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Coronarographie
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Facteur Risque
Prospective Studies
Remodelage Ventriculaire
Reperfusion Myocardique
Maladies Expérimentales
Greffe De Cellules Souches Hématopoïétiques
Un infarctus, également connu sous le nom de crise cardiaque, est un événement médical grave dans lequel il y a une nécrose (mort) d'une partie du muscle cardiaque (myocarde) due à l'ischémie (manque d'apport sanguin). Cela se produit lorsqu'un caillot bloque l'afflux de sang vers une artère coronaire, qui fournit le sang riche en oxygène au myocarde. Sans un apport adéquat de sang et d'oxygène, les cellules cardiaques commencent à mourir en quelques minutes.
Les symptômes typiques d'un infarctus du myocarde comprennent une douleur thoracique intense et prolongée, souvent irradiant vers le bras gauche, l'épaule, le dos, la mâchoire ou le cou. D'autres symptômes peuvent inclure des nausées, des vomissements, des sueurs froides, une anxiété extrême, un essoufflement et une perte de conscience dans les cas graves.
Les facteurs de risque d'infarctus comprennent l'hypertension artérielle, le diabète, l'hypercholestérolémie, le tabagisme, l'obésité, une mauvaise alimentation, le manque d'exercice, le stress et une prédisposition génétique. Le diagnostic est généralement posé sur la base de l'histoire clinique du patient, de l'électrocardiogramme (ECG), des enzymes cardiaques sériques et de l'imagerie médicale telle que la tomographie par émission de positrons (TEP) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM).
Le traitement d'un infarctus du myocarde dépend de sa gravité et peut inclure des médicaments pour dissoudre les caillots sanguins, des anticoagulants pour prévenir la formation de nouveaux caillots, des analgésiques pour soulager la douleur thoracique, des bêta-bloquants pour ralentir le rythme cardiaque et réduire la demande en oxygène du cœur, des nitrates pour dilater les vaisseaux sanguins et améliorer la circulation sanguine, ainsi que des interventions telles que l'angioplastie coronarienne ou la chirurgie de pontage coronarien pour rétablir le flux sanguin vers le cœur.
Un infarctus du tronc cérébral (ITC) est un type rare mais grave d'accident vasculaire cérébral (AVC) qui se produit lorsqu'il y a une interruption de l'apport sanguin vers le tronc cérébral, qui est la partie centrale du cerveau qui connecte la majeure partie du cerveau et le cervelet à la moelle épinière. Cette interruption de l'apport sanguin est généralement causée par une obstruction des artères qui alimentent cette région en sang, souvent due à un caillot sanguin ou à une embolie.
L'ITC peut entraîner une variété de symptômes dépendant de la zone précise du tronc cérébral touchée, tels que des troubles de la conscience, des problèmes de déglutition et de mastication, des paralysies ou faiblesses musculaires, des vertiges, des maux de tête intenses, des modifications du niveau de vigilance, des pertes de sensation, des problèmes de coordination, des troubles visuels, des difficultés à réguler les fonctions cardiovasculaires et respiratoires, ainsi que des complications pouvant mettre en jeu le pronostic vital.
Le diagnostic d'un ITC repose généralement sur l'examen clinique, l'imagerie médicale (telle qu'une IRM ou un scanner cérébral) et d'autres tests complémentaires pour évaluer la fonction cardiovasculaire et exclure d'autres causes potentielles de symptômes. Le traitement de l'ITC vise à rétablir au plus vite la circulation sanguine dans le tronc cérébral, souvent par thrombolyse ou par intervention mécanique (thrombectomie), ainsi qu'à prévenir d'autres complications et à assurer des soins de soutien intensifs. Malheureusement, en raison de la gravité et de la localisation critique des lésions cérébrales associées à l'ITC, le pronostic est souvent réservé, avec un taux de mortalité élevé et des séquelles importantes chez les survivants.
Le tronc cérébral est une structure cruciale du système nerveux central qui connecte la majeure partie du cerveau avec la moelle épinière. Il joue un rôle essentiel dans la régulation des fonctions vitales automatiques telles que la respiration, la fréquence cardiaque et la pression artérielle.
Le tronc cérébral est composé de trois segments principaux : le mésencéphale (ou le milieu du tronc cérébral), le pont (ou pont de Varole) et la moelle allongée (ou bulbe rachidien). Chacun de ces segments contient divers noyaux et fascicules qui sont responsables de différentes fonctions, y compris la sensation, le mouvement, l'équilibre, les réflexes et la conscience.
Le tronc cérébral est également important pour les voies sensorielles et motrices qui traversent le cerveau. Par exemple, il contient les noyaux des nerfs crâniens III à XII, qui sont responsables de la vision, de l'ouïe, de l'équilibre, du mouvement des yeux, du goût, de la déglutition et d'autres fonctions importantes.
Des dommages au tronc cérébral peuvent entraîner de graves conséquences sur la santé, y compris des problèmes respiratoires, des troubles cardiovasculaires, une perte de conscience et même le décès.
Un infarctus du myocarde, souvent simplement appelé crise cardiaque, est un événement médical grave dans lequel il y a une nécrose (mort) d'une partie du muscle cardiaque (myocarde) due à l'ischémie (manque de sang et donc d'oxygène). Cela est généralement dû à une obstruction complète ou presque complète de l'un des vaisseaux sanguins coronaires, qui fournissent du sang au myocarde. L'obstruction est habituellement due à un caillot sanguin formé sur le site d'une plaque d'athérome (dépôt de graisse) dans la paroi de l'artère coronaire.
Le manque d'oxygène provoque la mort des cellules cardiaques, ce qui peut entraîner une altération de la fonction pompe du cœur. Les symptômes typiques comprennent une douleur thoracique intense et prolongée, souvent irradiant vers le bras gauche, l'épaule ou la mâchoire, associée à des nausées, des vomissements, de la sueur et parfois une perte de conscience.
Le traitement immédiat vise à rétablir la circulation sanguine dans le muscle cardiaque aussi rapidement que possible, généralement par thrombolyse (dissolution du caillot sanguin) ou angioplastie coronarienne percutanée (procédure qui ouvre l'artère obstruée). Des soins médicaux et chirurgicaux continus sont nécessaires pour réduire les complications et améliorer le pronostic.
Les cellules souches sont des cellules indifférenciées qui ont la capacité de se diviser et de renouveler indéfiniment. Elles peuvent également donner naissance à différents types de cellules spécialisées dans l'organisme, telles que les cellules sanguines, musculaires ou nerveuses.
Il existe deux principaux types de cellules souches :
1. Cellules souches embryonnaires : Ces cellules souches sont obtenues à partir d'un embryon humain à un stade très précoce de développement, appelé blastocyste. Elles ont la capacité de se différencier en n'importe quel type de cellule dans le corps humain.
2. Cellules souches adultes ou somatiques : Ces cellules souches sont trouvées dans certains tissus et organes des adultes, tels que la moelle osseuse, la peau, le cerveau et les muscles. Elles ont une capacité de différenciation plus limitée que les cellules souches embryonnaires, mais elles peuvent quand même se différencier en différents types de cellules dans leur tissu d'origine.
Les cellules souches sont étudiées pour leurs propriétés régénératives et leur potentiel à traiter un large éventail de maladies, y compris les maladies dégénératives, les lésions tissulaires et le cancer. Cependant, il existe encore des défis importants en termes de sécurité, d'efficacité et d'éthique à surmonter avant que la thérapie par cellules souches ne devienne une réalité clinique courante.
Un infarctus cérébral, également connu sous le nom d'accident vasculaire cérébral ischémique, est un type de course cérébrale qui se produit lorsqu'il y a une interruption du flux sanguin vers une partie du cerveau due à l'obstruction ou à la constriction d'un vaisseau sanguin. Cela peut entraîner des dommages aux tissus cérébraux en raison du manque d'oxygène et des nutriments fournis par le sang.
