mauvaises herbes, qui peut entraîner des réactions allergiques à certains aliments crus comme les pommes, les carottes, le céleri ou les noix. Cette condition est souvent appelée syndrome d'allergie orale (SAC). Une autre forme courante de réaction croisée se produit entre les allergies au latex et certains aliments tels que l'avocat, la banane, le kiwi et le châtaignier.

L'antigène HLA-DR4 est un type spécifique d'antigène leucocytaire humain (HLA) qui se trouve à la surface des cellules. Les antigènes HLA sont des protéines qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire, en aidant à distinguer les cellules de l'organisme des cellules étrangères ou infectées.

Le gène HLA-DR4 est situé sur le chromosome 6 et code pour une protéine qui se trouve à la surface des cellules présentatrices d'antigènes, telles que les cellules dendritiques et les lymphocytes B. Ces cellules présentent des antigènes aux lymphocytes T, ce qui déclenche une réponse immunitaire si un antigène étranger est détecté.

L'antigène HLA-DR4 est associé à un risque accru de développer certaines maladies auto-immunes, telles que la polyarthrite rhumatoïde et le diabète de type 1. Cependant, il convient de noter que la présence de l'antigène HLA-DR4 ne signifie pas nécessairement que la personne développera une maladie auto-immune, car d'autres facteurs génétiques et environnementaux peuvent également jouer un rôle.

La réaction de fixation du complément, également connue sous le nom de réaction classique du complément, est un processus dans le système immunitaire qui se produit lorsque un antigène, tel qu'un anticorps ou une protéine du complément, se lie à un anticorps déjà présent sur la surface d'une cellule cible. Cela entraîne une cascade de réactions enzymatiques qui aboutissent à la liaison et à l'activation des composants du système du complément, ce qui entraîne la lyse (la destruction) de la cellule cible.

Le processus de fixation du complément est important dans l'immunité humorale et joue un rôle clé dans la défense de l'hôte contre les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus. Cependant, il peut également contribuer au développement de maladies auto-immunes et d'inflammation lorsque le système immunitaire cible à tort des cellules et des protéines du soi.

La réaction de fixation du complément se produit en plusieurs étapes. Tout d'abord, un anticorps se lie à un antigène spécifique sur la surface de la cellule cible. Ensuite, le fragment cristallisable (Fc) de l'anticorps se lie aux protéines du complément, telles que le C1, le C4 et le C2, qui sont présentes dans le sérum sanguin. Cette liaison active les protéases du complément, ce qui entraîne la formation d'un complexe d'attaque membranaire (C5b-9) qui perfore la membrane de la cellule cible et provoque sa lyse.

La réaction de fixation du complément peut être mesurée en laboratoire en utilisant des tests tels que le test CH50, qui mesure l'activité globale du système du complément, et le test AH50, qui mesure la capacité d'un échantillon de sérum à inhiber la réaction de fixation du complément. Des niveaux anormaux de ces tests peuvent indiquer une activation excessive ou insuffisante du système du complément, ce qui peut être associé à un certain nombre de maladies auto-immunes et inflammatoires.

Les gammaglobulines, également connues sous le nom d'immunoglobulines G (IgG), sont un type d'anticorps qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire humain. Elles sont produites par les plasmocytes, qui sont des cellules dérivées des lymphocytes B.

Les gammaglobulines sont la plus grande classe d'immunoglobulines et représentent environ 75 à 80% de toutes les immunoglobulines dans le sérum humain. Elles sont présentes dans le sang, la lymphe et les tissus conjonctifs de l'organisme.

Les gammaglobulines ont plusieurs fonctions importantes, notamment :

1. La neutralisation des toxines et des virus en se liant à eux et en empêchant leur interaction avec les cellules humaines.
2. L'activation du complément, ce qui permet de détruire les bactéries et les cellules infectées.
3. La facilitation de la phagocytose, où les gammaglobulines se lient aux antigènes à la surface des bactéries, ce qui permet aux globules blancs de les détecter et de les détruire plus facilement.
4. La protection contre les infections en fournissant une immunité passive aux nourrissons via le placenta et aux personnes qui ont reçu des injections d'immunoglobulines.

Les gammaglobulines sont souvent utilisées dans le traitement de diverses affections, telles que les déficits immunitaires primaires et secondaires, les infections bactériennes et virales récurrentes, les maladies auto-immunes et les troubles neurologiques.

Une réaction faussement positive, dans le contexte des tests diagnostiques en médecine, se réfère à un résultat de test qui indique la présence d'une condition ou substance particulière, alors qu'en réalité, cette condition ou substance n'est pas présente. Cela peut se produire en raison de divers facteurs, tels que des erreurs de procédure lors de l'exécution du test, des interférences avec les composants du échantillon ou du réactif du test, ou des caractéristiques propres à la personne testée (par exemple, certains médicaments ou conditions médicales préexistantes). Les faux positifs peuvent conduire à des diagnostics incorrects et à des traitements inappropriés, il est donc important de les confirmer ou d'infirmer avec d'autres tests ou méthodes diagnostiques.

Le complément C1 est la première protéine du système du complément à être activée dans la voie classique du système immunitaire. Il s'agit d'un complexe protéique composé de trois sous-unités : C1q, C1r et C1s. Lorsqu'il est activé par un complexe antigène-anticorps, le complément C1 joue un rôle crucial dans la destruction des cellules infectées ou cancéreuses en déclenchant une cascade d'activation de protéines qui aboutit à la formation du membrane attack complex (MAC), capable de perforer la membrane plasmique des cellules cibles et entraîner leur lysis. Une dérégulation ou un dysfonctionnement du complément C1 peut contribuer au développement de diverses pathologies, telles que les maladies auto-immunes, les infections et le cancer.

La arthritis juvenil (JIA) es una enfermedad inflamatoria que afecta a las articulaciones y ocurre en los niños menores de 16 años. Es una categoría general que incluye varios tipos diferentes de artritis que pueden presentarse en la infancia, cada uno con síntomas y resultados potencialmente diferentes. Los síntomas comunes de JIA incluyen hinchazón, rigidez y dolor en las articulaciones, especialmente por la mañana o después de períodos de inactividad. Otras características pueden incluir fiebre, erupciones cutáneas y fatiga.

El tipo más común de JIA es la oligoarticular, que afecta a cuatro o menos articulaciones. Por lo general, afecta las articulaciones grandes, como las rodillas y los tobillos. Los niños con este tipo de JIA pueden tener un mayor riesgo de desarrollar enfermedades oculares asociadas, como iritis.

Otro tipo común es la artritis poliarticular, que afecta a cinco o más articulaciones. Por lo general, involucra articulaciones pequeñas, como las de las manos y los pies. Algunos niños con este tipo de JIA tienen un factor reumatoide positivo en la sangre, lo que sugiere una mayor actividad inflamatoria y un mayor riesgo de desarrollar daño articular permanente.

El tercer tipo principal es la artritis sistémica, que afecta a todo el cuerpo e involucra fiebre alta, erupción cutánea y dolor en las articulaciones. A menudo se asocia con inflamación de los órganos internos, como el corazón y el hígado.

El tratamiento de la artritis juvenil generalmente implica una combinación de medicamentos, fisioterapia y cambios en el estilo de vida. Los medicamentos recetados pueden incluir antiinflamatorios no esteroideos (AINE), corticosteroides y fármacos modificadores de la enfermedad (DMARD). La fisioterapia puede ayudar a mantener la fuerza y el rango de movimiento de las articulaciones, mientras que los cambios en el estilo de vida pueden incluir una dieta saludable y el manejo del estrés.

En general, el pronóstico de la artritis juvenil varía según el tipo y la gravedad de la enfermedad. Algunos niños experimentan síntomas leves que se resuelven por completo con el tiempo, mientras que otros pueden desarrollar daño articular permanente o complicaciones graves. El tratamiento temprano y agresivo puede ayudar a prevenir complicaciones y mejorar los resultados generales.

La spécificité des anticorps, dans le contexte de l'immunologie et de la médecine, se réfère à la capacité d'un type particulier d'anticorps à se lier uniquement à une cible ou à un antigène spécifique. Cela signifie qu'un anticorps spécifique ne réagira et ne se liera qu'avec un épitope ou une structure moléculaire particulière sur l'antigène, à l'exclusion de tous les autres antigènes ou épitopes.

Cette propriété est cruciale dans le diagnostic et la thérapie des maladies, en particulier dans le domaine des tests sérologiques pour détecter la présence d'anticorps spécifiques contre un pathogène donné. Par exemple, dans les tests de dépistage du VIH, des anticorps spécifiques au virus du sida sont recherchés pour confirmer une infection.

En outre, la spécificité des anticorps est également importante en thérapie, où des anticorps monoclonaux hautement spécifiques peuvent être générés pour cibler et traiter des maladies telles que le cancer ou les maladies auto-immunes. Ces anticorps sont conçus pour se lier uniquement aux cellules cancéreuses ou aux molécules impliquées dans la maladie, minimisant ainsi les dommages collatéraux sur les cellules saines.

En résumé, la spécificité des anticorps est un concept clé en immunologie et en médecine, qui décrit la capacité d'un type particulier d'anticorps à se lier de manière sélective à une cible ou à un antigène spécifique. Cette propriété est essentielle pour le diagnostic et le traitement des maladies.

L'arthrographie est une procédure d'imagerie diagnostique qui consiste à injecter une solution de contraste dans une articulation pour permettre une visualisation plus claire et détaillée des structures internes de cette articulation, telles que les ligaments, les ménisques, les tendons et le cartilage. Cette procédure est souvent utilisée pour évaluer les causes de douleurs articulaires, de gonflements ou de limitations de mouvement.

L'arthrographie peut être réalisée en utilisant différentes techniques d'imagerie, telles que la radiographie, la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM). Avant l'examen, le patient peut recevoir une anesthésie locale pour minimiser l'inconfort de l'injection de la solution de contraste.

Après l'injection, le patient est invité à bouger doucement l'articulation pour répartir uniformément la solution de contraste. Des images sont ensuite capturées pour examiner les structures articulaires en détail. Les images obtenues peuvent aider les médecins à diagnostiquer des problèmes tels que les déchirures ligamentaires, les lésions cartilagineuses ou les désalignements articulaires.

Dans l'ensemble, l'arthrographie est une procédure sûre et efficace qui peut fournir des informations importantes pour aider à poser un diagnostic précis et à planifier un traitement approprié pour les problèmes articulaires.

L'hémagglutination est une réaction dans laquelle des hématies (globules rouges) s'agglutinent ou se regroupent ensemble, formant des grappes visibles à l’œil nu. Cette réaction est souvent utilisée en laboratoire pour le diagnostic de diverses maladies infectieuses telles que la grippe, les infections à streptocoques et certaines formes d'hépatite.

Dans ce processus, des anticorps spécifiques se lient aux antigènes situés sur la surface des hématies, créant ainsi une agglutination. Les antigènes peuvent être des protéines ou des polysaccharides présents à la surface des globules rouges infectés par un agent pathogène particulier. Lorsque ces antigènes rencontrent les anticorps correspondants dans un milieu liquide, ils se lient et entraînent l'agglutination des hématies.

Cette méthode est couramment employée dans des tests de dépistage sérologiques pour diagnostiquer une infection en cours ou établir une preuve d'une infection antérieure. Par exemple, le test de VCA-IgM et VCA-IgG pour la mononucléose infectieuse (maladie des maux de gorge) est basé sur ce principe.

Toutefois, il convient de noter que certains facteurs peuvent influencer les résultats de ces tests, tels qu'un faible titre d'anticorps, la présence d'inhibiteurs dans le sérum ou des variantes antigéniques. Par conséquent, il est crucial d'interpréter les résultats avec prudence et de les considérer en conjonction avec d'autres informations cliniques pertinentes.

L'endocardite bactérienne subaiguë est une infection des valves cardiaques ou du revêtement interne du cœur (l'endocarde) qui se développe sur une période de plusieurs semaines à plusieurs mois. Contrairement à l'endocardite aiguë, qui est une urgence médicale et peut entraîner une détérioration rapide de la santé, l'endocardite subaiguë évolue plus lentement et présente des symptômes moins graves.

Cette infection est généralement causée par des bactéries qui pénètrent dans le sang (bactériémie) et se fixent sur les zones endommagées de l'endocarde, telles que les valves cardiaques présentant des lésions préexistantes, comme une sténose ou une insuffisance valvulaire, un trouble du rythme cardiaque congénital ou une valve artificielle. Les streptocoques viridans et les entérocoques sont les bactéries les plus fréquemment responsables de cette infection.

Les symptômes courants de l'endocardite bactérienne subaiguë comprennent :

1. Fièvre persistante (généralement inférieure à 38°C)
2. Fatigue et faiblesse

III. Sueurs nocturnes
4. Perte de poids involontaire
5. Douleurs articulaires et musculaires
6. Frissons et malaise général
7. Anémie (diminution du nombre de globules rouges)
8. Éruption cutanée (parfois)
9. Toux sèche et essoufflement (si l'infection affecte les valves pulmonaires)

Le diagnostic d'endocardite bactérienne subaiguë repose sur plusieurs examens, notamment des analyses de sang, des échocardiogrammes, des electrocardiogrammes et, dans certains cas, des biopsies cardiaques. Le traitement consiste en une antibiothérapie prolongée (généralement 4 à 6 semaines) pour éradiquer l'infection. Dans les cas graves ou compliqués, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour remplacer la valve cardiaque infectée.

