Un puissant et spécifique antiprotéase qui semble avoir bon biodisponibilité orale.
Les inhibiteurs de protéase du VIH, une enzyme requise pour production de protéines nécessaires pour une assemblée.
Une antiprotéase qui agit en interférant avec le cycle de reproduction du VIH. Il inhibe également l ’ isoforme CYP3A du cytochrome P-450.
Une antiprotéase qui agit comme un analogue de la protéase du VIH un site de clivage. C'est un inhibiteur hautement spécifique protéases du VIH-1 et VIH-2 et également inhibiteur du cytochrome P-450 Cyp3A.
Un puissant inhibiteur de la protéase du VIH. Il est utilisé en association avec d'autres médicaments antiviraux dans le traitement du VIH chez les adultes et enfants.
Médicaments utilisés pour traiter le SIDA et / ou arrêter la propagation de l'infection par le VIH. Ces n'incluent pas de médicaments utilisés pour traiter les symptômes ou des infections opportunistes liées au SIDA.
Un dideoxynucleoside analogue qui inhibe la transcriptase inverse et a une activité in vitro contre le VIH.
Inclut le spectre du virus de l ’ immunodéficience humaine infections allant de séropositivité a été asymptomatique, thru complexe liée au SIDA (CRA), de Syndrome d'Immunodéficience Acquise (SIDA).
Six-membered heterocycles contenant un azote et d'oxygène.
Enzyme du virus de l'immunodéficience humaine qui est requis pour post-translational clivage du précurseur polyprotéique viral gag et gag-pol fonctionnelle virale dans des essais cliniques menés avec la protéase du VIH est une assemblée. Protéase Aspartic codée par les acides terminus de la pol Gene.
Le traitement par deux ou plusieurs des formulations distinctes donné pour un effet combiné.
L'action d'une drogue qui peuvent affecter le métabolisme ou l 'activité, la toxicité d ’ un autre médicament.
Un moyen de résumant les informations statistiques d'une série de mesures sur un individu. C'est souvent utilisé en pharmacologie clinique où l ’ ASC de sériques peut être interprété comme la captation total de ce qui a été administré. Comme un complot de la concentration du médicament contre le temps, après une dose unique de médicament et produit une forme standard courbe, c'est un moyen de comparer la biodisponibilité de la même drogue fait par différentes compagnies. (De Winslade, Dictionary of Clinical Research, 1992)
Un de la transcriptase inverse et la zalcitabine analogue dans lequel un atome de soufre remplace le 3 'carbone des pentose bague. Il est utilisé pour traiter la maladie liée au VIH.
Un composé dideoxynucleoside dans lequel le groupe 3 '-hydroxylé fraction sur le sucre a été remplacé par un groupe azido. Cette modification empêche la formation de liens phosphodiester qui sont nécessaires pour la réalisation de chaînes d'acides nucléiques. Le composé est un inhibiteur puissant de la réplication du VIH, agissant comme un chain-terminator d ’ ADN viral pendant VIH-1 et VIH-2. Ça améliore la fonction immunitaire, partiellement les canaux HIV-induced dysfonctionnement neurologique, et améliore certains autres anomalies cliniques associées au SIDA. Son principal effet toxique est dose-dépendante la suppression de moelle osseuse, entraînant une anémie et leucopénie.
OXAZINES fusionné avec un noyau benzénique.
Pyrimidinones are heterocyclic organic compounds that consist of a pyrimidine ring fused with a ketone group, commonly found in various natural and synthetic bioactive molecules, including some antibiotics and antiviral agents.
Le type espèces de LENTIVIRUS etiologic et l'agent du sida. C'est caractérisé par son effet cytopathic et affinité au récepteur T4-lymphocyte.
Dérivés d ’ acide carbamic, H2NC (= O') Oh inclus sous cette rubrique sont N-substituted et O-substituted carbamic aminés. En général ester carbamate sont dénommés urethanes, et des polymères qui comprennent les unités de répéter carbamate sont dénommés polyuréthane. Cependant remarquer que la polymérisation polyuréthane proviennent de ISOCYANATES et le singulier uréthane d ’ expiration fait référence au terme de carbamic ester éthyle l'acide.
La présence de globules blancs (leucocytes) dans les urines. C'est souvent associée à une infection bactérienne des voies urinaires. Pyurie sans BACTERIURIA peut être causé par la tuberculose, cailloux, ou un cancer.
Une antiprotéase utilisé en association à dose fixe avec RITONAVIR. Il est également un inhibiteur du cytochrome P-450 Cyp3A.
La voie du cytochrome P-450 suptype qui a spécificité pour une large variété de composés lipophile ; gros, y compris des stéroides ACIDS ; et XENOBIOTICS. Cette enzyme a signification clinique grâce à sa capacité à métaboliser diversifiée cliniquement important réseau de drogues comme la ciclosporine, vérapamil ; et de midazolam. Cette enzyme catalysent aussi la une N-déméthylation d'érythromycine.
Inhibiteurs de la transcriptase inverse (RNA-DIRECTED ADN polymérase), enzyme qui synthétise l'ADN sur l'ARN modèle.
Une plante Genus de la famille des Fabacées.
Le nombre de lymphocytes T CD4-Positive par unité de volume de sang. Détermination requiert l'utilisation d'un fluorescence-activated cytomètre.
Un composé dideoxynucleoside dans lequel le groupe 3 '-hydroxylé sur le sucre a été remplacé par une fraction de l'hydrogène. Cette modification empêche la formation de liens phosphodiester qui sont nécessaires pour la réalisation de chaînes d'acides nucléiques. De la didanosine n ’ est un inhibiteur puissant de la réplication du VIH, agissant comme un chain-terminator d ’ ADN viral en se liant à la transcriptase inverse ; ddI est ensuite métabolisé à didéoxyadénosine triphosphate putatif, son métabolite actif.
La quantité de virus présente dans un corps mesurables liquide, modification de la charge virale, mesuré dans le plasma, est parfois utilisé comme une mère porteuse lanterne rouge dans l ’ évolution de la maladie.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Traitements administrés aux patients atteints par le VIH INFECTIONS, que agressivement supprimer la réplication du VIH, les traitements impliquent généralement l ’ administration de trois ou plus différents médicaments incluant un inhibiteur de protéase.
Formation des pierres dans le rein.

