Une protéine dérivée de fibrinogène en présence de thrombine, qui forme un élément du caillot.
Un tissu ou commercial autologue adhésif contenant du fibrinogène et thrombine. Le médicament commercialisé est un système composant de deux du plasma humain, qui contient plus de fibrinogène et thrombine. Le premier élément concentré contient du fibrinogène, facteur VIII, de la fibronectine, et des traces d'autres protéines plasmatiques, la seconde correspondant contient la thrombine, chlorure de calcium et antifibrinolytic des agents tels que inhibiteur Trypsique Pancréatique Kunitz. Le mélange des deux composants favorise la coagulation du sang et la formation et de la fibrine étant. Le tissu adhésif est utilisé pour le collage tissulaire, hémostase et blessure de guérison.
Protéine soluble protéolytique fragments formé par l'action de la plasmine. Ni de fibrinogène en fibrine P.D.A et leurs complexes profondément altérer le processus hémostatique et sont une cause majeure de coagulation intravasculaire hémorragie dans et de la fibrinolyse.
Par la thrombine coagulé plasma glycoprotéine composée d'un dimère d non-jumelle trois paires de polypeptide chaînes (alpha, bêta, gamma) tenu ensemble par disulfures obligations. Fibrinogène sanguine impliquant sol-gel changement moléculaire complexe arrangements ; considérant que le fibrinogène est fendu par la thrombine pour former polypeptides A et B, l'action de rendements d ’ autres enzymes protéolytiques fibrinogène différents produits de dégradation.
La dissolution enzymatique naturel de fibrine.
Substances indiqué pour provoquer l ’ adhésion des tissus pour des tissus ou tissus pour non-tissue surfaces, comme pour prothèses.
Deux petites chaînes peptidiques retiré du N-terminal segment du beta chaînes du fibrinogène par l'action de la thrombine. Chaque chaîne peptidique contient 20 acides aminés. La suppression des en fibrinopeptides B est pas requise pour la coagulation.
Le processus de l'interaction de la coagulation du sang FACTEURS qui en résulte une insoluble caillot fibrineux.
Un de l'enzyme protéolytique obtenu du venin d'fer-de-lance (Bothrops Atrox). Il est utilisé comme coagulant pour fibrinogène plasmatique et pour la détection du fibrinogène produits de dégradation. La présence d'héparine n 'interfère pas avec le test de coagulation. Hemocoagulase est un mélange contenant batroxobin et le facteur X activateur. CE 3.4.21.-.
Deux petites chaînes peptidiques retiré du N-terminal segment de la chaîne alpha du fibrinogène par l'action de thrombine pendant le processus de coagulation sanguine. Chaque chaîne peptidique contient 18 acides aminés. In vivo, fibrinopeptide A est utilisé comme un marqueur pour déterminer le taux de conversion du fibrinogène en fibrine par la thrombine.
Une enzyme (plasmatiques fibrin-stabilizing TRANSGLUTAMINASES) qui est activé par la thrombine et CALCIUM pour former facteur Xiiia. Il est important pour stabiliser la formation du caillot fibrineux (polymère) dont l'apogée la cascade de la coagulation.
Un produit de la lyse de plasminogène (profibrinolysin) par activateurs du plasminogène. Elle se compose de deux polypeptide chaînes, la lumière (B) et lourd (A), avec un poids moléculaire de 75 000 $. C'est la principale enzyme impliquée dans protéolytique caillot rétractation ou la lyse de fibrine et rapidement inactivé par antiplasmins.
Précurseur de la plasmine (Fibrinolysin). C'est un poids moléculaire de Single-Chain beta-globulin 80-90,000 trouve surtout en association avec le fibrinogène plasmatique, le changer en activateurs du plasminogène Fibrinolysin. Il est utilisé en blessure débrider et a été étudié en agent thrombolytique.
Fibrinogens qui ont une anomalie fonctionnelle suite à un ou plusieurs des substitutions d ’ acides aminés dans la séquence des aminoacides de fibrinogène normaux. Des anomalies du fibrinogène molécule peut altérer les principales étapes à la conversion du fibrinogène en fibrine stabilisé tels que le clivage du par la thrombine, et en fibrinopeptides polymérisation de fibrine. Le résultat étant dysfibrinogenemias peut être cliniquement silencieux ou peut être associé à des saignements, thromboses ou déficiente cicatrisation.
Facteur XIII activée, une forme de transglutaminase, qui stabilisent la formation du caillot fibrineux (polymère terminant la cascade de coagulation sanguine).
Une enzyme formé de prothrombine qui convertit le fibrinogène en fibrine.
Une enzyme fraction du venin de crotale le Malayan, Agkistrodon rhodostoma. Il y a catalyse l ’ hydrolyse de plusieurs des acides aminés et un ester protéolyse limitée du fibrinogène. C'est utilisé pour produire defibrination contrôlées chez les patients nécessitant un traitement anticoagulant. CE 3.4.21.-.
Un membre de la superfamille Serpin retrouvés dans le plasma qui inhibe la lyse de fibrine sont induites par les caillots qui du plasminogène. C'est une glycoprotéine de poids moléculaire d ’ environ 70 000 qui migre dans la région alpha 2 immunoelectrophoresis. C'est le principal plasmine Inactivator dans le sang très rapidement, formant un complexe stable avec de la plasmine.
Un de l'enzyme protéolytique dans la famille retrouvé dans de nombreux tissus qui transforme le plasminogène à Fibrinolysin. Il a fibrin-binding activité et est immunologiquement différent de plasminogène UROKINASE-TYPE ACTIVATOR. La séquence primaire, composé de 527 acides aminés est identique dans les protéases synthétique et naturelle.
Le déficit ou l ’ absence de fibrinogène dans le sang.
Formation et le développement du thrombus ou caillot dans le vaisseau sanguin.
Un groupe hétérogène de plasminogène convertibles pour les enzymes protéolytiques Fibrinolysin. Elles sont concentrées dans les lysosomes de la plupart des cellules et dans l ’ endothélium vasculaire, en particulier dans les vaisseaux de la microcirculation.
Colloïdes phase continue avec un solide et liquide que le dispersés phase ; gels est instable quand, en raison de la température ou tout autre fléau, l'liquéfie phase solide ; le colloid s'appelle un Sol.
Temps de coagulation du plasma thrombine mélangés avec une solution. C'est une épreuve de la conversion du fibrinogène en fibrine ce qui est allongée d ’ AFIBRINOGENEMIA, augmentation anormale du fibrinogène, ou la présence de substances inhibitrices fibrin-fibrinogen des produits de dégradation, par exemple, ou HEPARIN. BATROXOBIN, une enzyme thrombin-like pas affectée par la présence d'héparine, peuvent être utilisés en place de la thrombine.
Un agent antifibrinolytic qui agit en inhibant activateurs du plasminogène, qui ont des propriétés fibrinolytiques.
Un trouble caractérisé par des substances procoagulante entrant dans la circulation générale causant un processus thrombotique systémique. L'activation de la coagulation mécanisme peut provenir de plusieurs troubles. La plupart des patients qui ont des lésions cutanées, manifeste conduisant quelquefois à purpura fulminans.
Médicaments agissant sur la fonction de fibrine dans la coagulation du sang. Ils ont utilisé comme coagulant pour tampons antiacides ANTI-COAGULANTS pour la thrombose ou hémorragie cérébrale.
Un de l'enzyme protéolytique qui transforme le plasminogène à Fibrinolysin où le décolleté est préférentielle entre arginine et valine. Il fut isolé originaire d'urine humaine, mais se trouve dans la plupart des tissus de la plupart vertébrés.
Examens de laboratoire pour évaluer l'individu coagule mécanisme.
Non-nucleated disk-shaped formés dans les cellules Megakaryocyte et trouvée dans le sang de tous les mammifères. Ils sont principalement impliqué dans la coagulation sanguine.
Substances agissant pour arrêter l'écoulement du sang, absorbable hemostatics arrestation saignement soit par la formation de caillot ou en proposant une matrice mécanique qui facilite coagulation quand appliquer directement sur le saignement surface. Ces agents un fonctionnement plus au niveau capillaire et n'est pas efficace à exercées artérielle ou veineuse de saignement sous pression intravasculaire.
Électrice composée de protéines et Phospholipid c'est largement distribuée dans beaucoup de mouchoirs. Il sert comme un cofacteur avec le facteur VIIa au facteur X activé dans la voie extrinsèque de la coagulation sanguine.
Analyse basée sur le phénomène chimique, lumière, passant à travers un médium aux particules dispersés d'une autre de l'index de réfraction de celui de la discipline est atténuée par les disperse. Dans d ’ intensité Turbidimétrie, l'intensité de lumière transmis par l'intermédiaire, la lumière, se mesure unscattered. Dans nephelometry, l'intensité de la lumière est mesuré, mais pas nécessairement. À angle droit à l'incident rai de lumière.
Le processus qui spontanément arrestations le flux de sang de vaisseaux transportant du sang sous pression. Tout est accompli par la contraction des vaisseaux, adhérence et l ’ agrégation plaquettaire de formé sang éléments érythrocytes AGGREGATION (par exemple), et le processus de coagulation du sang.
Agents qui empêchent fibrinolyse ou lyse d ’ un caillot de sang ou caillot. Plusieurs antiplasmins endogène est connue. La drogue a été utilisée pour contrôler une hémorragie massive et en d'autres troubles de la coagulation.
Troubles thrombotiques et hémorragiques observés suite à des anomalies du bilan de coagulation en raison d'une variété de facteurs tels que des protéines de coagulation du sang ; DISORDERS DISORDERS plaquettaire ; sang ou des protéines DISORDERS conditions nutritionnel.
Transglutaminases étant catalyser de protéines à la glutamine dans une chaîne avec lysine dans une autre chaîne. Ils incluent des kératinocytes (transglutaminase TGM1 ou TGK), les tissus transglutaminase (TGM2 ou TGC), les concentrations plasmatiques transglutaminase impliqué avec la coagulation (facteur XIII et facteur Xiiia), follicule pileux transglutaminase, et de la prostate transglutaminase structures diffèrent. Cependant, ils partagent un site actif (YGQCW) et une dépendance CALCIUM strict.
Un écran plasma alpha 2 glycoprotéine qui représente la principale activité antithrombine de plasma normal et inhibe également plusieurs autres enzymes. Il est membre des superfamille Serpin.
Microscopie dans lequel l'objet est examiné directement par arriver à scanner le spécimen point par point. L'image est construit en détectant les produits de spécimen interactions qui sont projetée au dessus de l'avion de l'échantillon, tels que backscattered électrons. Quoique qu'TRANSMISSION électron microscopie également scans le spécimen point par point avec l'électron poutre, l'image est construit en détectant les électrons, ou leur interaction médicaments qui sont transmis par l'échantillon avion, donc c'est une forme de TRANSMISSION électron microscope.

