Une soif excessive suggérés par la prise excessive de liquide. C'est typique de nombreuses maladies telles que DIABETES sucré ; DIABETES insipide ; et DIABETES insipide néphrogénique. La réaction peut être d'origine psychogène.
Désordre clinique caractérisé par la prise excessive de liquide (polydipsie) ; l ’ hyponatrémie ; et dans la première fois et autres troubles psychiatriques. Des troubles de l'eau du métabolisme in psychogénique polydipsie peut résulter en eau INTOXICATION.
Un tour résultant d 'une raison physiologique de l'eau.
Urine d'un grand volume d ’ urine, l'accroissement de la fréquence mictionnelle, souvent observée dans le diabète (DIABETES sucré ; DIABETES insipide).
Une condition résultant de la rétention excessive de l'eau avec la déplétion hydrosodée.
La consommation de liquides.
D ’ une maladie caractérisée par des mictions fréquentes, l ’ excrétion de grandes quantités de diluer urine et de soif excessive. Diabète insipide néphrogénique étiologies incluant un déficit de sécrétion inappropriée d ’ hormone antidiurétique (aussi connu comme ADH) ou de vasopressine NEUROHYPOPHYSIS sécrété par le rein, altération de la réponse de l'hormone anti-diurétique hypothalamique et atteinte de règlement de soif.
Un trouble héréditaire ou acquis polyuric provoquée par le déficit de VASOPRESSINS sécrétés par les NEUROHYPOPHYSIS. Des signes cliniques inclure l ’ excrétion de volumes importants, de diluer urine ; hypernatrémie ; soif ; et polydipsie. Étiologies incluant traumatisme tête ; opérations et de maladies impliquant les HYPOTHALAMUS et la glande pituitaire GLAND. Ce trouble peuvent également être provoqués par des mutations de gènes comme ARVP codants vasopressine et sa correspondante neurophysin (NEUROPHYSINS).
La rétention d'eau dans une situation expérimental structurée.
Carence en sodium dans le sang ; une déplétion hydrosodée. (Dorland, 27 e)
La capacité du rein à déféquer dans les urines des concentrations élevées de solutes du plasma sanguin.
Un problème génétique ou acquis hypotonic persistante polyuric trouble caractérisé par l ’ urine et une hypokaliémie. Cette condition est due à insensibilité tubulaire rénale de la vasopressine et l'échec de réduire le volume d ’ urine. Peut être due à des mutations de gènes codants vasopressine récepteurs ou AQUAPORIN-2 ; calculs maladies ; les effets secondaires ; ou des complications de grossesse.
Un analogue synthétique de l'hormone pituitaire, arginine Vasopressine. Son action est médiée par le récepteur de vasopressine avait V2. C'est peu pour activité antidiuretic, mais ça module aussi les taux circulant de facteur VIII et facteur Willebrand VON.
Porte-avions protéines pour ocytocine et de vasopressine. Ils sont d'environ 10-kDa polypeptides, synthétisé au HYPOTHALAMUS. Neurophysin je est associé à l'ocytocine et neurophysin II est associée à la vasopressine dans leurs dénominations précurseurs et pendant le transport par les axones au neurohypophysis (hypophyse GLAND, postérieur).
Tissu neural de l'hypophyse, surnommé le neurohypophysis. Il se compose des axones distal de neurones qui produisent la vasopressine et d'ocytocine dans le noyau et SUPRAOPTIC du noyau. Ces axones voyager à travers les median Eminence, le thermostat hypothalamique, puis-je en avoir de l'hypophyse infundibulum postérieure lobe de l'hypophyse.
La balance de liquide dans le corps FLUID compartiments, total corps EAU ; SANG VOLUME ; espace extracellulaire ; espace intracellulaire, entretenue par les processus dans le corps qui régulent la prise et l ’ excrétion de l'eau et ELECTROLYTES POTASSIUM et, en particulier, c'est.
Troubles dans le corps est WATER-ELECTROLYTE POSTES.
Antidiuretic hormones libérés par le NEUROHYPOPHYSIS de tous les vertébrés (structure varie en fonction de l'équilibre de l'eau pour réguler les espèces) et l ’ osmolarité, entre. En général, vasopressine nonapeptide est un composé d'une bague avec un six-amino-acid cystéine 1 à la cystéine 6 disulfures pont ou un octapeptide contenant une cystine. Tous les mammifères ont arginine Vasopressine sauf le cochon avec un lysine en position 8. Vasopressine, un vasoconstricteur, agit sur les calculs de réabsorption DUCTS pour augmenter l'eau, augmentation de volume et la tension artérielle.
Nerveux impliquant la ADENOHYPOPHYSIS ou le NEUROHYPOPHYSIS. Ces maladies généralement se manifester par salivaire ou hyposecretion d'hypophyse des hormones hypophysaires. Néoplasiques peuple peuvent également entraîner une compression du chiasma optique et autres structures adjacent.
Un planning de la prescription de quand le sujet est de renforcer ou récompensé en termes de l ’ intervalle temporel dans des expériences psychologiques. Le schéma peut être variable continue ou intermittente.
Aquaporine 2 est un canal water-specific est exprimée en protéine qui collectionne de calculs DUCTS. La translocation de Aquaporine 2 au plasma apical membrane régulée principalement par vasopressine et MUTATIONS dans AQP2 provoque une variété de troubles rénaux y compris DIABETES insipide.
La forme dominante de sécrétion inappropriée d ’ hormone antidiurétique de mammifères. C'est un nonapeptide contenant un résidu arginine à 8 et deux disulfide-linked cysteines au résidu de 1 et 6. Arg-vasopressin est utilisé pour traiter DIABETES insipide ou pour améliorer ton et vasomoteurs peut dire qu'il a craqué.
Maladie du chien domestique (Canis familiaris). Ce terme n'inclut pas les maladies de chiens sauvages, DU CIEL ; FOXES ; et autres Canidae pour laquelle le titre carnivora est utilisé.
Sites moléculaire ou de protéines spécifiques sur ou dans les cellules auquel VASOPRESSINS lier ou d'interagir afin de modifier la fonction des cellules récepteur de vasopressine avait deux sortes de existent, les V1 récepteur du muscle lisse vasculaire et la V2 récepteur dans les reins. Le V1 récepteur peut être subdivisée en V1a et V1b (anciennement V3) humaine.
Une augmentation de l ’ excrétion de l'urine. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 6e éditeur)
Le renforcement de la réponse conditionnée.
La concentration de particules actives osmotically en solution exprimés en termes de osmoles de Solute par litre de solution. Osmolalité est exprimé en termes de osmoles de Solute par kilogramme de solvant.
Composés contenant dibenzo-1,4-thiazine. Certains sont neuroactive.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Une condition de l'hyponatrémie et sel rénale overexpansion corps attribuées à perte de fluides résultant de libération prolongée de antidiuretic rénale hormones qui stimule la résorption de l'eau. C'est caractérisé par fonction normale, la fonction urinaire élevé, osmolalité osmolalité sériques basses et dysfonctionnement neurologique. Étiologies incluant tumeurs ADH-producing blessures ou maladies impliquant les HYPOTHALAMUS, l'hypophyse GLAND, et le poumon. Ce syndrome peut également être à cause de produits dopants.