Indinavir est un médicament antiviral utilisé pour traiter l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il appartient à une classe de médicaments appelés inhibiteurs de protéase. Indinavir fonctionne en bloquant l'action d'une protéine nécessaire à la réplication du VIH, ce qui empêche le virus de se multiplier dans le corps.

Indinavir est souvent utilisé en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux pour traiter le VIH. Il est disponible sous forme de comprimés et doit être pris plusieurs fois par jour, généralement une heure avant ou deux heures après les repas.

Les effets secondaires courants d'Indinavir peuvent inclure des nausées, des maux de tête, des éruptions cutanées, des changements dans la perception gustative et des douleurs abdominales. Des effets secondaires plus graves peuvent inclure une augmentation du risque de calculs rénaux, des problèmes hépatiques et une diminution du nombre de cellules sanguines.

Il est important que les patients prennent Indinavir exactement comme prescrit par leur médecin et qu'ils informent leur médecin de tous les autres médicaments qu'ils prennent, car Indinavir peut interagir avec d'autres médicaments et entraîner des effets secondaires graves. Les patients doivent également subir des analyses sanguines régulières pour surveiller leur fonction hépatique et rénale pendant le traitement par Indinavir.

Les inhibiteurs de protéase du VIH sont une classe de médicaments antirétroviraux utilisés dans le traitement de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le syndrome de l'immunodéficience acquise (SIDA).

Le VIH est un rétrovirus qui se réplique en infectant les cellules du système immunitaire et en utilisant leurs enzymes pour produire des copies de lui-même. La protéase du VIH est une enzyme essentielle à cette réplication, car elle clive les longues chaînes de polypeptides viraux en petites protéines fonctionnelles qui forment la structure du virus mature.

Les inhibiteurs de protéase du VIH sont des médicaments synthétiques qui se lient spécifiquement à la protéase du VIH et empêchent sa fonction, entraînant ainsi l'accumulation de polypeptides non fonctionnels et l'empêchant de produire des virus matures infectieux.

En inhibant la réplication du VIH, ces médicaments peuvent aider à ralentir la progression de la maladie, à améliorer la fonction immunitaire et à prévenir les complications liées au SIDA. Les inhibiteurs de protéase du VIH sont souvent utilisés en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux dans un régime thérapeutique appelé thérapie antirétrovirale hautement active (HAART).

Le Ritonavir est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il appartient à la classe des inhibiteurs de protéase, qui fonctionnent en bloquant une enzyme appelée protéase dont le VIH a besoin pour se répliquer. En empêchant la protéase de fonctionner, Ritonavir ralentit la multiplication du VIH dans le corps.

Cependant, il est important de noter que Ritonavir n'est pas utilisé seul dans le traitement du VIH, mais plutôt en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux. Cela s'appelle une thérapie antirétrovirale hautement active (TARHA).

Ritonavir est également souvent utilisé à faibles doses comme un "boosteur" pour d'autres inhibiteurs de protéase, ce qui signifie qu'il est utilisé pour augmenter les niveaux sanguins et l'efficacité de ces médicaments.

Les effets secondaires courants du Ritonavir comprennent des nausées, des vomissements, de la diarrhée, des changements dans le goût (dysgueusie), des maux de tête et des éruptions cutanées. Certains patients peuvent également développer des problèmes hépatiques ou pancréatiques graves. Comme avec tous les médicaments, il doit être utilisé sous la direction d'un médecin qualifié qui surveillera attentivement les effets du médicament sur le patient.

Le Saquinavir est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il s'agit d'un inhibiteur de protéase, ce qui signifie qu'il bloque une enzyme dont le VIH a besoin pour se répliquer. En empêchant la protéase de fonctionner correctement, le saquinavir ralentit la multiplication du virus dans le corps.

