Méningiome
Tumeurs Des Méninges
Arachnoïde
Tumeurs De La Base Du Crâne
Tumeurs Du Cerveau
Dure-Mère
Gène Neurofibromatose 2
Remnographie
Neurinome De L'Acoustique
Tumeurs Du Nerf Optique
Hémangiopéricytome
Tumeurs De L'Oreille
Neurofibromatose De Type 2
Tumeurs Des Ventricules Cérébraux
Neurinome
Tomodensitomètre
Méninges
Chromosomes Humains De La Paire 22
Un méningiome est un type de tumeur non cancéreuse (bénigne) qui se développe à partir des membranes qui entourent le cerveau et la moelle épinière (les méninges). Ces tumeurs grossissent généralement lentement et peuvent devenir assez grandes avant de présenter des symptômes. Les symptômes dépendent de la localisation et de la taille de la tumeur mais peuvent inclure des maux de tête, des convulsions, des problèmes de vision, des troubles auditifs, des difficultés à avaler ou des faiblesses musculaires. Dans certains cas, les méningiomes ne causent aucun symptôme et sont découverts par hasard lors d'examens d'imagerie pour d'autres problèmes de santé. Le traitement dépend de la taille, de la localisation et des symptômes de la tumeur. Il peut inclure une surveillance attentive, une radiothérapie ou une chirurgie pour enlever la tumeur.
Les tumeurs des méninges sont des growths anormaux qui se développent dans les membranes protectrices (les méninges) qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes dépendent de la taille et de l'emplacement de la tumeur, mais peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, des convulsions, des changements de comportement ou de personnalité, des problèmes d'équilibre et de coordination, une faiblesse musculaire ou une paralysie. Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie et/ou une chimiothérapie.
L'arachnoïde est une membrane fine et délicate qui fait partie du système méningé du cerveau et de la moelle épinière. Elle se trouve entre la pie-mère (la membrane interne) et la dure-mère (la membrane externe). L'espace situé entre l'arachnoïde et la pie-mère s'appelle l'espace sous-arachnoïdien, qui contient du liquide céphalo-rachidien.
L'arachnoïde est constituée d'un réseau de fibres collagènes qui forment une structure semblable à une toile d'araignée, d'où son nom. Elle protège le cerveau et la moelle épinière en absorbant les chocs et en empêchant les mouvements brusques.
Des troubles tels que des hémorragies sous-arachnoïdiennes ou une méningite peuvent affecter l'arachnoïde et causer des symptômes neurologiques graves.
Les tumeurs du crâne sont des croissances anormales qui se forment dans ou autour du crâne. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ont tendance à se développer lentement et sont moins susceptibles de se propager, tandis que les tumeurs malignes se développent rapidement et peuvent envahir les tissus voisins ou se propager à d'autres parties du corps.
Les tumeurs du crâne peuvent être primaires, ce qui signifie qu'elles ont commencé dans le crâne, ou secondaires, ce qui signifie qu'elles se sont propagées au crâne à partir d'une autre partie du corps. Les tumeurs primaires du crâne peuvent être classées en fonction de leur emplacement anatomique, telles que les tumeurs de la fosse crânienne postérieure, les tumeurs de la base du crâne, et les tumeurs des parois du crâne.
Les symptômes des tumeurs du crâne dépendent de leur emplacement et de leur taille. Ils peuvent inclure des maux de tête, des nausées, des vomissements, des troubles de la vision, des étourdissements, des problèmes d'audition, des faiblesses musculaires, des engourdissements, des convulsions, et des changements de comportement ou de personnalité.
Le traitement dépend du type, de la taille, de l'emplacement et de la gravité de la tumeur. Il peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, et une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être utilisée.
L'hyperostose est un terme médical qui décrit un état anormal dans lequel il y a une augmentation de la densité osseuse et une excroissance anormale de l'os. Cela peut se produire en raison de diverses affections, telles que des maladies dégénératives des articulations, des troubles hormonaux, des infections, des tumeurs bénignes ou malignes, ou comme une réaction à une irritation chronique ou à une inflammation.
L'hyperostose peut affecter n'importe quel os du corps, mais elle est le plus souvent observée dans la colonne vertébrale, où elle peut entraîner une rigidité et une douleur accrues. Dans certains cas, l'hyperostose peut également provoquer des déformations osseuses visibles.
Il existe plusieurs types d'hyperostose, notamment l'hypertrophie osseuse diffuse, l'hyperostose squelettique idiopathique, l'hyperostose corticale marginale et l'hyperplasie osseuse en réponse à une irritation ou une inflammation chronique. Le traitement de l'hyperostose dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, de la physiothérapie, de la chirurgie ou d'autres options thérapeutiques.
