Lordose
Cyphose
Déviations Du Rachis
Vertèbres Lombales
Noyau Ventromédial De L'Hypothalamus
Scoliose
Sacrum
Hypothalamus Médial
Pelvis
Arthrodèse Vertébrale
Région Lombosacrale
Vertèbres Cervicales
Radiographie
Osteoarthritis, Spine
Spondylolyse
Os Coxal
Discectomie
Vertèbres Thoraciques
Fixateur Interne
Ostéophytose Vertébrale
Intervertebral Disc
Oestradiol
Intervertebral Disc Degeneration
Progestérone
Articulation Zygapophysaire
Rat Long-Evans
Postural Balance
Scheuermann Disease
Vis Orthopédique
Aire Tegmentale Ventrale
Amplitude Mouvement Articulaire
Maladies Du Rachis
Muscles Abdominaux
Maniement (Psychologie)
2,3,4,5-Tétrahydro-1-Phényl-1H-3-Benzoazépine-7,8-Diol
Appareils De Fixation Orthopédique
Ossification Du Ligament Longitudinal Postérieur
Biomechanical Phenomena
Ligaments Longitudinaux
Hypothalamus
Progestines
Corset Orthopédique
Serotonin 5-HT1 Receptor Antagonists
Lombalgie
Radiculopathie
La lordose est un terme médical utilisé pour décrire la courbure physiologique normale de la colonne vertébrale dans la région lombaire (bas du dos). Cette courbure a une forme convexe vers l'avant, ce qui signifie que le dos se courbe légèrement vers l'intérieur lorsqu'on le regarde de côté. La lordose permet à la colonne vertébrale de supporter le poids du haut du corps et favorise une posture adéquate. Cependant, une lordose excessive ou anormale peut entraîner des douleurs dorsales et d'autres problèmes de santé.
Le comportement sexuel animal se réfère à une gamme de comportements et d'activités liés à la reproduction que les animaux, y compris les humains, affichent. Il s'agit d'un domaine important de l'étude du comportement animal et est étudié dans le contexte de l'écologie, de l'évolution, de la physiologie et de la psychologie.
Le comportement sexuel animal peut inclure des activités telles que la cour, la parade nuptiale, le choix des partenaires, l'accouplement et les soins aux jeunes. Ces comportements sont influencés par une variété de facteurs, y compris les hormones, l'expérience, l'apprentissage et les facteurs environnementaux.
Les animaux peuvent avoir des stratégies de reproduction différentes, comme la monogamie, la polygynie ou la polyandrie, en fonction de leur espèce et de leurs conditions de vie. Certains animaux ont également des comportements homosexuels ou bisexuels.
L'étude du comportement sexuel animal peut fournir des informations sur l'évolution des systèmes reproducteurs, la sélection sexuelle, les stratégies de reproduction et le rôle des hormones dans le contrôle du comportement. Cependant, il est important de noter que les humains ne sont pas simplement des animaux et que notre comportement sexuel est également influencé par des facteurs sociaux, culturels et psychologiques complexes.
En médecine et en ergonomie, la posture fait référence à la position relative des différentes parties du corps les unes par rapport aux autres et à leur orientation par rapport à la gravité. Elle peut être statique, lorsque le corps est immobile, ou dynamique, lorsque le corps est en mouvement. Une bonne posture implique que les articulations soient alignées de manière à répartir uniformément le poids du corps et à minimiser la tension sur les muscles et les ligaments. Une mauvaise posture peut entraîner des douleurs musculaires, des raideurs articulaires, des maux de tête et d'autres problèmes de santé à long terme. Il est donc important de maintenir une posture correcte lorsque l'on est assis, debout ou en mouvement.
La cyphose est un terme médical utilisé pour décrire une courbure anormalement accentuée vers l'avant dans la région thoracique ou dorsale de la colonne vertébrale. Normalement, la colonne vertébrale a des courbures naturelles qui forment une forme en "S" lorsqu'on la regarde de côté. Cependant, avec la cyphose, cette courbure est exagérée, ce qui peut entraîner une posture voûtée et un dos arrondi.
La cyphose peut être classée en différents types selon son origine et sa gravité :
1. Cyphose posturale : Il s'agit d'une courbure excessivement accentuée qui n'est pas liée à une anomalie structurelle de la colonne vertébrale. Elle est souvent associée à une mauvaise posture et peut être corrigée par des exercices appropriés.
2. Cyphose congénitale : Cela signifie que l'anomalie est présente dès la naissance en raison de malformations vertébrales congénitales. Elle peut entraîner une déformation sévère de la colonne vertébrale et nécessiter un traitement chirurgical.
3. Cyphose acquisie : Cela se produit lorsqu'une personne développe une cyphose plus tard dans la vie en raison d'affections telles que l'ostéoporose, l'arthrite, les tumeurs ou les infections de la colonne vertébrale.
Les symptômes de la cyphose dépendent de sa gravité. Dans les cas légers, elle peut ne causer aucun inconfort ni douleur, mais dans les cas plus graves, elle peut entraîner une gêne importante, des douleurs au dos et au cou, une diminution de la capacité pulmonaire et, dans certains cas, une altération de la fonction nerveuse.
Les déviations du rachis, également connues sous le nom de déformations de la colonne vertébrale, font référence à des anomalies de la forme ou de l'alignement de la colonne vertébrale. Cela peut inclure une courbure anormale de la colonne vertébrale, telle que la scoliose (courbure latérale) ou la cyphose (augmentation de la courbure thoracique), ainsi que des déformations telles que l'hyperlordose (augmentation de la courbure lombaire). Les déviations du rachis peuvent être causées par une variété de facteurs, y compris des conditions congénitales, neuromusculaires et dégénératives. Elles peuvent entraîner une variété de symptômes, tels que des douleurs dorsales, une gêne thoracique, une fatigue facile et une posture anormale. Le traitement peut inclure des exercices de renforcement musculaire, des dispositifs d'assistance, des corsets ou des interventions chirurgicales dans les cas graves.
La colonne vertébrale, également appelée la colonne vertébrale ou la moelle épinière, est un pilier central flexible et souple de notre squelette composé d'une pile de 33 à 34 os empilés les uns sur les autres. Ces os, appelés vertèbres, sont séparés par des disques intervertébraux qui agissent comme des amortisseurs et permettent la flexibilité de la colonne vertébrale.
La colonne vertébrale a plusieurs courbes naturelles qui lui donnent une forme en S, ce qui la rend plus forte et capable de mieux supporter le poids du corps et les forces de compression. Elle est divisée en cinq régions: cervicale (7 vertèbres), thoracique (12 vertèbres), lombaire (5 vertèbres), sacrum (5 vertèbres fusionnées) et coccyx (4-5 vertèbres fusionnées).
La moelle épinière, qui est une structure nerveuse centrale cruciale, traverse la colonne vertébrale from top to bottom et sort de la colonne vertébrale à travers des ouvertures dans les vertèbres appelées foramina. La protection de cette moelle épinière sensible contre les dommages est l'une des fonctions vitales de la colonne vertébrale.
Les vertèbres lombaires sont les cinq segments inférieurs de la colonne vertébrale, situés dans la région lombaire du dos. Elles sont généralement désignées par les lettres L1 à L5. Chacune de ces vertèbres a un corps vertébral robuste qui supporte la majeure partie du poids du haut du corps. Les vertèbres lombaires ont des processus épineux et transverses plus grands et plus robustes que les autres parties de la colonne vertébrale, ce qui offre une large surface pour l'insertion des muscles érecteurs du rachis et d'autres muscles du dos.
Elles ont également un grand trou vertébral dans chaque corps vertébral, qui forme ensemble le canal rachidien où passe la moelle épinière. Les vertèbres lombaires sont responsables de la flexion et de la rotation du tronc, ainsi que de la stabilité de la colonne vertébrale. Des problèmes au niveau des vertèbres lombaires peuvent entraîner des douleurs dorsales importantes et des limitations fonctionnelles.