Ce médicament est souvent utilisé en combinaison avec d'autres antirétroviraux dans une thérapie appelée thérapie antirétrovirale hautement active (HAART). La HAART vise à réduire la quantité de VIH dans le corps à des niveaux si bas qu'ils ne peuvent pas être détectés par les tests sanguins. Cela permet d'améliorer l'état du système immunitaire et de réduire le risque de complications liées au sida.

Le saquinavir est disponible sous forme de comprimés et doit être pris conformément aux instructions de votre médecin, généralement deux à trois fois par jour. Les effets secondaires courants du médicament peuvent inclure des maux d'estomac, des nausées, des vomissements, des diarrhées, des éruptions cutanées et des changements dans la forme et la couleur de la graisse corporelle.

Comme tous les médicaments antirétroviraux, le saquinavir ne guérit pas l'infection par le VIH, mais il peut aider à contrôler la maladie et à améliorer la qualité de vie des personnes vivant avec le virus.

Nelfinavir est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il appartient à la classe des inhibiteurs de protéase, qui sont des médicaments conçus pour inhiber la protéase, une enzyme essentielle à la réplication du VIH.

En empêchant la protéase de fonctionner correctement, Nelfinavir empêche le virus de se multiplier dans les cellules du corps, ralentissant ainsi la progression de la maladie et améliorant l'issue clinique des patients infectés par le VIH.

Nelfinavir est souvent utilisé en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux dans le cadre d'une thérapie hautement active contre le VIH (HAART). Il est disponible sous forme de comprimés et doit être pris par voie orale, généralement deux à trois fois par jour.

Comme tous les médicaments antirétroviraux, Nelfinavir peut entraîner des effets secondaires, notamment des nausées, des diarrhées, des maux de tête et des éruptions cutanées. Dans de rares cas, il peut également provoquer des réactions allergiques graves ou affecter la fonction hépatique. Il est important que les patients soient étroitement surveillés pour détecter tout effet indésirable pendant le traitement par Nelfinavir.

Les agents antirétroviraux (ARV) sont une classe de médicaments utilisés pour traiter les infections à rétrovirus, y compris le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Le VIH est le virus qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Les agents antirétroviraux fonctionnent en interférant avec les différentes étapes du cycle de réplication du VIH, ce qui empêche le virus de se multiplier dans le corps.

Les agents antirétroviraux sont souvent combinés en thérapie antirétrovirale (TAR) pour maximiser leur efficacité et minimiser la résistance du virus aux médicaments. La TAR est généralement composée de trois ou quatre ARV différents, appartenant à au moins deux classes différentes d'agents antirétroviraux. Les classes courantes d'agents antirétroviraux comprennent les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI), les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI), les inhibiteurs de protéase (IP), les inhibiteurs d'intégrase (INI) et les inhibiteurs d'entrée.

L'utilisation d'une TAR peut considérablement réduire la charge virale du VIH dans le sang, ralentir la progression de la maladie et améliorer la fonction immunitaire. Cependant, les agents antirétroviraux ne peuvent pas éliminer complètement le virus du corps et doivent être pris en continu pour maintenir leur efficacité. Les personnes vivant avec le VIH qui suivent une TAR doivent également prendre des précautions pour prévenir la transmission du virus à d'autres personnes.

La Stavudine est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il appartient à une classe de médicaments appelés inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI). La stavudine agit en interférant avec la capacité du VIH à se répliquer dans le corps. Elle est souvent prescrite en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux pour former une thérapie antirétrovirale hautement active (HAART). Les effets secondaires courants de la stavudine peuvent inclure des nausées, des vomissements, des diarrhées, des maux de tête et des douleurs articulaires. Des effets secondaires plus graves tels que des lésions nerveuses, une altération du métabolisme des graisses et une acidose lactique peuvent également survenir avec un traitement à long terme par stavudine.

Les oxazines sont un type de composé hétérocyclique qui contient un cycle de six atomes, composé d'un atome d'azote et d'un atome d'oxygène, ainsi que quatre atomes de carbone. Ils sont largement utilisés en chimie organique comme matériaux de construction pour la synthèse de divers composés, y compris les colorants et les médicaments.

Dans un contexte médical, les oxazines peuvent faire référence à des médicaments spécifiques qui contiennent ce groupe fonctionnel particulier dans leur structure chimique. Ces médicaments comprennent certains antidépresseurs, antihistaminiques et anti-inflammatoires.

Les oxazines ont également été étudiées pour leurs propriétés pharmacologiques potentielles, telles que leurs activités antitumorales, antibactériennes et antivirales. Cependant, il convient de noter qu'il existe encore relativement peu de recherches sur les effets des oxazines sur la santé humaine, et davantage d'études sont nécessaires pour déterminer leur sécurité et leur efficacité en tant que traitements médicaux.

