Un processus par lequel poumon normal tissus sont progressivement remplacé par les fibroblastes et collagène irréversible causant une perte de la capacité de transférer l'apport d'oxygène dans le sang via alvéoles pulmonaires. Enfin, les patients présentent progressiste dyspnée entraînant la mort.
Un simple maladie interstitielle du poumon d'étiologie inconnue, généralement survenant entre 50-70 ans. Cela est caractérisée par une apparition d ’ asthme (essoufflement insidieux à l'effort et une toux non productive, conduisant à progressiste dyspnea. Pathologique maigres caractéristiques montre une inflammation interstitielle, fibrose collagène inégale, éminent fibroblast prolifération foyers, et microscopique ruche changer.
Aucune condition pathologique où la membrane connective fibreuse envahit les organes, généralement en raison d ’ inflammation ou autre blessure.
Un complexe de glycopeptide antibiotiques liés à partir de Streptomyces verticillus constitué de la bléomycine A2, B2. Il inhibe le métabolisme de l'ADN et est utilisé comme antinéoplasiques, surtout pour des tumeurs solides.
Une maladie génétique autosomale récessif exocrine glandes. Elle est provoquée par des mutations dans le gène codant pour la mucoviscidose conductance de transmembranaire régulateur exprimés dans plusieurs organes incluant le poumon, le pancréas, le système biliaire, et la hutte glandes. Mucoviscidose est caractérisé par un dysfonctionnement de sécrétion épithéliales ductal entraînant associée à une obstruction des voies aériennes respiratoires chroniques OBSTRUCTION ; INFECTIONS ;, insuffisance pancréatique maldigestion ; une déplétion hydrosodée ; et chaleur prostration.
Plus de la paire d'organes occupant la cavité du thorax cet effet l'aération du sang.
Une forme de l ’ acide imino hydroxylés proline. Un déficit en acide ascorbique peut entraîner une altération hydroxyproline formation.
Un groupe hétérogène de poumon maladies qui affectent le parenchyme pulmonaire, ils se caractérise par une inflammation des alvéoles pulmonaires initiale qui s'étend jusqu'au interstitium et au-delà conduisant à une fibrose pulmonaire interstitielle diffuse. Maladies pulmonaires sont classés par leur étiologie (connu ou inconnu cause) et radiological-pathological traits.
Lessive liquide d'irrigation obtenus à partir du poumon, y compris les bronches et les alvéoles pulmonaires. Il est généralement utilisé pour évaluer biochimiques statut ou une infection inflammatoire du poumon.
Du tissu conjonctif cellules qui sécrètent une matrice extracellulaire riche en collagène et autres macromolecules.
Cellules avec leur contraction Spindle-shaped PROTEINS et des structures qui contribuent à la blessure processus de guérison. Ils ont lieu dans tissu granulation et aussi au processus pathologiques tels qu ’ une fibrose.
Petit outpouchings multifaces le long des parois des conduits et alvéolaires sacs alvéolaires, bronches terminale à travers les murs de dispersion échange entre air alvéolaires et sang capillaire pulmonaire a lieu.
Une chaîne qui régule la sécrétion chlorure dans de nombreux tissus exocrine. Anomalies dans le gène Cftr ont entraîné la mucoviscidose. (Bourdonnement Genet 1994 ; 93 (4) : 364-8)
Un simple maladie interstitielle du poumon causées par des réactions d'hypersensibilité de alvéoles pulmonaires après inhalation de et de sensibilité microbienne antigènes environnemental, animal ou sources chimique. La maladie est caractérisé par une granulomatose alvéolite lymphocytaire et pneumonie.
Un polypeptide substance comprenant environ un tiers des protéines totales dans des organismes de mammifères. C'est le principal composant du tissu conjonctif PEAU ; ; et la substance organique d'os (os ET os) et des dents (PETITE).
Historiquement, un groupe hétérogène de maladies aiguë et chronique, y compris polyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux disséminé, Sclérose systémique progressive, dermatomyosite, etc. ce classement tenait basé sur la notion que "collagène" représentait "du tissu conjonctif", mais avec le présent reconnaissance des différents types de collagène et les agrégats dérivés des entités comme distincts, le terme "collagène" maladies maintenant appartient exclusivement à ces hérité conditions dans lesquelles le principal défaut est au collagène au niveau génétique qui affecte la biosynthèse, post-translational modification, ou traitement extracellulaire directement. (De Cecil Le manuel de médecine, 19e Ed, p1494)
Un facteur synthétisés dans une large variété de tissus. Il agit synergie avec TGF-alpha pour induire la transformation et phénotypique peut agir comme un facteur de croissance négatif autocrine. TGF-beta a un rôle éventuel de développement, la différenciation cellulaire, la sécrétion d ’ hormone, et la fonction immunitaire. TGF-beta est retrouvé principalement sous forme de différents gènes homodimer TGF-beta1, TGF-beta2 ou TGF-beta3. Des hétérodimères composé de TGF-beta1 et 2 (TGF-beta1.2) ou de TGF-beta2 et 3 (TGF-beta2.3) ont été isolés. Le TGF-beta protéines sont synthétisées comme précurseur des protéines.
Une maladie chronique du tissu conjonctif multi-system. C'est caractérisé par sclérose en plaques dans la peau, les poumons, le CŒUR, le tube TRACT, les reins, et le système MUSCULOSKELETAL. D'autres éléments importants inclure malades petits vaisseaux sanguins et auto-anticorps. Le trouble bipolaire soit baptisé d'après son plus éminent caractéristique (la peau), et classées en sous-ensembles par l'étendue d'un épaississement de la peau : Limitée sclérodermie et DIFFUSE sclérodermie.
Une maladie caractérisée par l'épaisseur de l'endocarde du ventricule et subendocardium (myocarde), vu principalement aux enfants et jeunes adultes aux air lune des Tropiques. Le tissu fibreux. S'étend de l'apex vers et implique le CŒUR restrictive VALVES provoquant le flux sanguin dans les ventricules (CARDIOMYOPATHY, RESTRICTIVE).
Un agent antinéoplasique dérivé de BLEOMYCIN.
La souris de lignée C57BL est une souche inbred de Mus musculus, largement utilisée dans la recherche biomédicale, caractérisée par un ensemble spécifique de traits génétiques et phénotypiques.
Des dosages différents processus pratiquant l'acte de respiration : Inspiration, expiration, l'oxygène et du dioxyde de carbone échange, volume pulmonaire et le respect, etc.
Un sous-groupe de transformer facteur de croissance bêta est synthétisé par une large variété de cellules. Il est synthétisé en tant que précurseur molécule qui est fendu pour former mature TGF-beta 1 et TGF-beta1 latency-associated peptide. L'association de médicaments clivage entraîne la formation de découvrir une protéine qui doit être activé pour lier son récepteur. Une délétion du gène qui encode TGF-beta1 sont la cause du syndrome du CAMURATI-ENGELMANN.
Naturelle de maladies animales ou expérimentalement avec processus pathologiques suffisamment similaires à ceux des maladies humaines. Ils sont pris en étude modèles pour les maladies humaines.
Le transfert de l'un ou les deux poumons d'un humain ou animal à un autre.
Sarcoïdose touchant principalement les poumons, le site le plus fréquemment impliqué et plus fréquemment causant la morbidité et mortalité en cas de sarcoïdose pulmonaire fortement restreintes caractérisé par des granulomes dans les bronches, alvéolaires et de thrombose vasculaire murs bien serrés, composé de cellules issus du système des phagocytes mononucléés. Les signes cliniques sur l'effort quand présents, dyspnée, toux non productive et respiration sifflante. (Cecil Le manuel de médecine, 19e Ed, p431)
Une augmentation de l'espace aérien distale sur l'bronches prés du terminal où intervient normalement en gas-exchange. C'est habituellement dus à la destruction du mur alvéolaires. Un emphysème pulmonaire peut être classifiée par la localisation et la distribution des lésions.
Substances chimiques, fabriquée par des micro-organismes, inhibant ou prévenir la prolifération des néoplasmes.
Maladie du foie dans lequel le normal la microcirculation anatomie vasculaire, et l'architecture hépatique ont été modifiées par variably détruit et fibreux Septa entourant régénéré ou régénère parenchymateux nodules.
Laver des poumons avec du sérum physiologique ou mucolytic agents pour des fins diagnostiques ou thérapeutiques. C'est très utile dans le diagnostic de diffuser des infiltrats pulmonaires chez les patients immunodéprimés.
Syndrome caractérisée par la triade de Oculocutaneous albinisme (Albinism, Oculocutaneous) ; thrombopénie PARTICULIÈRES piscine DEFICIENCY ; et l ’ accumulation de lysosomale Céroïde lipofuscine.
Une N-oxydation du noyau pyridine dérivés avec un ou plusieurs pour groupes sur le ring.
Une forme de pneumoconiose causée par inhalation de fibres d'amiante puissant qui obtenir des réponses inflammatoires dans le parenchyme du poumon. La maladie est caractérisé par une fibrose interstitielle du poumon et varie de dispersés aux lésions au niveau des sites interstitium alvéolaires.
Une lente progression de l ’ étiologie inconnue état caractérisé par de déposition de tissus fibreux dans l'espace rétropéritonéale comprimant la des uretères, grands vaisseaux canal biliaire, et les autres structures. Quand associée à anévrisme aortique abdominal, ca s'appelle peut-être periaortitis perianeurysmal inflammatoire chronique ou une fibrose.
Un surfactant pulmonaire associée protéine qui jouent un rôle dans la stabilité alvéolaires en faisant baisser la tension de surface à l'interface air-liquid membranaires. C'est une protéine qui représente 1 à 2 % de la masse du surfactant pulmonaire. La protéine C Associée Au Surfactant Pulmonaire est une des plus hydrophobe peptides mais isolée et contient un alpha-helical poly-valine domaine d 'un segment qui se lie aux Phospholipid Bilayers.
Round, granuleux phagocytes mononucléés trouvés dans les alvéoles des poumons, ingèrent petites particules inhalé entraînant une dégradation et présentation de l'antigène pour le immunocompétents cellules.
Cellules épithéliales qui limite les alvéoles pulmonaires.
De l'amiante fibreux incombustible composé de minéraux et de calcium magnésium silicates avec ou sans autres éléments. C'est relativement inerte chimiquement et utilisé dans l'isolation thermique et l'ignifugation. Inhalation de poussière provoque le cancer du poumon et tumeurs gastro-intestinales et plus tard.
Un fibrillar collagène constitué de trois identiques Alpha1 III) les chaînes qui est largement distribuée dans de nombreux tissus contenant collagène TYPE I. Il est particulièrement abondant dans de vaisseaux sanguins et pourrait jouer un rôle dans les tissus avec élastique caractéristiques.
Un groupe de maladies pulmonaires interstitielles avec l ’ étiologie inconnue, il y a plusieurs entités avec différents schémas d ’ inflammation et fibrose hépatiques, ils sont classés par leurs caractéristiques distinctes et au pronostic clinical-radiological-pathological, y compris fibrose pulmonaire idiopathique ; cryptogenic ORGANIZING une pneumonie ; et les autres.
Processus pathologiques impliquant aucune partie du poumon.
Le volume d'air qui est produit par une durée maximale d'expiration après une inspiration.
Endommager les compartiments des poumons causée par physiques, chimiques, ou des agents biologiques qui typiquement susciter réaction inflammatoire. Ces réactions inflammatoires aiguës et peut être dominé par neutrophiles ou chronique et dominé par les lymphocytes et les macrophages.
La forme la plus répandue de collagène fibrillar. C'est un élément majeur de moelle osseuse (os) et SKIN AND BONE et est constituée d'un Heterotrimer de deux Alpha1 (I) et un Alpha2 (I) des chaînes.
Une maladie interstitielle du poumon d'étiologie inconnue, survenue entre 21-80 ans. C'est caractérisé par un dramatique "pneumonia-like" début d'une maladie avec toux, fièvre, malaise, fatigue, et une perte de poids. Pathologique comprennent inflammation des traits proéminents sans fibrose interstitielle, syndrome de collagène fibroblastic foyers, et aucun nid d'abeilles microscopique... y est prolifération excessive de tissus granulomateux, Très petit nez et dans les conduits alvéolaires.
La quantité de gaz pris capillaire pulmonaire, par le sang du gaz alvéolaires et par minute par unité de pression moyenne du gradient de gaz à travers le BLOOD-AIR BARRIER.
La membrane muqueuse tapissant la TRACT respiratoire, y compris les le CAVITY ; le du larynx ; le du cœur ; et les bronches arbre muqueuse respiratoire se compose de différents types de cellules épithéliales allant de ciliated columnar simplement à des cellules squameuses gobelet de mucus, mucus, de glandes contenant les cellules et sérieux.
Souches de souris dans laquelle certains gènes de leurs génomes ont été interrompus, ou "terrassé". Pour produire par K.O., en utilisant une technique d ’ ADN recombinant, le cours normal séquence d'ADN d'un gène d ’ être étudiés is altered to prévenir synthèse d'un gène normal. Cloné cellules dans lequel cet ADN altération est couronnée de succès sont ensuite injecté dans souris embryons de produire des souris chimérique chimérique. Les souris sont ensuite élevée pour déclencher une souche dans lequel toutes les cellules de la souris contiennent le gène perturbé. KO les souris sont utilisés comme expérimentale ESPÈCES CYLONS pour des maladies (maladie des modèles, LES ESPÈCES) et à clarifier les fonctions de gènes.
Infection des poumons souvent accompagnée d'une inflammation.
Une aggravation d'une maladie au cours du temps. Ce concept est souvent utilisé pour chroniques et des maladies incurables où la scène de la maladie est un déterminant important de traitement et au pronostic.
Retirer et examen pathologique de spécimens en forme de petits morceaux de tissus du corps vivant.
Transparent, fade cristaux trouvé dans la nature comme agates, améthyste, le chalcédoine, cristobalite, Flint, sable, quartz et tridymite. Le composé est insoluble dans l'eau ou aminés sauf l'acide fluorhydrique.
Une affection granulomateuse inflammatoire systémique idiopathique se compose de Epithelioid et multinucleated nécrose avec des petites cellules géantes. D'habitude ça envahit les poumons et de fibrose d 'ganglions lymphatiques, peau, foie, rate, yeux, phalangeal os et parotide glandes.
Cellules qui tapissent les surfaces internes et externes du corps en formant des couches cellulaire (épithélium) ou masses. Des cellules épithéliales tapissant la peau ; la bouche ; le nez, et le CANAL anal procèdent de ectoderme ; celles qui bordent le système respiratoire et le système DIGESTIVE procèdent de endoderm ; autres (CARDIOVASCULAR système et du système lymphatique Affections du système) procèdent de cellules épithéliales mésoderme. Peut être classifiée principalement par forme et fonction à cellules squameuses et transitoires, glandulaire cellules épithéliales.
Une forme de pneumoconiose résultant d ’ inhalation de poussière contenant forme crystalline de Silicon de titane, sous la forme de quartz. Silice amorphe est relativement non toxique.
Membres de la glycoprotéine basique Serpin Superfamily cette fonction comme COLLAGEN-specific MOLECULAR CHAPERONES dans le réticulum Endoplasmique.
Médicaments utilisés pour leurs effets sur le système respiratoire.
Paramètres biologiques et quantifiables mesurables (ex : Enzyme spécifique concentration, concentration hormone spécifique, gène spécifique phénotype dans une population distribution biologique), présence de substances qui servent à l ’ état de santé et de rapidité et physiology-related évaluations, tels que maladie risque, des troubles psychiatriques, environnement et ses effets, diagnostiquer des maladies, processus métaboliques, addiction, la gestation, le développement des cellules d ’ études, epidemiologic, etc.
Augmentation de la résistance pulmonaire VASCULAR CIRCULATION, généralement secondaire à cœur poumon ou maladies maladies.
Protéine marre Régulant Le Récepteur qui subissent une phosphorylation par ACTIVIN récepteurs, TYPE I. Le Smad3 peut se lier directement à l'ADN, et il régule transformant LA CROISSANCE facteur BETA et ACTIVIN signaux !
Cellules propagés in vitro sur des médias propice à leur croissance. Cellules cultivées sont utilisés pour étudier le développement, un myélogramme, troubles du métabolisme et physiologique processus génétique, entre autres.
Histochemical Localisation de substances immunoréactifs utilisant étiqueté comme anticorps réactifs.
Le volume d'air contenu dans les poumons à la fin d'une dose maximale utilisée chez l'inspiration. C'est l'équivalent à chacun des sommes suivantes : Capacité vitale et des résidus d'activité VOLUME ; capacité Inspiratoire plus POSSIBLE des résidus d'activité ; capacité Inspiratoire TIDAL VOLUME plus MATIÈRE VOLUME plus fonctionnel résiduelles ; ou volume courant et capacité Inspiratoire volume expiratoire réserve plus MATIÈRE VOLUME plus volume résiduelle.
CCN une protéine qui régule diverses fonctions extracellulaire incluant cellule adhérence ; cellule À LA MIGRATION MATRIX extracellulaire ; et synthèse. On se retrouve chez les chondrocytes hypertrophique où il pourrait jouer un rôle dans CHONDROGENESIS et ossification endochondral.
Tomographie en utilisant un algorithme d'ordinateur radio transmission et de reconstruire l'image.
Séquence d'ARN qui servent de modèles pour la synthèse des protéines. Bactérienne sont généralement mRNAs transcriptions en primaire qu'elles ne nécessitent aucun traitement. Eucaryotes Post-Transcriptional mRNA est synthétisés dans le noyau et doit être transplantée dans le cytoplasme pour traduction. La plupart eucaryotes polyadenylic mRNAs ont une séquence de l'acide dans le 3 'fin, dénommés le Poly (A) queue. Le fonctionnement de cette queue n'est pas connu pour certains, mais cela pourrait jouer un rôle dans l'export de mature mRNA du noyau ainsi que pour aider stabiliser des mRNA molécules par retarding leur dégradation dans le cytoplasme.
Un gel-forming Mucin c'est principalement exprimé par les glandes sous-muqueux de tissus et les voies aériennes GLAND sublingual. C'est l'une des principales composantes de poids moléculaire élevé hypersécrétion Mucin.
Inflammation des poumons en raison d'effets nocifs de radiations ionisantes non-ionizing ou.
Un meshwork-like substance trouvée dans l'espace extracellulaire et en association avec la cave membrane de la surface cellulaire. Il promeut la prolifération cellulaire et fournit un soutien qui structure cellulaire de cellules ou lysates en culture vaisselle adhérer.
Une protéine qui fixe Associée Au Surfactant Pulmonaire abondante sur divers pathogènes pulmonaire, entraînant leurs opsinization. Ça stimule également macrophages subir phagocytose de micro-organismes. Surfactant A contient une protéine N-terminal collagen-like domaine et un domaine une lectine propeptide C-terminal qui sont caractéristiques des membres du collecter famille de protéines.
Les maladies de la plèvre, ou pneumopathies séreuses, regroupent un ensemble d'affections pathologiques affectant la membrane séreuse entourant les poumons, incluant l'épanchement pleural, les processus inflammatoires, infectieux et néoplasiques, ainsi que les affections congénitales ou traumatiques.
Protéines filamenteuse le constituant principal de la mince filaments de fibres musculaires. Les filaments (aussi connu comme filamenteuse ou F-actin) peut être dissocié dans leur globule sous-unités ; chaque sous-unité est composé d'un seul polypeptide 375 acides aminés longtemps. C'est connu comme globule ou G-actin. Conjointement avec Myosines, actine est responsable de la contraction et relâchement des muscles.
La vie intracellulaire transfert des informations (activation biologique / inhibition) par un signal à la voie de transduction des signaux dans chaque système, une activation / inhibition signal d'une molécule biologiquement active neurotransmetteur (hormone) est médiée par l'accouplement entre un récepteur / enzyme pour une seconde messager système. ou avec la transduction les canaux ioniques. Joue un rôle important dans la différenciation cellulaire, activation fonctions cellulaires, et la prolifération cellulaire. Exemples de transduction ACID-postsynaptic gamma-aminobutyrique systèmes sont les canaux ioniques receptor-calcium médiée par le système, le chemin, et l ’ activation des lymphocytes T médiée par l'activation de Phospholipases. Ces lié à la membrane de libération de calcium intracellulaire dépolarisation ou inclure les fonctions d ’ activation récepteur-dépendant dans granulocytes et les synapses une potentialisation de l'activation de protéine kinase. Un peu partie de transduction des signaux de transduction des signaux des grandes ; par exemple, activation de protéine kinase fait partie du signal d'activation plaquettaire sentier.
La fibrose buccale sous-muqueuse est une affection chronique et généralement asymptomatique caractérisée par une sclérose progressive des tissus conjonctifs souples de la muqueuse buccale, entraînant souvent un blanchiment blanc crayeux, une induration et une limitation des mouvements de la bouche.
Un métabolite de BROMHEXINE qui stimule mucociliary action et chassez les voies aériennes dans les voies respiratoires. C'est généralement administré sous forme de chlorhydrate.
Un groupe hétérogène de, des troubles héréditaires, autres acquise, caractérisé par structure anormale ou fonction d 'un ou plusieurs des éléments du tissu conjonctif, c' est-à-dire, collagène, Elastin, ou le mucopolysaccharides.
Modifications des cellules épithéliales phénotypique à MESENCHYME type qui augmentent la mobilité critique sur le développement cellulaire dans de nombreux les processus tels que le développement TUBE neuronal. Néoplasme métastases maladie RADIOGRAPHIQUE peut aussi induire cette transition.
Éléments de contribuer à intervalles de temps limitée, notamment des résultats ou situations.
Difficile ou respiration laborieuse.
Blessures à la chronique expérimentalement parenchymateuses dans le foie pour obtenir un modèle pour cirrhose du foie.
Protéine marre Régulant Le Récepteur qui subissent une phosphorylation par ACTIVIN récepteurs, TYPE I. Ça régule transformant LA CROISSANCE facteur BETA et ACTIVIN signaux !
Liquide ou inhaler des solides, tels que le contenu stomacal, dans les voies respiratoires TRACT. Quand ça provoque de graves dommages pulmonaires, ça s'appelle ASPIRATION une pneumonie.
Un processus pathologique caractérisée par une blessure ou destruction des tissus causée par beaucoup de cytologic et les réactions chimiques. Ça se manifeste généralement par les signes typiques de chaleur, douleur, rougeur, gonflement et perte de fonction.
Biosynthèse un précurseur de collagène contenant des séquences d'acides aminés carboxyl-terminal amino-terminal et au bout du polypeptide chaînes.
Des agents susceptibles d'accroître son excrétion. Mucolytic agents, qu'est la drogue que liquéfier des sécrétions sont également compris ici.
L ’ un des processus par lequel cytoplasmique, nucléaire ou Molécule-1 facteurs influencent le différentiel contrôle ou répression) (induction de Gene action au niveau de la transcription ou traduction.
Études ont utilisé pour tester etiologic hypothèses dans lequel déductions pour une exposition à des facteurs de causalité putatif sont tirées de données relatives aux caractéristiques des personnes sous study or to événements ou expériences dans leur passé. La caractéristique essentielle est que certaines des personnes sous étude ont la maladie ou d'intérêt et de leurs caractéristiques sont comparés à ceux de personnes.
Un équipe de diagnostic qui sont établis par différents critères appliqués de mesure de la gravité d'un patient est trouble.
Un œ dème affections du parenchyme pulmonaire maladie causée par inhalation de poussière et de réaction des tissus de leur présence. Ces inorganique, bio, des particules ou vaporisé qui compte le sont souvent inhalé par des ouvriers dans leur Occupational environment, leading to the diverses formes (asbestose ; Byssinose ; et autres). La pollution similaires peuvent aussi avoir des effets délétères sur la population générale.
Protéines Non-antibody sécrétés par les cellules inflammatoires et des leucocytes non-leukocytic, qui agissent en Molécule-1 médiateurs. Elles diffèrent des hormones dans ce classique ils sont produits par un certain nombre de types de cellules de peau ou plutôt que par des glandes. Ils généralement agir localement dans un paracrine et autocrine plutôt que de manière endocrinien.
La manifestation d'un phénotypique gène ou les gènes par les processus de GENETIC transcription et GENETIC anglaise.
Des souris de laboratoire qui ont été modifiées Produites à partir d'un oeuf ou EMBRYO, un mammifère.
Une famille de protéines qui sont impliquées dans la translocation de signaux de récepteurs TGF-beta ; BONE protéines ; et les autres récepteurs De La surface récepteurs à la cellule noyau. Ils avaient été initialement identifié comme une classe de protéines qui sont liés à la protéine decapentaplegic des mères contre des protéines de SLA, Drosophila et CAENORHABDITIS elegans.
Un formulaire d'installation progressive de la sclérodermie généralisée avec SYSTEMIC épaississement de la peau sur les bras, les jambes et le coffre, entraînant une raideur et un handicap.
Un poison dipyridilium composé utilisé comme contact l'herbicide. Contact avec solution concentrée provoque des irritations de la peau, à craquer en finir avec les ongles, et un retard de cicatrisation de coupures et blessures.
Une cytokine synthétisé qui produit la prolifération des lymphocytes par l ’ immunoglobuline, l ’ isotype d'échange et immunoglobuline production immature B-Lymphocytes. Il semble jouer un rôle dans la régulation et les réponses immunitaires inflammatoire.
Une essence Nucléaire Hétérogène qui ajoute de la transcriptase inverse telomeric ADN jusqu'au bout de chromosomes eucaryotes.
Herpesviridae caractérisé par une sous-famille de cycles de reproduction variable. Le général incluent : Lymphocryptovirus et RHADINOVIRUS.
Perisinusoidal cellules du foie, situé dans l'espace d'entrainement entre les hépatocytes, ainsi que des cellules endothéliales humaines.
L'extérieur de l'individu. C'est le produit sur les interactions entre gènes, et entre le génotype et de l ’ environnement.
La cellule phagocytaire relativement vit longtemps de tissus de mammifères qui sont dérivés du sang monocytes. Principaux types sont macrophages péritonéale ; macrophages alvéolaires ; histiocytes ; Kupffer des cellules du foie ; et les ostéoclastes. Ils peuvent opérer une distinction au sein des lésions inflammatoires chroniques de Epithelioid ou fusionnent pour former des corps DEVISES géant ou Langhans. (À partir des cellules géant le dictionnaire de Cell Biology, Jackie et Dow, 3ème ed.)
Un ou plusieurs couches de des cellules épithéliales, soutenue par la lamina basale qui recouvre la face interne ou externe surfaces du corps.
Besoin pathologique de l'accumulation d ’ air dans les tissus ou organes.
Mesure de la quantité maximale d ’ air pourra être déversé dans une même nombre de secondes pendant un forcé VITAL capacité détermination. C'est généralement administré sous FEV suivi par un subscript indiquant le nombre de secondes sur laquelle la mesure est accomplis, même si c'est parfois vu comme un pourcentage de capacité vitale forcée.
Obstruction dans une partie de l'uretère causant une obstruction à l'émission d'urine urinaire du rein au BLADDER. L'obstruction peuvent être congénitaux ou acquises, des opérations bilatérales unilatérale, complet, partielle, aiguë ou chronique. En fonction du degré et la durée de l'obstruction, les signes cliniques tels que varie sensiblement hydronéphrose et cardiomyopathie néphropathie.
Un effet positif réglementaires sur le processus physiologique moléculaire au niveau systémique, ou cellulaire. Au niveau moléculaire, les principaux sites réglementaires comprennent les gènes, (GENE expression RÈGLEMENT), mRNAs (ARN, coursier), et des protéines.
Les infections à bactéries du genre Pseudomonas.
Protéine Associée Au Surfactant Pulmonaire d'abondantes qui se lie à une variété de poumon pathogènes et stimule leurs opsinization et tuer par les phagocytes. Surfactant contient une protéine D N-terminal collagen-like domaine et un domaine une lectine propeptide C-terminal qui sont caractéristiques des membres du collecter famille de protéines.
Études qui commence avec l'identification des personnes avec une maladie d'intérêt et un contrôle (comparaison, référent) groupe sans la maladie. La relation entre l'attribut de la maladie est examiné en comparant malades et non-diseased personnes en ce qui concerne la fréquence ou de l 'attribut dans chaque groupe.
L ’ administration des agents thérapeutiques goutte à goutte, comme collyre en gouttes ou gouttes. Il est également administré dans une cavité corps l'espace ou par un cathéter. 'Elle est différente de ’ INDICATION IRRIGATION en les irriguer éliminée en quelques minutes, mais le instillate est laissé à la place.
Le linge de corps ou surface par l'eau qui coule ou solution pour le traitement ou la diagnostic.
Le moins progressiste des forme d'SYSTEMIC sclérodermie avec la peau s ’ épaissit limitée aux zones distale visage, le cou et aux coudes et / ou genoux, épargnant le coffre, le syndrome du CREST est une forme de limité la sclérodermie.
Une variante du PCR technique où cDNA est faite de l'ARN VIH-1 et VIH-2. Via est alors amplifiée cDNA qui en utilisant un électrocardiogramme standard PCR protocoles.
Une enzyme qui catalyse l ’ hydrolyse de protéines, y compris Elastin. Ça clive préférentiellement carboxyle liens aux côtés de Ala et Val, avec une plus grande spécificité pour Ala. CE 3.4.21.37.
Identification de protéines ou peptides qui ont été electrophoretically séparés par le gel électrophorèse tache du passage de bouts de papier de nitrocellulose, suivie d ’ anticorps étiquetter sondes.
Un glucocorticoïde avec les propriétés générales des corticostéroïdes. C'est une drogue de choix pour toutes les conditions dans lesquelles routine la corticothérapie par voie systémique est indiquée, sauf un déficit surrénalien états.
Tous les processus impliqué dans une cellule MARCHE incluant cellule sera pendu.
Une méthode immunosérologique utilisant un anticorps légendées avec une enzyme marqueur tels que le raifort peroxydase. Pendant que soit l ’ enzyme ou l ’ anticorps est lié à un immunosorbent substrat, ils conservent leur activité biologique ; la variation de l ’ activité enzymatique en conséquence de la réaction enzyme-antibody-antigen est proportionnelle à la concentration de l'antigène et peut être mesuré spectrophotometrically ou à l'œil nu. De variations du mode ont été développées.
Les grandes voies aériennes pulmonaire résultant de la bifurcation terminale des du cœur, y compris la plus grande deux bronches primaires qui étendrait dans secondaires et tertiaires bronches, ce qui s'étendent dans les bronches bronches et alvéoles pulmonaires.
Un solvant pour huiles, Fats, vernis, caoutchouc, vernis et résines, et une matière première dans la fabrication de composés organiques. Empoisonnement par inhalation, ingestion ou absorption cutanée est possible et peut être fatale. (Merck Index, 11e éditeur)
Une souche de rat albinos largement utilisé à des fins VÉRIFICATEUR à cause de sa sérénité et la facilité d'de manipulation. Il a été développé par les Sprague Dawley Animal Company.
Des glycoprotéines à la surface des cellules, en particulier chez fibrillar structures. Les protéines sont perdus ou diminués par ces cellules subir viral ou transformation chimique. Ils sont très sensibles à la protéolyse et sont des substrats pour le facteur VIII de coagulation sanguin. Les formulaires présents dans le plasma sont appelés "cold-insoluble globulins ”.
Une prédiction du résultat probable d'une maladie basé sur un individu et l'état de la série habituelle de la maladie comme dans des situations similaires.
Un CC-type Chemokine qui se trouve à des concentrations élevées dans le thymus et a spécificité pour les récepteurs CCR4. Il est synthétisé par des cellules dendritiques ; ; ; kératinocytes des cellules endothéliales et les fibroblastes.
Le plus petit membre du MATRIX matricielles. Il joue un rôle dans tumeur progression.
Une espèce de bactéries aérobies à Gram négatif, des bacilles, fréquemment isolé des spécimens clinique (blessure, brûler et infections urinaires), c'est également observée largement distribuée dans la terre et l'eau. P. aeruginosa est un gros agent d'infection nosocomiale.
Établi des cultures de cellules qui ont le potentiel de propager indéfiniment.
Un type de l'amiante qui survient chez nature comme les dihydraté de silicate de magnésium. Ça existe sous deux formes : Antigorite, une variété, et plaqué chrysotile, une variété fibreux. Le dernier qui fasse le 95 % des produits d'amiante. (De Merck Index, 11e Ed, p.893)
Trouble caractérisé par une large gamme de péritoine, des changements structurels résultant de fibrogenic. Le processus inflammatoire ou une fibrose péritonéale est une complication fréquente chez les patients recevant DIALYSIS péritonéale et contribue à sa diminution progressive de l 'efficacité.
Le N-acétyl dérivé de la cystéine. Il est utilisé comme agent mucolytic pour réduire la viscosité de des sécrétions. Ceci a également été démontré chez les effets antiviraux due à l'inhibition de la stimulation par réactifs viraux intermédiaires.
Des protéines régulatrices et peptides qui envoient des signaux molécules paracrine participant au processus de ravitaillement. Ils sont généralement considérées facteurs en sont exprimés par une cellule et est venue après par récepteurs sur un autre proches des. Ils sont distingués des hormones dans que leurs actes sont locales plutôt que distale.
Les Rats De Lignée F344 sont des rats albinos originaires d'une souche spécifique (Hsd:NIHS) développée par le National Institutes of Health aux États-Unis, couramment utilisés dans la recherche biomédicale en raison de leur faible variabilité génétique et de leur longévité relative.
La fine membrane séreuse enveloppent les poumons (poumon) et remplissant les thoraciques CAVITY. Plèvre composée de deux couches, la plèvre viscérale allongé près du parenchyme pulmonaire et sur la plèvre pariétale. Entre les 2 couches est l'épanchement CAVITY qui contient une fine couche de liquide.
Un CXC Chemokine c'est principalement exprimé dans des cellules épithéliales. C'est pour les récepteurs CXCR2 spécificité et impliquée dans le recrutement et l ’ activation des neutrophiles.
Évaluation menée pour évaluer les résultats ou des suites de gestion et procédures utilisées dans la lutte contre la maladie afin de déterminer l'efficacité, efficacité, la tolérance et practicability de ces interventions dans des cas individuels, ou la série.
Dilatation anormale persistante des bronches.