Le noyau ventromédial de l'hypothalamus (NMVH) est une structure située dans la région ventromédiale de l'hypothalamus, qui joue un rôle crucial dans la régulation des fonctions physiologiques et comportementales liées à la prise alimentaire, au métabolisme énergétique, à la croissance, à la reproduction et à l'homéostasie émotionnelle.
Le NMVH est composé de deux populations neuronales distinctes : les neurones à sérotonine et les neurones à peptides orexigènes et anorexigènes, tels que la leptine, la ghréline, la cocaine-et-amphétamine-régulée transcript (CART) et la pro-opiomélanocortine (POMC). Ces neurones sont responsables de la modulation de l'appétit, de la satiété et de la prise alimentaire en réponse aux signaux hormonaux et neurochimiques.
Le NMVH est également impliqué dans la régulation de la dépense énergétique, du métabolisme des lipides et du glucose, ainsi que de la thermogenèse. Les lésions ou les dommages au NMVH peuvent entraîner une hyperphagie, une obésité, une altération de la glycémie et des troubles émotionnels tels que la dépression et l'anxiété.
En outre, le NMVH est également considéré comme un centre important dans la régulation du stress et de la réponse au stress, en particulier en ce qui concerne la réponse neuroendocrine au stress chronique. Les neurones du NMVH libèrent des neuropeptides tels que la corticotrophin-releasing hormone (CRH) et l'arginine vasopressine (AVP), qui régulent la libération de l'hormone adrénocorticotrope (ACTH) et du cortisol en réponse au stress.
En résumé, le NMVH est un centre neural important dans la régulation de l'appétit, de la satiété, du métabolisme énergétique, de la thermogenèse et de la réponse au stress. Les dysfonctionnements du NMVH peuvent entraîner des troubles métaboliques tels que l'obésité et le diabète, ainsi que des troubles émotionnels tels que la dépression et l'anxiété.
La scoliose est une déformation tridimensionnelle structurée et complexe de la colonne vertébrale, qui implique une rotation et une courbure latérale des vertèbres. Normalement, la colonne vertébrale se trouve dans une position droite lorsque vous regardez une personne de face ou de derrière. Cependant, avec la scoliose, la colonne vertébrale forme une courbe en forme de S ou de C, qui peut entraîner une bosse sur le dos lorsque la personne est vue de côté.
La scoliose peut se développer à tout âge, mais elle est le plus souvent détectée chez les enfants pendant leur croissance rapide, généralement entre 10 et 15 ans. La cause la plus fréquente de scoliose est inconnue (on l'appelle scoliose idiopathique), bien que certaines formes soient liées à des conditions médicales sous-jacentes telles que les maladies neuromusculaires, les malformations congénitales de la colonne vertébrale ou les traumatismes.
Le traitement dépend de la gravité de la courbure, de l'âge du patient et de sa maturité osseuse. Il peut inclure une observation régulière, le port d'un corset pour freiner la progression de la courbure ou la chirurgie dans les cas graves.
Le sacrum est un os triangulaire et large situé à la base de la colonne vertébrale, juste au-dessus du coccyx (os de la queue) et entre les deux os coxaux (os de la hanche). Il se compose de cinq segments fusionnés appelés segments sacrals, qui sont des vestiges de cinq vertèbres sacrales individuelles.
Le sacrum s'articule avec plusieurs autres os, notamment les quatre dernières vertèbres lombaires au-dessus, le coccyx en dessous et les os coxaux sur les côtés. Ces articulations forment la jonction entre la colonne vertébrale et le bassin, permettant la stabilité et la mobilité de la région pelvienne.
Le sacrum joue un rôle important dans la protection des structures nerveuses et vasculaires vitales, telles que la moelle épinière et les artères spinale et sacrée. Il offre également une surface d'attache pour plusieurs muscles importants du tronc et des membres inférieurs, notamment le piriforme, le muscle iliaque et le muscle glutéal.
Dans certains contextes médicaux, les pathologies ou les conditions anormales affectant le sacrum peuvent inclure des fractures, des tumeurs osseuses, des infections, des malformations congénitales et des problèmes dégénératifs liés au vieillissement.
L'hypothalamus médian est une région spécifique de l'hypothalamus, qui est elle-même une structure située dans le diencéphale du cerveau. L'hypothalamus a un rôle crucial dans la régulation des fonctions autonomes et de nombreux processus physiologiques, y compris les rythmes circadiens, la température corporelle, la faim et la soif, ainsi que les émotions et le comportement.
L'hypothalamus médian est particulièrement important pour la régulation de l'homéostasie des hormones et des neurotransmetteurs. Il contient plusieurs noyaux neuronaux qui produisent et libèrent des neuropeptides et des neurohormones qui influencent directement ou indirectement les systèmes endocriniens et nerveux périphériques.
Parmi ces noyaux, on trouve le noyau arqué (ou infundibular), qui produit la neurohormone de libération de l'hormone de croissance (GHRH) et la somatostatine, qui régulent la sécrétion de l'hormone de croissance par l'antéhypophyse. Le noyau arqué contient également des neurones à dopamine qui inhibent la libération de prolactine par l'antéhypophyse.
Le noyau ventromédian (VMN) est un autre noyau important situé dans l'hypothalamus médian, qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'appétit et de la prise alimentaire. Les neurones du VMN expriment des neuropeptides tels que la cocaine-et amphétamine-régulée transcript (CART) et le neuropeptide Y (NPY), qui sont des modulateurs clés de l'appétit et de la prise alimentaire.
Le noyau paraventriculaire (PVN) est un autre noyau important situé dans l'hypothalamus médian, qui produit des neuropeptides tels que la corticotropin-releasing hormone (CRH), l'ocytocine et la vasopressine. La CRH régule la libération de cortisol par la glande surrénale en réponse au stress, tandis que l'ocytocine et la vasopressine sont des neuropeptides qui jouent un rôle important dans la régulation de l'homéostasie hydrique et du comportement social.
En résumé, l'hypothalamus médian est une région cruciale du cerveau qui joue un rôle central dans la régulation de nombreux processus physiologiques importants tels que la croissance, l'appétit, le stress et l'homéostasie hydrique. Les neurones situés dans cette région produisent des neuropeptides et d'autres neurotransmetteurs qui régulent ces processus en modulant la sécrétion de diverses hormones et en influençant le comportement.
Le bassin, ou pelvis en terme médical, se réfère à la structure osseuse complexe et rigide située dans la partie inférieure du tronc qui soutient les organes abdominaux et pelviens. Il est composé de plusieurs os fusionnés : le sacrum (une série de vertèbres fusionnées) à l'arrière, les deux coxales (os iliaques) sur les côtés, et le coccyx (os de la queue) à l'extrémité postérieure.
Le pelvis a deux fonctions principales : protéger les organes internes tels que la vessie, le rectum et les organes reproducteurs ; et fournir une base pour la marche et la posture en transférant le poids du haut du corps vers les jambes.
Le pelvis est également divisé en deux parties : le petit bassin (pelvis supérieur ou false pelvis) et le grand bassin (pelvis inférieur ou true pelvis). Le petit bassin est plus large et moins profond, formant la partie supérieure du pelvis ; il contient principalement des intestins. Le grand bassin est la partie inférieure, plus étroite et profonde, qui abrite les organes reproducteurs et urinaires.
La forme et la taille du pelvis peuvent varier considérablement entre les individus, en particulier entre les sexes, ce qui peut influencer la facilité ou la difficulté de l'accouchement.
L'arthrodèse vertébrale est une procédure chirurgicale orthopédique ou neurochirurgicale qui consiste à fusionner deux ou plusieurs vertèbres ensemble. L'objectif de cette intervention est de soulager la douleur, corriger les déformités ou stabiliser une zone instable de la colonne vertébrale.