La prévention de l'endocardite bactérienne subaiguë repose sur des mesures d'hygiène dentaire adéquates et le traitement rapide des infections bucco-dentaires, car les streptocoques viridans sont souvent présents dans la bouche. Les personnes à risque élevé d'endocardite bactérienne subaiguë doivent également recevoir une antibiothérapie prophylactique avant certaines procédures médicales et dentaires susceptibles de provoquer une bactériémie.

Les chaînes HLA-DRB1 sont des protéines situées à la surface des cellules qui font partie du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) de classe II. Le CMH est un groupe de gènes et de protéines qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire en aidant à distinguer les propres cellules de l'organisme des cellules étrangères, telles que les virus et les bactéries.

Les chaînes HLA-DRB1 sont codées par le gène HLA-DRB1, qui se trouve sur le chromosome 6. Elles s'associent à d'autres protéines pour former des molécules de CMH de classe II, qui présentent des peptides aux lymphocytes T helper, un type de globule blanc qui joue un rôle clé dans la réponse immunitaire adaptative.

Les chaînes HLA-DRB1 sont hautement polymorphes, ce qui signifie qu'il existe de nombreuses variantes différentes de cette protéine dans la population humaine. Cette diversité génétique permet au système immunitaire de reconnaître et de répondre à une grande variété d'agents pathogènes.

Certaines variations des chaînes HLA-DRB1 ont été associées à un risque accru ou diminué de développer certaines maladies auto-immunes, telles que la sclérose en plaques et le diabète de type 1. Les tests génétiques peuvent être utilisés pour déterminer le génotype HLA-DRB1 d'une personne, ce qui peut aider à prédire son risque de développer certaines maladies ou à guider les décisions de traitement.

La synovite est un terme médical qui décrit l'inflammation de la membrane synoviale, qui tapisse l'intérieur des articulations. La membrane synoviale produit le liquide synovial, qui lubrifie et nourrit le cartilage articulaire. Lorsque cette membrane s'enflamme, elle peut gonfler, devenir douloureuse et produire un excès de liquide synovial, ce qui peut causer une augmentation du volume de l'articulation affectée.

Les symptômes courants de la synovite comprennent la douleur, le gonflement, la rougeur et la chaleur au niveau de l'articulation touchée. Dans les cas graves, elle peut entraîner une limitation de la mobilité articulaire et des dommages permanents au cartilage et aux os avoisinants.

La synovite peut être causée par divers facteurs, notamment les infections, les traumatismes, l'arthrite inflammatoire (telle que la polyarthrite rhumatoïde) ou d'autres maladies systémiques. Le traitement de la synovite dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des médicaments anti-inflammatoires, des corticoïdes, des antibiotiques (en cas d'infection), ainsi que des thérapies physiques ou chirurgicales dans certains cas.

Les allotypes des immunoglobulines sont des variantes génétiques spécifiques de certaines chaînes d'immunoglobulines (également appelées anticorps), qui sont produites par les lymphocytes B. Les immunoglobulines sont des protéines importantes du système immunitaire, qui aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus.

Les chaînes d'immunoglobulines peuvent être divisées en deux types principaux : les chaînes lourdes et les chaînes légères. Les gènes qui codent pour ces chaînes sont polymorphes, ce qui signifie qu'il existe des variations génétiques dans la population. Certaines de ces variations se traduisent par des différences dans les séquences d'acides aminés des chaînes d'immunoglobulines, qui sont appelées allotypes.

Les allotypes peuvent être utilisés comme marqueurs pour identifier des sous-populations de lymphocytes B et pour étudier la diversité génétique et l'évolution des systèmes immunitaires chez les individus et les populations. Ils peuvent également avoir des implications cliniques, par exemple dans le diagnostic et le suivi de certaines maladies auto-immunes ou de troubles liés à la production d'anticorps anormaux.

Il est important de noter que les allotypes ne doivent pas être confondus avec les isotypes, qui sont des classes différentes d'immunoglobulines (par exemple IgG, IgM, IgA) définies par des différences dans la structure des chaînes lourdes.

Les allotypes Gm des chaînes lourdes sont des variantes génétiques de certaines protéines trouvées dans les immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps. Les immunoglobulines sont des molécules importantes du système immunitaire qui aident à identifier et à neutraliser les agents pathogènes tels que les bactéries et les virus.

Les chaînes lourdes des immunoglobulines sont constituées de plusieurs domaines protéiques différents, y compris le domaine variable et le domaine constant. Les allotypes Gm se trouvent dans le domaine constant de la chaîne lourde gamma (γ), qui est l'une des quatre types de chaînes lourdes d'immunoglobulines (les autres étant alpha, delta et mu).

Les variantes allotypiques Gm sont déterminées par des différences dans la séquence d'acides aminés de la chaîne lourde gamma. Ces variations sont héréditaires et peuvent être utilisées pour identifier les sous-groupes génétiques chez les humains. Les allotypes Gm sont souvent utilisés en recherche médicale et en médecine légale pour étudier la diversité génétique de populations particulières ou pour résoudre des questions d'identification individuelle.

Il est important de noter que les allotypes Gm ne sont pas associés à des maladies spécifiques, mais plutôt à des variations normales dans la composition protéique des immunoglobulines.

La vascularite leucocytoclastique cutanée (VLC), également connue sous le nom de purpura vasculaire nécrotisant, est une forme de vascularite qui affecte les petits vaisseaux sanguins de la peau. Cette condition est caractérisée par une inflammation des parois des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne leur fragilité et leur perméabilité accrues.

Les lésions cutanées sont généralement les premiers signes de la maladie et se présentent sous forme de petites papules ou ecchymoses rouges à pourpres sur la peau, qui peuvent évoluer en nécrose tissulaire et former des ulcères. Les lésions cutanées sont souvent localisées aux membres inférieurs, mais peuvent également affecter d'autres parties du corps telles que le visage, les oreilles et les doigts.

La VLC est généralement causée par une réaction immunitaire anormale à des antigènes tels que des médicaments, des infections ou des néoplasies malignes. Les anticorps formés contre ces antigènes se déposent dans les parois des vaisseaux sanguins, entraînant une inflammation et des dommages vasculaires.

Le diagnostic de VLC repose sur l'examen clinique, la biopsie cutanée et l'analyse histopathologique des tissus affectés. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure l'arrêt du médicament suspecté, une antibiothérapie si une infection est présente ou un traitement immunosuppresseur pour contrôler l'inflammation.

L'antigène HLA-DR est un type d'antigène leucocytaire humain (HLA) qui se trouve à la surface des cellules présentatrices d'antigènes dans le système immunitaire. Les antigènes HLA sont des protéines de surface cellulaire qui aident le système immunitaire à distinguer les cellules du soi de celles qui sont étrangères ou infectées.

Le terme "HLA-DR" fait référence à une sous-classe spécifique d'antigènes HLA, appelés antigènes de classe II. Ces antigènes sont exprimés principalement sur les cellules présentatrices d'antigènes telles que les macrophages, les cellules dendritiques et les lymphocytes B. Ils jouent un rôle crucial dans la présentation des antigènes aux lymphocytes T, qui sont des cellules immunitaires clés impliquées dans la réponse immunitaire spécifique à une infection ou à une maladie.

Les antigènes HLA-DR sont hautement polymorphes, ce qui signifie qu'il existe de nombreuses variantes différentes de ces protéines dans la population humaine. Cette diversité est importante pour le fonctionnement normal du système immunitaire, car elle permet au corps de reconnaître et de répondre à une large gamme d'agents pathogènes étrangers.

Cependant, des anomalies dans les gènes HLA-DR peuvent également être associées à certaines maladies auto-immunes et inflammatoires, telles que la polyarthrite rhumatoïde et le lupus érythémateux disséminé. Dans ces cas, une réponse immunitaire excessive ou inappropriée peut entraîner des dommages aux tissus corporels sains.

Les enzymes activatrices du complément sont un groupe d'enzymes proteolytiques qui jouent un rôle crucial dans l'activation de la voie du système du complement, une cascade biochimique importante du système immunitaire inné. Ces enzymes facilitent l'élimination des pathogènes et des cellules mortes ou endommagées en marquant ces cibles pour la destruction par d'autres composants du système immunitaire.

Les enzymes activatrices du complément comprennent:

1. Complément factor D (DF or C3bBb): Cette enzyme est essentielle pour l'activation de la voie alterne du complement et convertit le facteur B enactive BaBb, qui dégrade le facteur C3 en fragments C3a et C3b.

2. Complément factor I (FI or C3b/C4b inactivator): Cette enzyme régule la voie alterne et la voie classique du complement en clivant les fragments C3b et C4b, ce qui empêche une activation excessive du système du complement.

3. Complément factor B (FB or C3/C5 convertase): Cette proenzyme est activée par le facteur D pour former l'enzyme BaBb, qui clive les fragments C3 et C5 en fragments actifs C3a, C3b, C5a et C5b.

4. Complément MBL-associated serine proteases (MASPs): Ces enzymes sont responsables de l'activation de la voie lectin du complement. Il existe trois types de MASPs: MASP-1, MASP-2 et MASP-3. MASP-1 active le C4 et le C2, tandis que MASP-2 clive le fragment C3 en C3a et C3b.

5. Complément proconvertases: Ces complexes multiprotéiques sont responsables de l'activation des fragments C3 et C5 dans la voie classique du complement. Il existe deux types de proconvertases: C4b2a (C3 convertase) et C3bBb (C5 convertase).

Dysfonctionnements ou déséquilibres dans ces enzymes peuvent entraîner des maladies auto-immunes, inflammatoires et infectieuses. Par conséquent, une compréhension approfondie de leur structure, de leur fonction et de leur régulation est essentielle pour le développement de thérapies ciblées et efficaces.

Les maladies auto-immunes sont un groupe de troubles dans lesquels le système immunitaire du corps, qui est conçu pour protéger l'organisme contre les envahisseurs étrangers tels que les bactéries et les virus, se retourne et attaque accidentellement ses propres cellules et tissus sains. Cela se produit lorsque le système immunitaire identifie par erreur des cellules et des tissus normaux comme étant étrangers et dangereux, déclenchant une réponse immunitaire excessive qui entraîne une inflammation et des dommages aux tissus.

Les maladies auto-immunes peuvent affecter divers organes et systèmes du corps, y compris la peau, les articulations, les reins, le cerveau, les glandes endocrines et le sang. Les symptômes varient en fonction de la maladie spécifique et peuvent inclure de la fatigue, des douleurs articulaires, des éruptions cutanées, une sensibilité à la lumière, une inflammation des vaisseaux sanguins, une perte de cheveux, une hypertrophie des glandes salivaires, une sécheresse oculaire et buccale, une neuropathie périphérique, une insuffisance cardiaque et rénale, et un diabète sucré.

Les causes exactes des maladies auto-immunes sont inconnues, mais il est généralement admis qu'elles résultent d'une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux. Les personnes atteintes de certaines maladies auto-immunes ont souvent des antécédents familiaux de ces affections, ce qui suggère une prédisposition génétique. Cependant, il est important de noter que la présence d'un gène prédisposant ne signifie pas nécessairement que la personne développera une maladie auto-immune.

Les facteurs environnementaux qui peuvent contribuer au développement des maladies auto-immunes comprennent les infections, le tabagisme, l'exposition à certains produits chimiques et médicaments, et le stress psychologique. Le traitement des maladies auto-immunes dépend de la gravité et du type d'affection, mais peut inclure des médicaments immunosuppresseurs, des corticostéroïdes, des anti-inflammatoires non stéroïdiens, des antimalariques, des biothérapies et des changements de mode de vie.

Les immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps, sont des glycoprotéines sécrétées par les plasmocytes (un type de cellule B différenciée) en réponse à l'exposition à un antigène. Ils jouent un rôle crucial dans l'humoral de la réponse immunitaire, où ils se lient spécifiquement aux antigènes étrangers et les neutralisent ou les marquent pour être détruits par d'autres cellules du système immunitaire.

Les immunoglobulines sont constituées de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, liées par des ponts disulfure. Il existe cinq classes différentes d'immunoglobulines (IgA, IgD, IgE, IgG et IgM), chacune ayant des rôles spécifiques dans la réponse immunitaire. Par exemple, l'IgG est la principale immunoglobuline sérique et protège contre les infections bactériennes et virales en facilitant la phagocytose, la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps et la complémentation.

Les immunoglobulines peuvent être trouvées dans le sang, la lymphe et d'autres fluides corporels, et elles sont souvent utilisées comme thérapeutiques pour traiter une variété de conditions médicales, y compris les déficits immunitaires primaires et secondaires, les maladies auto-immunes et les infections.