La fibrine est une protéine fibreuse insoluble qui joue un rôle crucial dans la coagulation du sang et la formation de caillots sanguins. Elle est produite à partir de la fibrinogène, une protéine plasmatique soluble, sous l'action de la thrombine, une enzyme activée pendant le processus de coagulation sanguine. La fibrine forme un réseau tridimensionnel qui capture les plaquettes et les globules rouges, aboutissant à la formation d'un caillot stable pour arrêter le saignement.

Dans un contexte médical, des taux élevés de fibrine ou de fibrinogène peuvent indiquer un risque accru de thrombose et de maladies cardiovasculaires. Des tests sanguins spécifiques, comme le dosage du fibrinogène ou la recherche de la fibrinolyse défectueuse, peuvent être utilisés pour évaluer ces risques et orienter les décisions thérapeutiques.

En outre, des médicaments appelés thrombolytiques ou agents fibrinolytiques sont parfois prescrits pour dissoudre les caillots sanguins en dégradant la fibrine. Ces traitements sont principalement utilisés dans le cadre de maladies telles que l'infarctus du myocarde, l'embolie pulmonaire et l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu.

La colle fibrine est un matériau utilisé dans les applications médicales comme agent adhésif tissulaire. Elle est dérivée du processus de coagulation sanguine et est essentiellement une substance collante composée de fibrine, qui est une protéine fibreuse formée à partir de la fibrinogène dans le sang lors de la coagulation.

Dans un contexte médical, la colle fibrine peut être utilisée pour aider à arrêter les saignements, réparer les tissus endommagés et promouvoir la guérison. Elle est souvent appliquée sous forme liquide, qui se solidifie rapidement une fois en contact avec des surfaces humides, telles que les tissus vivants. Ce processus de polymérisation rapide permet à la colle fibrine de créer un lien fort et durable entre les surfaces, ce qui en fait un outil utile dans diverses procédures médicales, y compris la chirurgie, la médecine des traumatismes et la dermatologie.