Pendant l'intervention, le chirurgien place des matériaux de greffe osseuse (comme des morceaux d'os prélevés sur le patient ou des substituts osseux) entre les corps vertébraux à fusionner. Ensuite, il utilise du matériel de fixation (tiges, vis, plaques, fils...) pour maintenir les vertèbres dans la bonne position pendant que l'os cicatrise et se soude ensemble.
Les indications courantes pour une arthrodèse vertébrale comprennent :
* La dégénération articulaire ou discale sévère avec douleur chronique et instabilité de la colonne vertébrale
* Les spondylolisthésis (glissement antérieur d'une vertèbre sur une autre)
* Les fractures vertébrales instables
* Les infections ou tumeurs de la colonne vertébrale
* La scoliose dégénérative ou déformante
Les complications possibles de l'arthrodèse vertébrale incluent le non-fusion des vertèbres, la pseudarthrose, les infections, les dommages nerveux, la perte de mobilité et la douleur persistante.
La région lombosacrée est une zone anatomique du corps humain qui se situe dans la partie inférieure du rachis, ou colonne vertébrale. Elle est composée des cinq dernières vertèbres lombaires (L1 à L5) et des cinq vertèbres sacrées fusionnées qui forment le sacrum.
Cette région est particulièrement importante en médecine car elle abrite la moelle épinière ainsi que les racines nerveuses qui sortent de la colonne vertébrale pour former les plexus lombaires et sacrés, responsables de l'innervation des membres inférieurs et de certaines parties du tronc.
Des pathologies telles que les hernies discales, les sténoses spinales ou les fractures vertébrales peuvent affecter la région lombosacrée et entraîner des douleurs, des engourdissements, des faiblesses musculaires ou une perte de sensibilité dans les membres inférieurs.
Les vertèbres cervicales sont les sept premières vertèbres de la colonne vertébrale, situées dans la région du cou. Elles sont désignées par les lettres C1 à C7, chaque lettre correspondant à une vertèbre particulière. La première vertèbre cervicale, également appelée atlas, supporte le crâne et permet la rotation de la tête. La deuxième vertèbre, l'axis, a un processus odontoïde qui s'étend vers le haut et forme une articulation pivotante avec l'atlas, permettant également des mouvements de la tête. Les autres vertèbres cervicales, de C3 à C7, ont des corps vertébraux plus petits et sont séparées par des disques intervertébraux qui agissent comme des amortisseurs pour absorber les chocs et permettre la flexion et l'extension du cou. Les vertèbres cervicales protègent également la moelle épinière et les nerfs spinaux dans cette région du corps.
La radiographie est une technique d'imagerie médicale utilisant des rayons X. Elle permet de produire des images des structures internes du corps, telles que les os, les poumons et certains organes abdominaux, en détectant l'absorption différente des rayons X par les différents tissus corporels. Les zones qui absorbent peu les rayons X, comme les poumons, apparaissent en noir sur l'image, tandis que les zones qui les absorbent davantage, comme les os, apparaissent en blanc. Cette méthode est largement utilisée en médecine pour diagnostiquer des fractures, des tumeurs, des infections et d'autres affections médicales. Cependant, l'utilisation de radiographies doit être pesée par rapport aux risques potentiels associés à l'exposition aux rayonnements ionisants.
La spondylose dégénérative ou l'ostéoarthrose de la colonne vertébrale est une forme courante d'usure des articulations qui affecte principalement les facettes articulaires (petites articulations situées à l'arrière de la colonne vertébrale) et les disques intervertébraux (les coussinets entre les vertèbres). Cette usure peut entraîner une perte de cartilage, la formation d'ostéophytes (des excroissances osseuses), des douleurs, une raideur et une réduction de la mobilité. Les facteurs de risque comprennent l'âge, l'obésité, les antécédents familiaux, les traumatismes antérieurs et certaines activités professionnelles ou récréatives qui exercent une pression excessive sur la colonne vertébrale. Le traitement peut inclure des médicaments contre la douleur, de la physiothérapie, des exercices d'étirement et de renforcement, et dans certains cas, une intervention chirurgicale.
L'ovariectomie est une procédure chirurgicale qui consiste en l'ablation des ovaires. Cette intervention est couramment réalisée chez les femmes pour traiter diverses affections médicales telles que les kystes ovariens, le cancer des ovaires, les saignements vaginaux anormaux, l'endométriose sévère, la douleur pelvienne chronique et dans certains cas, pour réduire le risque de cancer du sein. Chez les animaux de compagnie tels que les chats et les chiens, l'ovariectomie est souvent pratiquée à des fins de stérilisation.
L'ablation des ovaires entraîne une ménopause artificielle, ce qui signifie que la production d'hormones sexuelles féminines telles que l'estrogène et la progestérone cesse. Cela peut entraîner des symptômes tels que les bouffées de chaleur, la sécheresse vaginale, l'ostéoporose et d'autres changements dans le corps. Toutefois, ces symptômes peuvent être gérés avec un traitement hormonal substitutif ou d'autres thérapies médicales.
Il existe deux principaux types d'ovariectomie : l'ovariectomie laparoscopique et l'ovariectomie ouverte. L'ovariectomie laparoscopique est une procédure moins invasive qui utilise une petite caméra pour guider le chirurgien pendant la procédure. Cette méthode entraîne généralement moins de douleur, une récupération plus rapide et un risque réduit de complications postopératoires. L'ovariectomie ouverte, en revanche, nécessite une incision plus grande dans l'abdomen pour accéder aux ovaires. Cette méthode est généralement utilisée lorsque des complications sont attendues ou si le patient présente des antécédents de chirurgies abdominales importantes.
La spondylolyse est un défaut ou une fracture dans le pars interarticularis, qui est une section mince de la vértebraire (os situé dans la colonne vertébrale). Cette condition se produit le plus souvent dans les vertèbres lombaires inférieures, en particulier à la cinquième vertèbre lombaire (L5). La spondylolyse peut entraîner une instabilité de la colonne vertébrale et, dans certains cas, peut conduire à une condition appelée spondylolisthésis, où une vertèbre glisse vers l'avant par rapport à la vertèbre sous-jacente.
Les symptômes de la spondylolyse peuvent inclure des douleurs au bas du dos, des raideurs et des contractures musculaires. Cependant, certaines personnes atteintes de spondylolyse ne présentent aucun symptôme. Le diagnostic de spondylolyse est généralement posé à l'aide d'une combinaison d'examens physiques, d'imageries médicales telles que des radiographies, des scanners CT ou des IRM.
Le traitement de la spondylolyse dépend de la gravité des symptômes et peut inclure le repos, la thérapie physique, les analgésiques et, dans certains cas, la chirurgie. Les personnes atteintes de spondylolyse doivent éviter les activités qui aggravent la douleur ou l'instabilité de la colonne vertébrale, telles que le soulèvement de charges lourdes ou les sports à impact élevé.
L'aire préoptique est une région située dans le hypothalamus, une partie du cerveau qui régule certaines fonctions autonomes et homeostatiques. Plus précisément, l'aire préoptique se trouve dans la partie antérieure de l'hypothalamus.
Cette région est impliquée dans un large éventail de fonctions physiologiques et comportementales, y compris:
* La régulation de la température corporelle
* Le contrôle de la soif et de l'apport hydrique
* La modulation des rythmes circadiens et du sommeil-éveil
* L'expression des comportements maternels et sexuels
* La régulation de la consommation d'énergie et de l'appétit.
Les neurones dans l'aire préoptique sont sensibles à divers stimuli internes et externes, tels que les changements de température, les niveaux hormonaux et les signaux sociaux. Ces neurones peuvent ensuite déclencher des réponses physiologiques ou comportementales appropriées pour maintenir l'homéostasie du corps.
Des études ont montré que l'aire préoptique joue un rôle important dans la régulation de la température corporelle en détectant les changements de température et en initiant des réponses pour maintenir une température interne stable. Elle est également impliquée dans le contrôle de l'apport hydrique, en stimulant la soif en réponse à une déshydratation ou à une augmentation de la concentration sanguine en sodium.