La protéine A du staphylocoque est une protéine surface liée à la membrane produite par certaines souches de staphylocoques, en particulier Staphylococcus aureus. Elle se lie spécifiquement aux fragments Fc des immunoglobulines G (IgG) humaines et animales, ce qui lui permet de bloquer l'activation du complément et la phagocytose des cellules immunitaires.

La protéine A est souvent utilisée en recherche et en diagnostic médical pour purifier les anticorps ou détecter la présence d'IgG dans un échantillon. Cependant, elle peut également contribuer à la virulence de S. aureus en aidant le pathogène à échapper à la réponse immunitaire de l'hôte.

Les infections à staphylocoque résistantes aux méthicillines (MRSA) sont souvent associées à des souches produisant de grandes quantités de protéine A, ce qui peut entraver le traitement et compliquer la prise en charge clinique.

En médecine, une articulation est la région où deux os ou plus se rencontrent et permettent la mobilité entre eux. Les articulations sont également appelées «articulations» ou «joints». Elles sont essentielles pour assurer la fonction et le mouvement du squelette.

Les articulations peuvent être classées en trois grands types en fonction de la quantité de mouvement qu'elles permettent:

1. Articulations fibreuses (synarthroses): Ce sont des articulations qui ne permettent aucun mouvement, car les os sont connectés par du tissu conjonctif dense. Exemples : sutures crâniennes et jointures entre les côtes et le sternum.
2. Articulations cartilagineuses (amphiarthroses): Ces articulations permettent un mouvement limité grâce à une couche de cartilage qui relie les os. Exemples : les vertèbres dans la colonne vertébrale et les côtes aux sternums.
3. Articulations synoviales (diarthroses): Ce sont des articulations très mobiles, remplies d'un liquide lubrifiant appelé liquide synovial. Les os sont recouverts de cartilage articulaire et sont maintenus ensemble par une capsule articulaire fibreuse et des ligaments renforcés. Exemples : genou, coude, épaule, hanche et poignet.

Les articulations synoviales sont les plus courantes dans le corps humain et peuvent être subdivisées en plusieurs sous-catégories en fonction de leur forme et de leur mouvement, notamment:

* Articulations planes (ginglymus): Permettent un mouvement de glissement dans un seul plan. Exemple : articulation acromio-claviculaire.
* Articulations hinge (ginglymi uniaxials): Permettent un mouvement de flexion et d'extension dans un seul axe. Exemple : coude.
* Articulations pivot (trochoïdes): Permettent un mouvement de rotation autour d'un seul axe. Exemple : l'articulation atlanto-axiale entre les deux premières vertèbres cervicales.
* Articulations ellipsoïdes: Permettent des mouvements de flexion, d'extension, d'abduction et d'adduction dans deux plans. Exemple : poignet.
* Articulations condyloïdes: Permettent des mouvements de flexion, d'extension, d'abduction, d'adduction et de rotation dans deux plans. Exemple : articulation métacarpo-phalangienne.
* Articulations sphériques (enarthroses): Permettent des mouvements de flexion, d'extension, d'abduction, d'adduction, de rotation et de circonduction dans tous les plans. Exemple : épaule et hanche.

Les articulations sont sujettes à divers types de blessures et de maladies, notamment l'arthrite, l'arthrose, la bursite, la tendinite, l'entorse et la luxation. Le traitement dépend du type et de la gravité de la blessure ou de la maladie. Les options de traitement peuvent inclure le repos, les médicaments en vente libre ou sur ordonnance, la thérapie physique, l'immobilisation, la chirurgie et la rééducation.

Les maladies du collagène sont un groupe hétérogène de plus de 200 affections caractérisées par des anomalies dans la synthèse, la structure ou la dégradation du collagène. Le collagène est une protéine fibreuse qui constitue environ un tiers des protéines totales de l'organisme et joue un rôle crucial dans la structure et la fonction des tissus conjonctifs, y compris la peau, les tendons, les ligaments, les os, le cartilage, les vaisseaux sanguins et les organes.

Les maladies du collagène peuvent être classées en plusieurs catégories, selon la nature de l'anomalie sous-jacente :

1. Les maladies de dépôt de collagène sont dues à une accumulation anormale de collagène dans les tissus, entraînant une fibrose et une rigidité des organes touchés. L'exemple le plus courant est la sclérodermie systémique.
2. Les maladies de structure du collagène sont dues à des mutations génétiques qui altèrent la structure du collagène, entraînant une fragilité et une susceptibilité accrues aux lésions. L'exemple le plus courant est l'ostéogenèse imparfaite ou "maladie des os de verre".
3. Les maladies de dégradation du collagène sont dues à des mutations génétiques qui altèrent les enzymes responsables de la dégradation du collagène, entraînant une accumulation anormale de collagène dans les tissus. L'exemple le plus courant est l'Ehlers-Danlos syndrome.
4. Les maladies inflammatoires du collagène sont dues à des processus auto-immuns qui ciblent le collagène et entraînent une inflammation, une fibrose et une dégradation des tissus conjonctifs. L'exemple le plus courant est le lupus érythémateux disséminé.

Les symptômes et les signes de ces maladies varient en fonction de la localisation et de la sévérité de la lésion tissulaire, mais peuvent inclure des douleurs articulaires, une fatigue chronique, une faiblesse musculaire, des ecchymoses faciles, des déformations osseuses, des problèmes respiratoires et cardiovasculaires, des lésions cutanées et des problèmes de vision. Le diagnostic et le traitement de ces maladies nécessitent une évaluation approfondie par un spécialiste en rhumatologie ou en médecine interne, ainsi qu'une collaboration multidisciplinaire avec d'autres spécialistes tels que des dermatologues, des cardiologues et des pneumologues.

Un marqueur biologique, également connu sous le nom de biomarqueur, est une molécule trouvée dans le sang, d'autres liquides corporels, ou des tissus qui indique une condition spécifique dans l'organisme. Il peut être une protéine, un gène, un métabolite, un hormone ou tout autre composant qui change en quantité ou en structure en réponse à un processus pathologique, comme une maladie, un trouble de santé ou des dommages tissulaires.

Les marqueurs biologiques sont utilisés dans le diagnostic, la surveillance et l'évaluation du traitement de diverses affections médicales. Par exemple, les niveaux élevés de protéine CA-125 peuvent indiquer la présence d'un cancer des ovaires, tandis que les taux élevés de troponine peuvent être un signe de dommages cardiaques.

Les marqueurs biologiques peuvent être mesurés à l'aide de diverses méthodes analytiques, telles que la spectrométrie de masse, les tests immunochimiques ou la PCR en temps réel. Il est important de noter que les marqueurs biologiques ne sont pas toujours spécifiques à une maladie particulière et peuvent être présents dans d'autres conditions également. Par conséquent, ils doivent être interprétés avec prudence et en combinaison avec d'autres tests diagnostiques et cliniques.

Les lymphocytes B sont un type de globules blancs qui jouent un rôle crucial dans le système immunitaire adaptatif. Ils sont responsables de la production d'anticorps, des protéines qui marquent les agents pathogènes étrangers pour une destruction ultérieure par d'autres éléments du système immunitaire.

Après s'être développés dans la moelle osseuse, les lymphocytes B migrent vers la rate et les ganglions lymphatiques où ils mûrissent et deviennent des cellules capables de produire des anticorps spécifiques. Lorsqu'un lymphocyte B rencontre un agent pathogène qu'il peut cibler, il se différencie en une plasmocyte qui sécrète alors des quantités massives d'anticorps contre cet agent pathogène particulier.

Les maladies associées à un dysfonctionnement des lymphocytes B comprennent le déficit immunitaire commun variable, la gammapathie monoclonale de signification indéterminée (GMSI), et certains types de leucémie et de lymphome.

Les chaînes lourdes des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui constituent une partie essentielle des anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Les anticorps sont des molécules protectrices produites par notre système immunitaire pour neutraliser ou éliminer les agents pathogènes tels que les virus, les bactéries et les toxines.

Les chaînes lourdes sont des segments protéiques plus grands qui s'associent à d'autres segments protéiques appelés chaînes légères pour former un anticorps fonctionnel. Les chaînes lourdes sont composées de différents domaines, y compris le domaine variable responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, ainsi que plusieurs domaines constants qui contribuent à la structure et à la fonction de l'anticorps.

Il existe cinq types différents de chaînes lourdes, désignées par les lettres grecques α (alpha), δ (delta), ε (epsilon), γ (gamma) et μ (mu). Chaque type de chaîne lourde correspond à un type spécifique d'anticorps : IgA, IgD, IgE, IgG et IgM. Les différents types d'anticorps ont des fonctions et des distributions tissulaires distinctes, ce qui permet au système immunitaire de répondre de manière appropriée aux divers types de menaces pour la santé.

Les mutations ou les anomalies dans les gènes codant pour les chaînes lourdes peuvent entraîner des troubles du système immunitaire, tels que les déficits immunitaires primaires, qui prédisposent une personne à des infections récurrentes et sévères. Des recherches sont en cours pour comprendre comment les chaînes lourdes contribuent à la fonction et à la régulation du système immunitaire et pour développer de nouvelles thérapies pour traiter les maladies liées aux troubles du système immunitaire.

La région variable des immunoglobulines, souvent abrégée en V region ou V domain, se réfère à la partie d'une molécule d'immunoglobuline (anticorps) qui est responsable de la reconnaissance et du lien avec des antigènes spécifiques. Cette région est dite "variable" car elle diffère considérablement d'une molécule d'immunoglobuline à l'autre, même au sein d'un même individu.

La région variable est composée de plusieurs segments protéiques, appelés domaines variables (V domains), qui sont codés par des gènes particuliers appelés gènes V, D et J pour les immunoglobulines de classe IgG, IgA et IgD. Ces domaines variables forment une structure en forme de feuille pliée qui contient la zone de liaison à l'antigène, également appelée paratope.

La diversité des régions variables est ce qui permet aux anticorps de reconnaître et de se lier à un large éventail d'antigènes différents, y compris les protéines, les glucides, les lipides et autres molécules présentes sur les surfaces des cellules ou dans le milieu extracellulaire. Cette diversité est générée par une combinaison complexe de processus génétiques, tels que la recombinaison somatique et l'hypermutation somatique, qui permettent à chaque molécule d'immunoglobuline de posséder un ensemble unique de régions variables.

Un site de fixation d'anticorps, dans le contexte de l'immunologie et de la médecine, se réfère à la région spécifique sur une molécule antigénique où un anticorps se lie et se fixe. Cette interaction est hautement spécifique et dépendante de la complémentarité entre les sites de liaison des anticorps (également appelés paratopes) et les épitopes correspondants sur l'antigène.

Lorsqu'un antigène pénètre dans un organisme, le système immunitaire répond en produisant des anticorps pour reconnaître et neutraliser la menace. Les anticorps sont des protéines sécrétées par les lymphocytes B qui se lient aux épitopes spécifiques sur les antigènes. Ces épitopes sont des régions tridimensionnelles de la molécule antigénique qui sont reconnues et se lient aux anticorps.

La fixation d'anticorps est un processus crucial dans l'activation du système immunitaire adaptatif, car elle permet la reconnaissance spécifique des agents pathogènes étrangers et favorise leur élimination par d'autres mécanismes immunitaires. La capacité des anticorps à se lier de manière sélective aux épitopes sur les antigènes est également essentielle dans le développement de divers tests diagnostiques et thérapeutiques, tels que les tests ELISA, les dosages immunochimiques et l'immunothérapie.

En bref, un site de fixation d'anticorps est la zone spécifique sur une molécule antigénique où un anticorps se lie et s'attache, déclenchant des réponses immunitaires pour neutraliser ou éliminer l'antigène.

Les maladies articulaires sont des affections qui affectent les articulations, c'est-à-dire la partie du corps où deux os se rejoignent et permettent le mouvement. Ces maladies peuvent causer de la douleur, de l'enflure, de la raideur et une limitation du mouvement. Elles peuvent résulter d'une inflammation, d'une dégénérescence, d'une infection ou d'un traumatisme.

Les exemples courants de maladies articulaires comprennent l'arthrite (y compris l'ostéoarthrite et la polyarthrite rhumatoïde), le lupus érythémateux disséminé, la goutte, la bursite, la tendinite et l'arthrose. Certaines de ces maladies peuvent être héréditaires ou liées à l'âge, tandis que d'autres peuvent être déclenchées par des facteurs environnementaux tels que les blessures, les infections ou le surmenage.

Le traitement des maladies articulaires dépend du type et de la gravité de la condition. Il peut inclure des médicaments pour soulager la douleur et l'inflammation, une thérapie physique pour aider à maintenir la force et la mobilité, des changements de mode de vie tels qu'une alimentation saine et une activité physique régulière, et dans certains cas, une intervention chirurgicale.

Le syndrome de Felty est une complication rare de la polyarthrite rhumatoïde, une maladie auto-immune à long terme qui provoque une inflammation dans plusieurs articulations du corps. Il a été nommé d'après l'un des médecins qui l'ont décrit pour la première fois, Augustus Felty, en 1924.