Cependant, il est important de noter que l'utilisation de colle fibrine peut comporter certains risques, tels que des réactions allergiques, une inflammation locale ou une infection. Par conséquent, son utilisation doit être soigneusement évaluée et surveillée par un professionnel de la santé qualifié.

Les produits de dégradation de la fibrine (PDF) sont des fragments protéiques résultant de la dégradation enzymatique de la fibrine, une protéine clé impliquée dans la formation du caillot sanguin. Les PDF sont générés lorsque les plasminogènes activés, des enzymes présentes dans le sang, clivent la fibrine en petits morceaux pendant le processus de fibrinolyse, qui est la dissolution des caillots sanguins.

Les PDF sont composés de plusieurs peptides et polypeptides, dont les plus importants sont les produits D et E, également appelés D-dimères et E-dimères respectivement. Les D-dimères sont des marqueurs couramment utilisés pour diagnostiquer ou exclure la thrombose veineuse profonde (TVP) et l'embolie pulmonaire (EP), deux affections graves associées à la formation de caillots sanguins dans les vaisseaux sanguins.

Des niveaux élevés de PDF, en particulier des D-dimères, peuvent indiquer une activité fibrinolytique accrue ou une thrombose active, ce qui peut être utile pour le diagnostic et la surveillance des maladies thromboemboliques.

Le fibrinogène est une protéine plasmatique produite par le foie qui joue un rôle crucial dans la coagulation sanguine. Dans des conditions physiologiques, il circule dans le sang sous forme inactive. Lorsqu'il est activé au cours du processus de coagulation, il est converti en fibrine, une protéine essentielle à la formation d'un caillot sanguin solide. Cette conversion est déclenchée par la thrombine, une autre protéine impliquée dans la coagulation. Le fibrinogène a donc un rôle central dans l'hémostase, le processus qui permet de stopper les saignements après une blessure. Des taux anormaux de fibrinogène peuvent être associés à des troubles de la coagulation, comme l'hypofibrinogénémie (taux bas) ou la dysfibrinogénémie (anomalie de la structure du fibrinogène).

La fibrinolyse est un processus naturel dans le corps où des enzymes, appelées plasminogène et plasmine, décomposent les fibres de fibrine pour dissoudre les caillots sanguins. Ce mécanisme contribue à la fluidité du sang et empêche la formation excessive de caillots qui pourraient obstruer les vaisseaux sanguins. Dans un contexte médical, la fibrinolyse peut également faire référence à l'utilisation thérapeutique d'agents pharmacologiques, tels que l'alteplase (Activase), pour dissoudre les caillots sanguins dans des conditions telles qu'un infarctus du myocarde aigu ou un accident vasculaire cérébral. Ces médicaments imitent l'action de la plasmine et favorisent la dégradation de la fibrine, facilitant ainsi la reperméabilisation des vaisseaux sanguins obstrués.

Les adhésifs tissulaires, également connus sous le nom de colle chirurgicale, sont des agents utilisés en médecine et en chirurgie pour coller ou sceller des tissus humains. Ils sont conçus pour remplacer ou compléter les sutures et les agrafes traditionnelles dans certaines procédures médicales et chirurgicales.

Les adhésifs tissulaires peuvent être synthétiques ou naturels, et ils fonctionnent en créant une liaison chimique entre deux surfaces tissulaires pour maintenir la coaptation des bords coupés ou endommagés. Les propriétés de ces adhésifs varient en termes de force d'adhérence, de temps de durcissement, de biocompatibilité et de cytotoxicité.

Les adhésifs tissulaires sont utilisés dans divers domaines médicaux, notamment la chirurgie générale, la neurochirurgie, l'ophtalmologie, la dermatologie, la stomatologie et la cardiologie. Ils peuvent être utiles pour fermer des plaies cutanées simples, réparer des tissus mous, sceller des vaisseaux sanguins et des fistules, et fixer des dispositifs médicaux aux tissus humains.

Cependant, il est important de noter que les adhésifs tissulaires ne sont pas appropriés pour toutes les situations chirurgicales ou médicales. Leur utilisation doit être soigneusement évaluée en fonction des avantages et des risques potentiels pour chaque patient et chaque procédure spécifique.

Le fibrinopeptide B est une petite molécule qui est clivée et libérée lors de la conversion du fibrinogène en fibrine pendant le processus de coagulation sanguine. Le fibrinogène est une protéine plasmatique majeure, synthétisée par le foie, qui joue un rôle crucial dans la formation des caillots sanguins.

Lorsque le fibrinogène est converti en fibrine sous l'action de la thrombine, il subit une série de modifications chimiques qui aboutissent à la formation d'un réseau tridimensionnel de fibres de fibrine, stabilisé par des facteurs de coagulation et des protéines plasmatiques.

Le fibrinopeptide B est libéré lorsque la thrombine clive spécifiquement les résidus d'arginine aux extrémités des chaînes alpha et beta du fibrinogène, ce qui entraîne la formation de monomères de fibrine. Ces monomères peuvent alors polymériser pour former des fibres de fibrine, qui forment finalement le caillot sanguin.

Par conséquent, la mesure du taux de fibrinopeptide B dans le sang peut être utilisée comme marqueur de l'activation de la coagulation et de la formation de caillots sanguins. Des niveaux élevés de fibrinopeptide B peuvent indiquer une activation excessive de la coagulation, ce qui peut se produire dans certaines conditions pathologiques telles que la thrombose, l'infarctus du myocarde et les accidents vasculaires cérébraux.

La coagulation sanguine, également appelée hémostase, est un processus complexe et vital qui empêche la perte excessive de sang après une blessure ou une lésion vasculaire. Il existe deux principales phases dans ce processus :

1. Hémostase primaire : Cette phase implique la constriction des vaisseaux sanguins endommagés et l'activation plaquettaire pour former un bouchon temporaire appelé thrombus plaquettaire ou « caillot blanc ». Les facteurs de coagulation ne sont pas encore impliqués à ce stade.

2. Hémostase secondaire : Dans cette phase, une cascade enzymatique complexe est déclenchée, aboutissant à la formation d'un caillot sanguin stable ou « caillot rouge ». Ce processus implique plusieurs facteurs de coagulation (protéines plasmatiques) qui s'activent mutuellement et convertissent le fibrinogène en fibrine, créant ainsi un réseau tridimensionnel dans lequel les globules rouges et les autres composants cellulaires du sang sont piégés.