L'enzyme HIV Protease est une protéase virale essentielle à la réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Cette enzyme joue un rôle crucial dans la maturation et la libération des nouveaux virions du VIH à partir des cellules infectées.

Le VIH utilise l'ARN comme matériel génétique, qui doit être converti en ADN par une enzyme appelée reverse transcriptase avant d'être intégré dans le génome de la cellule hôte. Une fois que l'intégration a eu lieu, les gènes viraux sont transcrits et traduits pour produire des polyprotéines non fonctionnelles. HIV Protease est responsable de cliver ces polyprotéines en fragments plus petits et fonctionnels qui peuvent s'assembler pour former de nouveaux virions matures.

En raison de son rôle essentiel dans le cycle de réplication du VIH, HIV Protease est considérée comme une cible importante pour le développement d'inhibiteurs de protéases, qui sont largement utilisés dans le traitement de l'infection par le VIH. Ces médicaments se lient spécifiquement à l'enzyme et empêchent sa fonction, entraînant la production de virions immatures et non infectieux.

La polychimiothérapie est un traitement médical qui consiste en l'utilisation simultanée de plusieurs médicaments chimiques, principalement des agents cytotoxiques ou antinéoplasiques. Elle est le plus souvent utilisée dans le contexte du cancer pour décrire un plan de traitement combinant au moins deux voire trois ou plus de ces agents chimiothérapeutiques.

L'objectif de cette approche est d'augmenter l'efficacité thérapeutique en attaquant les cellules cancéreuses sur différents fronts, ce qui peut potentialiser les effets des médicaments, réduire la résistance aux traitements et améliorer les taux de réponse. Cependant, cela peut également accroître la toxicité et les effets secondaires, nécessitant une surveillance étroite du patient pendant le traitement.

Les interactions médicamenteuses se réfèrent à la façon dont deux ou plusieurs médicaments, ou un médicament et une substance alimentaire, peuvent interagir entre eux en modifiant l'absorption, le métabolisme, la distribution ou l'excrétion d'un des composants. Cela peut entraîner des effets thérapeutiques accrus ou réduits, ou provoquer des effets indésirables imprévus.

Les interactions médicamenteuses peuvent être pharmacodynamiques, ce qui signifie que la réponse de l'organisme à un médicament est modifiée par la présence d'un autre médicament ; ou pharmacocinétiques, ce qui signifie que la façon dont le corps traite un médicament est affectée par l'interaction.

Ces interactions peuvent se produire lorsqu'un patient prend simultanément plusieurs médicaments prescrits par différents médecins, combine des médicaments sur ordonnance avec des suppléments en vente libre ou des aliments, ou utilise des médicaments de manière incorrecte. Il est donc crucial pour les professionnels de la santé d'être conscients et de surveiller activement ces interactions potentielles pour garantir la sécurité et l'efficacité du traitement.

La « Surface Sous la Courbe » (SSC) est un terme utilisé en pharmacocinétique et en physiologie pour décrire l'intégrale du produit de la concentration plasmatique d'une substance (médicament, hormone, etc.) en fonction du temps après son administration. Elle est représentée graphiquement par la surface délimitée sous la courbe formée par la concentration plasmatique en fonction du temps.

La SSC est un indicateur important de l'exposition systémique d'un organisme à une substance donnée et peut être utilisée pour évaluer la biodisponibilité, la cinétique d'absorption, de distribution et d'élimination de cette substance. Elle est souvent exprimée en unités de concentration-temps par unité de temps (par exemple, mg/L x heure) ou en unités de concentration par unité de surface corporelle par unité de temps (par exemple, mg/kg x heure/m²).

La SSC est généralement calculée à l'aide d'un logiciel spécialisé ou d'une méthode numérique, telle que la méthode des trapèzes ou la méthode de Simpson, qui consistent à approximer la surface sous la courbe par une somme de trapèzes ou de paraboles.

La lamivudine est un médicament antiviral utilisé dans le traitement de deux infections virales graves : le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de l'hépatite B.

Pour le VIH, la lamivudine est souvent utilisée en combinaison avec d'autres médicaments antirétroviraux dans un régime de thérapie antirétrovirale hautement active (HAART). Elle fonctionne en inhibant une enzyme virale appelée reverse transcriptase, ce qui empêche le VIH de se répliquer dans les cellules infectées.

Pour l'hépatite B, la lamivudine est utilisée pour traiter les infections chroniques chez les personnes présentant une maladie hépatique active. Elle inhibe également la reverse transcriptase du virus de l'hépatite B, ce qui ralentit ou empêche la réplication du virus et peut aider à prévenir les dommages au foie.

La lamivudine est disponible sous forme de comprimés ou de solution liquide et est généralement bien tolérée, bien que des effets secondaires tels que des maux de tête, des nausées, de la fatigue et des douleurs abdominales puissent survenir. Une utilisation à long terme peut entraîner une résistance virale au médicament.

La zidovudine, également connue sous le nom de AZT ou azidothymidine, est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il appartient à une classe de médicaments appelés inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI).