Les causes courantes d'un infarctus cérébral comprennent la formation de caillots sanguins dans les vaisseaux sanguins du cerveau, l'athérosclérose (durcissement et rétrécissement des artères), l'embolie (quand un caillot voyage depuis une autre partie du corps jusqu'au cerveau) et la thrombose (formation d'un caillot dans un vaisseau sanguin déjà endommagé).
Les symptômes d'un infarctus cérébral peuvent inclure une faiblesse ou un engourdissement soudain du visage, des bras ou des jambes, en particulier d'un côté du corps ; confusion, difficulté à parler ou à comprendre la parole ; vision trouble ou perte de vision dans un ou les deux yeux ; difficulté à marcher, étourdissements, perte d'équilibre ou de coordination ; maux de tête soudains, sévères et sans cause apparente.
Le traitement précoce est crucial pour minimiser les dommages au cerveau et améliorer le pronostic. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments thrombolytiques pour dissoudre les caillots sanguins, des procédures d'angioplastie et de stenting pour ouvrir les vaisseaux sanguins rétrécis, ainsi que des soins de réadaptation pour aider à la récupération fonctionnelle.
La biochimie de l'encéphale se réfère à la branche de la biochimie qui étudie les processus chimiques et biochimiques qui se produisent dans le cerveau. Il s'agit d'une sous-spécialité de la neurochimie, qui traite des aspects chimiques du système nerveux central.
La biochimie de l'encéphale implique l'étude des molécules et des processus biochimiques dans le cerveau, y compris les neurotransmetteurs, les enzymes, les protéines, les lipides, les glucides et d'autres composés chimiques. Ces études peuvent être menées à la fois in vivo (dans des organismes vivants) et in vitro (dans des systèmes de laboratoire).
Les recherches en biochimie de l'encéphale ont des applications importantes dans la compréhension des maladies neurologiques et psychiatriques, telles que la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, la dépression et l'anxiété. En étudiant les changements biochimiques qui se produisent dans ces conditions, les scientifiques peuvent développer de nouveaux traitements et thérapies pour améliorer la santé du cerveau et du système nerveux central.
Les traumatismes de l'encéphale, également connus sous le nom de traumatismes crâniens, sont des dommages physiques au cerveau résultant d'un choc ou d'une blessure à la tête. Ces traumatismes peuvent être causés par une variété de facteurs, tels que des accidents de voiture, des chutes, des agressions physiques ou des sports de contact.
Les traumatismes de l'encéphale peuvent être classés en deux catégories principales : les traumatismes fermés et les traumatismes pénétrants. Les traumatismes fermés se produisent lorsqu'il n'y a pas de pénétration de l'objet dans le crâne, mais que la tête subit un impact violent qui fait bouger le cerveau à l'intérieur du crâne. Les traumatismes pénétrants, en revanche, se produisent lorsqu'un objet pénètre dans le crâne et endommage directement le tissu cérébral.
Les symptômes des traumatismes de l'encéphale peuvent varier considérablement en fonction de la gravité de la blessure. Les symptômes légers peuvent inclure des maux de tête, des étourdissements, une vision floue ou double, des nausées et des vomissements, ainsi que des difficultés de concentration ou de mémoire. Les traumatismes plus graves peuvent entraîner des convulsions, une perte de conscience, une paralysie, des problèmes de langage ou de communication, ainsi que des troubles émotionnels et comportementaux.
Le traitement des traumatismes de l'encéphale dépend de la gravité de la blessure. Les traumatismes légers peuvent être traités avec du repos, des analgésiques et une surveillance médicale. Les traumatismes plus graves peuvent nécessiter une intervention chirurgicale pour réparer les dommages au cerveau ou à la moelle épinière, ainsi qu'une réadaptation pour aider les patients à retrouver leurs fonctions normales. Dans les cas les plus graves, les traumatismes de l'encéphale peuvent entraîner des handicaps permanents ou même la mort.
Les tumeurs cérébrales sont des croissances anormales de cellules à l'intérieur ou autour du cerveau. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs cérébrales bénignes ont tendance à se développer plus lentement et sont moins susceptibles de se propager hors du cerveau. Cependant, elles peuvent encore être dangereuses si elles pressent sur des parties vitales du cerveau. Les tumeurs cérébrales malignes se développent rapidement, ont tendance à envahir les tissus cérébraux voisins et peuvent se propager à d'autres parties du corps.
Les symptômes des tumeurs cérébrales dépendent de leur taille, de leur emplacement et de la vitesse à laquelle elles se développent. Ils peuvent inclure des maux de tête sévères et persistants, des nausées ou des vomissements, une vision floue ou double, des problèmes d'équilibre ou de coordination, des changements de personnalité ou de comportement, des convulsions, des problèmes de mémoire ou de concentration, et dans certains cas, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps.
Le traitement dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, de son caractère bénin ou malin, de l'âge et de l'état général du patient. Il peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses, ou une thérapie ciblée qui utilise des médicaments pour cibler spécifiquement les changements dans les cellules cancéreuses.
Les tumeurs du tronc cérébral sont des tumeurs qui se développent dans le tronc cérébral, qui est la partie inférieure et centrale du cerveau qui relie le cerveau à la moelle épinière. Le tronc cérébral contrôle de nombreuses fonctions vitales telles que la respiration, la fréquence cardiaque, la déglutition, l'équilibre et les mouvements oculaires.
Les tumeurs du tronc cérébral peuvent être bénignes ou malignes et peuvent provenir de divers types de cellules dans cette région du cerveau. Les tumeurs gliales, telles que les astrocytomes et les gliomes, sont les types de tumeurs les plus courants qui se développent dans le tronc cérébral. Ces tumeurs peuvent comprimer ou endommager les structures vitales du tronc cérébral, entraînant une variété de symptômes, notamment des maux de tête, des nausées, des vomissements, des vertiges, des troubles de l'équilibre, des faiblesses musculaires, des difficultés à avaler et à parler, des modifications de la vision et des mouvements oculaires anormaux.
Le traitement des tumeurs du tronc cérébral dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de l'état général de santé du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et une chimiothérapie pour empêcher la croissance des cellules cancéreuses. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être utilisée pour obtenir les meilleurs résultats possibles.
L'encéphale est la structure centrale du système nerveux situé dans la boîte crânienne. Il comprend le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral. L'encéphale est responsable de la régulation des fonctions vitales telles que la respiration, la circulation sanguine et la température corporelle, ainsi que des fonctions supérieures telles que la pensée, la mémoire, l'émotion, le langage et la motricité volontaire. Il est protégé par les os de la boîte crânienne et recouvert de trois membranes appelées méninges. Le cerveau et le cervelet sont floating dans le liquide céphalo-rachidien, qui agit comme un coussin pour amortir les chocs et les mouvements brusques.
Je suis désolé, "facteur temps" n'a pas de définition spécifique dans le domaine médical. Le terme "facteur temps" est plutôt utilisé en général pour décrire la durée pendant laquelle quelque chose se produit ou évolue, ou il peut également faire référence à l'importance de considérer le moment et la planification dans un contexte médical. Par exemple, l'administration d'un médicament à un moment précis ("facteur temps critique") ou la progression d'une maladie au fil du temps ("évolution temporelle de la maladie") peuvent être décrites en utilisant le terme "facteur temps". Cependant, il n'y a pas de définition médicale universellement acceptée pour ce terme.
