Protéines virales trouve que dans la NUCLEOCAPSID ou le noyau virale (VIRAL CORE PROTEINS).
Un acide protein-nucleic complexe qui forme un élément ou tout d'un virion. C'est un acide nucléique jointe capside en plus, ça dépendra du virus, le nucleocapsid pourrait correspondre à un noyau nue ou être entourée d'une enveloppe membraneux.
Protéines ADN et ARN icosahedral principalement dans les virus. Ils sont composés de protéines directement liés au acides nucléiques dans le NUCLEOCAPSID.
Le capuchon extérieur de protéine coquille d'un virus qui protège l'acide nucléique viral.
Protéines GAG codée par le virus de l'immunodéficience humaine de Gene.
Un genre de la famille BUNYAVIRIDAE causant hantavirus INFECTIONS, première identifiées lors de la guerre de Corée. Infection se retrouve essentiellement chez les rongeurs et humains. Transmission ne semble pas impliquer d'arthropodes. HANTAAN VIRUS est le genre espèce.
Le type espèce du genre hantavirus Apodemus agrarius infectant les rongeurs et humains qui entrent en contact avec elle. Elle entraîne tardifs de fièvre hémorragique et surtout vasculaire associée à une pathologie rénale.
L'acide ribonucléique qui fait le matériel génétique des virus.
Des infections virales du genre hantavirus. Cela est associé à au moins 4 des syndromes cliniques avec la fièvre hémorragique : Syndrome du jour causées par des virus Hantaan du groupe ; une forme moins sévère de HFRS causée par SÉOUL VIRUS ; nephropathia epidemica causée par PUUMALA VIRUS ; et hantavirus pulmonaire provoquée par nombre VIRUS syndrome du péché.
Protéines était mort à l'antiviral gag Gene. Les produits sont souvent synthétisé ou polypeptides comme précurseur des protéines, qui sont ensuite clivée protéases en fonction de céder le produit final. De nombreux médicaments sont associés à la finale nucleoprotein noyau de la bâillonner les virion. d ’ antigène.
Une espèce de coronavirus causant une affection respiratoire (atypiques syndrome du respiratoire grave PYELONEPHRITE AIGUË) chez l ’ homme. L'organisme est censé avoir est apparue dans la province de Guangdong, Chine, en 2002. L'hôte naturel est le chinois, chauve-souris RHINOLOPHUS sinicus.
Protéines associées au n'importe quelle espèce de virus.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
Les motifs durant DNA- et protéines RNA-binding dont les acides aminés se sont regroupées en une seule unité structurelles autour d'un atome de zinc, dans la zinc zinc doigt, un atome est liée aux deux cysteines et deux histidines. Entre les cysteines et histidines sont 12 résidu qui constituent un doigt. L'ADN par les variations de la composition du doigt les séquences sur l'espacement et le nombre et de qui se répétait du motif, zinc doigts peut former un grand nombre de sites de liaison spécifique autre séquence.
Protéines qui forment la capside virale.
L'assemblée des STRUCTURELLES VIRAL PROTEINS et de l'acide nucléique VIRAL (VIRAL ADN et ARN) pour former une VIRUS PARTICLE.
Une espèce dans le genre de la famille ORTHOBUNYAVIRUS BUNYAVIRIDAE. Un grand nombre des sérotypes tensions exister dans de nombreuses régions du monde. Ils sont transmises par les moustiques et infecter les humains dans certains domaines.
Une espèce de la coronavirus Genus hépatite provoque chez la souris. Quatre souches qui ont été identifiés comme un MHV un MHV 1, 2, 3, 4 et un MHV un MHV (aussi connu comme MHV-JHM, qui est disséminée et provoque des maladies neurotropes encéphalomyélite avec démyélinisation ainsi que des nécroses focales hépatiques).
L'ordre des acides aminés comme ils ont lieu dans une chaine polypeptidique, appelle ça le principal structure des protéines. C'est un enjeu capital pour déterminer leur structure des protéines.
Maladie fébrile aiguë survenant principalement en Asie. C'est caractérisé par une fièvre, une prostration, vomissements, hémorragies phenonema, choc et une insuffisance rénale. Elle est provoquée par un seul de plusieurs étroitement liées espèce du genre Hantavirus. La forme la plus sévère est causée par HANTAAN VIRUS dont l'hôte naturel est le rongeur Apodemus agrarius. Plus léger formes sont causés par SÉOUL VIRUS et transmises par les rongeurs et R. Rattus rattus norvegicus PUUMALA VIRUS avec, et la transmission par Clethrionomys galreolus.
Le parfait complément génétique contenus dans une molécule d'ADN ou d'ARN dans un virus.
La biosynthèse d'ADN réalisée sur un modèle d'ARN.