La zidovudine fonctionne en interférant avec la capacité du VIH à se répliquer dans les cellules infectées. Il est converti en sa forme active après avoir été absorbé par la cellule, où il inhibe l'enzyme transcriptase inverse du VIH, empêchant ainsi le virus de copier son matériel génétique et de se multiplier.

Bien que la zidovudine ne puisse pas éradiquer complètement le VIH d'un individu, elle peut aider à ralentir la progression du virus vers le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) et à améliorer la qualité de vie des personnes infectées par le VIH.

Ce médicament est souvent utilisé en combinaison avec d'autres antirétroviraux dans un régime thérapeutique appelé thérapie antirétrovirale hautement active (TARHA). Les effets secondaires courants de la zidovudine comprennent des maux de tête, des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales et une fatigue accrue.

Il est important de noter que l'utilisation à long terme de la zidovudine peut entraîner des effets indésirables graves tels qu'une anémie et une suppression de la moelle osseuse, ce qui nécessite une surveillance étroite du patient.

Les benzoxazines sont des composés hétérocycliques qui contiennent un noyau benzénique fusionné avec un oxazine. Ils sont utilisés dans la synthèse de divers matériaux, tels que les polymères et les résines, en raison de leurs propriétés thermostatiques et de leur résistance chimique.

Dans le contexte médical, les benzoxazines ne sont pas couramment utilisés comme médicaments ou agents thérapeutiques. Cependant, certaines recherches ont exploré l'utilisation potentielle des benzoxazines dans la synthèse de nouveaux composés pharmaceutiques en raison de leurs propriétés biologiques intéressantes, telles que leur activité anti-inflammatoire et antimicrobienne.

Il est important de noter que les benzoxazines peuvent également avoir des effets toxiques et cancérigènes, il est donc essentiel de procéder à des études approfondies avant de considérer leur utilisation dans des applications médicales.

Les pyrimidinones sont un type de composé hétérocyclique qui contient un cycle à six membres avec deux atomes d'azote et deux doubles liaisons. Dans les pyrimidinones, un groupe carbonyle (=O) est également attaché à l'un des atomes de carbone du cycle. Les pyrimidinones sont structurellement apparentées aux pyrimidines, qui sont un type important de bases nucléiques dans l'ADN et l'ARN.

En médecine, les pyrimidinones peuvent être utilisées comme composants de médicaments ou d'agents thérapeutiques. Par exemple, certaines pyrimidinones ont montré une activité antivirale contre le virus de l'herpès simplex et d'autres virus à ADN. D'autres pyrimidinones peuvent avoir des propriétés anti-inflammatoires ou anticancéreuses. Cependant, il convient de noter que la plupart des recherches sur les pyrimidinones sont encore à un stade précoce et qu'aucun médicament basé sur ces composés n'a été approuvé pour une utilisation clinique générale.

Le VIH-1 (virus de l'immunodéficience humaine de type 1) est un rétrovirus qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) en infectant et en détruisant les cellules du système immunitaire, en particulier les lymphocytes T CD4+. Il se transmet principalement par contact avec des fluides corporels infectés, tels que le sang, le sperme, les sécrétions vaginales et le lait maternel.

Le VIH-1 est un virus enveloppé à ARN simple brin qui se réplique en utilisant une enzyme appelée transcriptase inverse pour convertir son génome d'ARN en ADN, qui peut ensuite s'intégrer dans l'ADN de la cellule hôte. Cela permet au virus de se répliquer avec la cellule hôte et de produire de nouveaux virions infectieux.

Le VIH-1 est classé en plusieurs groupes et sous-types, qui diffèrent par leur distribution géographique et leurs propriétés immunologiques. Le groupe M est le plus répandu et comprend la majorité des souches circulant dans le monde. Les sous-types du groupe M comprennent B, A, C, D, CRF01_AE, CRF02_AG et d'autres.

Le diagnostic du VIH-1 est généralement posé par détection d'anticorps contre le virus dans le sang ou par détection directe de l'ARN viral ou de l'ADN proviral dans les échantillons cliniques. Il n'existe actuellement aucun vaccin préventif contre le VIH-1, mais des médicaments antirétroviraux (ARV) peuvent être utilisés pour traiter et contrôler l'infection.

Les carbamates sont un groupe de composés organiques qui contiennent un groupe fonctionnel carbamate, constitué d'un groupe carbonyle (-C=O) lié à un groupe amine (-NH-). Dans le contexte médical, les carbamates font souvent référence à une classe d'agents chimiques utilisés dans la fabrication de médicaments et de pesticides.

En médecine, certains carbamates sont utilisés comme médicaments, tels que le néostigmine et la pyridostigmine, qui sont des inhibiteurs de la cholinestérase utilisés pour traiter la myasthénie grave et d'autres conditions neuromusculaires. Ils fonctionnent en inversant l'action de l'acétylcholine esterase, une enzyme qui dégrade l'acétylcholine, un neurotransmetteur important pour la transmission des impulsions nerveuses aux muscles.