Plusieurs facteurs de coagulation, précurseurs inactifs (zymogènes), sont stockés dans le foie sous forme de protéines plasmatiques. Ils peuvent être activés par des traumatismes tissulaires directs ou indirectement via des voies de activation extrinsèque, intrinsèque et commune. Les déséquilibres dans ce système complexe peuvent entraîner des troubles hémostatiques, tels que des coagulations excessives (thrombose) ou insuffisantes (hémorragie).

La batroxobine est une substance active présente dans le venin du serpent Bothrops atrox, également connu sous le nom de fer-de-lance. Il s'agit d'une thrombine comme enzyme qui favorise la coagulation sanguine en convertissant le fibrinogène en fibrine.

Dans un contexte médical, la batroxobine est parfois utilisée dans des recherches et des essais cliniques pour étudier la coagulation sanguine et l'hémostase. Cependant, il n'est pas approuvé comme médicament ou traitement aux États-Unis ou dans d'autres pays développés en raison de préoccupations concernant son innocuité et son efficacité.

L'utilisation de batroxobine est associée à des risques, notamment une coagulation sanguine excessive (coagulopathie) et un saignement excessif (hémorragie). Par conséquent, son utilisation doit être strictement contrôlée et surveillée par des professionnels de la santé qualifiés.

Le fibrinopeptide A est un peptide qui est clivé et libéré lors de la conversion du fibrinogène en fibrine pendant le processus de coagulation sanguine. Il s'agit d'une protéine soluble qui joue un rôle crucial dans la formation des caillots sanguins.

Lorsque la fibrine se forme, elle crée un réseau fibreux qui aide à arrêter le saignement en stabilisant le caillot sanguin. Le clivage et la libération du fibrinopeptide A sont des marqueurs de l'activation de la coagulation et peuvent être utilisés comme biomarqueurs pour évaluer l'état de coagulation dans certaines conditions médicales, telles que la thrombose, l'hémophilie et les traumatismes.

La mesure du taux de fibrinopeptide A peut également être utile pour le diagnostic et le suivi des troubles de la coagulation et des maladies cardiovasculaires, ainsi que pour évaluer l'efficacité de certains médicaments anticoagulants.

Le facteur XIII, également connu sous le nom de fibrinostase, est un enzyme présent dans le plasma sanguin. Il joue un rôle crucial dans la dernière étape du processus de coagulation sanguine. Après l'activation du facteur XIII par le thrombine, il catalyse la formation de liaisons covalentes entre les molécules de fibrine, ce qui conduit à la formation d'un caillot solide et stable. Une déficience en facteur XIII peut entraîner un trouble de saignement héréditaire sévère.

Fibrinolysin est une enzyme soluble qui dissout les caillots sanguins en dégradant la fibrine, une protéine fibreuse essentielle à la formation des caillots. Produite par le plasminogène, une protéine inactive présente dans le plasma sanguin, fibrinolysin joue un rôle crucial dans la prévention de la thrombose et la restauration du flux sanguin dans les vaisseaux sanguins obstrués.

Dans des circonstances physiologiques normales, le plasminogène est activé en plasmine (fibrinolysin) par des protéases spécifiques telles que la tissu-plasmine activateur (t-PA) et l'urokinase-type plasmine activateur (u-PA). Cependant, dans certaines conditions pathologiques, comme une fibrinolyse accrue ou un déficit en inhibiteurs de fibrinolysine, une activation excessive de la fibrinolyse peut entraîner des saignements excessifs et des hémorragies.

En plus de ses effets sur la fibrine, fibrinolysin a également été démontré pour dégrader d'autres protéines extracellulaires, telles que le collagène et la laminine, ce qui en fait un acteur important dans les processus de remodelage tissulaire et de réparation.

Le plasminogène est une protéine inactive (zygmogène) que l'on trouve dans le sang et d'autres fluides corporels. Il est synthétisé par le foie et joue un rôle crucial dans la fibrinolyse, qui est le processus de dissolution des caillots sanguins. Lorsqu'il est activé par des enzymes telles que la tissu activateur du plasminogène (t-PA) ou l'urokinase, il se transforme en plasmine, une enzyme protéolytique qui dégrade les fibrines et d'autres protéines. Ce processus est essentiel pour maintenir la fluidité du sang et prévenir la coagulation excessive. Des niveaux anormaux de plasminogène ou des anomalies dans son activation peuvent contribuer à divers troubles thrombotiques et hémorragiques.

Les fibrinogènes anormaux sont des protéines de coagulation sanguine qui présentent des anomalies structurelles ou fonctionnelles. Ces anomalies peuvent être héréditaires ou acquises et peuvent entraîner une coagulation sanguine anormale, ce qui peut augmenter le risque de thrombose ou de saignement. Les mutations génétiques peuvent entraîner des fibrinogènes dysfonctionnels qui peuvent provoquer des maladies héréditaires telles que l'afibrinogénémie, l'hypofibrinogénémie ou la dysfibrinogénémie. Les fibrinogènes anormaux peuvent également être acquis en raison de divers facteurs tels que les maladies hépatiques, les troubles inflammatoires et le cancer. Les tests de laboratoire peuvent être utilisés pour détecter et mesurer les niveaux de fibrinogène anormal dans le sang, ce qui peut aider au diagnostic et à la gestion des troubles de la coagulation sanguine.

Le facteur XIIIa est une protéine de coagulation sanguine également connue sous le nom de fibrinoligase. Il joue un rôle crucial dans la dernière étape du processus de coagulation sanguine en stabilisant les caillots sanguins formés.

Après l'activation du facteur XIII en facteur XIIIa par la thrombine, il catalyse la réaction entre le fibrinogène et l'ion calcium pour former des liaisons covalentes entre les molécules de fibrine, ce qui entraîne la formation d'un caillot sanguin solide et stable.

Une carence en facteur XIIIa peut entraîner un risque accru de saignement et de difficultés à contrôler les hémorragies chez les patients atteints de cette maladie.

La thrombine, également connue sous le nom de factor IIa, est une enzyme essentielle dans la coagulation sanguine. Elle est produite à partir d'un précurseur inactif, la prothrombine, par l'action de la factor Xa en présence de calcium et de phospholipides sur les membranes cellulaires.