La fibrose pulmonaire est une maladie des poumons caractérisée par une cicatrisation excessive (fibrose) et un épaississement des parois des petits sacs aériens (alvéoles) où se produit l'échange de gaz. Cette condition entraîne une diminution de la capacité pulmonaire et une rigidité des poumons, ce qui rend plus difficile la respiration, en particulier pendant l'activité physique. La fibrose pulmonaire peut être causée par plusieurs facteurs, y compris certaines maladies auto-immunes, des expositions environnementales ou professionnelles à des substances nocives, et certains médicaments. Dans de nombreux cas, la cause est inconnue, ce qui est appelé une fibrose pulmonaire idiopathique. Les symptômes courants comprennent la toux sèche, l'essoufflement, la fatigue et la perte de poids. Le diagnostic repose généralement sur des tests d'imagerie médicale tels que la radiographie pulmonaire et la tomodensitométrie (TDM) ainsi que sur des tests fonctionnels respiratoires. Le traitement vise à ralentir la progression de la maladie, à soulager les symptômes et à améliorer la qualité de vie des patients. Les options thérapeutiques peuvent inclure des corticostéroïdes, d'autres médicaments immunosuppresseurs, de l'oxygénothérapie, des thérapies pulmonaires de réadaptation et, dans les cas graves, une transplantation pulmonaire.

La fibrose pulmonaire idiopathique (FPI) est une maladie pulmonaire rare et progressive, caractérisée par une cicatrisation anormale et irréversible des poumons (fibrose), entraînant une diminution de la capacité respiratoire. L'origine de cette maladie reste inconnue ou « idiopathique ». Bien que sa cause exacte ne soit pas claire, certains facteurs de risque peuvent être associés à son développement, tels que le tabagisme, l'exposition à des particules environnementales et certaines mutations génétiques.

La FPI se manifeste généralement par une toux sèche persistante et un essoufflement croissant, même au repos. Ces symptômes sont dus à la rigidité accrue des poumons causée par la fibrose, ce qui rend plus difficile pour les poumons de se gonfler et de fonctionner correctement. D'autres signes peuvent inclure une fatigue accrue, des douleurs thoraciques, une perte de poids involontaire et une diminution de la tolérance à l'exercice.

Le diagnostic de FPI repose sur une combinaison d'antécédents médicaux, d'examen physique, d'imagerie pulmonaire (radiographie thoracique et tomodensitométrie) et de tests fonctionnels respiratoires. Dans certains cas, une biopsie pulmonaire peut être nécessaire pour confirmer le diagnostic.

Actuellement, il n'existe pas de traitement curatif pour la FPI. Le traitement vise plutôt à ralentir la progression de la maladie, à soulager les symptômes et à améliorer la qualité de vie des patients. Les options thérapeutiques comprennent des médicaments antifibrotiques, tels que le pirfénidone et le nintedanib, qui ont démontré une certaine efficacité dans la réduction de la progression de la maladie. D'autres traitements peuvent inclure l'oxygénothérapie, la kinésithérapie respiratoire et les vaccinations contre la grippe et le pneumocoque pour prévenir les infections pulmonaires. Dans certains cas graves, une transplantation pulmonaire peut être envisagée.

La recherche se poursuit pour développer de nouvelles thérapies et stratégies de traitement pour la FPI, ainsi que pour améliorer notre compréhension des mécanismes sous-jacents à cette maladie complexe.

La fibrose est un terme médical qui décrit le processus anormal de développement de tissu cicatriciel dans l'organisme. Cela se produit lorsque les tissus sont endommagés et que le corps travaille à réparer cette lésion. Dans des conditions normales, le tissu cicatriciel est composé principalement de collagène et remplace temporairement le tissu original endommagé. Cependant, dans certains cas, la production excessive de tissu cicatriciel peut entraver la fonction normale des organes et provoquer une fibrose.

La fibrose peut affecter divers organes, notamment les poumons (fibrose pulmonaire), le foie (cirrhose), le cœur (cardiomyopathie restrictive) et les reins (néphropathie interstitielle). Les symptômes de la fibrose dépendent de l'organe touché, mais ils peuvent inclure une toux sèche, une essoufflement, une fatigue, des douleurs thoraciques et une perte d'appétit.

Le traitement de la fibrose vise à gérer les symptômes et à ralentir sa progression. Les médicaments antifibrotiques peuvent être prescrits pour réduire la production de tissu cicatriciel. Dans certains cas, une transplantation d'organe peut être recommandée si la fibrose a gravement endommagé l'organe et que les autres traitements se sont avérés inefficaces.

La bléomycine est un type d'agent chimothérapeutique utilisé dans le traitement de divers types de cancer, y compris les carcinomes à cellules squameuses, les lymphomes et les tumeurs germinales. Elle est dérivée de certaines souches de champignons du sol et agit en endommageant l'ADN des cellules cancéreuses, ce qui entraîne leur mort.

Cependant, la bléomycine peut également affecter les cellules saines, en particulier celles qui se divisent rapidement, telles que les cellules de la moelle osseuse, des muqueuses et de la peau. Cela peut entraîner une variété d'effets secondaires, tels que la suppression du système immunitaire, des nausées, des vomissements, des changements dans la peau et les ongles, des problèmes pulmonaires et des lésions des muqueuses.

La bléomycine est généralement administrée par injection intraveineuse ou intramusculaire et peut être utilisée seule ou en combinaison avec d'autres agents de chimiothérapie. La dose et la fréquence d'administration dépendent du type de cancer, de son stade et de l'état général de santé du patient.

Il est important de noter que la bléomycine peut interagir avec d'autres médicaments et facteurs de risque tels que le tabagisme, ce qui peut augmenter le risque de toxicité pulmonaire. Par conséquent, il est essentiel que les professionnels de la santé surveillent attentivement les patients recevant ce médicament pour détecter tout signe d'effets secondaires et ajuster le traitement en conséquence.

La mucoviscidose, également connue sous le nom de fibrose kystique, est une maladie génétique autosomique récessive qui affecte principalement les glandes exocrines des poumons, du pancréas et d'autres organes. Elle est causée par des mutations dans le gène CFTR (Cystic Fibrosis Transmembrane Conductance Regulator).

Normalement, ce gène produit une protéine qui régule le mouvement des ions chlorure à travers la membrane cellulaire. Lorsque cette protéine est défectueuse ou manquante en raison de mutations génétiques, les sécrétions des glandes exocrines deviennent épaisses et collantes, entraînant une obstruction des voies respiratoires et digestives.

Les symptômes courants de la mucoviscidose comprennent une toux persistante, des expectorations épaisses et collantes, des infections pulmonaires fréquentes, des difficultés à respirer, une mauvaise absorption des nutriments, une croissance lente et un retard de développement. Actuellement, il n'existe pas de cure pour la mucoviscidose, mais les traitements peuvent aider à soulager les symptômes et à ralentir la progression de la maladie.

Un poumon est un organe apparié dans le système respiratoire des vertébrés. Chez l'homme, chaque poumon est situé dans la cavité thoracique et est entouré d'une membrane protectrice appelée plèvre. Les poumons sont responsables du processus de respiration, permettant à l'organisme d'obtenir l'oxygène nécessaire à la vie et d'éliminer le dioxyde de carbone indésirable par le biais d'un processus appelé hématose.

Le poumon droit humain est divisé en trois lobes (supérieur, moyen et inférieur), tandis que le poumon gauche en compte deux (supérieur et inférieur) pour permettre l'expansion de l'estomac et du cœur dans la cavité thoracique. Les poumons sont constitués de tissus spongieux remplis d'alvéoles, où se produit l'échange gazeux entre l'air et le sang.

Les voies respiratoires, telles que la trachée, les bronches et les bronchioles, conduisent l'air inspiré dans les poumons jusqu'aux alvéoles. Le muscle principal de la respiration est le diaphragme, qui se contracte et s'allonge pour permettre l'inspiration et l'expiration. Les poumons sont essentiels au maintien des fonctions vitales et à la santé globale d'un individu.

L'hydroxyproline est un acide aminé modifié qui est formé à partir de proline dans le collagène et certaines autres protéines. Ce processus de modification est catalysé par l'enzyme prolyl hydroxylase. L'hydroxyproline joue un rôle crucial dans la stabilité structurelle des molécules de collagène, qui sont les principales protéines structurelles du tissu conjonctif dans le corps humain. Une faible teneur en hydroxyproline dans le collagène peut entraîner une maladie appelée scorbut. L'hydroxyproline est généralement mesurée dans les analyses d'urine et de sang pour évaluer la synthèse et la dégradation du collagène, ce qui peut être utile dans le diagnostic et le suivi des maladies affectant le tissu conjonctif, telles que la sclérodermie et l'ostéogenèse imparfaite.

La maladie pulmonaire interstitielle (MPI) est un terme général qui décrit un groupe diversifié de plus de 200 maladies différentes affectant le tissu conjonctif situé entre les alvéoles pulmonaires, appelé l'interstice. Cette région joue un rôle crucial dans le processus d'échange des gaz, permettant à l'oxygène d'entrer dans la circulation sanguine et au dioxyde de carbone de quitter les poumons.

Les MPI sont caractérisées par une inflammation et/ou une fibrose (cicatrisation) du tissu conjonctif interstitiel, entraînant une réduction de la capacité pulmonaire et une limitation des échanges gazeux. Les symptômes courants comprennent une toux sèche persistante, un essoufflement (dyspnée), une fatigue, une perte de poids involontaire et, dans certains cas, des douleurs thoraciques.

Les MPI peuvent être classées en fonction de leur cause sous-jacente :

1. Maladies pulmonaires interstitielles idiopathiques (MPI-I) : Ce sont des MPI dont la cause est inconnue, comme la fibrose pulmonaire idiopathique (FPI).
2. Maladies pulmonaires interstitielles liées à l'environnement ou à des expositions professionnelles : Ces MPI sont causées par une exposition à des substances nocives telles que l'amiante, la silice, les métaux lourds et certains médicaments.
3. Maladies pulmonaires interstitielles associées à des maladies systémiques : Ces MPI sont associées à des affections sous-jacentes telles que la sclérodermie, le lupus érythémateux disséminé, la polyarthrite rhumatoïde et d'autres connectivites.
4. Maladies pulmonaires interstitielles liées à l'infection : Certaines infections peuvent entraîner des MPI, comme la pneumocystose ou la tuberculose.
5. Maladies pulmonaires interstitielles néoplasiques : Des tumeurs malignes telles que le mésothéliome et les sarcomes peuvent provoquer une MPI.

Le diagnostic des MPI repose sur l'anamnèse, l'examen physique, les tests de laboratoire, la radiographie thoracique, la tomodensitométrie (TDM) et, dans certains cas, des biopsies pulmonaires. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des corticostéroïdes, d'autres immunosuppresseurs, des antifibrotiques ou une combinaison de ces médicaments. Dans certains cas graves, une transplantation pulmonaire peut être envisagée.

Le liquide de lavage bronchoalvéolaire (BALF) est une méthode de diagnostic utilisée en pneumologie pour évaluer l'état des voies respiratoires inférieures. Il s'agit d'un échantillon de liquide recueilli après avoir instillé et aspiré une solution saline stérile dans la bronche ou l'alvéole pulmonaire d'un patient.

Ce liquide contient des cellules, des protéines, des cytokines et d'autres composants qui peuvent aider à identifier la présence de diverses affections pulmonaires telles que les infections, l'inflammation, la fibrose pulmonaire, la pneumoconiosis, la maladie pulmonaire interstitielle et certains types de cancer du poumon.

L'analyse du BALF peut inclure le comptage des cellules, l'examen microscopique pour détecter la présence d'agents pathogènes ou de cellules anormales, ainsi que des tests chimiques et immunologiques pour évaluer les niveaux de divers marqueurs inflammatoires ou autres protéines.

Il est important de noter que le prélèvement de BALF nécessite une certaine expertise médicale et doit être effectué avec soin pour éviter d'endommager les tissus pulmonaires délicats.

Les fibroblastes sont des cellules présentes dans les tissus conjonctifs de l'organisme, qui produisent et sécrètent des molécules structurelles telles que le collagène et l'élastine. Ces protéines assurent la cohésion, la résistance et l'élasticité des tissus conjonctifs, qui constituent une grande partie de notre organisme et ont pour rôle de relier, soutenir et protéger les autres tissus et organes.

Les fibroblastes jouent également un rôle important dans la cicatrisation des plaies en synthétisant et déposant du collagène et d'autres composants de la matrice extracellulaire, ce qui permet de combler la zone lésée et de rétablir l'intégrité du tissu.

En plus de leur activité structurelle, les fibroblastes sont également capables de sécréter des facteurs de croissance, des cytokines et d'autres molécules de signalisation qui influencent le comportement des cellules voisines et participent à la régulation des processus inflammatoires et immunitaires.

Dans certaines circonstances pathologiques, comme en cas de cicatrices excessives ou de fibroses, les fibroblastes peuvent devenir hyperactifs et produire une quantité excessive de collagène et d'autres protéines, entraînant une altération de la fonction des tissus concernés.

Les myofibroblastes sont des cellules présentes dans les tissus conjonctifs qui possèdent des propriétés à la fois des fibroblastes et des cellules musculaires lisses. Ils jouent un rôle crucial dans la cicatrisation des plaies en produisant du collagène et en aidant à contracter le site de la plaie pour fermer la blessure.

Cependant, une présence excessive ou persistante de myofibroblastes peut entraîner une fibrose tissulaire excessive, ce qui peut être délétère dans certaines conditions médicales telles que la cirrhose du foie, la fibrose pulmonaire idiopathique et la sclérodermie.

Il est important de noter que les myofibroblastes peuvent provenir de différentes sources cellulaires, y compris les fibroblastes résidents, les cellules souches mésenchymateuses, les cellules épithéliales et endothéliales transformées, en fonction du contexte pathologique.

Les alvéoles pulmonaires sont de minuscules sacs en forme de boule situés dans les poumons où se produit l'échange de gaz entre l'air et le sang. Chaque alvéole est entourée d'un réseau dense de capillaires sanguins, ce qui permet à l'oxygène inspiré de passer des alvéoles dans le sang et au dioxyde de carbone expiré de passer du sang aux alvéoles.

Les parois des alvéoles sont recouvertes d'un liquide qui facilite la diffusion de l'oxygène et du dioxyde de carbone à travers les membranes. Les cellules présentes dans les parois des alvéoles, appelées pneumocytes, produisent une substance surfactante qui réduit la tension superficielle dans les alvéoles et empêche leur collapsus.

Les poumons contiennent environ 300 millions d'alvéoles pulmonaires, ce qui permet une grande surface d'échange de gaz, estimée à environ 70 mètres carrés. Les maladies pulmonaires telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l'emphysème et la fibrose pulmonaire peuvent endommager les alvéoles pulmonaires et entraver leur fonctionnement normal.

La protéine CFTR (CF Transmembrane Conductance Regulator) est une protéine membranaire qui agit comme un canal chlore activé par ATP. Elle joue un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre des ions et de l'hydratation du épithéliale, en particulier dans les poumons, le pancréas et l'intestin grêle. Les mutations dans le gène CFTR sont responsables de la mucoviscidose (fibrose kystique), une maladie génétique grave qui affecte principalement les voies respiratoires et digestives. Ces mutations peuvent entraîner une production insuffisante, un fonctionnement anormal ou l'absence de la protéine CFTR, ce qui perturbe le transport des ions chlore et provoque la production de mucus épais et collant dans les organes affectés.

