Une manifestation clinique de augmentation anormale du quantité de dioxyde de carbone dans du sang artériel.
Un gaz inodore et incolore qui ne peut être formé par le corps et est nécessaire pour la respiration cycle de plantes et animaux.
Relativement absence complète d'oxygène dans un ou plus de mouchoirs.
Cellules spécialisées pour détecter produits chimiques et transmets ça de manière centralisée dans le système nerveux. Chemoreceptor cellules pourraient surveiller stimuli externes, comme goût et l'olfactif, ou interne stimuli, tels que les concentrations d'oxygène et CARBON de titane dans le sang.
L'acte de respirer avec les poumons, constitué de INHALATION, ou la prise dans les poumons de ce côté-ci du mur, et de soupir, ou le renvoyer de l'air modifié qui contient plus CARBON de titane que l'air recueilli (Blakiston est Gould Medical Dictionary, 4ème ed.). Sans compter la respiration (= tissu en oxygène CONSUMPTION) ou la respiration cellulaire (= cellule RESPIRATION).
Affections respiratoires rétention de CO2. Il peut être aiguë ou chronique.
Manifestation clinique composée d'une déficience du dioxyde de carbone dans du sang artériel.
Le volume total de gaz inspiré périmé par unité de mesure en temps, habituellement litres par minute.
Ce serait la pression exercée par un composant d ’ un mélange de gaz si c'était cadeau seul dans un container de McGraw-Hill. (Dictionnaire de termes scientifique et technique, 6e éditeur)
Un élément dont symbole O, numéro atomique 8 et poids atomique [15.99903 ; 15.99977]. C'est l'élément le plus abondant sur Terre et essentiel pour la respiration.
La circulation du sang dans les vaisseaux sanguins du cerveau.
La physique ou action mécanique du diaphragme ; ; ; poumons côtes et poitrine mur pendant la respiration, l'ouragan, volume des poumons, réflexe neuronal et contrôle, mechanoreceptors, la respiration, etc.
Le dosage de l'oxygène et du dioxyde de carbone dans le sang.
L'absence de respiration spontanée.
Un état pathologique d'acide une accumulation ou une déplétion en base dans le corps. Les deux principaux types sont une acidose et une acidose métabolique, en raison d ’ acide métabolique construire.
Le volume d'air inspiré périmé pendant chaque cycle respiratoire normal, discret et... commun abréviations sont la télé ou V avec subscript T.
L'équilibre entre acides, dans le corps de fluides. Le pH HYDROGEN-ION (concentration) du sang artériel fournit un indice pour l'équilibre acido-basique totale.
Un petit amas de cellules chemoreceptive et soutenir la bifurcation située près de l'artère carotide interne. La carotide corps qui est fourni avec richement fenestrated capillaires, des sens le pH, dioxyde de carbone, et une concentration d'oxygène dans le sang et joue un rôle essentiel dans leur contrôle hémostatique.
Une augmentation anormale du quantité d'oxygène dans les tissus et organes.
La couche interne des trois méninges formant le cerveau et de la moelle épinière. C'est la fine membrane vasculaire qui sont sous l'arachnoïde et la dure-mère MATER.
Un taux de ventilation pulmonaire métaboliquement plus vite que est nécessaire pour l'échange de gaz. C'est le résultat d'une augmentation de l ’ incidence de troubles respiratoires, une augmentation du volume courant, ou une association des deux. Elle entraîne un excès d ’ oxygène et le souffle de dioxyde de carbone.
Une maladie causée par manque d'oxygène, réelle ou imminente se manifeste dans l ’ arrêt de la vie.
La normalité de la solution par rapport à l'eau ; les ions H +. C'est lié à acidité mesures dans la plupart des cas par pH = log [1 / 1 / 2 (H +)], où (H +) est la concentration d'ions d'hydrogène équivalents en gramme par litre de solution. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 6e éditeur)
Une réduction de la quantité d'air entrant dans les alvéoles pulmonaires.
La mesure du volume de gaz dans les poumons, y compris ce qui est coincé dans l'espace aérien communiquer. Il est particulièrement de pathologie pulmonaire chronique obstructive et l ’ emphysème. (Segen, Dictionary of Modern Medicine, 1992)
Le nerf moteur du diaphragme. Le nerf phrénique fibres viennent de la colonne cervicale C4) (principalement des et voyager dans le plexus cervicale au diaphragme.
Le musculofibrous cloison qui sépare les thoraciques CAVITY du ABDOMINAL CAVITY. Contraction du diaphragme augmente le volume de la cavité thoracique aider INHALATION.
Processus physiologiques et propriétés du système respiratoire dans son ensemble ou de ses parties.
Un mode de la respiration artificielle qui emploie mécanique ou non-mécanique signifie pour forcer l'air entre et sorte d'les poumons. La respiration artificielle ou ventilation est utilisé chez des individus qui ont arrêté de respirer ou insuffisance respiratoire pour augmenter leur consommation d ’ oxygène (O2) et l ’ excrétion du gaz carbonique (CO2).
Le sang artériel les vaisseaux du cerveau.
Ces médicaments incluent les muscles du diaphragme et les muscles INTERCOSTAL.
Un échec à oxygène corectement subvenir à des cellules du corps et pour éliminer le CO2 d'eux. (Stedman, 25e éditeur)
Muscles respiratoires qui résultent de la bordure inférieure d'une côte et insérer dans la haute frontière de la côte et contrat, durant l'inspiration ou la respiration. (De Stedman, 25e éditeur)
Un de l'anhydrase carbonique DE LA SEROTONINE qui est parfois efficace contre une absence de crise. Il est parfois utiles aussi conjointement au traitement des crises myocloniques, et hypotone convulsions, en particulier chez des femmes qui se sont amplifiées ou des crises se produisent à des moments précis dans le cycle menstruel. Cependant, son utilité est transitoire souvent à cause de dynamisme de la tolérance. Ses effets antiépileptiques peut être dû à son effet inhibiteur sur cerveau anhydrase carbonique, qui mène à une augmentation du gradient transneuronal chlorure de sodium, augmentation du courant, et une augmentation de l'inhibition. (De Smith et Reynard, Le manuel de pharmacologie, 1991, p337)
La partie basse du cerveau le STEM. C'est inférieur au Pons et antérieure au cervelet, le bulbe rachidien sert de relais entre le cerveau et la moelle épinière et contient les centres pour la régulation cardiaque, respiratoire, vasomoteurs, et réflexe activités.
Partie du cerveau qui se trouve dans le bulbe rachidien et Pons. Elle reçoit des signaux chimiques neurale et hormonale, et contrôle le rythme respiratoire et la profondeur des mouvements du diaphragme et autres muscles respiratoires.
Pression du sang sur les principales et autres vaisseaux sanguins.
L'acte de souffler un poudre, vapeur, ou l'essence dans un corps pour expérimental, diagnostic, ou des fins thérapeutiques.
Des sels inorganiques qui contiennent les -HCO3 radical. Ils sont un facteur important pour déterminer le pH du sang et la concentration de des ions bicarbonate régulée principalement par le rein. Dans le sang est l'index de la réserve ou capacité en mémoire tampon alcalin.
Un stimulant respiratoire central avec une courte durée d'action. (De Martindale, Pharmocopoeia supplémentaires, 30e Ed, p1225)
La partie du cerveau qui relie les CEREBRAL hémisphères avec la colonne vertébrale. Il se compose des mésencéphale ; Pons ; et bulbe rachidien.
L'échange d'oxygène et CARBON de titane entre air alvéolaires et sang capillaire pulmonaire qui apparaît à travers le BLOOD-AIR BARRIER.
Se réfère aux animaux dans la période après la naissance.
Le taux auquel l'oxygène est utilisé par un mouchoir ; microlitres d'oxygène STPD utilisé par milligramme de tissus / h ; la vitesse à laquelle l'oxygène pénètre dans le sang de gaz alvéolaires, égaux dans l'état d'équilibre à la consommation d'O2 par métabolisme du tissu à l ’ organisme. (Stedman, 25e Ed, p346)
Le nombre de fois le CŒUR ventricules contrat par unité de temps, habituellement par minute.
La classe de médicaments qui réduit la sécrétion de H + ions tubulaires proximales par le rein en inhibant la Carbonic Anhydrases.
Un montant équivalent au volume total divisé par le flux Cross-Sectional zone du lit vasculaire.
Un composé hautement toxique c'est un inhibiteur de nombreux processus métaboliques et est utilisé comme test réactif pour le rôle de chemoreceptors. Il est également utilisé chez de nombreux processus industriel.
Hypoventilation syndrome de personnalités très obèses excessive de tissu adipeux et abdomen autour du diaphragme. C'est caractérisé par diminués à son état ventilatoire absents ; des leucémies chemoresponsiveness hypoxie ; hypercapnie ; polycythémie ; et de longues périodes de sommeil durant jour et nuit (HYPERSOMNOLENCE). C'est une condition souvent liées à dormir mais également en apnée obstructive séparément.
Étirer récepteurs trouvés dans les bronches pulmonaires et bronches. Étirer récepteurs sont des détecteurs pour un réflexe, ce qui empêche l'inspiration. Chez l'homme, le réflexe est protecteur et qui est probablement pas activé pendant la respiration normale.
La détermination de oxygen-hemoglobin de saturation de sang soit par de prélever un échantillon et passer à travers un oxymètre photoélectriques classique ou par des électrodes attachées à translucides partie du corps comme doigt, lobe, ou pli non invasif, l'oxygène suivi par une oxymétrie de pouls.
Un état dans lequel il existe un potentiel accru pour la sensibilité et une réponse efficace aux stimulus extérieurs.
L'acte de respirer.
L'interruption ou le retrait ou une partie du nerf vague) (10e nerfs crâniens. Vagotomie peut être pratiquée pour la recherche ou à des fins thérapeutiques.
Des dosages différents processus pratiquant l'acte de respiration : Inspiration, expiration, l'oxygène et du dioxyde de carbone échange, volume pulmonaire et le respect, etc.
Une souche de rat albinos largement utilisé à des fins VÉRIFICATEUR à cause de sa sérénité et la facilité d'de manipulation. Il a été développé par les Sprague Dawley Animal Company.
Élargissement de l'insulinosécrétion en relâchant les vaisseaux sanguins VASCULAR sous-jacente futée poil !