De plus, l'aire préoptique est connue pour être impliquée dans la régulation des rythmes circadiens et du sommeil-éveil. Les neurones dans cette région peuvent détecter les signaux lumineux et réguler ainsi l'horloge interne qui contrôle le cycle veille-sommeil.
Enfin, l'aire préoptique est également connue pour être impliquée dans la reconnaissance des signaux sociaux et dans la régulation des comportements sociaux. Des études ont montré que les dommages à cette région peuvent entraîner une altération de la reconnaissance des émotions faciales et des comportements sociaux appropriés.
L'os coxal, également connu sous le nom d'os iliaque, est la plus grande des pièces osseuses qui composent le bassin. Chez l'être humain, chaque os coxal se forme à partir de trois fusionnes pendant la croissance : l'ilion, l'ischion et le pubis. Les os coxaux forment les cavités pelviennes protégées où sont logés les organes abdominaux et reproducteurs internes. Ils s'articulent avec le sacrum à l'arrière et forment la hanche en se connectant à l'os du fémur au niveau de la tête du fémur par l'intermédiaire de la articulation de la hanche. Les os coxaux jouent un rôle crucial dans la stabilité posturale, le soutien et les mouvements du tronc et des membres inférieurs.
La spondylolisthésis est un trouble de la colonne vertébrale où une vértebre, généralement dans le bas du dos (rachis lombaire), glisse vers l'avant sur la vértebre sous-jacente. Cela se produit souvent à la jonction entre les segments L4 et L5 ou L5 et S1 de la colonne vertébrale. Cette condition peut être congénitale (présente dès la naissance), ou acquise par suite de traumatismes répétés, de l'usure avec l'âge, ou de défauts structurels de la colonne vertébrale.
La spondylolisthésis peut être asymptomatique et découverte fortuitement sur une radiographie effectuée pour une autre raison. Cependant, lorsqu'elle est symptomatique, elle peut causer des douleurs dans le bas du dos, les fesses, les cuisses ou les jambes (sciatique). Dans les cas graves, la progression de la glisse peut entraîner une compression de la moelle épinière ou des racines nerveuses, ce qui peut provoquer une faiblesse musculaire, une perte de sensation dans les membres inférieurs et des problèmes de contrôle de la vessie ou des intestins.
Le traitement de la spondylolisthésis dépend de sa gravité et de la présence ou non de symptômes. Dans les cas légers à modérés sans compression nerveuse, le repos, les analgésiques, la physiothérapie et l'exercice peuvent être suffisants pour gérer la douleur et prévenir une aggravation de la condition. Dans les cas plus graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour stabiliser la colonne vertébrale et soulager la compression nerveuse.
Une discectomie est un type de chirurgie spinale qui consiste à enlever tout ou partie d'un disque intervertébral dans la colonne vertébrale. Ce disque, qui agit comme un coussin entre les vertèbres, peut hernier ou glisser hors de sa position normale, ce qui peut causer une pression sur les nerfs rachidiens environnants et entraîner des douleurs, des engourdissements ou une faiblesse dans les membres.
L'objectif d'une discectomie est de soulager ces symptômes en retirant la partie du disque qui cause la pression sur le nerf. Cette procédure peut être réalisée de différentes manières, selon la gravité et l'emplacement de la hernie discale. Dans certains cas, une petite incision peut être faite dans le dos pour accéder au disque, tandis que dans d'autres cas, une microdiscectomie peut être effectuée à l'aide d'un endoscope pour minimiser la taille de l'incision.
Il est important de noter que la discectomie est généralement considérée comme un traitement de dernier recours, lorsque les autres options de traitement telles que la physiothérapie, les médicaments et les injections de corticostéroïdes ont échoué. Comme toute intervention chirurgicale, la discectomie comporte des risques et des complications potentielles, tels qu'une infection, une lésion nerveuse ou une fuite de liquide céphalorachidien. Par conséquent, il est important de discuter avec un médecin pour déterminer si cette procédure est appropriée dans chaque cas particulier.
Dans la terminologie médicale, les vertèbres thoraciques font référence aux douze vertèbres qui composent la partie supérieure et moyenne de la colonne vertébrale, également connue sous le nom de région thoracique ou poitrine. Chaque vertèbre thoracique est numérotée de T1 à T12, en commençant par la vertèbre la plus haute.
Les vertèbres thoraciques sont uniques car elles ont des processus transverses plus courts et des processus épineux plus longs que les vertèbres cervicales supérieures. De plus, chaque vertèbre thoracique a une facette costale sur ses corps vertébraux qui s'articule avec une côte, ce qui contribue à la formation de la cage thoracique et protège les organes vitaux internes.
En plus d'offrir une protection aux organes internes, les vertèbres thoraciques jouent également un rôle important dans la stabilité de la colonne vertébrale, en particulier lors des mouvements de torsion et de flexion latérale. Cependant, leur contribution à la mobilité globale de la colonne vertébrale est limitée en raison de l'articulation costale restrictive.
Un fixateur interne est un dispositif médical utilisé en chirurgie orthopédique pour stabiliser et maintenir ensemble les fragments d'os brisés ou fracturés dans la bonne position jusqu'à ce qu'ils guérissent. Il s'agit généralement d'une combinaison de broches, de vis, de plaques et de fils métalliques qui sont insérés dans l'os pendant une intervention chirurgicale.
Les fixateurs internes offrent plusieurs avantages par rapport aux méthodes traditionnelles de traitement des fractures telles que le plâtre ou les attelles externes. Ils permettent une mobilisation précoce et une réhabilitation plus rapide, ce qui peut entraîner une meilleure fonction articulaire et une réduction du risque de complications liées à l'immobilité prolongée.
Cependant, les fixateurs internes présentent également des inconvénients potentiels tels qu'un risque accru d'infection, la nécessité d'une intervention chirurgicale supplémentaire pour retirer le matériel une fois la guérison obtenue et l'exposition aux métaux lourds contenus dans les implants.
En résumé, un fixateur interne est un outil essentiel en orthopédie qui aide à stabiliser et à aligner correctement les os fracturés, favorisant ainsi une guérison optimale. Toutefois, comme pour tout traitement médical, il comporte des avantages et des inconvénients potentiels qu'il convient de peser soigneusement en fonction des besoins individuels du patient.
L'ostéophytose vertébrale, également connue sous le nom d'arthrose ou d'éperons osseux, est une affection caractérisée par la croissance anormale d'excroissances osseuses (ostéophytes) sur les bords des articulations des vertèbres de la colonne vertébrale. Ces excroissances se forment en réponse à l'usure et à la dégénérescence du cartilage qui recouvre les extrémités osseuses dans les articulations, ce qui entraîne une inflammation et une douleur.
L'ostéophytose vertébrale est généralement associée au vieillissement normal ou à des processus dégénératifs plus rapides tels que l'arthrose. Elle peut également être liée à d'autres affections telles que la spondylose déformante, une maladie dégénérative de la colonne vertébrale qui affecte les disques intervertébraux et les articulations facettaires.
Les symptômes courants de l'ostéophytose vertébrale comprennent des douleurs au dos ou au cou, une raideur articulaire, une réduction de la mobilité et des douleurs irradiantes dans les membres. Le traitement peut inclure des médicaments anti-inflammatoires, des exercices de physiothérapie pour renforcer les muscles du dos et améliorer la flexibilité, et dans certains cas, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager les symptômes graves.
Un disque intervertébral est un composant important du système squelettique et se trouve spécifiquement dans la colonne vertébrale. Il s'agit d'une structure fibreuse et souple située entre chaque paire de vertèbres, à l'exception de la première et de la deuxième cervicale.
Un disque intervertébral est constitué de deux parties : le nucleus pulposus, qui forme le centre mou et gélatineux, et l'annulus fibrosus, qui est la couche extérieure composée de fibres de collagène disposées en anneaux concentriques.