L'alvéolite allergique extrinsèque (AAE) est une maladie pulmonaire inflammatoire rare et souvent professionnelle, également connue sous le nom de pneumonite hypersensible. Elle est causée par l'inhalation répétée de particules organiques ou inorganiques qui déclenchent une réponse immunitaire anormale dans les poumons. Les symptômes peuvent inclure une toux sèche, une respiration sifflante, un essoufflement, des douleurs thoraciques et une fatigue. Dans les cas graves, l'AAE peut entraîner une fibrose pulmonaire permanente et irréversible. Le diagnostic repose généralement sur l'anamnèse professionnelle, la présentation clinique, les tests de fonction pulmonaire et les résultats des biopsies pulmonaires. Le traitement de l'AAE implique généralement d'éviter l'exposition aux déclencheurs et peut inclure des corticostéroïdes pour contrôler l'inflammation.

Le collagène est une protéine structurelle abondante dans le corps humain, constituant environ un tiers des protéines totales. Il joue un rôle crucial dans la formation des structures de soutien et protectrices telles que la peau, les tendons, les ligaments, les os, les cartilages, les vaisseaux sanguins et les dents. Le collagène fournit force et souplesse à ces tissus en formant des fibres solides mais flexibles.

Il est synthétisé par divers types de cellules, y compris les fibroblastes, à partir d'acides aminés provenant de sources alimentaires ou du recyclage des propres protéines de l'organisme. Les trois acides aminés principaux utilisés dans la production de collagène sont la glycine, la proline et la hydroxyproline.

La structure unique du collagène, qui contient une grande quantité de résidus d'acide aminé hydroxyproline, lui confère sa rigidité et sa stabilité. Des anomalies dans la production ou la structure du collagène peuvent entraîner diverses maladies génétiques telles que l'ostéogenèse imparfaite (maladie des os de verre) et l'épidermolyse bulleuse (une forme grave de peau fragile).

Les maladies du collagène sont un groupe hétérogène de plus de 200 affections caractérisées par des anomalies dans la synthèse, la structure ou la dégradation du collagène. Le collagène est une protéine fibreuse qui constitue environ un tiers des protéines totales de l'organisme et joue un rôle crucial dans la structure et la fonction des tissus conjonctifs, y compris la peau, les tendons, les ligaments, les os, le cartilage, les vaisseaux sanguins et les organes.

Les maladies du collagène peuvent être classées en plusieurs catégories, selon la nature de l'anomalie sous-jacente :

1. Les maladies de dépôt de collagène sont dues à une accumulation anormale de collagène dans les tissus, entraînant une fibrose et une rigidité des organes touchés. L'exemple le plus courant est la sclérodermie systémique.
2. Les maladies de structure du collagène sont dues à des mutations génétiques qui altèrent la structure du collagène, entraînant une fragilité et une susceptibilité accrues aux lésions. L'exemple le plus courant est l'ostéogenèse imparfaite ou "maladie des os de verre".
3. Les maladies de dégradation du collagène sont dues à des mutations génétiques qui altèrent les enzymes responsables de la dégradation du collagène, entraînant une accumulation anormale de collagène dans les tissus. L'exemple le plus courant est l'Ehlers-Danlos syndrome.
4. Les maladies inflammatoires du collagène sont dues à des processus auto-immuns qui ciblent le collagène et entraînent une inflammation, une fibrose et une dégradation des tissus conjonctifs. L'exemple le plus courant est le lupus érythémateux disséminé.

Les symptômes et les signes de ces maladies varient en fonction de la localisation et de la sévérité de la lésion tissulaire, mais peuvent inclure des douleurs articulaires, une fatigue chronique, une faiblesse musculaire, des ecchymoses faciles, des déformations osseuses, des problèmes respiratoires et cardiovasculaires, des lésions cutanées et des problèmes de vision. Le diagnostic et le traitement de ces maladies nécessitent une évaluation approfondie par un spécialiste en rhumatologie ou en médecine interne, ainsi qu'une collaboration multidisciplinaire avec d'autres spécialistes tels que des dermatologues, des cardiologues et des pneumologues.

Les facteurs de croissance transformants bêta (TGF-β) sont des cytokines multifonctionnelles qui jouent un rôle crucial dans la régulation des processus biologiques tels que la prolifération, la différenciation, l'apoptose et la migration cellulaire. Ils appartiennent à une famille de facteurs de croissance qui comprend également les facteurs de croissance des bone morphogenetic proteins (BMPs), les activines et les inhibines.

Les TGF-β sont produits par une variété de cellules, y compris les cellules immunitaires, les fibroblastes et les cellules épithéliales. Ils existent sous forme de protéines inactives liées à d'autres protéines dans le tissu extracellulaire. Lorsqu'ils sont activés par des enzymes spécifiques ou par des dommages mécaniques, les TGF-β se lient à des récepteurs de surface cellulaire et déclenchent une cascade de signalisation intracellulaire qui régule l'expression des gènes.

Les TGF-β ont des effets variés sur différents types de cellules. Dans les cellules immunitaires, ils peuvent inhiber la prolifération et l'activation des lymphocytes T et B, ce qui peut entraver la réponse immunitaire. Dans les cellules épithéliales, ils peuvent favoriser la différenciation et l'apoptose, tandis que dans les cellules fibroblastiques, ils peuvent stimuler la prolifération et la production de matrice extracellulaire.

Les TGF-β sont également importants dans le développement embryonnaire, la cicatrisation des plaies et la fibrose tissulaire. Des niveaux anormaux ou une régulation altérée des TGF-β ont été associés à un certain nombre de maladies, y compris les maladies inflammatoires, les maladies fibrotiques et le cancer.

En bref, les TGF-β sont des cytokines multifonctionnelles qui jouent un rôle important dans la régulation de l'inflammation, de la différenciation cellulaire, de la prolifération et de la fibrose tissulaire. Des niveaux anormaux ou une régulation altérée des TGF-β peuvent contribuer au développement de diverses maladies.

La sclérodermie diffuse est une forme plus grave et systémique de sclérodermie, un trouble du tissu conjonctif qui entraîne le durcissement et l'épaississement de la peau et des tissus conjonctifs. Dans la sclérodermie diffuse, ces changements ne se limitent pas seulement à la peau mais affectent également les organes internes tels que les poumons, le cœur, les reins et le tube digestif.

Cette condition est caractérisée par une production excessive de collagène, qui est une protéine fibreuse importante dans la structure du tissu conjonctif. Cette accumulation anormale de collagène entraîne l'épaississement et le durcissement des tissus, restreignant ainsi leur mouvement et leur fonctionnement.

Les symptômes de la sclérodermie diffuse peuvent inclure un épaississement et un durcissement rapides de la peau sur tout le corps, des douleurs articulaires, une fatigue intense, des problèmes digestifs tels que nausées, vomissements, diarrhée ou constipation, des essoufflements, une hypertension artérielle et une insuffisance rénale.

Il n'existe actuellement aucun remède contre la sclérodermie diffuse. Le traitement vise plutôt à gérer les symptômes et à prévenir les complications graves. Il peut inclure des médicaments pour dilater les vaisseaux sanguins, réduire la production de collagène, soulager la douleur et traiter toute infection ou maladie sous-jacente. Des séances de physiothérapie peuvent également être bénéfiques pour aider à maintenir la fonction articulaire et musculaire.

La fibrose endomyocardique est une condition médicale caractérisée par la présence de tissu cicatriciel (fibrose) dans le muscle cardiaque de l'endocarde et du myocarde. L'endocarde est la membrane qui tapisse l'intérieur des cavités cardiaques, tandis que le myocarde est le muscle qui forme la paroi du cœur.

La fibrose endomyocardique peut affecter n'importe quelle partie du cœur, mais elle est souvent localisée dans les valves cardiaques et les cordages tendineux. Cette condition peut entraîner une rigidité du muscle cardiaque, ce qui peut réduire la capacité du cœur à pomper le sang efficacement.

Les causes de la fibrose endomyocardique sont variées et peuvent inclure des infections virales ou bactériennes, des maladies auto-immunes, des troubles génétiques, l'exposition à des toxines environnementales, et d'autres facteurs. Les symptômes de la fibrose endomyocardique peuvent varier en fonction de la gravité et de la localisation de la fibrose, mais ils peuvent inclure une fatigue accrue, un essoufflement, des palpitations cardiaques, et une insuffisance cardiaque congestive.

Le diagnostic de la fibrose endomyocardique peut être difficile en raison de sa présentation clinique variable et de l'absence de tests diagnostiques spécifiques. Le diagnostic repose souvent sur des antécédents médicaux détaillés, un examen physique complet, des tests d'imagerie cardiaque non invasifs tels que l'échocardiographie et l'IRM cardiaque, ainsi que des biopsies endomyocardiques.

Le traitement de la fibrose endomyocardique dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour traiter les symptômes, des thérapies de soutien telles que l'oxygénothérapie et la dialyse rénale, et dans certains cas, une transplantation cardiaque.

Je suis désolé, mais il n'y a pas de terme médical appelé "Péplomycine". Il est possible qu'il y ait une confusion avec le terme "peplomer", qui est utilisé en virologie. Les peplomères sont des projections de glycoprotéines présentes à la surface de certaines particules virales, comme les virus de la grippe et les coronavirus. Elles jouent un rôle important dans l'attachement du virus à la cellule hôte et dans la fusion de la membrane virale avec la membrane cellulaire. Si vous cherchiez une information sur ce sujet, je serais heureux de vous fournir des détails supplémentaires.

La souche de souris C57BL (C57 Black 6) est une souche inbred de souris labo commune dans la recherche biomédicale. Elle est largement utilisée en raison de sa résistance à certaines maladies infectieuses et de sa réactivité prévisible aux agents chimiques et environnementaux. De plus, des mutants génétiques spécifiques ont été développés sur cette souche, ce qui la rend utile pour l'étude de divers processus physiologiques et pathologiques. Les souris C57BL sont également connues pour leur comportement et leurs caractéristiques sensorielles distinctives, telles qu'une préférence pour les aliments sucrés et une réponse accrue à la cocaïne.

L'exploration fonctionnelle respiratoire (EFR) est un ensemble de tests pulmonaires qui permettent d'évaluer la capacité respiratoire et les échanges gazeux d'un individu. Elle vise à mesurer la ventilation, la compliance thoracique, la diffusion des gaz alvéolo-capillaires et les mécanismes de contrôle de la ventilation. Les tests couramment utilisés dans l'EFR comprennent la spirométrie, les manœuvres de bodyplethysmographie, les mesures de la diffusing capacity of the lung for carbon monoxide (DLCO) et les tests de réversibilité. Ces examens sont indolores et non invasifs, et ils sont largement utilisés dans le diagnostic, le suivi et la prise en charge des maladies respiratoires telles que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), la fibrose pulmonaire et d'autres affections pulmonaires.

Le facteur de croissance transformant bêta 1 (TGF-β1) est une protéine qui appartient à la famille des facteurs de croissance transformants bêta. Il s'agit d'une cytokine multifonctionnelle qui joue un rôle crucial dans la régulation des processus cellulaires tels que la prolifération, la différenciation, l'apoptose et l'angiogenèse.

Le TGF-β1 est produit par une variété de cellules, y compris les fibroblastes, les macrophages, les lymphocytes T et les cellules épithéliales. Il existe sous forme inactive liée à une protéine latente dans le tissu extracellulaire et est activé par des processus tels que la protéolyse ou l'exposition à des agents physiques tels que la radiation ultraviolette.

Le TGF-β1 exerce ses effets en se liant à des récepteurs de type II et I spécifiques, qui forment un complexe récepteur hétérodimérique. Ce complexe récepteur active une cascade de signalisation intracellulaire qui aboutit à la phosphorylation et à l'activation de plusieurs facteurs de transcription, y compris les membres de la famille SMAD.

Le TGF-β1 est impliqué dans divers processus physiologiques tels que le développement embryonnaire, la cicatrisation des plaies et la régulation du système immunitaire. Cependant, il a également été démontré qu'il joue un rôle important dans plusieurs maladies, telles que la fibrose, l'inflammation chronique, le cancer et les maladies cardiovasculaires.

En résumé, le facteur de croissance transformant bêta 1 est une protéine multifonctionnelle qui régule divers processus cellulaires et joue un rôle important dans la physiologie et la pathogenèse de plusieurs maladies.

Je suis désolé, mais la phrase "Maladies Expérimentales" ne correspond pas à une définition médicale spécifique. Le terme "maladie expérimentale" peut faire référence à des études ou recherches scientifiques dans lesquelles des maladies sont simulées ou créées dans un laboratoire, généralement sur des animaux de laboratoire, pour mieux comprendre la pathogenèse, le développement et les traitements possibles d'une maladie. Cependant, il ne s'agit pas d'un terme médical standardisé. Si vous cherchez des informations sur une procédure ou un concept médical spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

La transplantation pulmonaire est un type de chirurgie dans laquelle un ou les deux poumons d'un donneur décédé sont greffés sur un receveur dont les poumons ne fonctionnent plus correctement en raison d'une maladie pulmonaire grave et irréversible. Les indications courantes pour une transplantation pulmonaire comprennent la fibrose pulmonaire, l'emphysème sévère, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l'hypertension artérielle pulmonaire et certaines formes de maladies pulmonaires interstitielles.

Le processus de transplantation implique généralement plusieurs étapes, y compris l'évaluation du receveur pour déterminer s'il est un candidat approprié pour la transplantation, l'attente d'un donneur compatible, la chirurgie elle-même et le suivi post-transplantation pour gérer les complications potentielles telles que le rejet du greffon et l'infection.

Bien que la transplantation pulmonaire puisse améliorer considérablement la qualité de vie et prolonger la survie des patients atteints de maladies pulmonaires graves, il s'agit d'une procédure complexe et risquée qui nécessite une équipe multidisciplinaire expérimentée pour assurer les meilleurs résultats possibles.

La sarcoïdose pulmonaire est une maladie systémique caractérisée par la formation de granulomes inflammatoires dans les tissus, en particulier dans les poumons. Bien que n'importe quel organe puisse être affecté, la sarcoïdose touche le plus souvent les poumons et les ganglions lymphatiques environnants. Les granulomes sont des amas de cellules immunitaires qui se forment en réponse à une substance étrangère ou à une inflammation, mais dans la sarcoïdose, la cause déclenchante est inconnue.

Dans la sarcoïdose pulmonaire, les granulomes se développent principalement dans le tissu pulmonaire et les ganglions lymphatiques voisins (hilaires). Cela peut entraîner une inflammation chronique, des cicatrices et, dans certains cas, une fibrose pulmonaire. Les symptômes de la sarcoïdose pulmonaire peuvent varier considérablement, allant d'aucun symptôme à une toux sèche persistante, une fatigue, une douleur thoracique, des essoufflements et, dans les cas graves, une insuffisance respiratoire.

La sarcoïdose pulmonaire est généralement diagnostiquée par une combinaison d'imagerie médicale, de tests fonctionnels respiratoires et d'examens histopathologiques des expectorations ou des biopsies tissulaires. Le traitement dépend de la gravité de la maladie et peut inclure des corticostéroïdes, des immunosuppresseurs et des thérapies visant à soulager les symptômes. Dans certains cas, la sarcoïdose pulmonaire peut se résoudre spontanément sans traitement, tandis que dans d'autres, elle peut entraîner une invalidité permanente ou même la mort, en particulier si elle n'est pas correctement diagnostiquée et traitée.

L'emphysème pulmonaire est une maladie des poumons caractérisée par la présence de sacs d'air anormalement larges (appelés bulles) dans les tissus pulmonaires. Ces bulles sont formées lorsque les parois des petits sacs d'air dans les poumons, appelés alvéoles, sont détruites. Cela entraîne une réduction de la surface disponible pour échanger l'oxygène et le dioxyde de carbone, ce qui peut rendre la respiration difficile.

L'emphysème est généralement causé par le tabagisme ou l'exposition à long terme à des polluants atmosphériques. Dans de rares cas, il peut être dû à une maladie génétique appelée déficit en alpha-1 antitrypsine.

Les symptômes de l'emphysème comprennent une toux chronique, une respiration sifflante, un essoufflement et une fatigue accrue. Le traitement peut inclure des médicaments pour aider à dilater les voies respiratoires et réduire l'inflammation, de l'oxygénothérapie pour aider à fournir plus d'oxygène aux poumons, et dans certains cas, une intervention chirurgicale. Il n'existe actuellement aucun remède pour l'emphysème, mais le traitement peut aider à ralentir la progression de la maladie et à améliorer la qualité de vie des personnes atteintes.

Je suis désolé, mais la combinaison de termes "antibiotiques antinéoplasiques" est contradictoire. Les antibiotiques sont des médicaments utilisés pour traiter les infections bactériennes, tandis que les agents antinéoplasiques, également appelés chimiothérapie, sont des médicaments utilisés pour traiter le cancer. Il n'existe pas de catégorie de médicaments appelée "antibiotiques antinéoplasiques". Si vous cherchez des informations sur les agents antinéoplasiques ou la chimiothérapie, je serais heureux de vous fournir une explication à ce sujet.

La cirrhose du foie est une maladie hépatique progressive et irréversible caractérisée par la mort des cellules hépatiques (hépatocytes) et leur remplacement par du tissu cicatriciel fibreux. Cette cicatrisation entraîne une distorsion de la structure normale du foie, ce qui perturbe sa fonction. La cirrhose peut entraîner une variété de complications graves, telles que l'insuffisance hépatique, les ascites, l'encéphalopathie hépatique et le cancer du foie.

Les causes courantes de la cirrhose comprennent l'abus d'alcool, l'infection par le virus de l'hépatite B ou C, l'obésité et les maladies métaboliques telles que la stéatohépatite non alcoolique (NASH). Les symptômes peuvent inclure une fatigue extrême, une perte d'appétit, des nausées, des douleurs abdominales, une jaunisse et un gonflement des jambes. Le diagnostic est généralement posé par l'intermédiaire de tests sanguins, d'imagerie médicale et éventuellement d'une biopsie du foie.

Le traitement de la cirrhose vise à ralentir sa progression et à gérer les complications associées. Les changements de mode de vie, tels que l'arrêt de la consommation d'alcool et la perte de poids, peuvent être bénéfiques pour certains types de cirrhose. Le traitement médicamenteux peut inclure des médicaments pour contrôler les complications telles que l'hypertension portale, les ascites et l'encéphalopathie hépatique. Dans les cas avancés, une transplantation hépatique peut être nécessaire.

Le lavage bronchoalvéolaire (BAL) est un procédé diagnostique utilisé en pneumologie pour évaluer l'état de la muqueuse des voies respiratoires et prélever un échantillon de liquide contenant des cellules dans l'espace aérien terminal des poumons. Il consiste à instiller une solution stérile, généralement du sérum physiologique, dans une bronche segmentaire ou sous-segmentaire via un bronchoscope, puis à aspirer le liquide résultant.

Cette méthode permet d'analyser la composition cellulaire et chimique du liquide récupéré, ce qui peut aider au diagnostic de diverses affections pulmonaires, y compris les infections, l'inflammation, la fibrose, la pneumoconiosis, l'alvéolite allergique extrinsèque et d'autres maladies interstitielles des poumons. Les risques associés au BAL sont généralement faibles, mais peuvent inclure une réaction allergique à l'instillation de la solution, une infection nosocomiale ou une irritation des voies respiratoires.

Le syndrome de Hermansky-Pudlak est un trouble héréditaire rare qui affecte plusieurs organes et systèmes du corps. Il est nommé d'après les médecins tchécoslovaques, Frantisek Hermansky et Pavel Pudlak, qui l'ont décrit pour la première fois en 1959.

Le syndrome se caractérise principalement par une triade de symptômes :

1. Albinisme oculocutané: C'est une condition dans laquelle il y a une production réduite ou absente de mélanine, le pigment qui donne à la peau, aux yeux et aux cheveux leur couleur. Les personnes atteintes du syndrome de Hermansky-Pudlak ont souvent une peau très pâle, des cheveux blancs ou blonds, et des yeux clairs. Elles sont également sensibles au soleil et ont un risque accru de développer un cancer de la peau.

2. Saignements prolongés: Les personnes atteintes du syndrome de Hermansky-Pudlak ont souvent des problèmes de coagulation sanguine en raison d'une absence ou d'une réduction des plaquettes fonctionnelles dans le sang. Cela peut entraîner des saignements prolongés et une augmentation du risque de développer des hématomes.

3. Déficience pulmonaire: Certaines personnes atteintes du syndrome de Hermansky-Pudlak développent une fibrose pulmonaire, une condition dans laquelle les poumons s'épaississent et se raidissent, ce qui rend difficile la respiration.

Le syndrome de Hermansky-Pudlak est causé par des mutations dans l'un des neuf gènes différents qui sont responsables de la production de protéines nécessaires au fonctionnement normal des lysosomes, des organites cellulaires qui décomposent et recyclent les déchets cellulaires. Les mutations de ces gènes entraînent une accumulation anormale de matériaux dans les lysosomes, ce qui peut endommager les cellules et entraîner des problèmes de santé.

Le syndrome de Hermansky-Pudlak est héréditaire et est transmis selon un mode autosomique récessif, ce qui signifie qu'une personne doit hériter de deux copies du gène muté, une de chaque parent, pour développer la maladie. Les personnes qui n'héritent que d'une copie du gène muté ne présentent généralement aucun symptôme mais peuvent transmettre le gène muté à leur progéniture.

Le diagnostic du syndrome de Hermansky-Pudlak est généralement posé sur la base des antécédents médicaux, d'un examen physique et de tests de laboratoire, tels qu'une numération plaquettaire complète et une biopsie pulmonaire. Les tests génétiques peuvent également être utilisés pour confirmer le diagnostic et déterminer le type de mutation du gène responsable de la maladie.

Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour le syndrome de Hermansky-Pudlak, mais des soins de soutien peuvent être proposés pour gérer les symptômes et prévenir les complications. Les personnes atteintes du syndrome de Hermansky-Pudlak doivent éviter l'exposition au soleil et utiliser une protection solaire adéquate, car elles sont plus susceptibles de développer des coups de soleil et un cancer de la peau. Les personnes atteintes du syndrome de Hermansky-Pudlak doivent également être surveillées régulièrement pour dépister les complications pulmonaires, telles que la fibrose pulmonaire, et recevoir un traitement approprié si nécessaire.

En conclusion, le syndrome de Hermansky-Pudlak est une maladie génétique rare qui affecte plusieurs systèmes du corps, notamment le système immunitaire, les poumons et la peau. Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour cette maladie, mais des soins de soutien peuvent être proposés pour gérer les symptômes et prévenir les complications. Les personnes atteintes du syndrome de Hermansky-Pudlak doivent éviter l'exposition au soleil et utiliser une protection solaire adéquate, et être surveillées régulièrement pour dépister les complications pulmonaires.

Les pyridones sont un type de composé organique qui possède un noyau hétérocyclique à six membres contenant un atome d'azote et un atome d'oxygène. Dans le contexte médical, certaines pyridones ont des propriétés pharmacologiques intéressantes et sont donc utilisées dans la synthèse de divers médicaments. Par exemple, certains antibiotiques, comme la ciprofloxacine et la norfloxacine, appartiennent à la classe des fluoroquinolones, qui sont des dérivés de la pyridone.

Ces composés ont une activité antimicrobienne contre un large éventail de bactéries gram-positives et gram-négatives, ainsi que contre certains champignons et parasites. Les pyridones peuvent également être utilisées dans la synthèse d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA), qui sont des médicaments couramment prescrits pour traiter l'hypertension artérielle et l'insuffisance cardiaque.

Il est important de noter que, comme tout médicament, les pyridones peuvent avoir des effets secondaires indésirables et doivent être utilisées sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié.

L'asbestose est une maladie pulmonaire interstitielle irréversible et progressive, causée par l'inhalation de fibres d'amiante. Cette pathologie se caractérise par une fibrose pulmonaire, qui entraîne une réduction de la fonction respiratoire, des essoufflements, une toux persistante et, dans les cas graves, une hypertension artérielle pulmonaire et un cœur pulmonaire. L'asbestose se développe généralement après plusieurs années d'exposition à l'amiante et peut augmenter le risque de cancer du poumon, en particulier chez les fumeurs. Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour cette maladie, et la prévention consiste principalement à éviter toute exposition aux fibres d'amiante.

La fibrose rétroperitoneale est une maladie rare mais grave caractérisée par le développement anormal de tissus cicatriciels (fibrose) dans la région située derrière l'abdomen, appelée rétropéritoine. Cette zone contient des organes vitaux tels que les reins, les uretères, les vaisseaux sanguins importants et le système nerveux sympathique.