L'hypercapnie est un terme médical qui décrit une concentration excessive de dioxyde de carbone (CO2) dans le sang. La normale est d'environ 35 à 45 mmHg. Cependant, lorsque les niveaux de CO2 dépassent 45 mmHg, on parle d'hypercapnie.

Cette condition peut survenir en raison d'une mauvaise ventilation pulmonaire, ce qui signifie que les poumons ne sont pas capables d'éliminer suffisamment de CO2 lors de la respiration. Cela peut être dû à une maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), comme l'emphysème ou la bronchite chronique, à une insuffisance respiratoire, à une pneumonie, à une paralysie des muscles respiratoires ou à une overdose de médicaments dépresseurs du système nerveux central.

Les symptômes de l'hypercapnie peuvent inclure des maux de tête, une somnolence, une confusion, une augmentation de la fréquence cardiaque, une pression artérielle basse et, dans les cas graves, une perte de conscience ou un coma. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure l'administration d'oxygène, la ventilation mécanique et le traitement de la maladie sous-jacente.

Le dioxyde de carbone, également connu sous le nom de CO2, est un gaz inorganique composé d'un atome de carbone et de deux atomes d'oxygène. Il est naturellement présent dans l'atmosphère terrestre à des concentrations d'environ 0,04% en volume.

Dans le contexte médical, le dioxyde de carbone est peut-être mieux connu pour son rôle dans la respiration cellulaire et le transport des gaz dans le sang. Les poumons expirent normalement environ 5 à 6% de CO2 lors de la respiration, ce qui reflète l'importance du métabolisme cellulaire dans la production de ce gaz.

Dans le sang, le dioxyde de carbone se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges et est transporté vers les poumons où il est expiré. Une partie du CO2 est également transportée sous forme de bicarbonate dans le plasma sanguin.

Des niveaux anormalement élevés de dioxyde de carbone dans le sang peuvent entraîner une acidose respiratoire, qui peut être causée par une maladie pulmonaire obstructive ou restrictive, une insuffisance respiratoire ou une intoxication au monoxyde de carbone. Des niveaux anormalement bas de CO2 peuvent entraîner une alcalose respiratoire, qui peut être causée par une hyperventilation excessive.

En bref, le dioxyde de carbone est un gaz important dans la physiologie humaine normale et anormale, jouant un rôle crucial dans la régulation du pH sanguin et du transport des gaz.

Anoxie est un terme médical qui décrit une condition dans laquelle il y a une privation complète d'oxygène dans le sang et les tissus du corps. Cela peut survenir en raison de diverses raisons, telles que l'arrêt cardiaque, l'asphyxie, la noyade, la strangulation ou l'exposition à des environnements à faible teneur en oxygène.

L'anoxie peut entraîner une privation d'oxygène dans le cerveau et les autres organes vitaux, ce qui peut causer de graves dommages et même la mort si elle n'est pas traitée rapidement. Les symptômes de l'anoxie peuvent inclure des étourdissements, une confusion, une perte de conscience, des convulsions, un rythme cardiaque irrégulier et une respiration superficielle ou absente.

Le traitement de l'anoxie implique généralement la fourniture d'oxygène supplémentaire pour aider à rétablir les niveaux d'oxygène dans le sang et les tissus. Cela peut être accompli en utilisant un masque à oxygène, une ventilation mécanique ou une réanimation cardiopulmonaire (RCP). Dans certains cas, des médicaments peuvent également être administrés pour aider à stimuler la respiration et le rythme cardiaque.

Il est important de noter que l'anoxie peut entraîner des dommages permanents aux organes vitaux, en particulier au cerveau, même si elle est traitée rapidement. Par conséquent, il est essentiel de prévenir l'anoxie autant que possible en évitant les situations dangereuses et en recevant des soins médicaux immédiats en cas d'urgence.

Les cellules des récepteurs chimiques, également connues sous le nom de cellules réceptrices chimiosensibles, sont un type de cellule sensorielle qui détecte et répond aux changements de concentrations chimiques dans l'environnement. Dans le contexte médical, les cellules des récepteurs chimiques peuvent faire référence à des structures spécifiques dans le corps qui détectent les changements chimiques dans le sang et d'autres fluides corporels, ce qui aide à réguler les fonctions physiologiques importantes telles que la respiration, la pression artérielle et l'équilibre hydro-électrolytique.

Les cellules réceptrices chimiques sont généralement situées dans des organes spécialisés tels que les carotides et aortiques glomérules, le système nerveux périphérique et certains organes internes. Elles contiennent des récepteurs spécialisés qui peuvent détecter une variété de substances chimiques, y compris l'oxygène, le dioxyde de carbone, le pH et d'autres ions.

Lorsqu'une cellule réceptrice chimique est exposée à une substance chimique spécifique, elle déclenche une série de réactions qui aboutissent à la libération d'un neurotransmetteur qui active ou inhibe les neurones adjacents. Ces signaux sont ensuite transmis au cerveau, où ils sont interprétés et utilisés pour réguler diverses fonctions corporelles.

Les cellules réceptrices chimiques jouent un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie du corps et des perturbations de leur fonction peuvent entraîner une variété de problèmes de santé, y compris des troubles respiratoires, cardiovasculaires et neurologiques.

La respiration, dans un contexte médical, fait référence au processus d'échange gazeux entre l'air et le sang dans les poumons. Il consiste en deux phases principales : l'inspiration (ou l'acte de respirer dans) et l'expiration (ou l'acte de respirer).

Pendant l'inspiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se contractent, ce qui entraîne une augmentation du volume de la cavité thoracique. Cela provoque une baisse de la pression à l'intérieur de la cavité thoracique, permettant à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré se dissout ensuite dans le sang et se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges.

Au cours de l'expiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se relâchent, ce qui entraîne une diminution du volume de la cavité thoracique et une augmentation de la pression à l'intérieur de celle-ci. Cela force l'air chargé en dioxyde de carbone (un déchet produit par les cellules du corps) à quitter les poumons par les voies respiratoires.

Des problèmes respiratoires peuvent survenir lorsque ce processus est altéré ou interrompu, comme dans des affections telles que l'asthme, la bronchite, l'emphysème et la pneumonie.

L'acidose respiratoire est un trouble métabolique qui se caractérise par une diminution du pH sanguin due à une accumulation d'acide carbonique dans le sang. Cela se produit lorsque les poumons ne sont pas capables d'éliminer correctement le dioxyde de carbone (CO2) que les cellules produisent pendant le métabolisme.

Le CO2 est un gaz acide qui, en se combinant avec l'eau dans le sang, forme de l'acide carbonique. Normalement, ce processus est équilibré par l'action des poumons qui expirent le CO2 et régulent ainsi le pH sanguin. Cependant, lorsque les poumons ne fonctionnent pas correctement, comme dans certaines maladies pulmonaires ou états de faiblesse musculaire, le CO2 s'accumule dans le sang et entraîne une acidose respiratoire.

Les symptômes de l'acidose respiratoire peuvent inclure des essoufflements, des douleurs thoraciques, des confusions, une somnolence ou même un coma dans les cas graves. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des thérapies telles que l'oxygénothérapie, la ventilation mécanique ou le traitement des maladies pulmonaires sous-jacentes.

L'hypocapnie est un terme médical qui décrit une concentration anormalement faible de dioxyde de carbone (CO2) dans le sang. Le CO2 est un gaz présent dans l'air qu'une personne expire et il joue un rôle crucial dans la régulation du pH sanguin et de la respiration.

L'hypocapnie se produit généralement lorsque les poumons ne parviennent pas à éliminer suffisamment de CO2, ce qui peut être dû à une hyperventilation ou à une respiration excessive. Cela peut également se produire en raison d'une maladie pulmonaire sous-jacente qui affecte la capacité des poumons à fonctionner correctement.

Les symptômes de l'hypocapnie peuvent inclure des étourdissements, des maux de tête, une sensation de confusion, une respiration rapide et superficielle, une pression artérielle basse et une fréquence cardiaque élevée. Dans les cas graves, l'hypocapnie peut entraîner une perte de conscience ou même la mort.

Il est important de noter que l'hypocapnie doit être traitée rapidement pour prévenir des complications potentiellement dangereuses. Le traitement dépend généralement de la cause sous-jacente et peut inclure des techniques de respiration contrôlée, de l'oxygénothérapie ou un traitement médical spécifique pour une maladie pulmonaire sous-jacente.

La ventilation pulmonaire est un processus physiologique essentiel à la vie qui consiste en l'acte d'inhaler et d'exhaler de l'air pour permettre l'apport d'oxygène dans les poumons et l'élimination du dioxyde de carbone. Ce processus est assuré par le mouvement des muscles respiratoires, notamment le diaphragme et les muscles intercostaux, qui entraînent une expansion et une contraction de la cage thoracique.

Lors de l'inspiration, ces muscles se contractent et la cage thoracique s'élargit, ce qui entraîne une baisse de la pression intrathoracique et permet à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré diffuse ensuite à travers les parois des alvéoles pulmonaires pour rejoindre la circulation sanguine, où il est transporté vers les différents tissus et organes du corps.

Lors de l'expiration, les muscles respiratoires se relâchent et la cage thoracique revient à sa position initiale, ce qui entraîne une augmentation de la pression intrathoracique et permet au dioxyde de carbone présent dans le sang de diffuser à travers les parois des alvéoles pulmonaires pour être éliminé lors de l'expiration.

La ventilation pulmonaire est un processus automatique régulé par le système nerveux autonome, mais il peut également être contrôlé volontairement grâce à la respiration consciente. Des troubles de la ventilation pulmonaire peuvent entraîner une insuffisance respiratoire et des complications graves pour la santé.