Un espèces dans ce genre coronavirus causant le rhume et probablement Affections du système des infections chez les humains. Il contient hemagglutinin-esterase.
Le type espèces de MORBILLIVIRUS et la cause de la maladie humaine MEASLES hautement infectieuse, qui affecte surtout des enfants.
Le processus de multiplication, virale intracellulaire composée de la synthèse des PROTEINS ; ACIDS nucléique, tantôt lipides, et leur assemblage dans une nouvelle particule infectieuses.
La séquence des purines et PYRIMIDINES dans les acides nucléiques et polynucleotides. On l'appelle aussi séquence nucléotidique.
Le type espèces de LENTIVIRUS etiologic et l'agent du sida. C'est caractérisé par son effet cytopathic et affinité au récepteur T4-lymphocyte.
Trouble caractérisé par un virus Fièvre élevée, sécheresse toussent, essoufflement (dyspnée) ou des difficultés respiratoires, et une pneumonie atypique. Un virus dans le genre coronavirus est l'agent suspecté.
Le système d'un virus infectieux, composé de le génome, une protéine noyau, et une couche de protéine appelée capside pouvant être nue ou dans une enveloppe lipoprotéines appelé le peplos.
Une espèce de coronavirus causant des infections chez les poulets et peut-être des faisans. Meufs à quatre semaines sont les plus sévèrement touchés.
Un transfert ARN qui est spécifique aux portant sur les ribosomes lysine aux sites en vue de la synthèse des protéines.
Les immunoglobulines produits en réponse au VIRAL antigènes.
Une cellule LIGNE déduits du rein de L'African vervet vert (singe), (CERCOPITHECUS Aethiops) utilisé principalement dans la réplication virale études et plaque dosages.
Établi des cultures de cellules qui ont le potentiel de propager indéfiniment.
Un genre de la famille ARTERIVIRIDAE, dans l'ordre NIDOVIRALES. Le type espèce est artérite EQUINE tous.
Une famille de virus, principalement arboviruses consistant en un seul cheveu d'ARN. Génotypes particules enveloppés 90-120 nm de diamètre. Toute la famille contient 300 agents arrangé dans cinq genera : ORTHOBUNYAVIRUS ; hantavirus ; NAIROVIRUS ; PHLEBOVIRUS ; et Tospovirus.
L'acide désoxyribonucléique qui fait le matériel génétique des virus.
Une espèce de MORBILLIVIRUS bétail épidémie, une maladie causant avec mortalité élevée. Moutons, chèvres, des porcs et autres animaux de l'ordre Artiodactyla peut également être infecté.
Le type espèces de manière symptomatique VESICULOVIRUS causant une maladie similaire à ces desagreables maladies chez les bovins, chevaux, et les porcs. Ça pourrait être transmis aux autres espèces y compris les humains, elle y provoque symptômes pseudo-grippaux.
Une espèce de CERCOPITHECUS contenant 3 variétés : C. Tantale, C. pygerythrus, et C. sabeus. Elles sont retrouvées dans les forêts et savane d'Afrique. L'Africain Singe Vert (C. pygerythrus) est le virus de l ’ immunodéficience humaine de simien hôte naturel et est utilisé dans la recherche sida.
Une espèce de RESPIROVIRUS hemadsorption 2 (également appelé virus HA2), qui déclenche laryngotracheitis chez l'homme, en particulier les enfants.
Une espèce de ARTERIVIRUS causant la reproduction et respiratoires chez le porc. La souche européenne est appelé virus Lelystad. Transmission aérienne est commun.
Une espèce de hantavirus causant nephropathia epidemica, une forme légère de la fièvre hémorragique avec syndrome du jour. C'est retrouvé dans la plupart de l'Europe et en particulier en Finlande, avec leur porte-avions, rongeur, la banque mulot (Clethrionomys glareolus).
Substances formulées par les virus activité antigénique.
Protéines conjuguée à des acides nucléiques.
Protéines virales qui sont des composants du virus assemblé mature. Ils incluent des gâteaux au noyau nucleocapsid protéines (gag) aux protéines, enzymes conditionné dans le virus particule (pol protéines) et composantes (membrane env protéines). Ces n'incluent pas les protéines encodée dans le génome VIRAL produites en cellules infectées mais qui ne sont pas conditionnés dans de la plus mûre, c 'est-à-dire la soi-disant non-structural (protéines VIRAL Nonstructural PROTEINS).
Un genre de plante virus dans la famille BUNYAVIRIDAE. Tomate repéré Wilt virus est le genre espèce. Transmission survient par au moins 9 espèces d'thrips.
Virus les maladies provoquées par le coronavirus Genus. Des détails inclure la transmission d ’ entérite de la dinde (entérite, des maladies transmissibles, DES TURKEYS) ; une péritonite infectieuse féline et de porcs Gastroentérite Transmissible (gastroentérite, des maladies transmissibles, DES Connard).