Ces disques ont plusieurs fonctions cruciales : ils permettent la flexion, l'extension, la torsion et la rotation de la colonne vertébrale ; ils absorbent également les chocs et répartissent les forces lors des mouvements, protégeant ainsi les vertèbres et le cordon nerveux spinaux.
Cependant, avec l'âge ou en raison d'une blessure, ces disques peuvent se détériorer, ce qui peut entraîner une hernie discale où le nucleus pulposus sort de son emplacement normal et exerce une pression sur les nerfs voisins, provoquant des douleurs et d'autres symptômes neurologiques.
L'oestradiol est une forme principale et la plus forte d'œstrogènes, les hormones sexuelles féminines. Il joue un rôle crucial dans le développement des caractères sexuels secondaires féminins tels que les seins, l'utérus et les ovaires. Il favorise également la croissance de l'endomètre pendant le cycle menstruel. Chez les hommes, il est produit en petites quantités dans les testicules. L'oestradiol est principalement produit par les follicules ovariens chez les femmes pré-ménopausées. Après la ménopause, le tissu adipeux devient la source principale d'oestradiol. Des niveaux anormaux d'oestradiol peuvent entraîner divers problèmes de santé, tels que l'ostéoporose, les troubles menstruels et certains types de cancer.
L'Intervertébral Disc Dégenerescence (IDD) est un processus dégénératif qui affecte le disque intervertébral, la structure située entre deux vertèbres de la colonne vertébrale. Ce disque agit comme un coussin amortisseur et permet la flexibilité et la mobilité de la colonne vertébrale.
Au cours du processus de dégénérescence, le disque intervertébral subit des modifications structurelles et fonctionnelles. Les changements comprennent la perte d'eau, de collagène et de protéoglycanes dans le noyau pulpeux du disque, ce qui entraîne une réduction de sa hauteur et de sa capacité à absorber les chocs.
Ces modifications peuvent provoquer des fissures ou des déchirures dans l'annulus fibrosus (la couche extérieure du disque), ce qui peut entraîner une hernie discale ou une protrusion discale, où le matériel interne du disque sort de sa position normale et peut exercer une pression sur les nerfs voisins.
L'IDD est souvent associée à des douleurs chroniques au dos et au cou, ainsi qu'à d'autres symptômes tels que la faiblesse musculaire, les picotements et l'engourdissement dans les membres. Les facteurs de risque comprennent l'âge, l'obésité, le tabagisme, les antécédents de traumatismes ou de microtraumatismes répétés de la colonne vertébrale.
La progestérone est une hormone stéroïde produite principalement par le corps jaune des ovaires pendant le cycle menstruel et dans la phase lutéale. Elle joue un rôle crucial dans la préparation et le maintien de la muqueuse utérine pour la nidation d'un ovule fécondé. Pendant la grossesse, la production de progestérone est assurée par le placenta.
La progestérone a plusieurs fonctions importantes dans le corps humain :
1. Elle prépare la muqueuse utérine (endomètre) pour une éventuelle grossesse en favorisant sa croissance et son épaississement après l'ovulation. Si la fécondation ne se produit pas, les niveaux de progestérone chutent, entraînant la menstruation.
2. Durant la grossesse, la progestérone maintient l'utérus en état relaxé pour empêcher les contractions utérines prématurées et assurer le bon développement du fœtus.
3. Elle influence également le développement des seins pendant la puberté et la grossesse, en favorisant la croissance des glandes mammaires et en préparant les seins à la production de lait maternel.
4. La progestérone a des effets sédatifs légers et peut contribuer au soulagement du stress et de l'anxiété.
5. Elle participe au métabolisme des os en régulant l'équilibre entre la formation et la résorption osseuse, ce qui contribue à maintenir la densité minérale osseuse.
Des déséquilibres de la progestérone peuvent entraîner divers troubles hormonaux, tels que le syndrome prémenstruel (SPM), des cycles menstruels irréguliers, une infertilité et une ménopause précoce. Un faible taux de progestérone pendant la grossesse peut augmenter le risque de fausse couche ou de naissance prématurée.
Les articulations zygapophysaires, également connues sous le nom de facettes articulaires, sont des joints situés dans la colonne vertébrale entre les processus épineux et les lames des vertèbres adjacentes. Ces articulations jouent un rôle important dans la stabilité et la mobilité de la colonne vertébrale.
Les surfaces articulaires des processus épineux et des lames sont recouvertes d'un tissu cartilagineux et sont entourées d'une capsule fibreuse. Les mouvements de la colonne vertébrale, tels que la flexion, l'extension, la rotation et la latéralité, sont en partie permis par ces articulations.
Les articulations zygapophysaires peuvent être affectées par des processus dégénératifs ou traumatiques, entraînant des douleurs et une raideur de la colonne vertébrale. Des affections telles que l'arthrose, les hernies discales et les spondylolisthésis peuvent affecter ces articulations et causer des symptômes douloureux ou restrictifs.
Le Rat Long-Evans n'est pas une condition ou un terme médical spécifique. Il s'agit plutôt d'une souche de rats albinos communément utilisés dans la recherche biomédicale. Ils sont nommés d'après les scientifiques qui les ont développés à l'Université de Toronto au Canada, J.L. Long et W.C. Evans, dans les années 1940.
Les Rats Long-Evans sont souvent utilisés en raison de leur taille moyenne, de leur facilité de manipulation, de leur cycle de reproduction court et de leur durée de vie relativement longue par rapport à d'autres souches de rats. Ils présentent également un certain nombre de caractéristiques physiologiques et comportementales stables qui les rendent utiles pour une variété d'études, y compris la recherche sur le système nerveux central, la toxicologie, la pharmacologie, la génétique et la psychologie.
Cependant, il est important de noter que, comme tous les modèles animaux, les Rats Long-Evans ne sont pas parfaitement représentatifs des humains ou d'autres espèces et doivent être utilisés avec prudence dans la recherche biomédicale.
La posture balance, également appelée équilibre postural, fait référence à la capacité du système nerveux central à maintenir et à contrôler la position du corps en équilibre, en particulier pendant le maintien d'une posture statique ou la réalisation de mouvements. Il s'agit d'un processus dynamique qui implique l'interaction de plusieurs systèmes, notamment sensoriels (visuel, vestibulaire et proprioceptif), musculo-squelettiques et cognitifs.
Le système visuel fournit des informations sur la position du corps dans l'espace par rapport aux objets environnants. Le système vestibulaire, situé dans l'oreille interne, détecte les mouvements de la tête et les changements de position corporelle par rapport à la gravité. Enfin, le système proprioceptif, composé de récepteurs situés dans les muscles, les tendons et les articulations, fournit des informations sur la position et les mouvements des différentes parties du corps.
Ces informations sont intégrées au niveau du cerveau pour générer des réponses motrices appropriées permettant de maintenir l'équilibre et d'éviter les chutes. Des troubles de la posture balance peuvent survenir en raison de déficits sensoriels, musculaires ou cognitifs, entraînant une augmentation du risque de chutes et de blessures associées.
Scheuermann's disease, also known as Scheuermann's kyphosis, is a spinal disorder that typically affects the thoracic spine in adolescents. It is characterized by an abnormal curvature of the spine in the shape of a hump or rounded back, which can lead to a rigid and fixed deformity. This condition is caused by the wedging of several consecutive vertebrae, resulting in a exaggerated kyphosis or roundback appearance.
The exact cause of Scheuermann's disease is not fully understood, but it is believed to have a genetic component as it tends to run in families. Additionally, poor posture and mechanical factors may contribute to its development. The condition is more commonly found in boys than girls and typically presents during the adolescent growth spurt.
Mild cases of Scheuermann's disease may not require treatment, but severe cases can lead to significant deformity, back pain, and decreased lung capacity. Treatment options for moderate to severe cases include physical therapy, bracing, and in some cases, surgery. The goal of treatment is to prevent further progression of the spinal curvature and alleviate any associated symptoms.