Dans cette maladie, une inflammation chronique entraîne la formation de ces tissus cicatriciels qui enveloppent progressivement les organes, restreignant leur mouvement et leur fonctionnement normal. Cela peut provoquer une variété de symptômes dépendants de l'étendue et de la localisation de la fibrose.

Les signes et symptômes courants incluent des douleurs abdominales ou lombaires persistantes, un gonflement des jambes dû à une rétention liquidienne (lymphœdème), une hypertension artérielle réfractaire au traitement, une insuffisance rénale fonctionnelle, des troubles intestinaux et, dans certains cas graves, une défaillance multiviscérale.

Le diagnostic de la fibrose rétroperitoneale est souvent difficile en raison de sa présentation atypique. Il nécessite généralement une combinaison d'imageries médicales avancées telles que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi qu'une biopsie pour confirmer le diagnostic. Le traitement dépend de la gravité de la maladie et peut inclure des médicaments anti-inflammatoires, des immunosuppresseurs ou, dans les cas avancés, une intervention chirurgicale pour soulager la compression des organes.

La protéine C associée au surfactant pulmonaire, également connue sous le nom de SP-C (pour Surfactant Protein C), est une petite protéine hydrophobe qui se trouve dans les poumons. Elle fait partie des protéines associées au surfactant pulmonaire, avec la protéine SP-A, SP-B et SP-D.

La protéine SP-C joue un rôle crucial dans la réduction de la tension superficielle dans les alvéoles pulmonaires, ce qui permet une expansion et une contraction efficaces des poumons lors de la respiration. Elle contribue également à l'immunité pulmonaire en aidant à éliminer les agents pathogènes et les particules nocives qui pénètrent dans les poumons.

Les mutations du gène codant pour la protéine SP-C peuvent entraîner des maladies pulmonaires héréditaires, telles que la fibrose pulmonaire familiale et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). De plus, une production insuffisante de SP-C a été associée à des maladies pulmonaires acquises, telles que la pneumonie et l'insuffisance respiratoire aiguë.

Les macrophages alvéolaires sont un type spécifique de cellules immunitaires qui se trouvent à l'intérieur des sacs aériens les plus fins des poumons, appelés alvéoles. Ils jouent un rôle crucial dans la défense contre les infections et l'élimination des particules étrangères qui ont réussi à pénétrer dans les voies respiratoires.

Ces cellules font partie du système immunitaire inné et sont capables de phagocytose, c'est-à-dire qu'elles peuvent engloutir et décomposer des bactéries, des virus, des champignons, des parasites et d'autres particules nocives. Après avoir ingéré ces agents pathogènes ou matériaux étrangers, les macrophages alvéolaires les décomposent en composants plus petits, ce qui permet de présenter ces antigènes aux lymphocytes T, déclenchant ainsi une réponse immunitaire adaptative.

Les macrophages alvéolaires sont également importants pour maintenir la santé pulmonaire en éliminant les cellules mortes et les débris dans les voies respiratoires. Ils sécrètent également des cytokines et d'autres facteurs chimiques qui contribuent à réguler l'inflammation et coordonner la réponse immunitaire locale.

En résumé, les macrophages alvéolaires sont des cellules essentielles du système immunitaire qui protègent les poumons contre les infections et aident à maintenir l'homéostasie dans les voies respiratoires.

Les pneumocytes sont des cellules épithéliales qui tapissent les alvéoles pulmonaires. Ils jouent un rôle crucial dans le processus de respiration en facilitant l'échange gazeux entre l'air et le sang. Il existe deux types principaux de pneumocytes :

1. Pneumocytes de type I: Ces cellules sont très minces et étendues, couvrant environ 95% de la surface des alvéoles. Elles participent directement à l'échange gazeux en permettant aux gaz de passer librement entre l'air dans les alveoles et le sang dans les capillaires sanguins.

2. Pneumocytes de type II: Ces cellules sont plus petites et moins étendues que les pneumocytes de type I. Elles sécrètent une substance surfactante qui recouvre l'intérieur des alvéoles, réduisant ainsi la tension superficielle et empêchant les alvéoles de se coller ensemble lors de l'expiration. De plus, en cas de dommage ou de blessure aux pneumocytes de type I, les pneumocytes de type II peuvent se différencier et remplacer ces cellules endommagées.

Les pneumocytes peuvent être affectés par diverses maladies pulmonaires, telles que la pneumonie, la fibrose pulmonaire et le cancer du poumon, ce qui peut entraîner des lésions tissulaires, une inflammation et une altération de la fonction respiratoire.

L'amiante est un terme général qui décrit un groupe de minéraux à base de silicate qui sont résistants à la chaleur et au feu. Il existe deux principaux types d'amiante : serpentine et amphibole. L'amiante serpentine a une structure en forme de feuille et ne comprend qu'un seul minéral, le chrysotile. L'amiante amphibole a une structure fibreuse rigide et comprend plusieurs minéraux, tels que l'amosite, la crocidolite, la tremolite, l'actinolite et l'anthophyllite.

L'amiante est dangereux pour la santé lorsqu'il est inhalé sous forme de fibres microscopiques. Ces fibres peuvent se loger dans les poumons et entraîner une variété de problèmes de santé, notamment des maladies pulmonaires telles que l'asbestose, le cancer du poumon et le mésothéliome, qui est un type rare de cancer qui affecte la membrane qui tapisse les poumons et la cavité thoracique.

Historiquement, l'amiante a été utilisé dans une variété d'applications industrielles et commerciales en raison de ses propriétés isolantes, résistantes au feu et ignifuges. Il a été utilisé dans des matériaux de construction tels que le ciment, les tuiles de toiture, les joints d'étanchéité et les conduits de ventilation, ainsi que dans des produits tels que les freins et les garnitures de freins automobiles.

Cependant, en raison des risques pour la santé associés à l'exposition à l'amiante, son utilisation a été largement interdite ou restreinte dans de nombreux pays, y compris aux États-Unis et dans l'Union européenne. Les réglementations actuelles exigent que les bâtiments contenant de l'amiante soient inspectés et que des mesures soient prises pour éliminer ou contenir l'amiante afin de protéger la santé publique.

Le collagène de type III est un type de collagène fibrillaire qui se trouve dans les tissus conjonctifs du corps humain. Il est particulièrement présent dans les parois des vaisseaux sanguins, le tissu cardiaque, le tissu pulmonaire et le tissu hépatique.

Le collagène de type III est produit par les fibroblastes, qui sont des cellules présentes dans les tissus conjonctifs. Il s'agit d'un constituant important du tissu conjonctif, car il contribue à la structure et à la fonction des organes et des vaisseaux sanguins.

Le collagène de type III est souvent associé au collagène de type I dans les tissus conjonctifs, où ils forment ensemble des fibrilles qui donnent de la force et de l'élasticité aux tissus. Des anomalies dans la production ou la structure du collagène de type III peuvent entraîner des maladies telles que le syndrome d'Ehlers-Danlos, une maladie génétique caractérisée par une peau fine et fragile, des vaisseaux sanguins anormaux et une hypermobilité articulaire.

Les pneumonies interstitielles idiopathiques (PII) représentent un groupe de maladies pulmonaires diffuses interstitielles d'étiologie inconnue. Elles sont caractérisées par une inflammation et une fibrose du tissu conjonctif situé entre les alvéoles pulmonaires (interstitium). Les PII comprennent plusieurs sous-catégories, dont la pneumonie interstitielle usuelle (PIU), la pneumonie interstitielle non spécifique (PINS), la fibrose pulmonaire idiopathique nucléaire (FPIN), la cryptogénique organique pneumonie fibrosante (COPDF), la pneumonie interstitielle aiguë diffuse (PIAD) et la pneumonie interstitielle lymphoïde non spécifique (PILNS). Les symptômes courants comprennent la dyspnée, la toux sèche et la fatigue. Le diagnostic est établi par une combinaison d'imagerie médicale, de tests pulmonaires fonctionnels et d'examens histopathologiques des tissus pulmonaires. Le traitement dépend de la sous-catégorie de PII et peut inclure des corticostéroïdes, des immunosuppresseurs et des antifibrotiques. Dans les cas graves, une transplantation pulmonaire peut être envisagée.

Les maladies pulmonaires sont un groupe divers de conditions qui affectent les poumons et le système respiratoire, entravant la capacité d'une personne à respirer correctement. Elles peuvent être causées par des infections, des allergies, des irritants environnementaux, une génétique défavorable ou un mauvais mode de vie. Les exemples courants comprennent l'asthme, la bronchite, l'emphysème, la pneumonie, la fibrose kystique, la tuberculose et le cancer du poumon. Les symptômes varient en fonction du type de maladie pulmonaire mais peuvent inclure une toux persistante, des expectorations, une respiration sifflante, une douleur thoracique, un essoufflement ou une fatigue excessive. Le traitement dépend du diagnostic spécifique et peut inclure des médicaments, une thérapie physique, une oxygénothérapie ou, dans les cas graves, une transplantation pulmonaire.

La Capacité Pulmonaire Vitale (CPV) est une mesure utilisée en médecine pour évaluer la fonction pulmonaire. Il s'agit de la plus grande quantité d'air qu'une personne peut expirer après avoir inspiré profondément. Cette valeur est généralement mesurée à l'aide d'un spiromètre, un appareil qui enregistre le volume et la vitesse de l'air expiré.

La CPV est composée de deux parties : la Ventilation Forcée Maximale (VFM) et les Réserves Inspiratoire et Expiratoire. La VFM est le volume d'air qu'une personne peut expirer rapidement et pourcédement après une inspiration profonde. Les Réserves Inspiratoire et Expiratoire représentent respectivement l'air supplémentaire que vous pouvez inspirer après une inspiration normale et l'air supplémentaire que vous pouvez expirer après une expiration normale.

Une CPV réduite peut indiquer une maladie pulmonaire obstructive (comme la bronchite chronique ou l'emphysème) ou restrictive (comme la fibrose pulmonaire). Cependant, il est important de noter que certains facteurs tels que l'âge, le tabagisme et l'obésité peuvent également affecter les résultats de la CPV. Par conséquent, les résultats doivent toujours être interprétés en conjonction avec d'autres tests et informations cliniques.

La lésion pulmonaire est un terme générique utilisé en médecine pour décrire des dommages ou des blessures au tissu pulmonaire. Cela peut entraîner une variété de complications, y compris une mauvaise oxygénation du sang, un gonflement des poumons et, dans les cas graves, une défaillance potentiellement mortelle des organes.

Les lésions pulmonaires peuvent être causées par une variété de facteurs, notamment l'inhalation de substances nocives, une infection pulmonaire, une inflammation, une réaction immunitaire excessive ou un traumatisme physique. Les exemples spécifiques de conditions qui peuvent conduire à une lésion pulmonaire comprennent la pneumonie, l'œdème pulmonaire, l'embolie pulmonaire, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l'asthme sévère et l'inhalation de fumée toxique.

Les symptômes de la lésion pulmonaire peuvent varier en fonction de la gravité de la blessure, mais ils peuvent inclure une toux sèche, des douleurs thoraciques, une respiration difficile, une respiration rapide, une hypoxie (faibles niveaux d'oxygène dans le sang) et une cyanose (coloration bleue de la peau due à un manque d'oxygène).

Le traitement de la lésion pulmonaire dépend de la cause sous-jacente. Il peut inclure des soins de soutien tels que l'oxygénothérapie, les fluides intraveineux et la surveillance étroite des signes vitaux. Des médicaments spécifiques peuvent être utilisés pour traiter une infection ou réduire l'inflammation. Dans les cas graves, une ventilation mécanique peut être nécessaire pour aider le patient à respirer.

Le collagène de type I est le type le plus abondant de collagène dans le corps humain. Il est présent dans la plupart des tissus conjonctifs, y compris la peau, les tendons, les os, les ligaments et les dents. Le collagène de type I est constitué de longues chaînes de protéines qui sont entrelacées pour former des fibres solides et résistantes à la traction.

Ces fibres fournissent de la force et de la structure aux tissus conjonctifs, permettant à ces structures de résister à des forces importantes sans se déchirer ou se casser. Dans la peau, par exemple, les fibres de collagène de type I aident à maintenir une apparence jeune et souple en prévenant le relâchement cutané.

Dans les os, ces fibres forment des structures solides qui soutiennent le corps et protègent les organes internes. Les dommages aux fibres de collagène de type I peuvent entraîner une variété de problèmes de santé, y compris la fragilité osseuse, l'arthrite et le vieillissement prématuré de la peau.

La pneumonie organique cryptogénétique (COP), également connue sous le nom de pneumonie d'organisation bronchiolite, est une forme rare de pneumonie interstitielle idiopathique. Elle est caractérisée par l'apparition soudaine de symptômes respiratoires tels que la toux et l'essoufflement, ainsi que par des anomalies radiologiques et physiques du poumon.

Le terme "cryptogénique" signifie que la cause de cette condition est inconnue ou ne peut être clairement déterminée. Cependant, il a été associé à une variété de facteurs déclenchants possibles, tels qu des infections virales, des traumatismes pulmonaires, des réactions médicamenteuses et des maladies auto-immunes.

Histologiquement, la COP se distingue par la présence de granulations organisées dans les espaces aériens et les voies respiratoires terminales, ainsi que par une inflammation chronique et une fibrose interstitielle. Les lésions peuvent être focales ou diffuses, ce qui peut entraîner des symptômes et des anomalies radiologiques variables.

Le diagnostic de COP repose sur les antécédents médicaux du patient, les résultats physiques et radiologiques, ainsi que sur l'analyse histopathologique des échantillons de tissu pulmonaire obtenus par biopsie. Le traitement standard consiste en une corticothérapie à forte dose pendant plusieurs mois, suivie d'une réduction progressive de la posologie. Dans la plupart des cas, cette approche thérapeutique permet de soulager les symptômes et d'améliorer les résultats radiologiques et fonctionnels du poumon.

La capacité de diffusion pulmonaire, également connue sous le nom de DLCO (diffusing capacity of the lung for carbon monoxide), est une mesure de l'efficacité avec laquelle les poumons peuvent absorber et transférer l'oxygène des alvéoles aux globules rouges dans les vaisseaux sanguins.

Ce test mesure la quantité d'oxyde de carbone (CO) qui passe dans le sang en une minute, à partir d'une dose connue d'oxide de carbone inspirée. La capacité de diffusion est ensuite calculée en fonction du volume d'air alvéolaire et de la pression partielle de l'oxygène dans le sang artériel.

Une capacité de diffusion réduite peut indiquer une maladie pulmonaire ou cardiovasculaire sous-jacente, telle que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), la fibrose pulmonaire, l'emphysème ou l'insuffisance cardiaque. Il est important de noter que certains facteurs tels que l'âge, le tabagisme et l'altitude peuvent également affecter les résultats de ce test.

La muqueuse respiratoire est la membrane tapissant les voies respiratoires, y compris le nez, la gorge (pharynx), le larynx, la trachée, les bronches et les bronchioles. Il s'agit d'une muqueuse protectrice humide et fine qui contient des glandes productrices de mucus, des cils vibratiles et des vaisseaux sanguins. Ces caractéristiques aident à piéger la poussière, les bactéries et autres particules étrangères, à les déplacer vers le haut (grâce aux mouvements des cils) pour être expulsées par la toux ou expectoration, et à assurer l'absorption de l'oxygène et l'élimination du dioxyde de carbone. La muqueuse respiratoire est sensible aux changements environnementaux et peut s'enflammer en réponse à des irritants, entraînant une congestion nasale, un écoulement post-nasal, une toux et d'autres symptômes associés aux affections des voies respiratoires supérieures.

Une souris knockout, également connue sous le nom de souris génétiquement modifiée à knockout, est un type de souris de laboratoire qui a eu un ou plusieurs gènes spécifiques désactivés ou "knockout". Cela est accompli en utilisant des techniques d'ingénierie génétique pour insérer une mutation dans le gène cible, ce qui entraîne l'interruption de sa fonction.

Les souris knockout sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier les fonctions des gènes et leur rôle dans les processus physiologiques et pathologiques. En éliminant ou en désactivant un gène spécifique, les chercheurs peuvent observer les effets de cette perte sur le phénotype de la souris, ce qui peut fournir des informations précieuses sur la fonction du gène et ses interactions avec d'autres gènes et processus cellulaires.

Les souris knockout sont souvent utilisées dans l'étude des maladies humaines, car les souris partagent une grande similitude génétique avec les humains. En créant des souris knockout pour des gènes associés à certaines maladies humaines, les chercheurs peuvent étudier le rôle de ces gènes dans la maladie et tester de nouvelles thérapies potentielles.

Cependant, il est important de noter que les souris knockout ne sont pas simplement des modèles parfaits de maladies humaines, car elles peuvent présenter des différences dans la fonction et l'expression des gènes ainsi que dans les réponses aux traitements. Par conséquent, les résultats obtenus à partir des souris knockout doivent être interprétés avec prudence et validés dans d'autres systèmes de modèle ou dans des études cliniques humaines avant d'être appliqués à la pratique médicale.

Une pneumopathie infectieuse est un terme médical qui décrit une infection des poumons. Elle peut être causée par une variété de micro-organismes, tels que des bactéries, des virus, des champignons ou des parasites. Les symptômes les plus courants comprennent la toux, la fièvre, la douleur thoracique, la difficulté à respirer et la production de crachats purulents.

Le diagnostic d'une pneumopathie infectieuse repose sur l'anamnèse du patient, un examen physique, des radiographies pulmonaires et éventuellement des tests de laboratoire pour identifier le micro-organisme responsable. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'infection et peut inclure des antibiotiques, des antiviraux ou d'autres médicaments spécifiques à l'agent pathogène identifié. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour fournir un traitement de support et prévenir les complications.

Les facteurs de risque de développer une pneumopathie infectieuse comprennent le tabagisme, l'exposition à des polluants atmosphériques, une maladie pulmonaire sous-jacente, un système immunitaire affaibli et des maladies chroniques telles que le diabète. Il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes respiratoires inexpliqués ou persistants, car une pneumopathie infectieuse peut entraîner des complications graves et même mettre la vie en danger si elle n'est pas traitée rapidement et de manière adéquate.

La progression d'une maladie, également appelée évolution de la maladie, se réfère à la manifestation temporelle des stades ou étapes d'une maladie chez un patient. Il s'agit essentiellement de la détérioration continue ou de l'aggravation d'un trouble médical au fil du temps, qui peut entraîner une augmentation de la gravité des symptômes, une déficience accrue, une invalidité et, éventuellement, la mort. La progression de la maladie est généralement mesurée en termes de déclin fonctionnel ou de dommages aux organes affectés. Elle peut être influencée par divers facteurs, notamment l'âge du patient, la durée de la maladie, le traitement et les comorbidités sous-jacentes. Le suivi de la progression de la maladie est crucial pour évaluer l'efficacité des interventions thérapeutiques et pour la planification des soins futurs.

Une biopsie est un procédé médical dans lequel un échantillon de tissu corporel est prélevé et examiné de près, généralement au microscope, pour déterminer la présence ou l'absence d'une maladie ou d'une condition spécifique. Ce processus aide les médecins à poser un diagnostic précis et à planifier le traitement approprié.

Il existe plusieurs types de biopsies, en fonction de la partie du corps concernée et de la méthode utilisée pour prélever l'échantillon :

1. Biopsie par incision/excision : Dans ce type de biopsie, une incision est pratiquée dans la peau pour accéder au tissu cible. L'échantillon peut être retiré en entier (biopsie excisionnelle) ou seulement une partie du tissu peut être prélevée (biopsie incisionnelle). Ce type de biopsie est couramment utilisé pour les grains de beauté suspects, les lésions cutanées et les nodules.

2. Biopsie par aspiration : Cette procédure implique l'utilisation d'une aiguille fine pour prélever un échantillon de tissu ou de liquide dans une zone spécifique du corps. La biopsie à l'aiguille fine est souvent utilisée pour les ganglions lymphatiques enflés, les glandes thyroïdiennes et d'autres organes superficiels.

3. Biopsie au trocart : Dans ce type de biopsie, un trocart (une aiguille creuse) est inséré dans le corps pour prélever un échantillon de tissu. Ce type de biopsie est souvent utilisé pour les organes profonds comme le foie, les poumons et les os.

4. Biopsie chirurgicale : Lors d'une biopsie chirurgicale, une incision est pratiquée dans la peau pour accéder à l'organe ou au tissu cible. Une partie de l'organe ou du tissu est ensuite retirée pour analyse. Ce type de biopsie est souvent utilisé pour les tumeurs malignes et les lésions suspectes dans des organes comme le sein, le poumon et le foie.

5. Biopsie liquide : Cette procédure consiste à analyser un échantillon de sang ou d'autres fluides corporels pour détecter la présence de cellules tumorales ou d'ADN circulant provenant d'une tumeur cancéreuse. La biopsie liquide est une méthode non invasive qui peut être utilisée pour le suivi du traitement et la détection précoce des récidives.

Les résultats de la biopsie sont généralement examinés par un pathologiste, qui fournit un rapport décrivant les caractéristiques du tissu ou des cellules prélevés. Ce rapport peut aider à déterminer le diagnostic et le traitement appropriés pour une maladie spécifique.

La silice est la forme cristalline du dioxyde de silicium (SiO2). Dans un contexte médical, on fait souvent référence à la silice sous sa forme amorphe, qui est largement répandue dans la nature et trouve dans de nombreux matériaux comme le sable, le quartz et certaines roches.

L'exposition professionnelle à la silice cristalline, en particulier aux très fines particules respirables générées lors du meulage, du sciage ou du perçage de matériaux contenant de la silice cristalline, peut entraîner une maladie pulmonaire irréversible appelée silicose. La silicose est une maladie pulmonaire évitable et incurable caractérisée par des cicatrices permanentes et une fibrose dans les poumons, ce qui rend la respiration difficile.

L'inhalation à long terme de poussières de silice peut également entraîner d'autres problèmes de santé, notamment le cancer du poumon, la bronchite chronique et les maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC). Par conséquent, des directives et réglementations strictes en matière de sécurité au travail sont en place pour protéger les travailleurs contre l'exposition à la silice.

La sarcoïdose est une maladie systémique granulomateuse d'étiologie inconnue, caractérisée par la présence de granulomes épithélioïdes et giganto-cellulaires non caséeux dans divers organes, principalement les poumons et les ganglions lymphatiques intrathoraciques. La maladie peut affecter plusieurs organes, y compris la peau, les yeux, le cœur, les reins, le système nerveux central et d'autres tissus. Les symptômes peuvent varier considérablement en fonction des organes touchés, allant de manifestations asymptomatiques à des complications graves mettant en jeu le pronostic vital. Le diagnostic repose généralement sur la constatation des granulomes typiques dans les biopsies tissulaires combinée à une évaluation clinique et parfois à des examens d'imagerie et de laboratoire spécifiques. La prise en charge dépend de la gravité de la maladie et des organes atteints, allant du simple suivi médical à un traitement immunosuppresseur intensif dans les cas sévères ou life-threatening.

La silicose est une maladie pulmonaire irréversible et généralement progressive, causée par l'inhalation de poussières de silice cristalline. Ces poussières peuvent être trouvées dans divers milieux de travail, tels que les mines, les carrières, les chantiers de construction, les fonderies, les usines de verre et de céramique.

L'inhalation répétée de ces poussières entraîne une inflammation chronique des poumons, qui à son tour peut conduire à la formation de cicatrices (fibrose) dans les tissus pulmonaires. Cette fibrose rend les poumons plus rigides et moins élastiques, ce qui rend la respiration difficile.

Les symptômes de la silicose comprennent une toux persistante, une respiration sifflante, une essoufflement, une douleur thoracique et une fatigue. Dans les cas graves, la silicose peut entraîner des complications telles que des infections pulmonaires récurrentes, une hypertension artérielle pulmonaire et une insuffisance cardiaque coronaire.

Il n'existe actuellement aucun traitement curatif pour la silicose. Le traitement vise donc à soulager les symptômes et à prévenir toute aggravation de la maladie. Cela peut inclure l'arrêt de l'exposition aux poussières de silice, la prise de médicaments pour dilater les bronches et réduire l'inflammation, ainsi qu'une oxygénothérapie pour aider à la respiration.

Les protéines de choc thermique Hsp47, également connues sous le nom de serine protease inhibitor 9 (SERPINH1), sont une classe de protéines de choc thermique qui jouent un rôle crucial dans la réponse cellulaire au stress et à la protection des protéines. Plus précisément, Hsp47 est localisée dans le réticulum endoplasmique et se lie spécifiquement aux procollagènes, aidant à leur pliage correct et à leur transport vers le golgi pour un traitement ultérieur.