En médecine, la pression partielle fait référence à la pression exercée par un gaz particulier dans un mélange de gaz. Il s'agit d'une fraction de la pression totale du mélange, déterminée par la proportion de ce gaz dans le mélange. La pression partielle d'un gaz est souvent désignée par apposant le symbole "p" avant le nom du gaz, comme pO2 pour la pression partielle d'oxygène ou pCO2 pour la pression partielle de dioxyde de carbone.

Dans le contexte médical spécifique des gaz du sang, les pressions partielles d'oxygène et de dioxyde de carbone sont couramment mesurées pour évaluer la fonction respiratoire et l'équilibre acido-basique de l'organisme. Une pression partielle d'oxygène (pO2) faible peut indiquer une mauvaise oxygénation des tissus, tandis qu'une pression partielle de dioxyde de carbone (pCO2) élevée peut être un signe de troubles de l'élimination du dioxyde de carbone par les poumons.

L'oxygène est un gaz inodore, incolore et insipide qui constitue environ 21% des molécules dans l'atmosphère terrestre. Médicalement parlant, l'oxygène est un élément essentiel pour la vie car il joue un rôle crucial dans le processus de respiration.

Les globules rouges du sang absorbent l'oxygène dans les poumons et le transportent vers les cellules de tous les tissus corporels. Dans ces cellules, l'oxygène est utilisé dans la production d'énergie par un processus appelé la respiration cellulaire. Cette énergie est nécessaire au maintien des fonctions vitales du corps telles que la circulation sanguine, la digestion et le fonctionnement du cerveau.

Lorsque le niveau d'oxygène dans le sang est insuffisant, par exemple en cas de maladies pulmonaires ou cardiaques, d'anémie sévère ou à haute altitude, une supplémentation en oxygène peut être nécessaire pour prévenir les lésions tissulaires et assurer le bon fonctionnement des organes.

La circulation cérébrale, dans le contexte médical, se réfère au système complexe de vaisseaux sanguins qui transportent le sang oxygéné et les nutriments vers le cerveau, et éliminent les déchets métaboliques. Le cerveau consomme environ 20% du volume total d'oxygène inhalé par l'organisme, il nécessite donc un apport sanguin constant pour fonctionner correctement.

Le réseau vasculaire cérébral est divisé en deux systèmes principaux: la circulation artérielle et la circulation veineuse.

1. Circulation artérielle: Elle est responsable de l'apport de sang riche en oxygène et en nutriments au cerveau. Les artères carotides internes et les artères vertébrales sont les principaux vaisseaux qui fournissent ce flux sanguin. Chacune des deux artères carotides se divise en deux branches à l'intérieur du crâne: l'artère cérébrale antérieure et l'artère cérébrale moyenne. Les artères vertébrales fusionnent pour former l'artère basilaire, qui se bifurque ensuite en deux artères cérébrales postérieures. Ces artères forment un réseau circulatoire anastomosant appelé cercle de Willis à la base du cerveau, assurant une redondance et une protection contre les obstructions vasculaires localisées.

2. Circulation veineuse: Elle est responsable du retour du sang désoxygéné et des déchets métaboliques vers le cœur. Les sinus veineux dure-mériens, situés dans la dure-mère (membrane externe de la méninge), collectent le sang veineux du cerveau. Ces sinus se drainent ensuite dans les veines jugulaires internes, qui se jettent dans la veine cave supérieure, aboutissant au cœur droit.

L'étude de l'anatomie vasculaire cérébrale est cruciale pour comprendre les pathologies liées aux vaisseaux sanguins du cerveau, telles que les accidents vasculaires cérébraux ischémiques et hémorragiques. Les techniques d'imagerie modernes, comme l'angiographie par résonance magnétique (ARM), permettent une évaluation détaillée de la circulation vasculaire cérébrale in vivo, facilitant le diagnostic et le traitement des maladies vasculaires cérébrales.

La mécanique respiratoire est un terme utilisé en médecine et en physiologie pour décrire les forces et les mouvements impliqués dans la ventilation, c'est-à-dire le processus d'inhalation et d'exhalation de l'air. Il s'agit essentiellement de la partie du fonctionnement du système respiratoire qui concerne la manière dont les poumons se gonflent et se dégonflent.

Cela implique principalement deux processus :

1. Les mouvements de la cage thoracique (thorax) : Pendant l'inhalation, les muscles intercostaux et le diaphragme se contractent, ce qui entraîne l'expansion de la cage thoracique. Cela crée un espace négatif qui aspire l'air dans les poumons. Lors de l'expiration, ces muscles se relâchent, permettant à la cage thoracique de revenir à sa position initiale et de pousser l'air hors des poumons.

2. Les mouvements des poumons : Les poumons sont élastiques et ont tendance à se rétracter vers leur forme dégonflée lorsque les forces extérieures (comme la pression atmosphérique) ne les maintiennent pas étendus. Pendant l'inhalation, l'air pénètre dans les poumons en raison de la différence de pression entre l'intérieur et l'extérieur des poumons. Pendant l'expiration, l'élasticité des poumons expulse naturellement l'air.

La mécanique respiratoire peut être affectée par diverses conditions médicales telles que la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique), l'asthme, la fibrose kystique et d'autres maladies pulmonaires ou neuromusculaires. Elle est souvent évaluée en mesurant les volumes pulmonaires et les débits, qui peuvent fournir des informations sur la fonction pulmonaire et aider au diagnostic et à la gestion de ces conditions.

L'analyse des gaz du sang, également connue sous le nom de gazométrie, est un test de laboratoire qui mesure les niveaux de différents gaz dans le sang, tels que l'oxygène et le dioxyde de carbone. Ce test fournit des informations importantes sur la fonction pulmonaire, la capacité du sang à transporter l'oxygène et le dioxyde de carbone, ainsi que sur l'équilibre acido-basique du corps.

L'analyse des gaz du sang est généralement effectuée en prélevant un échantillon de sang artériel, bien que dans certains cas, un échantillon de sang veineux puisse également être utilisé. Les niveaux d'oxygène et de dioxyde de carbone sont mesurés en utilisant des électrodes spéciales, tandis que le pH du sang est mesuré à l'aide d'un pH-mètre.

Les résultats de l'analyse des gaz du sang peuvent aider les médecins à diagnostiquer et à surveiller une variété de conditions médicales, telles que l'insuffisance respiratoire, la pneumonie, l'embolie pulmonaire, l'intoxication au monoxyde de carbone, et d'autres affections qui affectent la fonction pulmonaire ou la régulation acido-basique du corps.

En plus de fournir des informations sur les niveaux de gaz dans le sang, l'analyse des gaz du sang peut également fournir des informations sur d'autres aspects de la composition sanguine, tels que les niveaux de bicarbonate et de potassium. Ces informations peuvent être utiles pour évaluer la fonction rénale et d'autres fonctions corporelles importantes.

Dans l'ensemble, l'analyse des gaz du sang est un outil important pour aider les médecins à diagnostiquer et à gérer une variété de conditions médicales qui affectent la fonction pulmonaire et d'autres fonctions corporelles importantes.

L'apnée est une condition dans laquelle une personne cesse de respirer pendant une période de temps anormalement longue. Il existe deux types principaux d'apnées: l'apnée centrale et l'apnée obstructive. L'apnée centrale se produit lorsque le cerveau ne parvient pas à envoyer les signaux appropriés aux muscles responsables de la respiration. L'apnée obstructive, d'autre part, se produit lorsque les voies respiratoires sont bloquées ou obstruées pendant le sommeil, empêchant ainsi l'air de circuler correctement.

Les symptômes courants de l'apnée comprennent des ronflements forts, une somnolence diurne excessive, des maux de tête matinaux, une irritabilité et des difficultés de concentration. L'apnée peut entraîner de graves complications de santé, telles que des maladies cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des problèmes de mémoire et une diminution de la qualité de vie globale.

Le traitement de l'apnée dépend du type et de la gravité de la condition. Les options de traitement peuvent inclure des changements de mode de vie, tels que la perte de poids ou l'évitement de certaines positions de sommeil, ainsi que l'utilisation d'appareils de ventilation en pression positive continue (CPAP) pour maintenir les voies respiratoires ouvertes pendant le sommeil. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour corriger les problèmes structurels qui contribuent à l'apnée.

L'acidose est un déséquilibre métabolique qui entraîne une augmentation du pH sanguin en dessous de 7,35. Il existe deux types principaux d'acidose : l'acidose métabolique et l'acidose respiratoire.

L'acidose métabolique est causée par un excès d'acides dans le sang, qui peut résulter de diverses affections telles que l'insuffisance rénale, le diabète non contrôlé, l'alcoolisme, la déshydratation sévère ou certains types d'intoxications.

L'acidose respiratoire, quant à elle, est causée par une accumulation excessive de dioxyde de carbone dans le sang en raison d'une mauvaise ventilation pulmonaire, comme cela peut se produire dans certaines maladies pulmonaires graves telles que l'emphysème ou la fibrose kystique.

Les symptômes de l'acidose peuvent inclure des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une respiration rapide et superficielle, une fatigue extrême, une confusion mentale et, dans les cas graves, un coma. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'acidose et peut inclure des changements alimentaires, des médicaments pour réguler le pH sanguin, une ventilation mécanique ou une dialyse rénale.

En médecine, le terme "volume courant" fait référence à la quantité de liquide, généralement d'air ou de sang, qui circule dans et hors d'un organe ou d'une cavité du corps pendant une période déterminée. Il s'agit essentiellement du débit du fluide au cours d'un cycle respiratoire ou cardiaque.

Dans le contexte de la fonction pulmonaire, le volume courant est le volume d'air inhalé et exhalé pendant la respiration normale, à savoir l'inspiration et l'expiration régulières sans effort supplémentaire. Il ne comprend pas les volumes additionnels inspirés ou expirés lors de manœuvres forcées telles que la toux ou les efforts de respiration profonde. Le volume courant est d'environ 500 millilitres (ml) chez l'adulte en moyenne.