La polydipsie est un terme médical qui décrit une soif excessive. C'est un symptôme courant où une personne ressent et satisfait régulièrement une forte envie de boire. La polydipsie peut être un signe d'une condition sous-jacente, telle que le diabète sucré ou insipide, des désordres psychiatriques, des lésions cérébrales ou d'autres affections médicales. Dans certains cas, la polydipsie peut entraîner une consommation excessive de liquides, ce qui peut perturber l'équilibre électrolytique de l'organisme et entraîner des complications supplémentaires. Il est important d'évaluer et de traiter la cause sous-jacente de la polydipsie pour gérer correctement ce symptôme.

La polydipsie psychogène est un trouble caractérisé par une soif excessive et compulsive, non liée à une sécheresse buccale ou à une déshydratation. Cette augmentation de la prise de boisson est due à des facteurs psychologiques tels que l'anxiété, le stress, la dépression ou des troubles de la personnalité. Les personnes atteintes de polydipsie psychogène peuvent consommer de grandes quantités de liquide, ce qui peut entraîner une hyponatrémie (faible teneur en sodium dans le sang) et d'autres complications médicales. Contrairement à la polydipsie primaire due à une soif excessive, il n'y a pas de cause physiologique sous-jacente pour expliquer la polydispsie psychogène. Il est important de noter que ce trouble doit être distingué d'autres causes organiques de polydipsie et qu'un examen médical complet est nécessaire pour poser un diagnostic approprié.

La soif est une sensation subjective qui déclenche la recherche et l'ingestion de liquides pour maintenir l'équilibre hydrique du corps. Elle est généralement ressentie lorsque le volume sanguin diminue ou que la concentration en électrolytes dans le sang augmente, ce qui provoque une activation des récepteurs de la soif situés dans l'hypothalamus. Ces récepteurs sont sensibles à la concentration en sodium et au volume sanguin, entre autres stimuli. Lorsqu'ils sont activés, ils déclenchent des signaux vers le cerveau pour inciter une personne à boire. La soif est donc un mécanisme physiologique important qui aide à prévenir la déshydratation et à maintenir l'homéostasie du corps.

La polyurie est un terme médical qui décrit la production excessive d'urine, généralement définie comme la production de plus de 2,5 à 3 litres d'urine par jour. Cette condition peut être le résultat de diverses affections, y compris des problèmes rénaux, des déséquilibres électrolytiques, une consommation excessive de liquides, ou certaines maladies telles que le diabète sucré et insipide. Les personnes atteintes de polyurie peuvent ressentir une soif accrue (polydipsie) pour compenser la perte de liquides. Il est important de consulter un professionnel de la santé si vous remarquez des changements dans votre volume urinaire ou si vous avez des symptômes associés à la polyurie, tels que la fatigue, la faiblesse, la confusion ou une sécheresse buccale.