D'autres carbamates sont utilisés comme pesticides, tels que le carbaryle et le methomyl, qui agissent en inhibant l'acétylcholinestérase dans les insectes, entraînant une accumulation d'acétylcholine et finalement la mort de l'insecte. Cependant, ces pesticides peuvent également avoir des effets toxiques sur les mammifères, y compris les humains, s'ils sont exposés à des niveaux élevés.

En résumé, les carbamates sont une classe de composés organiques qui ont diverses utilisations médicales et industrielles. Dans le contexte médical, ils sont souvent utilisés comme médicaments pour traiter certaines conditions neuromusculaires, tandis que dans l'industrie, ils sont largement utilisés comme pesticides.

La pyurie est un terme médical qui décrit la présence de pus dans l'urine. Le pus est un liquide jaunâtre ou vert foncé contenant des leucocytes (globules blancs) et des micro-organismes, généralement des bactéries. La pyurie est souvent associée à une infection des voies urinaires (IVU), en particulier lorsqu'elle est combinée avec la bactériurie (la présence de bactéries dans l'urine).

Les symptômes d'une IVU peuvent inclure une miction fréquente, une sensation de brûlure pendant la miction, des douleurs abdominales ou pelviennes, et des urines troubles, malodorantes ou contenant du sang. Cependant, il est important de noter que tous ces symptômes ne sont pas toujours présents, en particulier dans les populations plus âgées ou immunodéprimées.

Le diagnostic de pyurie peut être établi par l'examen microscopique de l'urine, qui révèle la présence de leucocytes et souvent d'autres éléments cellulaires anormaux. Des tests supplémentaires peuvent être nécessaires pour identifier la cause sous-jacente de l'infection et déterminer le traitement approprié.

Le lopinavir est un inhibiteur de protéase utilisé dans le traitement des infections au virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il fonctionne en empêchant la production de nouvelles particules virales, ce qui peut aider à ralentir la progression du VIH et à améliorer la réponse immunitaire de l'organisme. Le lopinavir est souvent combiné avec d'autres médicaments antirétroviraux pour former un régime thérapeutique complet. Il est disponible sous forme de capsule ou de solution orale et doit être pris en association avec une faible dose de ritonavir, qui sert à augmenter la concentration plasmatique du lopinavir. Les effets secondaires courants comprennent des nausées, des diarrhées, des maux de tête et des éruptions cutanées.

Le cytochrome P-450 CYP3A est un sous-type d'enzymes du cytochrome P-450 qui jouent un rôle crucial dans le métabolisme des médicaments et des xénobiotiques dans le foie et d'autres tissus. Le CYP3A est responsable de la biotransformation d'environ 50% des médicaments sur le marché, ce qui en fait l'enzyme hépatique la plus importante pour la détoxification des xénobiotiques et la clairance des médicaments.

Le CYP3A se trouve principalement dans le foie et l'intestin grêle, mais il est également présent dans d'autres tissus, tels que les reins, le cerveau et la peau. Il existe plusieurs isoformes du CYP3A, dont les plus courantes sont CYP3A4, CYP3A5 et CYP3A7.

Le CYP3A est capable de catalyser une large gamme de réactions oxydatives, y compris l'oxydation aromatique, l'hydroxylation alicyclique, la N-déalkylation, la S-oxyde et la déshydroxylation. Ces réactions peuvent entraîner l'activation ou la désactivation des médicaments, ainsi que la formation de métabolites actifs ou toxiques.

La régulation de l'expression du CYP3A est complexe et peut être influencée par de nombreux facteurs, tels que les facteurs génétiques, les maladies hépatiques, l'âge, le sexe, l'alimentation et la prise concomitante de médicaments. Les variations individuelles dans l'activité du CYP3A peuvent entraîner des différences importantes dans la réponse aux médicaments et le risque d'effets indésirables, ce qui souligne l'importance de prendre en compte ces facteurs lors de la prescription et de l'administration de médicaments.

Les inhibiteurs de la transcriptase inverse (ITI) sont une classe d'antirétroviraux utilisés dans le traitement des infections au virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Le VIH est un rétrovirus qui se caractérise par la présence d'une enzyme unique, la transcriptase inverse, capable de convertir l'ARN viral en ADN. Cette capacité permet au virus d'intégrer son matériel génétique dans celui de la cellule hôte et de perturber ainsi le fonctionnement normal de celle-ci.

Les ITI agissent en inhibant spécifiquement l'activité de la transcriptase inverse, empêchant ainsi la réplication du virus. Ils peuvent être classés en deux catégories : les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI) et les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI). Les INTI sont des analogues nucléosidiques qui, une fois incorporés dans l'ADN viral en croissance, provoquent la terminaison prématurée de l'ADN synthétisé. Les INNTI se lient directement et de manière irréversible à la transcriptase inverse, ce qui entraîne une distorsion de sa structure et donc son inactivation.