Dans le contexte cardiovasculaire, le volume courant se réfère au volume d'oxygène ou de sang pompé par le cœur dans un cycle complet (systole et diastole). Il est utilisé pour évaluer la performance cardiaque et peut être calculé en divisant le débit cardiaque (la quantité totale de sang pompée par le cœur en une minute) par le nombre de battements cardiaques par minute.

L'équilibre acide-base est une condition dans laquelle les concentrations d'ions hydrogène (H+) et de bicarbonate (HCO3-) dans le sang et les liquides corporels sont maintenues dans une plage étroite pour assurer un pH sanguin normal, généralement entre 7,35 et 7,45. Cet équilibre est essentiel pour le fonctionnement normal des organes et des systèmes corporels.

L'équilibre acide-base est régulé par un certain nombre de mécanismes physiologiques, y compris les poumons et les reins. Les poumons aident à éliminer l'excès de dioxyde de carbone (CO2), qui peut réagir avec l'eau pour former de l'acide carbonique (H2CO3) et des ions hydrogène supplémentaires. Les reins régulent la concentration de bicarbonate dans le sang en réabsorbant ou en sécrétant du bicarbonate dans l'urine.

Les déséquilibres acide-base peuvent entraîner des conditions telles que l'acidose (pH sanguin trop faible) ou l'alcalose (pH sanguin trop élevé), qui peuvent avoir des effets néfastes sur les organes et les systèmes corporels. Par exemple, une acidose métabolique prolongée peut entraîner une insuffisance rénale, une faiblesse musculaire et des arythmies cardiaques.

Le glomus carotidien est une structure neurovasculaire complexe qui se trouve dans la bifurcation de la artère carotide interne en sa partie cervicale. Il est composé d'un amas de cellules neurales et vasculaires spécialisées, appelées cellules glomérulaires ou cellules à chromaffine, entourées d'une capsule fibreuse. Le glomus carotidien joue un rôle important dans la régulation de la pression artérielle et du débit sanguin cérébral en répondant aux changements de la pression artérielle et de l'oxygénation du sang.

Cette structure est également associée à une forme rare de tumeur, appelée paragangliome du glomus carotidien, qui peut entraîner des symptômes tels que des vertiges, des bourdonnements d'oreille, des maux de tête et des douleurs faciales. Ces tumeurs sont généralement bénignes mais peuvent devenir malignes dans certains cas. Le diagnostic et le traitement de ces tumeurs nécessitent une prise en charge spécialisée par un médecin expérimenté dans la prise en charge des maladies vasculaires et néoplasiques rares.

L'hyperoxie est un terme médical qui décrit une condition où il y a un excès d'oxygène dans les tissus corporels ou dans l'espace de fluide entourant le corps. Cela se produit généralement lorsqu'une personne reçoit plus d'oxygène que ses poumons ne peuvent en gérer efficacement, ce qui entraîne une concentration élevée d'oxygène dans le sang et les tissus.

Bien que l'oxygénothérapie soit un traitement important pour de nombreuses conditions médicales, un apport excessif en oxygène peut être nocif. L'hyperoxie peut provoquer la production de radicaux libres, des molécules instables qui peuvent endommager les cellules et les tissus. Cela peut entraîner une inflammation, un stress oxydatif et dans certains cas, des lésions pulmonaires.

Les symptômes de l'hyperoxie peuvent inclure une respiration rapide ou superficielle, une toux sèche, une douleur thoracique, une confusion, une vision floue et dans les cas graves, des convulsions ou un coma. Les nourrissons prématurés sont particulièrement sensibles à l'hyperoxie, car leurs poumons et leur cerveau sont encore en développement.

Le traitement de l'hyperoxie implique généralement de réduire la concentration d'oxygène que la personne reçoit. Cela peut être fait en ajustant les paramètres du système de fourniture d'oxygène ou en utilisant un appareil qui régule automatiquement le débit d'oxygène. Dans certains cas, une ventilation mécanique peut être nécessaire pour aider la personne à respirer correctement.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une petite confusion dans votre question. Le terme "Pie-Mère" ne fait pas partie de la terminologie médicale standard. Il est possible que vous fassiez référence à "PIE", qui est l'acronyme de "Perfusion Intra-Artérielle", une technique utilisée en médecine pour administrer des médicaments directement dans une artère. Cependant, sans plus de contexte, il m'est difficile de vous fournir une définition précise. Si vous pouviez vérifier l'orthographe ou me donner plus d'informations, je serais heureux de vous aider davantage.

L'hyperventilation est un état dans lequel une personne respire plus rapidement et profondément que la normale, entraînant une augmentation du rythme respiratoire et une diminution des niveaux de dioxyde de carbone dans le sang. Cela peut se produire en réponse à des facteurs tels que l'anxiété, l'exercice intense, les maladies pulmonaires ou cardiaques, l'intoxication aux drogues ou à d'autres substances, ou certaines conditions médicales.

Les symptômes de l'hyperventilation peuvent inclure des étourdissements, des palpitations, une douleur thoracique, des sueurs, des picotements ou des engourdissements dans les mains et les pieds, des spasmes musculaires, une sensation d'essoufflement ou de suffocation, et dans certains cas, une perte de conscience.

Dans la plupart des cas, l'hyperventilation peut être traitée en ralentissant la respiration et en augmentant l'apport en dioxyde de carbone dans le sang. Cela peut être réalisé en respirant dans un sac en papier ou en plastique pour réinhaler le dioxyde de carbone expiré, ou en utilisant des techniques de relaxation et de respiration profonde pour ralentir la respiration. Dans les cas graves ou chroniques d'hyperventilation, une intervention médicale peut être nécessaire pour traiter la cause sous-jacente du problème.

L'asphyxie est un terme médical qui décrit une situation où une personne a des difficultés à respirer ou ne peut pas respirer du tout, entraînant une privation d'oxygène dans le corps. Cela peut être causé par divers facteurs, tels que l'obstruction des voies respiratoires, la strangulation, la noyade, l'exposition à des substances toxiques ou l'insuffisance respiratoire due à une maladie sous-jacente.

Lorsque les poumons ne peuvent pas obtenir suffisamment d'oxygène pour répondre aux besoins du corps, il en résulte une accumulation de dioxyde de carbone dans le sang, ce qui peut entraîner une acidose et endommager les organes vitaux.

Les symptômes d'asphyxie peuvent inclure des essoufflements, des respirations rapides ou superficielles, une cyanose (coloration bleue de la peau, des lèvres et des ongles), une confusion, une perte de conscience et finalement un arrêt cardiaque si la privation d'oxygène persiste.

Le traitement de l'asphyxie dépend de sa cause sous-jacente. Il peut inclure la ventilation artificielle pour fournir de l'oxygène, le retrait des substances toxiques ou l'ouverture des voies respiratoires obstruées. Dans les cas graves, une hospitalisation et une surveillance médicale étroite peuvent être nécessaires pour prévenir les complications et assurer une récupération complète.

Le pH est une mesure de l'acidité ou de la basicité d'une solution. Il s'agit d'un échelle logarithmique qui va de 0 à 14. Un pH de 7 est neutre, moins de 7 est acide et plus de 7 est basique. Chaque unité de pH représente une différence de concentration d'ions hydrogène (H+) d'un facteur de 10. Par exemple, une solution avec un pH de 4 est 10 fois plus acide qu'une solution avec un pH de 5.

Dans le contexte médical, le pH est souvent mesuré dans les fluides corporels tels que le sang, l'urine et l'estomac pour évaluer l'équilibre acido-basique du corps. Un déséquilibre peut indiquer un certain nombre de problèmes de santé, tels qu'une insuffisance rénale ou une acidose métabolique.

Le pH normal du sang est d'environ 7,35 à 7,45. Un pH inférieur à 7,35 est appelé acidose et un pH supérieur à 7,45 est appelé alcalose. Les deux peuvent être graves et même mortelles si elles ne sont pas traitées.

En résumé, le pH est une mesure de l'acidité ou de la basicité d'une solution, qui est importante dans le contexte médical pour évaluer l'équilibre acido-basique du corps et détecter les problèmes de santé sous-jacents.

L'hypoventilation est un terme médical qui décrit une situation où la ventilation alvéolaire, c'est-à-dire le volume d'air frais inspiré et expiré par les poumons, est insuffisante. Cela entraîne une augmentation des niveaux de dioxyde de carbone (CO2) dans le sang et une diminution des niveaux d'oxygène (O2).

Normalement, les poumons inhalent de l'air riche en oxygène et exhalent du CO2. Lorsque la ventilation est insuffisante, comme dans l'hypoventilation, moins d'air frais pénètre dans les poumons, ce qui entraîne une augmentation des niveaux de CO2 dans le sang. Cela peut provoquer une acidose respiratoire, une condition où le pH sanguin devient trop acide en raison de l'augmentation du CO2.

L'hypoventilation peut être causée par divers facteurs, notamment des maladies pulmonaires obstructives telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), une faiblesse musculaire qui affecte les muscles respiratoires, des lésions de la moelle épinière ou d'autres affections neurologiques qui affectent le contrôle de la respiration.

Les symptômes de l'hypoventilation peuvent inclure une respiration superficielle et rapide, une fatigue, une somnolence diurne excessive, des maux de tête matinaux, une confusion, une désorientation et dans les cas graves, une perte de conscience ou un coma. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure l'administration d'oxygène, la ventilation mécanique et le traitement des maladies sous-jacentes.

La pléthysmographie corps entier est une méthode non invasive utilisée pour mesurer les volumes et les flux d'air dans les poumons. Elle fonctionne en mesurant les changements de pression à l'intérieur d'une cabine hermétiquement close dans laquelle le patient est assis. Lorsque le patient inspire ou expire, les parois de la cabine détectent ces changements de pression et calculent ainsi le volume d'air qui a été inspiré ou expiré.