Hsp47 est fortement exprimée dans les tissus riches en collagène, tels que la peau, les os et les tendons, et sa régulation est essentielle au maintien de la structure et de la fonction de ces tissus. Des niveaux anormaux ou une dysfonction de Hsp47 ont été associés à diverses maladies, y compris des troubles du développement, des maladies fibrotiques et des cancers.

En plus de son rôle dans le pliage des protéines, Hsp47 est également impliquée dans la régulation de l'apoptose (mort cellulaire programmée) et peut interagir avec d'autres protéines pour moduler divers processus cellulaires. Comme d'autres protéines de choc thermique, Hsp47 est fortement induite en réponse à des conditions stressantes telles que la chaleur, l'hypoxie et les toxines, ce qui aide à protéger les cellules contre les dommages et favorise leur survie.

Les agents de l'appareil respiratoire sont des substances, des mécanismes ou des processus qui affectent le système respiratoire du corps humain. Cela peut inclure une variété de facteurs, notamment :

1. Agents pathogènes : Ce sont des micro-organismes tels que les bactéries, les virus, les champignons et les parasites qui peuvent causer des infections respiratoires telles que la pneumonie, la bronchite et la tuberculose.
2. Polluants atmosphériques : Les particules fines, le dioxyde de soufre, le dioxyde d'azote et l'ozone peuvent tous irriter les voies respiratoires et aggraver des conditions telles que l'asthme et la bronchite chronique.
3. Allergènes : Les acariens, les moisissures, les squames d'animaux et le pollen peuvent déclencher des réactions allergiques dans les voies respiratoires, entraînant des symptômes tels que l'écoulement nasal, la toux et l'essoufflement.
4. Irritants chimiques : Les produits chimiques tels que le chlore, l'ammoniac et les gaz d'échappement des véhicules peuvent irriter les voies respiratoires et entraîner des symptômes tels que la toux, l'essoufflement et les brûlures aux yeux.
5. Facteurs professionnels : L'exposition à des substances telles que la poussière de charbon, le silice et l'asbeste peut entraîner des maladies pulmonaires telles que la pneumoconiosis, la silicose et le cancer du poumon.
6. Tabac : Le tabagisme est une cause majeure de maladies respiratoires telles que la bronchite chronique, l'emphysème et le cancer du poumon. L'exposition à la fumée secondaire peut également entraîner des problèmes respiratoires.
7. Infections : Les infections virales et bactériennes peuvent entraîner une inflammation des voies respiratoires, entraînant des symptômes tels que la toux, l'écoulement nasal et la fièvre. Certaines infections peuvent également entraîner des complications graves telles que la pneumonie et la bronchite aiguë.

Un marqueur biologique, également connu sous le nom de biomarqueur, est une molécule trouvée dans le sang, d'autres liquides corporels, ou des tissus qui indique une condition spécifique dans l'organisme. Il peut être une protéine, un gène, un métabolite, un hormone ou tout autre composant qui change en quantité ou en structure en réponse à un processus pathologique, comme une maladie, un trouble de santé ou des dommages tissulaires.

Les marqueurs biologiques sont utilisés dans le diagnostic, la surveillance et l'évaluation du traitement de diverses affections médicales. Par exemple, les niveaux élevés de protéine CA-125 peuvent indiquer la présence d'un cancer des ovaires, tandis que les taux élevés de troponine peuvent être un signe de dommages cardiaques.

Les marqueurs biologiques peuvent être mesurés à l'aide de diverses méthodes analytiques, telles que la spectrométrie de masse, les tests immunochimiques ou la PCR en temps réel. Il est important de noter que les marqueurs biologiques ne sont pas toujours spécifiques à une maladie particulière et peuvent être présents dans d'autres conditions également. Par conséquent, ils doivent être interprétés avec prudence et en combinaison avec d'autres tests diagnostiques et cliniques.

L'hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) est une maladie rare mais grave qui affecte les vaisseaux sanguins dans les poumons et le côté droit du cœur. Elle se caractérise par une pression artérielle anormalement élevée dans les artères pulmonaires, ce qui rend plus difficile pour le sang de circuler dans les poumons et d'obtenir l'oxygène nécessaire.

Les causes courantes de HTAP comprennent des maladies cardiaques congénitales, l'usage de drogues illicites, certaines infections pulmonaires et certains médicaments. Cependant, dans la plupart des cas, la cause est inconnue, ce qui est appelé HTAP idiopathique.

Les symptômes de l'HTAP peuvent inclure essoufflement, fatigue, douleurs thoraciques, syncopes (évanouissements) et gonflement des jambes ou des chevilles. Le diagnostic est généralement posé par une combinaison d'examens physiques, de tests de laboratoire et d'imagerie médicale, tels que l'échocardiogramme et la radiographie pulmonaire.

Le traitement de l'HTAP dépend de sa cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour dilater les vaisseaux sanguins dans les poumons, des anticoagulants pour prévenir la formation de caillots sanguins, de l'oxygénothérapie pour améliorer l'apport en oxygène et, dans certains cas, une transplantation pulmonaire ou cardiaque. Il est important que les personnes atteintes d'HTAP soient suivies régulièrement par un médecin spécialisé dans cette maladie pour surveiller leur état de santé et adapter leur traitement en conséquence.

La protéine Smad3 est un type de protéine Smad, qui joue un rôle crucial dans la voie de signalisation du facteur de croissance transformant β (TGF-β). Cette protéine est exprimée dans une variété de tissus et est responsable de la régulation des processus cellulaires tels que la prolifération, l'apoptose et la différenciation.

Après l'activation du récepteur TGF-β, Smad3 se lie au Smad4 pour former un complexe qui est translocalisé dans le noyau cellulaire. Ce complexe se lie alors à des éléments de réponse spécifiques dans l'ADN et régule l'expression des gènes cibles.

Smad3 peut également être phosphorylée par d'autres kinases, telles que la MAPK, ce qui entraîne sa dégradation ou son activation, selon le contexte cellulaire. Des mutations dans les gènes codant pour Smad3 ont été associées à des maladies telles que la sclérose systémique et l'ostéogenèse imparfaite.

En résumé, Smad3 est une protéine clé impliquée dans la voie de signalisation TGF-β, qui régule divers processus cellulaires en modulant l'expression des gènes cibles.

Les cellules cancéreuses en culture sont des cellules cancéreuses prélevées sur un être humain ou un animal, qui sont ensuite cultivées et multipliées dans un laboratoire. Ce processus est souvent utilisé pour la recherche médicale et biologique, y compris l'étude de la croissance et du comportement des cellules cancéreuses, la découverte de nouveaux traitements contre le cancer, et les tests de sécurité et d'efficacité des médicaments et des thérapies expérimentales.

Les cellules cancéreuses en culture sont généralement prélevées lors d'une biopsie ou d'une intervention chirurgicale, puis transportées dans un milieu de culture spécial qui contient les nutriments et les facteurs de croissance nécessaires à la survie et à la reproduction des cellules. Les cellules sont maintenues dans des conditions stériles et sous observation constante pour assurer leur santé et leur pureté.

Les cultures de cellules cancéreuses peuvent être utilisées seules ou en combinaison avec d'autres méthodes de recherche, telles que l'imagerie cellulaire, la génomique, la protéomique et la biologie des systèmes. Ces approches permettent aux chercheurs d'étudier les mécanismes moléculaires du cancer à un niveau granulaire, ce qui peut conduire à une meilleure compréhension de la maladie et au développement de nouveaux traitements plus efficaces.

L'immunohistochimie est une technique de laboratoire utilisée en anatomopathologie pour localiser les protéines spécifiques dans des tissus prélevés sur un patient. Elle combine l'utilisation d'anticorps marqués, généralement avec un marqueur fluorescent ou chromogène, et de techniques histologiques standard.

Cette méthode permet non seulement de déterminer la présence ou l'absence d'une protéine donnée dans une cellule spécifique, mais aussi de déterminer sa localisation précise à l'intérieur de cette cellule (noyau, cytoplasme, membrane). Elle est particulièrement utile dans le diagnostic et la caractérisation des tumeurs cancéreuses, en permettant d'identifier certaines protéines qui peuvent indiquer le type de cancer, son stade, ou sa réponse à un traitement spécifique.

Par exemple, l'immunohistochimie peut être utilisée pour distinguer entre différents types de cancers du sein en recherchant des marqueurs spécifiques tels que les récepteurs d'œstrogènes (ER), de progestérone (PR) et HER2/neu.

La Capacité Pulmonaire Totale (CPT) est une mesure utilisée en pneumologie et en médecine physique pour évaluer la fonction pulmonaire. Elle représente le volume d'air maximal que les poumons peuvent contenir après une inspiration maximale forcée.

Elle se compose de plusieurs volumes pulmonaires différents, notamment :

1. Le Volume Courant (VC) : c'est l'air mobilisé pendant une respiration normale au repos.
2. Le Volume de Réserve Inspiratoire (VRI) : c'est l'air supplémentaire que vous pouvez inspirer après une inspiration normale.
3. Le Volume de Réserve Expiratoire (VRE) : c'est l'air supplémentaire que vous pouvez expirer après une expiration normale.
4. Le Volume Résiduel (VR) : c'est l'air qui reste dans les poumons même après une expiration maximale forcée.

Ainsi, la Capacité Pulmonaire Totale est égale à la somme du Volume Courant, du Volume de Réserve Inspiratoire, du Volume de Réserve Expiratoire et du Volume Résiduel :

CPT = VC + VRI + VRE + VR

La mesure de la Capacité Pulmonaire Totale permet d'évaluer l'intégrité structurelle et fonctionnelle des poumons, ainsi que la présence de maladies pulmonaires restrictives ou obstructives.

Le Connective Tissue Growth Factor (CTGF), également connu sous le nom de CCN2 (Cellular Communication Network Factor 2), est une protéine de la famille des facteurs de croissance à motifs modulaires (CCN). Il s'agit d'un médiateur important dans les processus de réparation tissulaire, de cicatrisation et de fibrose. Le CTGF joue un rôle crucial dans la régulation de la prolifération, de la migration et de l'apoptose des cellules du tissu conjonctif, ainsi que dans l'organisation de l'extracellular matrix (ECM). Il est également associé à diverses pathologies telles que la fibrose pulmonaire, la néphropathie diabétique et certaines tumeurs malignes.

Un tomodensitomètre, également connu sous le nom de scanner CT (Computed Tomography), est un équipement d'imagerie médicale avancé qui utilise des rayons X pour produire des images détaillées et croisées du corps humain. Il fonctionne en prenant une série de plusieurs rotations autour du patient, capturant des images à angles multiples. Ensuite, ces données sont traitées par un ordinateur qui les combine pour créer des sections transversales du corps, fournissant ainsi des vues détaillées des os, des muscles, des graisses et des organes internes.

Cet outil diagnostique est largement utilisé pour identifier divers types de maladies telles que les tumeurs, les fractures, les hémorragies internes, les infections, les inflammations et d'autres affections médicales. Il offre une visualisation tridimensionnelle et précise, ce qui permet aux médecins de poser un diagnostic plus précis et de planifier des traitements appropriés. Cependant, comme il utilise des radiations, son utilisation doit être pesée par rapport aux bénéfices potentiels pour chaque patient.

ARN messager (ARNm) est une molécule d'acide ribonucléique simple brin qui transporte l'information génétique codée dans l'ADN vers les ribosomes, où elle dirige la synthèse des protéines. Après la transcription de l'ADN en ARNm dans le noyau cellulaire, ce dernier est transloqué dans le cytoplasme et fixé aux ribosomes. Les codons (séquences de trois nucléotides) de l'ARNm sont alors traduits en acides aminés spécifiques qui forment des chaînes polypeptidiques, qui à leur tour se replient pour former des protéines fonctionnelles. Les ARNm peuvent être régulés au niveau de la transcription, du traitement post-transcriptionnel et de la dégradation, ce qui permet une régulation fine de l'expression génique.

Dans le contexte actuel, les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont été développés en utilisant des morceaux d'ARNm synthétiques qui codent pour une protéine spécifique du virus SARS-CoV-2. Lorsque ces vaccins sont administrés, les cellules humaines produisent cette protéine virale étrangère, ce qui déclenche une réponse immunitaire protectrice contre l'infection par le vrai virus.

Mucin-5B, également connu sous le nom de MUC5B, est un type de mucine, qui est une glycoprotéine hautement glycosylée. Les mucines sont les principaux composants des mucus, un fluide visqueux produit par les muqueuses tapissant de nombreuses surfaces dans le corps humain.

MUC5B est spécifiquement exprimé dans les voies respiratoires inférieures et joue un rôle important dans la protection des poumons contre l'infection et l'inflammation. Il contribue à la formation d'un film de mucus protecteur qui recouvre la surface interne des bronches et des bronchioles, piégeant les particules étrangères, les bactéries et les virus inhalés.

Les mutations dans le gène MUC5B ont été associées à certaines maladies pulmonaires, telles que la fibrose pulmonaire idiopathique (FPI) et la bronchectasie. Dans ces cas, une production excessive de mucus peut entraver la fonction respiratoire et conduire à des symptômes tels que la toux, l'essoufflement et la fatigue.

Il est important de noter qu'une compréhension détaillée de MUC5B et de son rôle dans la physiologie et la pathophysiologie pulmonaires continue d'évoluer à mesure que les chercheurs en apprennent davantage sur cette protéine complexe.

La pneumopathie radique, également connue sous le nom de pneumonite d'irradiation, est une complication pulmonaire rare mais grave qui peut survenir après une radiothérapie thoracique à forte dose. Elle se caractérise par une inflammation et une fibrose des tissus pulmonaires dans la zone irradiée. Les symptômes peuvent inclure une toux sèche, une dyspnée, de la fièvre, une douleur thoracique et une fatigue. La pneumopathie radique peut également entraîner une insuffisance respiratoire sévère dans les cas graves.

Le diagnostic repose généralement sur des antécédents médicaux détaillés, des examens physiques, des tests d'imagerie pulmonaire et des biopsies pulmonaires. Le traitement de la pneumopathie radique peut inclure des corticostéroïdes, des antibiotiques, de l'oxygénothérapie et une prise en charge des symptômes. La prévention est également importante et peut inclure une réduction de la dose d'irradiation, une meilleure planification du traitement et un suivi régulier des patients pendant et après le traitement.

La matrice extracellulaire (ECM) est un réseau complexe et dynamique de molécules biologiques qui entourent et soutiennent les cellules dans les tissus vivants. Elle joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions cellulaires, y compris l'adhésion, la migration, la différenciation, la prolifération et la survie cellulaire.

La matrice extracellulaire est composée de plusieurs types de molécules, notamment des fibres de collagène, d'élastine, de protéoglycanes, de glycoprotéines et de glycosaminoglycanes. Ces molécules sont organisées en un réseau tridimensionnel qui fournit une structure mécanique au tissu, régule la communication intercellulaire et le transport des nutriments, et protège les cellules contre les dommages physiques et chimiques.

La composition et la structure de l'ECM varient selon les types de tissus et peuvent être modifiées en réponse à des stimuli internes ou externes, tels que la cicatrisation des plaies, le développement embryonnaire, la croissance tumorale et la maladie. Des modifications anormales de l'ECM peuvent entraîner des maladies telles que la fibrose, l'athérosclérose, le cancer et les maladies neurodégénératives.

En résumé, la matrice extracellulaire est un composant essentiel des tissus vivants qui fournit une structure mécanique, régule les fonctions cellulaires et participe à la communication intercellulaire.

La protéine A associée au surfactant pulmonaire, également connue sous le nom de SP-A (de l'anglais Surfactant Protein A), est une protéine importante du système immunitaire présent dans les poumons. Elle fait partie des protéines associées au surfactant pulmonaire, qui sont produites par les cellules épithéliales alvéolaires de type II et qui réduisent la tension superficielle dans les alvéoles pulmonaires pour faciliter la respiration.

La SP-A est une protéine de la famille des lectines de type C, ce qui signifie qu'elle peut se lier à certains sucres spécifiques sur les surfaces cellulaires. Cette capacité lui permet de jouer un rôle crucial dans la défense immunitaire pulmonaire en reconnaissant et en facilitant l'élimination des agents pathogènes, telles que les bactéries et les virus, qui pénètrent dans les poumons.

La SP-A contribue également à la régulation de l'inflammation pulmonaire en modulant la réponse immunitaire et en favorisant la résolution des processus inflammatoires. Des anomalies dans la production ou la fonction de la SP-A ont été associées à diverses affections pulmonaires, telles que les maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC), l'asthme et la fibrose pulmonaire idiopathique.

Les maladies de la plèvre se réfèrent à un ensemble de conditions qui affectent la plèvre, qui est le revêtement séreux entourant les poumons et la paroi thoracique. La plèvre a deux couches : la couche viscérale, qui est en contact avec les poumons, et la couche pariétale, qui tapisse la paroi thoracique. L'espace entre ces deux couches est rempli d'un liquide lubrifiant appelé liquide pleural, ce qui permet aux poumons de glisser facilement lors de la respiration.

Les maladies de la plèvre peuvent être classées en plusieurs catégories, notamment :

1. Inflammation de la plèvre (pleurite) : Il s'agit d'une inflammation de la plèvre qui peut être causée par une infection, une maladie auto-immune ou une irritation chimique. Les symptômes peuvent inclure une douleur thoracique aiguë et une respiration difficile.
2. Épaississement de la plèvre (fibrose pleurale) : Il s'agit d'un épaississement et d'un durcissement de la plèvre qui peuvent être causés par une inflammation chronique, une exposition à des toxines ou une radiothérapie. Les symptômes peuvent inclure une respiration difficile et une réduction de la capacité pulmonaire.
3. Accumulation de liquide dans l'espace pleural (dans la plèvre) : Cela peut être dû à une inflammation, une infection, une tumeur ou une insuffisance cardiaque congestive. Les symptômes peuvent inclure une respiration difficile et une douleur thoracique.
4. Tumeurs de la plèvre : Il s'agit de tumeurs bénignes ou malignes qui se développent dans la plèvre. Les tumeurs malignes peuvent être primaires (se développant dans la plèvre) ou secondaires (se propageant à partir d'autres parties du corps).

Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.

Dans le contexte de la biologie cellulaire, les actines sont des protéines contractiles qui jouent un rôle crucial dans la régulation de la forme et de la motilité des cellules. Elles sont un élément clé du cytosquelette, la structure interne qui soutient et maintient la forme de la cellule.

Les actines peuvent se lier à d'autres protéines pour former des filaments d'actine, qui sont des structures flexibles et dynamiques qui peuvent changer de forme et se réorganiser rapidement en réponse aux signaux internes ou externes de la cellule. Ces filaments d'actine sont impliqués dans une variété de processus cellulaires, y compris le maintien de la forme cellulaire, la division cellulaire, la motilité cellulaire et l'endocytose.

Il existe plusieurs types différents d'actines, chacune ayant des propriétés uniques et des rôles spécifiques dans la cellule. Par exemple, l'actine alpha est une forme courante qui est abondante dans les muscles squelettiques et cardiaques, où elle aide à générer la force nécessaire pour contracter le muscle. L'actine bêta et gamma, en revanche, sont plus souvent trouvées dans les cellules non musculaires et sont importantes pour la motilité cellulaire et l'organisation du cytosquelette.

Dans l'ensemble, les actines sont des protéines essentielles qui jouent un rôle crucial dans la régulation de nombreux processus cellulaires importants.

La transduction du signal est un processus crucial dans la communication cellulaire où les cellules convertissent un signal extracellulaire en une réponse intracellulaire spécifique. Il s'agit d'une série d'étapes qui commencent par la reconnaissance et la liaison du ligand (une molécule signal) à un récepteur spécifique situé sur la membrane cellulaire. Cela entraîne une cascade de réactions biochimiques qui amplifient le signal, finalement aboutissant à une réponse cellulaire adaptative telle que la modification de l'expression des gènes, la mobilisation du calcium ou la activation des voies de signalisation intracellulaires.

La transduction de signaux peut être déclenchée par divers stimuli, y compris les hormones, les neurotransmetteurs, les facteurs de croissance et les molécules d'adhésion cellulaire. Ce processus permet aux cellules de percevoir et de répondre à leur environnement changeant, en coordonnant des fonctions complexes allant du développement et de la différenciation cellulaires au contrôle de l'homéostasie et de la réparation des tissus.

Des anomalies dans la transduction des signaux peuvent entraîner diverses maladies, notamment le cancer, les maladies cardiovasculaires, le diabète et les troubles neurologiques. Par conséquent, une compréhension approfondie de ce processus est essentielle pour élucider les mécanismes sous-jacents des maladies et développer des stratégies thérapeutiques ciblées.

La fibrose buccale sous-muqueuse (Oral Submucous Fibrosis ou OSF) est une maladie chronique et progressive qui affecte les tissus mous de la bouche. Elle est souvent associée à l'usage de betel nut (noix d'arec) dans certaines cultures asiatiques, ainsi qu'à d'autres facteurs comme le tabagisme et la consommation d'aliments épicés ou acides.

La OSF se caractérise par une rigidité progressive des tissus buccaux due à un dépôt anormal de collagène dans la sous-muqueuse, ce qui entraîne une limitation des mouvements de la bouche et de la langue. Les symptômes courants incluent une sensation de brûlure ou de douleur dans la bouche, un assèchement buccal, des difficultés à manger, à parler et à avaler, ainsi qu'une texture fibreuse ou indurée des tissus buccaux.

Dans les cas graves, la OSF peut entraîner une restriction sévère de l'ouverture de la bouche (trismus) et des déformations du palais et de la langue. Bien que cette condition ne soit pas cancéreuse en soi, elle est considérée comme un facteur de risque important pour le développement d'un cancer buccal. Le traitement de la OSF vise à soulager les symptômes et à prévenir les complications, et peut inclure des médicaments anti-inflammatoires, des agents hydratants et des exercices de mobilisation de la bouche. L'arrêt complet de l'usage de betel nut est également recommandé pour ralentir ou arrêter la progression de la maladie.

**Ambroxol** est un médicament expectorant et mucolytique utilisé pour traiter les affections respiratoires associées à la toux productive et aux crachats épais. Il fonctionne en fluidifiant et en facilitant l'expectoration des sécrétions bronchiques, ce qui permet de soulager les symptômes et d'améliorer la fonction pulmonaire.

Ambroxol agit en réduisant la viscosité des expectorations en décomposant le mucus et en stimulant l'activité des cellules qui produisent le surfactant pulmonaire, une substance qui facilite les échanges gazeux dans les poumons.

Ce médicament est disponible sous différentes formes posologiques, notamment des sirops, des comprimés et des capsules, et il est généralement bien toléré avec un faible risque d'effets secondaires. Cependant, certaines personnes peuvent ressentir des effets indésirables tels que des nausées, des vomissements, de la diarrhée ou des éruptions cutanées.

Il est important de suivre les instructions posologiques recommandées par un professionnel de la santé et de ne pas dépasser la dose prescrite. Les personnes souffrant d'une maladie rénale ou hépatique, ainsi que les femmes enceintes ou qui allaitent, doivent consulter leur médecin avant de prendre ce médicament.

En résumé, Ambroxol est un médicament expectorant et mucolytique utilisé pour traiter la toux productive et les crachats épais associés aux affections respiratoires. Il fonctionne en fluidifiant les sécrétions bronchiques et en améliorant la fonction pulmonaire, mais il doit être pris avec prudence et sous surveillance médicale pour minimiser les risques d'effets secondaires.

Les maladies du tissu conjonctif (MTC) représentent un groupe hétérogène de plus de 200 maladies différentes qui affectent les tissus conjonctifs dans tout le corps. Les tissus conjonctifs sont les structures de soutien et de protection du corps, composées principalement de cellules, de fibres de collagène et d'élastine, ainsi que d'une substance fondamentale riche en protéoglycanes et glycosaminoglycanes. Ces tissus sont répandus dans tout le corps, entourant les organes, les vaisseaux sanguins, les muscles et les os, et ils assurent la cohésion, la stabilité et l'intégrité des différents tissus et organes.

Les MTC peuvent affecter la peau, les articulations, les muscles, les tendons, les ligaments, les vaisseaux sanguins et les organes internes. Les symptômes varient considérablement en fonction du type de MTC et de la région du corps touchée. Cependant, certaines caractéristiques communes incluent une inflammation chronique, une fibrose tissulaire excessive (cicatrisation anormale), des lésions vasculaires et une altération de la fonction immunitaire.

Les MTC peuvent être classées en deux catégories principales : les maladies auto-immunes du tissu conjonctif et les maladies héréditaires du tissu conjonctif.