Le syndrome de Felty se caractérise par trois principaux critères cliniques :

1. Polyarthrite rhumatoïde sévère et prolongée (généralement depuis plus de 10 ans)
2. Une diminution significative du nombre de globules blancs (neutropénie sévère, moins de 2000 cellules/mm3)
3. Agranulocytose splénique (rate hypertrophique et fonctionnelle)

Les symptômes courants associés au syndrome de Felty peuvent inclure fatigue, fièvre, perte de poids, sueurs nocturnes, infections récurrentes, éruptions cutanées et ulcères digitaux. La rate peut être agrandie et douloureuse à la palpation.

Le syndrome de Felty est considéré comme une complication grave de la polyarthrite rhumatoïde car il augmente le risque d'infections sévères en raison de la neutropénie. Le traitement du syndrome de Felty implique généralement des médicaments immunosuppresseurs, tels que la méthotrexate et l'azathioprine, ainsi qu'une thérapie de remplacement de globules blancs si nécessaire pour prévenir les infections. Dans certains cas, une intervention chirurgicale pour enlever la rate (splénectomie) peut être envisagée.

Le lupus érythémateux systémique (LES) est une maladie auto-immune chronique et inflammatoire qui peut affecter divers organes et tissus du corps. Dans cette condition, le système immunitaire du corps s'attaque à ses propres cellules et molécules saines, provoquant une inflammation et des dommages aux organes.

Les symptômes du LES peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre et peuvent affecter divers systèmes corporels, notamment la peau, les articulations, les reins, le cœur, les poumons, le cerveau et le sang. Les symptômes courants du LES comprennent :

* Fatigue
* Fièvre
* Douleurs articulaires et musculaires
* Éruptions cutanées, en particulier sur le visage, les bras et les mains
* Sensibilité au soleil
* Perte de poids involontaire
* Gonflement des articulations
* Essoufflement
* Douleurs thoraciques
* Confusion, problèmes cognitifs ou saisies
* Anémie

Le diagnostic du LES repose sur une combinaison d'antécédents médicaux, d'examen physique, de tests sanguins et d'autres tests diagnostiques pour évaluer les dommages aux organes. Les tests sanguins peuvent révéler des anticorps anormaux qui sont typiques du LES, tels que l'anticorps anti-nucléaire (ANA) et les anticorps anti-ADN double brin.

Le traitement du LES dépend de la gravité et de la localisation des symptômes. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments anti-inflammatoires, des corticostéroïdes, des immunosuppresseurs, des antimalariques et des suppléments de vitamines et de minéraux. La gestion des facteurs de risque modifiables, tels que l'exposition au soleil et le tabagisme, est également importante pour prévenir les poussées et réduire la gravité des symptômes.

Le complément C1q est une protéine du système immunitaire qui joue un rôle crucial dans le processus d'activation du complément. Il s'agit de la première protéine à être activée dans la voie classique du système du complément, qui est déclenchée lorsque des anticorps se lient à des antigènes sur la surface des agents pathogènes ou des cellules anormales.

Le C1q est composé de six sous-unités, chacune contenant une région globulaire et une région collagène. Lorsqu'il se lie aux immunoglobulines G (IgG) ou M (IgM) liées à des antigènes, le C1q subit un changement conformationnel qui active la protéase C1r, qui à son tour active la protéase C1s. Le complexe activé C1r-C1s clive alors les protéines C4 et C2 en fragments, ce qui entraîne la formation du complexe d'attaque de la membrane (MAC), une structure multimoléculaire capable de perforer les membranes cellulaires et de provoquer la lyse des cellules cibles.

Le C1q a également des fonctions immunomodulatrices en dehors de l'activation du complément, telles que la régulation de l'apoptose, la phagocytose et la présentation de l'antigène. Des anomalies dans le gène C1Q peuvent entraîner des déficits immunitaires et une susceptibilité accrue aux infections.

Les anticorps bispécifiques sont un type d'immunothérapie qui peuvent se lier à deux cibles différentes simultanément. Ils sont conçus pour avoir deux sites de liaison, chacun capable de se fixer à des protéines ou des cellules spécifiques. Cette capacité leur permet de servir de pont entre deux types de cellules, généralement les cellules cancéreuses et les cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T.

En se liant aux deux cibles, les anticorps bispécifiques peuvent activer le système immunitaire pour attaquer et détruire les cellules cancéreuses. Ils ont été développés comme une stratégie thérapeutique prometteuse dans le traitement de divers types de cancer, car ils peuvent contourner les mécanismes de défense des cellules cancéreuses qui empêchent souvent le système immunitaire de les reconnaître et de les attaquer.

Cependant, il est important de noter que l'utilisation d'anticorps bispécifiques peut également entraîner des effets secondaires graves, tels que la libération de cytokines, qui peuvent provoquer une inflammation systémique et des réactions indésirables. Par conséquent, leur utilisation doit être soigneusement surveillée et gérée pour minimiser les risques associés.

La syphilis congénitale est une infection transmise de la mère à l'enfant pendant la grossesse ou l'accouchement, si la mère est atteinte de syphilis active. Cette maladie infectieuse est causée par la bactérie Treponema pallidum.

Si elle n'est pas traitée, la syphilis congénitale peut entraîner de graves problèmes de santé chez le nouveau-né et l'enfant, notamment des anomalies physiques, des retards de développement, des dommages au cerveau et au système nerveux, et dans les cas les plus sévères, la mort. Les symptômes peuvent apparaître à tout moment pendant la petite enfance, voire plus tard à l'âge adulte.

Le diagnostic de la syphilis congénitale repose sur des tests spécifiques, tels que les tests sérologiques, et peut inclure des examens physiques approfondis, des radiographies et d'autres analyses médicales. Le traitement précoce est crucial pour prévenir les complications graves et implique généralement l'administration d'antibiotiques, tels que la pénicilline, à la mère et au nourrisson. La détection et le traitement précoces de la syphilis chez les femmes enceintes peuvent prévenir la transmission de la maladie à leur enfant dans la plupart des cas.

Les isotypes d'immunoglobulines, également connus sous le nom de classes d'immunoglobulines, se réfèrent aux différentes structures chimiques des anticorps (immunoglobulines) produits par les lymphocytes B dans le système immunitaire. Il existe cinq isotypes principaux chez les humains: IgA, IgD, IgE, IgG et IgM. Chaque isotype a des fonctions spécifiques et joue un rôle important dans la réponse immunitaire de l'organisme contre les agents pathogènes.

1. IgA: Il s'agit d'un isotype présent dans les sécrétions telles que les larmes, la salive, le lait maternel et les sécrétions intestinales. Il protège les muqueuses des infections en neutralisant les virus et les bactéries avant qu'ils ne pénètrent dans l'organisme.

2. IgD: Cet isotype est principalement présent à la surface des lymphocytes B matures comme récepteur d'anticorps de surface (sIgD). Il joue un rôle dans l'activation et la différenciation des lymphocytes B.

3. IgE: Cet isotype est associé à la réponse allergique et parasitaire. Les IgE se lient aux récepteurs des mast cells et des basophiles, déclenchant une libération d'histamine et d'autres médiateurs chimiques lorsqu'ils sont activés par un antigène spécifique, entraînant une réaction inflammatoire.

4. IgG: Il s'agit du plus abondant des isotypes sériques et possède plusieurs sous-classes (IgG1, IgG2, IgG3 et IgG4). Les IgG sont responsables de la neutralisation des toxines bactériennes, de l'opsonisation des particules étrangères pour faciliter leur phagocytose et de l'activation du complément.

5. IgM: Cet isotype est le premier à être produit lors d'une réponse immunitaire et se trouve principalement dans le sérum. Les IgM sont décimales, ce qui signifie qu'elles contiennent cinq unités Y de chaînes lourdes et légères, facilitant l'activation du complément et la neutralisation des virus en agglutinant les particules virales.

En résumé, chaque isotype d'immunoglobuline a un rôle spécifique dans la réponse immunitaire, que ce soit pour la défense contre les agents pathogènes, la neutralisation des toxines ou la médiation des réactions allergiques.

L'activation du complément est un processus important du système immunitaire qui aide à éliminer les pathogènes et à détruire les cellules infectées ou endommagées dans l'organisme. Il s'agit d'une cascade enzymatique complexe impliquant plus de 30 protéines différentes, appelées composants du système complément.

Le système complément peut être activé par deux voies principales : la voie classique et la voie alternative. La voie classique est généralement déclenchée par des anticorps liés à des antigènes, tels que des bactéries ou des virus, tandis que la voie alternative peut être activée de manière aléatoire ou en réponse à certaines molécules bactériennes.

Lorsque le système complément est activé, il libère des protéines qui peuvent se lier aux membranes des cellules cibles et former des complexes d'attaque membranaire (CAM). Les CAM créent des pores dans les membranes cellulaires, ce qui entraîne la mort de la cellule cible. Le système complément peut également aider à éliminer les pathogènes en facilitant leur phagocytose par les globules blancs.

Bien que l'activation du complément soit essentielle pour une réponse immunitaire efficace, elle doit être régulée de manière stricte pour éviter des dommages inutiles aux tissus sains. Des dysfonctionnements dans le système complément ont été associés à un certain nombre de maladies, notamment l'inflammation chronique, les maladies auto-immunes et les troubles neurologiques.

Un déterminant antigénique est une partie spécifique d'une molécule, généralement une protéine ou un polysaccharide, qui est reconnue et réagit avec des anticorps ou des lymphocytes T dans le système immunitaire. Ces déterminants sont également connus sous le nom d'épitopes. Ils peuvent être liés à la surface de cellules infectées par des virus ou des bactéries, ou ils peuvent faire partie de molécules toxiques ou étrangères libres dans l'organisme. Les déterminants antigéniques sont importants dans le développement de vaccins et de tests diagnostiques car ils permettent de cibler spécifiquement les réponses immunitaires contre des agents pathogènes ou des substances spécifiques.

La vascularite est un groupe de maladies caractérisées par l'inflammation des vaisseaux sanguins. Cette inflammation peut entraîner une variété de symptômes, en fonction de la taille des vaisseaux affectés et de leur emplacement dans le corps. Les petits vaisseaux sanguins (capillaires) sont souvent touchés dans certaines formes de vascularite, tandis que d'autres formes affectent les vaisseaux plus grands tels que les artères et les veines.

Les symptômes courants de la vascularite peuvent inclure des douleurs articulaires, des éruptions cutanées, une faiblesse musculaire, des maux de tête, des essoufflements, des douleurs thoraciques et une hypertension artérielle. Dans les cas graves, la vascularite peut entraîner des complications telles que des lésions organiques, des accidents vasculaires cérébraux ou même la mort.

Le diagnostic de vascularite repose sur une combinaison d'antécédents médicaux, d'examen physique, de tests sanguins et d'imagerie médicale. Le traitement dépend du type de vascularite et peut inclure des corticostéroïdes, d'autres médicaments immunosuppresseurs, des thérapies ciblées contre les voies inflammatoires spécifiques ou une combinaison de ces options. Dans certains cas, une prise en charge multidisciplinaire peut être nécessaire pour gérer les complications associées à la vascularite.

L'indice de gravité est un terme généralement utilisé pour évaluer la sévérité d'une maladie ou d'un état de santé chez un patient. Il est souvent calculé en combinant plusieurs mesures ou scores liés à la santé du patient, telles que des signes vitaux, des taux de laboratoire et des échelles d'évaluation clinique.

Par exemple, dans le contexte des soins intensifs, l'indice de gravité le plus couramment utilisé est le score de gravité de la maladie (SOFA), qui évalue six organes vitaux et attribue un score à chacun d'eux en fonction de la défaillance de l'organe. Le score total est ensuite calculé en additionnant les scores des six organes, ce qui donne une estimation objective de la gravité de la maladie du patient.

Dans le contexte des accidents vasculaires cérébraux (AVC), l'indice de gravité le plus couramment utilisé est l'échelle de gravité de l'AVC (NGS), qui évalue le niveau de conscience, la force musculaire et les réflexes du patient. Le score total est calculé en additionnant les scores de chaque catégorie, ce qui donne une estimation de la sévérité de l'AVC.

Dans l'ensemble, l'indice de gravité est un outil important pour aider les professionnels de la santé à évaluer la sévérité d'une maladie ou d'un état de santé, à prendre des décisions cliniques éclairées et à prévoir les résultats pour les patients.

Un dosage immunologique, également connu sous le nom d'immunoessai, est un test de laboratoire qui mesure la concentration ou l'activité d'une substance spécifique, appelée analyte, dans un échantillon biologique en utilisant des méthodes immunochimiques. Les analytes peuvent inclure des antigènes, des anticorps, des hormones, des protéines, des drogues et d'autres molécules.

Les dosages immunologiques reposent sur l'interaction spécifique entre un antigène et un anticorps pour détecter ou quantifier la présence de l'analyte dans l'échantillon. Il existe différents types de dosages immunologiques, tels que les ELISA (Enzyme-Linked Immunosorbent Assay), les RIA (Radioimmunoassay), les Western blots et les immunofluorescences.