La cartographie cérébrale est une technique d'investigation utilisée en neurosciences pour représenter les fonctions cognitives, sensorielles et motrices spécifiques à différentes régions du cerveau. Elle permet de comprendre la relation entre l'anatomie cérébrale et la fonction cognitive. Cette méthode est particulièrement utile dans le domaine de la neurologie et de la neurochirurgie pour planifier des interventions chirurgicales délicates, comme l'ablation de tumeurs cérébrales ou l'implantation d'électrodes pour le traitement de l'épilepsie.
Les techniques de cartographie cérébrale incluent l'enregistrement des potentiels évoqués, la stimulation magnétique transcrânienne (TMS), la stimulation électrique transcrânienne (TES) et l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Chacune de ces méthodes a ses avantages et inconvénients, mais elles visent toutes à fournir une image détaillée des zones cérébrales actives pendant l'exécution de diverses tâches mentales ou physiques.
En résumé, la cartographie cérébrale est une approche essentielle pour comprendre le fonctionnement du cerveau et aider au diagnostic et au traitement des troubles neurologiques.
Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.
Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.
Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.
Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.
Une greffe de cellules souches est un processus médical dans lequel des cellules souches sont introduites dans un organisme ou un tissu pour remplacer ou restaurer des cellules endommagées ou défaillantes. Les cellules souches peuvent être prélevées à partir de la moelle osseuse, du sang périphérique, du cordon ombilical ou d'autres sources, et sont souvent cultivées en laboratoire avant d'être implantées chez le patient.
Les greffes de cellules souches peuvent être utilisées pour traiter une variété de maladies, y compris les cancers du sang comme la leucémie et le lymphome, les troubles sanguins héréditaires comme l'anémie de Fanconi, et certaines maladies neurologiques dégénératives.
Le processus de greffe de cellules souches implique généralement trois étapes : la préparation du patient, la collecte des cellules souches et l'administration des cellules souches. La préparation du patient peut inclure une chimiothérapie ou une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses ou endommagées dans le corps. Les cellules souches sont ensuite collectées à partir d'un donneur compatible ou du propre corps du patient, purifiées et concentrées en laboratoire. Enfin, les cellules souches sont réintroduites dans le corps du patient par perfusion intraveineuse.
Les risques associés aux greffes de cellules souches dépendent de plusieurs facteurs, tels que la source des cellules souches, la maladie traitée et l'état de santé général du patient. Les complications courantes peuvent inclure des infections, des saignements, des réactions allergiques et une maladie du greffon contre l'hôte (GVHD), dans laquelle le système immunitaire du donneur attaque les tissus sains du receveur. Cependant, avec des soins appropriés et un suivi médical régulier, de nombreux patients peuvent bénéficier d'une greffe de cellules souches réussie et d'une amélioration significative de leur état de santé.
En anatomie botanique, la "tige de plante" est définie comme la partie d'une plante qui se trouve généralement au-dessus du sol et qui supporte les feuilles, les fleurs et les fruits. Il conduit également la sève brute vers les parties aériennes de la plante. La tige peut être herbacée (vert, souple et flexible) ou ligneuse (dur et boisé), selon l'espèce de la plante.
Dans un contexte médical, le terme "tige" est parfois utilisé pour décrire des structures anormales qui se développent dans le corps, comme les tiges osseuses anormales observées dans certaines affections squelettiques. Cependant, lorsqu'il s'agit de phytothérapie ou de médecine à base de plantes, la "tige" fait référence aux parties dures et ligneuses des plantes qui sont souvent utilisées pour leurs propriétés médicinales.
Il est important de noter que les définitions peuvent varier en fonction du contexte et de l'usage, il est donc toujours conseillé de préciser le sens lorsque vous utilisez ce terme.
Les cellules souches hématopoïétiques sont un type de cellules souches qui se trouvent dans la moelle osseuse et sont responsables de la production de tous les types de cellules sanguines dans le corps. Elles ont la capacité de s'auto-renouveler et de se différencier en différents types de cellules sanguines, telles que les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes.
Les cellules souches hématopoïétiques peuvent être obtenues à partir de la moelle osseuse, du sang périphérique ou du cordon ombilical après la naissance. Elles sont largement utilisées en médecine régénérative et dans les greffes de cellules souches pour traiter une variété de maladies sanguines et du système immunitaire, telles que les leucémies, les lymphomes, les anémies et les déficiences immunitaires.
Les cellules souches hématopoïétiques sont également étudiées pour leur potentiel à traiter d'autres maladies, telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète et les maladies neurodégénératives.
L'ischémie cérébrale est un type de lésion cérébrale causée par une réduction du flux sanguin vers une partie du cerveau. Le terme "ischémie" se réfère à une insuffisance d'apport en oxygène et en nutriments dans un tissu corporel, ce qui entraîne une altération de sa fonction. Dans le cas du cerveau, cela peut provoquer des symptômes variés allant de légers à graves, selon la gravité de l'ischémie et la durée de l'interruption du flux sanguin.
L'ischémie cérébrale peut être causée par divers facteurs, tels qu'une thrombose (formation d'un caillot sanguin dans un vaisseau), une embolie (déplacement d'un caillot ou d'une plaque athérosclérotique depuis une autre partie du corps jusqu'au cerveau), une hypotension (diminution de la pression artérielle) ou une sténose (rétrécissement d'une artère).
Les symptômes de l'ischémie cérébrale peuvent inclure des troubles de la parole, des difficultés à comprendre le langage, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des picotements, une perte d'équilibre, des maux de tête soudains et intenses, des problèmes visuels, des étourdissements ou une confusion mentale. Dans les cas graves, l'ischémie cérébrale peut évoluer vers un accident vasculaire cérébral (AVC), qui est caractérisé par une nécrose (mort) des tissus cérébraux due à l'interruption prolongée du flux sanguin.
Le traitement de l'ischémie cérébrale dépend de sa cause et de sa gravité. Dans les cas aigus, le traitement peut inclure des médicaments thrombolytiques pour dissoudre les caillots sanguins, une intervention chirurgicale pour retirer un caillot ou réparer une artère endommagée, ou une oxygénothérapie hyperbare pour favoriser la circulation sanguine et le rétablissement des tissus cérébraux. Dans les cas moins graves, le traitement peut se concentrer sur la prévention de futures ischémies cérébrales en contrôlant les facteurs de risque tels que l'hypertension artérielle, le diabète, l'obésité, le tabagisme et une mauvaise alimentation.
Les cellules souches adultes, également connues sous le nom de cellules souches somatiques ou cellules souches tissulaires, sont des cellules souches trouvées dans les tissus et organes d'un organisme adulte. Contrairement aux cellules souches embryonnaires, qui sont obtenues à partir d'embryons en développement précoce, les cellules souches adultes sont prélevées sur des individus déjà développés.
Les cellules souches adultes ont la capacité de s'auto-renouveler et de se différencier en différents types de cellules spécialisées, ce qui en fait une ressource précieuse pour les thérapies régénératives et la médecine régénérative. Elles peuvent être trouvées dans divers tissus, notamment le sang périphérique, la moelle osseuse, le cordon ombilical, le tissu adipeux et d'autres organes.
Les cellules souches adultes sont souvent plus limitées dans leur capacité à se différencier que les cellules souches embryonnaires, mais elles présentent des avantages importants pour une utilisation clinique. Elles sont moins susceptibles de former des tumeurs que les cellules souches embryonnaires et peuvent être prélevées sur le même individu qui recevra la thérapie, ce qui réduit le risque de rejet immunitaire.
Les recherches actuelles explorent les possibilités d'utiliser des cellules souches adultes pour traiter une variété de maladies et de conditions, y compris les lésions de la moelle épinière, les maladies cardiovasculaires, le diabète, les maladies neurodégénératives et les troubles hématologiques.