1. Maladies auto-immunes du tissu conjonctif : Ces MTC sont caractérisées par une réponse immunitaire anormale qui attaque et endommage les propres tissus conjonctifs de l'organisme. Les exemples incluent le lupus érythémateux disséminé, la sclérodermie systémique, le syndrome de Sjögren, le syndrome de Gougerot-Sjögren et la polyarthrite rhumatoïde.
2. Maladies héréditaires du tissu conjonctif : Ces MTC sont causées par des mutations génétiques qui affectent la structure et la fonction des protéines du tissu conjonctif. Les exemples incluent le syndrome d'Ehlers-Danlos, la maladie de Marfan, l'ostéogenèse imparfaite (maladie des os de verre) et le pseudoxanthome élastique.

Le diagnostic et le traitement des MTC peuvent être complexes et nécessitent une prise en charge multidisciplinaire par des spécialistes tels que des rhumatologues, des dermatologues, des immunologistes, des cardiologues et des chirurgiens. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments anti-inflammatoires, des immunosuppresseurs, des antifibrotiques, des agents vasoactifs et des thérapies ciblées qui visent à modifier le cours de la maladie.

L'épithélio-mésenchyme transition (EMT) est un processus biologique complexe impliquant la transformation des cellules épithéliales, qui sont typiquement stables, en cellules mésenchymateuses, qui sont mobiles et ont une capacité accrue à migrer et à se différencier. Pendant l'EMT, les cellules épithéliales perdent leurs jonctions intercellulaires, leur polarité et leur expression de marqueurs épithéliaux, tandis que les marqueurs mésenchymateux sont acquis. Ce processus est crucial dans le développement embryonnaire, mais il peut également être impliqué dans des processus pathologiques tels que la fibrose, la cicatrisation des plaies et la progression du cancer. L'EMT favorise la migration et l'invasion des cellules cancéreuses, contribuant ainsi à la propagation de la maladie.

Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.

La dyspnée est un terme médical qui décrit une sensation subjective de difficulté à respirer ou d'essoufflement. Elle peut varier en intensité, allant d'une légère gêne à une détresse respiratoire sévère. La dyspnée peut être acute ou chronique et peut être liée à diverses causes, y compris des affections cardiaques, pulmonaires, neuromusculaires ou autres. Il est important de noter que la perception de l'essoufflement peut varier d'une personne à l'autre, ce qui rend cette symptomatologie difficile à quantifier et à évaluer objectivement.

La cirrhose expérimentale ne fait pas référence à un type spécifique de cirrhose dans la terminologie médicale standardisée. Cependant, le terme "cirrhose expérimentale" est parfois utilisé dans la littérature scientifique pour décrire une cirrhose induite intentionnellement dans un modèle animal de recherche en laboratoire. Cette cirrhose est généralement causée par l'administration d'agents toxiques tels que le thioacétamide ou le carbon tetrachloride (CCl4) pendant une période prolongée, dans le but d'étudier les mécanismes sous-jacents de la maladie et d'évaluer des traitements potentiels.

Il est important de noter que la cirrhose expérimentale ne se produit pas naturellement chez les animaux et nécessite une intervention humaine délibérée pour l'induire. Les résultats de ces études peuvent fournir des informations précieuses sur les processus pathologiques qui contribuent à la cirrhose, mais ils ne peuvent pas être directement appliqués aux cas humains sporadiques de cette maladie.

La protéine Smad2 est un type de protéine qui joue un rôle crucial dans la voie de signalisation du facteur de croissance transformant β (TGF-β). Cette protéine appartient à la famille des protéines Smad, qui sont des médiateurs intracellulaires importants dans la transduction des signaux provenant des récepteurs de TGF-β.

Lorsque le TGF-β se lie aux récepteurs de sa surface cellulaire, il active une cascade de phosphorylation qui aboutit à l'activation de Smad2. Une fois activée, la protéine Smad2 forme un complexe avec d'autres protéines Smad, comme Smad3 et Smad4, et ce complexe se transloque dans le noyau cellulaire où il régule l'expression des gènes cibles.

La voie de signalisation TGF-β/Smad est importante pour la régulation de divers processus biologiques tels que la prolifération, l'apoptose, la différenciation et la migration cellulaire. Des anomalies dans cette voie de signalisation ont été associées à un certain nombre de maladies humaines, y compris le cancer et les maladies fibrotiques.

L'inhalation bronchique, dans le contexte médical, se réfère à l'acte d'inhaler ou d'aspirer des substances étrangères ou des particules dans les voies respiratoires inférieures, en particulier dans les bronches. Les bronches sont les principales voies aériennes qui se ramifient à partir de la trachée et conduisent l'air vers les poumons.

Cette exposition peut survenir accidentellement, comme lorsqu'un objet est inhalé par mégarde, ou intentionnellement, dans le cas de l'utilisation de médicaments par inhalation pour traiter des affections respiratoires telles que l'asthme ou la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique).

Cependant, une inhalation bronchique accidentelle peut entraîner divers problèmes de santé, allant de l'irritation des voies respiratoires à des complications plus graves telles que des lésions pulmonaires ou des infections. Les symptômes peuvent inclure une toux, une respiration sifflante, une douleur thoracique, un essoufflement ou une respiration difficile. Il est important de consulter immédiatement un médecin si vous soupçonnez une inhalation bronchique, en particulier si des particules dangereuses ou toxiques sont impliquées.

L'inflammation est une réponse physiologique complexe du système immunitaire à une agression tissulaire, qui peut être causée par des agents infectieux (comme des bactéries, des virus ou des parasites), des lésions physiques (comme une brûlure, une coupure ou un traumatisme), des substances toxiques ou des désordres immunitaires.

Cette réaction implique une série de processus cellulaires et moléculaires qui ont pour but d'éliminer la source de l'agression, de protéger les tissus environnants, de favoriser la cicatrisation et de rétablir la fonction normale de l'organe affecté.

Les principaux signes cliniques de l'inflammation aiguë sont : rougeur (erythema), chaleur (calor), gonflement (tumor), douleur (dolor) et perte de fonction (functio laesa). Ces manifestations sont dues à la dilatation des vaisseaux sanguins, l'augmentation de la perméabilité vasculaire, l'infiltration leucocytaire et la libération de médiateurs inflammatoires (comme les prostaglandines, les leukotriènes et les cytokines).

L'inflammation peut être classée en deux types principaux : aiguë et chronique. L'inflammation aiguë est généralement de courte durée (heures à jours) et se résout spontanément une fois que la source d'agression est éliminée. En revanche, l'inflammation chronique peut persister pendant des semaines, des mois ou même des années, entraînant des dommages tissulaires importants et potentialisant le développement de diverses maladies, telles que les maladies auto-immunes, les maladies cardiovasculaires et le cancer.

Le procollagène est une forme précurseur inactive du collagène, qui est la principale protéine structurelle dans le corps humain. Le procollagène est synthétisé à partir d'un peptide appelé procollagénine dans le réticulum endoplasmique des cellules.

Dans le lumen du réticulum endoplasmique, les résidus de proline et de lysine sont hydroxylés par les enzymes prolyl hydroxylase et lysyl hydroxylase respectivement, ce qui permet aux chaînes de procollagène de se replier et de s'associer pour former une triple hélice.

Après la formation de la triple hélice, les molécules de procollagène sont transportées vers l'appareil de Golgi où elles sont glycosylées et empaquetées dans des vésicules sécrétoires. Enfin, ces vésicules fusionnent avec la membrane plasmique et libèrent les molécules de procollagène dans l'espace extracellulaire.

Dans l'espace extracellulaire, les extrémités des molécules de procollagène sont clivées par des protéases spécifiques pour former des molécules de collagène matures, qui s'assemblent ensuite en fibrilles de collagène et forment des structures extracellulaires stables telles que la peau, les tendons, les os et les vaisseaux sanguins.

Des mutations dans les gènes codant pour les protéines impliquées dans la synthèse et la modification du procollagène peuvent entraîner des maladies génétiques telles que l'ostéogenèse imparfaite, qui est caractérisée par une fragilité osseuse excessive.

En médecine, un expectorant est un type de médicament qui aide à fluidifier et à éliminer les sécrétions excessives ou épaisses des voies respiratoires. Il facilite le processus de toux en rendant les crachats plus minces et plus faciles à expectorer, ce qui peut être particulièrement utile pour les personnes souffrant de maladies respiratoires telles que la bronchite, la pneumonie ou l'emphysème. Les expectorants peuvent fonctionner en augmentant le volume et la fluidité des sécrétions des voies respiratoires, ce qui facilite leur expulsion par la toux.

Les expectorants les plus couramment utilisés comprennent le guaifénésine et la carbocistéine. Ils sont disponibles sous diverses formes posologiques, telles que des sirops, des comprimés ou des capsules, et peuvent être prescrits par un médecin ou achetés en vente libre dans les pharmacies. Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques lors de la prise d'expectorants pour assurer une utilisation sûre et efficace.

La régulation de l'expression génique est un processus biologique essentiel qui contrôle la quantité et le moment de production des protéines à partir des gènes. Il s'agit d'une mécanisme complexe impliquant une variété de molécules régulatrices, y compris l'ARN non codant, les facteurs de transcription, les coactivateurs et les répresseurs, qui travaillent ensemble pour activer ou réprimer la transcription des gènes en ARNm. Ce processus permet aux cellules de répondre rapidement et de manière flexible à des signaux internes et externes, ce qui est crucial pour le développement, la croissance, la différenciation et la fonction des cellules. Des perturbations dans la régulation de l'expression génique peuvent entraîner diverses maladies, y compris le cancer, les maladies génétiques et neurodégénératives.

Les études rétrospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte rétrospectives ou d'études cas-témoins rétrospectives, sont un type d'étude observationnelle dans laquelle les chercheurs examinent et analysent des données recueillies à partir de dossiers médicaux, de questionnaires ou d'autres sources préexistantes pour tenter de découvrir des relations de cause à effet ou des associations entre des facteurs de risque et des résultats de santé.

Dans ces études, les chercheurs identifient et sélectionnent des participants en fonction de leur exposition à un facteur de risque spécifique ou d'un résultat de santé particulier dans le passé, puis examinent les antécédents médicaux et les données de ces participants pour déterminer si des associations significatives existent entre l'exposition et le résultat.

Les études rétrospectives présentent plusieurs avantages, notamment leur faible coût, la rapidité de réalisation et la possibilité d'inclure un grand nombre de participants. Cependant, elles peuvent également être limitées par des biais potentiels dans la collecte et l'enregistrement des données, ainsi que par l'absence de contrôle sur les variables confondantes qui peuvent affecter les résultats.

En raison de ces limites, les études rétrospectives sont généralement considérées comme moins robustes que les études prospectives, dans lesquelles les participants sont suivis activement au fil du temps pour évaluer l'incidence et la progression des maladies ou des résultats de santé. Néanmoins, elles peuvent fournir des informations précieuses sur les associations entre les facteurs de risque et les résultats de santé, en particulier dans les situations où la réalisation d'études prospectives est difficile ou impossible.

L'indice de gravité est un terme généralement utilisé pour évaluer la sévérité d'une maladie ou d'un état de santé chez un patient. Il est souvent calculé en combinant plusieurs mesures ou scores liés à la santé du patient, telles que des signes vitaux, des taux de laboratoire et des échelles d'évaluation clinique.

Par exemple, dans le contexte des soins intensifs, l'indice de gravité le plus couramment utilisé est le score de gravité de la maladie (SOFA), qui évalue six organes vitaux et attribue un score à chacun d'eux en fonction de la défaillance de l'organe. Le score total est ensuite calculé en additionnant les scores des six organes, ce qui donne une estimation objective de la gravité de la maladie du patient.

Dans le contexte des accidents vasculaires cérébraux (AVC), l'indice de gravité le plus couramment utilisé est l'échelle de gravité de l'AVC (NGS), qui évalue le niveau de conscience, la force musculaire et les réflexes du patient. Le score total est calculé en additionnant les scores de chaque catégorie, ce qui donne une estimation de la sévérité de l'AVC.

Dans l'ensemble, l'indice de gravité est un outil important pour aider les professionnels de la santé à évaluer la sévérité d'une maladie ou d'un état de santé, à prendre des décisions cliniques éclairées et à prévoir les résultats pour les patients.

La pneumoconiose est un terme générique utilisé en médecine pour décrire un groupe de maladies pulmonaires chroniques causées par l'inhalation répétée de poussières minérales particulières sur une longue période. Ces poussières s'accumulent dans les poumons et provoquent une réaction inflammatoire, entraînant souvent une fibrose, c'est-à-dire une cicatrisation excessive des tissus pulmonaires.

Les types courants de pneumoconiose incluent la silicose (due à l'inhalation de silice cristalline), l'anthracose (due au charbon), l'asbestose (due à l'amiante), la sclérochroniose (due à l'aluminium), et la bague de l'ouvrier (due à l'inhalation de poussières de coton).

Les symptômes courants comprennent une toux chronique, des essoufflements, une fatigue accrue, une douleur thoracique et une réduction de la capacité pulmonaire. Il est important de noter que ces maladies sont généralement évitables en prenant des mesures adéquates pour contrôler l'exposition aux poussières dans les environnements de travail.

Une cytokine est une petite molécule de signalisation, généralement protéique ou sous forme de peptide, qui est sécrétée par des cellules dans le cadre d'une réponse immunitaire, inflammatoire ou infectieuse. Elles agissent comme des messagers chimiques et jouent un rôle crucial dans la communication entre les cellules du système immunitaire. Les cytokines peuvent être produites par une variété de cellules, y compris les lymphocytes T, les lymphocytes B, les macrophages, les mastocytes, les neutrophiles et les endothéliums.

Elles peuvent avoir des effets stimulants ou inhibiteurs sur la réplication cellulaire, la différenciation cellulaire, la croissance, la mobilisation et l'apoptose (mort cellulaire programmée). Les cytokines comprennent les interleukines (IL), les facteurs de nécrose tumorale (TNF), les interférons (IFN), les chimioquines et les chimiokines. Une cytokine peut avoir différents effets sur différents types de cellules et ses effets peuvent également dépendre de la concentration à laquelle elle est présente.

Dans certaines maladies, comme l'arthrite rhumatoïde ou la polyarthrite chronique évolutive, on observe une production excessive de cytokines qui contribue à l'inflammation et à la destruction des tissus. Dans ces cas, des médicaments qui ciblent spécifiquement certaines cytokines peuvent être utilisés pour traiter ces maladies.

L'expression génétique est un processus biologique fondamental dans lequel l'information génétique contenue dans l'ADN est transcritte en ARN, puis traduite en protéines. Ce processus permet aux cellules de produire les protéines spécifiques nécessaires à leur fonctionnement, à leur croissance et à leur reproduction.

L'expression génétique peut être régulée à différents niveaux, y compris la transcription de l'ADN en ARNm, la maturation de l'ARNm, la traduction de l'ARNm en protéines et la modification post-traductionnelle des protéines. Ces mécanismes de régulation permettent aux cellules de répondre aux signaux internes et externes en ajustant la production de protéines en conséquence.

Des anomalies dans l'expression génétique peuvent entraîner des maladies génétiques ou contribuer au développement de maladies complexes telles que le cancer. L'étude de l'expression génétique est donc essentielle pour comprendre les mécanismes moléculaires de la maladie et développer de nouvelles stratégies thérapeutiques.

Les souris transgéniques sont un type de souris génétiquement modifiées qui portent et expriment des gènes étrangers ou des séquences d'ADN dans leur génome. Ce processus est accompli en insérant le gène étranger dans l'embryon précoce de la souris, généralement au stade une cellule, ce qui permet à la modification de se propager à toutes les cellules de l'organisme en développement.

Les souris transgéniques sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier la fonction et le rôle des gènes spécifiques dans le développement, la physiologie et la maladie. Elles peuvent être utilisées pour modéliser diverses affections humaines, y compris les maladies génétiques, le cancer, les maladies cardiovasculaires et neurologiques.

Les chercheurs peuvent concevoir des souris transgéniques avec des caractéristiques spécifiques en insérant un gène particulier qui code pour une protéine d'intérêt ou en régulant l'expression d'un gène endogène. Cela permet aux chercheurs de mieux comprendre les voies moléculaires et cellulaires impliquées dans divers processus physiologiques et pathologiques, ce qui peut conduire à de nouvelles stratégies thérapeutiques pour traiter les maladies humaines.

Les protéines Smad sont des facteurs de transcription qui jouent un rôle crucial dans la voie de signalisation du TGF-β (facteur de croissance transformant β). Il existe huit types différents de protéines Smad chez les mammifères, divisées en trois classes : les Smads régulateurs (Smad1, Smad2, Smad3, Smad5 et Smad8/9), qui sont directement activés par les récepteurs du TGF-β ; les Smads communs (Co-Smad ou Smad4) ; et les Smads inhibiteurs (Smad6 et Smad7).

Les protéines Smad régulatrices s'associent aux récepteurs activés par le TGF-β, ce qui entraîne leur phosphorylation. Cette modification post-traductionnelle permet la formation de complexes hétéromériques entre les Smads régulateurs et le Co-Smad, qui migrent ensuite vers le noyau cellulaire pour réguler l'expression des gènes cibles du TGF-β.

Les Smads inhibiteurs, quant à eux, agissent comme des régulateurs négatifs de la voie de signalisation du TGF-β en empêchant la formation des complexes Smad régulateur-Co-Smad ou en favorisant leur dégradation.

Les protéines Smad sont donc essentielles à la transduction du signal du TGF-β et participent au contrôle de divers processus biologiques, tels que la prolifération cellulaire, l'apoptose, la différenciation cellulaire et la migration. Des altérations dans les voies de signalisation Smad ont été associées à plusieurs pathologies humaines, notamment des maladies cardiovasculaires, rénales, hépatiques et cancéreuses.

La sclérodermie diffuse est une forme plus grave et systémique de sclérodermie, un trouble du tissu conjonctif qui entraîne le durcissement et l'épaississement de la peau et des tissus conjonctifs. Dans la sclérodermie diffuse, ces changements ne se limitent pas seulement à la peau mais affectent également les organes internes tels que les poumons, le cœur, les reins et le tube digestif.

Cette condition est caractérisée par une production excessive de collagène, qui est une protéine fibreuse importante dans la structure du tissu conjonctif. Cette accumulation anormale de collagène entraîne l'épaississement et le durcissement des tissus, restreignant ainsi leur mouvement et leur fonctionnement.

Les symptômes de la sclérodermie diffuse peuvent inclure un épaississement et un durcissement rapides de la peau sur tout le corps, des douleurs articulaires, une fatigue intense, des problèmes digestifs tels que nausées, vomissements, diarrhée ou constipation, des essoufflements, une hypertension artérielle et une insuffisance rénale.

Il n'existe actuellement aucun remède contre la sclérodermie diffuse. Le traitement vise plutôt à gérer les symptômes et à prévenir les complications graves. Il peut inclure des médicaments pour dilater les vaisseaux sanguins, réduire la production de collagène, soulager la douleur et traiter toute infection ou maladie sous-jacente. Des séances de physiothérapie peuvent également être bénéfiques pour aider à maintenir la fonction articulaire et musculaire.

Le Paraquat est un herbicide puissant et largement utilisé qui est toxique pour les humains. Il est classé comme un biocide très dangereux en raison de sa forte toxicité par voie orale, cutanée et pulmonaire. Une seule exposition à une dose létale peut entraîner la mort en quelques jours.

Le paraquat provoque une inflammation et des dommages aux tissus pulmonaires lorsqu'il est inhalé ou avalé, ce qui peut entraîner une défaillance respiratoire et la mort. Il n'existe actuellement aucun antidote connu pour le paraquat, et le traitement consiste principalement en des soins de soutien pour maintenir les fonctions corporelles vitales.

L'utilisation du paraquat est strictement réglementée dans de nombreux pays en raison de sa toxicité élevée et de son potentiel de dommages irréversibles aux poumons. Les travailleurs qui manipulent ce produit chimique doivent porter une protection adéquate, y compris des gants, des lunettes et un équipement de protection respiratoire, pour minimiser l'exposition.

L'interleukine-13 (IL-13) est une cytokine sécrétée principalement par les cellules T helper 2 (Th2), ainsi que par d'autres types cellulaires tels que les mastocytes, les basophiles et les éosinophiles. Elle joue un rôle crucial dans la régulation des réponses immunitaires et inflammatoires de l'organisme.

IL-13 est impliquée dans divers processus physiologiques et pathologiques, notamment :

1. La modulation de la fonction des macrophages, en les orientant vers un phénotype anti-inflammatoire et en inhibant leur activation pro-inflammatoire.
2. L'induction de la production d'immunoglobulines E (IgE) par les lymphocytes B, ce qui favorise la réaction allergique immédiate.
3. La stimulation de la sécrétion de mucus et la prolifération des cellules épithéliales dans les voies respiratoires, contribuant au développement de l'asthme.
4. L'activation de fibroblastes et la production de matrice extracellulaire, ce qui peut entraîner une fibrose tissulaire dans certaines maladies chroniques.

Dans un contexte médical, des niveaux élevés d'IL-13 ont été associés à plusieurs affections, telles que l'asthme, la dermatite atopique, la sinusite chronique et certaines maladies pulmonaires obstructives. Cibler spécifiquement IL-13 ou ses voies de signalisation est donc considéré comme une stratégie thérapeutique prometteuse pour traiter ces pathologies.

La télomérase est un type particulier d'enzyme reverse transcriptase qui joue un rôle crucial dans la préservation des extrémités des chromosomes, appelées télomères. Les télomères sont des structures répétitives en ADN situées aux extrémités des chromosomes et protègent les informations génétiques contenues dans l'ADN chromosomique contre la dégradation et la fusion avec d'autres chromosomes.

Au cours de chaque division cellulaire, les télomères subissent une érosion naturelle, entraînant ainsi une courte réduction des télomères à chaque cycle de réplication cellulaire. Lorsque les télomères deviennent trop courts, la cellule cesse de se diviser et entre en sénescence ou meurt par apoptose (mort cellulaire programmée).

La télomérase a la capacité unique de rallonger les télomères en ajoutant des séquences répétitives d'ADN aux extrémités des chromosomes, ce qui permet à la cellule de maintenir la longueur de ses télomères et de prolonger sa durée de vie. Cependant, dans certaines cellules cancéreuses, l'activité de la télomérase est anormalement élevée, ce qui entraîne une stabilité accrue des chromosomes et contribue à la survie et à la prolifération illimitées de ces cellules.

Par conséquent, l'étude et la compréhension de la télomérase sont importantes dans le domaine de la médecine régénérative et du cancer, offrant des perspectives thérapeutiques potentielles pour traiter les maladies liées au vieillissement et certains types de cancer.

Gammaherpesvirinae est un sous-groupe de la famille Herpesviridae dans le domaine des virologies. Les virus qui appartiennent à ce sous-groupe sont également appelés gammaherpesvirus. Ils peuvent infecter les humains et divers animaux et causent souvent des infections latentes et persistantes dans leurs hôtes.

Les membres les plus connus de Gammaherpesvirinae qui infectent les humains sont le virus d'Epstein-Barr (EBV) et le virus du sarcome de Kaposi (KSHV). L'infection par EBV est associée au développement de maladies telles que la mononucléose infectieuse, les lymphomes et certains types de cancer. KSHV est associé au sarcome de Kaposi, aux lymphomes primitifs des cavités bodyques et à certaines formes de leucoplasie capillaire multicentrique.

Les gammaherpesvirus ont un génome à double brin d'ADN et une structure virale complexe comprenant une capside, une tunique et une enveloppe externe. Ils utilisent des récepteurs cellulaires spécifiques pour pénétrer dans les cellules hôtes et exploiter le métabolisme cellulaire pour se répliquer. Après l'infection initiale, ces virus peuvent rester latents dans les cellules hôtes pendant de longues périodes, ce qui peut entraîner des réactivations occasionnelles et la propagation du virus à d'autres parties du corps ou à d'autres personnes.

Il est important de noter que l'infection par ces virus ne provoque généralement pas de maladie grave chez les personnes en bonne santé, mais elle peut entraîner des complications graves chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli.

Les cellules stellaires hépatiques, également connues sous le nom de cellules d'Ito ou de cellules grasses du foie, sont des cellules résidentes dans le tissu hépatique qui jouent un rôle central dans la physiopathologie de la fibrose hépatique. Elles sont localisées dans les espaces Disse, situés entre les hépatocytes et les sinusoïdes hépatiques.

Normalement, ces cellules sont quiescentes et contiennent des gouttelettes lipidiques qui stockent la vitamine A. Cependant, en réponse à une lésion hépatique, telle qu'une inflammation ou une infection virale, les cellules stellaires hépatiques peuvent être activées et se différencier en myofibroblastes hépatiques.