Les tumeurs de la base du crâne sont des growths anormaux qui se développent dans la région située à la base du crâne, où le cerveau s'interface avec le reste du système nerveux et les vaisseaux sanguins. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes dépendent de la taille et de l'emplacement de la tumeur, mais ils peuvent inclure des maux de tête, des vertiges, des problèmes d'audition, des troubles visuels, des difficultés à avaler ou à parler, des engourdissements ou des faiblesses dans le visage, et des changements de comportement ou de personnalité. Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur, mais il peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie.
L'angle pontocérébelleux est une région anatomique importante située à la jonction entre le tronc cérébral (plus précisément, le pont) et le cervelet. Cette zone contient un certain nombre de structures nerveuses cruciales, telles que les nerfs crâniens VI (abducens), VII (facial) et VIII (vestibulocochléaire).
Le nerf abducens contrôle les mouvements des yeux vers l'extérieur, tandis que le nerf facial est responsable de la fonction motrice des muscles faciaux ainsi que de la sensibilité gustative du tiers antérieur de la langue. Le nerf vestibulocochléaire joue un rôle crucial dans notre équilibre et notre audition, car il contient les fibres nerveuses qui transmettent des informations auditives et vestibulaires du labyrinthe membraneux vers le cerveau.
Des pathologies ou des lésions au niveau de l'angle pontocérébelleux peuvent entraîner divers symptômes, tels que des troubles de la coordination musculaire (ataxie), des vertiges, des nausées, des maux d'oreille, une perte auditive et/ou une paralysie faciale. Un exemple courant de condition affectant cette région est le neurinome de l'acoustique, qui est généralement une tumeur bénigne mais peut causer des dommages importants aux structures nerveuses environnantes si elle n'est pas traitée.
Les tumeurs cérébrales sont des croissances anormales de cellules à l'intérieur ou autour du cerveau. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs cérébrales bénignes ont tendance à se développer plus lentement et sont moins susceptibles de se propager hors du cerveau. Cependant, elles peuvent encore être dangereuses si elles pressent sur des parties vitales du cerveau. Les tumeurs cérébrales malignes se développent rapidement, ont tendance à envahir les tissus cérébraux voisins et peuvent se propager à d'autres parties du corps.
Les symptômes des tumeurs cérébrales dépendent de leur taille, de leur emplacement et de la vitesse à laquelle elles se développent. Ils peuvent inclure des maux de tête sévères et persistants, des nausées ou des vomissements, une vision floue ou double, des problèmes d'équilibre ou de coordination, des changements de personnalité ou de comportement, des convulsions, des problèmes de mémoire ou de concentration, et dans certains cas, une faiblesse ou un engourdissement d'un côté du corps.
Le traitement dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, de son caractère bénin ou malin, de l'âge et de l'état général du patient. Il peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses, une chimiothérapie pour tuer les cellules cancéreuses, ou une thérapie ciblée qui utilise des médicaments pour cibler spécifiquement les changements dans les cellules cancéreuses.
La dure-mère, également connue sous le nom de pachyméninge, est la couche externe fibreuse et la plus robuste des trois membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Elle est composée de tissu conjonctif dense et contient des vaisseaux sanguins. La dure-mère est attachée à la surface interne du crâne et du canal rachidien, offrant une protection mécanique au système nerveux central. Elle est divisée en deux couches : la partie endostiale (interne) qui tapisse les os crâniens et la moelle épinière, et la partie éctoméninge (externe) qui forme les méninges de la tête et du cou. La dure-mère joue également un rôle dans la régulation du liquide cérébrospinal (LCS), car elle contient des granulations arachnoïdiennes qui aident à réabsorber le LCS dans la circulation sanguine.
La neurofibromatose de type 2 (NF2) est une maladie génétique rare caractérisée par la prédisposition à développer des tumeurs bénignes et, dans certains cas, des tumeurs malignes. Le gène NF2, situé sur le bras court du chromosome 22 (22q12.2), code pour la protéine Merlin (schwannomin). Cette protéine joue un rôle crucial dans la régulation de divers processus cellulaires tels que la croissance cellulaire, la différenciation et l'adhésion cellulaire.
Les mutations du gène NF2 entraînent une production altérée ou absente de la protéine Merlin, ce qui conduit à une dérégulation des voies de signalisation intracellulaires et, par conséquent, à la formation de tumeurs. Les personnes atteintes de NF2 sont principalement prédisposées au développement de deux types de tumeurs : les schwannomes vestibulaires (tumeurs du nerf vestibulaire) et les méningiomes (tumeurs des membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière).
Les symptômes courants de la NF2 comprennent une perte auditive progressive, des acouphènes, des vertiges, des maux de tête, des faiblesses musculaires, des problèmes de vision et des lésions cutanées. La maladie peut également entraîner d'autres complications, telles que des hydrocéphales (accumulation de liquide céphalo-rachidien dans le cerveau), des paralysies faciales et des tumeurs malignes.