L'électrocardiographie (ECG) est une procédure non invasive utilisée en médecine pour enregistrer, afficher et analyser l'activité électrique du cœur. Elle est couramment employée pour détecter et diagnostiquer divers problèmes cardiaques, tels que les arythmies (anomalies du rythme cardiaque), les maladies coronariennes, les infarctus du myocarde (crise cardiaque), la hypertrophie cardiaque et d'autres affections.
L'ECG est réalisé en attachant plusieurs électrodes à divers endroits sur le corps, y compris les poignets, les chevilles et le torse. Ces électrodes captent les signaux électriques produits par le cœur lors de chaque battement et les transmettent à un appareil d'enregistrement, qui affiche l'activité cardiaque sous forme d'ondes sur une ligne de tracé. Les différentes parties de cette ligne de tracé représentent différentes phases du cycle cardiaque, et les anomalies dans la forme, la taille ou la durée des ondes peuvent indiquer divers problèmes cardiaques.
L'ECG est un outil important pour le dépistage, le diagnostic et le suivi des affections cardiovasculaires, et il est souvent utilisé en conjonction avec d'autres tests et examens pour obtenir une image complète de la santé cardiaque d'un patient.
Les cellules souches néoplasiques (CSN) sont des cellules présentes dans les tumeurs cancéreuses qui ont la capacité de self-renouvellement et de différenciation, tout comme les cellules souches normales. Ces cellules sont considérées comme les cellules initiatrices du cancer et sont responsables de la croissance, de la progression et de la récurrence des tumeurs.
Les CSN ont une capacité à se diviser et à produire des cellules filles qui peuvent soit rester comme des cellules souches néoplasiques, soit se différencier en cellules tumorales plus matures. Elles sont souvent résistantes aux traitements traditionnels du cancer, tels que la chimiothérapie et la radiothérapie, ce qui peut entraîner une récidive de la maladie après le traitement.
Comprendre les propriétés des cellules souches néoplasiques est important pour le développement de nouveaux traitements ciblés contre le cancer, qui peuvent être plus efficaces pour éradiquer les tumeurs et prévenir leur récurrence.
Les neurones, également connus sous le nom de cellules nerveuses, sont les unités fonctionnelles fondamentales du système nerveux. Ils sont responsables de la réception, du traitement, de la transmission et de la transduction des informations dans le cerveau et d'autres parties du corps. Les neurones se composent de trois parties principales : le dendrite, le corps cellulaire (ou soma) et l'axone.
1. Les dendrites sont des prolongements ramifiés qui reçoivent les signaux entrants d'autres neurones ou cellules sensoriques.
2. Le corps cellulaire contient le noyau de la cellule, où se trouvent l'ADN et les principales fonctions métaboliques du neurone.
3. L'axone est un prolongement unique qui peut atteindre une longueur considérable et transmet des signaux électriques (potentiels d'action) vers d'autres neurones ou cellules effectrices, telles que les muscles ou les glandes.
Les synapses sont les sites de communication entre les neurones, où l'axone d'un neurone se connecte aux dendrites ou au corps cellulaire d'un autre neurone. Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques libérées par les neurones pour transmettre des signaux à travers la synapse vers d'autres neurones.
Les neurones peuvent être classés en différents types en fonction de leur morphologie, de leurs propriétés électriques et de leur rôle dans le système nerveux. Par exemple :
- Les neurones sensoriels capturent et transmettent des informations sensorielles provenant de l'environnement externe ou interne vers le cerveau.
- Les neurones moteurs transmettent les signaux du cerveau vers les muscles ou les glandes pour provoquer une réponse motrice ou hormonale.
- Les interneurones sont des neurones locaux qui assurent la communication et l'intégration entre les neurones sensoriels et moteurs dans le système nerveux central.
L'œdème cérébral est une affection médicale caractérisée par l'accumulation anormale de liquide dans les tissus du cerveau. Cela peut entraîner une augmentation de la pression intracrânienne, ce qui peut comprimer le tissu cérébral et les vaisseaux sanguins, entraînant une variété de symptômes, selon la région affectée du cerveau.
Les causes de l'œdème cérébral peuvent inclure des traumatismes crâniens, des tumeurs cérébrales, des infections cérébrales, des accidents vasculaires cérébraux, une insuffisance cardiaque, une hypertension artérielle et l'utilisation de certains médicaments.
Les symptômes de l'œdème cérébral peuvent inclure des maux de tête, des nausées et des vomissements, une vision floue, une confusion, une somnolence, des convulsions, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps, et dans les cas graves, une perte de conscience ou un coma.
Le traitement de l'œdème cérébral dépend de sa cause sous-jacente. Il peut inclure des médicaments pour réduire l'enflure, tels que des corticostéroïdes et des diurétiques, ainsi que des mesures pour abaisser la pression intracrânienne, telles que l'évacuation du liquide céphalorachidien ou la chirurgie pour enlever une tumeur ou drainer un hématome. Dans les cas graves, une intervention médicale immédiate peut être nécessaire pour prévenir des dommages permanents au cerveau ou la mort.
Coronary Balloon Angioplasty est une procédure médico-chirurgicale utilisée pour ouvrir les artères coronaires rétrécies ou bloquées en raison de l'athérosclérose. L'athérosclérose est un processus dans lequel des dépôts gras, appelés plaques, s'accumulent à l'intérieur des parois des artères, entraînant leur rétrécissement et leur durcissement.
Au cours d'une angioplastie coronarienne par ballonnet, un petit cathéter est inséré dans une artère de la jambe ou du bras et est guidé jusqu'à l'artère coronaire rétrécie à l'aide de techniques d'imagerie médicale telles que la fluoroscopie. Une fois en place, un petit ballon attaché au bout du cathéter est gonflé pour étirer et élargir l'artère, ce qui permet une meilleure circulation sanguine vers le muscle cardiaque.
Parfois, un stent (un petit treillis métallique) est inséré dans l'artère pendant la procédure pour maintenir l'artère ouverte et prévenir les rétrécissements futurs. Cette procédure est appelée angioplastie coronaire par ballonnet avec stenting.
L'angioplastie coronarienne par ballonnet est généralement effectuée en ambulatoire ou avec une courte hospitalisation et peut être recommandée pour les personnes présentant des symptômes d'ischémie cardiaque tels que l'angine de poitrine, ainsi que pour les personnes présentant des anomalies à l'électrocardiogramme ou des résultats anormaux au test d'effort.
Bien qu'il s'agisse d'une procédure relativement sûre et efficace, il existe un risque de complications telles que la formation de caillots sanguins, les dommages aux artères, l'arythmie cardiaque et les saignements. Par conséquent, une évaluation minutieuse des avantages et des risques est nécessaire avant de décider de subir cette procédure.
En médecine, un pont (ou shunt) est un raccourci ou une déviation créés chirurgicalement pour rediriger le flux sanguin vers un autre vaisseau sanguin ou cavité corporelle. Cela peut être nécessaire lorsqu'un vaisseau sanguin est bloqué ou endommagé, ce qui empêche le sang de circuler correctement. Les ponts sont souvent utilisés pour traiter certaines conditions médicales telles que les malformations artérioveineuses, les anévrismes intracrâniens et l'hypertension portale.
Il existe différents types de ponts selon leur localisation dans le corps :
- Pont intra-crânien (ou shunt ventriculo-péritonéal) : il s'agit d'un dispositif posé chirurgicalement permettant de dériver le liquide céphalo-rachidien des ventricules cérébraux vers la cavité péritonéale (abdominale). Ce type de pont est couramment utilisé dans le traitement de l'hydrocéphalie, une accumulation excessive de liquide céphalo-rachidien dans les ventricules du cerveau.
- Pont artériel : il s'agit d'un raccordement chirurgical entre deux artères pour contourner un rétrécissement ou une obstruction. Ce type de pont est utilisé dans le traitement des maladies artérielles périphériques et des anévrismes.