L'onde arrangement des atomes d'un acide nucléique ou polynucleotide qui aboutit à la forme en 3 dimensions.
Protéines préparé par la technique de l ’ ADN recombinant.
Un genre de la famille BUNYAVIRIDAE contenant plus de 150 des virus, dont la plupart sont transmises par les moustiques ou des mouches. Ils sont rangés par groupes définis selon les critères sérologique, chaque maintenant nommé à l'original espèce de référence (anciennement des sérogroupes). Des espèces sérotypes multiples tensions.
Un genre de la famille BUNYAVIRIDAE comprenant des virus, dont la plupart sont transmis par Phlebotomus mouches et cause PHLEBOTOMUS fiévre. Le type espèce est brèche VALLEY fiévre VIRUS.
Une famille de bullet-shaped virus de l'ordre, en infectant MONONEGAVIRALES vertébrés, arthropodes, des protozoaires, et les plantes. Genera inclure VESICULOVIRUS ; lyssavirus ; EPHEMEROVIRUS ; NOVIRHABDOVIRUS ; Cytorhabdovirus ; et Nucleorhabdovirus.
Un genre de famille FILOVIRIDAE consistant en une espèce (lac Victoria marburgvirus) avec plusieurs souches. Le genre ne montre aucune réactivité croisée avec antigénique EBOLAVIRUS.
Un transfert ARN qui est spécifique aux sites 5-O pour porter les ribosomes en préparation de la synthèse des protéines.
ARN sphérique, dans l'ordre NIDOVIRALES virus, infecter une large gamme d'animaux y compris les humains. Transmission est par fecal-oral et des voies respiratoires. Transmission mécanique est aussi commun. Il y a deux types : Coronavirus et TOROVIRUS.
Une famille d'ARN virus naturellement infecter les rongeurs et consistant en un genre (ARENAVIRUS) avec deux groupes : Ancien Monde Arenavirus (ARENAVIRUSES, vieux monde) et (ARENAVIRUSES Arenavirus, Nouveau Monde nouveau monde). L ’ infection chez les rongeurs est persistante et silencieux. De la transmission materno-fœ tale is through lait, saliva- ou urine-borne itinéraires transmission horizontal aux humains, le singe et autres animaux est important.
Une espèce de coronavirus infecter les veaux nouveaux-nés, sous la forme d ’ une diarrhée aiguë, et fréquemment ayant entraîné la mort.
Un genre de la famille paramyxoviridae (D) where the PARAMYXOVIRINAE virions de la plupart des membres ont Hemaglutinine. Neuraminidase mais pas tous les membres produisent les deux et cytoplasmique inclusion inclusion corps. La rougeole VIRUS est le genre espèce.
Une famille de virus sphérique, de l'ordre MONONEGAVIRALES, un peu plus importante que celle orthomyxoviruses et contenant monobrin ARN. Subfamilies inclure PARAMYXOVIRINAE et PNEUMOVIRINAE.
Le type espèces de ALPHAVIRUS normalement transmis à oiseaux par Culex moustiques en Égypte, Afrique du Sud, en Inde, Malaisie, les Philippines et l'Australie. Il peut être associée à une fièvre chez les humains. Des sérotypes (différentes par moins de 17 % en séquence nucléotidique) comprennent Babanki, Kyzylagach et Ockelbo virus.
Les maladies provoquées par le virus BUNYAVIRIDAE.
Couches de protéine qui entourent le capside dans les virus avec nucleocapsids tubulaire, l'enveloppe contient une couche interne de lipides et protéines a aussi appelé virus spécifié matrice membrane ou des protéines. La couche extérieure se compose d ’ un ou plusieurs types de sous-unités morphologiques appelé peplomers quel projet de l'enveloppe virale ; cette couche toujours se compose de glycoprotéines.
Un espèces dans ce genre coronavirus causant le rhume et probablement Affections du système des infections chez les humains. Il manque hemagglutinin-esterase.
Une espèce de hantavirus émergées aux Four Corners zone des États-Unis en 1993. C'est un gros, souvent fatale maladie pulmonaire (hantavirus syndrome du pulmonaire) chez l ’ homme. Transmission est en respirant les sécrétions de rongeurs aéroportés qui contiennent des particules virales, porté surtout par des souris (PEROMYSCUS pins à pignons maniculatus) et la souris (P. truei).
Les substances non plus, ou se lient aux protéines exogènes d ’ irradiation précurseur des protéines, enzymes, ou allié composés. Liaison aux protéines spécifiques sont souvent utilisés comme des mesures de diagnostic évaluations.
