Un taux de ventilation pulmonaire métaboliquement plus vite que est nécessaire pour l'échange de gaz. C'est le résultat d'une augmentation de l ’ incidence de troubles respiratoires, une augmentation du volume courant, ou une association des deux. Elle entraîne un excès d ’ oxygène et le souffle de dioxyde de carbone.
Manifestation clinique composée d'une déficience du dioxyde de carbone dans du sang artériel.
Un gaz inodore et incolore qui ne peut être formé par le corps et est nécessaire pour la respiration cycle de plantes et animaux.
Un état perte due à l ’ excès de dioxyde de carbone du corps. (Dorland, 27 e)
L'acte de respirer avec les poumons, constitué de INHALATION, ou la prise dans les poumons de ce côté-ci du mur, et de soupir, ou le renvoyer de l'air modifié qui contient plus CARBON de titane que l'air recueilli (Blakiston est Gould Medical Dictionary, 4ème ed.). Sans compter la respiration (= tissu en oxygène CONSUMPTION) ou la respiration cellulaire (= cellule RESPIRATION).
D ’ asthme, après une période d'exercice. Généralement transitoires et n ’ induit attaque est régresse spontanément. L ’ ampleur des postexertional une obstruction des voies aériennes est fortement influencé par l ’ environnement dans lequel l'exercice est effectué (c 'est-à-dire inhalation d'air froid pendant un effort physique nettement accroît la sévérité de l' inverse, une obstruction des voies aériennes, chaud air humide blunts ou supprime).
Ce serait la pression exercée par un composant d ’ un mélange de gaz si c'était cadeau seul dans un container de McGraw-Hill. (Dictionnaire de termes scientifique et technique, 6e éditeur)
Une manifestation clinique de augmentation anormale du quantité de dioxyde de carbone dans du sang artériel.
Le dosage de l'oxygène et du dioxyde de carbone dans le sang.
Un élément dont symbole O, numéro atomique 8 et poids atomique [15.99903 ; 15.99977]. C'est l'élément le plus abondant sur Terre et essentiel pour la respiration.
La physique ou action mécanique du diaphragme ; ; ; poumons côtes et poitrine mur pendant la respiration, l'ouragan, volume des poumons, réflexe neuronal et contrôle, mechanoreceptors, la respiration, etc.
Un état extrême aiguë, une anxiété majeure et la peur accompagné de désorganisation de la fonction de la personnalité.
Une réduction de la quantité d'air entrant dans les alvéoles pulmonaires.
La circulation du sang dans les vaisseaux sanguins du cerveau.
Cellules spécialisées pour détecter produits chimiques et transmets ça de manière centralisée dans le système nerveux. Chemoreceptor cellules pourraient surveiller stimuli externes, comme goût et l'olfactif, ou interne stimuli, tels que les concentrations d'oxygène et CARBON de titane dans le sang.
Le volume total de gaz inspiré périmé par unité de mesure en temps, habituellement litres par minute.
Un agoniste Adrenergic beta-2 utilisé pour contrôler en travail prématuré.
L'échange d'oxygène et CARBON de titane entre air alvéolaires et sang capillaire pulmonaire qui apparaît à travers le BLOOD-AIR BARRIER.
Un genre de trouble de l'anxiété caractérisé par des attaques de panique inattendue que dernières minutes ou, rarement, des heures. Des crises de panique commencer intense appréhension, la peur ou terreur et, souvent, une part de fatalité. Symptômes produisant durant une crise d'angoisse inclure dyspnée ou sensations de suffoquer ; vertiges, perte d'équilibre ou de faiblesse palpitations ou ; étouffement sensations ; battements de cœur accélérés ; tremblements ; transpirer, nausées ou autre forme de trouble abdominal ; dépersonnalisation ou derealization ; paresthésies ; bouffées de chaleur ou des frissons, gène thoracique, douleur ou peur de mourir et la peur de ne pas être en contrôle de soi ou devenir folle. Agoraphobie peut également se développer. Similaire à celle des autres troubles anxieux, il a hérité ça de moi comme autosomique trait dominant.
L'absence de respiration spontanée.
Le volume d'air inspiré périmé pendant chaque cycle respiratoire normal, discret et... commun abréviations sont la télé ou V avec subscript T.
L'équilibre entre acides, dans le corps de fluides. Le pH HYDROGEN-ION (concentration) du sang artériel fournit un indice pour l'équilibre acido-basique totale.
Le taux auquel l'oxygène est utilisé par un mouchoir ; microlitres d'oxygène STPD utilisé par milligramme de tissus / h ; la vitesse à laquelle l'oxygène pénètre dans le sang de gaz alvéolaires, égaux dans l'état d'équilibre à la consommation d'O2 par métabolisme du tissu à l ’ organisme. (Stedman, 25e Ed, p346)
Équipements ou appareils ont placé dans ou autour de la bouche ou à l ’ aide d ’ instruments pour protéger les tissus externe ou interne de la bouche et les dents.
Analogues et dérivés d'atropine.
Relativement absence complète d'oxygène dans un ou plus de mouchoirs.
Physiologiquement, l'opposition à arrivée d'air provoquée par les forces de friction. Comme une partie de la fonction pulmonaire réalisés, c'est le ratio de conduire une pression à la vitesse de circulation d'air.
Enregistrement variations impédance électrique entre électrodes placées dans des camps opposés d'une partie du corps, comme une mesure des changements de volume dans le parcours du courant. (Stedman, 25e éditeur)
Un groupe des composés qui sont des dérivés du beta-methylacetylcholine (méthacholine).
La pression dans la cavité crânienne. C'est influencé par la masse cérébrale, le système circulatoire, LCR dynamiques, et crâne rigidité.
La mesure non invasive ou de détermination de la pression partielle (tension) d'oxygène et / ou du dioxyde de carbone localement dans les capillaires d'un mouchoir par l 'application de la peau d'une série spéciale d'électrodes. Ces électrodes contiennent photoélectriques capable de ramasser les capteurs des longueurs d'ondes de radiations émise par oxygéné versus réduite hémoglobine.
Des mouvements rythmiques involontaires des yeux dans la personne normale. Ça peut être un phénomène naturel comme dans end-position (, stade terminal d ’ évolution, ou déviant) nystagmus ou induit par le tambour, optokinetic optokinetic (nystagmus), ou calorique pour un fauteuil.
Une absence de chaleur ou de la chaleur ou de la température notamment en-dessous un habitué norme.
Processus physiologiques et propriétés du système respiratoire dans son ensemble ou de ses parties.
Mesure de la quantité maximale d ’ air pourra être déversé dans une même nombre de secondes pendant un forcé VITAL capacité détermination. C'est généralement administré sous FEV suivi par un subscript indiquant le nombre de secondes sur laquelle la mesure est accomplis, même si c'est parfois vu comme un pourcentage de capacité vitale forcée.
Enregistrement en continu de la teneur en dioxyde de carbone de l'air expiré.
Inhalation de tests impliquant allergènes (en nébulisation ou dans la poussière en nébulisation), des solutions pharmacologiquement actif (par exemple, l ’ histamine, méthacholine), ou contrôler les solutions, suivie d ’ évaluation de la fonction respiratoire. Ces tests sont utilisés dans le diagnostic d'asthme.
Un état pathologique d'acide une accumulation ou une déplétion en base dans le corps. Les deux principaux types sont une acidose et une acidose métabolique, en raison d ’ acide métabolique construire.
Des dosages différents processus pratiquant l'acte de respiration : Inspiration, expiration, l'oxygène et du dioxyde de carbone échange, volume pulmonaire et le respect, etc.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Un état pathologique qui élimine l'acide ou ajoute base pour les fluides corporels.
Grande et invalidant persistante.
Sentiment ou émotion de crainte, arrestation, et désastre imminent mais pas comme avec une grande invalidants DISORDERS.
La réponse affectifs à un véritable danger extérieur actuel qui s ’ amenuise avec l'élimination de l'le pronostic vital.
Troubles anxieux, dans lequel le caractéristique essentielle est persistante peur irrationnelle et d'un objet, l 'activité, ou situation que l'individu est contraint à éviter. L'individu reconnaît la peur comme étant excessif ou déraisonnable.
Obsessionnel, persistante, une peur intense de prisons ouvertes.