- Pont porto-cave : il s'agit d'un raccordement chirurgical entre la veine porte (qui draine le sang du tube digestif) et la veine cave inférieure (qui retourne le sang vers le cœur). Ce type de pont est utilisé dans le traitement de l'hypertension portale, une condition où la pression dans la veine porte est anormalement élevée.
En général, les ponts sont conçus pour être permanents, mais ils peuvent également être temporaires en fonction des besoins du patient et de la pathologie traitée.
En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.
Le traitement thrombolytique, également connu sous le nom de thérapie fibrinolytique, est un type de traitement médical utilisé pour dissoudre les caillots sanguins existants dans les vaisseaux sanguins. Il consiste en l'administration de médicaments appelés thrombolytiques ou agents fibrinolytiques, qui sont des substances capables de décomposer les caillots sanguins et rétablir le flux sanguin dans les artères ou les veines obstruées.
Les thrombolytiques agissent en activant la plasmine, une enzyme naturellement présente dans le sang qui dégrade la fibrine, une protéine essentielle à la formation des caillots sanguins. En dissolvant les caillots, ces médicaments aident à prévenir d'autres complications, telles que l'ischémie (manque d'apport sanguin) dans les organes affectés, ce qui peut entraîner des dommages tissulaires permanents ou même la mort.
Le traitement thrombolytique est couramment utilisé pour traiter les urgences médicales telles que l'infarctus du myocarde (crise cardiaque), l'accident vasculaire cérébral ischémique aigu et l'embolie pulmonaire massive. Cependant, il comporte des risques, tels qu'un saignement accru et une augmentation du risque d'hémorragies intracrâniennes, ce qui nécessite une évaluation attentive des bénéfices et des risques avant de décider de l'administrer.
Il est important que le traitement thrombolytique soit initié le plus tôt possible après l'apparition des symptômes pour obtenir les meilleurs résultats et minimiser les complications potentielles. Les professionnels de la santé doivent évaluer soigneusement chaque patient et déterminer si le traitement thrombolytique est approprié en fonction de leur état de santé général, des comorbidités sous-jacentes et du risque hémorragique.
Les cellules souches pluripotentes sont un type spécial de cellules souches qui ont la capacité de se différencier en n'importe quel type de cellule dans les trois couches germinales primaires du corps : l'ectoderme, le mésoderme et l'endoderme. Elles peuvent devenir des cellules nerveuses, musculaires, osseuses, hépatiques, cardiaques, etc.
Il existe deux types principaux de cellules souches pluripotentes : les cellules souches embryonnaires (CSE) et les cellules souches induites pluripotentes (CSI). Les CSE sont dérivées des blastocystes précocement formés, environ 4 à 5 jours après la fécondation in vitro. Elles présentent un potentiel de différenciation illimité et peuvent se multiplier indéfiniment en culture.
Les CSI sont obtenues en reprogrammant des cellules somatiques matures, telles que les cellules de la peau ou du sang, pour qu'elles expriment certains facteurs de transcription spécifiques qui leur permettent de retrouver un état similaire à celui des CSE. Les CSI présentent également un potentiel de différenciation illimité et peuvent être utilisées pour générer des modèles de maladies humaines in vitro, ce qui permet d'étudier les mécanismes pathologiques et de tester de nouveaux traitements.
Les cellules souches pluripotentes sont un domaine de recherche très actif dans le domaine de la médecine régénérative, car elles offrent la possibilité de remplacer les cellules endommagées ou défaillantes par des cellules saines et fonctionnelles. Toutefois, leur utilisation soulève également des questions éthiques complexes, en particulier dans le cas des CSE, qui nécessitent la destruction d'embryons pour être obtenues.
Le myélencéphale est la région la plus caudale (postérieure) du tronc cérébral dans le système nerveux central. Il contient des parties importantes du bulbe rachidien et du pont, y compris les noyaux des nerfs crâniens III, IV, V, VI, VIIII, X, and XI. Le myélencéphale joue un rôle crucial dans la régulation de fonctions vitales telles que la respiration, la déglutition, et le maintien de la posture et du mouvement. Il contient également des neurones qui contrôlent les réflexes spinales et contribue à la coordination des mouvements oculaires et de la tête.
Un infarctus splénique est une condition médicale rare mais grave qui se produit lorsqu'il y a une interruption de l'apport sanguin à la rate, entraînant la nécrose des tissus spléniques. Cela peut être causé par une embolie, une thrombose ou une hémorragie dans les artères spléniques. Les symptômes peuvent inclure une douleur soudaine et intense dans le quadrant supérieur gauche de l'abdomen, souvent associée à des nausées, des vomissements, une fièvre et une tachycardie. Dans les cas graves, cela peut entraîner une septicémie ou un choc. Le diagnostic est généralement posé par imagerie médicale, telle qu'une tomodensitométrie (TDM) ou une échographie abdominale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des anticoagulants, des thrombolytiques ou une intervention chirurgicale pour enlever la rate (splénectomie).
La coronarographie est une procédure diagnostique utilisée en cardiologie pour obtenir des images détaillées des artères coronaires, qui alimentent le muscle cardiaque (myocarde) en oxygène et en nutriments. Cette technique utilise un colorant contrastant spécial et des rayons X pour produire des images de ces vaisseaux sanguins.
Au cours d'une coronarographie, un petit cathéter est inséré dans une artère, généralement au niveau du poignet ou de la cuisse, puis guidé jusqu'aux artères coronaires sous contrôle fluoroscopique. Une fois le cathéter positionné correctement, le colorant contrastant est injecté et des images radiographiques sont capturées pour examiner l'intérieur des artères coronaires.
Cette procédure permet non seulement de visualiser la présence de plaques d'athérome (dépôts de graisse) dans les parois des vaisseaux sanguins, mais aussi d'identifier d'éventuelles sténoses (rétrécissements) ou occlusions (blocages) qui pourraient perturber le flux sanguin vers le myocarde. Les résultats de la coronarographie aident les médecins à évaluer la gravité de la maladie coronarienne et à planifier un traitement approprié, tel qu'une angioplastie ou une chirurgie de pontage coronarien.
Une anterior wall myocardial infarction (AMI) est un type spécifique de crise cardiaque dans lequel il y a une nécrose (mort) des tissus du muscle cardiaque (myocarde) dans la paroi antérieure du cœur. Cela se produit lorsqu'il y a une circulation sanguine réduite ou bloquée dans l'une des artères coronaires qui alimentent le muscle cardiaque, généralement due à un caillot sanguin qui obstrue le vaisseau sanguin.
Le manque d'oxygène et de nutriments entraîne la mort des cellules musculaires cardiaques dans la paroi antérieure du cœur, ce qui peut affaiblir la fonction pompante du cœur et entraîner des complications graves, telles que des arythmies, une insuffisance cardiaque congestive, ou même un arrêt cardiaque.
Les symptômes typiques d'une AMI comprennent une douleur thoracique intense et prolongée, une sensation de pression ou d'oppression dans la poitrine, des nausées, des vomissements, des sueurs froides, des essoufflements, des palpitations cardiaques et une faiblesse générale. Le traitement rapide est crucial pour minimiser les dommages au muscle cardiaque et améliorer les chances de rétablissement complet. Les options de traitement peuvent inclure des médicaments pour dissoudre les caillots sanguins, des procédures de angioplastie et de stenting pour ouvrir les artères obstruées, ou une chirurgie de pontage coronarien pour contourner les artères bloquées.
En termes médicaux, un facteur de risque est défini comme toute caractéristique ou exposition qui augmente la probabilité de développer une maladie ou une condition particulière. Il peut s'agir d'un trait, d'une habitude, d'une substance, d'une exposition environnementale ou d'un autre facteur qui, selon les recherches et les études épidémiologiques, accroît la susceptibilité d'un individu à contracter une maladie.