Un genre de la famille paramyxoviridae (D) PARAMYXOVIRINAE virions où tous les deux activités et d ’ hémagglutinine et neuraminidase codez une protéine C non-structural. Sendai VIRUS est le genre espèce.
Protéines associées à la surface interne de la bicouche de lipide enveloppe virale. Ces protéines ont été impliquées dans le contrôle de transcription virale et peut bien servir comme la "colle" qui lie le nucleocapsid à la graduation correspondant au site en herbe pendant la membrane de la cellule hôte.
Une méthode immunosérologique utilisant un anticorps légendées avec une enzyme marqueur tels que le raifort peroxydase. Pendant que soit l ’ enzyme ou l ’ anticorps est lié à un immunosorbent substrat, ils conservent leur activité biologique ; la variation de l ’ activité enzymatique en conséquence de la réaction enzyme-antibody-antigen est proportionnelle à la concentration de l'antigène et peut être mesuré spectrophotometrically ou à l'œil nu. De variations du mode ont été développées.
The functional héréditaire unités de virus.
Un genre de la famille CORONAVIRIDAE qui provoque une maladie gastro-intestinale respiratoire ou dans de nombreux vertébrés.
Une maladie virale de tordu animaux causée par MORBILLIVIRUS. Il peut être aiguë, subaiguë, ou chronique avec le major lésions caractérisé par l'inflammation et d ’ ulcérations de la totalité du tube digestif. La maladie a été déclaré avec succès éradiquée mondialement en 2010.
Méthodes utilisées pour étudier les interactions d ’ anticorps avec certaines régions de protéine antigènes. Important épitope cartographie les applications sont présentés dans la zone de immunochemistry.
Une sous-famille de la famille MURIDAE compose de 69 genera. Nouveau Monde la souris et rats sont mentionnées dans cette sous-famille.
Un genre de la famille BACULOVIRIDAE Eubaculovirinae sous-famille, caractérisé par de la formation du cristallin, occlusion multifaces corps dans la cellule-hôte noyau. Le type espèce est Autographa californica nucleopolyhedrovirus.
Séquences d'ADN qui forment le codage région pour les protéines associée au noyau virales gag retroviruses. sont décrits dans les antigène.
Les éléments d'un macromolecule ça directement participer à ses précis avec un autre molécule.
Un rare encéphalite chronique lente progression de l ’ infection par le virus MEASLES. La situation se produit principalement chez les enfants et jeunes adultes, environ 2 à 8 ans après l'infection initiale. Un déclin graduel de capacités intellectuelles et comportementales sont suivis par une altération progressive de la spasticité crises myoclonies ; ; ; ; démence végétatifs ; et une ataxie. La mort survient habituellement de 1 à 3 ans après l ’ apparition de la maladie. Caractéristiques pathologique, menottez périvasculaire inclure éosinophile intranucléaire cytoplasmique, neurophagia et fibreux gliosis. C'est provoqué par la PESS virus, qui est défectueux. (Variante du virus MEASLES d'Adams et al., fondamentaux de la neurologie, Ed, 6ème pp767-8)
Un genre de la famille RHABDOVIRIDAE qui infecte un large éventail de vertébrés et invertébrés. Le type espèce est Vesicular stomatitis INDIANA VIRUS.
Une espèce dans le genre de la famille ORTHOBUNYAVIRUS BUNYAVIRIDAE. Sérotypes tempérés et sont retrouvés dans les régions arctiques et chacun est étroitement associé à une espèce unique de vecteur moustique. Le vertébré hôtes sont habituellement petits mammifères mais plusieurs sérotypes entre humains.
Une famille de virus, de l'ordre NIDOVIRALES, contenant virions sphérique. Contrairement à CORONAVIRIDAE, non pendante piques sont évidentes sur la surface.
Des suspensions de atténuée ou tué virus administré pour la prévention ou le traitement des maladies virales infectieuses.
Poids moléculaire élevé contenant un mélange de polymères purine et de la pyrimidine nucléotides enchaînés à Ribose ou deoxyribose lien.
Une espèce du transmise par les moustiques PHLEBOVIRUS Genus trouvé dans l'est, Central et produire de grandes Afrique australe, hépatite, l'avortement et mourir à moutons, chèvres, le bétail, les autres animaux. Il a aussi causé la maladie chez les humains.
La biosynthèse d'ARN pratiquées sur un modèle d'ADN. La biosynthèse de l'ADN d'un modèle s'appelle LES ARN VIH-1 et VIH-2.
Un de la transcriptase inverse de Pol Gene codée par le VIH. C'est un heterodimer de 66 kDa et 51 kDa sous-unités qui proviennent de un ancêtre commun heterodimer l comprend également une activité RNAse H Ribonuclease H, l ’ immunodéficience humaine (virus) qui joue un rôle essentiel le processus de réplication virale.