Cette méthode permet de diagnostiquer et de suivre l'évolution de diverses affections pulmonaires, telles que l'emphysème, la bronchite chronique et d'autres maladies obstructives des voies respiratoires. Elle peut également être utilisée pour évaluer l'efficacité des traitements, tels que la thérapie par bronchodilatateurs, en mesurant les changements de volume pulmonaire avant et après l'administration du médicament.

Il est important de noter que cette procédure nécessite généralement une formation spécialisée pour être effectuée correctement et doit être interprétée par un professionnel de la santé qualifié.

Le nerf phrénique est un nerf crânien (le 4ème paire) qui émerge directement du bulbe rachidien dans le tronc cérébral. Il innerve principalement le muscle diaphragme, qui sépare la cavité thoracique de l'abdomen et joue un rôle crucial dans la respiration.

Le nerf phrénique a deux racines : une racine crânienne et une racine cervicale (C3-C5). La majorité des fibres proviennent de la racine cervicale. Après avoir émergé du bulbe rachidien, le nerf phrénique traverse le cou, passant entre les scalènes antérieur et moyen, avant de descendre dans la cavité thoracique via l'ouverture supérieure du thorax (ouverture prétrachéale).

Dans la cavité thoracique, il se divise en deux branches : la branche phrénique droite et la branche phrénique gauche. Chaque branche innerve un hémisphère du diaphragme correspondant. Le nerf phrénique est responsable de l'innervation motrice du diaphragme, ce qui signifie qu'il permet au muscle de se contracter et de se relâcher pour assurer la respiration. Il transmet également des informations sensorielles provenant du diaphragme vers le cerveau.

Le diaphragme est un muscle squelettique en forme de dôme qui sépare la cavité thoracique de la cavité abdominale. Il joue un rôle crucial dans la respiration, car il se contracte et s'allonge pour modifier le volume de la cavité thoracique et thus faciliter l'inhalation et l'expiration.

Au cours d'une inspiration normale, lorsque le diaphragme se contracte, il s'aplatit et descend, augmentant ainsi le volume de la cavité thoracique. Cela entraîne une diminution de la pression dans la cavité thoracique, ce qui permet à l'air de pénétrer dans les poumons. Pendant l'expiration au repos, le diaphragme se relâche et revient à sa forme dômée, réduisant ainsi le volume de la cavité thoracique et augmentant la pression, ce qui entraîne l'expulsion de l'air des poumons.

Le diaphragme est innervé par le nerf phrénique, dont les racines motrices proviennent des segments cervicaux C3-C5 de la moelle épinière. Des problèmes avec le diaphragme ou l'innervation du diaphragme peuvent entraîner une variété de problèmes respiratoires, tels que la dyspnée (essoufflement) et la douleur thoracique.

Les phénomènes physiologiques respiratoires se réfèrent aux processus et réactions normaux qui se produisent dans le système respiratoire pour permettre la ventilation, l'oxygénation des tissus et l'élimination du dioxyde de carbone. Cela comprend:

1. Ventilation: Il s'agit du mouvement de l'air entre l'environnement extérieur et les poumons, permettant l'apport d'oxygène et l'élimination du dioxyde de carbone. Ce processus est accompli par la contraction et le relâchement des muscles respiratoires, y compris le diaphragme et les intercostaux.

2. Échanges gazeux: C'est le processus d'absorption de l'oxygène dans le sang et du rejet du dioxyde de carbone par les poumons. L'oxygène se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges et est transporté vers les tissus corporels, tandis que le dioxyde de carbone est libéré des tissus dans le sang et est éliminé par les poumons.

3. Régulation de l'acidose respiratoire: Le système respiratoire joue un rôle crucial dans la régulation du pH sanguin en ajustant les niveaux de dioxyde de carbone. En cas d'augmentation des niveaux de dioxyde de carbone, les centres respiratoires du cerveau sont stimulés pour augmenter la ventilation, réduisant ainsi les niveaux de dioxyde de carbone et rétablissant l'équilibre acido-basique.

4. Mécanique respiratoire: Il s'agit des forces physiques impliquées dans le processus de ventilation, y compris la résistance des voies respiratoires, la compliance pulmonaire et la force musculaire. La mécanique respiratoire est essentielle pour assurer un mouvement efficace de l'air vers et depuis les poumons.

5. Contrôle nerveux de la respiration: Le système nerveux autonome régule la fréquence et la profondeur de la respiration via des centres respiratoires situés dans le tronc cérébral. Ces centres reçoivent des entrées sensorimotrices et chimiques qui influencent l'activité respiratoire, garantissant ainsi une ventilation adéquate en réponse aux changements de l'environnement interne et externe.

La ventilation artificielle est une intervention médicale qui consiste à assister ou à remplacer la fonction respiratoire d'une personne en utilisant des équipements mécaniques. Elle est souvent utilisée lorsqu'une personne ne peut maintenir seule une respiration adéquate, comme dans le cas d'une insuffisance respiratoire aiguë ou d'une défaillance cardiaque.

Il existe deux types de ventilation artificielle : la ventilation invasive et la ventilation non invasive. La ventilation invasive implique l'utilisation d'un tube endotrachéal inséré dans la trachée pour fournir de l'air ou du dioxyde de carbone à et à partir des poumons. La ventilation non invasive, en revanche, utilise une interface masque faciale ou nasale pour délivrer l'air sous pression sans introduire de tube dans la trachée.

L'objectif principal de la ventilation artificielle est de maintenir des niveaux adéquats d'oxygénation et de dioxyde de carbone élimination, tout en permettant au patient de se reposer et de guérir des conditions sous-jacentes qui ont conduit à l'échec respiratoire.

Les artères cérébrales sont les vaisseaux sanguins qui fournissent de l'oxygène et des nutriments au cerveau. Il existe deux principaux systèmes d'artères cérébrales : les artères carotides internes et les artères vertébrales.

Les artères carotides internes se divisent en plusieurs branches, y compris l'artère cérébrale antérieure, l'artère cérébrale moyenne et l'artère communicante postérieure. Ces artères fournissent du sang aux hémisphères cérébraux antérieur, moyen et postérieur respectivement.

Les artères vertébrales s'unissent pour former l'artère basilaire, qui se divise ensuite en deux artères cérébrales postérieures. Ces artères fournissent du sang aux lobes occipitaux et temporaux du cerveau, ainsi qu'au tronc cérébral.

Les artères cérébrales peuvent être affectées par des maladies telles que l'athérosclérose, qui peut entraîner une réduction du flux sanguin et des accidents vasculaires cérébraux. Des anomalies congénitales telles que les anévrismes et les malformations artérioveineuses peuvent également affecter les artères cérébrales.

Les muscles respiratoires sont ceux qui jouent un rôle actif dans le processus de la respiration, permettant l'inspiration et l'expiration. Les principaux muscles inspiratoires comprennent les diaphragme, les scalènes, les sternocléidomastoïdiens et les muscles intercostaux externes. Pendant l'inspiration, ces muscles se contractent pour augmenter le volume de la cavité thoracique, ce qui entraîne une diminution de la pression intrathoracique et permet à l'air de pénétrer dans les poumons.

Les muscles expiratoires comprennent principalement les muscles intercostaux internes, le muscle abdominal transverse, les obliques externes et internes de l'abdomen. Pendant l'expiration, ces muscles se relâchent ou se contractent légèrement pour diminuer le volume de la cavité thoracique, ce qui entraîne une augmentation de la pression intrathoracique et permet à l'air de sortir des poumons.

Dans les situations où une ventilation plus forte est nécessaire, comme lors d'activités physiques intenses ou en cas de maladies pulmonaires obstructives, d'autres muscles peuvent être recrutés pour aider à la respiration, tels que les muscles du cou (le sternohyoïde, le sternothyroïde, l'omohyoïde et le thyrohyoïde) et les muscles du dos (le grand dentelé postérieur, le grand dorsal et le petit dentelé).

Il est important de noter que la fonction des muscles respiratoires peut être altérée par diverses affections, telles que les maladies neuromusculaires, les lésions de la moelle épinière, les affections pulmonaires et les troubles de la posture, ce qui peut entraîner une diminution de la capacité respiratoire et des difficultés à respirer.

L'insuffisance respiratoire est un terme médical qui décrit une condition où les poumons ne sont pas capables d'assurer un échange gazeux adéquat, entraînant ainsi une mauvaise oxygénation du sang et/ou une accumulation de dioxyde de carbone dans le corps. Cela peut être causé par diverses maladies ou affections qui affectent la fonction pulmonaire, telles que l'emphysème, la bronchite chronique, la fibrose kystique, la pneumonie, l'asthme sévère, la sclérose systémique, les malformations congénitales des poumons ou de la cage thoracique, ou encore par une paralysie des muscles respiratoires.

Les symptômes courants de l'insuffisance respiratoire comprennent : essoufflement au repos ou à l'effort, fatigue, confusion, toux fréquente, respiration rapide et superficielle, respiration sifflante, cyanose (coloration bleue des lèvres et de la peau due à un manque d'oxygène), et dans les cas graves, coma.

Le traitement de l'insuffisance respiratoire dépend de sa cause sous-jacente. Il peut inclure des médicaments, de l'oxygénothérapie, une ventilation mécanique, une réadaptation pulmonaire, ou même une transplantation pulmonaire dans les cas les plus sévères.

Les muscles intercostaux sont un groupe de muscles situés entre les côtes (les os qui forment la cage thoracique) et jouent un rôle important dans la respiration. Ils se composent de trois couches : les muscles intercostaux externes, internes et intimes.

Les muscles intercostaux externes sont les plus superficiels et s'étendent de la tubercule postérieure de chaque côte à l'angulus costae de la côte située en dessous. Leur fonction principale est d'aider dans l'inspiration, car lorsqu'ils se contractent, ils élèvent les côtes et augmentent ainsi le volume de la cage thoracique, permettant à l'air de remplir les poumons.

Les muscles intercostaux internes sont plus profonds que les externes. Ils s'étendent de la face interne de la côte supérieure à la face interne de la côte inférieure. Lorsqu'ils se contractent, ils abaissent les côtes et diminuent le volume de la cage thoracique, aidant ainsi à expirer.