L'intoxication par l'eau, également connue sous le nom d'hyponatrémie extrême, est un trouble métabolique causé par la consommation excessive d'eau. Cela entraîne une dilution du sodium dans le sang, ce qui peut provoquer un gonflement des cellules et des organes, en particulier dans le cerveau. Les symptômes peuvent inclure des nausées, des maux de tête, une fatigue extrême, une désorientation, des convulsions et, dans les cas graves, un coma ou même le décès. Cette condition est souvent observée chez les personnes qui font de l'exercice intense et boivent beaucoup d'eau sans compenser avec suffisamment de sodium, ainsi que chez ceux qui ont des troubles mentaux ou des problèmes rénaux.

En médecine, « boire » se réfère au fait d'ingérer une liquide, généralement de l'eau ou d'autres boissons, par la bouche et par le biais du processus de déglutition. Ce processus permet à notre corps de s'hydrater, de maintenir les niveaux de fluides corporels adéquats et de faciliter la digestion des aliments.

Il est important de boire suffisamment de liquides chaque jour pour prévenir la déshydratation, qui peut entraîner une variété de problèmes de santé, notamment des étourdissements, une fatigue, une confusion, une pression artérielle basse et une fréquence cardiaque rapide.

Les personnes atteintes de certaines conditions médicales, telles que les maladies rénales ou cardiaques, peuvent avoir besoin de limiter leur consommation de liquides pour prévenir la rétention d'eau et d'autres complications. Dans ces cas, il est important de suivre les instructions de votre médecin en matière de consommation de liquides.

Le diabète insipide est un trouble endocrinien rare caractérisé par une production excessive d'urine diluée (polyurie) et une soif intense (polydipsie). Contrairement au diabète sucré, qui implique une altération du métabolisme du glucose, le diabète insipide est dû à un déficit en hormone antidiurétique (ADH) ou à une résistance des reins à l'hormone ADH.

Il existe deux types de diabète insipide :

1. Diabète insipide central : Il se produit lorsque le cerveau ne produit pas ou ne sécrète pas suffisamment d'hormone antidiurétique (ADH) en raison d'une lésion ou d'une maladie de l'hypothalamus ou de la post-hypophyse. Les causes courantes comprennent des tumeurs, des traumatismes crâniens, des infections, des troubles auto-immuns, des mutations génétiques et la chirurgie de la région hypothalamo-hypophysaire.

2. Diabète insipide néphrogénique : Il est dû à une résistance des reins à l'action de l'hormone ADH, ce qui entraîne une production excessive d'urine et une soif accrue. Les causes comprennent des anomalies génétiques héréditaires ou acquises, des médicaments néphrotoxiques, des affections rénales sous-jacentes telles que la pyélonéphrite, l'hypertension rénine-dépendante et l'insuffisance rénale chronique.

Le diagnostic du diabète insipide repose sur l'évaluation des antécédents médicaux, des examens physiques, des analyses d'urine et de sang, ainsi que des tests de privation de liquides et de stimulation par vasopressine. Le traitement dépend du type et de la cause sous-jacente du diabète insipide. Pour le diabète insipide central, des médicaments tels que la desmopressine peuvent être prescrits pour remplacer l'hormone ADH manquante ou déficiente. Dans le cas du diabète insipide néphrogénique, le traitement vise à éliminer les causes sous-jacentes et à gérer les symptômes avec des médicaments tels que les diurétiques thiazidiques, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (ECA) et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

Le diabète insipide central est un trouble endocrinien rare caractérisé par une production inadéquate d'hormone antidiurétique (ADH) ou une résistance à son action, entraînant une polyurie sévère (production excessive d'urine) et une polydipsie (soif extrême). Contrairement au diabète sucré, qui implique une altération du métabolisme du glucose, le diabète insipide central n'a aucun lien avec les taux de sucre dans le sang.

L'hormone antidiurétique est produite par l'hypothalamus et stockée dans la neurohypophyse. Elle joue un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre hydrique de l'organisme en augmentant la réabsorption d'eau au niveau des tubules rénaux, ce qui diminue la production d'urine. Dans le diabète insipide central, une lésion ou une maladie affectant l'hypothalamus ou la neurohypophyse peut entraîner une déficience en ADH et provoquer les symptômes typiques du diabète insipide central.

Les causes possibles du diabète insipide central comprennent des tumeurs cérébrales, des traumatismes crâniens, des méningites, des encéphalites, des malformations congénitales, une intervention chirurgicale au cerveau et certaines affections auto-immunes. Dans certains cas, la cause peut rester inconnue, ce qui est alors qualifié de diabète insipide idiopathique central.

Le diagnostic du diabète insipide central repose généralement sur des tests de privation d'eau et des mesures des taux d'hormone antidiurétique. Le traitement consiste souvent en un apport supplémenentaire d'une forme synthétique d'hormone antidiurétique (desmopressine) pour compenser le déficit en ADH. Une fois le traitement instauré, les symptômes du diabète insipide central peuvent être bien contrôlés et la qualité de vie des patients peut être améliorée de manière significative.

La privation hydrique, également connue sous le nom de déshydratation, est un état pathologique qui se produit lorsqu'il y a une perte excessive d'eau et de sels minéraux du corps, entraînant ainsi un déséquilibre des électrolytes et une perturbation du fonctionnement normal des organes. Cela peut être causé par une consommation insuffisante d'eau, des vomissements, de la diarrhée, une transpiration excessive, une fièvre élevée ou certaines maladies qui affectent la capacité du corps à réguler l'équilibre hydrique et électrolytique.