Une espèce de coronavirus causant une maladie mortelle de cochons sous 3 semaines.
Un des deux groupes de virus dans le genre et ARENAVIRUS considéré comme une partie du Nouveau Monde complexe et comprend virus Junin ; PICHINDE VIRUS ; Amapari virus, et Machupo virus entre autres. Elles sont la cause des fièvres hémorragiques surtout en Amérique centrale et du Sud.
Un sérotype de l'espèce Californie encéphalite virale (virus), encéphalite, CALIFORNIE dans ce genre ORTHOBUNYAVIRUS, causant une méningo-encéphalite humaine. C'est l'agent la plus responsable de la Californie, Californie encéphalite (encéphalite), le plus répandu maladie transmise par les moustiques reconnu aux États-Unis.
Une espèce de BETARETROVIRUS isolée du carcinome mammaire chez le singe rhésus. Il semble avoir évolué d'une murins B oncovirus recombinaison entre un et un primate C oncovirus liée au virus endogène babouin serologically existe plusieurs souches distincte. MPMV induit simien le SIDA.
Le processus par lequel deux molécules de la même composition chimique former une condensation produit ou polymère.
Les maladies provoquées par les virus de fièvres hémorragiques (ARENAVIRUSES, nouveau monde).
Aucun détectable et héréditaire changement dans le matériel génétique qui peut provoquer un changement dans le génotype et qui est transmis à cellules filles et pour les générations futures.
L'insertion de l ’ ADN recombinant les molécules de facteur D'et / ou eucaryotes sources dans un véhicule, tels qu ’ une réplication génétique ou virus vecteur, et l 'introduction de l ’ hybride molécules dans receveur cellules sans altérer la viabilité de ces cellules.
Maladie respiratoire aiguë chez l ’ homme causée par le virus Muerto Canyon réservoir rongeur dont le principal est le renne souris Peromyscus maniculatus. Identifiée dans le sud des Etats-Unis, plus fréquemment ce syndrome est caractérisé par une fièvre, myalgies, céphalées, toux, rapide et une insuffisance respiratoire.
Une souche de virus Leucémie Murine leucémie murine (tous) enregistrés durant la propagation des S37 souris sarcome, et causant une leucémie lymphoïde chez la souris. Il infecte également le rat et nouveau-né hamsters. C'est apparemment transmis aux embryons in utero et de nouveaux par le lait maternel.
Dans la famille MURIDAE une sous-famille, comprenant les hamsters. Quatre types les plus communes sont cricetus, CRICETULUS ; MESOCRICETUS ; et PHODOPUS.
Microscopie en utilisant un électron poutre, au lieu de lumière, de visualiser l'échantillon, permettant ainsi plus grand grossissement. Les interactions des électrons passent avec les spécimens sont utilisés pour fournir des informations sur la fine structure de ce spécimen. Dans TRANSMISSION électron les réactions du microscope à électrons sont retransmis par le spécimen sont numérisée. Dans le microscope à électrons qu'arriver tombe à un angle sur le spécimen non-normal et l'image est extraite des indésirables survenant au-dessus de l'avion du spécimen.
Sur un antigène pouvant interagir avec des anticorps spécifiques.
Le seul genre dans la famille ARENAVIRIDAE. Il contient deux groupes ARENAVIRUSES, vieux monde et ARENAVIRUSES, nouveau monde, qui ont des relations antigénique et répartition géographique.
Un genre de jeune chouette mites de la famille Noctuidae. Ces insectes sont utilisés en biologie moléculaire études pendant toutes les étapes de son cycle de vie.
Une espèce de ARENAVIRUS, une partie du Nouveau Monde Arenavirus (ARENAVIRUSES, nouveau monde), entraînant une fièvre hémorragique argentin. La maladie est caractérisé par l 'œ dème généralisé, congestion nasale, nécrose hémorragique adénopathies et il a parfois été fatal.
Une espèce de HENIPAVIRUS, étroitement lié à HENDRA VIRUS, qui est apparue dans Peninsular Malaisie en 1998. Il cause une encéphalite VIRAL fébrile sévère chez l'homme et également TRACT INFECTIONS encéphalite et respiratoires chez le porc. Chauve-soufruits (ptéropus) sont les hôte naturel.
Un polynucleotide constitué essentiellement de chaînes à répétition épine dorsale de phosphate et Ribose unités auquel Nitrogenous bases sont fixées. ARN macromolecules biologique est unique en cela qu'elle peut encoder information génétique, comme un composant structurel abondante de cellules, et possède également activité catalytique. (Rieger et al., Glossaire de Genetics : Classique et Molecular, 5ème e)
Une espèce de virus ADN, dans ce genre, en infectant WHISPOVIRUS PENAEID crevettes.