Les muscles intercostaux intimes sont les plus profonds et se trouvent juste à l'intérieur de la cavité thoracique. Ils sont plus minces que les autres couches et ont des fibres qui vont dans différentes directions. Leur fonction n'est pas clairement comprise, mais on pense qu'ils contribuent aux mouvements fins des côtes et peuvent également aider à stabiliser la cage thoracique.

En résumé, les muscles intercostaux sont un groupe de muscles situés entre les côtes qui jouent un rôle crucial dans la respiration en aidant à l'inspiration et à l'expiration.

L'acétazolamide est un médicament sulfonamide qui est souvent utilisé pour traiter le glaucome, l'épilepsie et les troubles respiratoires de haute altitude. Il agit en réduisant la production d'humour acqueux dans l'œil, ce qui abaisse la pression intraoculaire. Dans le traitement de l'épilepsie, il agit en augmentant le seuil épileptogène et en réduisant l'excitabilité neuronale. En outre, il est également utilisé pour prévenir et traiter les symptômes du mal aigu des montagnes en réduisant la production de liquide dans les poumons et en améliorant l'apport d'oxygène aux tissus.

Les effets secondaires courants de l'acétazolamide comprennent des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, une sensation de picotement ou d'engourdissement dans les mains et les pieds, une augmentation de la miction et une modification du goût. Dans de rares cas, il peut provoquer des réactions allergiques graves, telles que des éruptions cutanées, des démangeaisons, de l'urticaire, un gonflement du visage, des lèvres, de la langue ou de la gorge, des difficultés respiratoires et une dépression de la moelle osseuse.

Il est important de noter que l'acétazolamide peut interagir avec d'autres médicaments, il est donc essentiel d'informer votre médecin de tous les médicaments que vous prenez avant de commencer à prendre ce médicament. Les personnes présentant une insuffisance rénale ou hépatique, une hypertension artérielle non contrôlée, une acidose métabolique ou une allergie aux sulfonamides doivent éviter de prendre de l'acétazolamide.

Le myélencéphale est la région la plus caudale (postérieure) du tronc cérébral dans le système nerveux central. Il contient des parties importantes du bulbe rachidien et du pont, y compris les noyaux des nerfs crâniens III, IV, V, VI, VIIII, X, and XI. Le myélencéphale joue un rôle crucial dans la régulation de fonctions vitales telles que la respiration, la déglutition, et le maintien de la posture et du mouvement. Il contient également des neurones qui contrôlent les réflexes spinales et contribue à la coordination des mouvements oculaires et de la tête.

Un centre respiratoire est une installation médicale spécialisée dans le diagnostic, le traitement et la gestion des maladies pulmonaires et des affections liées à la respiration. Il s'agit souvent d'une unité au sein d'un hôpital ou d'un établissement de soins de santé où une équipe multidisciplinaire de professionnels de la santé, y compris des pneumologues, des infirmières pulmonaires, des techniciens en médecine respiratoire et d'autres spécialistes, travaillent ensemble pour fournir des soins complets aux patients atteints de maladies respiratoires.

Les centres respiratoires offrent une gamme complète de services de diagnostic et de traitement, y compris des tests pulmonaires fonctionnels, des radiographies pulmonaires, des tomodensitométries (TDM) thoraciques, des bronchoscopies et d'autres procédures diagnostiques. Ils proposent également des traitements tels que l'oxygénothérapie, la ventilation mécanique, les médicaments contre l'asthme et la MPOC, ainsi que des programmes de réadaptation pulmonaire pour aider les patients à gérer leur maladie et à améliorer leur qualité de vie.

Les centres respiratoires peuvent également être impliqués dans la recherche clinique et la formation médicale, offrant des opportunités d'apprentissage et de développement professionnel pour les médecins en formation et les autres professionnels de la santé. Dans l'ensemble, un centre respiratoire est une ressource importante pour les patients atteints de maladies pulmonaires et des voies respiratoires, offrant des soins spécialisés, un diagnostic précis et des traitements efficaces pour améliorer la santé et le bien-être des patients.

La pression sanguine, également appelée tension artérielle, est la force exercée par le sang sur les parois des artères lorsqu'il est pompé par le cœur. Elle est mesurée en millimètres de mercure (mmHg) et s'exprime généralement sous la forme de deux chiffres : la pression systolique (le chiffre supérieur) et la pression diastolique (le chiffre inférieur).

La pression systolique représente la pression dans les artères lorsque le cœur se contracte et pompe le sang dans le corps. La pression diastolique, quant à elle, correspond à la pression dans les artères entre deux contractions cardiaques, lorsque le cœur est en phase de relaxation et se remplit de sang.

Une pression sanguine normale se situe généralement autour de 120/80 mmHg. Des valeurs supérieures à 130/80 mmHg peuvent être considérées comme étant en pré-hypertension, tandis que des valeurs supérieures à 140/90 mmHg sont généralement associées à une hypertension artérielle. Une pression sanguine élevée peut entraîner divers problèmes de santé, tels que des maladies cardiovasculaires, des accidents vasculaires cérébraux et des lésions rénales.

En médecine, l'insufflation est une procédure dans laquelle un gaz ou un liquide est soufflé ou injecté dans une cavité corporelle ou dans un organe. Cela peut être utilisé à des fins diagnostiques ou thérapeutiques. Par exemple, l'insufflation de dioxyde de carbone peut être utilisée pendant une laparoscopie pour gonfler l'abdomen et créer de l'espace pour que le chirurgien puisse travailler. De même, l'insufflation d'un médicament ou d'un anesthésique peut être utilisée pour traiter certaines conditions ou pendant des procédures médicales. Il est important de noter que l'insufflation doit être effectuée avec soin pour éviter les complications telles que la surdistension ou la perforation des tissus.

Les hydrogénocarbonates, également connus sous le nom de bicarbonates, sont des sels ou esters de l'acide hydrogénocarbonique (H2CO3). Dans le contexte médical et physiologique, ils sont surtout connus en tant que composants importants de l'équilibre acido-basique du corps.

Dans le sang et les liquides corporels, les hydrogénocarbonates existent principalement sous forme d'ions bicarbonate (HCO3-). Ils jouent un rôle crucial dans le maintien du pH sanguin en neutralisant les excès d'acidité ou d'alcalinité. Le système buffering, qui comprend les hydrogénocarbonates, aide à maintenir le pH sanguin dans une plage étroite comprise entre 7,35 et 7,45.

Les hydrogénocarbonates sont également présents dans les fluides gastriques et interviennent dans la régulation du pH de l'estomac. Le corps humain produit des hydrogénocarbonates principalement dans le pancréas, qui sont ensuite libérés dans l'intestin grêle pour aider à neutraliser l'acidité provenant de l'estomac et faciliter la digestion et l'absorption des nutriments.

Doxapram est un stimulant respiratoire utilisé pour traiter l'apnée centrale et la dépression respiratoire. Il agit en excitant le centre respiratoire dans le bulbe rachidien, augmentant ainsi la fréquence et la profondeur de la respiration. Doxapram est disponible sous forme de solution injectable et est généralement administré par voie intraveineuse. Les effets secondaires courants comprennent des nausées, des vomissements, des étourdissements, des maux de tête et une augmentation du rythme cardiaque. Il doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints d'hypertension artérielle ou de troubles cardiovasculaires.

Le tronc cérébral est une structure cruciale du système nerveux central qui connecte la majeure partie du cerveau avec la moelle épinière. Il joue un rôle essentiel dans la régulation des fonctions vitales automatiques telles que la respiration, la fréquence cardiaque et la pression artérielle.

Le tronc cérébral est composé de trois segments principaux : le mésencéphale (ou le milieu du tronc cérébral), le pont (ou pont de Varole) et la moelle allongée (ou bulbe rachidien). Chacun de ces segments contient divers noyaux et fascicules qui sont responsables de différentes fonctions, y compris la sensation, le mouvement, l'équilibre, les réflexes et la conscience.

Le tronc cérébral est également important pour les voies sensorielles et motrices qui traversent le cerveau. Par exemple, il contient les noyaux des nerfs crâniens III à XII, qui sont responsables de la vision, de l'ouïe, de l'équilibre, du mouvement des yeux, du goût, de la déglutition et d'autres fonctions importantes.

Des dommages au tronc cérébral peuvent entraîner de graves conséquences sur la santé, y compris des problèmes respiratoires, des troubles cardiovasculaires, une perte de conscience et même le décès.

La "pulmonary gas exchange" (échange gazeux pulmonaire) est un processus physiologique qui se produit dans les poumons et qui consiste en l'élimination du dioxyde de carbone (CO2) des poumons et l'absorption de l'oxygène (O2) par le sang.

Ce processus se déroule au niveau des alvéoles pulmonaires, où l'air riche en oxygène inspiré entre en contact étroit avec le sang circulant dans les capillaires sanguins. L'oxygène diffuse passivement à travers la membrane alvéolo-capillaire pour se lier à l'hémoglobine dans les globules rouges, ce qui permet au sang de transporter l'oxygène vers les tissus corporels.

Dans le même temps, le dioxyde de carbone produit par les cellules corporelles est transporté vers les poumons via le sang veineux. Le CO2 diffuse passivement à travers la membrane alvéolo-capillaire pour être expiré hors des poumons lors de l'expiration.

L'efficacité de l'échange gazeux pulmonaire peut être affectée par divers facteurs, tels que les maladies pulmonaires, les changements de pression partielle d'oxygène et de dioxyde de carbone dans le sang, et les modifications du débit sanguin pulmonaire.

Le terme "nouveau-nés" s'applique généralement aux humains récemment nés, cependant, dans un contexte vétérinaire ou zoologique, il peut également être utilisé pour décrire des animaux qui sont nés très récemment. Les nouveau-nés animaux peuvent aussi être appelés "petits" ou "portées".