Ces tests sont largement utilisés en médecine pour diagnostiquer des maladies, surveiller l'efficacité du traitement, détecter la présence de drogues ou d'alcool dans le sang, et évaluer la fonction thyroïdienne, parmi d'autres applications. Les résultats des dosages immunologiques doivent être interprétés en tenant compte des valeurs de référence établies pour chaque analyte et du contexte clinique du patient.

Le système du complément est un ensemble de protéines sériques et membranaires qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'hôte contre les agents pathogènes. Il s'agit d'une cascade enzymatique complexe qui, une fois activée, aboutit à la lyse des cellules étrangères et à la modulation de diverses réponses immunitaires innées et adaptatives.

Les protéines du système du complément sont un groupe de plus de 30 protéines plasmatiques et membranaires qui interagissent les unes avec les autres pour former des complexes multiprotéiques. Ces complexes peuvent se lier aux agents pathogènes, aux cellules infectées ou à d'autres molécules présentes dans le milieu extracellulaire, ce qui entraîne leur activation et l'initiation de divers processus biologiques, tels que la phagocytose, l'opsonisation, la libération de médiateurs inflammatoires et la lyse cellulaire.

Le système du complément peut être activé par trois voies différentes : la voie classique, la voie alterne et la voie des lectines. Chacune de ces voies aboutit à l'activation d'une protéase sérique clé appelée C3 convertase, qui clive une protéine du complément appelée C3 en deux fragments, C3a et C3b. Le fragment C3b peut se lier aux agents pathogènes ou aux cellules cibles, ce qui entraîne la formation d'un complexe multiprotéique appelé membrane d'attaque complémentaire (MAC). La MAC est capable de perforer la membrane plasmique des cellules cibles, entraînant leur lyse et la mort.

Les protéines du système du complément jouent également un rôle important dans la régulation de l'inflammation et de l'immunité adaptative. Elles peuvent moduler l'activité des cellules immunitaires, telles que les macrophages et les lymphocytes T, et participer à la présentation d'antigènes aux cellules T. De plus, certaines protéines du complément peuvent agir comme chémokines ou cytokines, attirant et activant d'autres cellules immunitaires sur le site de l'inflammation.

Dans l'ensemble, les protéines du système du complément sont des molécules multifonctionnelles qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'hôte contre les agents pathogènes et la régulation de l'inflammation et de l'immunité adaptative. Cependant, une activation excessive ou inappropriée du complément peut contribuer au développement de diverses maladies inflammatoires et auto-immunes.

Le complément C3 est une protéine importante du système immunitaire qui joue un rôle crucial dans la réponse inflammatoire et l'immunité humorale. Il s'agit d'une protéine centrale du système du complément, qui est une cascade enzymatique de protéines sériques qui interagissent entre elles pour aboutir à la lyse des cellules étrangères et à la régulation de l'inflammation.

Le complément C3 peut être activé par trois voies différentes : la voie classique, la voie alterne et la voie des lectines. Dans chacune de ces voies, une série de réactions enzymatiques aboutit à l'activation du complément C3 en deux fragments, C3a et C3b. Le fragment C3b peut se lier à la surface des cellules étrangères ou des pathogènes, ce qui permet d'identifier ces cellules comme cibles pour une destruction ultérieure par les cellules immunitaires.

Le complément C3 joue donc un rôle important dans la reconnaissance et l'élimination des agents pathogènes, ainsi que dans la régulation de l'inflammation et de l'immunité adaptative. Des anomalies du complément C3 peuvent être associées à un certain nombre de maladies, notamment les troubles inflammatoires et auto-immuns.

MRL/lpr est le nom d'une souche de souris qui est largement utilisée dans la recherche sur le système immunitaire et les maladies auto-immunes. L'acronyme "MRL" signifie "Medical Research Council" (Royaume-Uni), et "lpr" est l'abréviation de "lymphoproliferation", qui décrit une prolifération anormale des lymphocytes dans cet animal.

Les souris MRL/lpr développent spontanément une maladie auto-immune systémique progressive, caractérisée par une inflammation généralisée et une accumulation de cellules immunitaires dans divers organes, tels que la peau, les reins, le cœur et les articulations. Cette souche de souris est un modèle animal important pour l'étude du lupus érythémateux disséminé (LED), une maladie auto-immune grave qui affecte plusieurs organes dans l'espèce humaine.

Les souris MRL/lpr présentent des anomalies génétiques spécifiques, y compris une mutation dans le gène Fas (CD95), qui est un récepteur de mort cellulaire important pour la régulation du système immunitaire. Cette mutation entraîne une accumulation excessive de lymphocytes T et B activés, ce qui conduit à la production d'auto-anticorps et à une inflammation généralisée.

En résumé, les souris MRL/lpr sont un modèle animal important pour étudier le lupus érythémateux disséminé et d'autres maladies auto-immunes, en raison de leur développement spontané d'une prolifération lymphocytaire anormale et d'une inflammation systémique.

La Protein Tyrosine Phosphatase, Non-Receptor Type 22 (PTPN22) est une enzyme qui joue un rôle crucial dans la régulation de la réponse immunitaire. Elle est classée comme une phosphatase des tyrosines, ce qui signifie qu'elle retire des groupes phosphates des tyrosines des protéines, ce qui active ou désactive ces protéines et influence ainsi leur fonction. Contrairement à d'autres phosphatases des tyrosines, PTPN22 n'a pas de domaine de liaison au récepteur externe, d'où son nom de non-récepteur.

PTPN22 est exprimée principalement dans les cellules hématopoïétiques, y compris les lymphocytes T et B. Elle régule plusieurs voies de signalisation importantes, notamment la voie du récepteur des cellules T (TCR) et la voie du récepteur du facteur de nécrose tumorale (TNF). En particulier, PTPN22 inhibe la activation des lymphocytes T en déphosphorylant la protéine Lck, une kinase des tyrosines qui est essentielle à l'activation de la voie du TCR.

Les variations du gène PTPN22 ont été associées à plusieurs maladies auto-immunes, telles que le diabète de type 1, la polyarthrite rhumatoïde et la maladie de Crohn. Ces variantes peuvent entraîner une augmentation ou une diminution de l'activité de PTPN22, ce qui peut perturber la régulation appropriée de la réponse immunitaire et conduire au développement de ces maladies.

Les hybridomes sont des lignées cellulaires stables et à longue durée de vie qui sont créées en fusionnant des cellules souches de moelle osseuse immunocompétentes (généralement des lymphocytes B) avec des cellules tumorales immortelles, telles que les myélomes. Cette fusion crée une cellule hybride qui possède à la fois le potentiel d'une cellule souche normale pour produire des anticorps spécifiques et la capacité de croissance illimitée d'une cellule tumorale. Les hybridomes peuvent être utilisés pour produire des anticorps monoclonaux spécifiques à une cible antigénique particulière, ce qui en fait un outil important dans la recherche et le diagnostic médical, ainsi que dans le développement de thérapies immunologiques.

Les chaînes légères des immunoglobulines sont des protéines structurelles importantes qui composent les anticorps, également connus sous le nom d'immunoglobulines. Il existe deux types de chaînes légères : kappa (κ) et lambda (λ). Chaque anticorps est constitué de deux chaînes lourdes et deux chaînes légères, qui sont reliées entre elles par des ponts disulfure pour former la structure tridimensionnelle de l'anticorps.

Les chaînes légères sont synthétisées sur les ribosomes libres du réticulum endoplasmique et contiennent deux domaines constants (C) et un domaine variable (V). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, tandis que les domaines constants sont responsables de la fonction effectrice de l'anticorps.

Les chaînes légères kappa et lambda sont codées par des gènes différents situés sur des chromosomes différents. Chez un individu sain, il y a une distribution équilibrée des chaînes légères kappa et lambda dans le sang et la moelle osseuse. Cependant, certaines affections médicales peuvent entraîner une production anormale de chaînes légères, telles que les gammapathies monoclonales, qui sont des conditions caractérisées par la production excessive d'une seule chaîne légère. Ces conditions peuvent être bénignes ou malignes et nécessitent une évaluation médicale appropriée.

Le complément C4 est une protéine importante du système immunitaire qui joue un rôle clé dans le processus d'activation du complément. Le système du complément est une cascade enzymatique de protéines sériques qui interagissent entre elles pour aider à éliminer les pathogènes et à réguler l'inflammation.

Le complément C4 est activé lorsqu'il se lie à des complexes antigène-anticorps ou à certaines surfaces cellulaires, ce qui entraîne sa division en deux fragments, C4a et C4b. Le fragment C4b peut se lier à des surfaces cellulaires et servir de site pour l'activation d'autres protéines du complément, telles que le C2 et le C3.

Des niveaux anormalement bas ou élevés de complément C4 peuvent indiquer une activation excessive ou insuffisante du système immunitaire et ont été associés à un certain nombre de conditions médicales, notamment les maladies auto-immunes, l'inflammation chronique et les infections. Des tests de dépistage du complément C4 peuvent être utilisés pour aider au diagnostic ou au suivi de ces affections.

Les chaînes légères kappa des immunoglobulines sont une protéine présente dans le sang et les autres fluides corporels. Elles sont produites par un type de globules blancs appelés plasmocytes, qui sont une partie importante du système immunitaire. Les chaînes légères kappa sont des composants essentiels des anticorps (immunoglobulines), qui aident à combattre les infections et les maladies en se liant aux agents étrangers tels que les bactéries, les virus et les toxines.

Les chaînes légères kappa sont appelées "légères" car elles ont une masse moléculaire relativement faible par rapport à d'autres protéines sanguines. Elles sont produites en grande quantité dans le corps, ce qui signifie qu'elles peuvent être facilement détectées et mesurées dans le sang.

Les chaînes légères kappa sont un type spécifique de chaîne légère, l'autre étant les chaînes légères lambda. Les deux types de chaînes légères sont produites en quantités égales dans le corps sain et sont utilisées pour former des anticorps fonctionnels. Cependant, dans certaines maladies du sang telles que les gammapathies monoclonales, une seule chaîne légère est produite de manière excessive, ce qui peut entraîner des déséquilibres et des problèmes de santé.

Dans l'ensemble, les chaînes légères kappa sont un élément important du système immunitaire et jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les agents pathogènes et les maladies.

Les maladies du tissu conjonctif (MTC) représentent un groupe hétérogène de plus de 200 maladies différentes qui affectent les tissus conjonctifs dans tout le corps. Les tissus conjonctifs sont les structures de soutien et de protection du corps, composées principalement de cellules, de fibres de collagène et d'élastine, ainsi que d'une substance fondamentale riche en protéoglycanes et glycosaminoglycanes. Ces tissus sont répandus dans tout le corps, entourant les organes, les vaisseaux sanguins, les muscles et les os, et ils assurent la cohésion, la stabilité et l'intégrité des différents tissus et organes.

Les MTC peuvent affecter la peau, les articulations, les muscles, les tendons, les ligaments, les vaisseaux sanguins et les organes internes. Les symptômes varient considérablement en fonction du type de MTC et de la région du corps touchée. Cependant, certaines caractéristiques communes incluent une inflammation chronique, une fibrose tissulaire excessive (cicatrisation anormale), des lésions vasculaires et une altération de la fonction immunitaire.

Les MTC peuvent être classées en deux catégories principales : les maladies auto-immunes du tissu conjonctif et les maladies héréditaires du tissu conjonctif.

1. Maladies auto-immunes du tissu conjonctif : Ces MTC sont caractérisées par une réponse immunitaire anormale qui attaque et endommage les propres tissus conjonctifs de l'organisme. Les exemples incluent le lupus érythémateux disséminé, la sclérodermie systémique, le syndrome de Sjögren, le syndrome de Gougerot-Sjögren et la polyarthrite rhumatoïde.
2. Maladies héréditaires du tissu conjonctif : Ces MTC sont causées par des mutations génétiques qui affectent la structure et la fonction des protéines du tissu conjonctif. Les exemples incluent le syndrome d'Ehlers-Danlos, la maladie de Marfan, l'ostéogenèse imparfaite (maladie des os de verre) et le pseudoxanthome élastique.

Le diagnostic et le traitement des MTC peuvent être complexes et nécessitent une prise en charge multidisciplinaire par des spécialistes tels que des rhumatologues, des dermatologues, des immunologistes, des cardiologues et des chirurgiens. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments anti-inflammatoires, des immunosuppresseurs, des antifibrotiques, des agents vasoactifs et des thérapies ciblées qui visent à modifier le cours de la maladie.

La rubéole est une infection virale généralement bénigne et hautement contagieuse. Elle est causée par le virus de la rubéole, qui appartient à la famille des Togaviridae et au genre Rubivirus. Le virus se transmet principalement par contact direct avec les gouttelettes respiratoires infectées, bien qu'il puisse également être transmis par voie sanguine ou verticale (de la mère à l'enfant pendant la grossesse).

L'incubation de la rubéole dure généralement 14 à 21 jours. Les symptômes typiques comprennent une éruption cutanée rose pâle ou légèrement rouge qui commence sur le visage et s'étend progressivement vers le tronc et les membres. L'éruption dure généralement 3 jours. D'autres symptômes peuvent inclure des ganglions lymphatiques enflés, une faible fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, ainsi qu'une inflammation de la gorge (pharyngite).