Une espèce de PNEUMOVIRUS causant une infection respiratoire importante chez les bovins. Les symptômes incluent fièvre, conjonctivite, détresse respiratoire.
L ’ un des facteurs influencent cytoplasmique processus par lequel l 'écart le contrôle de Gene action dans les virus.
Une famille de protéines cellulaire qui interviennent dans la bonne rassemblement ou démontage de non glycosylés et leurs ligands associés. Même s'ils participer au processus d'assemblage, chaperons ne sont ni moléculaire composantes de la dernière structures.
Un cours je virale qui forment la protéine de fusion caractéristique piques, ou peplomers, retrouvé sur la surface virale virus médiatrices attachement, fusion, et l 'entrée dans la cellule-hôte. Pendant la maturation du virus, il est déchirée en deux sous-unités : S1, qui se lie aux récepteurs dans la cellule-hôte et S2, membrane relatives à ce la fusion.
Une espèce de MORBILLIVIRUS causant électricité dans les chiens, des loups, des renards, les ratons laveurs, et des furets. Pinnipeds sont aussi connues pour contrat Canine virus Distemper du contact avec les chiens.
Une espèce de MORBILLIVIRUS causant une sévère, souvent mortelle entérite et pneumonie (PESTE-DES-PETITS-RUMINANTS) chez les ovins et des chèvres.
Antigène de l ’ hépatite B au coeur de Dane particule, l'hépatite virion.
Une séquence de nucléotide successives triplets qui sont lues comme codons précisant AMINO ACIDS et commencer un déclencheur codon et fin avec un arrêt codon (codon, TERMINATOR).
Un élément métallique de numéro atomique 30 et poids atomique 65.38. C'est un élément trace nécessaire dans le régime, formant une partie essentielle de plusieurs enzymes, et jouer un rôle important dans la synthèse des protéines et dans la division cellulaire. Déficience en zinc est associé à anémie, petite taille, d ’ hypogonadisme hypogonadotrophique, troubles de blessure de guérison, et geophagia. Il est connu sous le symbole Zn.
Séquences courtes (généralement environ 10 paires de base) d'ADN qui sont complémentaires de séquences de l'ARN messager et permettre à inverser transcriptases commencer copier les séquences adjacent des mRNA. Primer sont très utilisée en génétique et la biologie moléculaire techniques.
Les maladies de rongeurs de l'ordre Rodentia. Ce mandat inclut les maladies de Sciuridae (,) (rongeurs écureuils Geomyidae Heteromyidae pouched), (souris), Castoridae (castor), Cricetidae (rats et souris), Muridae (Ancien Monde le rat et la souris), Erethizontidae (porcs-épics) et Caviidae (cobayes).
Recombinant GENETIC Ia traduction des protéines produites par les gènes de fusion sont formés par l'association de l'acide nucléique RÉGLEMENTATION un ou plusieurs des séquences de gènes avec la protéine séquences ADN de un ou plusieurs gènes.
Un syndrome caractérisée par des vagues de tard terme avortements, nombre élevé de mortinatalité et momifiée ou faible nouveau-né et respiratoires chez le porcelet, jeune unweaned et sevré cochons. Elle est provoquée par respiratoires porcines. (Syndrome du VIRUS ET REPRODUCTIVE Radostits et al., vétérinaire, 8e Ed, p1048)
Une zone montrant modifiée coloration comportement dans le noyau ou cytoplasme des cellules infectées par des virus, une inclusion corps représentent le virus usines "dans lequel un acide nucléique viral ou protéine est de la synthèse, d'autres artefacts sont simplement de fixation et coloration. Un exemple, des corps de Negri, sont présentés dans le cytoplasme des cellules nerveuses dans ou traite des animaux qui sont morts de la rage.
Anticorps produits par un seul clone de cellules.
Les précurseurs protéiques, également connus sous le nom de proprotéines ou prohormones, sont des molécules inactives qui subissent des processus de maturation post-traductionnelle, tels que la protéolyse, pour donner naissance à des protéines actives et fonctionnelles.
Le niveau de structure protéique dans lesquels les associations de structures (protéine secondaire hélice alpha, bêta draps, boucle régions, et motifs) ensemble pour former plié formes appelé domaines : Disulfures des ponts entre cysteines dans deux différentes parties de la chaine polypeptidique avec autres interactions entre les chaînes jouer un rôle dans la formation et stabilisation des protéines habituellement tertiaire. Petite structure consistent en un seul domaine, mais plus grande protéines peut contenir un certain nombre de domaines liés par les segments de chaine polypeptidique peu structure secondaire habituel.
Un genre de famille FILOVIRIDAE composée de plusieurs espèces distinctes de Ebolavirus, contenant chacune types distincts. Ces épidémies provoquées par un virus contagieux, de fièvre hémorragique (maladie hémorragique, Ebola) chez l ’ homme, d'habitude avec mortalité élevée.