L'hyperventilation est un état dans lequel une personne respire plus rapidement et profondément que la normale, entraînant une augmentation du rythme respiratoire et une diminution des niveaux de dioxyde de carbone dans le sang. Cela peut se produire en réponse à des facteurs tels que l'anxiété, l'exercice intense, les maladies pulmonaires ou cardiaques, l'intoxication aux drogues ou à d'autres substances, ou certaines conditions médicales.

Les symptômes de l'hyperventilation peuvent inclure des étourdissements, des palpitations, une douleur thoracique, des sueurs, des picotements ou des engourdissements dans les mains et les pieds, des spasmes musculaires, une sensation d'essoufflement ou de suffocation, et dans certains cas, une perte de conscience.

Dans la plupart des cas, l'hyperventilation peut être traitée en ralentissant la respiration et en augmentant l'apport en dioxyde de carbone dans le sang. Cela peut être réalisé en respirant dans un sac en papier ou en plastique pour réinhaler le dioxyde de carbone expiré, ou en utilisant des techniques de relaxation et de respiration profonde pour ralentir la respiration. Dans les cas graves ou chroniques d'hyperventilation, une intervention médicale peut être nécessaire pour traiter la cause sous-jacente du problème.

L'hypocapnie est un terme médical qui décrit une concentration anormalement faible de dioxyde de carbone (CO2) dans le sang. Le CO2 est un gaz présent dans l'air qu'une personne expire et il joue un rôle crucial dans la régulation du pH sanguin et de la respiration.

L'hypocapnie se produit généralement lorsque les poumons ne parviennent pas à éliminer suffisamment de CO2, ce qui peut être dû à une hyperventilation ou à une respiration excessive. Cela peut également se produire en raison d'une maladie pulmonaire sous-jacente qui affecte la capacité des poumons à fonctionner correctement.

Les symptômes de l'hypocapnie peuvent inclure des étourdissements, des maux de tête, une sensation de confusion, une respiration rapide et superficielle, une pression artérielle basse et une fréquence cardiaque élevée. Dans les cas graves, l'hypocapnie peut entraîner une perte de conscience ou même la mort.

Il est important de noter que l'hypocapnie doit être traitée rapidement pour prévenir des complications potentiellement dangereuses. Le traitement dépend généralement de la cause sous-jacente et peut inclure des techniques de respiration contrôlée, de l'oxygénothérapie ou un traitement médical spécifique pour une maladie pulmonaire sous-jacente.

Le dioxyde de carbone, également connu sous le nom de CO2, est un gaz inorganique composé d'un atome de carbone et de deux atomes d'oxygène. Il est naturellement présent dans l'atmosphère terrestre à des concentrations d'environ 0,04% en volume.

Dans le contexte médical, le dioxyde de carbone est peut-être mieux connu pour son rôle dans la respiration cellulaire et le transport des gaz dans le sang. Les poumons expirent normalement environ 5 à 6% de CO2 lors de la respiration, ce qui reflète l'importance du métabolisme cellulaire dans la production de ce gaz.

Dans le sang, le dioxyde de carbone se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges et est transporté vers les poumons où il est expiré. Une partie du CO2 est également transportée sous forme de bicarbonate dans le plasma sanguin.

Des niveaux anormalement élevés de dioxyde de carbone dans le sang peuvent entraîner une acidose respiratoire, qui peut être causée par une maladie pulmonaire obstructive ou restrictive, une insuffisance respiratoire ou une intoxication au monoxyde de carbone. Des niveaux anormalement bas de CO2 peuvent entraîner une alcalose respiratoire, qui peut être causée par une hyperventilation excessive.

En bref, le dioxyde de carbone est un gaz important dans la physiologie humaine normale et anormale, jouant un rôle crucial dans la régulation du pH sanguin et du transport des gaz.

L'alcalose respiratoire est un déséquilibre électrolytique dans le corps qui entraîne une augmentation du pH sanguin due à une hyperventilation excessive et prolongée. Cela se produit lorsque les poumons expirent trop de dioxyde de carbone (CO2), ce qui entraîne une diminution des niveaux de acide carbonique dans le sang, conduisant finalement à une augmentation du pH sanguin. Les symptômes peuvent inclure des étourdissements, des nausées, des vomissements, des crampes musculaires et une respiration rapide et superficielle. Dans les cas graves, cela peut entraîner des convulsions, une insuffisance cardiaque et même la mort. L'alcalose respiratoire peut être causée par une variété de facteurs, notamment les lésions pulmonaires, les maladies neurologiques, certains médicaments et les troubles psychiatriques qui entraînent une hyperventilation. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des changements dans la respiration, l'administration d'oxygène, l'hydratation et la correction du pH sanguin à l'aide de bicarbonate de sodium.

La respiration, dans un contexte médical, fait référence au processus d'échange gazeux entre l'air et le sang dans les poumons. Il consiste en deux phases principales : l'inspiration (ou l'acte de respirer dans) et l'expiration (ou l'acte de respirer).

Pendant l'inspiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se contractent, ce qui entraîne une augmentation du volume de la cavité thoracique. Cela provoque une baisse de la pression à l'intérieur de la cavité thoracique, permettant à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré se dissout ensuite dans le sang et se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges.

Au cours de l'expiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se relâchent, ce qui entraîne une diminution du volume de la cavité thoracique et une augmentation de la pression à l'intérieur de celle-ci. Cela force l'air chargé en dioxyde de carbone (un déchet produit par les cellules du corps) à quitter les poumons par les voies respiratoires.

Des problèmes respiratoires peuvent survenir lorsque ce processus est altéré ou interrompu, comme dans des affections telles que l'asthme, la bronchite, l'emphysème et la pneumonie.

En médecine, la pression partielle fait référence à la pression exercée par un gaz particulier dans un mélange de gaz. Il s'agit d'une fraction de la pression totale du mélange, déterminée par la proportion de ce gaz dans le mélange. La pression partielle d'un gaz est souvent désignée par apposant le symbole "p" avant le nom du gaz, comme pO2 pour la pression partielle d'oxygène ou pCO2 pour la pression partielle de dioxyde de carbone.

Dans le contexte médical spécifique des gaz du sang, les pressions partielles d'oxygène et de dioxyde de carbone sont couramment mesurées pour évaluer la fonction respiratoire et l'équilibre acido-basique de l'organisme. Une pression partielle d'oxygène (pO2) faible peut indiquer une mauvaise oxygénation des tissus, tandis qu'une pression partielle de dioxyde de carbone (pCO2) élevée peut être un signe de troubles de l'élimination du dioxyde de carbone par les poumons.

L'hypercapnie est un terme médical qui décrit une concentration excessive de dioxyde de carbone (CO2) dans le sang. La normale est d'environ 35 à 45 mmHg. Cependant, lorsque les niveaux de CO2 dépassent 45 mmHg, on parle d'hypercapnie.

Cette condition peut survenir en raison d'une mauvaise ventilation pulmonaire, ce qui signifie que les poumons ne sont pas capables d'éliminer suffisamment de CO2 lors de la respiration. Cela peut être dû à une maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), comme l'emphysème ou la bronchite chronique, à une insuffisance respiratoire, à une pneumonie, à une paralysie des muscles respiratoires ou à une overdose de médicaments dépresseurs du système nerveux central.

Les symptômes de l'hypercapnie peuvent inclure des maux de tête, une somnolence, une confusion, une augmentation de la fréquence cardiaque, une pression artérielle basse et, dans les cas graves, une perte de conscience ou un coma. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure l'administration d'oxygène, la ventilation mécanique et le traitement de la maladie sous-jacente.

L'analyse des gaz du sang, également connue sous le nom de gazométrie, est un test de laboratoire qui mesure les niveaux de différents gaz dans le sang, tels que l'oxygène et le dioxyde de carbone. Ce test fournit des informations importantes sur la fonction pulmonaire, la capacité du sang à transporter l'oxygène et le dioxyde de carbone, ainsi que sur l'équilibre acido-basique du corps.

L'analyse des gaz du sang est généralement effectuée en prélevant un échantillon de sang artériel, bien que dans certains cas, un échantillon de sang veineux puisse également être utilisé. Les niveaux d'oxygène et de dioxyde de carbone sont mesurés en utilisant des électrodes spéciales, tandis que le pH du sang est mesuré à l'aide d'un pH-mètre.