La NF2 est héréditaire et suit un mode de transmission autosomique dominant, ce qui signifie qu'un seul exemplaire altéré du gène suffit pour que la maladie se manifeste. Environ 50 % des cas sont dus à une nouvelle mutation génétique et ne présentent aucun antécédent familial de la maladie. Le diagnostic de la NF2 repose généralement sur l'imagerie médicale (IRM ou tomodensitométrie) et l'audiométrie, ainsi que sur l'analyse génétique pour confirmer la présence d'une mutation du gène NF2.
Actuellement, il n'existe pas de traitement curatif pour la NF2. Le traitement est principalement axé sur la gestion des symptômes et la réduction de la taille ou l'enlèvement des tumeurs lorsqu'elles deviennent problématiques. Les options thérapeutiques comprennent la chirurgie, la radiothérapie et les thérapies ciblées pour inhiber la croissance tumorale.
Une remnographie est un type d'examen d'imagerie médicale qui utilise une faible dose de radiation pour produire des images détaillées des structures internes du corps. Contrairement à une radiographie standard, une remnographie implique l'utilisation d'un milieu de contraste, comme un produit de contraste à base d'iode, qui est ingéré ou injecté dans le patient avant l'examen.
Le milieu de contraste permet aux structures internes du corps, telles que les vaisseaux sanguins, les organes creux ou les tissus mous, d'être plus visibles sur les images radiographiques. Cela peut aider les médecins à diagnostiquer une variété de conditions médicales, y compris les maladies gastro-intestinales, les maladies rénales et les troubles vasculaires.
Les remnographies sont généralement considérées comme sûres, bien que comme avec toute procédure médicale qui utilise des radiations, il existe un risque minimal de dommages aux tissus ou au matériel génétique. Les avantages potentiels d'un diagnostic précis et opportun sont généralement considérés comme dépassant ce faible risque.
Il est important de noter que les remnographies ne doivent être effectuées que lorsqu'elles sont médicalement nécessaires, car l'exposition répétée aux radiations peut augmenter le risque de dommages à long terme. Les médecins et les technologues en imagerie médicale prennent des précautions pour minimiser l'exposition aux radiations pendant les procédures de remnographie.
Un neurinome de l'acoustique, également connu sous le nom de schwannome vestibulaire, est un type rare de tumeur non cancéreuse qui se développe sur le nerf vestibulaire de l'oreille interne. Ce nerf est responsable de la transmission des informations sensorielles du système vestibulaire (qui régule l'équilibre et la coordination) au cerveau. Le neurinome de l'acoustique se développe à partir de la gaine de Schwann qui entoure et protège ce nerf.
Bien que ces tumeurs soient généralement bénignes, elles peuvent grossir avec le temps et causer des complications graves en exerçant une pression sur les structures voisines de l'oreille interne et du cerveau. Les symptômes courants comprennent une perte auditive progressive d'un seul côté, des étourdissements, des problèmes d'équilibre, des bourdonnements ou des sifflements dans l'oreille (acouphènes), et parfois des maux de tête.
Le diagnostic d'un neurinome de l'acoustique est généralement posé à l'aide d'une imagerie par résonance magnétique (IRM) ou d'un scanner de la tête. Le traitement dépend de la taille de la tumeur, des symptômes et du taux de croissance. Les options thérapeutiques peuvent inclure une surveillance attentive, une radiothérapie stéréotaxique ou une chirurgie pour enlever la tumeur.
Les tumeurs du nerf optique sont des croissances anormales qui se forment dans ou autour du nerf optique, qui transmet les informations visuelles du côté de l'œil au cerveau. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les types courants de tumeurs du nerf optique comprennent les gliomes, les méningiomes et les néoplasmes métastatiques.
Les symptômes des tumeurs du nerf optique peuvent inclure une perte de vision progressive, une vision double, des couleurs déformées, des mouvements oculaires anormaux, une douleur oculaire et des maux de tête. Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur, ainsi que de son stade de développement. Les options de traitement peuvent inclure une surveillance étroite, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une chirurgie.
Il est important de noter que les tumeurs du nerf optique sont relativement rares et que d'autres conditions médicales peuvent présenter des symptômes similaires. Par conséquent, il est essentiel de consulter un médecin si vous ressentez des symptômes qui pourraient indiquer une tumeur du nerf optique.
Un hémangiopericytome est une tumeur rare et agressive qui se développe à partir des cellules pericytaires, qui sont des cellules contractiles entourant les vaisseaux sanguins. Cette tumeur peut se produire dans divers endroits du corps, mais elle a une préférence pour le crâne, le cou et la cavité abdominale. Les hémangiopericytomes sont généralement des tumeurs solides, bien qu'ils puissent également être cystiques ou kystiques.
Les symptômes dépendent de la localisation de la tumeur. Dans le cerveau, les patients peuvent présenter des maux de tête, des convulsions, des troubles visuels et des problèmes de coordination. Dans d'autres parties du corps, les patients peuvent ressentir une masse palpable, une douleur ou des saignements.