L'utilisation des ITI dans le cadre d'une thérapie antirétrovirale hautement active (TARHA) a permis d'améliorer considérablement la qualité de vie et l'espérance de vie des personnes vivant avec le VIH. Cependant, il est important de noter que les ITI ne représentent qu'une partie du traitement et doivent être associés à d'autres classes d'antirétroviraux pour assurer une suppression optimale de la réplication virale et minimiser le risque de développement de résistances.

Je suis désolé, mais le terme « Sophora » fait référence à un genre d'arbres et d'arbustes appartenant à la famille des Fabacées (légumineuses), et non pas à un terme médical. Ces plantes sont largement répandues dans les régions tempérées chaudes de l'hémisphère nord, ainsi que dans certaines parties de l'Amérique centrale et de l'Amérique du Sud. Certaines espèces de Sophora ont des propriétés médicinales et sont utilisées en médecine traditionnelle pour traiter divers maux, tels que les inflammations, les infections et les problèmes gastro-intestinaux. Cependant, il est important de noter que l'utilisation de ces remèdes à base de plantes doit être encadrée par un professionnel de santé qualifié, car ils peuvent interagir avec d'autres médicaments et présenter des risques pour la santé.

Le taux de lymphocytes CD4, également connu sous le nom de compte de cellules T auxiliaires ou compte de cellules T helper, est un indicateur important de la fonction du système immunitaire, en particulier dans le contexte du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Les lymphocytes CD4 sont un type de globule blanc qui joue un rôle crucial dans la réponse immunitaire adaptative.

Le taux de lymphocytes CD4 est mesuré en comptant le nombre de ces cellules dans un échantillon de sang. Les résultats sont généralement exprimés en cellules par microlitre (cellules/μL) ou en pourcentage des lymphocytes totaux. Un taux normal de lymphocytes CD4 se situe généralement entre 500 et 1,200 cellules/μL chez les adultes en bonne santé.

Dans le contexte du VIH, le virus infecte et détruit progressivement les lymphocytes CD4, entraînant une diminution de leur nombre dans le sang. Par conséquent, le taux de lymphocytes CD4 est un marqueur important pour suivre la progression de la maladie et l'efficacité du traitement antirétroviral. Un taux de lymphocytes CD4 inférieur à 200 cellules/μL est considéré comme un indicateur de sida, la forme avancée de l'infection par le VIH.

En résumé, le taux de lymphocytes CD4 est une mesure du nombre de ces cellules importantes dans le sang, qui jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire adaptative et sont souvent ciblées par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), entraînant une diminution de leur nombre.

La didéoxyinosine (ddI) est un médicament antirétroviral utilisé dans le traitement de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Il s'agit d'un inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse reverse-transcriptase inhibitor (NRTI). La didéoxyinosine est un analogue synthétique de l'inosine, qui est incorporé dans l'ADN en croissance lorsque la reverse transcriptase convertit l'ARN viral en ADN. Cela entraîne des arrêts prématurés de la chaîne d'ADN et empêche ainsi la réplication du virus.

Dans le corps, la didéoxyinosine est rapidement phosphorylée en sa forme active, le didéoxyinosine triphosphate (ddITP). Le ddITP est ensuite incorporé dans l'ADN viral par la reverse transcriptase, entraînant des mutations et une incapacité à se répliquer correctement.

Les effets secondaires courants de la didéoxyinosine comprennent des nausées, des vomissements, des diarrhées, des maux de tête, des éruptions cutanées et une perte de poids. Des effets secondaires plus graves peuvent inclure une neuropathie périphérique, une pancréatite, une anémie et une suppression du système immunitaire. La didéoxyinosine est généralement administrée en association avec d'autres médicaments antirétroviraux dans le cadre d'une thérapie antirétrovirale combinée (TAR).

La charge virale est un terme utilisé en virologie et en médecine pour décrire la quantité d'ARN ou d'ADN viral présente dans un échantillon biologique, généralement dans le sang ou les tissus. Elle est mesurée en copies par millilitre (cp/ml) ou par mL.

Dans le contexte des infections virales, la charge virale peut être utilisée pour surveiller l'activité de réplication du virus et la réponse au traitement. Par exemple, dans le cas de l'infection au VIH (virus de l'immunodéficience humaine), une charge virale indétectable (moins de 50 cp/ml) est considérée comme un marqueur important d'une suppression efficace de la réplication virale et d'une diminution du risque de transmission.

Cependant, il est important de noter que la charge virale ne reflète pas nécessairement l'étendue des dommages tissulaires ou la gravité de la maladie. D'autres facteurs, tels que la réponse immunitaire de l'hôte et les comorbidités sous-jacentes, peuvent également jouer un rôle important dans la progression de la maladie.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

La thérapie antirétrovirale hautement active (HAART) est un régime de traitement pour le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) qui utilise une combinaison de médicaments antirétroviraux appartenant à au moins deux classes différentes. Le but de ce traitement est d'inhiber efficacement la réplication du VIH, en abaissant la charge virale à des niveaux indétectables et en ralentissant la progression de la maladie vers le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA).