La thrombine convertit le fibrinogène, une protéine plasmatique, en fibrine, ce qui entraîne la formation d'un caillot sanguin (thrombus). En plus de son rôle dans la coagulation, la thrombine peut également activer certaines cellules et stimuler l'inflammation, contribuant ainsi à la réponse globale de l'organisme aux lésions tissulaires. Un déséquilibre ou une dysfonction de la cascade de coagulation, y compris la production excessive ou insuffisante de thrombine, peuvent entraîner des troubles de la coagulation sanguine, tels que la thrombose (coagulation excessive) ou l'hémorragie (saignement excessif).

Ancrod est une enzyme anticoagulante qui est extraite de la venin de serpent de Malaisie pit viper (Calloselasma rhodostoma). Il s'agit d'une forme dénaturation de l'enzyme native, la mucine, qui agit comme un agent thrombolytique en dégradant spécifiquement le fibrinogène en fibrine dégradée.

Ancrod a été étudié dans le traitement des maladies thromboemboliques telles que les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques, mais son utilisation clinique est limitée en raison de sa faible biodisponibilité et de la difficulté à maintenir une dose efficace.

L'utilisation d'ancrod comporte également des risques, tels que des réactions allergiques graves, des hémorragies et une augmentation du risque d'infections. Par conséquent, son utilisation est strictement réglementée et doit être surveillée de près par des professionnels de la santé qualifiés.

L'α-2-antiplasmine (Alpha-2- Antiplasmin) est une protéine plasmatique qui joue un rôle important dans la régulation de la fibrinolyse, qui est le processus par lequel le corps dissout et élimine les caillots sanguins. Elle fonctionne en inhibant directement l'activité de la plasmine, une enzyme qui dégrade les fibrines dans un caillot sanguin. En empêchant l'excès d'activation de la plasmine, l'α-2-antiplasmine aide à maintenir l'équilibre entre la formation et la dissolution des caillots sanguins, ce qui est crucial pour assurer une coagulation normale et éviter les saignements excessifs ou les thromboses.

Des niveaux anormaux d'α-2-antiplasmine peuvent être associés à divers troubles hémorragiques et thrombotiques, tels que l'hémophilie, la maladie vasculaire artérielle et les accidents vasculaires cérébraux. Par conséquent, il est essentiel de maintenir des niveaux appropriés d'α-2-antiplasmine pour préserver une hémostase normale et réduire le risque de complications liées à la coagulation.

L'activateur plasminogène tissulaire, également connu sous le nom de t-PA (tissue plasminogen activator), est une enzyme produite par les cellules endothéliales qui tapissent la surface interne des vaisseaux sanguins. Il joue un rôle crucial dans la fibrinolyse, c'est-à-dire le processus de dissolution des caillots sanguins.

Le t-PA convertit la plasmine générale en plasmine active, qui est une enzyme capable de dégrader les fibrines, les protéines qui forment la base des caillots sanguins. Ce processus aide à rétablir le flux sanguin dans les vaisseaux obstrués par un caillot sanguin.

Le t-PA est souvent utilisé comme médicament pour traiter les accidents vasculaires cérébraux ischémiques, qui se produisent lorsqu'un caillot sanguin bloque le flux sanguin vers une partie du cerveau. En dissolvant le caillot, le t-PA peut aider à rétablir le flux sanguin et prévenir les dommages permanents au cerveau. Cependant, il doit être administré dans les 4,5 heures suivant l'apparition des symptômes pour être le plus efficace.

L'afibrinogénémie est un trouble rare de la coagulation sanguine caractérisé par l'absence totale ou presque totale de fibrinogène, une protéine essentielle à la coagulation du sang. Le fibrinogène est converti en fibrine pendant le processus de coagulation, ce qui permet la formation d'un caillot sanguin pour arrêter les saignements.

Dans l'afibrinogénémie, l'absence de fibrinogène entraîne un risque accru de saignement, même en l'absence de traumatisme ou de lésion tissulaire. Les symptômes peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre, allant de saignements mineurs mais fréquents, tels que des ecchymoses et des saignements de nez, à des saignements plus graves, tels que des hémorragies cérébrales ou gastro-intestinales.

L'afibrinogénémie peut être congénitale, ce qui signifie qu'elle est présente dès la naissance en raison de mutations génétiques héréditaires qui affectent la production de fibrinogène. Dans de rares cas, l'afibrinogénémie peut également être acquise, ce qui signifie qu'elle se développe plus tard dans la vie en raison d'une maladie sous-jacente ou d'un trouble, tel qu'une insuffisance hépatique ou une inflammation chronique.

Le diagnostic de l'afibrinogénémie repose généralement sur des tests sanguins spécifiques qui mesurent les niveaux de fibrinogène et d'autres facteurs de coagulation. Le traitement dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des suppléments de fibrinogène ou des médicaments qui aident à prévenir les saignements, tels que des concentrés de facteur de coagulation ou des antifibrinolytiques. Dans les cas graves, une transfusion sanguine peut être nécessaire pour remplacer les facteurs de coagulation manquants et arrêter les saignements.

La thrombose est un état pathologique dans lequel un caillot sanguin (thrombus) se forme à l'intérieur d'un vaisseau sanguin, empêchant ainsi la circulation normale du sang. Cela peut se produire dans les veines ou les artères. Les thromboses veineuses peuvent survenir dans les veines profondes, comme dans le cas de la thrombose veineuse profonde, ou dans les veines superficielles, comme dans le cas de la thrombophlébite. Les thromboses artérielles sont souvent associées à des maladies cardiovasculaires telles que l'athérosclérose. La formation d'un thrombus peut entraîner une obstruction complète ou partielle du vaisseau sanguin, ce qui peut provoquer des symptômes tels que douleur, gonflement, rougeur et chaleur dans la région affectée. Dans les cas graves, cela peut entraîner des complications telles qu'une embolie, où le thrombus se détache et voyage dans le sang pour bloquer un vaisseau sanguin plus éloigné, ou une ischémie, où l'apport sanguin réduit à un organe ou à une partie du corps entraîne des dommages tissulaires.

L'activateur plasminogène est une substance qui active la protéase zymogène plasminogène pour produire de la plasmine, une enzyme importante dans la fibrinolyse et la dégradation des protéines du tissu conjonctif. Il existe deux types d'activateurs plasminogènes : le tissulaire (t-PA) et l'urinaire (u-PA). Le t-PA est principalement produit par les cellules endothéliales et joue un rôle crucial dans la dissolution des caillots sanguins, tandis que l'u-PA est produit par divers types de cellules et participe à la dégradation des matrices extracellulaires pendant la migration cellulaire et la croissance tumorale.