Les symptômes de la privation hydrique peuvent varier en fonction de sa gravité. Les signes précoces incluent une soif accrue, des mictions moins fréquentes, une bouche sèche, des yeux enfoncés, une diminution de la transpiration et une urine concentrée de couleur foncée. Dans les cas plus graves, cela peut entraîner des étourdissements, des vertiges, une confusion, une faiblesse musculaire, une pression artérielle basse, une accélération du rythme cardiaque et, dans les cas extrêmes, un coma ou même la mort.

Il est important de noter que la privation hydrique peut être prévenue en s'assurant de boire suffisamment d'eau, surtout pendant l'exercice, les journées chaudes ou lorsqu'on souffre de maladies qui causent des vomissements ou de la diarrhée. Dans les cas où la privation hydrique est sévère, un traitement médical immédiat est nécessaire pour restaurer l'équilibre hydrique et électrolytique du corps.

L'hyponatrémie est un trouble électrolytique caractérisé par un taux anormalement bas de sodium sérique (moins de 135 mEq/L). Le sodium joue un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre hydrique et des fonctions nerveuses. Une hyponatrémie peut entraîner une variété de symptômes, allant de légers (nausées, maux de tête, fatigue) à graves (confusion, convulsions, coma), en fonction de la rapidité avec laquelle elle se développe et de l'importance de la baisse du taux de sodium.

L'hyponatrémie peut être causée par une variété de facteurs, notamment une consommation excessive d'eau, des déséquilibres hormonaux, certains médicaments, des maladies rénales ou hépatiques, et certaines affections pulmonaires ou cardiaques. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une restriction hydrique, une modification du régime alimentaire, des médicaments pour corriger les déséquilibres hormonaux ou l'arrêt des médicaments qui peuvent contribuer à l'hyponatrémie. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour un traitement plus intensif.

La capacité de concentration rénale fait référence à la capacité des reins à concentrer l'urine et à maintenir l'équilibre hydrique dans le corps. Cela est mesuré par la teneur en urine en créatinine, qui est un déchet produit par les muscles et éliminé du corps par les reins. Une capacité de concentration rénale normale se situe entre 400 et 800 mOsmol/kg d'eau. Une capacité de concentration rénale réduite peut être un signe de maladie rénale, de déshydratation ou d'autres conditions médicales.

Le diabète insipide néphrogénique est un trouble rare du système urinaire caractérisé par une production excessive de grande quantité d'urine très diluée, en dépit de niveaux élevés de consommation de liquides. Contrairement au diabète sucré, qui implique des problèmes avec la régulation du sucre dans le sang, le diabète insipide néphrogénique est dû à une incapacité des reins à concentrer l'urine en raison d'un dysfonctionnement de la réabsorption de l'eau dans les tubules rénaux.

Cette forme de diabète insipide peut être causée par des mutations génétiques, des maladies rénales sous-jacentes, certains médicaments ou une production insuffisante d'une hormone appelée vasopressine (ADH). Les symptômes comprennent une soif intense et excessive, une miction fréquente et abondante, des épisodes de déshydratation et, dans les cas graves, des désordres électrolytiques. Le diagnostic repose généralement sur des tests de laboratoire spécifiques, tels que la mesure de la densité urinaire et la réponse à une administration de vasopressine synthétique.

Le traitement du diabète insipide néphrogénique dépend de sa cause sous-jacente. Dans les cas dus à des mutations génétiques, le traitement peut inclure des modifications du régime alimentaire et une hydratation adéquate pour prévenir la déshydratation. Lorsque le diabète insipide néphrogénique est causé par une production insuffisante de vasopressine, un médicament de remplacement de l'hormone peut être prescrit. Dans d'autres cas, des mesures telles que la réduction de la dose de certains médicaments peuvent être nécessaires pour atténuer les symptômes.

La Déamino-Arginine Vasopressine (DAVP ou desmopressine) est un analogue synthétique de l'hormone antidiurétique naturelle, l'arginine vasopressine. Elle est utilisée en médecine pour traiter certains troubles liés à l'équilibre hydrique et électrolytique du corps.

La DAVP agit en augmentant la réabsorption d'eau dans les tubules rénaux, ce qui entraîne une diminution de la production d'urine (diurèse) et une augmentation de la concentration des urines. Elle a également un effet vasoconstricteur sur les vaisseaux sanguins, ce qui peut être utile dans le traitement de certaines formes d'hypotension.

La DAVP est utilisée pour traiter les troubles de l'équilibre hydrique tels que le diabète insipide central, une condition caractérisée par une production excessive d'urine et une soif intense due à une déficience en hormone antidiurétique. Elle est également utilisée dans le traitement de l'hémorragie urinaire chez les patients atteints de troubles héréditaires de la coagulation sanguine, tels que l'hémophilie A et B.

Comme avec tout médicament, la DAVP peut avoir des effets secondaires, notamment des maux de tête, des nausées, des étourdissements, une hyponatrémie (faible teneur en sodium dans le sang) et une rétention hydrique. Il est important que les patients soient informés des risques potentiels associés à l'utilisation de ce médicament et qu'ils soient surveillés régulièrement par un professionnel de la santé pendant le traitement.