Bien que la rubéole soit généralement bénigne chez les enfants et les adultes en bonne santé, elle peut avoir des conséquences graves lorsqu'elle est contractée pendant la grossesse, en particulier au cours du premier trimestre. Une infection maternelle peut entraîner une fausse couche, une mortinaissance ou une naissance prématurée. De plus, le virus de la rubéole peut traverser la barrière placentaire et infecter le fœtus en développement, provoquant ainsi des anomalies congénitales connues sous le nom de rubéole congénitale. Ces anomalies peuvent affecter divers organes et systèmes du corps, notamment les yeux, les oreilles, le cœur, le cerveau et la peau.

Le diagnostic de la rubéole peut être posé en recherchant des anticorps spécifiques contre le virus dans le sang (IgM et IgG). Des tests de dépistage sérologique peuvent également être utilisés pour identifier les femmes enceintes qui sont immunisées contre la rubéole, ce qui permet de prévenir l'infection congénitale.

La prévention de la rubéole repose sur la vaccination. Le vaccin contre la rubéole est généralement administré sous forme d'une combinaison avec les vaccins contre la rougeole et les oreillons (vaccin ROR). Ce vaccin est recommandé pour tous les enfants à l'âge de 12 à 15 mois, suivi d'un deuxième rappel entre 4 et 6 ans. Les adultes nés après 1957 qui ne présentent pas de preuve d'immunité devraient également être vaccinés. La vaccination est particulièrement importante pour les femmes en âge de procréer, car elle permet non seulement de prévenir la rubéole chez la mère, mais aussi d'éviter les complications graves associées à la rubéole congénitale.

Un auto-antigène est une substance (généralement une protéine ou un polysaccharide) qui est présente dans l'organisme et qui peut déclencher une réponse immunitaire anormale chez certaines personnes. Dans des conditions normales, le système immunitaire ne réagit pas aux auto-antigènes car ils sont reconnus comme étant "propriétaires" de l'organisme.

Cependant, dans certaines situations, telles que lors d'une infection ou d'une maladie auto-immune, le système immunitaire peut commencer à produire des anticorps ou des cellules T qui attaquent les auto-antigènes, entraînant une inflammation et des dommages tissulaires.

Les maladies auto-immunes sont caractérisées par cette réponse anormale du système immunitaire contre ses propres tissus et organes. Les exemples de maladies auto-immunes comprennent la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé, la sclérose en plaques, et le diabète sucré de type 1.

Les gènes des chaînes légères des immunoglobulines sont un ensemble de gènes qui codent les protéines des chaînes légères des immunoglobulines, également connues sous le nom d'anticorps. Les chaînes légères sont des molécules constituantes importantes des immunoglobulines, avec une masse moléculaire inférieure à celle des chaînes lourdes. Elles se composent de deux domaines: un domaine variable (V) et un domaine constant (C). Le domaine variable est responsable de la reconnaissance et de la liaison aux antigènes, tandis que le domaine constant participe à la médiation des effets biologiques des immunoglobulines.

Il existe deux types de chaînes légères: kappa (κ) et lambda (λ). Les gènes correspondants sont situés sur différents chromosomes. Les gènes des chaînes légères comprennent plusieurs segments, notamment les segments variables (V), diversifiants (D) et jointifs (J), qui subissent un processus de recombinaison génétique au cours du développement des lymphocytes B pour produire une grande diversité d'anticorps. Ce processus permet aux lymphocytes B de reconnaître et de répondre à un large éventail d'antigènes.

Les gènes des chaînes légères sont essentiels au fonctionnement du système immunitaire, car ils contribuent à la production d'anticorps spécifiques qui protègent l'organisme contre les agents pathogènes et autres substances étrangères. Les mutations ou les variations de ces gènes peuvent entraîner des maladies telles que les déficits immunitaires, les maladies auto-immunes et certains types de cancer.

Les anomalies des protéines plasmatiques se réfèrent à des variations détectées dans la composition ou la concentration des protéines présentes dans le plasma sanguin. Le plasma est la partie liquide du sang qui contient un large éventail de protéines, y compris les albumines, les immunoglobulines, les protéines de la coagulation et d'autres protéines spécialisées.

Les anomalies des protéines plasmatiques peuvent être quantitatives (concernant la concentration) ou qualitatives (concernant la composition). Elles peuvent résulter de divers processus pathologiques, tels que les maladies inflammatoires, les maladies du foie, les troubles rénaux, les désordres immunitaires et certains cancers.

Les méthodes de laboratoire couramment utilisées pour évaluer les protéines plasmatiques comprennent l'électrophorèse des protéines sériques et l'immunofixation, qui permettent de séparer et d'identifier les différents types de protéines.

Les anomalies détectées peuvent fournir des indices importants pour aider au diagnostic, à la surveillance et à la gestion de diverses affections médicales.

La technique des anticorps fluorescents, également connue sous le nom d'immunofluorescence, est une méthode de laboratoire utilisée en médecine et en biologie pour détecter et localiser les antigènes spécifiques dans des échantillons tels que des tissus, des cellules ou des fluides corporels. Cette technique implique l'utilisation d'anticorps marqués avec des colorants fluorescents, tels que la FITC (fluorescéine isothiocyanate) ou le TRITC (tétraméthylrhodamine isothiocyanate).

Les anticorps sont des protéines produites par le système immunitaire qui reconnaissent et se lient spécifiquement à des molécules étrangères, appelées antigènes. Dans la technique des anticorps fluorescents, les anticorps marqués sont incubés avec l'échantillon d'intérêt, ce qui permet aux anticorps de se lier aux antigènes correspondants. Ensuite, l'échantillon est examiné sous un microscope à fluorescence, qui utilise une lumière excitatrice pour activer les colorants fluorescents et produire une image lumineuse des sites d'antigène marqués.

Cette technique est largement utilisée en recherche et en médecine diagnostique pour détecter la présence et la distribution d'un large éventail d'antigènes, y compris les protéines, les sucres et les lipides. Elle peut être utilisée pour diagnostiquer une variété de maladies, telles que les infections bactériennes ou virales, les maladies auto-immunes et le cancer.