Les résultats de l'analyse des gaz du sang peuvent aider les médecins à diagnostiquer et à surveiller une variété de conditions médicales, telles que l'insuffisance respiratoire, la pneumonie, l'embolie pulmonaire, l'intoxication au monoxyde de carbone, et d'autres affections qui affectent la fonction pulmonaire ou la régulation acido-basique du corps.

En plus de fournir des informations sur les niveaux de gaz dans le sang, l'analyse des gaz du sang peut également fournir des informations sur d'autres aspects de la composition sanguine, tels que les niveaux de bicarbonate et de potassium. Ces informations peuvent être utiles pour évaluer la fonction rénale et d'autres fonctions corporelles importantes.

Dans l'ensemble, l'analyse des gaz du sang est un outil important pour aider les médecins à diagnostiquer et à gérer une variété de conditions médicales qui affectent la fonction pulmonaire et d'autres fonctions corporelles importantes.

L'oxygène est un gaz inodore, incolore et insipide qui constitue environ 21% des molécules dans l'atmosphère terrestre. Médicalement parlant, l'oxygène est un élément essentiel pour la vie car il joue un rôle crucial dans le processus de respiration.

Les globules rouges du sang absorbent l'oxygène dans les poumons et le transportent vers les cellules de tous les tissus corporels. Dans ces cellules, l'oxygène est utilisé dans la production d'énergie par un processus appelé la respiration cellulaire. Cette énergie est nécessaire au maintien des fonctions vitales du corps telles que la circulation sanguine, la digestion et le fonctionnement du cerveau.

Lorsque le niveau d'oxygène dans le sang est insuffisant, par exemple en cas de maladies pulmonaires ou cardiaques, d'anémie sévère ou à haute altitude, une supplémentation en oxygène peut être nécessaire pour prévenir les lésions tissulaires et assurer le bon fonctionnement des organes.

La mécanique respiratoire est un terme utilisé en médecine et en physiologie pour décrire les forces et les mouvements impliqués dans la ventilation, c'est-à-dire le processus d'inhalation et d'exhalation de l'air. Il s'agit essentiellement de la partie du fonctionnement du système respiratoire qui concerne la manière dont les poumons se gonflent et se dégonflent.

Cela implique principalement deux processus :

1. Les mouvements de la cage thoracique (thorax) : Pendant l'inhalation, les muscles intercostaux et le diaphragme se contractent, ce qui entraîne l'expansion de la cage thoracique. Cela crée un espace négatif qui aspire l'air dans les poumons. Lors de l'expiration, ces muscles se relâchent, permettant à la cage thoracique de revenir à sa position initiale et de pousser l'air hors des poumons.

2. Les mouvements des poumons : Les poumons sont élastiques et ont tendance à se rétracter vers leur forme dégonflée lorsque les forces extérieures (comme la pression atmosphérique) ne les maintiennent pas étendus. Pendant l'inhalation, l'air pénètre dans les poumons en raison de la différence de pression entre l'intérieur et l'extérieur des poumons. Pendant l'expiration, l'élasticité des poumons expulse naturellement l'air.

La mécanique respiratoire peut être affectée par diverses conditions médicales telles que la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique), l'asthme, la fibrose kystique et d'autres maladies pulmonaires ou neuromusculaires. Elle est souvent évaluée en mesurant les volumes pulmonaires et les débits, qui peuvent fournir des informations sur la fonction pulmonaire et aider au diagnostic et à la gestion de ces conditions.

Je suis désolé, mais "Panicum" ne correspond pas à un terme médical spécifique. Il s'agit plutôt d'un nom de genre botanique qui englobe environ 500 espèces de plantes herbacées couramment appelées herbes à panicule, herbe aux mille graines ou herbe à épeautre. Ces plantes sont largement répandues dans le monde entier et appartiennent à la famille des Poaceae (Graminées).

Cependant, si vous cherchiez peut-être un terme médical connexe, "panique" ou "crise de panique" pourrait être ce que vous recherchez. Une crise de panique est une manifestation aiguë et intense de peur ou d'anxiété extrême, souvent accompagnée de symptômes physiques tels qu'un rythme cardiaque rapide, des palpitations, une transpiration excessive, des tremblements, des étourdissements, des nausées et des douleurs thoraciques. Ces épisodes peuvent durer de quelques minutes à une heure et sont souvent imprévisibles.

L'hypoventilation est un terme médical qui décrit une situation où la ventilation alvéolaire, c'est-à-dire le volume d'air frais inspiré et expiré par les poumons, est insuffisante. Cela entraîne une augmentation des niveaux de dioxyde de carbone (CO2) dans le sang et une diminution des niveaux d'oxygène (O2).

Normalement, les poumons inhalent de l'air riche en oxygène et exhalent du CO2. Lorsque la ventilation est insuffisante, comme dans l'hypoventilation, moins d'air frais pénètre dans les poumons, ce qui entraîne une augmentation des niveaux de CO2 dans le sang. Cela peut provoquer une acidose respiratoire, une condition où le pH sanguin devient trop acide en raison de l'augmentation du CO2.

L'hypoventilation peut être causée par divers facteurs, notamment des maladies pulmonaires obstructives telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), une faiblesse musculaire qui affecte les muscles respiratoires, des lésions de la moelle épinière ou d'autres affections neurologiques qui affectent le contrôle de la respiration.

Les symptômes de l'hypoventilation peuvent inclure une respiration superficielle et rapide, une fatigue, une somnolence diurne excessive, des maux de tête matinaux, une confusion, une désorientation et dans les cas graves, une perte de conscience ou un coma. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure l'administration d'oxygène, la ventilation mécanique et le traitement des maladies sous-jacentes.

La circulation cérébrale, dans le contexte médical, se réfère au système complexe de vaisseaux sanguins qui transportent le sang oxygéné et les nutriments vers le cerveau, et éliminent les déchets métaboliques. Le cerveau consomme environ 20% du volume total d'oxygène inhalé par l'organisme, il nécessite donc un apport sanguin constant pour fonctionner correctement.

Le réseau vasculaire cérébral est divisé en deux systèmes principaux: la circulation artérielle et la circulation veineuse.

1. Circulation artérielle: Elle est responsable de l'apport de sang riche en oxygène et en nutriments au cerveau. Les artères carotides internes et les artères vertébrales sont les principaux vaisseaux qui fournissent ce flux sanguin. Chacune des deux artères carotides se divise en deux branches à l'intérieur du crâne: l'artère cérébrale antérieure et l'artère cérébrale moyenne. Les artères vertébrales fusionnent pour former l'artère basilaire, qui se bifurque ensuite en deux artères cérébrales postérieures. Ces artères forment un réseau circulatoire anastomosant appelé cercle de Willis à la base du cerveau, assurant une redondance et une protection contre les obstructions vasculaires localisées.

2. Circulation veineuse: Elle est responsable du retour du sang désoxygéné et des déchets métaboliques vers le cœur. Les sinus veineux dure-mériens, situés dans la dure-mère (membrane externe de la méninge), collectent le sang veineux du cerveau. Ces sinus se drainent ensuite dans les veines jugulaires internes, qui se jettent dans la veine cave supérieure, aboutissant au cœur droit.

L'étude de l'anatomie vasculaire cérébrale est cruciale pour comprendre les pathologies liées aux vaisseaux sanguins du cerveau, telles que les accidents vasculaires cérébraux ischémiques et hémorragiques. Les techniques d'imagerie modernes, comme l'angiographie par résonance magnétique (ARM), permettent une évaluation détaillée de la circulation vasculaire cérébrale in vivo, facilitant le diagnostic et le traitement des maladies vasculaires cérébrales.

Les cellules des récepteurs chimiques, également connues sous le nom de cellules réceptrices chimiosensibles, sont un type de cellule sensorielle qui détecte et répond aux changements de concentrations chimiques dans l'environnement. Dans le contexte médical, les cellules des récepteurs chimiques peuvent faire référence à des structures spécifiques dans le corps qui détectent les changements chimiques dans le sang et d'autres fluides corporels, ce qui aide à réguler les fonctions physiologiques importantes telles que la respiration, la pression artérielle et l'équilibre hydro-électrolytique.