Le diagnostic d'un hémangiopericytome repose sur l'imagerie médicale, telle que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que sur une biopsie ou une résection chirurgicale de la tumeur pour examen histopathologique.
Le traitement standard d'un hémangiopericytome est la résection chirurgicale complète de la tumeur, suivie d'une radiothérapie ou d'une chimiothérapie adjuvante pour réduire le risque de récidive. Cependant, ces tumeurs ont tendance à se développer à nouveau, même après un traitement agressif. Par conséquent, une surveillance étroite et des examens réguliers sont nécessaires pour détecter toute récidive précoce.
Les interventions neurochirurgicales sont des procédures médico-chirurgicales complexes qui impliquent l'intervention directe sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) ou périphérique (nerfs crâniens, racines nerveuses et plexus nerveux). Ces interventions sont généralement effectuées par des médecins spécialisés appelés neurochirurgiens.
Elles peuvent être réalisées pour diverses raisons telles que le traitement de tumeurs cérébrales ou spinaux, la décompression des nerfs comprimés, la stabilisation de la colonne vertébrale dans les cas de fractures ou de maladies dégénératives, l'épilepsie, les anévrismes et autres malformations vasculaires cérébrales, les mouvements anormaux comme la maladie de Parkinson, etc.
Les techniques utilisées dans ces interventions varient considérablement, allant de procédures minimales invasives telles que la rhizotomie percutanée et la stimulation cérébrale profonde, à des opérations plus complexes nécessitant une craniotomie ou une laminectomie. Récemment, avec l'avancée de la technologie, certaines interventions neurochirurgicales peuvent également être effectuées à l'aide de robots chirurgicaux contrôlés par le médecin.
Comme toute intervention chirurgicale, les interventions neurochirurgicales comportent des risques et des complications potentielles, y compris, mais sans s'y limiter, l'hémorragie, l'infection, la réaction adverse à l'anesthésie, les dommages aux structures nerveuses environnantes et les effets indésirables liés à la pathologie sous-jacente. Par conséquent, une évaluation approfondie et un consentement éclairé sont essentiels avant de procéder à ces interventions.
Les tumeurs de l'oreille sont des croissances anormales qui se forment dans les structures de l'oreille. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs de l'oreille peuvent affecter n'importe quelle partie de l'oreille, y compris l'oreille externe, le conduit auditif, l'oreille moyenne et l'oreille interne.
Les tumeurs de l'oreille externe sont généralement des glandes sébacées bénignes appelées kératoses pilaires acrospirales ou des tumeurs des glandes sudoripares eccrines. Les tumeurs malignes de l'oreille externe comprennent le carcinome basocellulaire et le carcinome épidermoïde.
Les tumeurs du conduit auditif peuvent être des cholestéatomes, qui sont des croissances anormales de la peau dans le conduit auditif, ou des tumeurs bénignes telles que les adénomes ou les ostéomes. Les tumeurs malignes du conduit auditif comprennent le carcinome épidermoïde et l'adénocarcinome.
Les tumeurs de l'oreille moyenne sont généralement des cholestéatomes, qui peuvent être congénitaux ou acquis. Les tumeurs malignes de l'oreille moyenne comprennent le carcinome épidermoïde et l'adénocarcinome.
Les tumeurs de l'oreille interne sont rares et comprennent généralement des schwannomes du nerf vestibulaire (également appelés neurinomes acoustiques) ou des méningiomes. Ces tumeurs peuvent causer une perte auditive, des étourdissements et d'autres symptômes neurologiques.
Le traitement dépend du type et de l'emplacement de la tumeur. Les options de traitement comprennent la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. Dans certains cas, une observation attentive peut être recommandée pour les petites tumeurs qui ne causent pas de symptômes.
La neurofibromatose de type 2 (NF2) est une maladie génétique rare caractérisée par la croissance de tumeurs bénignes mais qui peuvent devenir malignes, appelées schwannomes, sur les nerfs vestibulaires du cerveau. Ces tumeurs peuvent entraîner une perte auditive, des acouphènes et un déséquilibre. La NF2 peut également provoquer la croissance de méningiomes (tumeurs des membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière) et d'autres types de tumeurs. Cette condition est héréditaire et est causée par une mutation du gène NF2. Les symptômes peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre, allant de légers à sévères. Le diagnostic est généralement posé sur la base des antécédents familiaux, des résultats de tests génétiques et des examens d'imagerie médicale tels que l'IRM ou le scanner. Le traitement peut inclure une surveillance régulière, une chirurgie, une radiothérapie ou une thérapie médicamenteuse pour gérer les symptômes et prévenir les complications.