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Polyarthrite rhumatoïde : en association au méthotrexate pour le traitement de la polyarthrite rhumatoïde active, sévère, chez ... dont au moins un inhibiteur du facteur de nécrose tumorale (anti-TNF). Il a été montré que MABTHERA, en association au ... En 2010 et 2011, le risque de réactions fatales chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde et le risque de survenue ...
Toutes ces étapes sont nécessaires avant de passer aux études cliniques, car plusieurs facteurs doivent être déterminés, comme ... le diabète ou larthrite rhumatoïde. ... être utile dans le traitement de maladies qui ont un facteur ...
Polyarthrite rhumatoïde (PR). Une maladie immunitaire La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie auto-immune qui provoque ... Un seul facteur, un seul agent infectieux ou toxique nest à lui seul responsable de laugmentation des cas dautisme. ...
... facteur V Leiden), des tests pour les maladies rhumatismales (p. ex., anticorps antinucléaires, facteur rhumatoïde, VS), les ... Résistance à linsuline (1 Référence pour les facteurs de risque Les accidents vasculaires cérébraux constituent un groupe ... De nombreux facteurs peuvent contribuer à la mort cellulaire nécrotique; ils comprennent la perte des réserves en adenosine ... Ci-après les facteurs de risque modifiables qui contribuent le plus à un risque accru daccident vasculaire cérébral ischémique ...
Commencent alors les examens : prise de sang avec recherche du facteur rhumatoïde, CRP et VS très hautes. Vérification si ce ...
... et le facteur de nécrose tumorale (TNFα) - mise en jeu dans la phase aiguë de linflammation, la réponse immunitaire et ... Inflammation aiguë, inflammation chronique : arthrite rhumatoïde (AR) et ostéoarthrite (OA) - 26/05/23 Doi : 10.1016/j.douler. ... aiguë et chronique et plus particulièrement dans les deux syndromes inflammatoires chroniques de larthrite rhumatoïde (AR) et ...
... se sont révélées bénéfiques pour les personnes souffrant darthrite rhumatoïde. La réduction de linflammation est un facteur ...
Ce problème est aussi mentionné comme un facteur important dans le SIDA, larthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques, et la ... Parce que les symptômes allergiques peuvent être influencés par plusieurs facteurs, incluant les émotions, des études doivent ... être entreprises afin de séparer les effets de la procédure évaluée des effets dautres facteurs [5]. Il y a plusieurs années, ...
Facteur Rhumatoïde : marqueur biologique spécifique de la Polyarthrite Rhumatoïde.. **Enthésiopathie : pathologie touchant les ... Forme polyarticulaire sans Facteur Rhumatoïde (15 à 20%). Touche surtout les filles (2 à 4 filles/1 garçon) entre 1 et 3 ans ... Forme polyarticulaire avec Facteur Rhumatoïde* positif (5%). Touchant surtout les filles (7 filles/1 garçon) dans la tranche ... Cette forme correspond à la forme pédiatrique de la polyarthrite rhumatoïde. Elle touche surtout les articulations distales ( ...
Brève description La polyarthrite rhumatoïde est le rhumatisme inflammatoire chronique le plus répandu. Elle touche environ 1% ... La polyarthrite rhumatoïde est un rhumatisme caractérisé par une inflammation de plusieurs articulations. «Poly» signifie ... Facteurs de risque. Le tabagisme actif est un facteur de risque pour la polyarthrite rhumatoïde. Il existe également des gènes ... à la polyarthrite rhumatoïde (facteur rhumatoïde et anticorps anti-CCP) ou à dautres rhumatismes. Labsence de signes ...
Médical - Système digestif - - Groupe 1 : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24 Groupe 2 : Groupe 3 : BOUCHE, LANGUE, NEZ, DENTS, GLANDES SALIVAIRES, GORGE, ŒSOPHAGE, ESTOMAC, PANCRÉAS, FOIE, VESICULE BILIAIRE, HYPERTONIE, DUODÉNUM, INTESTIN GRÊLE, GROS INTESTIN, COLON ASCENDANT, COLON TRANSVERSE, COLON DESCENDANT, SIGMOÏDE, APPENDICE, RECTUM, CÆCUM, ANUS, AUTRE Groupe 4 :
... pourtant les facteurs de risques sont bien présents. ... On retrouve aussi dautres facteurs de risque, comme être âgée ... de moins de 20 ans ou de plus de 40 ans, une grossesse multiple, le diabète, une maladie des reins, larthrite rhumatoïde, le ... Bien que les principaux facteurs de risques, signes avant-coureurs et symptômes soient les mêmes chez les deux sexes, certains ... Trop de femmes négligent les signes avant-coureurs dune crise cardiaque, pourtant les facteurs de risques sont bien présents. ...
  • La polyarthrite rhumatoïde est un rhumatisme inflammatoire chronique qui touche essentiellement les femmes. (futura-sciences.com)
  • La polyarthrite rhumatoïde débute généralement entre 35 et 55 ans, mais elle peut parfois commencer durant l'enfance. (futura-sciences.com)
  • L'évolution de la polyarthrite rhumatoïde varie d'un patient à un autre. (futura-sciences.com)
  • La polyarthrite rhumatoïde évolue par poussées successives séparées par des périodes d'accalmie. (futura-sciences.com)
  • Dans de rares cas, la polyarthrite rhumatoïde peut se compliquer en vascularite : l'inflammation touche alors des vaisseaux sanguins de n'importe quel organe. (futura-sciences.com)
  • Contrairement à l'arthrose qui est une usure mécanique survenant avec l'âge, la polyarthrite rhumatoïde est une maladie inflammatoire auto-immune. (planetesante.ch)
  • La polyarthrite rhumatoïde est un des rhumatismes inflammatoires les plus fréquents. (planetesante.ch)
  • Polyarthrite rhumatoïde: quels facteurs de risque? (planetesante.ch)
  • La polyarthrite rhumatoïde (également appelé «PR») est la plus fréquente des maladies inflammatoires. (planetesante.ch)
  • Le groupe travaille essentiellement sur deux axes de recherche, 1/ des projets de recherche pharmaco-épidémiologiques sur de larges bases de données observationnelles, 2/ des projets de recherche sur l'étiopathogenèse de la polyarthrite rhumatoïde (PR). (unige.ch)
  • La polyarthrite rhumatoïde est une maladie inflammatoire sévère qui touche les articulations. (inserm.fr)
  • La polyarthrite rhumatoïde est une maladie auto-immunes qui touche entre 0,5 et 1 % de la population adulte, avec une incidence constante à travers le monde. (inserm.fr)
  • La polyarthrite rhumatoïde se manifeste au départ le plus souvent par un enraidissement douloureux et le gonflement de plusieurs articulations , généralement au niveau des poignets, des mains et des doigts. (inserm.fr)
  • Au bout de plusieurs années d'évolution, la polyarthrite rhumatoïde finit par provoquer des déformations articulaires et des destructions des tendons . (inserm.fr)
  • La polyarthrite rhumatoïde est souvent associée à d'autres maladies auto-immunes . (inserm.fr)
  • Les accidents vasculaires ( angine de poitrine , infarctus du myocarde , accidents vasculaires cérébraux) sont également plus fréquents en cas de polyarthrite rhumatoïde qu'en population générale. (inserm.fr)
  • Il faut souligner que la polyarthrite rhumatoïde est une maladie grave qui entraîne une surmortalité . (inserm.fr)
  • Mais en réduisant l'inflammation, les traitements de la polyarthrite rhumatoïde atténuent ces risques. (inserm.fr)
  • La polyarthrite rhumatoïde se caractérise par une inflammation de cette membrane. (inserm.fr)
  • l'arthrite concerne les rhumatismes inflammatoires, parmi lesquels on distingue deux sous-groupes : les inflammations microcristallines (ex : goutte) et les inflammations chroniques ou auto-immunes (ex : polyarthrite rhumatoïde). (chu-angers.fr)
  • Environ 75 % des cas de polyarthrite rhumatoïde présentent un RA Test positif. (ulb-ibc.be)
  • La polyarthrite rhumatoïde est la forme la plus fréquente de polyarthrite. (polyarthrite.ch)
  • Les femmes sont plus susceptibles que les hommes de développer une polyarthrite rhumatoïde. (polyarthrite.ch)
  • L'exposition à certains produits chimiques ou à des polluants environnementaux peut augmenter le risque de développer une polyarthrite rhumatoïde. (polyarthrite.ch)
  • Le stress émotionnel peut contribuer au déclenchement ou à l'aggravation de la polyarthrite rhumatoïde chez certaines personnes. (polyarthrite.ch)
  • Des études ont identifié plusieurs gènes associés à la polyarthrite rhumatoïde, dont le gène HLA-DRB1. (polyarthrite.ch)
  • Des infections virales ou bactériennes peuvent déclencher la polyarthrite rhumatoïde chez certaines personnes, en provoquant une réaction inflammatoire du système immunitaire. (polyarthrite.ch)
  • Le tabagisme est un facteur de risque bien établi pour la polyarthrite rhumatoïde. (polyarthrite.ch)
  • Le stress peut jouer un rôle dans le développement et l'aggravation de la polyarthrite rhumatoïde. (polyarthrite.ch)
  • Comme mentionné précédemment, des prédispositions génétiques peuvent augmenter le risque de développer une polyarthrite rhumatoïde. (polyarthrite.ch)
  • Adopter une alimentation riche en fruits, légumes, grains entiers et protéines maigres peut aider à réduire l'inflammation et le risque de développer une polyarthrite rhumatoïde. (polyarthrite.ch)
  • Comme mentionné précédemment, apprendre à gérer son stress est essentiel pour prévenir et gérer la polyarthrite rhumatoïde. (polyarthrite.ch)
  • Un excès de poids peut exercer une pression supplémentaire sur les articulations, augmentant ainsi le risque de développer une polyarthrite rhumatoïde. (polyarthrite.ch)
  • En conclusion, il existe plusieurs facteurs déclenchants potentiels pour la polyarthrite rhumatoïde. (polyarthrite.ch)
  • Polyarthrite rhumatoïde : comment la traiter? (grephh.fr)
  • La polyarthrite rhumatoïde est une maladie auto-immune invalidante qui se manifeste par des douleurs associées à une perte de mobilité au niveau des articulations. (grephh.fr)
  • Contrairement aux dommages causés par l' arthrose , la polyarthrite rhumatoïde est une maladie qui touche la muqueuse des articulations, causant ainsi un gonflement et une inflammation (à l'origine des douleurs). (grephh.fr)
  • Nombreux sont les facteurs de risque de la polyarthrite rhumatoïde, qui touche plus particulièrement les femmes à partir de 40 ans. (grephh.fr)
  • La polyarthrite rhumatoïde se manifeste par un blocage progressif d'une zone articulaire et par de vives douleurs. (grephh.fr)
  • Parmi les possibilités de traitements de la polyarthrite rhumatoïde, il sera jamais trop recommandé d'opter pour des remèdes d'origine naturelle. (grephh.fr)
  • La bromelaïne est un remède naturel extrêmement utile également pour traiter la douleur des articulations, et notamment la polyarthrite rhumatoïde : car elle va naturellement apaiser les inflammations et réparer les tissus. (grephh.fr)
  • Les maladies auto-immunes peuvent être schématiquement divisées en maladies auto-immunes spécifiques d'organes (diabète type 1, sclérose en plaque, thyroïdite de Hashimoto, etc…) ou en maladies auto-immunes non spécifiques d'organes (lupus systémique, sclérodermie, myosite, polyarthrite rhumatoïde, etc) , encore appelées maladies auto-immunes systémiques . (maladie-autoimmune.fr)
  • D'autres maladies notamment la polyarthrite , l'avant-pied rond, les pieds neurologiques, la rhumatoïde et l' obésité peuvent également provoquer des griffes d'orteils. (informationhospitaliere.com)
  • Lorsque la clinique est douteuse, l'échographie aide au diagnostic de polyarthrite rhumatoïde (PR) en confirmant une atteinte articulaire ou tendineuse inflammatoire. (edimark.fr)
  • Dans la polyarthrite rhumatoïde (PR) et dans la sclérose en plaques (SEP), il existe une fenêtre -d'opportunité thérapeutique. (edimark.fr)
  • L'adalimumab agit en se liant à une protéine spécifique (le facteur de nécrose tumorale ou TNFα) qui est présente en hautes concentrations lors de maladies inflammatoires telles que la polyarthrite rhumatoïde, l'arthrite juvénile idiopathique polyarticulaire, l'arthrite psoriasique, la maladie de Bechterew (spondylarthrite ankylosante), la maladie de Crohn, la colite ulcéreuse, le psoriasis, la maladie de Verneuil et l'uvéite non infectieuse. (creapharma.ch)
  • La polyarthrite rhumatoïde est une maladie inflammatoire des articulations. (creapharma.ch)
  • Hulio est un médicament destiné au traitement de la polyarthrite rhumatoïde active modérée à sévère et indiqué lorsque la réponse aux autres agents antirhumatismaux modificateurs de la maladie (p.ex. (creapharma.ch)
  • le méthotrexate, la sulfasalazine ou l'hydroxychloroquinine) n'est pas suffisante pour limiter les douleurs et les œdèmes des articulations, protéger ces dernières contre (ou ralentir) l'effet néfaste de la polyarthrite rhumatoïde sur les cartilages et les os des articulations et améliorer la fonction physique corporelle. (creapharma.ch)
  • Mains d'une jeune femme atteinte de polyarthrite rhumatoïde. (lefigaro.fr)
  • Elles peuvent toucher l'os ( ostéoporose , qui occasionne des fractures du fait de la fragilité osseuse), ou les articulations (arthrose, arthrite, rhumatismes inflammatoires chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde et la spondylarthrite). (lefigaro.fr)
  • Parmi elles, 9 à 10 millions sont touchées par l'arthrose -une affection chronique qui se manifeste par des douleurs persistantes aux articulations- et 600 000 sont affectées par des rhumatismes inflammatoires chroniques (polyarthrite rhumatoïde et la spondylarthrite). (lefigaro.fr)
  • Il faut également veiller à manger équilibré, afin d'éviter le surpoids et les carences en calcium et vitamine D (cela augmente le risque d'ostéoporose et donc de fracture), ne pas fumer mais aussi entretenir une bonne hygiène dentaire, deux facteurs de risques avérés d'initiation et d'aggravation de la polyarthrite rhumatoïde. (lefigaro.fr)
  • Dans cet article, nous allons faire face à la polyarthrite rhumatoïde et je vais vous montrer ce qu'ils sont soins , la diagnostic et la thérapie être capable de le guérir. (vemrent.com)
  • Polyarthrite rhumatoïde il s'agit d'une maladie chronique pouvant affecter les hommes et les femmes (bien qu'elle soit plus courante chez les femmes). (vemrent.com)
  • Maintenant que vous avez compris ce qu'est la polyarthrite rhumatoïde, je vais vous montrer quelles sont les parties du corps que le polyarthrite rhumatoïde il affecte et quels sont ses symptômes. (vemrent.com)
  • Maintenant que nous avons fait une image générale du polyarthrite rhumatoïde et nous comprenons ce que c'est et surtout quels sont ses symptômes pour pouvoir commencer à le traiter, découvrons quels sont les traitements. (vemrent.com)
  • La chose la plus importante, même si elle pourrait être triviale, est un contrôle constant de la polyarthrite rhumatoïde , afin de surveiller la maladie étape par étape. (vemrent.com)
  • Pour conclure il y a Médicaments biologiques utilisé par les malades de polyarthrite rhumatoïde active , après 2, des années de cures sans bénéfices avec les antirhumatismaux classiques. (vemrent.com)
  • polyarthrite rhumatoïde, maladie de la thyroïde, maladie de Parkinson) ou lié à la prise de certains médicaments (p. ex. (opto.ca)
  • dossier La polyarthrite rhumatoïde est une maladie articulaire chronique progressive. (passionsante.be)
  • On estime qu'environ 1 % de la population souffre de polyarthrite rhumatoïde. (passionsante.be)
  • Les symptômes de la polyarthrite rhumatoïde sont les suivants : douleur et gonflement relativement soudains d'une ou de plusieurs articulations, raideur et perte de force. (passionsante.be)
  • La polyarthrite rhumatoïde débute (généralement) au niveau des articulations des mains et des pieds. (passionsante.be)
  • Dans de très rares cas de polyarthrite rhumatoïde sévère (touchant plus de 30 articulations et répondant difficilement aux traitements), la mort prématurée est inévitable. (passionsante.be)
  • Il est impossible d'empêcher l'apparition d'un rhumatisme inflammatoire tel que la polyarthrite rhumatoïde. (passionsante.be)