Les cellules réceptrices chimiques sont généralement situées dans des organes spécialisés tels que les carotides et aortiques glomérules, le système nerveux périphérique et certains organes internes. Elles contiennent des récepteurs spécialisés qui peuvent détecter une variété de substances chimiques, y compris l'oxygène, le dioxyde de carbone, le pH et d'autres ions.

Lorsqu'une cellule réceptrice chimique est exposée à une substance chimique spécifique, elle déclenche une série de réactions qui aboutissent à la libération d'un neurotransmetteur qui active ou inhibe les neurones adjacents. Ces signaux sont ensuite transmis au cerveau, où ils sont interprétés et utilisés pour réguler diverses fonctions corporelles.

Les cellules réceptrices chimiques jouent un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie du corps et des perturbations de leur fonction peuvent entraîner une variété de problèmes de santé, y compris des troubles respiratoires, cardiovasculaires et neurologiques.

La ventilation pulmonaire est un processus physiologique essentiel à la vie qui consiste en l'acte d'inhaler et d'exhaler de l'air pour permettre l'apport d'oxygène dans les poumons et l'élimination du dioxyde de carbone. Ce processus est assuré par le mouvement des muscles respiratoires, notamment le diaphragme et les muscles intercostaux, qui entraînent une expansion et une contraction de la cage thoracique.

Lors de l'inspiration, ces muscles se contractent et la cage thoracique s'élargit, ce qui entraîne une baisse de la pression intrathoracique et permet à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré diffuse ensuite à travers les parois des alvéoles pulmonaires pour rejoindre la circulation sanguine, où il est transporté vers les différents tissus et organes du corps.

Lors de l'expiration, les muscles respiratoires se relâchent et la cage thoracique revient à sa position initiale, ce qui entraîne une augmentation de la pression intrathoracique et permet au dioxyde de carbone présent dans le sang de diffuser à travers les parois des alvéoles pulmonaires pour être éliminé lors de l'expiration.

La ventilation pulmonaire est un processus automatique régulé par le système nerveux autonome, mais il peut également être contrôlé volontairement grâce à la respiration consciente. Des troubles de la ventilation pulmonaire peuvent entraîner une insuffisance respiratoire et des complications graves pour la santé.

La Ritodrine est un médicament utilisé comme tocolytique, ce qui signifie qu'il est administré pour prévenir ou retarder l'accouchement prématuré. Il s'agit d'un agoniste des récepteurs bêta-2 adrénergiques, ce qui signifie qu'il se lie et active ces récepteurs, entraînant une relaxation des muscles lisses dans les bronches et les vaisseaux sanguins.

Dans le contexte de l'accouchement prématuré, la Ritodrine agit en relaxant le muscle utérin, retardant ainsi les contractions et permettant à la grossesse de se poursuivre plus longtemps. Cependant, il est important de noter que l'utilisation de la Ritodrine pour prévenir l'accouchement prématuré est controversée en raison de ses effets secondaires potentiellement graves et du manque de preuves concluantes de son efficacité.

Les effets secondaires courants de la Ritodrine comprennent des palpitations, une augmentation du rythme cardiaque, des tremblements, des maux de tête, des nausées et des vomissements. Dans de rares cas, il peut également entraîner des effets secondaires plus graves tels qu'une hypotension artérielle, une insuffisance cardiaque congestive, des convulsions ou un arrêt cardiaque. Par conséquent, la Ritodrine doit être utilisée avec prudence et sous surveillance médicale étroite.

La "pulmonary gas exchange" (échange gazeux pulmonaire) est un processus physiologique qui se produit dans les poumons et qui consiste en l'élimination du dioxyde de carbone (CO2) des poumons et l'absorption de l'oxygène (O2) par le sang.

Ce processus se déroule au niveau des alvéoles pulmonaires, où l'air riche en oxygène inspiré entre en contact étroit avec le sang circulant dans les capillaires sanguins. L'oxygène diffuse passivement à travers la membrane alvéolo-capillaire pour se lier à l'hémoglobine dans les globules rouges, ce qui permet au sang de transporter l'oxygène vers les tissus corporels.

Dans le même temps, le dioxyde de carbone produit par les cellules corporelles est transporté vers les poumons via le sang veineux. Le CO2 diffuse passivement à travers la membrane alvéolo-capillaire pour être expiré hors des poumons lors de l'expiration.

L'efficacité de l'échange gazeux pulmonaire peut être affectée par divers facteurs, tels que les maladies pulmonaires, les changements de pression partielle d'oxygène et de dioxyde de carbone dans le sang, et les modifications du débit sanguin pulmonaire.

Un Trouble Panique est un type de trouble anxieux caractérisé par des épisodes récurrents et inattendus de peur intense ou de détresse émotionnelle sévère qui atteignent leur pic en quelques minutes, et incluent au moins quatre des symptômes suivants: accélération du rythme cardiaque, transpiration, tremblements ou secousses musculaires, sensation d'étouffement, douleur ou gêne thoracique, nausée ou inconfort abdominal, vertiges, déréalisation (sensation d'irréalité) ou dépersonnalisation (être détaché de soi), peur de perdre le contrôle ou de devenir fou, engourdissement ou picotements, et frissons ou bouffées de chaleur. Ces épisodes peuvent durer de quelques minutes à une heure. Les personnes atteintes de ce trouble ont souvent des inquiétudes excessives concernant l'apparition de futurs épisodes paniques et changent leur comportement en conséquence, ce qui peut entraîner une évitement important des situations ou endroits où les épisodes se sont produits dans le passé.

L'apnée est une condition dans laquelle une personne cesse de respirer pendant une période de temps anormalement longue. Il existe deux types principaux d'apnées: l'apnée centrale et l'apnée obstructive. L'apnée centrale se produit lorsque le cerveau ne parvient pas à envoyer les signaux appropriés aux muscles responsables de la respiration. L'apnée obstructive, d'autre part, se produit lorsque les voies respiratoires sont bloquées ou obstruées pendant le sommeil, empêchant ainsi l'air de circuler correctement.

Les symptômes courants de l'apnée comprennent des ronflements forts, une somnolence diurne excessive, des maux de tête matinaux, une irritabilité et des difficultés de concentration. L'apnée peut entraîner de graves complications de santé, telles que des maladies cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des problèmes de mémoire et une diminution de la qualité de vie globale.

Le traitement de l'apnée dépend du type et de la gravité de la condition. Les options de traitement peuvent inclure des changements de mode de vie, tels que la perte de poids ou l'évitement de certaines positions de sommeil, ainsi que l'utilisation d'appareils de ventilation en pression positive continue (CPAP) pour maintenir les voies respiratoires ouvertes pendant le sommeil. Dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être recommandée pour corriger les problèmes structurels qui contribuent à l'apnée.

En médecine, le terme "volume courant" fait référence à la quantité de liquide, généralement d'air ou de sang, qui circule dans et hors d'un organe ou d'une cavité du corps pendant une période déterminée. Il s'agit essentiellement du débit du fluide au cours d'un cycle respiratoire ou cardiaque.

Dans le contexte de la fonction pulmonaire, le volume courant est le volume d'air inhalé et exhalé pendant la respiration normale, à savoir l'inspiration et l'expiration régulières sans effort supplémentaire. Il ne comprend pas les volumes additionnels inspirés ou expirés lors de manœuvres forcées telles que la toux ou les efforts de respiration profonde. Le volume courant est d'environ 500 millilitres (ml) chez l'adulte en moyenne.

Dans le contexte cardiovasculaire, le volume courant se réfère au volume d'oxygène ou de sang pompé par le cœur dans un cycle complet (systole et diastole). Il est utilisé pour évaluer la performance cardiaque et peut être calculé en divisant le débit cardiaque (la quantité totale de sang pompée par le cœur en une minute) par le nombre de battements cardiaques par minute.

L'équilibre acide-base est une condition dans laquelle les concentrations d'ions hydrogène (H+) et de bicarbonate (HCO3-) dans le sang et les liquides corporels sont maintenues dans une plage étroite pour assurer un pH sanguin normal, généralement entre 7,35 et 7,45. Cet équilibre est essentiel pour le fonctionnement normal des organes et des systèmes corporels.