Il est important de noter que le fait d'avoir un facteur de risque ne signifie pas qu'une personne contractera certainement la maladie en question. Cependant, cela indique simplement qu'elle a une probabilité plus élevée de développer cette maladie par rapport à quelqu'un qui n'a pas ce facteur de risque.
Les facteurs de risque peuvent être modifiables ou non modifiables. Les facteurs de risque modifiables sont ceux que l'on peut changer grâce à des interventions, comme l'arrêt du tabac pour réduire le risque de maladies cardiovasculaires et certains cancers. D'un autre côté, les facteurs de risque non modifiables sont ceux qui ne peuvent pas être changés, tels que l'âge, le sexe ou les antécédents familiaux de certaines maladies.
Dans la pratique clinique, l'identification des facteurs de risque permet aux professionnels de la santé d'évaluer et de gérer plus efficacement la santé des patients en mettant en œuvre des stratégies de prévention et de gestion des maladies ciblées pour réduire le fardeau de la morbidité et de la mortalité.
Les études prospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte ou d'études longitudinales, sont un type de recherche médico-épidémiologique dans laquelle les sujets sont suivis au fil du temps pour évaluer l'incidence ou le développement de divers facteurs de risque et maladies. Contrairement aux études rétrospectives, qui examinent des événements passés, les études prospectives commencent par un groupe de participants en bonne santé ou sans la maladie d'intérêt et les suivent pour déterminer quels facteurs peuvent contribuer au développement de cette maladie.
Ces études sont considérées comme offrant des preuves plus solides que les études rétrospectives, car elles permettent aux chercheurs de collecter des données sur les expositions et les résultats au même moment, ce qui réduit le risque de biais de rappel. Cependant, elles peuvent être longues, coûteuses et complexes à mener, car elles nécessitent un suivi régulier des participants pendant une période prolongée.
Les études prospectives sont souvent utilisées pour examiner l'association entre les facteurs de risque modifiables, tels que le tabagisme, la consommation d'alcool et l'activité physique, et le développement de maladies chroniques telles que le cancer, les maladies cardiovasculaires et les troubles neurodégénératifs.
Le remodelage ventriculaire est un processus dans lequel les cavités et les parois du ventricule cardiaque subissent des changements structurels et fonctionnels en réponse à une pression de travail accrue, à une lésion myocardique ou à une maladie cardiovasculaire. Ce processus peut entraîner une augmentation ou une diminution du volume ventriculaire, une hypertrophie des parois ventriculaires, une modification de la forme géométrique du ventricule et une altération de la fonction systolique et diastolique. Le remodelage ventriculaire peut être adaptatif ou maladaptatif, ce dernier pouvant conduire à une insuffisance cardiaque congestive et à d'autres complications cardiovasculaires graves.
La reperfusion myocardique est un processus médical qui vise à restaurer le flux sanguin dans une région du muscle cardiaque (myocarde) qui a été privée d'oxygène et de nutriments en raison d'un rétrécissement ou d'une obstruction des vaisseaux sanguins coronaires. Cela se produit généralement lors d'un événement aigu tel qu'une crise cardiaque (infarctus du myocarde).
La reperfusion peut être accomplie par différentes méthodes, y compris l'angioplastie coronaire percutanée (PCI) avec stenting ou la thrombolyse, qui sont des procédures visant à éliminer les caillots sanguins et à rétablir le flux sanguin dans les vaisseaux coronaires. Dans certains cas, une chirurgie de pontage coronaire peut également être réalisée pour contourner l'obstruction et rétablir la circulation sanguine vers le myocarde.
La reperfusion myocardique est importante car elle permet de prévenir ou de limiter les dommages supplémentaires au muscle cardiaque et peut améliorer la fonction cardiaque globale, réduire les complications et sauver des vies. Cependant, il existe également un risque de lésions tissulaires supplémentaires dues à la reperfusion elle-même, appelées lésions de reperfusion, qui peuvent entraîner une inflammation, des arythmies et une insuffisance cardiaque. Par conséquent, il est important de surveiller étroitement les patients pendant et après la reperfusion myocardique pour détecter et traiter rapidement toute complication éventuelle.
Je suis désolé, mais la phrase "Maladies Expérimentales" ne correspond pas à une définition médicale spécifique. Le terme "maladie expérimentale" peut faire référence à des études ou recherches scientifiques dans lesquelles des maladies sont simulées ou créées dans un laboratoire, généralement sur des animaux de laboratoire, pour mieux comprendre la pathogenèse, le développement et les traitements possibles d'une maladie. Cependant, il ne s'agit pas d'un terme médical standardisé. Si vous cherchez des informations sur une procédure ou un concept médical spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.
Une greffe de cellules souches hématopoïétiques (GCSH) est une procédure médicale au cours de laquelle des cellules souches hématopoïétiques sont transplantées dans un patient. Ces cellules souches, qui peuvent être prélevées à partir de la moelle osseuse, du sang périphérique ou du cordon ombilical, ont la capacité de se différencier et de se régénérer en différents types de cellules sanguines : globules rouges, globules blancs et plaquettes.
La GCSH est principalement utilisée pour remplacer les cellules souches hématopoïétiques endommagées ou détruites par des traitements tels que la chimiothérapie ou la radiothérapie, dans le cadre de maladies malignes telles que les leucémies, les lymphomes et certains types de cancer solides. Elle peut également être indiquée dans certaines maladies non cancéreuses comme les anémies sévères, les déficits immunitaires congénitaux ou les maladies métaboliques héréditaires.
L'objectif principal de la greffe est de restaurer la fonction hématopoïétique normale du patient et d'améliorer ainsi sa capacité à lutter contre les infections, à prévenir les hémorragies et à oxygéner correctement ses tissus. Toutefois, cette procédure comporte des risques et des complications potentielles, notamment le rejet de la greffe, l'infection et les effets secondaires liés à la conditionnement pré-greffe (préparation du patient avant la greffe). Par conséquent, il est essentiel d'évaluer soigneusement les bénéfices et les risques associés à chaque cas individuel avant de décider de procéder à une GCSH.