Une craniotomie est une procédure chirurgicale neurochirurgicale où une partie du crâne est temporairement enlevée pour accéder au cerveau. Cela permet aux médecins de traiter diverses affections, telles que les tumeurs cérébrales, les hématomes, les anévrismes cérébraux, ou d'autres conditions qui nécessitent un accès direct au cerveau. Après l'intervention, le bone flap (os du crâne) est généralement remis en place et fixé avec des plaques et des vis. Cependant, dans certains cas, le bone flap peut être retiré de façon permanente, ce qui est alors appelé une craniectomie.
Les tumeurs des ventricules cérébraux se réfèrent à des growths anormaux dans les cavités remplies de liquide, appelées ventricules, à l'intérieur du cerveau. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les symptômes courants comprennent des maux de tête, des nausées, des vomissements, une vision floue, un déséquilibre et des changements mentaux. Le traitement dépend du type, de la taille et de l'emplacement de la tumeur, et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une chimiothérapie. Il est important de noter que les tumeurs des ventricules cérébraux peuvent être graves et même mettre la vie en danger si elles ne sont pas traitées rapidement et efficacement.
Un neurinome est un type rare de tumeur non cancéreuse qui se développe à partir des cellules de Schwann, qui sont les cellules responsables de la production de myéline, la gaine protectrice autour des nerfs. Ces tumeurs se forment généralement sur le nerf vestibulaire, qui est lié à l'oreille interne et affecte donc souvent l'audition et l'équilibre. Cette condition particulière est également appelée neurinome de l'acoustique ou schwannome vestibulaire.
Les neurinomes sont généralement lents à se développer et peuvent ne provoquer aucun symptôme pendant longtemps. Cependant, au fur et à mesure qu'ils grossissent, ils peuvent exercer une pression sur le nerf adjacent, ce qui peut entraîner une variété de symptômes, selon l'emplacement et la taille de la tumeur. Les symptômes courants incluent des acouphènes (bourdonnements ou sifflements dans les oreilles), des problèmes d'audition, des étourdissements, des problèmes d'équilibre et, dans certains cas, une faiblesse faciale.
Le diagnostic de neurinome est généralement posé à l'aide d'une imagerie par résonance magnétique (IRM) ou d'un scanner. Le traitement dépend de la taille et de la localisation de la tumeur, ainsi que des symptômes qu'elle provoque. Dans certains cas, une simple surveillance peut être recommandée si la tumeur est petite et ne cause pas de problèmes. Cependant, dans la plupart des cas, une intervention chirurgicale pour enlever la tumeur est nécessaire. La radiothérapie peut également être utilisée dans certains cas.
Un tomodensitomètre, également connu sous le nom de scanner CT (Computed Tomography), est un équipement d'imagerie médicale avancé qui utilise des rayons X pour produire des images détaillées et croisées du corps humain. Il fonctionne en prenant une série de plusieurs rotations autour du patient, capturant des images à angles multiples. Ensuite, ces données sont traitées par un ordinateur qui les combine pour créer des sections transversales du corps, fournissant ainsi des vues détaillées des os, des muscles, des graisses et des organes internes.
Cet outil diagnostique est largement utilisé pour identifier divers types de maladies telles que les tumeurs, les fractures, les hémorragies internes, les infections, les inflammations et d'autres affections médicales. Il offre une visualisation tridimensionnelle et précise, ce qui permet aux médecins de poser un diagnostic plus précis et de planifier des traitements appropriés. Cependant, comme il utilise des radiations, son utilisation doit être pesée par rapport aux bénéfices potentiels pour chaque patient.
Les méninges sont des membranes protectrices qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière. Elles sont composées de trois couches : la dure-mère, l'arachnoïde et la pie-mère. La dure-mère est la plus externe et la plus robuste, suivie de l'arachnoïde qui contient les espaces sous-arachnoïdiens remplis de liquide céphalo-rachidien. La pie-mère est la couche la plus interne et tapisse directement le cerveau et la moelle épinière. Les méninges protègent le système nerveux central contre les traumatismes physiques, assurent une barrière immunologique et maintiennent un environnement chimiquement stable pour le fonctionnement normal du cerveau et de la moelle épinière.
Le foramen magnum est une ouverture importante située à la base du crâne, par où le médulla oblongata (la partie inférieure et étroite du bulbe rachidien) se connecte avec la moelle épinière. Il s'agit d'un point crucial dans le système nerveux central, permettant le passage de plusieurs structures vitales telles que les vaisseaux sanguins (comme la artère vertébrale et la veine jugulaire), nerfs crâniens (comme le glossopharyngeal, vagus, accessory et hypoglossal) et méninges. La taille et la forme du foramen magnum peuvent varier d'une personne à l'autre, mais toute anomalie significative peut entraîner divers troubles neurologiques graves.
Les chromosomes humains de la paire 22, également connus sous le nom de chromosomes 22, sont une partie importante du génome humain. Ils font partie des 23 paires de chromosomes trouvés dans chaque cellule humaine. Chaque chromosome 22 contient des milliers de gènes qui fournissent les instructions pour la production de protéines et d'autres produits fonctionnels nécessaires au bon fonctionnement de l'organisme.