L'équilibre acide-base est régulé par un certain nombre de mécanismes physiologiques, y compris les poumons et les reins. Les poumons aident à éliminer l'excès de dioxyde de carbone (CO2), qui peut réagir avec l'eau pour former de l'acide carbonique (H2CO3) et des ions hydrogène supplémentaires. Les reins régulent la concentration de bicarbonate dans le sang en réabsorbant ou en sécrétant du bicarbonate dans l'urine.

Les déséquilibres acide-base peuvent entraîner des conditions telles que l'acidose (pH sanguin trop faible) ou l'alcalose (pH sanguin trop élevé), qui peuvent avoir des effets néfastes sur les organes et les systèmes corporels. Par exemple, une acidose métabolique prolongée peut entraîner une insuffisance rénale, une faiblesse musculaire et des arythmies cardiaques.

La consommation d'oxygène, également connue sous le nom de consommation d'oxygène par minute (MO2), fait référence à la quantité d'oxygène qu'un organisme ou un tissu particulier utilise par minute. Il s'agit d'une mesure importante en médecine et en physiologie, car elle reflète le métabolisme cellulaire et l'activité fonctionnelle des organes.

La consommation d'oxygène est généralement mesurée en unités de millilitres par minute (ml/min) et peut être calculée en mesurant la différence entre la quantité d'oxygène inspiré et expiré par un individu pendant une certaine période. Cette valeur est souvent utilisée dans le contexte des soins intensifs pour surveiller l'état de patients gravement malades, tels que ceux qui sont sous ventilation mécanique ou qui souffrent d'une insuffisance cardiaque ou pulmonaire.

En général, une consommation d'oxygène plus élevée indique un métabolisme accru et peut être observée pendant l'exercice, le stress thermique ou mental, les infections et d'autres états pathologiques. En revanche, une consommation d'oxygène faible peut indiquer une maladie sous-jacente, telle qu'une insuffisance cardiaque congestive, une pneumonie ou un sepsis. Par conséquent, la mesure de la consommation d'oxygène est un outil important pour évaluer l'état clinique des patients et surveiller leur réponse au traitement.

Un protège-dents est un dispositif dentaire conçu pour couvrir et protéger les dents supérieures (ou parfois les deux jeux de dents) contre les dommages physiques causés par des chocs ou des collisions. Il est généralement fabriqué en plastique durable et sur mesure pour s'adapter confortablement aux mâchoires du porteur. Les protège-dents sont largement utilisés dans les sports de contact tels que le football, le hockey sur glace, la boxe et le rugby pour prévenir les blessures dentaires telles que les dents cassées, fissurées ou disloquées, ainsi que les lésions des tissus mous de la bouche. Ils peuvent également être recommandés par les professionnels de la santé bucco-dentaire pour les personnes qui grincent ou serrent des dents (bruxisme) pendant leur sommeil, afin de protéger les dents contre l'usure excessive et les dommages.

L'atropine est un alcaloïde tropane présent dans certaines plantes, telles que la belladone et la datura. Elle est également disponible sous forme synthétique. L'atropine agit comme un antagoniste des récepteurs muscariniques de l'acétylcholine dans le système nerveux parasympathique, entraînant une diminution de la sécrétion salivaire et gastrique, une tachycardie, une dilatation pupillaire et un ralentissement du péristaltisme intestinal.

Les dérivés de l'atropine sont des composés chimiquement modifiés qui possèdent des propriétés pharmacologiques similaires à celles de l'atropine. Ils sont souvent utilisés en médecine pour traiter une variété de conditions, telles que les overdoses de médicaments cholinergiques, le syndrome du côlon irritable, la bradycardie et les nausées et vomissements postopératoires.

Les dérivés couramment utilisés de l'atropine comprennent l'hyoscyamine, la scopolamine et le butylscopolamine. Ces médicaments peuvent être administrés par voie orale, sous forme de patch cutané ou par injection. Les effets secondaires courants des dérivés de l'atropine comprennent une sécheresse de la bouche, une vision floue, une constipation, une rétention urinaire et une augmentation de la pression intraoculaire.

Anoxie est un terme médical qui décrit une condition dans laquelle il y a une privation complète d'oxygène dans le sang et les tissus du corps. Cela peut survenir en raison de diverses raisons, telles que l'arrêt cardiaque, l'asphyxie, la noyade, la strangulation ou l'exposition à des environnements à faible teneur en oxygène.

L'anoxie peut entraîner une privation d'oxygène dans le cerveau et les autres organes vitaux, ce qui peut causer de graves dommages et même la mort si elle n'est pas traitée rapidement. Les symptômes de l'anoxie peuvent inclure des étourdissements, une confusion, une perte de conscience, des convulsions, un rythme cardiaque irrégulier et une respiration superficielle ou absente.

Le traitement de l'anoxie implique généralement la fourniture d'oxygène supplémentaire pour aider à rétablir les niveaux d'oxygène dans le sang et les tissus. Cela peut être accompli en utilisant un masque à oxygène, une ventilation mécanique ou une réanimation cardiopulmonaire (RCP). Dans certains cas, des médicaments peuvent également être administrés pour aider à stimuler la respiration et le rythme cardiaque.

Il est important de noter que l'anoxie peut entraîner des dommages permanents aux organes vitaux, en particulier au cerveau, même si elle est traitée rapidement. Par conséquent, il est essentiel de prévenir l'anoxie autant que possible en évitant les situations dangereuses et en recevant des soins médicaux immédiats en cas d'urgence.

La « résistance des voies aériennes » est un terme utilisé en médecine et en physiologie pour décrire la force ou la pression nécessaire pour faire circuler l’air dans les voies respiratoires. Plus précisément, il s’agit de la pression requise pour surmonter la friction entre l’air qui circule et les parois des voies respiratoires, ainsi que pour déplacer le volume d’air dans les poumons.

Cette résistance est influencée par plusieurs facteurs, notamment le calibre (le diamètre) et la longueur des voies respiratoires, la viscosité de l’air inspiré et expiré, et la compliance (la capacité d’expansion) des poumons. Des rétrécissements ou des obstructions au niveau des voies respiratoires, comme ceux observés dans certaines maladies pulmonaires (telles que l’asthme, la bronchite chronique ou l’emphysème), peuvent entraîner une augmentation de la résistance des voies aériennes, ce qui rend plus difficile et fatigant le processus respiratoire.

Des mesures spécifiques, telles que la débitmétrie de pointe ou les tests de fonction pulmonaire, peuvent être utilisés pour évaluer la résistance des voies aériennes chez les individus présentant des symptômes respiratoires ou ceux atteints de maladies pulmonaires.

La cardiographie d'impédance, également connue sous le nom de bioimpedance cardiaque, est une méthode non invasive de surveillance hémodynamique qui utilise des électrodes pour mesurer les changements dans l'impédance thoracique (la résistance à l'écoulement du courant électrique) pendant le cycle cardiaque.

Au cours de chaque battement cardiaque, le cœur pompe le sang vers les vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une augmentation de la circulation sanguine dans le thorax et donc une diminution de l'impédance. À l'inverse, lorsque le cœur se relâche (diastole), la circulation sanguine dans le thorax diminue, ce qui entraîne une augmentation de l'impédance.

En mesurant ces changements d'impédance, il est possible de déduire des informations sur les volumes sanguins et les débits cardiaques, ainsi que sur la fonction diastolique du ventricule gauche. La cardiographie d'impédance peut être utilisée pour surveiller l'état hémodynamique des patients dans divers contextes cliniques, tels que la surveillance peropératoire, la réanimation cardio-pulmonaire et la prise en charge de l'insuffisance cardiaque.

Il est important de noter que la cardiographie d'impédance ne doit pas être confondue avec la bioimpédance qui est une méthode non invasive pour mesurer la composition corporelle, y compris la masse grasse et la masse maigre.

La méthacholine est un composé chimique qui est couramment utilisé en médecine pour tester la fonction pulmonaire et diagnostiquer l'asthme. Il s'agit d'un agoniste des récepteurs muscariniques des voies respiratoires, ce qui signifie qu'il provoque une constriction des muscles des bronches et des bronchioles lorsqu'il est inhalé.

Les composés de la méthacholine sont des sels ou des esters de la méthacholine, qui ont des propriétés similaires à celles de la méthacholine elle-même. Ils peuvent être utilisés pour provoquer une réponse bronchoconstricteur dans le cadre d'un test de provocation bronchique, qui est utilisé pour diagnostiquer l'asthme et évaluer sa gravité.