Ces cellules activées perdent leur capacité de stockage de la vitamine A et commencent à produire des composants extracellulaires, tels que le collagène, qui conduisent à la formation de cicatrices et à la fibrose hépatique. La fibrose hépatique peut entraîner une maladie du foie chronique et potentialement mortelle, comme la cirrhose.

Par conséquent, les cellules stellaires hépatiques sont considérées comme des cibles thérapeutiques importantes pour le traitement de la fibrose hépatique et d'autres maladies du foie chroniques.

Le phénotype est le résultat observable de l'expression des gènes en interaction avec l'environnement et d'autres facteurs. Il s'agit essentiellement des manifestations physiques, biochimiques ou développementales d'un génotype particulier.

Dans un contexte médical, le phénotype peut se rapporter à n'importe quelle caractéristique mesurable ou observable résultant de l'interaction entre les gènes et l'environnement, y compris la couleur des yeux, la taille, le poids, certaines maladies ou conditions médicales, voire même la réponse à un traitement spécifique.

Il est important de noter que deux individus ayant le même génotype (c'est-à-dire la même séquence d'ADN) ne seront pas nécessairement identiques dans leur phénotype, car des facteurs environnementaux peuvent influencer l'expression des gènes. De même, des individus avec des génotypes différents peuvent partager certains traits phénotypiques en raison de similitudes dans leurs environnements ou dans d'autres facteurs non génétiques.

Les macrophages sont des cellules du système immunitaire qui jouent un rôle crucial dans la défense de l'organisme contre les agents pathogènes et dans la régulation des processus inflammatoires et de réparation tissulaire. Ils dérivent de monocytes sanguins matures ou de précurseurs monocytaires résidents dans les tissus.

Les macrophages sont capables de phagocytose, c'est-à-dire qu'ils peuvent ingérer et détruire des particules étrangères telles que des bactéries, des virus et des cellules tumorales. Ils possèdent également des récepteurs de reconnaissance de motifs (PRR) qui leur permettent de détecter et de répondre aux signaux moléculaires associés aux agents pathogènes ou aux dommages tissulaires.

En plus de leurs fonctions phagocytaires, les macrophages sécrètent une variété de médiateurs pro-inflammatoires et anti-inflammatoires, y compris des cytokines, des chimiokines, des facteurs de croissance et des enzymes. Ces molécules régulent la réponse immunitaire et contribuent à la coordination des processus inflammatoires et de réparation tissulaire.

Les macrophages peuvent être trouvés dans presque tous les tissus du corps, où ils remplissent des fonctions spécifiques en fonction du microenvironnement tissulaire. Par exemple, les macrophages alvéolaires dans les poumons aident à éliminer les particules inhalées et les agents pathogènes, tandis que les macrophages hépatiques dans le foie participent à la dégradation des hormones et des médiateurs de l'inflammation.

Dans l'ensemble, les macrophages sont des cellules immunitaires essentielles qui contribuent à la défense contre les infections, à la régulation de l'inflammation et à la réparation tissulaire.

L'épiderme est un type de tissu épithélial stratifié qui recouvre la surface du corps, la cavité interne et les organes. Il forme une barrière physique protectrice contre les agents pathogènes, les substances chimiques et les pertes d'eau. L'épiderme est composé de plusieurs couches de cellules, dont la couche externe appelée stratum corneum, qui est constituée de cellules mortes kératinisées. Sous cette couche se trouvent des couches de cellules vivantes qui se divisent et se différencient en cellules kératinisées. L'épiderme contient également des glandes sudoripares, sébacées et mammaires, ainsi que des récepteurs sensoriels.

L'emphysème est une maladie pulmonaire chronique et progressive, caractérisée par la destruction des parois alvéolaires et un élargissement anormal des espaces aériens dans les poumons. Cela entraîne une diminution de la surface de l'échange gazeux, ce qui rend plus difficile pour les personnes atteintes d'emphysème de respirer, en particulier pendant l'activité physique ou l'exercice.

L'emphysème est généralement causé par le tabagisme et peut également être lié à une exposition professionnelle à des polluants atmosphériques ou à des antécédents familiaux de certaines maladies pulmonaires héréditaires. Les symptômes courants de l'emphysème comprennent la toux, l'essoufflement, la respiration sifflante et une sensation d'oppression thoracique.

Le diagnostic de l'emphysème est généralement posé sur la base des antécédents médicaux du patient, d'un examen physique et de tests de fonction pulmonaire. Le traitement de l'emphysème peut inclure l'arrêt du tabagisme, la bronchodilatation, les corticostéroïdes inhalés, l'oxygénothérapie à long terme, la réadaptation pulmonaire et, dans certains cas, une intervention chirurgicale telle qu'une réduction de volume pulmonaire ou une transplantation pulmonaire.

Le Volume Expiratoire Maximum Seconde (VEMS) est une mesure utilisée en pneumologie et en médecine respiratoire pour évaluer la fonction pulmonaire. Il représente le volume d'air maximal qu'une personne peut expirer pendant une seconde après avoir inspiré profondément. Cette valeur est exprimée en litres.

Le VEMS est mesuré lors d'une spirométrie, un examen couramment utilisé pour diagnostiquer et suivre l'évolution de maladies pulmonaires telles que l'asthme, la bronchite chronique ou l'emphysème. Une valeur de VEMS réduite par rapport à la normale peut indiquer une obstruction des voies respiratoires, ce qui est souvent observé dans ces pathologies.

Cependant, il est important de noter que le VEMS doit être interprété en conjonction avec d'autres paramètres de la spirométrie, tels que le Volume Expiratoire Forcé (VEF) et la Capacité Vitale (CV), pour établir un diagnostic précis et suivre l'efficacité du traitement.

L'obstruction urétérale est un problème médical qui se produit lorsqu'il y a une obstruction ou un blocage dans l'uretère, le tube qui transporte l'urine des reins à la vessie. Cette obstruction peut être causée par divers facteurs, tels que des calculs rénaux, une tumeur, une inflammation, une cicatrice ou un rétrécissement de l'uretère.

Les symptômes courants d'une obstruction urétérale comprennent des douleurs intenses dans le dos ou le côté, des nausées et des vomissements, une diminution ou une absence de production d'urine, une augmentation de la fréquence des mictions, une sensation de brûlure en urinant, de la fièvre et des frissons.

Une obstruction urétérale non traitée peut entraîner des complications graves, telles que des infections rénales récurrentes, des dommages aux reins et une insuffisance rénale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'obstruction et peut inclure des médicaments pour soulager les symptômes, une intervention chirurgicale pour retirer le blocage ou un drainage de l'urine accumulée dans le rein.

Il est important de consulter un médecin dès que possible si vous ressentez des symptômes d'obstruction urétérale, car un traitement rapide peut prévenir les complications graves et préserver la fonction rénale.

La régulation positive des récepteurs, également connue sous le nom d'upregulation des récepteurs, est un processus dans lequel il y a une augmentation du nombre ou de l'activité des récepteurs membranaires spécifiques à la surface des cellules en réponse à un stimulus donné. Ce mécanisme joue un rôle crucial dans la modulation de la sensibilité et de la réactivité cellulaires aux signaux hormonaux, neurotransmetteurs et autres molécules de signalisation.

Dans le contexte médical, la régulation positive des récepteurs peut être observée dans divers processus physiologiques et pathologiques. Par exemple, en réponse à une diminution des niveaux d'un ligand spécifique, les cellules peuvent augmenter l'expression de ses récepteurs correspondants pour accroître leur sensibilité aux faibles concentrations du ligand. Ce phénomène est important dans la restauration de l'homéostasie et la compensation des déséquilibres hormonaux.

Cependant, un upregulation excessif ou inapproprié des récepteurs peut également contribuer au développement et à la progression de diverses maladies, telles que le cancer, les troubles neuropsychiatriques et l'obésité. Par conséquent, une compréhension approfondie de ce processus est essentielle pour élucider les mécanismes sous-jacents des maladies et développer des stratégies thérapeutiques ciblées visant à moduler l'activité des récepteurs.

La protéine D associée au surfactant pulmonaire, également connue sous le nom de SP-D (de l'anglais Surfactant Protein D), est une protéine importante du système immunitaire présent dans les poumons. Elle fait partie des protéines de la famille des collectines, qui sont des protéines de reconnaissance des pathogènes.

La SP-D se lie à divers agents pathogènes, tels que les virus, les bactéries et les champignons, ainsi qu'à des particules inertes telles que les poussières et les allergènes. Ce faisant, elle aide à prévenir l'infection et l'inflammation pulmonaires en favorisant la clairance des agents pathogènes et des particules par les macrophages alvéolaires.

La SP-D est produite principalement par les pneumocytes de type II, qui sont des cellules situées à la surface des alvéoles pulmonaires. Elle se trouve dans le surfactant pulmonaire, un mélange de lipides et de protéines qui tapisse l'intérieur des alvéoles et facilite la respiration en réduisant la tension superficielle.

Des niveaux anormalement bas ou élevés de SP-D ont été associés à diverses maladies pulmonaires, telles que la fibrose pulmonaire, l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et la mucoviscidose. Par conséquent, la SP-D est considérée comme un biomarqueur potentiel pour le diagnostic et le suivi de ces maladies.

Une étude cas-témoins, également appelée étude de cohorte rétrospective, est un type d'étude épidémiologique observationnelle dans laquelle des participants présentant déjà une certaine condition ou maladie (les «cas») sont comparés à des participants sans cette condition ou maladie (les «témoins»). Les chercheurs recueillent ensuite des données sur les facteurs de risque potentiels pour la condition d'intérêt et évaluent si ces facteurs sont plus fréquents chez les cas que chez les témoins.

Ce type d'étude est utile pour étudier les associations entre des expositions rares ou des maladies rares, car il permet de recueillir des données sur un grand nombre de cas et de témoins en un temps relativement court. Cependant, comme les participants sont sélectionnés en fonction de leur statut de maladie, il peut y avoir un biais de sélection qui affecte les résultats. De plus, comme l'étude est observationnelle, elle ne peut pas établir de relation de cause à effet entre l'exposition et la maladie.

Instillation est un terme médical qui se réfère à l'action d'appliquer ou introduire un médicament, une solution ou une substance thérapeutique délibérément dans une cavité corporelle, une muqueuse ou sur la peau. Cela peut être accompli en utilisant diverses méthodes et instruments, tels que des gouttes, des compte-gouttes, des seringues, des cathéters ou des éponges imbibées.

L'instillation est souvent pratiquée dans les yeux, le nez, les oreilles, les voies urinaires et d'autres cavités corporelles pour administrer un traitement localisé ou pour faciliter le diagnostic médical. Par exemple, des gouttes oculaires peuvent être instillées dans l'œil pour traiter une infection ou une inflammation oculaire, tandis qu'un produit de contraste peut être instillé dans la vessie par le biais d'une sonde urinaire pour effectuer une étude radiologique.

Il est important de suivre les instructions et précautions appropriées lors de l'instillation, telles que la dose recommandée, la fréquence d'administration et la durée du traitement, afin de minimiser les risques d'effets indésirables ou de complications.

La irrigación terapéutica, también conocida como lavado, es un procedimiento en el que una solución estéril o fisiológica se introduce en una cavidad corporal o pasaje con el fin de cleanarla, aliviar la inflamación, promover la curación o administrar medicamentos. Puede ser utilizada en diversas áreas del cuerpo, como los oídos, los senos nasales, la vejiga y el tracto gastrointestinal. La solución utilizada y la técnica de irrigación dependen del área tratada y de la condición específica que se esté abordando.

La sclérodermie limitée, également connue sous le nom de sclérodermie systémique limitée ou CREST syndrome (acronyme des caractéristiques principales : calcinosis, Raynaud's phenomenon, esophageal dysmotility, sclerodactyly, and telangiectasia), est une forme de sclérodermie systémique qui affecte principalement la peau et les tissus sous-jacents. Contrairement à la sclérodermie diffuse, elle se caractérise par une progression plus lente et moins sévère des symptômes.

Les manifestations cutanées comprennent un épaississement et un durcissement de la peau (sclérodactylie) au niveau des doigts, des mains et parfois du visage, ainsi que des télangiectasies (dilatations permanentes des petits vaisseaux sanguins), principalement sur le visage, les mains et les muqueuses.

Les patients atteints de sclérodermie limitée présentent souvent un phénomène de Raynaud sévère, qui se manifeste par des doigts et des orteils blancs, bleus ou rouges en réponse au froid ou au stress émotionnel.

La dysmotilité œsophagienne est fréquente, entraînant des difficultés de déglutition et un reflux gastro-œsophagien. Moins souvent, d'autres organes peuvent être touchés, comme les poumons (hypertension artérielle pulmonaire), le cœur ou les reins, mais généralement dans une moindre mesure que dans la sclérodermie diffuse.

Il est important de noter que la sclérodermie limitée peut évoluer vers une forme plus sévère et étendue de la maladie, appelée sclérodermie systémique diffuse. Le diagnostic et le suivi réguliers par un médecin spécialiste sont essentiels pour assurer une prise en charge adéquate et prévenir les complications potentielles.

La réaction de polymérisation en chaîne par transcriptase inverse (RT-PCR en anglais) est une méthode de laboratoire utilisée pour amplifier des fragments d'ARN spécifiques. Cette technique combine deux processus distincts : la transcription inverse, qui convertit l'ARN en ADN complémentaire (ADNc), et la polymérisation en chaîne, qui permet de copier rapidement et de manière exponentielle des millions de copies d'un fragment d'ADN spécifique.

La réaction commence par la transcription inverse, où une enzyme appelée transcriptase inverse utilise un brin d'ARN comme matrice pour synthétiser un brin complémentaire d'ADNc. Ce processus est suivi de la polymérisation en chaîne, où une autre enzyme, la Taq polymérase, copie le brin d'ADNc pour produire des millions de copies du fragment d'ADN souhaité.

La RT-PCR est largement utilisée dans la recherche médicale et clinique pour détecter et quantifier l'expression génétique, diagnostiquer les maladies infectieuses, détecter les mutations génétiques et effectuer des analyses de génome. Elle est également utilisée dans les tests de diagnostic COVID-19 pour détecter le virus SARS-CoV-2.

La elastase des leucocytes, également connue sous le nom de neutrophile elastase, est une enzyme puissante libérée par les granulocytes neutrophiles (un type de globules blancs) lorsqu'ils combattent une infection. Son rôle principal est de dégrader les éléments étrangers tels que les bactéries et les virus, mais elle peut également endommager les tissus sains de l'hôte si elle n'est pas régulée correctement. Un déséquilibre entre la libération d'elastase des leucocytes et sa neutralisation ou son contrôle peut contribuer à diverses affections inflammatoires et destructives des tissus, telles que la fibrose kystique, l'emphysème, les maladies inflammatoires de l'intestin et certaines formes d'arthrite.

Le Far-Western blotting est une méthode de laboratoire utilisée dans la recherche biomédicale pour détecter et identifier des protéines spécifiques dans un échantillon. Cette technique est une variation du Western blot traditionnel, qui implique le transfert d'échantillons de protéines sur une membrane, suivi de l'incubation avec des anticorps marqués pour détecter les protéines d'intérêt.

Dans le Far-Western blotting, la membrane contenant les protéines est incubée avec une source de protéine marquée ou étiquetée, telle qu'une enzyme ou une biomolécule fluorescente, qui se lie spécifiquement à la protéine d'intérêt. Cette méthode permet non seulement de détecter la présence de la protéine, mais aussi de caractériser ses interactions avec d'autres protéines ou molécules.

Le Far-Western blotting est particulièrement utile pour l'étude des interactions protéine-protéine et des modifications post-traductionnelles des protéines, telles que la phosphorylation ou la glycosylation. Cependant, il nécessite une optimisation soigneuse des conditions expérimentales pour assurer la spécificité et la sensibilité de la détection.

La prednisolone est un glucocorticoïde synthétique, un type de corticostéroïde, qui est utilisé pour traiter une variété de conditions inflammatoires et auto-immunes. Il fonctionne en réduisant l'activité du système immunitaire de l'organisme, ce qui peut aider à contrôler les symptômes associés à des affections telles que l'asthme, la dermatite, l'arthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé et d'autres maladies.

La prednisolone agit en se liant aux récepteurs des glucocorticoïdes dans les cellules du corps, ce qui entraîne une série de modifications moléculaires qui inhibent l'inflammation et modulent la réponse immunitaire. Il peut être administré par voie orale, intraveineuse ou topique (crèmes ou gouttes oculaires), selon le type de condition traitée.

Comme d'autres corticostéroïdes, la prednisolone peut entraîner des effets secondaires indésirables, en particulier lorsqu'elle est utilisée à fortes doses ou sur une longue période. Ces effets secondaires peuvent inclure l'hypertension artérielle, le diabète, les changements d'humeur, la prise de poids, l'ostéoporose et un risque accru d'infections. Par conséquent, il est important que la prednisolone soit utilisée sous la surveillance étroite d'un médecin pour minimiser ces risques.

La prolifération cellulaire est un processus biologique au cours duquel il y a une augmentation rapide et accrue du nombre de cellules, en raison d'une division cellulaire active et accélérée. Dans un contexte médical et scientifique, ce terme est souvent utilisé pour décrire la croissance et la propagation des cellules anormales ou cancéreuses dans le corps.

Dans des conditions normales, la prolifération cellulaire est régulée et équilibrée par des mécanismes de contrôle qui coordonnent la division cellulaire avec la mort cellulaire programmée (apoptose). Cependant, dans certaines situations pathologiques, telles que les tumeurs malignes ou cancéreuses, ces mécanismes de régulation sont perturbés, entraînant une prolifération incontrôlable des cellules anormales.

La prolifération cellulaire peut également être observée dans certaines maladies non cancéreuses, telles que les processus inflammatoires et réparateurs tissulaires après une lésion ou une infection. Dans ces cas, la prolifération cellulaire est généralement temporaire et limitée à la zone touchée, jusqu'à ce que le tissu soit guéri et que les cellules retournent à leur état de repos normal.

En résumé, la prolifération cellulaire est un processus complexe qui joue un rôle crucial dans la croissance, la réparation et la régénération des tissus, mais qui peut également contribuer au développement de maladies graves telles que le cancer lorsqu'il échappe aux mécanismes de contrôle normaux.

ELISA est l'acronyme pour "Enzyme-Linked Immunosorbent Assay". Il s'agit d'un test immunologique quantitatif utilisé en médecine et en biologie moléculaire pour détecter et mesurer la présence d'une substance antigénique spécifique, telle qu'un anticorps ou une protéine, dans un échantillon de sang ou d'autres fluides corporels.

Le test ELISA fonctionne en liant l'antigène ciblé à une plaque de wells, qui est ensuite exposée à des anticorps marqués avec une enzyme spécifique. Si l'antigène ciblé est présent dans l'échantillon, les anticorps se lieront à l'antigène et formeront un complexe immun. Un substrat pour l'enzyme est ensuite ajouté, ce qui entraîne une réaction enzymatique qui produit un signal colorimétrique ou luminescent détectable.

L'intensité du signal est directement proportionnelle à la quantité d'antigène présente dans l'échantillon, ce qui permet de mesurer la concentration de l'antigène avec une grande précision et sensibilité. Les tests ELISA sont largement utilisés pour le diagnostic de diverses maladies infectieuses, y compris les infections virales telles que le VIH, l'hépatite B et C, et la syphilis, ainsi que pour la détection d'allergènes et de marqueurs tumoraux.

Dans le contexte médical, les bronches sont des voies respiratoires qui transportent l'air inspiré depuis la trachée vers les poumons. Ce sont des structures tubulaires situées dans la poitrine qui se ramifient en plusieurs branches plus petites, appelées bronchioles, avant d'atteindre les sacs aériens des poumons où se produit l'échange de gaz.

Les bronches ont des parois musculaires et cartilagineuses qui leur permettent de rester ouvertes pendant la respiration. Elles sont également tapissées de muqueuses qui contiennent des glandes sécrétant du mucus pour piéger les particules étrangères et les micro-organismes inhalés. Les cils vibratiles situés sur la surface des bronches aident à déplacer le mucus vers le haut de la trachée, où il peut être expulsé par la toux ou avalé.

Des maladies telles que l'asthme, la bronchite et le cancer du poumon peuvent affecter les bronches et perturber leur fonctionnement normal.

Le tétrachlorure de carbone, également connu sous le nom de CCl4, est un composé chimique inorganique composé d'un atome de carbone entouré de quatre atomes de chlore. Il est dans une structure moléculaire tétraédrique avec des liaisons simples entre le carbone et chaque atome de chlore.

Dans un contexte médical, le tétrachlorure de carbone a été historiquement utilisé comme agent anesthésique général en raison de ses propriétés narcotiques. Cependant, son utilisation clinique a été largement abandonnée en raison de sa toxicité pour le foie et les reins, ainsi que de son potentiel à endommager la couche d'ozone dans l'atmosphère terrestre.

L'exposition au tétrachlorure de carbone peut se produire par inhalation, ingestion ou contact avec la peau. Les symptômes d'une exposition aiguë peuvent inclure des maux de tête, des étourdissements, une somnolence, des nausées et des vomissements. Une exposition chronique peut entraîner des lésions hépatiques et rénales, ainsi qu'un risque accru de cancer du foie.

En raison de sa toxicité, le tétrachlorure de carbone est considéré comme un produit chimique dangereux qui doit être manipulé avec soin et stocké dans des conditions appropriées pour éviter une exposition inutile.

La souche de rat Sprague-Dawley est une souche albinos commune de rattus norvegicus, qui est largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces rats sont nommés d'après les chercheurs qui ont initialement développé cette souche, H.H. Sprague et R.C. Dawley, au début des années 1900.

Les rats Sprague-Dawley sont connus pour leur taux de reproduction élevé, leur croissance rapide et leur taille relativement grande par rapport à d'autres souches de rats. Ils sont souvent utilisés dans les études toxicologiques, pharmacologiques et biomédicales en raison de leur similitude génétique avec les humains et de leur réactivité prévisible aux stimuli expérimentaux.

Cependant, il est important de noter que, comme tous les modèles animaux, les rats Sprague-Dawley ne sont pas parfaitement représentatifs des humains et ont leurs propres limitations en tant qu'organismes modèles pour la recherche biomédicale.

La fibronectine est une glycoprotéine extracellulaire hautement conservée qui joue un rôle crucial dans la régulation des processus cellulaires tels que l'adhésion, la migration, la différenciation et la prolifération. Elle se trouve dans les matrices extracellulaires des tissus conjonctifs, du sang et de la membrane basale.

La fibronectine est composée de deux chaînes polypeptidiques identiques ou non identiques, liées par des ponts disulfures. Elle existe sous plusieurs formes isomériques en raison de différences dans la splicing des ARN messagers qui codent pour cette protéine.

Dans le plasma sanguin, la fibronectine est présente sous forme soluble et participe à des fonctions telles que l'opsonisation, la phagocytose et la réparation des tissus. Dans les matrices extracellulaires, elle se trouve sous une forme insoluble et contribue à la structure et à la fonction mécanique des tissus en interagissant avec d'autres composants de la matrice, comme le collagène et l'héparane sulfate.

Dans un contexte médical, les niveaux sériques de fibronectine peuvent être mesurés pour évaluer des conditions telles que les dommages aux tissus, les maladies hépatiques et certains types de cancer.

En médecine, le terme "pronostic" se réfère à la prévision du résultat ou de l'issue attendue d'une maladie ou d'une blessure dans le corps humain. Il s'agit essentiellement d'une estimation de la probabilité du rétablissement complet, de l'amélioration continue, de l'évolution vers une invalidité permanente ou du décès d'un patient atteint d'une certaine maladie ou blessure.

Le pronostic est généralement fondé sur les antécédents médicaux du patient, les résultats des tests diagnostiques, l'étendue de la maladie ou de la lésion, la réponse au traitement et d'autres facteurs pertinents. Il peut être exprimé en termes généraux ou spécifiques, tels qu'un pronostic favorable, défavorable ou incertain.

Il est important de noter que le pronostic n'est pas une garantie et ne doit pas être considéré comme tel. Il s'agit simplement d'une estimation basée sur des données probantes et l'expérience clinique, qui peut varier d'un patient à l'autre. Les médecins doivent communiquer clairement le pronostic aux patients et à leur famille, en s'assurant qu'ils comprennent les risques, les avantages et les incertitudes associés au traitement et à la maladie sous-jacente.

La chemokine CCL17, également connue sous le nom de thymus et activé régénération chimioquinase (TARC), est une petite protéine qui joue un rôle important dans la communication cellulaire et l'inflammation. Il s'agit d'un type de chimokine, qui est une sous-classe de cytokines, ou molécules de signalisation, qui attirent et activent certains globules blancs, tels que les lymphocytes T helper 2 (Th2) et les cellules natural killer (NK).