La neurophysine est une petite protéine neurohypophysaire qui est co-sécrétée avec les neuropeptides ocytocine et vasopressine à partir des terminaisons nerveuses du lobe postérieur de la glande pituitaire. Il existe trois isoformes de neurophysines (neurophysine 1, neurophysine 2 et neurophysine 3) qui sont codées par différents gènes.

La neurophysine joue un rôle important dans le stockage, la libération et l'inactivation des neuropeptides auxquels elle est associée. Elle se lie spécifiquement à ces neuropeptides et forme des complexes qui sont stockés dans les granules sécrétoires des neurones neurohypophysaires. Lorsque ces neurones sont stimulés, les granules sont exocytosées et libèrent leurs contenus, y compris la neurophysine et le neuropeptide associé, dans l'espace extracellulaire.

La neurophysine est également capable de se lier au calcium, ce qui contribue à réguler la libération des neuropeptides. De plus, certaines isoformes de neurophysine ont été identifiées comme étant des antigènes associés aux tumeurs, telles que les tumeurs hypophysaires et les cancers du poumon à petites cellules. Par conséquent, la détection des anticorps dirigés contre la neurophysine peut être utilisée comme marqueur diagnostique de ces tumeurs.

La neurohypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire postérieure, est un petit lobe situé à la base du cerveau qui stocke et sécrète des hormones antidiurétiques (ADH) et de l'ocytocine dans la circulation sanguine. L'ADH aide à réguler l'équilibre hydrique de l'organisme en contrôlant la réabsorption d'eau dans les reins, tandis que l'ocytocine joue un rôle important dans l'accouchement, l'allaitement et les comportements sociaux.

La neurohypophyse est une structure nerveuse, plutôt qu'une glande endocrine typique, car elle ne produit pas réellement ces hormones mais les stocke et les libère en réponse à des stimuli nerveux spécifiques. Les axones des neurones hypothalamiques sécrètent ces hormones dans la neurohypophyse, où elles sont stockées dans des granules avant d'être libérées dans le sang.

Les troubles de la neurohypophyse peuvent entraîner une variété de symptômes, tels qu'une soif excessive et une augmentation de la miction (diabète insipide), ainsi que des problèmes de lactation et d'accouchement. Ces troubles peuvent être causés par des lésions cérébrales, des tumeurs, des infections ou des maladies auto-immunes.

L'équilibre eau-électrolytes est un terme utilisé pour décrire l'état d'équilibre entre l'eau et les électrolytes dans le corps. Les électrolytes sont des minéraux tels que le sodium, le potassium, le chlore et le bicarbonate qui, lorsqu'ils sont dissous dans les liquides corporels, se décomposent en particules chargées positivement (cations) ou négativement (anions).

L'eau et les électrolytes doivent être maintenus en équilibre pour que le corps fonctionne correctement. L'eau régule la température corporelle, lubrifie les articulations, protège les organes et élimine les déchets par l'urine. Les électrolytes aident à réguler le pH des fluides corporels, à maintenir la fonction nerveuse et musculaire et à réguler l'équilibre hydrique.

L'équilibre eau-électrolytes est régulé par plusieurs mécanismes, notamment la soif, l'apport alimentaire, la sécrétion d'hormones telles que l'aldostérone et l'hormone antidiurétique (ADH), et les reins qui filtrent, réabsorbent et excrètent l'eau et les électrolytes.

Des déséquilibres dans l'équilibre eau-électrolytes peuvent entraîner des symptômes tels que la déshydratation, l'hyponatrémie (faible taux de sodium dans le sang), l'hypernatrémie (taux élevé de sodium dans le sang), l'hypokaliémie (faible taux de potassium dans le sang) et l'hyperkaliémie (taux élevé de potassium dans le sang). Ces déséquilibres peuvent être causés par une variété de facteurs, notamment les maladies rénales, cardiaques et hépatiques, les vomissements et la diarrhée, l'utilisation de certains médicaments, les traumatismes et les interventions chirurgicales.

Je suis désolé, votre question est incomplète. Il manque des informations pour que je puisse y répondre correctement. Veuillez préciser quel terme médical vous souhaitez que je définisse, en commençant par 'Troubles De L'. Par exemple, cela peut être 'Troubles de l'humeur', 'Troubles du spectre autistique', etc.

La vasopressine, également connue sous le nom d'arginine vasopressine (AVP) ou hormone antidiurétique (ADH), est une hormone peptidique composée de neuf acides aminés. Elle est produite et stockée dans les neurones du noyau supraoptique et paraventriculaire de l'hypothalamus et est libérée dans la circulation sanguine par l'hypophyse postérieure en réponse à une augmentation de l'osmolarité ou à une diminution du volume sanguin.

La vasopressine a deux actions principales :

1. Vasoconstriction : elle provoque une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une augmentation de la pression artérielle et une redistribution du débit sanguin vers les organes vitaux.
2. Action antidiurétique : elle augmente la réabsorption d'eau dans le tubule distal du néphron rénal, ce qui entraîne une diminution de la diurèse et une augmentation de la concentration urinaire.

La vasopressine joue donc un rôle crucial dans la régulation de l'équilibre hydrique et électrolytique de l'organisme, ainsi que dans la maintenance de la pression artérielle et du débit sanguin.