Migraine
Syndrome de Weber
Vertige
Accident ischémique transitoire
Angioplastie coronaire
Migraine hémiplégique familiale
Thrombectomie
Ischémie mésentérique
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Insuffisance veineuse cérébrospinale chronique
Coronarographie
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Coma
Médecine de soins critiques
Trouble panique
Thrombectomie mécanique des artères intracrâniennes lors d'un accident vasculaire cérébral
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CIM-10 Chapitre 09 : Maladies de l'appareil circulatoire
Maladie à coronavirus 2019
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Rétrécissement aortique
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alcoolisme - CISMeF
Vasculaire16
- Un Accident vasculaire cérébral (AVC) ou une maladie neurologique, comme la sclérose en plaques. (laprevention.fr)
- Chaque année, 450 000 personnes subissent un accident vasculaire cérébral, et le nombre de décès associés avec elle, dans notre pays, est 4 fois plus élevé qu'aux etats-unis ou en Europe Occidentale. (healthpillsonline.com)
- L'accident vasculaire cérébral ischémique est un déficit neurologique soudain qui résulte d'une ischémie cérébrale focale associée à un infarctus cérébral définitif (p. ex. (merckmanuals.com)
- et la sténose artérielle proximale avec hypotension qui diminue le débit sanguin cérébral dans les zones de vascularisation terminale (accident vasculaire cérébral hémodynamique). (merckmanuals.com)
- Selon la cause de l'accident vasculaire cérébral, une endartériectomie ou un stenting carotidiens, des antiagrégants plaquettaires ou de la warfarine peuvent réduire les risques de nouvel accident vasculaire cérébral. (merckmanuals.com)
- L'unité neuro vasculaire est une unité dédiée à la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (AVC). (chu-nantes.fr)
- Un AVC est un accident vasculaire cérébral : c'est une souffrance cérébrale brutale d'une partie du cerveau causée par une perturbation soudaine de l'irrigation de cette région. (chu-nantes.fr)
- Les médicaments tels qu'UPFEN 200 mg, comprimé pelliculé pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (infarctus du myocarde) ou d'accident vasculaire cérébral. (goodmed.com)
- Ce type d' accident vasculaire cérébral (AVC) fait cependant craindre la survenue ultérieure d'un accident ischémique constitué , caractérisé par un infarctus dont les lésions sont définitives. (wikipedia.org)
- L'examen cardiaque et vasculaire recherche un trouble du rythme (la fibrillation auriculaire est grande pourvoyeuse de thrombus dans l' oreillette , qui peuvent provoquer un AIT lorsqu'ils migrent et s'impactent dans une artère cérébrale), un souffle vasculaire (en rapport avec une plaque d'athérome). (wikipedia.org)
- attaque ",c'est-à-dire un accident vasculaire cérébral. (pharmaciedu17eme.re)
- La revascularisation cérébrale directe est une option thérapeutique à considérer dans le traitement de certaines pathologies vasculaires cérébrales de type Moya-Moya entrainant une ischémie cérébrale chronique responsable de la survenue d'accidents vasculaire cérébraux (AVCs) ischémique ou hémorragique à répétition. (neurochirurgie.fr)
- L'indication de l'ATS chez les patients « Moya-Moya » est retenue lorsqu'il existe au moins un épisode d'AVC ischémique ou hémorragique et une altération de la réserve cérébro-vasculaire et de la perfusion cérébrale évaluées sur le Doppler transcrânien, la scintigraphie cérébrale sans et avec test à l'acétazolamide et l'IRM cérébrale de perfusion. (neurochirurgie.fr)
- Dans le contexte d'un syndrome de Moya-Moya, l'apport du débit sanguin par anastomose EC-EI ne peut être d'emblée de « haut débit » (80 à 120 mL/minute) en raison du risque majeur de syndrome de reperfusion et d'hémorragie cataclysmique chez ces patients présentant un équilibre hémodynamique locorégional cérébral précaire et une fragilité vasculaire du fait de leur pathologie. (neurochirurgie.fr)
- Comme avec n'importe quel agent antihypertenseur, une baisse brutale de la pression artérielle chez des patients porteurs d'une cardiopathie ischémique ou d'une maladie cardiovasculaire ischémique pourrait entraîner un infarctus du myocarde ou un accident vasculaire cérébral. (el-grinds.com)
- Les médicaments tels que SPIFEN 400 mg, granulés pour solution buvable en sachet-dose pourraient augmenter le risque de crise cardiaque (« infarctus du myocarde ») ou d'accident vasculaire cérébral. (goodmed.com)
Myocarde6
- Un tronc cérébral avc est la deuxième cause de acheter du Dorzox T en pharmacie sans ordonnance en france et de la mort dans la Russie moderne, après un infarctus du myocarde. (healthpillsonline.com)
- Infarctus du myocarde aigu L'infarctus du myocarde aigu est une nécrose du myocarde provoquée par l'obstruction aiguë d'une artère coronaire. (merckmanuals.com)
- Si elle est suffisamment grave et prolongée, l'ischémie peut conduire à un infarctus du myocarde, qui désigne la mort cellulaire. (cnp-mn.fr)
- L'athérothrombose - qui sous-tend les infarctus du myocarde et certains accidents vasculaires cérébraux - est la première cause de décès au monde. (ivasc.eu)
- Avec ces outils, étudier l'association et l'impact de la mauvaise santé bucco-dentaire et des apnées du sommeil sur l'athérothrombose dans la population générale et après infarctus du myocarde. (ivasc.eu)
- L'athérothrombose est le processus physiopathologique qui sous-tend aux infarctus du myocarde (IM) et aux accidents vasculaires cérébraux, les deux premières causes de décès dans le monde. (ivasc.eu)
Vasculaires5
- Référence pour les facteurs de risque Les accidents vasculaires cérébraux constituent un groupe hétérogène de troubles provoqués par une brutale interruption localisée du débit sanguin cérébral ou à la rupture d'une artère à l'origine. (merckmanuals.com)
- Les accidents vasculaires cérébraux hémorragiques représentent environ 15% des AVC. (adverbum.fr)
- Depuis la labellisation du CERVCO, les connaissances des mécanismes des microangiopathies cérébrales héréditaires et des malformations vasculaires cérébrales et rétiniennes ont considérablement évolué et de nouveaux espoirs sont apparus au plan thérapeutique. (singer-polignac.org)
- Problème cérébro-vasculaires : des petits caillots peuvent obstruer certaines artères du cerveau, ce qui conduit à des déficiences cérébrales comme de la paralysie, des difficultés à marcher, des difficultés à parler, des problèmes de concentration, de mémoire, des problèmes cognitifs, des problèmes de vision. (repenser-la-medecine.com)
- Elle peut être due à des accidents vasculaires cérébraux et est souvent associée à une paralysie de la moitié du corps (hémiplégie). (dictionnaire-medical.net)
D'une7
- Scanner cérébral : c 'est un examen qui permet, en utilisant les rayons X, de déterminer si l'attaque cérébrale est le résultat d'une hémorragie (saignement) ou d'une ischémie (occlusion d'une artère). (chu-nantes.fr)
- La méningite chronique, l'artérite de Heubner et les infarctus cérébraux secondaires ont été observés lors d'une autopsie chez des patients atteints de neuroborreliose de Lyme cliniquement et sérologiquement confirmée (Miklossy et al. (lespetitsmelezes.ch)
- Un accident ischémique transitoire (AIT) ou ischémie cérébrale transitoire (ICT) ou ischémie aiguë transitoire (IAT) est une ischémie (baisse de la perfusion sanguine) d'une partie du cerveau , des rétines , ou de la moelle épinière , responsable d'un déficit neurologique transitoire [ 1 ] . (wikipedia.org)
- L'ischémie peut également survenir lors de l'occlusion d'une veine (thrombophlébite cérébrale par exemple), dont il peut résulter une congestion, une hémorragie et un infarctus veineux. (cnp-mn.fr)
- Son père est décédé à l'âge de 65 ans d'une rupture d'anévrisme cérébral, sa mère est décédée à l'âge de 80 ans d'un cancer de la tête du pancréas. (medscape.com)