La castration est un terme médical qui se réfère à la suppression chirurgicale des gonades, c'est-à-dire les testicules chez l'homme et les ovaires chez la femme. Cette procédure entraîne l'arrêt de la production d'hormones sexuelles telles que la testostérone et les œstrogènes. Chez l'homme, cela peut également être appelé une orchidectomie.
Chez l'homme, la castration entraîne généralement une diminution de la libido, une atrophie des organes sexuels internes et externes, et potentialement une altération de la masse osseuse. Chez la femme, elle peut entraîner l'arrêt des menstruations et potentialement une perte de densité osseuse.
La castration est rarement pratiquée dans les sociétés développées à moins que ce ne soit pour des raisons médicales, telles que le traitement du cancer de la prostate ou des ovaires. Cependant, elle a été utilisée historiquement comme forme de punition ou de contrôle social. Dans certains contextes culturels et religieux, la castration est également pratiquée à des fins spirituelles ou volontaires.
Il convient de noter que la castration chimique, qui implique l'utilisation de médicaments pour supprimer la production d'hormones sexuelles, est une option thérapeutique différente et peut être utilisée dans le traitement de certaines affections médicales.
Une vis orthopédique est un type de matériel utilisé en chirurgie orthopédique pour aider à stabiliser et à aligner correctement les os et les articulations dans le corps. Il s'agit essentiellement d'une vis métallique, généralement en titane ou en acier inoxydable, qui est insérée chirurgicalement dans l'os pour fournir une fixation interne et une stabilité structurelle.
Les vis orthopédiques peuvent être utilisées dans diverses procédures telles que la fracture ouverte réduction et internalisation (ORIF), où elles sont insérées de chaque côté de la fracture pour maintenir les morceaux d'os ensemble pendant la guérison. Elles sont également utilisées dans l'arthrodese, une procédure qui fusionne deux vertèbres ou articulations ensemble, en fixant les os avec des vis et des plaques.
Les vis orthopédiques peuvent être de différents types et tailles, en fonction de la partie du corps où elles seront utilisées et de l'objectif de la chirurgie. Certaines vis ont des filetages tout au long de leur longueur, tandis que d'autres n'en ont qu'à une extrémité. Certaines sont conçues pour être retirées après la guérison, tandis que d'autres sont destinées à rester dans le corps de manière permanente.
Comme avec toute intervention chirurgicale, il existe des risques associés à l'utilisation de vis orthopédiques, tels que l'infection, la douleur, la mobilité réduite et les dommages aux tissus environnants. Cependant, dans de nombreux cas, les avantages de l'utilisation d'une vis orthopédique pour fournir une stabilité structurelle et favoriser la guérison peuvent l'emporter sur ces risques.
L'Aire Tegmentale Ventrale (ATV) est une région localisée dans le tronc cérébral, plus précisément au niveau du mésencéphale. Elle est constituée d'un groupe de neurones qui produisent et libèrent un neurotransmetteur appelé dopamine. L'ATV joue un rôle crucial dans plusieurs fonctions cognitives et comportementales, notamment la récompense, le plaisir, le renforcement positif, l'addiction, la motivation, la prise de décision et l'humeur. Elle est également impliquée dans certaines pathologies telles que la maladie de Parkinson, les troubles de l'usage de substances et les troubles dépressifs majeurs.
L'amplitude de mouvement articulaire, également connue sous le nom de "ROM" (Range of Motion), fait référence à la mesure complète et totale de la capacité de mouvement d'une articulation particulière. Elle est déterminée par la quantité de rotation ou de déplacement possible dans une direction spécifique pour une articulation donnée.
L'amplitude de mouvement articulaire peut être mesurée en utilisant des unités telles que les degrés, les centimètres ou les pouces. Elle est influencée par plusieurs facteurs, notamment la structure anatomique de l'articulation, la souplesse des tissus mous environnants, la force musculaire et la présence de toute limitation pathologique ou restrictive.
Des amplitudes de mouvement articulaires adéquates sont essentielles pour maintenir une fonction articulaire normale et prévenir les raideurs et les douleurs articulaires. Des exercices d'étirement et de renforcement peuvent aider à améliorer l'amplitude de mouvement articulaire, tandis que des conditions telles que l'arthrite, les blessures ou la chirurgie peuvent entraîner une réduction de celle-ci.
Les maladies du rachis, également connues sous le nom de troubles de la colonne vertébrale, font référence à un large éventail de conditions qui affectent la structure et la fonction de la colonne vertébrale. La colonne vertébrale, ou rachis, est composée de 33 vertèbres empilées les unes sur les autres, avec des disques intervertébraux entre chacune d'elles pour amortir les chocs et permettre le mouvement.
Les maladies du rachis peuvent affecter n'importe quelle partie de la colonne vertébrale, y compris le cou (cervical), la poitrine (thoracique), le bas du dos (lombaire) et la région sacrée et coccygienne. Les maladies du rachis peuvent être causées par une variété de facteurs, notamment l'usure due au vieillissement, les traumatismes, les infections, les tumeurs, les déformations congénitales et les maladies inflammatoires.
Les exemples courants de maladies du rachis comprennent la hernie discale, la sténose spinale, la scoliose, l'ostéoporose, l'arthrose, la spondylolisthésis et la cyphose. Ces conditions peuvent causer une variété de symptômes, y compris la douleur, la raideur, la faiblesse, les engourdissements ou les picotements dans les membres, et dans certains cas, des problèmes neurologiques graves tels que la paralysie.
Le traitement des maladies du rachis dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, la physiothérapie, les injections de corticostéroïdes, la chirurgie ou une combinaison de ces options. Il est important de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes de maladies du rachis pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.
Les muscles abdominaux font référence au groupe de muscles situés dans la paroi antérieure et laterale de l'abdomen. Ils jouent un rôle crucial dans la maintien de la posture, la protection des organes internes, la respiration et les mouvements du tronc.
Il existe quatre paires principales de muscles abdominaux :
1. Le muscle grand droit, qui est le muscle le plus superficiel et souvent ce que nous considérons comme les "tablettes de chocolat" lorsqu'il est bien développé. Il s'étend verticalement de la cage thoracique aux os pelviens.
2. Les muscles obliques externes, qui sont situés sur les côtés de l'abdomen et s'étendent diagonalement de la cage thoracique aux os pelviens. Ils aident à tourner et incliner le tronc.
3. Les muscles obliques internes, qui se trouvent sous les obliques externes et s'étendent également diagonalement, mais dans la direction opposée. Ils contribuent également à la rotation et à l'inclinaison du tronc.
4. Le muscle transverse, qui est le muscle le plus profond de l'abdomen. Il s'étend horizontalement autour de l'abdomen et aide à maintenir la pression intra-abdominale.
Ensemble, ces muscles travaillent en harmonie pour permettre une grande variété de mouvements et de fonctions importantes dans notre vie quotidienne.
Je suis désolé, mais la substance que vous mentionnez, "2,3,4,5-Tétrahydro-1-Phényl-1H-3-Benzoazépine-7,8-Diol", ne fait pas partie des termes couramment utilisés en médecine ou dans les sciences de la santé. Il s'agit probablement d'une substance chimique spécifique qui peut être étudiée dans le domaine de la chimie, mais qui n'a pas de pertinence directe pour la médecine.
Si cette substance a une signification particulière dans votre recherche ou contexte, je vous recommande de consulter des ressources spécialisées en chimie ou dans le domaine d'étude pertinent pour obtenir une définition précise et appropriée.
Les appareils de fixation orthopédique sont des dispositifs médicaux utilisés en chirurgie orthopédique pour stabiliser et aligner correctement les os, les articulations ou les autres structures du système musculo-squelettique. Ils peuvent être utilisés pour traiter une variété de conditions telles que les fractures, les entorses, les luxations, les déformations congénitales ou acquises, et les pathologies dégénératives.