Les maladies de l'hypophyse sont des affections qui affectent la glande pituitaire, une petite glande endocrine située à la base du cerveau. La glande pituitaire est responsable de la production et de la sécrétion de plusieurs hormones importantes qui régulent divers processus dans le corps, tels que la croissance, le métabolisme, la reproduction et la réponse au stress.

Les maladies de l'hypophyse peuvent être classées en deux catégories principales : les troubles de la sécrétion hormonale et les troubles de la taille ou de la forme de la glande pituitaire.

Les troubles de la sécrétion hormonale peuvent entraîner une production excessive ou insuffisante d'une ou plusieurs hormones hypophysaires, ce qui peut entraîner une variété de symptômes. Par exemple, un excès d'hormone de croissance peut entraîner une acromégalie, caractérisée par une augmentation anormale de la taille des os du visage et des extrémités. À l'inverse, une insuffisance de l'hormone de croissance peut entraîner une petite taille et un retard de développement chez les enfants.

Les troubles de la taille ou de la forme de la glande pituitaire peuvent être causés par des tumeurs bénignes ou malignes, des traumatismes crâniens, des infections ou des malformations congénitales. Ces troubles peuvent comprimer la glande pituitaire et perturber sa fonction, entraînant une variété de symptômes, tels que des maux de tête, des troubles visuels, des irrégularités menstruelles et une fatigue extrême.

Le traitement des maladies de l'hypophyse dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie ou une thérapie médicamenteuse. Il est important de consulter un médecin spécialiste de l'hypophyse pour établir un diagnostic et un plan de traitement appropriés.

Un programme de renforcement, dans le contexte du domaine médical et de la réadaptation, se réfère à un ensemble structuré d'exercices et d'activités conçus pour améliorer la force, l'endurance et la fonction des muscles et des groupes musculaires spécifiques. Ces programmes sont souvent prescrits par des professionnels de la santé, tels que des médecins, des kinésithérapeutes ou des ergothérapeutes, pour aider les patients à récupérer après une blessure, une maladie ou une chirurgie, ou pour gérer une condition chronique.

Les programmes de renforcement peuvent inclure une variété d'exercices, y compris des exercices de résistance utilisant des poids libres, des bandes de résistance ou des machines de musculation, ainsi que des exercices d'étirement et de flexibilité pour améliorer la mobilité et prévenir les blessures. Les patients peuvent effectuer ces exercices sous la supervision d'un professionnel de la santé ou de manière indépendante à la maison, en fonction de leur niveau de forme physique et de leurs besoins spécifiques.

L'objectif global d'un programme de renforcement est d'améliorer la capacité fonctionnelle du patient, ce qui peut inclure des activités telles que soulever des objets, monter des escaliers, se tenir debout ou s'asseoir pendant de longues périodes, et améliorer la qualité de vie globale.

L'aquaporine 2 (AQP2) est un type d'aquaporine, qui est une protéine membranaire spécialisée dans le transport de l'eau. Plus précisément, l'AQP2 se trouve dans les cellules du tubule collecteur distal et du tube contouré médullaire du rein.

L'AQP2 joue un rôle crucial dans la réabsorption d'eau dans le rein en formant des canaux d'eau à travers la membrane cellulaire. Lorsque l'hormone antidiurétique (ADH) se lie aux récepteurs de la cellule, elle déclenche une cascade de signaux qui entraîne la translocation de l'AQP2 vers la membrane cellulaire, ce qui permet à l'eau de pénétrer dans la cellule et d'être réabsorbée dans le sang.

Les mutations du gène AQP2 peuvent entraîner des maladies rénales telles que le diabète insipide néphrogénique, une condition caractérisée par une production excessive d'urine et une soif intense.

L'arginine vasopressine, également connue sous le nom de vasopressine ou ADH (hormone antidiurétique), est une hormone peptidique composée de neuf acides aminés. Elle est produite et stockée dans le cerveau, plus précisément dans le lobe postérieur de la glande pituitaire.

La vasopressine a deux fonctions principales :

1. Régulation de l'équilibre hydrique : La vasopressine agit sur les reins pour contrôler la réabsorption d'eau dans le corps. Lorsque le taux de vasopressine est élevé, les reins réabsorbent plus d'eau dans la circulation sanguine, ce qui entraîne une diminution de la production d'urine et une augmentation de la concentration des urines. À l'inverse, lorsque le taux de vasopressine est faible, les reins éliminent plus d'eau dans les urines, ce qui entraîne une augmentation de la production d'urine et une dilution des urines.
2. Vasoconstriction : La vasopressine provoque également une constriction des vaisseaux sanguins, ce qui peut aider à maintenir une pression artérielle adéquate en cas de perte de sang ou de déshydratation sévère.

La libération de vasopressine est régulée par plusieurs facteurs, notamment la concentration sanguine en eau et en électrolytes, ainsi que la pression artérielle. Des niveaux élevés de vasopressine peuvent être observés dans certaines conditions médicales, telles que la déshydratation, l'insuffisance cardiaque congestive et certains types de tumeurs cérébrales. Inversement, des niveaux faibles de vasopressine peuvent être observés dans des conditions telles que le diabète insipide central, une maladie rare caractérisée par une production insuffisante d'hormone antidiurétique (ADH), y compris la vasopressine.