  • Selon une étude menée par des chercheurs de l'Université de Harvard, récemment publiée dans la revue Annals of Rheumatic Diseases , le taux de mortalité chez les personnes atteintes de polyArthrite rhumatoïde (PR) est le double de celui des personnes non atteintes. (conseilsbeautesante.com)
  • Beaucoup d'individus atteints de polyArthrite rhumatoïde ont une protéine appelée Facteur Rhumatoïde . (conseilsbeautesante.com)
  • Dans l'un et l'autre cas, je m'étonne que vous ayez des difficultés à faire reconnaître votre maladie, car on ne peut pas exclure le diagnostic de polyarthrite rhumatoïde sur l'un ou l'autre de ces arguments. (polyarthrite.ch)
  • Globalement, les chercheurs constatent une baisse statistiquement et cliniquement significative des scores DAS28_CRP chez les personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde qui consomment au moins 2 fois du poisson par semaine vs ceux qui n'en consomment jamais ou moins d'une fois par mois. (medscape.com)
  • Citer cet article: Manger du poisson atténuerait les symptômes de polyarthrite rhumatoïde - Medscape - 5 juil 2017. (medscape.com)
  • C'est également le cas des pathologies ostéo-articulaires inflammatoires comme la polyarthrite -rhumatoïde , l' arthrose ou les lombalgies chroniques . (journaldesfemmes.fr)
  • Puis sur plusieurs contrats courts de recherche, notamment à Évry-Courcouronnes en 2000 sur la génétique de la polyarthrite rhumatoïde. (univ-evry.fr)
  • Par exemple, dans la polyarthrite rhumatoïde, les patients souffrent de plusieurs choses à la fois : l'érosion des os, la prolifération anormale de cellules, etc. (univ-evry.fr)
  • Or, « comprendre les mécanismes de la polyarthrite rhumatoïde permet à terme de cibler plus précisément les thérapies, ou d'en combiner plusieurs plus efficacement », souligne Elisabeth Teixeira-Petit. (univ-evry.fr)
  • Mais elle côtoie régulièrement les personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde, notamment par le biais d'associations de malades, qui aident à faire comprendre au grand public cette maladie, à la médiatiser, et à financer les recherches. (univ-evry.fr)
  • Les auteurs soulignent que cette observation est principalement portée par l'essai ORAL Surveillance, qui avait comparé le tofacitinib aux anti-TNF chez des personnes atteintes de polyarthrite rhumatoïde (PR), âgées de plus de 50 ans, et qui présentaient des facteurs de risque cardiovasculaire importants. (univadis.fr)
  • Objectif : Identifier les facteurs associés aux érosions osseuses dans la polyarthrite rhumatoïde observée à Abidjan. (bvsalud.org)
  • Ont été inclus les patients souffrant d'une polyarthrite rhumatoïde répondant aux critères de l'ACR 1987 et de l'ACR-EULAR 2010, avec des érosions osseuses. (bvsalud.org)
  • Les facteurs qui augmentent le risque de régurgitation/insuffisance des valves cardiaques incluent les maladies congénitales ou préexistantes des valves cardiaques, les affections du tissu conjonctif (par exemple le syndrome de Marfan ou le syndrome d'Ehlers-Danlos), le syndrome de Turner, la maladie de Behçet, l'hypertension artérielle, la polyarthrite rhumatoïde et l'endocardite infectieuse. (medscape.com)
  • Les facteurs de risque conventionnels qui contribuent à l'apparition et à l'aggravation des MCV ont été identifiés et largement étudiés. (medscape.com)
  • Malgré la mise en place de mesures de prévention et de traitement de ces facteurs de risque avec des hypolipidémiants, des antihypertenseurs, des antiplaquettaires et des anticoagulants, le taux de mortalité lié aux MCV reste élevé. (medscape.com)
  • Depuis quelques années, de nouveaux facteurs de risque coronarien sont apparus. (medscape.com)
  • Les nouveaux facteurs de risque coronariens comprennent les maladies suivantes caractérisées par une inflammation systémique. (medscape.com)
  • Le ou les facteurs qui augmentent le risque de maladie coronarienne associée à chacune de ces conditions ne sont pas connus, mais peuvent être le résultat d'une augmentation des cytokines et du stress oxydatif. (medscape.com)
  • Le faible statut socioéconomique est devenu un facteur de risque. (medscape.com)
  • Les longues heures de travail des patients qui ont subi un premier infarctus du myocarde augmentent le risque d'événement récurrent, peut-être en raison d'une exposition prolongée à des facteurs de stress au travail. (medscape.com)
  • Les causes les plus fréquentes de décès prématuré des patients sont des maladies cardiovasculaires, dont la survenue est favorisée par la combinaison de facteurs de risque comme l'hypertension et la dyslipidémie avec l'inflammation chronique. (inserm.fr)
  • En outre, un dysfonctionnement microvasculaire est observé chez certains patients, à l'instar de celui observé chez les diabétiques : il constitue un facteur de risque supplémentaire. (inserm.fr)
  • L'excès de poids est un facteur de risque majeur pour le diabète de type 2. (panosaids.org)
  • La sédentarité est un facteur de risque important pour le diabète de type 2. (panosaids.org)
  • D'autres facteurs, tels que les facteurs environnementaux et hormonaux, peuvent également influencer le risque. (polyarthrite.ch)
  • Les facteurs de risque en sont, par exemple, la dyslipidémie, le diabète sucré et le tabagisme, la sédentarité. (sosaorte.com)
  • Tous ces facteurs augmentent le risque d'apparition d'anévrismes et de dissections aortiques. (sosaorte.com)
  • Le développement d'une gonarthrose est généralement dû à l'accumulation de nombreux facteurs de risque. (passeportsante.net)
  • La liste des facteurs de risque est détaillée ci-dessous. (passeportsante.net)
  • L'âge est un facteur de risque d'inconfort articulaire, plus fréquent chez les personnes âgées. (yourpillstore.com)
  • De plus, s'adonner à des activités très éprouvantes ou avoir exercé des métiers exigeants physiquement pendant des années sont d'autres facteurs de risque d'inconfort articulaire. (yourpillstore.com)
  • Son travail consiste alors à chercher les facteurs de risque génétique, et à comprendre comment ces gènes interagissent entre eux et avec l'environnement . (univ-evry.fr)
  • À la suite des premières autorisations de mise sur le marché qui leur ont été accordées, des signaux sont apparus à type de surrisque de tumeurs malignes et d'événements cardiovasculaires majeurs dans une population âgée ayant des facteurs de risque. (univadis.fr)
  • La question du risque associé aux autres anti-JAK reste posée, et la généralisation de ces données aux personnes de moins de 50 ans et sans facteurs de risque cardiovasculaire supplémentaires également. (univadis.fr)
  • Certains facteurs de risque ont cependant été identifiés, et ce sont des facteurs qui peuvent augmenter votre risque de développer un lymphome, mais qui n'en sont pas nécessairement la cause. (lymphoma.org.au)
  • A facteur de risque est quelque chose qui augmente vos chances de contracter un lymphome, mais cela ne signifie pas que vous aurez un lymphome. (lymphoma.org.au)
  • Il en est de même pour les facteurs de risque. (lymphoma.org.au)
  • Si vous avez un facteur de risque, vous avez un risque plus élevé chance de contracter un lymphome qu'une personne sans facteur de risque, mais cela ne signifie pas que vous l'aurez. (lymphoma.org.au)
  • Et ce n'est pas parce qu'une personne n'a pas le facteur de risque qu'elle n'aura pas non plus de lymphome. (lymphoma.org.au)
  • Donc, le facteur de risque est comme un jeu de hasard. (lymphoma.org.au)
  • Ce n'est pas un facteur de risque, car chaque fois que vous augmentez la chaleur dans cette situation, l'œuf va cuire, et chaque fois qu'il n'y a pas de chaleur, l'œuf ne cuit pas. (lymphoma.org.au)
  • Vous trouverez ci-dessous des facteurs de risque connus pour augmenter vos chances de contracter un lymphome ou une LLC. (lymphoma.org.au)
  • Cependant, tous les facteurs de risque ne sont pas pertinents pour tous les sous-types de lymphome. (lymphoma.org.au)
  • Lorsqu'un sous-type spécifique est associé aux facteurs de risque, nous avons ajouté le sous-type. (lymphoma.org.au)
  • Si aucun sous-type n'est mentionné, le facteur de risque est un facteur de risque général qui peut augmenter votre risque de contracter l'un des sous-types. (lymphoma.org.au)
  • Sinon, cliquez sur la flèche à côté des facteurs de risque ci-dessous pour en savoir plus. (lymphoma.org.au)
  • Ce n'est pas à cause d'une maladie familiale, mais peut-être parce que les familles peuvent être exposées à différents types de facteurs de risque, tels que des produits chimiques ou des infections. (lymphoma.org.au)
  • D'autres facteurs de risque, parmi lesquels l'urbanisation, qui entraîne l'accroissement des surfaces dures, devraient contribuer également à l'augmentation du nombre de fractures. (who.int)
  • Le rapport passe en revue les points suivants : formation normale du tissu osseux, causes et facteurs de risque de l'ostéoporose, impact de la maladie en termes de mortalité, de morbidité et de coût économique, méthodes documentées de prévention et de traitement (pharmacologique ou non) et analyse du coût des interventions potentielles, élaboration des politiques nationales. (who.int)
  • Les FR ne sont pas des marqueurs très spécifiques de la PR car ils sont détectés dans de nombreuses autres circonstances cliniques Les facteurs rhumatoïdes IgM ont une bonne valeur pronostique car des taux élevés au début de la maladie sont prédictifs d'une maladie articulaire sévère (destructrice) et de l'apparition éventuelle de signes extra-articulaires (nodule et vasculite rhumatoïde). (wikipedia.org)
  • La communauté scientifique s'accorde à dire que cette maladie résulte d'une combinaison de prédispositions génétiques et de l'exposition à des facteurs environnementaux (probablement à des infections). (printo.it)
  • Les douleurs polyarticulaires et les polyarthrites sont généralement des maladies systémiques, résultant soit d'une infection mais aussi d'une maladie auto-immune , ou encore d'un facteur génétique . (doctonat.com)
  • Divers facteurs peuvent être à l'origine de la rougeur d'une articulation. (ligues-rhumatisme.ch)
  • Après ajustement pour les facteurs démographiques, les médicaments antirhumatismaux modificateurs de la maladie (DMARD) biologiques, la supplémentation en huile de poisson et le tabagisme, l'analyse de régression linéaire montre que le score DAS28-CRP est inférieur de 0,49 chez les personnes qui consomment au moins deux fois du poisson par semaine vs ceux qui n'en consomment jamais ou moins d'une fois par mois (IC 95 %, -0,97 à -0,02). (medscape.com)
  • Contrairement à l'arthrose, l'arthrite rhumatoïde concerne souvent plusieurs articulations. (ligues-rhumatisme.ch)
  • Généralement, les articulations terminales des doigts ne sont pas concernées par l'arthrite rhumatoïde. (ligues-rhumatisme.ch)
  • Hulio peut aussi être utilisé lorsque l'arthrite rhumatoïde vient d'être diagnostiquée et n'a pas été auparavant traitée par le méthotrexate. (creapharma.ch)
  • L'arthrite rhumatoïde a tendance à générer des douleurs aiguës ou périodiques. (ligues-rhumatisme.ch)
  • Vous pouvez l'atteindre aussi si vous présentez de maladies comme le diabète, la goutte, l'insuffisance rénale, l'arthrite rhumatoïde et les problèmes thyroïdiens. (vivreplus.fr)
  • On recherche une augmentation de la vitesse de sédimentation sédimentation , signe de l'inflammation, et des auto-anticorps : facteurs rhumatoïdes et anticorps anticorps anti-CCP. (futura-sciences.com)
  • Le RA Test a pour but la mise en évidence du facteur rhumatoïde (auto-anticorps anti-IgG). (ulb-ibc.be)
  • Le deuxième axe de recherche est l'étude des facteurs de risques de développer une PR. (unige.ch)
  • Pour accéder aux contenus publiés sur Edimark.fr vous devez posséder un compte et vous identifier au moyen d'un email et d'un mot de passe. (edimark.fr)
  • Au cours d'un examen de la vue, votre optométriste vous posera des questions sur votre état de santé en général, les médicaments que vous prenez et votre environnement à la maison et au travail pour déterminer s'il y a des facteurs qui peuvent causer les symptômes de l'œil sec. (opto.ca)
  • présence de facteur rhumatoïde dans le sang (il s'agit d'un type spécifique d'anticorps dans le sang qui, toutefois, est également présent dans d'autres affections). (passionsante.be)
  • La recherche d'un lien entre des facteurs epidemiologiques et les etiologies a ete faite grace au test de Khi deux de Pearson. (bvsalud.org)
  • L'augmentation des facteurs de stress psychosociaux, les opportunités éducatives et économiques limitées et le manque d'influence des pairs favorisant des choix de vie plus sains peuvent être des éléments conduisant à une maladie coronarienne plus fréquente chez les personnes ayant des conditions de vie socio-économiques faibles. (medscape.com)
  • Cette même équipe de chercheurs a constaté que 9 personnes sur 10 portant le facteur rhumatoïde sont décédées durant les 2 années de leur suivi. (conseilsbeautesante.com)
  • Bien plus, ce facteur rhumatoïde peut être présent chez des personnes qui n'ont pas et qui n'auront pas cette maladie. (polyarthrite.ch)
  • La recherche de facteurs rhumatoïdes ne se justifie que dans une circonstance : un rhumatisme inflammatoire débutant en particulier dans les formes oligo- et poly-articulaires. (wikipedia.org)
  • Les FR IgM et IgA ne fluctuent pas parallèlement à la maladie ou à l'efficacité des traitements. (wikipedia.org)
  • Ainsi, nous avons pu démontrer le rôle des facteurs hormonaux féminins, notamment de la chute brutale du taux d'œstrogènes autour de la péri-ménopause. (unige.ch)
  • Les valeurs de référence varient en fonction de plusieurs facteurs, notamment du laboratoire qui les fournit. (msdmanuals.com)
  • En ce qui concerne les facteurs non pathologiques pouvant favoriser ce mal, on distingue notamment les chaussages trop restreints ou trop hauts . (informationhospitaliere.com)
  • Une infection, une maladie auto-immune ou encore un facteur génétique peuvent être à l'origine de ces douleurs. (doctonat.com)
  • Même sans une analyse de sang, si la RA vous provoque de graves douleurs, il est possible que vous ayez le Facteur Rhumatoïde . (conseilsbeautesante.com)
  • Comme indiqué précédemment, les douleurs articulaires peuvent résulter de divers facteurs, dont certains peuvent être présents simultanément. (yourpillstore.com)
  • Des facteurs hormonaux tels que la grossesse et la ménopause peuvent jouer un rôle dans le déclenchement de la maladie. (polyarthrite.ch)
  • De nombreux facteurs peuvent contribuer à l'œil sec, y compris le vieillissement, les changements hormonaux, l'exposition aux rayons UV, les conditions environnementales (p. ex. (opto.ca)
  • Les facteurs rhumatoïdes sont des anticorps dirigés contre le fragment Fc des IgG ( immunoglobulines immunoglobulines de type G, une catégorie d'anticorps). (futura-sciences.com)
  • Pour toutes ces raisons, il serait erroné de se fier uniquement à la présence de ce facteur pour poser le diagnostic de PR. (polyarthrite.ch)
  • parfois) des facteurs rhumatoïdes positifs dans le sang. (passionsante.be)
  • Les facteurs rhumatoïdes et les anti-CCP étaient positifs respectivement chez 37,93% et 34,4% des patients. (bvsalud.org)
  • Le facteur rhumatoïde est une immunoglobuline anti-IgG dirigée contre le fragment Fc. (wikipedia.org)
  • En cas d'arthrite rhumatoïde, l'activité inflammatoire a parfois une influence sur l'ensemble de l'organisme. (ligues-rhumatisme.ch)
  • On note également comme facteur, la grande laxité des ligaments ou des tendons, ainsi qu'une écorchure traumatique à l'orteil. (informationhospitaliere.com)
  • Ce facteur rhumatoïde se positive tardivement : il est le plus souvent négatif dans la première année de la maladie. (polyarthrite.ch)
  • Ceci est également vrai pour les facteurs qui, à long terme, modifient l'intégrité des artères et facilitent le développement de l'athérosclérose. (sosaorte.com)