Les chromosomes 22 sont parmi les plus petits des chromosomes humains, avec une longueur d'environ 50 millions de paires de bases. Ils représentent environ 1,5 à 3% du génome humain total. Les chromosomes 22 contiennent un certain nombre de gènes importants qui sont associés à diverses maladies et conditions médicales.
L'un des gènes les plus connus sur le chromosome 22 est le gène NF2, qui code pour une protéine appelée mercaptopurine nucléotide synthase (MER). Les mutations dans ce gène sont associées à la neurofibromatose de type 2, une maladie génétique caractérisée par la croissance de tumeurs bénignes le long des nerfs.
Les chromosomes 22 sont également importants dans l'étude de la schizophrénie, une maladie mentale grave qui affecte environ 1% de la population mondiale. Des études ont montré que certaines variations génétiques sur le chromosome 22 peuvent augmenter le risque de développer cette condition.
En plus des gènes, les chromosomes 22 contiennent également une grande quantité d'ADN non codant qui ne code pas directement pour des protéines. Cet ADN peut jouer un rôle important dans la régulation de l'expression génique et peut être associé à diverses maladies et conditions médicales.
En résumé, les chromosomes 22 sont importants dans l'étude de diverses maladies et conditions médicales, y compris la neurofibromatose de type 2 et la schizophrénie. Les mutations dans les gènes du chromosome 22 peuvent augmenter le risque de développer ces conditions, tandis que l'ADN non codant sur le chromosome 22 peut également jouer un rôle important dans la régulation de l'expression génique et être associé à diverses maladies.
La neurofibromine 2, également connue sous le nom de NF2, est un gène situé sur le bras court du chromosome 22 (22q12.2). Ce gène code pour une protéine qui joue un rôle important dans la régulation des voies de signalisation cellulaire, en particulier dans la suppression de tumeurs. La protéine produite par le gène NF2 est appelée mercéline et elle aide à contrôler la croissance et la division des cellules.
Les mutations du gène NF2 sont associées à une maladie génétique appelée neurofibromatose de type 2 (NF2). Cette condition se caractérise par la formation de tumeurs non cancéreuses (benignes) dans le système nerveux, telles que des schwannomes vestibulaires, des méningiomes et des neurofibromes. Les personnes atteintes de NF2 peuvent également développer d'autres complications médicales, telles que des pertes auditives, des problèmes visuels et des troubles de l'équilibre.
La découverte du gène NF2 a permis de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents à la neurofibromatose de type 2 et d'ouvrir de nouvelles perspectives pour le développement de traitements ciblés pour cette maladie.
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Androcur et risque de tumeur : un numéro vert pour répondre aux patients
D'un6
- Méningiome Tomodensitométrie à contraste amélioré du cerveau qui montre l'apparition d'un méningiome. (wikipedia.org)
- Cette étude a été conduite à partir des données du Système national des données de santé (SNDS) chez plus de 18 000 femmes opérées d'un méningiome et plus de 90 000 femmes témoins entre 2009 et 2018. (medscape.com)
- France - La mise en évidence récente, après la publication de l'étude EPI-PHARE , d'un surrisque de méningiome trois nouveaux progestatifs a conduit l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) à rédiger de premières recommandations d'utilisation et de suivi des personnes traitées par ces molécules [ 1 ] . (medscape.com)
- La prescription d'un nouveau progestatif en relais d'un traitement antérieur par les acétates de chlormadinone (Lutéran et génériques), de nomégestrol (Lutényl et génériques) et de cyprotérone (Androcur et génériques) n'exclut pas le risque de méningiome, sans que l'on puisse actuellement le déterminer. (medscape.com)
- Il s'agissait d'un méningiome mesurant un peu moins de 5 cm entremêlé entre les nerfs olfactifs et appuyant sur mes nerfs optiques. (braintumour.ca)
- Selon cette étude CNAM , ce serait 400 000 femmes qui auraient été traités avec l'acétate de cyprotérone en 2006 et 2015, et 500 femmes atteints d'un méningiome traité par neurochirurgie ou par radiothérapie sur la décennie. (url-de-test.ws)
Progestatifs7
- France - Des études épidémiologiques ont démontré, entre 2019 et 2020, que la prise des progestatifs cyprotérone (Androcur® et génériques), nomegestrol (Lutényl® et génériques) et acétate de chlormadinone (Lutéran® et génériques) entraînait un surrisque de méningiome, qui augmente avec la dose cumulée reçue. (medscape.com)
- Citer cet article: Progestatifs et surrisque de méningiome : la liste des molécules concernées s'allonge - Medscape - 7 juil 2023. (medscape.com)