Les maladies des chiens se réfèrent à un large éventail de conditions médicales qui peuvent affecter les chiens. Ces maladies peuvent être congénitales (présentes à la naissance), acquises (développées au cours de la vie du chien) ou infectieuses (causées par des agents pathogènes tels que des bactéries, des virus, des champignons ou des parasites).

Les maladies courantes chez les chiens comprennent les maladies de l'appareil digestif (comme la maladie inflammatoire de l'intestin et la pancréatite), les maladies cardiovasculaires (comme l'insuffisance cardiaque congestive et l'endocardite), les maladies respiratoires (comme la bronchite et la pneumonie), les maladies de la peau (comme la dermatite allergique et l'otite externe), les maladies du système nerveux (comme l'épilepsie et la maladie dégénérative du disque), les maladies des reins et des voies urinaires (comme l'insuffisance rénale et la cystite), le cancer et le diabète sucré.

Les chiens peuvent également être affectés par des maladies infectieuses telles que la rage, la parvovirose, la distemper, la leptospirose, la borréliose (maladie de Lyme) et l'hépatite contagieuse canine.

La prévention, le diagnostic et le traitement des maladies chez les chiens nécessitent une attention vétérinaire professionnelle. Les propriétaires de chiens doivent être attentifs aux signes de maladie, tels que la léthargie, la perte d'appétit, la vomissements, la diarrhée, la toux, les éternuements, les démangeaisons, les douleurs, les boiteries et les changements de comportement. Un diagnostic précoce et un traitement approprié peuvent aider à améliorer le pronostic et la qualité de vie des chiens atteints de maladies.

Un récepteur vasopressine, également connu sous le nom de récepteur de l'hormone antidiurétique (ADH), est un type de récepteur membranaire situé dans les cellules du corps humain. Il s'agit d'un site de liaison spécifique pour la vasopressine, une hormone produite par le cerveau qui régule la quantité d'eau dans le corps en affectant la perméabilité des tubules rénaux à l'eau.

Il existe trois types principaux de récepteurs vasopressine : V1, V2 et V3 (ou V1a, V1b et V2 selon certaines classifications). Chacun d'entre eux a un rôle spécifique dans l'organisme. Les récepteurs V1 sont responsables de la contraction des vaisseaux sanguins et de la stimulation de la glycogénolyse dans le foie, tandis que les récepteurs V2 régulent la perméabilité des tubules rénaux à l'eau. Les récepteurs V3 sont principalement localisés dans l'hypothalamus et jouent un rôle dans la libération de l'hormone adrénocorticotrope (ACTH) par l'hypophyse.

Les récepteurs vasopressine peuvent être activés ou désactivés en fonction de la présence ou de l'absence de vasopressine dans le sang. Lorsque la vasopressine se lie à un récepteur vasopressine, elle déclenche une série de réactions chimiques qui entraînent des changements dans les cellules du corps. Ces changements peuvent inclure la modification de l'activité enzymatique, la production de messagers secondaires ou la stimulation de la croissance et de la division cellulaire.

Les récepteurs vasopressine sont importants pour maintenir l'équilibre hydrique du corps et réguler la pression artérielle. Des anomalies dans les récepteurs vasopressine peuvent entraîner des troubles tels que le diabète insipide, une maladie caractérisée par une production excessive d'urine et une soif intense.

La diurèse est un terme médical qui décrit le processus d'élimination de l'urine par les reins. Plus spécifiquement, il se réfère au volume total d'urine produite par les reins pendant une certaine période de temps. La diurèse peut être mesurée en tant que taux, exprimé en millilitres ou en litres par heure.

Le processus de diurèse commence dans les glomérules des reins, où le sang est filtré pour éliminer les déchets et l'excès de liquide. L'urine formée à partir de ce processus passe ensuite dans les tubules rénaux, où certains minéraux et substances utiles peuvent être réabsorbés dans le sang. Le reste de l'urine continue alors dans les uretères et la vessie, jusqu'à ce qu'elle soit finalement éliminée du corps par l'urètre lors de la miction.

La diurèse peut être influencée par divers facteurs, tels que l'apport hydrique, la consommation de certains médicaments ou aliments, les maladies rénales et d'autres conditions médicales sous-jacentes. Par exemple, une augmentation de la diurèse peut être observée en réponse à une augmentation de l'apport hydrique ou à la prise de diurétiques, qui sont des médicaments utilisés pour éliminer l'excès de liquide du corps. À l'inverse, une diminution de la diurèse peut être observée dans des conditions telles que la déshydratation, l'insuffisance rénale ou l'utilisation de certains médicaments qui affectent la fonction rénale.

Il est important de noter que la mesure de la diurèse peut être un outil utile dans le diagnostic et le traitement de diverses affections médicales, telles que les maladies rénales, l'insuffisance cardiaque congestive et d'autres conditions qui peuvent affecter la fonction rénale et l'équilibre hydrique du corps.