En termes médicaux, un gel est généralement décrit comme une substance semi-solide qui a des propriétés similaires à celles d'un solide et d'un liquide. Il est composé d'un réseau tridimensionnel de molécules polymères qui sont capables de retenir une grande quantité d'eau ou d'autres fluides.

Les gels ont une consistance intermédiaire entre un solide et un liquide, ce qui leur permet de se déformer sous la pression tout en conservant leur forme générale. Cette propriété est due à l'espace libre présent dans le réseau polymère, qui permet aux molécules d'eau ou d'autres fluides de se déplacer librement.

Dans un contexte médical, les gels sont souvent utilisés comme véhicules pour la libération contrôlée de médicaments, car ils peuvent être formulés pour libérer progressivement le médicament sur une période de temps prolongée. Les gels peuvent également être utilisés comme agents de refroidissement ou de chauffage thérapeutiques, ainsi que dans les applications de soins de la peau et des yeux.

Il existe différents types de gels, qui varient en fonction de leur composition chimique et de leurs propriétés physiques. Certains exemples courants incluent les gels de silicone, les gels hydroalcooliques, les gels à base d'eau et les gels thermosensibles.

Le Temps Thrombine (TT) est un test de laboratoire utilisé pour évaluer la tendance d'un patient à former des caillots sanguins. Il mesure le temps nécessaire à la formation d'un caillot après l'addition de thrombine, une enzyme qui convertit le fibrinogène en fibrine dans le processus de coagulation sanguine.

Le TT est exprimé en secondes et peut être utilisé pour surveiller l'efficacité de certains anticoagulants, tels que le héparine, qui prolonge le temps thrombine. Des valeurs anormalement élevées peuvent indiquer un risque accru de saignement, tandis que des valeurs anormalement basses peuvent indiquer un risque accru de thrombose.

Il est important de noter que les normes de référence pour le TT peuvent varier en fonction du laboratoire et du type d'anticoagulant utilisé, il est donc essentiel de se référer aux directives spécifiques fournies par chaque laboratoire.

L'acide aminocaproïque est un médicament qui appartient à une classe de médicaments appelés inhibiteurs de la fibrinolyse. Il agit en ralentissant la dégradation des caillots sanguins, ce qui peut aider à arrêter les saignements excessifs.

L'acide aminocaproïque est utilisé pour traiter ou prévenir le sang dans l'urine (hématurie) causée par certaines conditions médicales, telles que la maladie rénale ou après une intervention chirurgicale. Il peut également être utilisé chez les patients qui ont subi une intervention chirurgicale pour prévenir les saignements excessifs pendant et après la chirurgie.

Le médicament est disponible sous forme de comprimés ou de solution injectable et doit être pris sous la direction d'un médecin. Les effets secondaires courants de l'acide aminocaproïque peuvent inclure des nausées, des vomissements, des maux de tête, des étourdissements et une augmentation du rythme cardiaque. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques graves.

Il est important de noter que l'acide aminocaproïque ne doit pas être utilisé chez les patients qui ont un caillot sanguin existant ou une maladie cardiovasculaire, car il peut augmenter le risque de thrombose. Les patients doivent informer leur médecin de tous les médicaments qu'ils prennent, y compris les suppléments à base de plantes et les médicaments en vente libre, avant de commencer l'acide aminocaproïque.

La coagulation intravasculaire disséminée (CIVD), également connue sous le nom de syndrome d'activation de la coagulation, est une complication potentiellement mortelle caractérisée par une activation généralisée et inappropriée du système de coagulation dans tout le corps.

Cela conduit à la formation de caillots sanguins (thromboses) dans les petits vaisseaux sanguins, ce qui peut obstruer le flux sanguin et endommager les organes. En même temps, cette activation excessive du système de coagulation entraîne une consommation rapide des facteurs de coagulation et des plaquettes, ce qui peut provoquer un saignement spontané et diffus (hémorragie).

La CIVD est souvent associée à des maladies graves telles que les infections sévères, les traumatismes, les cancers, les complications de la grossesse et l'accouchement, les brûlures étendues, les interventions chirurgicales majeures et certaines affections inflammatoires. Le diagnostic précoce et le traitement agressif sont cruciaux pour prévenir les complications graves et réduire la mortalité associée à cette condition.

Les modulateurs de la fibrinolyse sont des médicaments ou des substances qui affectent la fibrinolyse, un processus physiologique dans lequel les enzymes décomposent et dissolvent les caillots sanguins. La fibrinolyse est régulée par un équilibre entre les systèmes de coagulation et de fibrinolyse. Les modulateurs de la fibrinolyse peuvent être classés en deux catégories principales :

1. Agents thrombolytiques ou fibrinolytiques : Ils augmentent la fibrinolyse en activant directement ou indirectement la plasmine, une enzyme qui dégrade la fibrine dans les caillots sanguins. Les exemples incluent l'alteplase (Activase), la rtéplase (Retavase) et la ténectéplase (TNKase).
2. Inhibiteurs de la fibrinolyse : Ils réduisent la fibrinolyse en inhibant la plasmine ou d'autres composants du système de fibrinolyse. Les exemples incluent l'ε-aminocaproïque et l'acide tranéxamique.

Ces médicaments sont utilisés dans divers scénarios cliniques, tels que le traitement des accidents vasculaires cérébraux ischémiques aigus, des infarctus du myocarde et de la thrombose veineuse profonde, en fonction de l'indication spécifique et du type d'agent utilisé.

L'activateur plasminogène urinaire (APU) est une enzyme qui est présente dans l'urine et qui joue un rôle important dans la dissolution des caillots sanguins. Il convertit le plasminogène, une protéine inactive, en plasmine, une enzyme qui dégrade les fibrines, une protéine clé dans la formation de caillots sanguins.

L'APU est produit par certaines cellules des reins et est souvent trouvé à des niveaux élevés chez les personnes atteintes d'une maladie rénale chronique ou aiguë. Des taux anormalement élevés d'APU peuvent entraîner un saignement excessif, car la plasmine dégrade non seulement les fibrines des caillots sanguins, mais aussi d'autres protéines qui contribuent à la coagulation sanguine.

Des mutations dans le gène de l'APU peuvent entraîner une maladie héréditaire appelée dysplasie fibromusculaire, qui affecte les parois des vaisseaux sanguins et peut entraîner une hypertension artérielle et des anévrismes.