- Ainsi trois progestatifs - Colprone (médrogestone), Depo Provera (médroxyprogestérone) et Surgestone (promégestone) - multiplient le risque de méningiome. (liberation.fr)
- Des études épidémiologiques ont démontré, entre 2019 et 2020, que la prise des progestatifs cyprotérone (Androcur® et génériques), nomegestrol (Lutényl® et génériques) et acétate de chlormadinone (Lutéran® et génériques) entraînait un surrisque de méningiome, qui augmente avec la dose cumulée reçue. (medscape.com)
- Privilégier en première intention l'utilisation de progestatifs non associés à un surrisque de méningiome, ou avoir recours à des alternatives thérapeutiques. (medscape.com)
- L'ANSM poursuit ses travaux sur les progestatifs et le risque de méningiome. (pharmacovigilance-reims.fr)
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Cerveau5
- Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Un méningiome est une tumeur cérébrale développée à partir de cellules des enveloppes du cerveau et de la moelle spinale appelées les méninges. (wikipedia.org)
- depuis plusieurs années, ce traitement prescrit contre l'endométriose est aussi synonyme de scandale et risque élevé de méningiome, forme de tumeur au cerveau pouvant provoquer de graves handicaps même si elle est bénigne. (liberation.fr)
- Le méningiome est l'une des tumeurs les plus courantes du cerveau et de la moelle épinière. (freevn.org)
- On sait depuis juin 2018, résultats scientifiques à l'appui, que l'Androcur et ses génériques accroissent dangereusement les risques de méningiome (tumeur au cerveau) chez les femmes. (des-france.org)
- Tumeur bénigne, le méningiome se situe tout contre le cerveau, et à proximité des nerfs. (amavea.org)
Traitement2
- En cas d'antécédent de méningiome ou de méningiome existant, un traitement progestatif ne doit pas être utilisé, sauf exception à évaluer en réunion de concertation pluridisciplinaire (gynécologue et/ou endocrinologue et neurochirurgien) sur la base du rapport bénéfice/risque individuel pour la personne et de la présence ou non d'alternatives thérapeutiques. (medscape.com)
- Ils sont invités à «informer les patients de l'existence du risque de méningiome» et réévaluer le rapport bénéfice/risque du traitement pour chaque patient. (lefigaro.fr)
Surrisque1
- «Il y a trois nouveaux produits pour lesquels notre étude retrouve un surrisque significatif de méningiome, mais un ensemble d'autres produits pour lesquels on conclut qu'il n'y en a pas», résume Alain Weill, médecin de santé publique. (liberation.fr)
Risque accru1
- Elle survient chez les porteurs du gène de la neurofibromatose (NF2), qui est associé à un risque accru de développer un méningiome chez les patients atteints de cette maladie héréditaire. (freevn.org)
L'ANSM2
- A la suite de la réévaluation européenne du bénéfice/risque des médicaments à base de nomégestrol et chlormadinone conduite à la demande de l'ANSM au regard de l'association entre leur utilisation et le risque de méningiome, les autorisations de mise sur le marché de ces médicaments évoluent en Europe. (sante.fr)
- Les actions menées par l'ANSM, en concertation avec les usagers et les professionnels de santé, et avec l'appui de l'Assurance Maladie, ont permis de réduire très significativement le risque de méningiome lié à l'utilisation d'Androcur et ses génériques. (meddispar.fr)
D'utilisation1
- Il s'est réuni une deuxième fois le 1 er octobre 2018 afin d' établir des recommandations d'utilisation de l'acétate de cyprotérone ainsi que des mesures d'encadrement du risque de méningiome . (url-de-test.ws)
Connu1
- Les radiations ionisantes constituent le second facteur de risque connu de méningiome. (wikipedia.org)
Situe1
- Les symptômes apparaissent le plus souvent progressivement et varient en fonction de l'endroit où se situe le méningiome et en fonction des structures nerveuses qu'ils compriment. (drbsili.com)
Forme1
- Le pariétal d'une jeune Prénéandertalienne à la grotte du Lazaret présentait l'empreinte d'une lésion probablement due à une forme de cancer (méningiome), c'était il y a 150 000 ans. (hominides.com)
Fonction1
- Mais même en présence de symptômes, il est impossible de diagnostiquer le méningiome uniquement en fonction des plaintes du patient - en raison de la non-spécificité de ses manifestations. (freevn.org)
D'une1
- Depuis 2009, l' acétate de cyprotérone fait l'objet d'une surveillance particulière suite au signal émis par la France au niveau européen sur le risque d'apparition de méningiome. (url-de-test.ws)
Infection1
- Mais une inflammation (névrite optique), une tumeur (méningiome), une infection (herpès) ou encore des maladies systémiques (sarcoïdose, tuberculose, etc.) impactent aussi parfois son fonctionnement. (planetesante.ch)
Scientifique1
- Depuis 2007 , plusieurs séries de cas de méningiome sous acétate de cyprotérone sont rapportés en littérature scientifique. (url-de-test.ws)