La Matrix Metalloproteinase 7 (MMP-7), également connue sous le nom de matrilysine, est une protéase à zinc qui appartient à la famille des métalloprotéinases matricielles. Elle joue un rôle crucial dans la dégradation et la restructuration de la matrice extracellulaire (MEC) et des protéines de la membrane basale.

MMP-7 est capable de cliver une grande variété de substrats, y compris les composants de la MEC tels que le collagène de type IV, la fibronectine, le laminine et le proteoglycane. Elle participe également à la dégradation des protéines membranaires comme les récepteurs de facteurs de croissance et les cadhérines, ce qui en fait un acteur important dans la régulation cellulaire et les processus physiologiques tels que la morphogenèse, la cicatrisation des plaies et la réparation tissulaire.

Dans le contexte pathologique, MMP-7 a été impliquée dans diverses maladies, notamment le cancer. Elle favorise la progression tumorale en facilitant l'invasion et la migration des cellules cancéreuses, ainsi que la formation de métastases. De plus, son expression est souvent associée à un mauvais pronostic dans différents types de tumeurs solides.

En résumé, Matrix Metalloproteinase 7 est une enzyme qui dégrade divers composants de la matrice extracellulaire et des protéines membranaires, jouant un rôle important dans les processus physiologiques et pathologiques tels que la cicatrisation des plaies et le cancer.

*Pseudomonas aeruginosa* est une bactérie gram-négative couramment trouvée dans les environnements humides tels que l'eau et le sol. Elle est capable de survivre dans diverses conditions, y compris celles qui sont hostiles à la plupart des autres organismes. Cette bactérie est un agent pathogène opportuniste important, ce qui signifie qu'elle provoque généralement une infection uniquement lorsqu'elle pénètre dans des tissus stériles ou des sites où les défenses de l'hôte sont affaiblies.

*Pseudomonas aeruginosa* est notoire pour sa capacité à développer une résistance aux antibiotiques, ce qui rend les infections par cette bactérie difficiles à traiter. Elle produit plusieurs enzymes et toxines qui endommagent les tissus et contribuent à la virulence de l'infection.

Les infections à *Pseudomonas aeruginosa* peuvent survenir dans divers sites, y compris la peau, les poumons (pneumonie), le sang (bactériémie) et le tractus urinaire. Ces infections sont particulièrement préoccupantes pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli, telles que les patients cancéreux, ceux atteints de fibrose kystique ou ceux qui ont subi une greffe d'organe.

Le diagnostic d'une infection à *Pseudomonas aeruginosa* repose généralement sur la culture d'un échantillon du site infecté. Le traitement implique typiquement l'utilisation d'antibiotiques, bien que la résistance puisse être un défi.

Une lignée cellulaire est un groupe homogène de cellules dérivées d'un seul type de cellule d'origine, qui se divisent et se reproduisent de manière continue dans des conditions de culture en laboratoire. Ces cellules sont capables de maintenir certaines caractéristiques spécifiques à leur type cellulaire d'origine, telles que la forme, les fonctions et les marqueurs moléculaires, même après plusieurs générations.

Les lignées cellulaires sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier divers processus cellulaires et moléculaires, tester de nouveaux médicaments, développer des thérapies et comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies humaines. Il est important de noter que certaines lignées cellulaires peuvent présenter des anomalies chromosomiques ou génétiques dues à leur manipulation en laboratoire, ce qui peut limiter leur utilisation dans certains contextes expérimentaux ou cliniques.

L'amiante serpentine est un type de minéral à texture fibreuse qui est classé comme un type de roche asbestiforme. Il se compose principalement du minéral chrysotile, qui est le type d'amiante le plus couramment utilisé dans l'industrie.

Le chrysotile a une structure en forme de tube et se tord facilement sans se briser, ce qui le rend utile pour être tissé ou tordu en fils pour une variété d'applications industrielles et commerciales. Cependant, l'inhalation de fibres d'amiante a été associée à des maladies pulmonaires graves, telles que l'asbestose, le cancer du poumon et le mésothéliome, une forme rare de cancer qui affecte la membrane qui tapisse les poumons et la cavité thoracique.

En raison des risques pour la santé associés à l'amiante, son utilisation est strictement réglementée ou interdite dans de nombreux pays, y compris aux États-Unis et dans l'Union européenne.

La fibrose péritonéale est une affection caractérisée par une épaississement et un durcissement du péritoine, la membrane qui tapisse l'intérieur de la cavité abdominale et recouvre les organes abdominaux. Cette condition peut être causée par une variété de facteurs, y compris certaines maladies chroniques, des infections, des réactions à des médicaments ou des procédures médicales telles que la dialyse péritonéale.

Dans la fibrose péritonéale, les tissus conjonctifs du péritoine deviennent envahis par des cellules fibreuses anormales, ce qui entraîne une augmentation de la production de collagène et d'autres protéines de la matrice extracellulaire. Cela conduit à une accumulation de tissu cicatriciel, ce qui peut restreindre la fonction des organes abdominaux et entraîner une variété de symptômes, y compris des douleurs abdominales, une distension abdominale, une perte d'appétit, des nausées et des vomissements.

La fibrose péritonéale peut être difficile à diagnostiquer car elle peut présenter des symptômes similaires à d'autres conditions abdominales. Les tests de diagnostic peuvent inclure une imagerie médicale, telle qu'une échographie ou une tomographie computérisée (CT), ainsi qu'une biopsie du péritoine pour examen histopathologique.

Le traitement de la fibrose péritonéale dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments pour réduire l'inflammation et la production de tissu cicatriciel, ainsi que des procédures chirurgicales pour enlever le tissu cicatriciel excessif. Dans les cas graves, une transplantation d'organe peut être nécessaire.

L'acétylcystéine est un médicament qui est couramment utilisé pour traiter les affections pulmonaires telles que la bronchite chronique, l'emphysème et la fibrose kystique. Il fonctionne en fluidifiant le mucus dans les poumons, ce qui facilite sa toux et son expectoration.

L'acétylcystéine est également un antidote pour le poison au paracétamol (également connu sous le nom d'acétaminophène) et est souvent utilisé dans les services d'urgence pour traiter les overdoses de ce médicament.

L'acétylcystéine est disponible sous forme de comprimés, de capsules et de liquide à boire, ainsi que sous forme d'inhalation pour une utilisation dans les poumons. Les effets secondaires courants de l'acétylcystéine peuvent inclure des nausées, des vomissements, de la diarrhée et une odeur désagréable de soufre sur le souffle ou la sueur.

Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques de votre médecin lors de la prise d'acétylcystéine, car des doses trop élevées peuvent entraîner des effets indésirables graves.

Les protéines et peptides de signalisation intercellulaire sont des molécules qui jouent un rôle crucial dans la communication entre les cellules d'un organisme. Ils agissent comme des messagers chimiques, permettant aux cellules de détecter et de répondre à des changements dans leur environnement.

Les protéines de signalisation intercellulaire sont généralement produites dans une cellule et sécrétées dans l'espace extracellulaire, où elles peuvent se lier à des récepteurs spécifiques sur la surface d'autres cellules. Cette liaison déclenche une cascade de réactions biochimiques à l'intérieur de la cellule cible, entraînant une modification de son comportement ou de sa fonction.

Les peptides de signalisation intercellulaire sont des chaînes plus courtes d'acides aminés qui remplissent des fonctions similaires à celles des protéines. Ils peuvent être produits par la scission de protéines précurseurs ou synthétisés directement sous forme de peptides.

Les exemples courants de protéines et peptides de signalisation intercellulaire comprennent les hormones, les facteurs de croissance, les cytokines, les neurotransmetteurs et les neuropeptides. Ces molécules sont essentielles au développement, à la croissance, à la réparation et à la régulation des fonctions corporelles normales. Des dysfonctionnements dans les systèmes de signalisation intercellulaire peuvent contribuer au développement de diverses maladies, y compris le cancer, l'inflammation chronique et les troubles neurodégénératifs.

Les rats F344, également connus sous le nom de rats Fisher 344, sont une souche pure inbred de rats utilisés fréquemment dans la recherche biomédicale. Ils ont été développés à l'origine par l'hybridation des souches HVG/P et BN en 1909, suivie d'une sélection et d'une reproduction intensives pour obtenir une lignée pure inbred.

Les rats F344 sont largement utilisés dans la recherche biomédicale en raison de leur faible taux de croissance tumorale spontanée, de leur longévité et de leur taille relativement petite. Ils sont également appréciés pour leur tempérament calme et prévisible, ce qui facilite leur manipulation et leur observation.

Ces rats sont souvent utilisés dans les études toxicologiques, pharmacologiques, nutritionnelles et de recherche sur le cancer. Cependant, il est important de noter que, comme pour toute souche inbred, les rats F344 peuvent avoir des caractéristiques spécifiques à la souche qui peuvent affecter les résultats de la recherche. Par conséquent, il est important de prendre en compte ces facteurs lors de l'interprétation des données expérimentales.

La plèvre est une membrane séreuse qui enveloppe les poumons et tapisse la cavité thoracique. Elle est composée de deux feuillets, pariétal (externe) et viscéral (interne), qui sont en contact étroit et glissent l'un sur l'autre grâce au liquide pleural présent entre eux. Cette structure permet aux poumons de se mouvoir librement lors des cycles respiratoires. La plèvre joue également un rôle dans la protection et l'humidification des poumons, ainsi que dans le maintien de la pression négative nécessaire à leur expansion. Des pathologies telles que l'épanchement pleural ou le pneumothorax peuvent perturber son fonctionnement normal.

La chemokine CXCL5, également connue sous le nom d'ENA-78 (épithéliale neutrophile activateur-78), est une petite protéine appartenant à la famille des cytokines qui joue un rôle important dans l'inflammation et l'immunité. Elle se lie aux récepteurs CXCR2 et est produite par divers types de cellules, y compris les cellules épithéliales, les macrophages et les fibroblastes.

La fonction principale de la chemokine CXCL5 est d'attirer et d'activer les neutrophiles, un type de globule blanc qui joue un rôle clé dans la réponse immunitaire innée contre les infections bactériennes et fongiques. Elle est également connue pour stimuler la croissance et la migration des cellules endothéliales, ce qui peut contribuer à l'angiogenèse (la formation de nouveaux vaisseaux sanguins) dans certaines maladies.

Des niveaux élevés de CXCL5 ont été observés dans diverses affections inflammatoires et infectieuses, telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l'asthme, la polyarthrite rhumatoïde, la tuberculose et la méningite bactérienne. En outre, des études ont montré que CXCL5 peut contribuer au développement de certains cancers, tels que le cancer du poumon et le cancer colorectal.

En résumé, la chemokine CXCL5 est une protéine qui joue un rôle important dans l'inflammation et l'immunité en attirant et en activant les neutrophiles et en stimulant l'angiogenèse. Elle est impliquée dans diverses affections inflammatoires, infectieuses et cancéreuses.

En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.

La dilatation des bronches, également connue sous le nom de bronchiectasis, est un état pulmonaire dans lequel les parois des bronches (les voies respiratoires qui transportent l'air vers les poumons) sont élargies, épaissies et endommagées en raison d'une infection ou d'une inflammation chronique. Cette condition peut entraver le flux normal de l'air dans et hors des poumons, entraînant une toux persistante, des expectorations excessives, des infections pulmonaires récurrentes et eventuellement une insuffisance respiratoire. Les causes courantes de la dilatation des bronches comprennent les maladies respiratoires chroniques telles que la fibrose kystique, l'asthme sévère, la mucoviscidose et certaines infections pulmonaires récurrentes. Le traitement peut inclure une combinaison de médicaments, de thérapie physique, d'oxygénothérapie et dans certains cas, une intervention chirurgicale.

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  • Un traitement précoce, dès le premier signe d'infection (une intensification de la toux ou une sensation de fatigue, par exemple), peut contribuer à prévenir et à retarder l'atteinte pulmonaire. (vivreaveclafibrosekystique.com)
  • La découverte d'une pneumopathie interstitielle doit faire arrêter définitivement le traitement afin de réduire le risque de progression vers une fibrose pulmonaire. (santemagazine.fr)
  • ALGER - Un traitement ralentissant la progression de la Fibrose pulmonaire idiopathique (FPI) est, désormais, disponible en Algérie, ce qui permettra "l'amélioration" de la qualité de vie des personnes atteintes de cette pathologie respiratoire rare. (1sante.com)
  • AMBRISENTAN EG est indiqué, seul ou en association, dans le traitement de l'hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) chez les patients adultes en classe fonctionnelle II et III (classification OMS) (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques). (doctissimo.fr)
  • Le traitement doit être instauré par un médecin expérimenté dans le traitement de l'hypertension artérielle pulmonaire. (doctissimo.fr)
  • On l'emploie aussi pour le traitement de la fibrose pulmonaire, ainsi que pour d'autres indications. (familiprix.com)
  • Les manifestations se présentaient comme suit : pleurésies rattachées au LES et à la PR (n=3 cas chacun), toxicité pulmonaire probablement liée au méthotrexate confirmée par l'arrêt du traitement de fond (n=5), broncho-pneumopathies infectieuses (n=4) et la fibrose pulmonaire en rapport avec la PR (n=2). (bvsalud.org)
  • La corticothérapie et le traitement de fond par les DMARDs ne sont pas non plus dénudés de complications pulmonaires. (bvsalud.org)
  • Déterminer les effets de l'oxygénothérapie ambulatoire et au coup par coup, séparément, sur la capacité d'exercice, la dyspnée et la qualité de vie chez les personnes souffrant d'une maladie pulmonaire interstitielle (MPI), en particulier celles atteintes de fibrose pulmonaire idiopathique (FPI). (cochrane.org)
  • Des mutations génétiques particulières ont été identifiées chez des personnes atteintes de fibrose pulmonaire idiopathique. (msdmanuals.com)
  • Une grand sous-groupe de patients atteints de maladie pulmonaire interstitielle (MPI) sont normoxiques au repos, mais désaturent rapidement lorsqu'ils font de l'exercice. (cochrane.org)
  • AOF) - Genkyotex, société biopharmaceutique et leader des thérapies NOX, lancera prochainement une étude clinique de Phase 2 initiée par un investigateur avec le GKT831 chez des patients atteints de fibrose pulmonaire idiopathique. (lefigaro.fr)
  • La fibrose progressive du poumon peut avoir un impact dévastateur sur les patients atteints de diverses affections. (caducee.net)
  • Les résultats de l'étude INBUILD montrent pour la première fois que le nintédanib peut ralentir le déclin de la fonction pulmonaire chez les patients atteints de diverses pneumopathies fibrosantes, confirmant les bénéfices du nintédanib chez les patients qui ont un phénotype progressif dans un éventail de diagnostics de PIDs. (caducee.net)
  • Revue générale des pneumonies interstitielles idiopathiques Les pneumopathies interstitielles diffuses idiopathiques sont des maladies pulmonaires interstitielles idiopathiques qui ont en commun un tableau clinique et rx assez similaire et se distinguent. (msdmanuals.com)
  • Présentation des pneumonies interstitielles idiopathiques Les pneumonies interstitielles idiopathiques sont des maladies pulmonaires interstitielles qui n'ont pas de cause connue, ont des symptômes en commun et affectent les poumons de la même manière. (msdmanuals.com)
  • Il s'agit de pneumopathie interstitielle diffuse idiopathique, dont la principale forme est la fibrose pulmonaire idiopathique. (wikipedia.org)
  • Un diagnostic erroné est courant car, alors que la fibrose pulmonaire globale n'est pas rare, chaque type individuel de fibrose pulmonaire l'est. (wikipedia.org)
  • Le diagnostic repose sur l'anamnèse, l'examen clinique, la TDM à haute résolution et/ou la biopsie pulmonaire si nécessaire. (msdmanuals.com)
  • L'examen approfondi des patients présentant une apparition aiguë et/ou une aggravation inexpliquée de symptômes pulmonaires (dyspnée, toux, fièvre) est nécessaire afin d'écarter le diagnostic d'affection pulmonaire interstitielle. (santemagazine.fr)
  • Le diagnostic d'atteinte pulmonaire a été posé sur des arguments clinique, radiologique et/ou après un test thérapeutique. (bvsalud.org)
  • Lors d'une spirométrie, comme la fibrose est une maladie pulmonaire restrictive, tant le VEMS (Volume expiratoire maximal seconde) que la CVF (Capacité vitale forcée) sont réduits de sorte que le rapport VEMS/CVF est normal, voire augmenté, contrairement aux maladies pulmonaires obstructives pour lesquelles ce ratio est réduit (par exemple, pour la broncho-pneumopathie chronique obstructive). (wikipedia.org)
  • Il existe deux types d'infections pulmonaires : l'infection chronique et l'exacerbation aiguë (c'est-à-dire une aggravation soudaine des symptômes). (vivreaveclafibrosekystique.com)
  • La F.P.I. est une maladie pulmonaire chronique rare et idiopathique, caractérisée par une modification progressive irréversible de la structure des poumons. (ffaair.org)
  • La fibrose pulmonaire idiopathique affecte principalement les personnes de plus de 50 ans, habituellement d'anciens fumeurs. (msdmanuals.com)
  • Présentation des maladies pulmonaires interstitielles La maladie pulmonaire interstitielle (également appelée maladie parenchymateuse diffuse) est un terme utilisé pour décrire divers troubles qui affectent l'interstitium (espace interalvéolaire). (msdmanuals.com)
  • Les personnes atteintes d'une maladie pulmonaire apprennent par exemple à renforcer de manière ciblée leurs muscles respiratoires. (css.ch)
  • ALGER - L'Institut national de santé publique (INSP) et la Société algérienne de Pneumologie (SAP) ont signé, samedi à Alger, une convention portant sur le lancement d'une enquête sur les maladies rares et l'élaboration d'un registre national pour ces maladies notamment pulmonaires. (1sante.com)
  • Nous nous sommes résolument engagés à améliorer la vie des patients qui présentent une fibrose pulmonaire, en particulier ceux atteints de maladies rares avec un besoin non satisfait important. (caducee.net)
  • La symptomatologie de la fibrose pulmonaire idiopathique se développe généralement en 6 mois à plusieurs années et comprend une dyspnée d'effort et une toux non productive. (msdmanuals.com)
  • La fibrose pulmonaire est une lésion des poumons caractérisée par une fibrose, c'est-à-dire la présence d'un excès de tissu conjonctif fibreux. (wikipedia.org)
  • Dans la fibrose pulmonaire idiopathique, les poumons développent une cicatrisation progressive pour des raisons inconnues. (msdmanuals.com)
  • La fibrose pulmonaire implique la transformation progressive du parenchyme pulmonaire normal en tissu fibreux. (wikipedia.org)
  • Le tissu prélevé est examiné par microscopie (histopathologie) pour confirmer la présence et les caractéristiques de la fibrose ainsi que la présence d'autres anomalies qui peuvent orienter vers une cause spécifique, par exemple certains types de poussières minérales. (wikipedia.org)
  • Les principaux signes histologiques de la fibrose pulmonaire idiopathique sont une fibrose sous-pleurale avec des sites de prolifération des fibroblastes (foyers fibroblastiques) ainsi qu'un tissu cicatriciel dense, alternant avec des zones de tissu pulmonaire normal (hétérogénéïté). (msdmanuals.com)
  • Pour accéder aux contenus publiés sur Edimark.fr vous devez posséder un compte et vous identifier au moyen d'un email et d'un mot de passe. (edimark.fr)
  • Cœur pulmonaire Le cœur pulmonaire est une hypertrophie et un épaississement du ventricule du cœur droit provenant d'un trouble pulmonaire sous-jacent qui cause une hypertension pulmonaire (pression élevée. (msdmanuals.com)
  • Ce n'est que lorsque le bilan d'un examen clinique approfondi est négatif que l'on retient le caractère idiopathique de la fibrose. (ffaair.org)
  • Dans certains cas, la fibrose pulmonaire peut apparaître sans cause connue. (wikipedia.org)
  • La prolifération des cellules produisant de la fibrose (constituée principalement de collagène) empêche le bon fonctionnement du poumon dont les alvéoles sont devenues rigides et se rétractent. (ffaair.org)
  • Le seul organisme provincial « par et pour » les personnes vivant avec la fibrose kystique, et dédié à leur défense des droits et à leur soutien. (vivreaveclafibrosekystique.com)
  • Hypertension artérielle pulmonaire L'hypertension artérielle pulmonaire est une augmentation de la pression de la circulation pulmonaire. (msdmanuals.com)
  • Des données limitées suggèrent que l'interruption brutale de l'ambrisentan n'est pas associée à un effet rebond avec aggravation de l'hypertension artérielle pulmonaire. (doctissimo.fr)
  • La fibrose pulmonaire idiopathique, la forme la plus fréquente des pneumopathies interstitielles diffuses idiopathiques, entraîne une fibrose pulmonaire progressive. (msdmanuals.com)
  • Les traitements comprennent la rééducation pulmonaire, la transplantation pulmonaire, et des médicaments tels que la pirfénidone et le nintédanib. (msdmanuals.com)
  • La fibrose pulmonaire est un stade évolutif de plusieurs maladies, la plupart d'entre elles étant classées dans les pneumopathies interstitielles. (wikipedia.org)
  • Les exacerbations sont des périodes pendant lesquelles on observe une accentuation visible des signes et symptômes de l'infection, y compris un déclin de la fonction pulmonaire. (vivreaveclafibrosekystique.com)
  • La thérapie respiratoire vise à améliorer la fonction pulmonaire et à vaincre les mauvaises habitudes respiratoires. (css.ch)
  • Tous subirent une analyse par échodoppler du flux transmitral, si nécessaire du flux veineux pulmonaire avec une étude des indices classiques de fonction diastolique, vitesse maxima des ondes E et A, rapport E/A, temps de décélération de l'onde E et temps de relaxation isovolumique. (academie-medecine.fr)
  • Connue pour avoir des problèmes respiratoires, la princesse Mette-Marit, qui doit devenir reine consort lorsque son mari montera sur le trône de Norvège à la mort de son père, avait révélé à l'automne 2018 être atteinte d'une variante inhabituelle de fibrose pulmonaire . (parismatch.com)
  • A - Asbestose : fibrose pulmonaire diagnostiquée sur des signes radiologiques spécifiques, qu'il y ait ou non des modifications des explora- tions fonctionnelles respiratoires. (bossons-fute.fr)
  • L'augmentation du rapport VEMS/CV évoque un processus pulmonaire fibrosant. (medscape.com)
  • Objectif : Déterminer les caractéristiques épidémiologiques et cliniques des atteintes pleuro-pulmonaires au cours des connectivites dans l'unité de rhumatologie du CNHU-HKM.Patients et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective à visée descriptive portant sur des dossiers des patients vus l'unité de rhumatologie dans la période de janvier 2000 à Mars 2013. (bvsalud.org)
  • La fibrose touche la plèvre viscérale (plèvre en contact avec le poumon) et est généralement associée à une atteinte parenchymateuse (du poumon) sous-jacente. (fiva.fr)
  • fibrose parenchymateuse tire sur les bronches et augmente leur calibre. (medscape.com)
  • Conclusion : Les atteintes pleuro-pulmonaires occupent une place non négligeable parmi les complications liées aux connectivites. (bvsalud.org)
  • Une dyspnée (essoufflement) progressive à l'effort peut suggérer une fibrose pulmonaire. (wikipedia.org)
  • La fibrose pulmonaire idiopathique est la forme la plus fréquente de pneumonie interstitielle idiopathique. (msdmanuals.com)
  • Dans un deuxième temps, les dossiers des patients ayant souffert de manifestations pleuro-pulmonaires ont été dépouillés. (bvsalud.org)
  • Dix-sept (17) patients ont présenté des manifestations pleuro-pulmonaires. (bvsalud.org)
  • Wculek, S. K. et Malanchi, I. Les neutrophiles soutiennent la colonisation pulmonaire de cellules cancéreuses du sein à l'origine de métastases. (aaafasso.fr)
  • De plus, la diminution de la compliance pulmonaire fait de la fibrose une maladie pulmonaire restrictive. (wikipedia.org)
  • c, reconstruction frontale): aspect de fibrose pulmonaire idiopathique avec opacités réticulaires, bronchectasies par traction, et distorsion architecturale. (actuscimed.com)
  • Elles peuvent être diverses, liées notamment à l'environnement (exposition à l'amiante ou à de la silice), immunologiques (hypersensibilité à des substances inhalées), systémiques (fibrose accompagnant une sclérodermie ou une polyarthrite rumathoïde par exemple) ou médicamenteuse (de nombreux médicaments peuvent induire une fibrose, parfois de nombreuses années après leur utilisation). (ffaair.org)
  • Reconstruction des hiérarchies de lignées de l'épithélium pulmonaire distal à l'aide d'ARN monocristallin-seq. (aaafasso.fr)