Un test de coagulation sanguine, également connu sous le nom de test de coagulogramme, est un ensemble d'examens de laboratoire utilisés pour évaluer la capacité du sang à coaguler et la présence de troubles de la coagulation sanguine. Ces tests comprennent généralement :

1. Le temps de prothrombine (TP) ou International Normalized Ratio (INR) : il mesure le temps nécessaire pour que le sang forme un caillot après l'ajout d'un réactif spécifique, ce qui permet d'évaluer l'activité de plusieurs facteurs de coagulation. L'INR est principalement utilisé pour surveiller les patients sous anticoagulants oraux comme la warfarine.
2. Le temps de thromboplastine partielle activée (TTPa) : il mesure le temps nécessaire à la formation d'un caillot après l'ajout d'un réactif qui active directement les facteurs XII et XI, ce qui permet d'évaluer l'activité des facteurs intrinsèques de la coagulation.
3. Le fibrinogène : il s'agit d'une protéine sérique qui joue un rôle crucial dans la formation du caillot sanguin. Son taux est mesuré pour évaluer l'hémostase et détecter des troubles de la coagulation comme la dysfibrinogénémie ou l'hypofibrinogénémie.
4. Les facteurs de coagulation : il existe plusieurs facteurs de coagulation (II, V, VII, VIII, IX, X, XI et XII) qui peuvent être mesurés individuellement pour évaluer leur activité et détecter des carences ou des anomalies.
5. Les marqueurs de l'activation de la coagulation : des tests spécifiques comme le dosage de la D-dimère peuvent être réalisés pour mettre en évidence une activation excessive de la coagulation, par exemple dans le cadre d'un syndrome thromboembolique ou d'une coagulopathie disséminée intravasculaire.

Ces examens permettent d'explorer différents aspects de l'hémostase et de la coagulation sanguine, d'identifier des troubles héréditaires ou acquis, de surveiller l'efficacité d'un traitement anticoagulant ou thrombolytique et de dépister des complications thromboemboliques.

Les plaquettes, également connues sous le nom de thrombocytes, sont des cellules sanguines minuscules et fragmentées qui jouent un rôle crucial dans la coagulation du sang et la cicatrisation des plaies. Elles sont produites dans la moelle osseuse et ont une durée de vie d'environ 7 à 10 jours.

Lorsqu'un vaisseau sanguin est endommagé, les plaquettes se rassemblent sur le site de la lésion pour former un bouchon ou un caillot qui arrête le saignement. Ce processus est essentiel pour prévenir une perte excessive de sang due à des blessures ou des coupures.

Des niveaux anormalement bas de plaquettes dans le sang, appelés thrombocytopénie, peuvent entraîner un risque accru de saignements et de ecchymoses. D'un autre côté, des niveaux élevés de plaquettes, appelés thrombocytose, peuvent augmenter le risque de caillots sanguins dangereux.

Il est important de maintenir un équilibre approprié de plaquettes dans le sang pour prévenir les complications médicales associées à des niveaux anormaux.

En médecine, le terme "hémostatiques" fait référence à des agents ou substances qui aident à arrêter ou ralentir un saignement en favorisant la coagulation du sang et la formation d'un caillot sanguin. Les hémostatiques peuvent être classés en deux catégories principales :

1. Agents hémostatiques naturels : Il s'agit de substances présentes dans le corps qui contribuent à l'hémostase, telles que les plaquettes sanguines, le facteur von Willebrand, les facteurs de coagulation et les protéines de fibrinolyse.
2. Agents hémostatiques artificiels : Il s'agit de substances synthétisées ou développées à des fins médicales pour favoriser l'hémostase, telles que les tampons de collagène, les gels d'hémostase, les poudres hémostatiques, les éponge de cellulose et les thrombinomes.

Les agents hémostatiques sont utilisés en médecine pour contrôler les saignements lors des interventions chirurgicales, dans le traitement des blessures traumatiques, des hémorragies internes et des troubles de la coagulation sanguine. Il est important de noter que l'utilisation inappropriée ou excessive d'agents hémostatiques peut entraîner des complications telles que la formation de caillots sanguins excessifs, ce qui peut provoquer une thrombose veineuse ou artérielle.

La thromboplastine est un terme utilisé en médecine et en biologie pour décrire un facteur de coagulation présent dans le tissu ou dans les plaquettes sanguines, qui joue un rôle crucial dans la coagulation du sang. Lorsqu'elle est activée, elle contribue à la conversion de la prothrombine en thrombine, ce qui entraîne la formation d'un caillot sanguin (thrombus).

Il existe deux types de thromboplastine :

1. Thromboplastine tissulaire : Elle est présente dans les tissus et est libérée lors de dommages aux vaisseaux sanguins. Elle active la cascade de coagulation en convertissant la prothrombine en thrombine, déclenchant ainsi la formation d'un caillot sanguin.

2. Thromboplastine plaquettaire : Elle est stockée dans les granules alpha des plaquettes sanguines et est libérée lors de l'activation des plaquettes. Elle potentialise davantage la coagulation en augmentant la vitesse de conversion de la prothrombine en thrombine.

En médecine, le test de la thromboplastine partielle activée (TPPA) est souvent utilisé pour évaluer l'efficacité du système de coagulation et détecter d'éventuels troubles de la coagulation sanguine.

La néphélométrie et la turbidimétrie sont des méthodes de mesure de la quantité de particules présentes dans une solution. Bien que ces deux termes soient souvent utilisés de manière interchangeable, ils ont des différences subtiles dans leur technique de mesure.

La néphélométrie est une méthode qui mesure la lumière diffusée à un angle droit par rapport à la lumière incidente. Cette méthode est particulièrement sensible aux particules de taille uniforme et est couramment utilisée pour mesurer la concentration de protéines dans le sang ou l'urine, telles que la protéine C-réactive (CRP).

D'autre part, la turbidimétrie est une méthode qui mesure la réduction de l'intensité lumineuse totale à travers une solution contenant des particules. Cette méthode est moins sensible aux petites variations de taille des particules et est souvent utilisée pour mesurer la turbidité globale d'une solution, telle que l'eau ou les échantillons de sol.

Dans l'ensemble, ces deux techniques sont importantes dans le domaine médical pour diagnostiquer et surveiller diverses conditions pathologiques, y compris les maladies infectieuses, les maladies inflammatoires et les troubles rénaux.