- Les principaux symptômes sont bien connus : akinésie (perte de l'initiation et de l'automatisme du geste), tremblements (4 à 8 par seconde) qui affectent surtout les membres supérieurs, cessent pendant le sommeil et diminuent pendant un mouvement volontaire, apparition progressive d'une rigidité du tronc et du cou. (dictionnaire-medical.net)
- Obturation d'une ou plusieurs branches du tronc de l'artère pulmonaire, en général par un thrombus fibrino-cruorique. (e-cardiogram.com)
Cerveau4
- Ils sont causés par une atteinte des parties vestibulaires centrales du cerveau, notamment le tronc cérébral. (laprevention.fr)
- IRM cérébrale : c 'est un examen qui utilise le champ magnétique pour analyser le cerveau et ses vaisseaux. (chu-nantes.fr)
- La vascularisation du cerveau est assurée par deux réseaux distincts : la vascularisation carotidienne (via les artères carotides internes ) et la vascularisation vertébro-basilaire (via le tronc basilaire ). (wikipedia.org)
- En dépit de la mise en jeu de moyens de protection, une altération fonctionnelle du métabolisme cellulaire apparaît dès que le débit sanguin cérébral est inférieur à environ 20 mL/min/100 g de cerveau. (cnp-mn.fr)
Sanguin7
- Chez l'adulte, le débit sanguin cérébral normal est en moyenne de 50 mL/min/100 g de tissu cérébral. (cnp-mn.fr)
- L'autorégulation permet de maintenir constant le débit sanguin cérébral pour les pressions de perfusion entre 50 et 150 mmHg. (cnp-mn.fr)
- En dehors de ces valeurs, le débit sanguin cérébral est directement proportionnel à cette pression. (cnp-mn.fr)
- Cette zone, désignée sous le terme de pénombre ischémique, correspond à la partie du tissu cérébral ischémié où le débit sanguin est insuffisant pour maintenir un fonctionnement cellulaire normal, la survie cellulaire y demeurant cependant assurée dans un premier temps (figure 20.1). (cnp-mn.fr)
- Hémorragie survenant à l'intérieur du parenchyme cérébral, généralement provoquée par la rupture d'un vaisseau sanguin. (adverbum.fr)
- Dans les deux cas, l'événement prive les régions cérébrales affectées de l'oxygène autrement apporté par le sang, et les cellules cérébrales commencent à mourir : ce qui rend les AVC une urgence médicale pour laquelle il faut des soins d'urgence tout de suite afin qu'on puisse restaurer le flux sanguin, sauver la vie et minimiser les atteintes. (flintrehab.com)
- Les AVC sont des urgences médicales pour lesquelles il faut des soins d'urgence tout de suite afin de restaurer l'apport sanguin, et l'oxygène qu'il porte, aux cellules cérébrales. (flintrehab.com)
Vaisseaux1
- Dès les années 1980, les études ont pu montrer que la vasodilatation des vaisseaux sanguins cérébraux n'était pas la cause, mais la conséquence de la migraine. (wikipedia.org)
Souffrance2
- La souffrance des cellules touchées est insuffisante pour constituer un infarctus (mort des cellules). (wikipedia.org)
- un aspect infarctoïde ST+ est possible en dérivation septales ou inférieures, lié à la souffrance ischémique (infarctus de type 2 [23] ). (e-cardiogram.com)
Maladies1
- Maladies cardiovasculaires (infarctus, AVC): les éviter, les soigner. (mongeneraliste.be)
Accident1
- En règle générale, ils surviennent plus lentement que les symptômes déclenchés par un accident ischémique cérébral et sont accompagnés de céphalées, de nausées et de vomissements. (adverbum.fr)
Survenue1
- En ce qui concerne l'AVC ischémique, il n'existe que des études rétrospectives ou non randomisées qui ont réussi à montrer un bénéfice de l'ATS sur la prévention de la survenue d'un infarctus cérébral chez les patients avec un syndrome de Moya-Moya (6). (neurochirurgie.fr)
Moelle2
- un système effecteur basal à prédominance axiale du tronc cérébral à la moelle, comprenant essentiellement les efférences extra-pyramidales issues du tronc cérébral : les voies vestibulo-spinales, réticulo-spinales, tecto-spinales et interstitio-spinales destinées aux motoneurones spinaux qui contrôlent les muscles antigravidiques du cou, du rachis et des racines des membres inférieurs. (medixdz.com)
- Ensemble des troubles dus à une atteinte des nerfs, de la moelle épinière, du tronc cérébral, du. (docteurclic.com)
Chronique1
- La méningite chronique, l'artérite de Heubner et les infarctus cérébraux secondaires ont été observés à l'autopsie chez des patients atteints de neuroborreliose de Lyme cliniquement et sérologiquement confirmée (Kuntzer et al. (lespetitsmelezes.ch)
Aigu1
- Trois patients, chez lesquels le diagnostic de l'infection à Borrelia burgdorferi étaient inconnus depuis plusieurs années, ont développé une atteinte biphasique du système nerveux central: un syndrome aigu du tronc cérébral a été suivi, chez deux patients, par une myélite progressive et invalidante et chez u n patient, par d'autres épisodes de scléroses multiples de la rhombencephalite multifocale sévère. (lespetitsmelezes.ch)
Moya-Moya1
- La revascularisation cérébrale directe par anastomose EC-IC de type anastomose temporo-sylvienne (ATS) ou occipito-sylvienne (artère occipitale postérieure (AO)-segment M3/M4 de l'ACM) reste le traitement principal du syndrome de Moya-Moya chez l'adulte. (neurochirurgie.fr)
Moyenne3
- 1) L'artère cérébrale moyenne naît de l'artère carotide interne. (info-radiologie.ch)
- 4, Artère cérébrale moyenne. (info-radiologie.ch)
- Normalement, les problèmes surviennent dans l'oreille interne moyenne, dans le nerf vestibulaire et dans le tronc cérébral. (planeteanimal.com)
Atteinte1
- Les résultats neuropathologiques chez un patient ont montré une microgliose et une atteinte méningovasculaire du système nerveux central, ce qui a entraîné deux infarctus ischémiques dans le myélencéphale. (lespetitsmelezes.ch)
Commun2
- Cette dernière possède un tronc commun qui se divise ensuite en une branche descendante antérieure et une branche circonflexe. (mongeneraliste.be)
- Ballon bloqué à l'extrémité du cathéter guide et débordant dans le tronc commun. (cardiologie-pratique.com)
S'agit2
- Il s'agit du segment inférieur du tronc, compris entre la ceinture et les aines, où s'insèrent les membres inférieurs. (adverbum.fr)
- Il s'agit d'un manuel d'anatomie pratique et clinique des membres supérieurs et du tronc. (ascodocpsy.org)
Favorise1
- Et pour les symptômes physiologiques , ça correspond à ce qu'on a déjà vu pour l'excès de cortisol avec une répartition de l'eau qui favorise le tronc et défavorise les membres. (repenser-la-medecine.com)
Nerf1
- La lésion se situe entre le noyau du nerf facial et le cortes cérébral (couche de substance grise qui entoure l'encéphale). (dictionnaire-medical.net)
Partie1
- Avec le thorax, l'abdomen forme la partie centrale du corps humain, ou tronc. (adverbum.fr)
Diagnostic1
- Il est important de considérer dans le diagnostic différentiel des infarctus cérébraux que Borrelia burgdorferi peut être responsable d'un petit pourcentage des cas. (lespetitsmelezes.ch)
N'est1
- C'est bien pour ça que vous avez commencé cette relation, n'est-ce pas .granulomes, hémangiomes, maladie osseuse de Paget, ostéomes, xanthomes) pouvant alors exercer un effet de masse sur le parenchyme cérébral. (el-grinds.com)
Augmenter1
- Si on retrouve un excès de sucre dans les veines du bras, c'est tout simplement parce que, comme on l'a déjà vu, l'excès de cortisol fait que le corps va diminuer la quantité d'eau présente dans les membres (bras et jambes), et augmenter la quantité d'eau disponible dans le tronc et éventuellement la tête. (repenser-la-medecine.com)
Maintenir1
- Le système vestibulaire sert à maintenir la position correcte des extrémités, du tronc et des yeux de l'animal lorsque celui-ci bouge la tête, raison pour laquelle il confère la sensation de l'équilibre. (planeteanimal.com)
Scanner1
- IRM cérébrale, ou à défaut scanner cérébral sans injection d' iode . (wikipedia.org)
Normale2
- Le maintien d'un état de vigilance normale implique une fonctionnalité préservée des deux hémisphères cérébraux et des mécanismes d'éveil du système réticulé activateur. (msdmanuals.com)
- De ce fait, l' imagerie cérébrale est normale et il n'y a pas de séquelles. (wikipedia.org)