Le type espèce du genre ARTERIVIRUS et l'agent etiologic d'une maladie respiratoire équine avortement, causant une pneumonie, ou autres infections.
Une espèce de ALPHAVIRUS isolé dans centrale, orientale et le sud de l'Afrique.
Extrachromosomal, généralement CIRCULAR des molécules d'ADN qui sont transférables autoréplication et d'un organisme à un autre. Ils sont présentés dans diverses Archéal bactériennes, fongiques, et des algues, espèces de plantes. Elles sont utilisées en ingénierie CLONING GENETIC comme des vecteurs.
Suppression de séquences d'acides nucléiques du matériel génétique d'un individu.
Une espèce de RESPIROVIRUS fréquemment isolées chez de jeunes enfants avec pharyngite, bronchite, et pneumonie.
Les modèles utilisés expérimentalement ou théoriquement étudier forme moléculaire, propriétés électroniques ou interactions ; inclut des molécules, généré par ordinateur des graphiques, des structures et mécaniques.
Le plus connu dans ce genre AVULAVIRUS paramyxovirus aviaire et la cause d'une hautement infectieux pneumoencephalitis en volaille. Il est également causer conjonctivite dans l ’ homme. Transmission est par aérosol inhalation ou par ingestion de l'eau contaminée ou la nourriture.
Le type espèces de lyssavirus causant la rage dans les humains et autres animaux. Transmission est surtout par morsures d'animaux par la salive. Le virus se multiplie dans neurotrope myotubes neurones et des vertébrés.
Une espèce de NAIROVIRUS de la famille BUNYAVIRIDAE. C'est principalement transmis par les tiques et provoque une sévère, souvent mortelle, chez les humains.
Réactions sérologique dans lequel un antidote contre un antigène réagit avec un antigène non-jumelle mais étroitement liées.
Le degré de similitude entre séquences d'acides aminés. Cette information est utile pour l'analyse de protéines parenté génétique et l'espèce.
Famille de virus avec deux INSECT (subfamilies : Eubaculovirinae occlus baculoviruses) et (nonoccluded Nudibaculovirinae baculoviruses). La Eubaculovirinae qui contiennent polyhedron-shaped inclusion corps, a deux types : NUCLEOPOLYHEDROVIRUS et GRANULOVIRUS. Système d ’ vecteurs sont utilisés pour l ’ expression des gènes étrangère en insectes.
Séquences réglementaires important à la réplication virale qui sont situés à chaque bout du génome du VIH. La LTR potentialiser inclut le VIH promoteur et d'autres séquences. Certaines régions du LTR inclure le négatif élément réglementaires (NRE), sous-unité Nf-Kappa B sites de liaison, SP1 sites de liaison, TATA BOX et trans-acting réactif élément (TARGET). La liaison des deux cellulaire ou protéines virales à ces régions régule transcription par le VIH.
Mutagenèse génétiquement modifiées dans un site spécifique la molécule d'ADN que introduit une base substitution, ou une ou l'effacement.
Phosphoprotéines sont des protéines qui ont été modifiées par la phosphorylation, un processus où un groupe phosphate est ajouté à certains acides aminés spécifiques (généralement la sérine, thréonine ou tyrosine), ce qui peut entraîner des changements dans la fonction, la localisation et l'interaction de ces protéines avec d'autres molécules dans la cellule.
Une sous-famille de MURIDAE été violemment et mondial composée d'environ 20 genera. Des campagnols et moutons, et les rats musqués sont membres.
Codée par un génome VIRAL protéines produites par les organismes qu'ils infectent, mais pas de sachets dans le milieu des gâteaux VIRUS. Certains de ces protéines peuvent jouer des rôles dans les cellules infectées pendant VIRUS REPLICATION ou agir de la régulation de la réplication virale ou VIRUS travaux de l'Assemblée.
Le transport des nue ou purifié par des ADN en général, c'est-à-dire le processus aussi elle survient dans les cellules eucaryotes. C'est analogue à ma douteuse transformation (bactérienne, infection bactérienne) et des deux est régulièrement employée dans GENE VIREMENT techniques.
Une espèce de ARENAVIRUS, une partie de l'Ancien Monde Arenavirus (ARENAVIRUSES, vieux monde etiologic) et l'agent de la fièvre de Lassa. Lassa VIRUS est un agent infectieux chez l'homme en Afrique de l'Ouest. Son hôte naturel est la souris multimammate Mastomys natalensis.
La caractéristique en 3 dimensions forme d'une protéine, dont les critères secondaires, tertiaires supersecondary (motifs), (domaine) et la chaîne peptidique quaternaire structure de la structure des protéines, quaternaire décrit la configuration assumée par multimeric protéines (agrégats de plus d'une chaîne de polypeptide).