L'hémostase est un processus physiologique complexe qui permet de stopper le saignement lorsqu'un vaisseau sanguin est endommagé. Il comprend deux mécanismes principaux : la vasoconstriction et la formation de caillots sanguins.

La vasoconstriction est la rétraction des parois des vaisseaux sanguins pour réduire le flux sanguin dans la zone lésée. C'est une réponse rapide qui se produit en quelques secondes après une blessure.

La formation de caillots sanguins, également appelée coagulation, est un processus plus lent qui implique une cascade de réactions biochimiques aboutissant à la conversion de la fibrine, une protéine plasmatique, en un réseau tridimensionnel qui piège les cellules sanguines (plaquettes et globules rouges) pour former un caillot. Ce mécanisme permet de stabiliser le caillot et de fermer la brèche vasculaire jusqu'à ce que la réparation tissulaire puisse se produire.

L'hémostase est donc un processus crucial pour prévenir les hémorragies importantes et favoriser la cicatrisation des plaies.

Les antifibrinolytiques sont une classe de médicaments utilisés pour prévenir ou traiter la fibrinolyse, qui est le processus de dégradation de la fibrine, une protéine clé dans la formation de caillots sanguins. En inhibant la fibrinolyse, ces médicaments aident à maintenir l'intégrité des caillots sanguins et à prévenir les saignements excessifs.

Les antifibrinolytiques fonctionnent en inhibant l'action de certaines enzymes qui dégradent la fibrine, telles que la plasmine. Cela permet de stabiliser les caillots sanguins et de prévenir leur dissolution prématurée.

Ces médicaments sont souvent utilisés dans des situations où il y a un risque accru de saignement, comme après une chirurgie ou en présence d'une maladie hémorragique sous-jacente. Ils peuvent également être utilisés pour traiter les hémorragies aiguës, telles que celles qui se produisent après un traumatisme ou lors de certaines procédures médicales.

Les exemples courants d'antifibrinolytiques comprennent l'acide aminocaproïque, l'aprotinine et la tranexamique. Comme avec tout médicament, les antifibrinolytiques peuvent avoir des effets secondaires et doivent être utilisés sous la surveillance d'un professionnel de la santé.

Les troubles de l'hémostase et de la coagulation sont des conditions médicales qui affectent la capacité du sang à coaguler correctement, entraînant un saignement excessif ou une coagulation excessive. L'hémostase est le processus par lequel le sang arrête le saignement après une blessure, et il se compose de deux parties : la vasoconstriction et la formation d'un caillot sanguin.

La coagulation est la partie de l'hémostase qui implique la conversion de la fibrine, une protéine du sang, en un réseau fibreux qui stabilise le caillot sanguin. Les troubles de l'hémostase et de la coagulation peuvent être causés par des anomalies congénitales ou acquises dans les facteurs de coagulation, les inhibiteurs de la coagulation, les plaquettes ou les vaisseaux sanguins.

Les troubles héréditaires de la coagulation comprennent l'hémophilie A et B, qui sont causées par des mutations dans les gènes de facteur VIII et IX, respectivement. Les personnes atteintes d'hémophilie ont un saignement prolongé et excessif après une blessure ou une intervention chirurgicale.

Les troubles acquis de la coagulation peuvent être causés par des maladies telles que la cirrhose du foie, les maladies vasculaires, l'insuffisance rénale, les infections, le cancer et certains médicaments. Les exemples incluent la coagulopathie de consommation, qui est une complication de la septicémie, et la thrombocytopénie induite par l'héparine, qui est une complication courante de l'utilisation d'héparine comme anticoagulant.

Les symptômes des troubles de l'hémostase et de la coagulation peuvent varier en fonction du type et de la gravité de la maladie. Les saignements sont un symptôme courant, allant de ecchymoses faciles à des hémorragies graves qui mettent la vie en danger. Le diagnostic est généralement posé par des tests sanguins spécialisés qui mesurent les temps de coagulation et l'activité des facteurs de coagulation spécifiques.

Le traitement dépend du type et de la gravité de la maladie. Les personnes atteintes d'hémophilie peuvent recevoir des perfusions régulières de facteur VIII ou IX pour prévenir les saignements. Les anticoagulants sont utilisés pour traiter et prévenir la thrombose chez les personnes atteintes de troubles acquis de la coagulation. Dans certains cas, une transfusion sanguine peut être nécessaire pour remplacer les facteurs de coagulation manquants ou les cellules sanguines endommagées.

Les transglutaminases sont un groupe d'enzymes qui catalysent la formation de liaisons covalentes entre les groupes amino de résidus de lysine et les groupes carboxamide de résidus de glutamine, un processus connu sous le nom de cross-linking protéique. Ces enzymes jouent un rôle important dans divers processus physiologiques, tels que la régulation de la réponse immunitaire, la stabilisation des structures cellulaires et la coagulation sanguine.

Il existe plusieurs types de transglutaminases, mais l'une des plus étudiées est la transglutaminase tissulaire (TG2), qui est largement distribuée dans le corps humain. TG2 est capable d'interagir avec une variété de substrats protéiques et a été impliqué dans divers processus pathologiques, y compris la inflammation, la fibrose et la carcinogenèse.

Des niveaux élevés de transglutaminases ont été trouvés dans certaines maladies telles que la maladie cœliaque, la dermatite herpétiforme et certains cancers, ce qui suggère qu'ils peuvent jouer un rôle dans le développement et la progression de ces conditions. Par conséquent, les inhibiteurs de transglutaminases sont actuellement à l'étude comme thérapies potentielles pour ces maladies.

L'antithrombine III, également connue sous le nom d'heparin cofactor II, est une protéine plasmatique qui inhibe la coagulation sanguine. Elle fonctionne en se liant à la thrombine et à d'autres protéases de la coagulation, ce qui empêche ces enzymes de convertir le fibrinogène en fibrine, un composant clé du caillot sanguin.

L'antithrombine III est activée par l'héparine et d'autres glycosaminoglycanes, ce qui accélère sa capacité à inactiver les protéases de la coagulation. L'activation de l'antithrombine III par l'héparine est un mécanisme important pour prévenir la formation de caillots sanguins dans le corps.

Les déficits en antithrombine III peuvent augmenter le risque de thrombose veineuse profonde et d'embolie pulmonaire, deux complications graves de la coagulation sanguine. Les personnes atteintes de déficits congénitaux en antithrombine III peuvent recevoir des suppléments d'antithrombine III pour prévenir les épisodes thrombotiques.

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