La concentration osmolale est un terme utilisé en médecine et en biologie pour décrire la concentration d'osmoles (unités de soluté) dans un kilogramme de solvant, qui est généralement de l'eau. Plus précisément, elle représente le nombre de osmoles de solutés dissous par kilogramme de solvant.

Dans le contexte médical, la concentration osmolale est souvent utilisée pour décrire l'osmolarité du plasma sanguin, qui est maintenue dans une fourchette étroite dans un organisme en bonne santé. Une concentration osmolale élevée dans le sang peut indiquer une déshydratation ou une hyperglycémie sévère, tandis qu'une concentration osmolale faible peut être observée dans des conditions telles que l'hyponatrémie syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH).

La concentration osmolale est mesurée en osmoles par kilogramme (osm/kg) et peut être calculée à partir des concentrations de sodium, de glucose et d'urée dans le sang. Une formule couramment utilisée pour calculer la concentration osmolale est:

Concentration osmolale = 2 x (Na+ en mmol/L) + (glucose en mmol/L) + (urée en mmol/L)

où Na+ représente la concentration de sodium dans le sang.

Les phénothiazines sont un groupe de médicaments psychotropes qui ont des propriétés sédatives, antipsychotiques et antiémétiques. Ils agissent en bloquant les récepteurs dopaminergiques dans le cerveau. Les phénothiazines sont utilisées pour traiter une variété de conditions, y compris la schizophrénie, les troubles bipolaires, les nausées et les vomissements sévères, ainsi que certains types d'agitation et d'agressivité.

Les phénothiazines comprennent des médicaments tels que la chlorpromazine, la thioridazine, la trifluoperazine et la perphenazine. Ces médicaments peuvent avoir des effets secondaires importants, y compris des mouvements involontaires, une somnolence excessive, une sécheresse de la bouche, une prise de poids, des troubles cardiaques et une sensibilité accrue à la lumière du soleil. Par conséquent, ils doivent être utilisés avec prudence et sous surveillance médicale étroite.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

Le syndrome de sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH) est un trouble endocrinien caractérisé par une production excessive et continue d'hormone antidiurétique (ADH) par l'hypothalamus et l'hypophyse, même lorsque les niveaux de liquide dans le corps sont normaux. Cela entraîne une diminution de la quantité d'urine produite (oligurie), une rétention hydrique et une dilution excessive des électrolytes dans le sang, en particulier une hyponatrémie (faible teneur en sodium sérique).

Les symptômes du SIADH peuvent inclure nausées, vomissements, maux de tête, confusion, faiblesse, fatigue, convulsions et dans les cas graves, coma. Le diagnostic repose sur des tests de laboratoire pour mesurer les niveaux d'électrolytes sériques, en particulier le sodium, ainsi que la concentration urinaire et l'osmolarité.

Le SIADH peut être causé par une variété de conditions médicales, notamment certaines tumeurs malignes (comme les cancers du poumon, du pancréas, des ovaires ou des intestins), certains médicaments, des infections, des traumatismes crâniens, des maladies neurologiques et psychiatriques. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une restriction hydrique, l'utilisation de diurétiques, une modification du traitement médicamenteux ou dans certains cas, un traitement spécifique de la maladie sous-jacente.

1995 May 8;155(9):953-7. PMID 7726704 Efficacy of clozapine in a non-schizophrenic patient with psychogenic polydipsia and ... Non-psychogenic primary polydipsia in autoimmune chronic active hepatitis with severe hyperglobulinaemia », Gut, vol. 29, no 4 ... Urinary excretion of aquaporin-2 water channel differentiates psychogenic polydipsia from central diabetes insipidus », J. Clin ... Vasopressine Polyurie Intoxication par l'eau Hyponatrémie Psychogenic polydipsia with hyponatremia: report of eleven cases. Am ...
Psychogenic polydipsia review: etiology, differential, and treatment, Curr Psychiatry Rep, 2007;9:236-41 Portail de la médecine ...
1995 May 8;155(9):953-7. PMID 7726704 Efficacy of clozapine in a non-schizophrenic patient with psychogenic polydipsia and ... Non-psychogenic primary polydipsia in autoimmune chronic active hepatitis with severe hyperglobulinaemia », Gut, vol. 29, no 4 ... Urinary excretion of aquaporin-2 water channel differentiates psychogenic polydipsia from central diabetes insipidus », J. Clin ... Vasopressine Polyurie Intoxication par leau Hyponatrémie Psychogenic polydipsia with hyponatremia: report of eleven cases. Am ...
Impaired water metabolism in psychogenic polydipsia can result in WATER INTOXICATION.. Note dindexation:. Do not confuse with ... A clinical disorder characterized by excessive fluid intake (polydipsia); HYPONATREMIA; and POLYURIA in SCHIZOPHRENIA and other ... POLYDIPSIA. Qualificatifs autorisés:. BL sang. CF liquide cérébrospinal. CI induit chimiquement. CL classification. CN ...
  • Urinary excretion of aquaporin-2 water channel differentiates psychogenic polydipsia from central diabetes insipidus », J. Clin. (wikipedia.org)
  • Impaired water metabolism in psychogenic polydipsia can result in WATER INTOXICATION. (bvsalud.org)
  • en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article de Wikipédia en anglais intitulé « Primary polydipsia » (voir la liste des auteurs). (wikipedia.org)