Lors d'un tel test, le patient inhale progressivement des doses croissantes de méthacholine ou de son composé, et la fonction pulmonaire est mesurée après chaque dose. Si la respiration du patient se détériore de manière significative en réponse à la méthacholine, cela peut indiquer que le patient souffre d'asthme ou d'une autre maladie des voies respiratoires.

Il est important de noter que la méthacholine et ses composés ne doivent être utilisés que sous la supervision d'un professionnel de la santé qualifié, car ils peuvent provoquer des effets indésirables graves chez certaines personnes.

La pression intracrânienne (ICP) est la pression à l'intérieur du crâne dans le liquide céphalorachidien (LCR) qui remplit les espaces entre le cerveau, le cervelet et la moelle épinière. La plage normale de la pression intracrânienne est de 5 à 15 mmHg (millimètres de mercure). Une augmentation pathologique de l'ICP au-dessus de 20 mmHg est généralement considérée comme anormale et peut être le signe d'un certain nombre de conditions médicales graves, telles qu'une tumeur cérébrale, une hémorragie intracrânienne, une inflammation, un œdème cérébral ou une hydrocéphalie. Des valeurs élevées de pression intracrânienne peuvent endommager le cerveau en compressant les tissus cérébraux et en réduisant l'apport sanguin vers le cerveau, entraînant des symptômes tels que maux de tête, nausées, vomissements, troubles visuels, somnolence et, dans les cas graves, coma et décès.

La gazométrie transcutanée, également connue sous le nom de TCG (Transcutaneous Gas Analysis), est une méthode non invasive permettant de mesurer les gaz du sang, tels que l'oxygène (pO2) et le dioxyde de carbone (pCO2), ainsi que le pH, à la surface de la peau. Cette procédure utilise généralement un capteur spécial fixé sur la peau, qui chauffe légèrement la zone pour dilater les vaisseaux sanguins et permettre une meilleure diffusion des gaz du sang vers le capteur.

La mesure transcutanée est particulièrement utile chez les patients présentant des troubles respiratoires ou circulatoires, tels que ceux souffrant de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), d'insuffisance cardiaque congestive (ICC) ou de syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Elle permet un suivi continu des gaz sanguins, offrant ainsi une évaluation rapide et précise de l'efficacité du traitement et de la réponse du patient aux interventions thérapeutiques.

Il est important de noter que les valeurs obtenues par gazométrie transcutanée peuvent être différentes de celles mesurées directement dans le sang artériel, en raison des variations de perfusion tissulaire et de la diffusion des gaz à travers la peau. Par conséquent, il est essentiel d'interpréter ces résultats avec prudence et de les corréler aux données cliniques du patient.

Le nystagmus physiologique, également connu sous le nom de nystagmus physiologique spontané, est un type de mouvement oculaire involontaire qui se produit normalement dans certaines conditions. Il s'agit d'un mouvement rapide et lent des yeux qui se produit généralement lorsque les yeux sont dans une position extrême de regard vers la gauche ou vers la droite, en haut ou en bas.

Le nystagmus physiologique est souvent observé lorsque quelqu'un regarde vers les côtés tout en se déplaçant rapidement, comme dans un véhicule en mouvement, ou lorsqu'il tourne la tête de manière répétée dans une direction donnée. Ce type de nystagmus est considéré comme normal et ne doit pas être confondu avec le nystagmus pathologique, qui peut être un signe de divers problèmes médicaux, tels que des lésions cérébrales ou des troubles vestibulaires.

Le nystagmus physiologique est généralement de faible amplitude et ne perturbe pas la vision de manière significative. Il est souvent asymétrique, ce qui signifie que les mouvements oculaires peuvent être plus prononcés dans une direction que dans l'autre. Dans certains cas, le nystagmus peut disparaître complètement lorsque la tête est maintenue dans une position neutre ou lorsque les yeux sont au repos.

Je suis désolé, mais la phrase "Cold Temperature" en elle-même ne peut pas être considérée comme une définition médicale. Cependant, les basses températures peuvent avoir des effets sur la santé humaine.

Un terme médical associé aux températures froides est l'hypothermie, qui est définie comme une température corporelle centrale inférieure à 35 degrés Celsius (95 degrés Fahrenheit), en raison d'une exposition prolongée à des températures extérieures froides ou à un refroidissement excessif du corps. L'hypothermie peut entraîner une variété de problèmes de santé, y compris des lésions tissulaires, une insuffisance cardiaque et rénale, et dans les cas graves, la mort.

Il est important de noter que certaines personnes peuvent être plus sensibles aux effets des températures froides, y compris les jeunes enfants, les personnes âgées, et ceux qui ont des problèmes de santé sous-jacents, tels que des maladies cardiaques ou pulmonaires.

Les phénomènes physiologiques respiratoires se réfèrent aux processus et réactions normaux qui se produisent dans le système respiratoire pour permettre la ventilation, l'oxygénation des tissus et l'élimination du dioxyde de carbone. Cela comprend:

1. Ventilation: Il s'agit du mouvement de l'air entre l'environnement extérieur et les poumons, permettant l'apport d'oxygène et l'élimination du dioxyde de carbone. Ce processus est accompli par la contraction et le relâchement des muscles respiratoires, y compris le diaphragme et les intercostaux.

2. Échanges gazeux: C'est le processus d'absorption de l'oxygène dans le sang et du rejet du dioxyde de carbone par les poumons. L'oxygène se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges et est transporté vers les tissus corporels, tandis que le dioxyde de carbone est libéré des tissus dans le sang et est éliminé par les poumons.

3. Régulation de l'acidose respiratoire: Le système respiratoire joue un rôle crucial dans la régulation du pH sanguin en ajustant les niveaux de dioxyde de carbone. En cas d'augmentation des niveaux de dioxyde de carbone, les centres respiratoires du cerveau sont stimulés pour augmenter la ventilation, réduisant ainsi les niveaux de dioxyde de carbone et rétablissant l'équilibre acido-basique.

4. Mécanique respiratoire: Il s'agit des forces physiques impliquées dans le processus de ventilation, y compris la résistance des voies respiratoires, la compliance pulmonaire et la force musculaire. La mécanique respiratoire est essentielle pour assurer un mouvement efficace de l'air vers et depuis les poumons.

5. Contrôle nerveux de la respiration: Le système nerveux autonome régule la fréquence et la profondeur de la respiration via des centres respiratoires situés dans le tronc cérébral. Ces centres reçoivent des entrées sensorimotrices et chimiques qui influencent l'activité respiratoire, garantissant ainsi une ventilation adéquate en réponse aux changements de l'environnement interne et externe.

Le Volume Expiratoire Maximum Seconde (VEMS) est une mesure utilisée en pneumologie et en médecine respiratoire pour évaluer la fonction pulmonaire. Il représente le volume d'air maximal qu'une personne peut expirer pendant une seconde après avoir inspiré profondément. Cette valeur est exprimée en litres.

Le VEMS est mesuré lors d'une spirométrie, un examen couramment utilisé pour diagnostiquer et suivre l'évolution de maladies pulmonaires telles que l'asthme, la bronchite chronique ou l'emphysème. Une valeur de VEMS réduite par rapport à la normale peut indiquer une obstruction des voies respiratoires, ce qui est souvent observé dans ces pathologies.

Cependant, il est important de noter que le VEMS doit être interprété en conjonction avec d'autres paramètres de la spirométrie, tels que le Volume Expiratoire Forcé (VEF) et la Capacité Vitale (CV), pour établir un diagnostic précis et suivre l'efficacité du traitement.

La capnographie est une méthode de surveillance des gaz respiratoires qui mesure et affiche la concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans l'air expiré en temps réel. Il s'agit d'une courbe continue qui fournit des informations sur la ventilation, la perfusion tissulaire et le métabolisme. La capnographie est fréquemment utilisée pendant les anesthésies pour surveiller l'efficacité de la ventilation et détecter rapidement les complications telles que l'hypoventilation, l'obstruction des voies respiratoires ou une circulation inadéquate. Elle est également utilisée dans d'autres contextes cliniques, tels que les soins intensifs, pour surveiller l'état des patients gravement malades.