Partir2
- Quelles que soient les circonstances de sa découverte, le diagnostic de méningiome est facilement évoqué à partir des données d'imagerie médicale (neuroradiologie). (wikipedia.org)
- Un méningiome est une tumeur qui se développe à partir des méninges. (drbsili.com)
Risque8
- Les radiations ionisantes constituent le second facteur de risque connu de méningiome. (wikipedia.org)
- L'âge joue également un rôle : le risque de méningiome conduisant à une chirurgie intracrânienne est 3 fois plus élevé pour les femmes de 35 à 44 ans que pour celles de 25 à 34 ans. (medscape.com)
- Citer cet article: Lutényl®/Lutéran® : un sur-risque de méningiome - Medscape - 19 juin 2020. (medscape.com)
- Ce comité a pour mission d'élaborer des recommandations sur les conditions d'utilisation des progestatifs, autres que ceux à base d'acétate de cyprotérone ( Androcur ® et génériques), d'acétate de nomégestrol ( Lutenyl ® et génériques) et d'acétate de chlormadinone ( Lutéran ® et génériques), au regard du risque de méningiome. (medscape.com)
- Citer cet article: Colprone, Utrogestan, Duphaston, Visanne…De nouvelles recommandations pour limiter le risque potentiel de méningiome - Medscape - 8 mars 2023. (medscape.com)
- Les actions menées par l'ANSM, en concertation avec les usagers et les professionnels de santé, et avec l'appui de l'Assurance Maladie, ont permis de réduire très significativement le risque de méningiome lié à l'utilisation d'Androcur et ses génériques. (meddispar.fr)
- Les mesures prises par l'Assurance-maladie et l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) depuis 2018 ont permis de réduire le risque de méningiome lié à l'utilisation de ce progestatif s'est félicitée l'ANSM, jeudi 1 er décembre, citant l'étude du groupement d'intérêt scientifique (GIS) Epi-Phare, conduite à partir du Système national des données de santé (SNDS) portant sur la période 2010-2021. (recherche.fr)
- Le risque de méningiome, une tumeur cérébrale le plus souvent bénigne, est multiplié par sept pour les femmes traitées avec de fortes doses d'acétate de cyprotérone sur une longue période (plus de six mois) et par vingt après cinq années de traitement avec un comprimé de 50 mg par jour, avait mis en évidence une étude de l'Assurance-maladie publiée dans le British Medical Journal . (recherche.fr)
Tumeurs2
- Compressions cérébrales : tumeurs bénignes des tissus cérébraux ( méningiome ). (wikipedia.org)
- Des études séparées ont été réalisées pour le neurinome de l'acoustique, le gliome, le méningiome et des tumeurs de la glande parotide. (who.int)
Glioblastome1
- L'équipe a ensuite testé des échantillons provenant de 5 patients, présentant chacun un type de cancer différent : cancer du poumon, glioblastome, méningiome, myélome et cancer du pancréas. (santelog.com)
Medscape1
- Cet article a été initialement publié sur univadis.fr du réseau Medscape. (medscape.com)
Conduisant1
- Toutefois, les médecins soutiennent que ce sont des anomalies au niveau des cellules des méninges qui entrainent leur multiplication anormale conduisant à une tumeur de méningiome. (esculape.com)
Androcur1
- Suite à lecture de plusieurs articles sur le fait que les médicaments 'Androcur' 'Lutéran' et 'Lutényl' augmentent les risques de méningiome, je m'interroge. (journaldesfemmes.fr)
Traitement1
- Méningiome et endométriose Le traitement hormonal est une thérapeutique clé de la prise en charge de l'endométriose. (resendo.fr)
Mise1
- Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide) Un méningiome est une tumeur cérébrale développée à partir de cellules des enveloppes du cerveau et de la moelle spinale appelées les méninges. (wikipedia.org)
Diagnostic1
- Quelles que soient les circonstances de sa découverte, le diagnostic de méningiome est facilement évoqué à partir des données d'imagerie médicale (neuroradiologie). (wikipedia.org)
Risques1
- Est-ce que toutes les pilules progestatives augmentent les risques de méningiome? (journaldesfemmes.fr)
Parcours1
- Vous pouvez nous faire part de votre parcours, de la découverte de votre ou vos méningiome(s). (amavea.org)
Nerveux2
- Elles sont décrites en fonction du tissu nerveux dont elles dépendent (exemple,: les méninges pour le méningiome, etc. (medisite.fr)
- Le méningiome est une tumeur qui touche le système nerveux central et plus précisément les méninges . (esculape.com)
Chlormadinone1
- L'acétate de nomégestrol, l'acétate de chlormadinone et l'acétate de cyprotérone sont contre-indiqués en cas de méningiomes ou d'antécédent de méningiome. (medscape.com)
Alors1
- Il n est jamais productif de se blesser, alors faites tres attention, récepteur aux stéroïdes sur méningiome. (iraniandecor.net)
Type1
- Ce type de méningiome est très courant et représente environ 25 % de tous les méningiomes. (esculape.com)