Les appareils de fixation orthopédique peuvent être internes ou externes. Les dispositifs internes comprennent des plaques, des vis, des broches, des clous et des agrafes qui sont insérés dans l'os pendant la chirurgie pour le maintenir en place pendant la guérison. Les dispositifs externes comprennent des attelles, des corsets, des orthèses et des attelles circulaires qui sont appliqués sur la peau pour fournir un soutien et une stabilité à l'extérieur de l'os ou de l'articulation.
Le choix du type d'appareil de fixation orthopédique dépend de la localisation, de la gravité et de la nature de la blessure ou de la condition traitée. Les appareils peuvent être utilisés seuls ou en combinaison avec d'autres traitements tels que l'immobilisation, la thérapie physique ou la médication.
Il est important de noter que les appareils de fixation orthopédique doivent être installés et ajustés par des professionnels de santé qualifiés pour assurer une guérison optimale et prévenir les complications telles que les infections, les mauvaises cicatrisations ou les mouvements anormaux.
L'ossification du ligament longitudinal postérieur (OLLP) est un processus anormal où le ligament longitudinal postérieur, qui s'étend sur toute la longueur de la colonne vertébrale, se calcifie ou s'ossifie. Cette condition est également connue sous le nom d'ostéophytose ligamentaire ou de syndesmophytose atypique.
L'OLLP peut affecter n'importe quelle partie de la colonne vertébrale, mais elle est le plus souvent observée dans la région cervicale et thoracique. Elle se caractérise par la présence de petites excroissances osseuses le long du ligament longitudinal postérieur, qui peuvent entraîner une réduction de la mobilité vertébrale et des douleurs dans le cou ou le dos.
Les causes exactes de l'OLLP ne sont pas complètement comprises, mais elle est souvent associée à des conditions telles que l'arthrose, l'ankylose sagittale, la discopathie dégénérative et les traumatismes vertébraux. Le diagnostic de l'OLLP peut être posé par imagerie médicale telle qu'une radiographie, une tomographie computérisée (CT scan) ou une résonance magnétique nucléaire (RMN).
Le traitement de l'OLLP dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des analgésiques, des anti-inflammatoires non stéroïdiens, de la physiothérapie et des exercices d'étirement. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour soulager la douleur et améliorer la mobilité vertébrale.
Les phénomènes biomécaniques sont des événements ou des processus qui se produisent dans les systèmes vivants et qui peuvent être analysés et compris en utilisant les principes de la mécanique. Cela comprend l'étude de la structure, de la forme et du fonctionnement des organismes vivants, y compris les matériaux biologiques, tels que les os, les muscles et les tendons, ainsi que la façon dont ils travaillent ensemble pour produire des mouvements et des fonctions.
Les phénomènes biomécaniques peuvent être étudiés à différentes échelles, allant de la molécule unique aux systèmes entiers, tels que les membres ou les organes. Les chercheurs en biomécanique utilisent une variété de techniques pour étudier ces phénomènes, y compris l'analyse des mouvements, l'ingénierie des tissus, la simulation informatique et l'imagerie médicale.
Les applications de la biomécanique sont vastes et comprennent la conception d'appareils orthopédiques et de prothèses, l'étude des blessures et des maladies, l'amélioration des performances sportives, et la compréhension de l'évolution et de la fonction des organismes vivants.
En médecine, la biomécanique est utilisée pour comprendre les mécanismes sous-jacents à diverses affections médicales, telles que les lésions de la moelle épinière, les maladies articulaires et les troubles musculo-squelettiques. Elle peut également être utilisée pour évaluer l'efficacité des traitements et des interventions chirurgicales, ainsi que pour développer de nouveaux dispositifs médicaux et des stratégies thérapeutiques.
Les ligaments longitudinaux, également connus sous le nom de ligaments cruraux, sont des bandes de tissu fibreux qui courent le long de la face antérieure et postérieure de la jambe. Ils contribuent à la stabilité de l'articulation du genou en limitant son mouvement dans certaines directions.
Le ligament longitudinal antérieur, ou ligament crural antérieur, est le plus superficiel des deux. Il s'étend de la partie inférieure de la rotule (ou patella) au tibia, juste en dessous de la rotule. Ce ligament empêche l'hyperextension du genou et aide à maintenir la rotule en place.
Le ligament longitudinal postérieur, ou ligament crural postérieur, est plus profond. Il s'étend de la partie inférieure de la rotule au tibia, juste en dessous de la rotule, et se poursuit jusqu'au haut du mollet (ou le soléaire). Ce ligament empêche le genou de plier trop loin vers l'arrière.
Les ligaments longitudinaux peuvent être endommagés ou déchirés en raison d'un traumatisme direct sur le genou, comme dans les cas de blessures sportives ou de accidents de voiture. Ces dommages peuvent entraîner une instabilité du genou et des douleurs importantes.
L'hypothalamus est une petite glande endocrine située dans le diencéphale du cerveau. Il joue un rôle crucial dans de nombreuses fonctions essentielles à la survie, notamment la régulation de la température corporelle, du rythme cardiaque, de l'appétit, de la soif, du sommeil, de l'humeur et des émotions.
L'hypothalamus sert également de centre de contrôle pour le système endocrinien en influençant la sécrétion d'hormones par l'hypophyse, une glande située juste au-dessous de lui. Par exemple, il produit des facteurs qui stimulent ou inhibent la libération des hormones thyroïdiennes, des stéroïdes sexuels et de l'hormone de croissance par l'hypophyse.
En outre, l'hypothalamus contient des neurones qui produisent des neurotransmetteurs et des neuropeptides qui régulent divers processus physiologiques, tels que la douleur, le plaisir, la récompense, l'addiction, l'agressivité et la parentalité.
Des troubles de l'hypothalamus peuvent entraîner une variété de symptômes, selon la région spécifique affectée et la fonction qu'elle régule. Ces troubles peuvent être causés par des lésions cérébrales, des tumeurs, des infections, des maladies génétiques ou d'autres facteurs sous-jacents.
Les progestatifs, également connus sous le nom de progestines, sont des hormones stéroïdes synthétiques ou naturelles qui ont des effets similaires aux progestérones, une hormone sexuelle féminine produite par l'organisme. Les progestatifs jouent un rôle crucial dans la régulation du cycle menstruel et la grossesse en préparant l'utérus à une éventuelle implantation d'un ovule fécondé.
Les progestatifs sont souvent utilisés dans les contraceptifs hormonaux pour empêcher l'ovulation, épaissir la glaire cervicale pour prévenir la pénétration des spermatozoïdes et modifier la muqueuse utérine pour empêcher l'implantation d'un ovule fécondé. Ils sont également utilisés dans le traitement de diverses affections médicales, telles que les menstruations irrégulières, l'endométriose et les symptômes de la ménopause.
Les effets secondaires courants des progestatifs peuvent inclure des saignements vaginaux irréguliers, des nausées, des seins douloureux, une prise de poids, une humeur dépressive et une diminution de la libido. Dans de rares cas, ils peuvent également augmenter le risque de caillots sanguins, de maladies cardiovasculaires et de certains types de cancer.
Un corset orthopédique est un type de dispositif médical porté autour de la taille et du tronc pour fournir un soutien structurel, limiter les mouvements ou aider à corriger une déformation de la colonne vertébrale ou d'autres parties du corps. Il est souvent fabriqué sur mesure en fonction des besoins spécifiques du patient et peut être utilisé pour traiter diverses conditions, telles que la scoliose, la cyphose, la lordose, les entorses ou les fractures de la colonne vertébrale.
Les corsets orthopédiques sont généralement fabriqués à partir de matériaux rigides ou semi-rigides, tels que le plastique ou la fibre de verre, et peuvent inclure des renforts supplémentaires pour offrir un soutien accru. Ils sont conçus pour être portés pendant une période prolongée, allant de quelques heures par jour à 24 heures sur 24, en fonction de la condition traitée et des recommandations du médecin ou du thérapeute.