Un test de provocation bronchique, également connu sous le nom de test de bronchoprovocation, est un examen médical utilisé pour diagnostiquer l'asthme et évaluer sa gravité. Il consiste à exposer progressivement les voies respiratoires du patient à des substances irritantes ou allergisantes, telles que la méthacholine ou l'histamine, afin de provoquer une réaction bronchoconstricteur.

Cette réaction se traduit par une diminution du calibre des bronches et entraîne une augmentation de la résistance des voies respiratoires. Le test est considéré comme positif si cette réaction est observée à des doses relativement faibles de l'agent provocateur.

Le test de provocation bronchique doit être réalisé dans un environnement contrôlé et sous la surveillance étroite d'un professionnel de santé qualifié, car il peut entraîner une détresse respiratoire chez les patients asthmatiques sévères. Il est important de noter que ce test n'est pas recommandé pour le diagnostic initial de l'asthme et ne doit être utilisé qu'en complément d'autres examens, tels que la spirométrie ou les tests sanguins.

L'acidose est un déséquilibre métabolique qui entraîne une augmentation du pH sanguin en dessous de 7,35. Il existe deux types principaux d'acidose : l'acidose métabolique et l'acidose respiratoire.

L'acidose métabolique est causée par un excès d'acides dans le sang, qui peut résulter de diverses affections telles que l'insuffisance rénale, le diabète non contrôlé, l'alcoolisme, la déshydratation sévère ou certains types d'intoxications.

L'acidose respiratoire, quant à elle, est causée par une accumulation excessive de dioxyde de carbone dans le sang en raison d'une mauvaise ventilation pulmonaire, comme cela peut se produire dans certaines maladies pulmonaires graves telles que l'emphysème ou la fibrose kystique.

Les symptômes de l'acidose peuvent inclure des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une respiration rapide et superficielle, une fatigue extrême, une confusion mentale et, dans les cas graves, un coma. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de l'acidose et peut inclure des changements alimentaires, des médicaments pour réguler le pH sanguin, une ventilation mécanique ou une dialyse rénale.

L'exploration fonctionnelle respiratoire (EFR) est un ensemble de tests pulmonaires qui permettent d'évaluer la capacité respiratoire et les échanges gazeux d'un individu. Elle vise à mesurer la ventilation, la compliance thoracique, la diffusion des gaz alvéolo-capillaires et les mécanismes de contrôle de la ventilation. Les tests couramment utilisés dans l'EFR comprennent la spirométrie, les manœuvres de bodyplethysmographie, les mesures de la diffusing capacity of the lung for carbon monoxide (DLCO) et les tests de réversibilité. Ces examens sont indolores et non invasifs, et ils sont largement utilisés dans le diagnostic, le suivi et la prise en charge des maladies respiratoires telles que l'asthme, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), la fibrose pulmonaire et d'autres affections pulmonaires.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

L'alcalose est un déséquilibre électrolytique dans lequel le pH sanguin devient plus alcalin ou moins acide que la normale. Cela se produit lorsque les concentrations de bicarbonate dans le sang dépassent la plage normale de 22 à 26 milliéquivalents par litre (mEq/L).

Il existe deux types d'alcalose : l'alcalose respiratoire et l'alcalose métabolique. L'alcalose respiratoire est causée par une hyperventilation excessive qui entraîne une diminution des niveaux de dioxyde de carbone dans le sang, ce qui augmente le pH sanguin. Les causes courantes d'alcalose respiratoire comprennent l'anxiété, les traumatismes thoraciques, la pneumonie et les tumeurs pulmonaires.

D'autre part, l'alcalose métabolique est causée par une augmentation des niveaux de bicarbonate dans le sang due à une perte excessive de H+ ou à un gain excessif de bicarbonate. Les causes courantes d'alcalose métabolique comprennent les vomissements sévères, la diarrhée, l'utilisation excessive de diurétiques et certains médicaments tels que les corticostéroïdes et les laxatifs.

Les symptômes de l'alcalose peuvent inclure des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des faiblesses musculaires, des crampes, des picotements ou des engourdissements, des étourdissements et une confusion. Dans les cas graves, l'alcalose peut entraîner des arythmies cardiaques, une insuffisance respiratoire et même la mort.

Le traitement de l'alcalose dépend de sa cause sous-jacente. Les médecins peuvent prescrire des médicaments pour ralentir la respiration ou administrer des fluides contenant du chlorure pour aider à rétablir l'équilibre acido-basique du corps. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour surveiller et traiter les complications de l'alcalose.

Les Troubles anxieux sont un groupe de conditions mentales caractérisées par des sentiments excessifs de peur, d'inquiétude et d'anxiété qui interfèrent avec la vie quotidienne. Ces troubles peuvent inclure des symptômes physiques tels que des palpitations cardiaques, des sueurs, des tremblements, des fatigues et des troubles du sommeil. Les exemples de troubles anxieux comprennent le trouble d'anxiété généralisée (TAG), les troubles de panique, l'agoraphobie, le trouble d'anxiété sociale, le trouble de stress post-traumatique (TSPT) et le trouble obsessionnel-compulsif (TOC). Les causes peuvent être génétiques, environnementales ou liées à une maladie sous-jacente. Le diagnostic est généralement posé sur la base des symptômes et de l'histoire médicale du patient. Le traitement peut inclure une thérapie cognitivo-comportementale, des médicaments ou une combinaison des deux.

L'anxiété est un état d'agitation et de préoccupation concernant l'avenir ou une situation incertaine. Elle est caractérisée par des sentiments de nervosité, de tension et de peur, qui peuvent être accompagnés de symptômes physiques tels que des palpitations cardiaques, des tremblements, des sueurs, des maux de tête et des troubles gastro-intestinaux.

L'anxiété est considérée comme un trouble mental lorsqu'elle est persistante, intense et interfère avec les activités quotidiennes d'une personne. Les troubles anxieux comprennent le trouble d'anxiété généralisée, le trouble de panique, l'agoraphobie, le trouble d'anxiété sociale, le trouble de stress post-traumatique et le trouble obsessionnel-compulsif.

Le traitement des troubles anxieux peut inclure une thérapie cognitivo-comportementale, des médicaments ou une combinaison des deux. Il est important de chercher un traitement si l'anxiété interfère avec les activités quotidiennes ou cause une détresse importante.

La peur, dans un contexte médical, peut être considérée comme une réaction émotionnelle normale et instinctive à une situation ou à un stimulus perçu comme dangereux, menaçant ou effrayant. Elle fait partie du système de combat ou de fuite du corps, déclenchant une série de réponses physiologiques telles qu'une accélération du rythme cardiaque, une respiration rapide et superficielle, une transpiration accrue et une augmentation de la tension artérielle.

Cependant, dans certains cas, la peur peut devenir envahissante, persistante et irrationnelle, caractérisant ainsi un trouble anxieux tel que les phobies ou le trouble d'anxiété généralisé. Dans ces situations, la peur interfère avec les activités quotidiennes de l'individu et peut entraîner une détresse significative.

Il est important de noter que la peur est un mécanisme de protection essentiel qui aide à assurer la survie en incitant l'organisme à réagir rapidement aux menaces potentielles.

Les troubles phobiques sont un type de trouble anxieux dans lequel une personne éprouve une peur intense et irrationnelle d'être exposée à certaines situations, objets ou activités. Ces peurs exagérées ne sont pas proportionnées au réel danger présenté par l'objet ou la situation et peuvent entraîner des comportements d'évitement qui affectent négativement la vie quotidienne de la personne.

Les exemples courants de troubles phobiques incluent la agoraphobie (peur des endroits publics ou des espaces ouverts), claustrophobie (peur des espaces confinés), acrophobie (peur des hauteurs), et l'ophiophobie (peur des serpents). Les troubles phobiques peuvent se développer à tout âge et sont souvent traités avec une combinaison de thérapie cognitivo-comportementale et de médicaments.

L'agoraphobie est un type de trouble anxieux dans lequel une personne éprouve de l'anxiété et de la peur intense dans des endroits ou situations où il pourrait être difficile de s'échapper ou d'obtenir de l'aide en cas de panique ou de symptômes désagréables. Ces lieux ou situations peuvent inclure des foules, des espaces ouverts, des espaces fermés, des ponts, des transports publics, des files d'attente, des magasins ou des endroits éloignés de la maison.