Le terme "hautement active" fait référence à l'utilisation simultanée de plusieurs médicaments antirétroviraux qui agissent à différentes étapes du cycle de réplication virale, ce qui rend plus difficile pour le virus de développer une résistance aux médicaments. Les classes de médicaments couramment utilisées dans les schémas HAART comprennent les inhibiteurs nucléos(t)idiques reverse transcriptase (NRTI), les inhibiteurs non nucléos(t)idiques reverse transcriptase (NNRTI), les inhibiteurs de protéase (PI) et, plus récemment, les inhibiteurs d'intégrase (INI).

L'initiation précoce du traitement HAART est recommandée pour améliorer les résultats cliniques et virologiques, ainsi que pour réduire le risque de transmission du VIH. Cependant, il est important de noter que la thérapie HAART nécessite une observance stricte et à long terme, car l'interruption ou la mauvaise observance du traitement peut entraîner une résurgence de la réplication virale et une progression de la maladie. En outre, les effets secondaires potentiels des médicaments doivent être pris en compte lors de la prescription d'un schéma HAART, et un suivi régulier est nécessaire pour surveiller l'efficacité du traitement et gérer les complications éventuelles.

La néphrolithiase, également connue sous le nom de lithiase rénale ou pierres aux reins, est une condition médicale où des calculs (petites masses solides) se forment dans les reins. Ces calculs peuvent être composés de différents minéraux et sels, tels que le calcium, l'oxalate, l'acide urique ou la cystine.

La formation de ces calculs peut être due à plusieurs facteurs, notamment une faible consommation d'eau, une alimentation riche en oxalates et en sodium, un excès de vitamine D, des antécédents familiaux de néphrolithiase, certaines affections sous-jacentes telles que les infections urinaires récurrentes, la goutte ou une maladie rénale sous-jacente.

Les symptômes de la néphrolithiase peuvent inclure des douleurs intenses dans le dos, le flanc ou l'abdomen, des nausées et des vomissements, des douleurs lors de la miction, une urine trouble ou malodorante, une urine rouge ou brune due à la présence de sang, et une sensation de brûlure en urinant. Dans certains cas, les calculs peuvent être expulsés naturellement dans l'urine sans traitement, mais dans d'autres cas, un traitement médical peut être nécessaire pour éliminer les calculs ou prévenir leur formation future.

Le traitement de la néphrolithiase dépend de la taille et de la localisation des calculs. Les petits calculs peuvent souvent être traités avec des médicaments qui aident à dissoudre les calculs ou à soulager les symptômes, tandis que les calculs plus grands peuvent nécessiter une intervention chirurgicale pour les enlever. Des mesures préventives telles qu'une hydratation adéquate, une alimentation équilibrée et un mode de vie sain peuvent aider à prévenir la formation de calculs rénaux.

en) M. Eira, M. Araujo et A. C. Seguro, « Urinary NO3 excretion and renal failure in indinavir-treated patients », Brazilian ... Indinavir impairs endothelial function in healthy HIV-negative men », American Heart Journal, vol. 150, no 5,‎ novembre 2005, p ...
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Réf #2407 : Selon une étude, des patients ayant reçus indinavir 800mg + ritonavir 100 mg BID avec amlodipine 5mg QD ont eu une ... Pharmacokinetic interactions between indinavir plus ritonavir and calcium channel blockers. Clin Pharmacol Ther, 2005, 78(2): ... Ce même patient a eu une reprise de lhypotension ortostatique avec lassociation indinavir/ritonavir et aucun symptôme avec ... augmentation de la SSC de lamlodipine denviron 90%. Dautres patients ont reçu indinavir 800 mg + ritonavir 100 mg BID avec ...
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  • Informez votre médecin si vous prenez du kétoconazole, médicaments contre le VIH (amprénavir, indinavir, le ritonavir, le saquinavir et nelfinavir). (pharmaciecanadienne.com)
  • On a observé une croissance de 23% et de 77% des 1er lignes et 2e lignes de traitement, du taux d'attrition (24%) de Zidovudine (301,8%), de Lopinavir/Ritonavir Sirop (166%), une baisse de Saquinavir (-30%) et Indinavir (19,5). (revues-ufhb-ci.org)
  • Au départ, la charge virale médiane était de 70 795 copies/mL dans le groupe sous abacavir et de 66 069 copies/mL dans le groupe sous indinavir. (ubc.ca)
  • Dans le cadre de cette étude, portant sur des patients qui n'ont encore jamais reçu d'antirétroviraux, le schéma associatif abacavir/lamivudine/zidovudine s'est montré équivalent au shéma associatif indinavir/lamivudine/zidovudine pour réduire la charge virale à moins de 400 copies/ml au bout de 48 semaines. (ubc.ca)
  • Invirase (indinavir) : n'est plus commercialisé en France. (seronet.info)
  • En dehors des lithiases à l' indinavir (inhibiteur de protéase), toutes les lithiases peuvent être visualisées par le scanner non injecté (à ne pas confondre avec un uroscanner). (medscape.com)

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