Les soins et l'attention nécessaires pour les nouveaux-nés animaux peuvent varier considérablement selon l'espèce. Certains animaux, comme les chevaux et les vaches, sont capables de se lever et de marcher quelques heures après la naissance, tandis que d'autres, tels que les kangourous et les wallabies, sont beaucoup plus vulnérables à la naissance et doivent être portés dans la poche marsupiale de leur mère pour se développer.

Les nouveau-nés animaux ont besoin d'un environnement chaud, sûr et propre pour survivre et se développer correctement. Ils ont également besoin de nutriments adéquats, qu'ils obtiennent généralement du lait maternel de leur mère. Dans certains cas, les nouveau-nés peuvent avoir besoin d'une intervention médicale ou vétérinaire si leur santé est menacée ou si leur mère ne peut pas subvenir à leurs besoins.

Il est important de noter que la manipulation et l'interaction avec les nouveau-nés animaux doivent être limitées, sauf en cas de nécessité, pour éviter tout risque de stress ou de maladie pour l'animal.

La consommation d'oxygène, également connue sous le nom de consommation d'oxygène par minute (MO2), fait référence à la quantité d'oxygène qu'un organisme ou un tissu particulier utilise par minute. Il s'agit d'une mesure importante en médecine et en physiologie, car elle reflète le métabolisme cellulaire et l'activité fonctionnelle des organes.

La consommation d'oxygène est généralement mesurée en unités de millilitres par minute (ml/min) et peut être calculée en mesurant la différence entre la quantité d'oxygène inspiré et expiré par un individu pendant une certaine période. Cette valeur est souvent utilisée dans le contexte des soins intensifs pour surveiller l'état de patients gravement malades, tels que ceux qui sont sous ventilation mécanique ou qui souffrent d'une insuffisance cardiaque ou pulmonaire.

En général, une consommation d'oxygène plus élevée indique un métabolisme accru et peut être observée pendant l'exercice, le stress thermique ou mental, les infections et d'autres états pathologiques. En revanche, une consommation d'oxygène faible peut indiquer une maladie sous-jacente, telle qu'une insuffisance cardiaque congestive, une pneumonie ou un sepsis. Par conséquent, la mesure de la consommation d'oxygène est un outil important pour évaluer l'état clinique des patients et surveiller leur réponse au traitement.

Le rythme cardiaque est la fréquence à laquelle le cœur d'un individu bat, généralement mesurée en battements par minute (bpm). Un rythme cardiaque normal au repos pour un adulte se situe généralement entre 60 et 100 bpm. Cependant, certains facteurs peuvent influencer ce taux, comme l'âge, la condition physique, les émotions, les maladies sous-jacentes et la prise de médicaments.

Le rythme cardiaque est contrôlé par un système électrique dans le cœur qui régule les contractions musculaires pour pomper le sang efficacement. Les médecins peuvent évaluer le rythme cardiaque en prenant le pouls, qui peut être ressenti à divers endroits du corps, tels que le poignet, le cou ou la cheville. Des variations du rythme cardiaque, telles qu'une fréquence cardiaque au repos inférieure à 60 bpm (bradycardie) ou supérieure à 100 bpm (tachycardie), peuvent indiquer des problèmes de santé sous-jacents et doivent être évalués par un professionnel de la santé.

Les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique sont une classe de médicaments qui bloquent l'action d'une enzyme appelée anhydrase carbonique. Cette enzyme est responsable de la catalyse de la réaction qui convertit l'acide carbonique en dioxyde de carbone et en eau dans le corps.

En inhibant cette enzyme, les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique peuvent réduire la production d'acide dans l'estomac, ce qui les rend utiles dans le traitement des ulcères gastriques et du reflux gastro-œsophagien. Ils sont également utilisés pour traiter la glaucome, une condition oculaire caractérisée par une pression accrue dans l'œil, en réduisant la production de fluide dans l'œil.

Les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique sont disponibles sous différentes formes, notamment des comprimés, des gélules et des solutions. Les exemples courants de cette classe de médicaments comprennent l'acétazolamide, la dichlorphénamide, le méthazolamide et le topiramate.

Comme avec tout médicament, les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique peuvent avoir des effets secondaires, notamment des picotements ou un engourdissement dans les mains et les pieds, une augmentation de la miction, une perte d'appétit, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des troubles du goût et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, ils peuvent également entraîner des problèmes rénaux ou auditifs. Il est important de suivre les instructions de dosage de votre médecin lorsque vous prenez des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique pour minimiser le risque d'effets secondaires.

Le débit sanguin est la quantité de sang pompée par le cœur dans le système circulatoire par unité de temps. Il est généralement mesuré en litres par minute. Le débit cardiaque dépend du volume d'éjection systolique (la quantité de sang expulsée à chaque battement cardiaque) et de la fréquence cardiaque (le nombre de battements cardiaques par minute). Un débit sanguin adéquat est crucial pour fournir aux organes et aux tissus un apport suffisant en oxygène et en nutriments, et pour éliminer les déchets métaboliques. Des facteurs tels que l'âge, l'activité physique, les maladies cardiovasculaires et la prise de certains médicaments peuvent affecter le débit sanguin.

Le cyanure de sodium est un sel inorganique avec la formule NaCN. Il est hautement toxique et se présente sous la forme d'une poudre blanche cristalline ou d'un solide cristallin transparent. Il est soluble dans l'eau et dégage une odeur amère d'amandes. Il est utilisé dans divers procédés industriels, tels que la production de résines synthétiques, de papier et de textiles, ainsi que dans la galvanoplastie et la photographie. Dans le domaine médical, il peut être utilisé comme antidote dans le traitement de certaines intoxications au monoxyde de carbone. Cependant, sa toxicité signifie qu'il doit être manipulé avec une extrême prudence.

Le syndrome d'obésité hypoventilation (SOH), également connu sous le nom de syndrome de Pickwick, est un trouble respiratoire caractérisé par une obésité sévère et une ventilation altérée pendant le sommeil et souvent aussi pendant la veille. Les symptômes comprennent une hypoventilation alvéolaire, qui entraîne une hypoxémie (faible teneur en oxygène du sang) et une hypercapnie (taux élevé de dioxyde de carbone dans le sang). Le SOH peut également être associé à des apnées obstructives du sommeil (AOS), bien que certains patients présentent uniquement une hypoventilation.

Les critères diagnostiques pour le syndrome d'obésité hypoventilation comprennent généralement un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 30 kg/m2, des niveaux de dioxyde de carbone dans le sang (PaCO2) supérieurs à 45 mmHg au repos en position assise ou debout, et l'exclusion d'autres causes de ventilation altérée telles que la neuromusculaire ou les maladies thoraciques.

Le SOH peut entraîner une variété de complications, y compris des maladies cardiovasculaires, des troubles du sommeil et une diminution de la qualité de vie. Le traitement peut inclure la perte de poids, l'oxygénothérapie au cours du sommeil, la ventilation non invasive pendant le sommeil et éventuellement la ventilation mécanique invasive dans les cas graves.

Les mécanorécepteurs pulmonaires sont des récepteurs sensoriels situés dans les parois des voies respiratoires et des poumons qui détectent les changements mécaniques dans l'environnement respiratoire. Ils répondent à divers stimuli, tels que la distension, le flux d'air et la pression, et convertissent ces signaux physiques en impulsions nerveuses qui sont transmises au cerveau.

Il existe deux principaux types de mécanorécepteurs pulmonaires :

1. Les récepteurs irritants lents (RSIs) : Ils se trouvent dans les petites voies respiratoires et les alvéoles pulmonaires. Les RSIs sont sensibles à la distension et à la déformation des parois des voies respiratoires et des poumons. Lorsqu'ils sont stimulés, ils déclenchent une réponse de toux et un raccourcissement de l'inspiration pour protéger les poumons contre les dommages.

2. Les récepteurs de la pression pulmonaire (RPP) : Ils se trouvent dans les artères pulmonaires et les bronches. Les RPP sont sensibles à la pression et au débit sanguin dans les vaisseaux pulmonaires. Lorsqu'ils sont stimulés, ils déclenchent une réponse de bradycardie (ralentissement du rythme cardiaque) pour réguler la circulation sanguine dans les poumons.

Les mécanorécepteurs pulmonaires jouent un rôle important dans la régulation de la respiration et de la circulation sanguine, en particulier pendant l'exercice et l'effort physique. Les anomalies des mécanorécepteurs pulmonaires peuvent entraîner des troubles respiratoires et cardiovasculaires, tels que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et l'hypertension artérielle pulmonaire.

L'oxymétrie est une méthode non invasive et continue de surveillance des niveaux d'oxygénation des tissus, en particulier ceux du sang. Elle est couramment utilisée dans les milieux médicaux et cliniques pour surveiller l'état d'un patient.

Le terme "oxymétrie" vient de deux mots grecs : "oxy" qui signifie "acide" ou "pur", et "meter" qui signifie "mesurer". Ainsi, l'oxymétrie signifie littéralement "la mesure de l'oxygène".

Habituellement, cette méthode est réalisée en utilisant un dispositif médical appelé oxymètre de pouls. Cet appareil se fixe généralement sur le doigt ou parfois sur le lobe de l'oreille, et il utilise la lumière pour déterminer la saturation en oxygène du sang (SpO2).

L'oxymètre de pouls émet deux types de lumière à travers le tissu corporel : la lumière rouge et la lumière infrarouge. La lumière traverse l'artère capillaire sous le site de mesure, où elle est absorbée par l'hémoglobine dans les globules rouges. L'hémoglobine oxygénée absorbe plus de lumière infrarouge que la lumière rouge, tandis que l'hémoglobine désaturée (désoxygénée) absorbe plus de lumière rouge que la lumière infrarouge.

En mesurant la quantité relative de ces deux types de lumière après leur passage à travers le tissu, l'oxymètre de pouls peut calculer la proportion relative d'hémoglobine oxygénée par rapport à l'hémoglobine désaturée. Cette information est ensuite affichée comme une valeur de pourcentage appelée saturation en oxygène pulsatile (SpO2).