Les personnes atteintes d'agoraphobie évitent souvent ces situations ou endurent une détresse significative lorsqu'elles sont confrontées à elles. Elles peuvent également éprouver des symptômes physiques tels que des palpitations cardiaques, des étourdissements, de la transpiration, des nausées et des difficultés respiratoires.

L'agoraphobie peut être traitée avec une thérapie cognitivo-comportementale (TCC) et/ou des médicaments contre l'anxiété ou les antidépresseurs. Le traitement vise à aider la personne à faire face aux situations redoutées, à modifier les pensées et les croyances négatives qui contribuent à l'anxiété et à améliorer les compétences d'adaptation pour gérer le stress et l'anxiété.

En avion, une baisse de pression dair, combinée au stress spécifique, peut déclencher une hyperventilation ; cest un problème ... Hyperventilation and Cerebral Blood Flow », Stroke, vol. 3, no 5,‎ septembre 1972, p. 566-575 (ISSN 0039-2499 et 1524-4628, DOI ... Hypoxie et hyperventilation, Transports Canada, 16 décembre 2008. « Apnéiste confirmé piscine / indoor freediver 2** CMAS », ... Severely impaired health-related quality of life in chronic hyperventilation patients: Exploratory data », Respiratory Medicine ...
Hyperventilation chronique : ce quil faut savoir Hyperventilation chronique : ce quil faut savoir Lhyperventilation ... Quappelle t-on hyperventilation chronique ?. Lisez la suite de cet article pour en savoir plus. Les symptômes de ...
Dictionnaire Médical.net Hyperventilation Lhyperventilation est une respiration rapide ou profonde qui peut survenir avec ... Hyperventilation occasionnelles de panique est généralement liée à une peur ou phobie spécifique, comme une peur des hauteurs, ... Votre hyperventilation persistent ou saggravent, même avec le traitement à domicile.. Vous avez également dautres symptômes. ... Hyperventilation. Lhyperventilation est une respiration rapide ou profonde qui peut survenir avec lanxiété ou la panique. ...
les accidents anoxiques sont le résultats de la conjugaison de la perte de lalarme acide (du fait dune hyperventilation ... Various mechanisms associated with hypoxia and loss of consciousness are discussed, including hyperventilation, ascent blackout ...
hyperventilation méthode buteyko Related Articles. « Jai guéri mon Hyperventilation en 2 mois. » Témoignage. « Jai guéri mon ... Hyperventilation quand je parle : quelles solutions ?. Hyperventilation quand je parle : quelles solutions ?. ... Hyperventilation durant la nuit que faire ?. Hyperventilation durant la nuit que faire ?. ... Jy parle de lanxiété sous toutes ses formes : Crises dangoisse, Hypocondrie, Hyperventilation, Boule dans la Gorge, phobies ...
Hyper ventilation et sac en papier. Il y a quelques temps, en reportage à Francfort, dans une des salles dinjection que la ... Il semblerait quune hyperventilation préventive durant une minute soit une mesure de réduction des risques qui permet, en plus ...
syndrome dapnée du sommeil, hyperventilation Affections gastro-intestinales douleur abdominale, gêne abdominale, vomissement, ...
syndrome dapnée du sommeil, hyperventilation. Affections gastro-intestinales. douleur abdominale, gêne abdominale, vomissement ...
Cette hyperventilation peut engendrer certains symptômes tels que : ...
hyperventilation, retenue de la respiration ou épisodes dapnée);. *ingestion dair (aérophagie);. *manie de se tordre les ...
hyperventilation après leffort. - conversation impossible. I6 (Sprint long). Non Significative. 100 - 180. - douleur ...
... une hyperventilation et... la survenue dun état second ! ...
JÉTAIS EN HYPERVENTILATION JE NE VEUX PAS ÊTRE MÈRE MOI !! En plus je laurais gardé 1h sans souci son môme mais PRÉVIENS AU ...
o Hyperventilation à volonté.. o Utilisation de sons ou de musiques bizarres, discordants & irréels. ...
Hyperventilation, irritation et inflammation locale (après administration intramusculaire).. Syndrome de sevrage2 ...
La bonne question.- On connaît cette hyperventilation à lidée de manger des pâtes pour le déjeuner ou pour le dîner. Car la ...
Les symptômes sont : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma, collapsus ...
Troubles de santé divers (asthme, hyperventilation, épilepsie, allergies, diabète, etc.);. *Désobstruction des voies ...
Tous ses collaborateurs étaient en hyperventilation, réellement morts de rire. Mais, lui était véritablement irrité. Alors, il ...
... hyperventilation), ou se bloque (blocage du diaphragme). Désormais plus de souci à vous faites. Découvrez à travers cet article ...
... hyperventilation / hypothermie / indomethacine 1) Support extra-corporel de la fonction rénale, perfusions liquidiennes ...
Les symptômes sont : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma, collapsus cardio- ...
Les symptômes sont : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma, collapsus cardio- ...
Il y en avait trois ou quatre en hyperventilation, dautres en crise de tétanie à cause du stress", a confié Jérémy Dojwa, ... Il y avait trois ou quatre jeunes en hyperventilation, dautres en crise de tétanie à cause du stress ...
Hyperventilation. Présentation du safety officer de lOFAC (de Christian Hanke):. Analyse et reporting. ...
Ce type de respiration peut être très puissant et entraîner une certaine hyperventilation. Cependant, cet état est temporaire ...
... que ce soit par hyperventilation, strangulation, ou apnée. Comprendre les raisons de pratiquer A découvrir Cacher son ...
Lorsque lenfant stresse, il provoque une hyperventilation de son corps. Lidée est donc darrêter cette hyperventilation en ...
La gravité des problèmes est diverse: écorchures, fractures, hyperventilations, hypoglycémies.... Contrairement à la France, l´ ...
  • Respiration rapide peut être une urgence médicale - sauf si vous avez vécu cela auparavant et ont été rassurés par votre médecin que votre hyperventilation peut être auto traités. (handichrist.net)
  • Ce type de respiration peut être très puissant et entraîner une certaine hyperventilation. (iletaitunefoisleciel.com)
  • Les symptômes décrits sont des palpitations et une hausse de la pression sanguine ainsi que des tremblements, des maux de tête, des états anxieux et une hyperventilation. (aha.ch)
  • Si vous avez souvent hyperventilation, vous pouvez avoir le syndrome d'hyperventilation qui est déclenchée par des émotions de stress, l'anxiété, la dépression ou la colère. (handichrist.net)
  • Hyperventilation syndrome related to stress and anxiety. (resilience-psy.com)
  • Pire encore, en les utilisant pendant l'effort, vous risquez de vous retrouver en hyperventilation et donc, d'ingérer encore plus de polluants auxquels vos poumons seront sensibles. (pratique.fr)
  • Hyperventilation occasionnelles de panique est généralement liée à une peur ou phobie spécifique, comme une peur des hauteurs, en mourant, ou dans des espaces clos (claustrophobie). (handichrist.net)
  • Si votre médecin a expliqué que vous hyperventilation d'anxiété, de stress ou de panique, il ya des étapes que vous pouvez prendre à la maison. (handichrist.net)
  • Il y en avait trois ou quatre en hyperventilation, d'autres en crise de tétanie à cause du stress", a confié Jérémy Dojwa, étudiant infirmier, à La Dépêche d'Evreux . (lejdd.fr)
  • Votre médecin déterminera la cause de votre hyperventilation. (handichrist.net)
  • En réalisant son test respiratoire, j'obtenais 9 secondes, ce qui correspond à une hyperventilation chronique intense. (lorisvitry.com)
  • Lors des préliminaires, je tremblais et j'étais en hyperventilation, j'ai ressenti comme un stress bizarre, comme si je ne supportais pas la sensation qui était intense. (saphirnews.com)
  • Ce qui se passe dans votre corps (hyperventilation, grand stress, crispation) dénote une grande appréhension et il est sûr que, si vous êtes tendue, la pénétration peut être très douloureuse. (saphirnews.com)
  • Par exemple, en cherchant " hyperventilation anxiety " (les études scientifiques sont souvent en anglais), nous avons presque un million de résultats. (lorisvitry.com)

Pas de images disponibles qui correspondent au "hyperventilation"