Il est important de noter que l'utilisation d'un corset orthopédique doit être prescrite et supervisée par un professionnel de la santé qualifié, tel qu'un médecin ou un thérapeute, pour assurer une utilisation appropriée et éviter les complications potentielles.
Les antagonistes du récepteur sérotoninergique 5-HT1 sont un groupe de médicaments qui bloquent l'activité des récepteurs 5-HT1 de la sérotonine, qui est un neurotransmetteur impliqué dans la régulation de divers processus physiologiques tels que l'humeur, l'appétit, le sommeil et la douleur.
Ces médicaments sont utilisés dans le traitement de diverses affections médicales. Par exemple, ils peuvent être utilisés pour traiter les nausées et les vomissements induits par la chimiothérapie, car ils bloquent l'action de la sérotonine sur les récepteurs 5-HT1 qui déclenchent ces symptômes.
Les antagonistes du récepteur sérotoninergique 5-HT1 comprennent des médicaments tels que l'ondansétron, le granisétron et le dolasétron. Ces médicaments sont généralement administrés par voie orale, intraveineuse ou sous forme de suppositoire.
Les effets secondaires courants des antagonistes du récepteur sérotoninergique 5-HT1 comprennent des maux de tête, des étourdissements, de la constipation et de la fatigue. Dans de rares cas, ils peuvent également entraîner des effets secondaires plus graves tels que des troubles du rythme cardiaque et des convulsions.
La lombalgie, également connue sous le nom de mal de dos, est un terme général qui décrit la douleur ou la gêne dans la région lombaire ou bas du dos. Cela peut impliquer une ou plusieurs structures de la colonne vertébrale, y compris les disques intervertébraux, les facettes articulaires, les ligaments, les muscles et les nerfs. La lombalgie peut être causée par une variété de facteurs, y compris la surutilisation, les mauvaises postures, les mouvements brusques, les blessures, les conditions dégénératives ou certaines maladies. Les symptômes peuvent varier de légers à sévères et peuvent être accompagnés d'autres signes, tels que des engourdissements, des picotements ou une faiblesse dans les jambes. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des thérapies physiques, des injections ou, dans certains cas, une intervention chirurgicale.
La radiculopathie est un terme médical qui décrit la condition dans laquelle il y a une lésion ou une inflammation des racines nerveuses situées juste à la sortie de la moelle épinière. Ces racines nerveuses, appelées radicules, sont responsables de la transmission des signaux nerveux entre le cerveau et différentes parties du corps.
La lésion ou l'inflammation peuvent être causées par divers facteurs, tels que une hernie discale, une sténose spinale, une infection, une tumeur ou un traumatisme. Les symptômes courants de la radiculopathie comprennent des douleurs intenses, des picotements, des engourdissements et une faiblesse musculaire dans les zones du corps desservies par le nerf affecté.
Par exemple, si la radiculopathie affecte les racines nerveuses cervicales (dans le cou), elle peut provoquer des douleurs, des picotements ou une faiblesse dans le bras et la main. De même, si elle affecte les racines lombaires (dans le bas du dos), elle peut causer des douleurs, des engourdissements ou une faiblesse dans la jambe et le pied.
Le traitement de la radiculopathie dépend de la cause sous-jacente. Il peut inclure des médicaments contre la douleur, de la physiothérapie, des injections de corticostéroïdes ou, dans certains cas graves, une intervention chirurgicale.
Lordose
Lordose (physiologie)
Lordose (comportement sexuel)
Maladie de Scheuermann
Copulation
M40
Squelette humain
Lion
Comportement érotique
Cyphose
Comme des mouches (James Tiptree, Jr)
Comportement sexuel
Attirance sexuelle
Canal lombaire étroit
Comportement de reproduction
Spondylolisthésis
Test de Thomas
Vertèbre lombaire
Spondylarthrite ankylosante
Syndrome de Noonan
Comportement sexuel humain
Syndrome d'Ehlers-Danlos type cypho-scoliotique
Respiration orale
Colonne vertébrale
Amyotrophie monomélique
Développé couché
Australopithecus sediba
Caracal
Mal de dos
Parotomys brantsii
Lordose - Wikipedia
Archives des stress lordose - Aurélien Lantoine
Evolution de la mobilité rachidienne avec risque de perte de la lordose et la cyphose - Spondyloarthrite en 100 questions
La grossesse un trimestre à la fois | Mamanpourlavie.com
La course thérapeutique, Frédéric Brigaud, Éditions DésIris
Douleur à la colonne vertébrale - Tout savoir : tout savoir - Top Santé
Boutique | Page 8 sur 9 | Fleur de Mamoot Design
L'efficacité de la traction lombaire en extension pour l'alignement sagittal dans la lombalgie mécanique : un essai randomisé
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Lombaire10
- L'échelle d'évaluation de la douleur rachidienne, l'Oswestry Disability Index, et les paramètres radiologiques d'équilibre spinal sagittal en termes de lordose lombaire, de cyphose thoracique, de pente sacrée, et du positionnement du fil à plomb en C7 ont été mesurés pour tous les patients à trois intervalles (avant le traitement, après 10 semaines de traitement, et à six mois de suivi). (wmaker.net)
- Il y avait une différence significative entre le groupe traction et le groupe contrôle ajustée à la valeur de base des critères d'évaluation, à 10 semaines post traitement, en ce qui concerne la courbe de lordose lombaire (p = 0,000), la cyphose thoracique (p = 0,013), la pente sacrée (p = 0,001) et la distance au fil à plomb en C7 (p = 0,001). (wmaker.net)
- La lordose (courbe cervicale ou lombaire) est souvent la cause d'inconforts. (apotheca.info)
- Les coussins cylindriques sont beaucoup utilisés pour les patients devant garder une lordose lombaire à plat en position décubitus. (drexcomedical.fr)
- lorsque la courbure est anormalement faible, on parle d'hypo-lordose lombaire voire de cyphose si la courbure est inversée. (ilorachis.com)
- Cette position exagère les courbures cervicale et lombaire (lordose). (pharmaciedu17eme.re)
- la cyphose dorsale et la lordose lombaire. (idealmaconnique.com)
- Comment est la lordose lombaire, la cyphose thoracique? (jeromeaugerkine.com)
- Les exercices d'extension lombaire accentuent la lordose lombaire. (qualitysheetmetalincorporated.org)
- Ainsi, la ceinture AIR LOMBAIRE réduit la lordose lombaire. (maldedos.solutions)
Scoliose2
- À force de se contracter, ils ont tendance à rétrécir, d'où l'apparition des douleurs musculaires, et aussi des tassements et des déformations de la colonne vertébrale (lordose, scoliose, etc. (passeportsante.net)
- Les déformations de la colonne vertébrale dues à de mauvaises postures en position debout, assise ou couchée sont de trois types : la lordose, la cyphose et la scoliose. (pharmaciedu17eme.re)
Colonne2
- La lordose correspond à une courbure de la colonne vertébrale. (wikipedia.org)
- Plus bas, dans la même colonne, est seulement citée la Méthode Mézières, alors que la « grande Françoise » luttait contre la lordose (le creux des reins). (sterilisation-hopital.com)
Courbure1
- La courbure naturelle du cou est une lordose. (vivaphysiosante.com)
Posture1
- Sur les 100 sujets étudiés, 22 avaient une posture idéale, 36 étaient en cyphose lordose, 19 avaient un dos plat et 23 avaient un plan scapulaire postérieur. (matboule.com)
Permet1
- L'utilisation du EmbraceAIRPlus leur permet de maintenir et de supporter confortablement leur lordose naturelle. (motionmedicineinc.com)
Articles1
- Sur les autres projets Wikimedia : lordose, sur le Wiktionnaire Cette page d'homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. (wikipedia.org)