Les oxymètres de pouls sont largement utilisés dans les milieux cliniques et non cliniques pour surveiller rapidement et non invasivement la saturation en oxygène des patients. Ils sont souvent utilisés pendant l'anesthésie, la chirurgie, le transport des patients et dans les unités de soins intensifs, ainsi que par les professionnels de la santé à domicile pour surveiller les personnes atteintes de maladies pulmonaires ou cardiovasculaires chroniques.

Dans un contexte médical, la «veille» fait référence à l'action ou au comportement consistant à rester éveillé et vigilant pendant une période prolongée, en particulier pendant la nuit. Cependant, dans le domaine de la santé publique, la veille est également utilisée pour décrire les activités de surveillance continue des maladies, des affections de santé ou des événements qui peuvent présenter un risque pour la santé de la population.

La veille sanitaire implique la collecte, l'analyse et l'interprétation systématiques de données sur les maladies, les décès, les facteurs de risque et d'autres indicateurs de santé pertinents pour détecter rapidement les tendances émergentes ou inhabituelles, ainsi que pour évaluer l'efficacité des interventions de santé publique.

La veille peut également impliquer la surveillance de l'environnement et des facteurs sociaux qui peuvent affecter la santé, tels que les conditions météorologiques, les catastrophes naturelles, les événements industriels ou les changements dans les modes de vie.

Dans l'ensemble, la veille est un élément clé des systèmes de surveillance et de réponse aux menaces pour la santé publique, car elle permet d'identifier rapidement les problèmes de santé émergents ou en évolution et de prendre des mesures appropriées pour prévenir ou contrôler leur propagation.

L'administration respiratoire est une méthode de délivrance de médicaments ou de substances thérapeutiques directement dans les poumons par inhalation ou par aérosol. Cette voie d'administration permet au médicament d'être rapidement absorbé dans la circulation sanguine, ce qui entraîne un début d'action plus rapide et souvent une biodisponibilité améliorée par rapport à d'autres voies d'administration.

Les médicaments administrés par voie respiratoire peuvent être délivrés sous forme de gaz, de vapeurs, d'aérosols ou de particules solides. Les dispositifs couramment utilisés pour l'administration respiratoire comprennent les inhalateurs pressurisés, les inhalateurs de poudre sèche, les nébuliseurs et les chambres d'inhalation.

Les médicaments administrés par voie respiratoire sont souvent utilisés pour traiter des affections pulmonaires telles que l'asthme, la bronchite chronique, l'emphysème et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC). Ils peuvent également être utilisés pour administrer des anesthésiques généraux pendant les procédures médicales.

La vagotomie est une procédure chirurgicale qui consiste à interrompre sélectivement ou complètement les fibres du nerf vague pour réduire la production d'acide gastrique. Le nerf vague, également connu sous le nom de nerf pneumogastrique, est un nerf crânien pair qui innerve de nombreuses structures dans le thorax et l'abdomen, y compris l'estomac.

Dans la vagotomie sélective, seules les branches du nerf vague qui innervent directement l'estomac sont coupées. Cela permet de préserver les autres fonctions du nerf vague, telles que la régulation cardiaque et respiratoire. Dans la vagotomie transthoracique, également appelée vagotomie complète, le nerf vague est sectionné des deux côtés à la fois, ce qui entraîne une réduction significative de la production d'acide gastrique.

Cette procédure était couramment utilisée dans le passé pour traiter les ulcères peptiques récurrents et leurs complications, telles que l'hémorragie ou la perforation. Cependant, avec l'avènement des médicaments anti-acides puissants et de l'éradication de Helicobacter pylori, la vagotomie est maintenant rarement pratiquée.

L'exploration fonctionnelle respiratoire (EFR) est un ensemble de tests pulmonaires qui permettent d'évaluer la capacité respiratoire et les échanges gazeux d'un individu. Elle vise à mesurer la ventilation, la compliance thoracique, la diffusion des gaz alvéolo-capillaires et les mécanismes de contrôle de la ventilation. Les tests couramment utilisés dans l'EFR comprennent la spirométrie, les manœuvres de bodyplethysmographie, les mesures de la diffusing capacity of the lung for carbon monoxide (DLCO) et les tests de réversibilité. Ces examens sont indolores et non invasifs, et ils sont largement utilisés dans le diagnostic, le suivi et la prise en charge des maladies respiratoires telles que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), la fibrose pulmonaire et d'autres affections pulmonaires.

La souche de rat Sprague-Dawley est une souche albinos commune de rattus norvegicus, qui est largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces rats sont nommés d'après les chercheurs qui ont initialement développé cette souche, H.H. Sprague et R.C. Dawley, au début des années 1900.

Les rats Sprague-Dawley sont connus pour leur taux de reproduction élevé, leur croissance rapide et leur taille relativement grande par rapport à d'autres souches de rats. Ils sont souvent utilisés dans les études toxicologiques, pharmacologiques et biomédicales en raison de leur similitude génétique avec les humains et de leur réactivité prévisible aux stimuli expérimentaux.

Cependant, il est important de noter que, comme tous les modèles animaux, les rats Sprague-Dawley ne sont pas parfaitement représentatifs des humains et ont leurs propres limitations en tant qu'organismes modèles pour la recherche biomédicale.

La vasodilatation est un terme médical qui décrit le processus de relaxation et d'élargissement des parois des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une augmentation du diamètre de leurs luminaires. Cela se produit lorsque les muscles lisses de la paroi vasculaire se détendent, permettant à plus de sang de circuler dans les vaisseaux sanguins et abaissant ainsi la résistance vasculaire systémique.

Ce phénomène peut être déclenché par divers facteurs, notamment des mécanismes physiologiques internes tels que la libération de certaines substances chimiques (comme l'oxyde nitrique, le monoxyde d'azote ou les prostacyclines) et des stimuli nerveux, ainsi que par des facteurs externes tels que l'exposition à des températures chaudes ou la prise de médicaments vasodilatateurs spécifiques.

La vasodilatation joue un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie cardiovasculaire en régulant la pression artérielle et la circulation sanguine vers les organes et les tissus périphériques. Cependant, une vasodilatation excessive ou inappropriée peut entraîner des complications médicales telles que des hypotensions artérielles marquées, des étourdissements, des syncopes ou des saignements accrus en raison d'une augmentation de la perméabilité vasculaire.

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hypercapnie [Notion SNOMED]. *hypercapnie avec anomalie mixte acido-basique [Notion SNOMED]. *hypercaroténémie [Notion SNOMED] ...
Au niveau respiratoire, on observe une augmentation du rythme avec diminution du volume courant sans hypercapnie. ...
Hypercapnie chronique pré-existante. Le CO2 est un gaz absolument vital pour votre organisme, cest lui qui permet de maintenir ... Hypercapnie chronique induit. Porter un masque peut (et va) créer un sentiment dapaisement pour beaucoup de personnes. ... Sauf que si vous souffrez déjà dune hypercapnie pré-existante, la technique de respiration intermittente et celle du docteur ... En effet, durant votre transition, votre saturation doxygène diminue et cela engendre une hypercapnie temporaire. ...
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Une hypercapnie (accumulation de dioxyde de carbone dans le sang) est parfois rencontrée; cela peut causer de la confusion et ...
Dépression respiratoire sévère avec hypoxie ou hypercapnie, asthme sévère, BPCO sévère, abdomen aigu, iléus paralytique; ...
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Elle est définie par lexistence dune hypoxie (avec ou sans hypercapnie).. * Les signes dinsuffisance respiratoire sont ... Gaz du sang capillaire, à la recherche dune acidose respiratoire avec hypercapnie. ...
de lasthme ou une respiration lente ou peu profonde (dépression respiratoire, hypercapnie); ...
  • Elle est définie par l'existence d'une hypoxie (avec ou sans hypercapnie). (medixdz.com)
  • Cependant, la validité des mesures de PETCO2 est débattue, tout particulièrement chez les patients atteints de maladie respiratoire, présentant des anomalies V/Q. L'hypoventilation alvéolaire est diagnostiquée sur l'observation d'une hypercapnie sur un résultat de gaz du sang. (medixdz.com)
  • Ses caractéristiques comprennent un coma avec hypothermie extrême (température de 24 à 32,2° C), une aréflexie, des convulsions et une insuffisance respiratoire avec hypercapnie. (amgis.pl)
  • Lorsque cette pression partielle augmente même très légèrement (hypercapnie), les chémorécepteurs le détecte et envoient des influx nerveux au centre respiratoire de façon à augmenter la fréquence et la profondeur de la ventilation (hyperventilation). (urgence-secourisme.fr)
  • Après une courte explication de texte sur le réveil des patients, il propose de laisser les patients en hypercapnie légère durant les interventions. (nfkb0.com)
  • acidose mixte par hypercapnie et hyperlactatémie . (wikipedia.org)
  • Bien sûr, cette situation finit par entrainer une hypercapnie et une acidose. (medscape.com)
  • Dans un contexte de polypnée, la constatation d'une normocapnie est déjà un signe d'alerte, annonçant un épuisement avec hypercapnie. (medixdz.com)
  • Et en plus, cela permet de réabsorber le CO2 emprisonné dans le masque, ce qui augmente la concentration en CO2 dans le corps (hypercapnie temporaire). (lorisvitry.com)
  • Une hypercapnie, qui est une augmentation de la pression du Co2 dans le sang. (blogspot.com)
  • L'augmentation du CO 2 induit, elle, une augmentation de la PCO 2 dans les tissus ( hypercapnie ). (evulpo.com)
  • Notre objectif était de confirmer, par des mesures de gaz du sang, qu'une hypercapnie est associée à l'hypoxémie d'exercice chez des enfants anciens DBP. (medixdz.com)
  • La cohorte présentait des signes manifestes de BPCO grave, dont témoignaient un VEMS1 moyen (SD) à 0,6 (0,2) L, un rapport VEMS1 sur CVF à 0,4 (0,1) et une hypercapnie persistante vers 59 (7) mm Hg. (jim.fr)

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