La première cellule maligne continuellement cultivé humaine dérivée de la ligne, carcinome cervical d'Henrietta Lacks. Ces cellules sont utilisées pour la culture et Antitumor VIRUS contrôle anti-drogue dosages.
Un virus contagieux maladies infectieuses provoquées par MORBILLIVIRUS, fréquent chez les enfants mais également été observées dans les nonimmune de tous âges, dans lequel le virus pénètre dans les voies respiratoires via gouttelette noyaux et se multiplie dans les cellules épithéliales, gagne tout le système des phagocytes mononucléés.
Une famille de Crustacea, ordre DECAPODA penaeid, comprenant les crevettes. Espèce du genre Penaeus sont les crevettes le plus important dans le monde.
Des molécules d'ADN capable de réplication autonome et dans une cellule hôte dans lesquels d'autres séquences d'ADN peuvent être insérés et donc amplifié. Plusieurs proviennent de plasmides ; BACTERIOPHAGES ; ou aux virus. Ils sont utilisés pour transporter des gènes dans les cellules étrangères destinataire, la génétique vecteurs posséder un réplicateur fonctionnelle site et contiennent GENETIC MARKERS sélectif pour faciliter leur reconnaissance.
Les virus qui manque un génome complet, elle ne pourra pas complètement reproduire ou ne peuvent former une couche de protéine. Certains sont host-dependent déséquilibré, sens peuvent se répliquées seulement dans les systèmes cellulaires de la fonction génétique qui fournissent les particulier qui leur manque, d'autres, appelé virus bâti, sont capables de reproduire seulement quand leur défaut génétique est complétée par un assistant virus.
Protéines qui se lient à d ’ ARN molécules. Sont inclus ici et d'autres protéines Nucléaires Hétérogènes dont la fonction est de lier spécifiquement à ARN.
Un groupe de virus dans le genre de maladies respiratoires PNEUMOVIRUS des infections dans diverses mammifères, les humains et les bovins sont plus touchés mais les infections en chèvres et moutons ont également été rapportés.
La mesure des titre infection-blocking antisera par une série de tests effectuées les dilutions virus-antiserum critère d ’ interaction, ce qui est généralement la dilution auquel porteuses de cultures de tissu serum-virus mélangées démontrer la cytopathologie (CPE) ou la dilution à laquelle 50 % d'animaux injecté serum-virus mélangées spectacle infectivity (ID50) ou mourir (DL50).
Une enzyme qui synthétise l'ADN sur l'ARN modèle. C'est codée par la pol Gene de rétrovirus et par certains éléments retrovirus-like. CE 2.7.7.49.
Une enzyme qui catalyse RNA-template-directed 3 'extension de la fin de l'ARN - brin par un nucléotide à la fois, et pouvons lancer une chaîne de novo. (Enzyme nomenclature, 1992, p293)
Composés protein-carbohydrate conjugué mucoïde Mucines, y compris et amyloïde glycoprotéines.
La relation entre la structure chimique d'un composé biologique ou et son activité pharmacologique. Composés sont souvent considérés ensemble parce qu'ils ont en commun caractéristiques structurelles incluant forme, taille, stereochemical arrangement, et la distribution des groupes fonctionnels.
L'arrangement de deux ou plusieurs séquences venant de base acide aminé ou un organisme ou organismes de manière à aligner zones séquences partager propriétés communes. Le degré de parenté entre les séquences ou homologie est prédite statistiquement impossible par ou sur la base de pondérations attribuées aux éléments alignés entre les séquences. Cette évolution peut constituer un indicateur potentiel de la parenté génétique entre les organismes.
Séparation de particules selon un gradient de densité en recourant à diverses densités. Équilibre chaque particule s'installe dans la pente à un point égale à sa densité. (Dictionnaire de McGraw-Hill Terms scientifique et technique, 4e éditeur)
Processus de pousser les virus des animaux vivants, les plantes ou culture cellulaire.
La propriété des anticorps qui leur permet de réagir avec certains LES DÉTERMINANTS antigénique et pas avec les autres. La précision est dépendant de composition chimique, force physique et structure moléculaire au site de liaison.
Pour la synthèse de moules Macromolecular macromolecules complémentaires, comme dans l'ADN REPLICATION ; GENETIC la transcription d'ADN et ARN GENETIC anglaise d'ARN dans polypeptides.
Techniques de détection développée sur levure pour identifier les gènes codant pour interagir protéines. Variations sont utilisés pour évaluer l'interaction entre les protéines et d'autres molécules. Two-hybrid techniques se réfèrent à une analyse pour protein-protein interactions, one-hybrid pour DNA-protein interactions, three-hybrid interactions pour RNA-protein interaction ou ligand-based interactions. Inverser n-hybrid techniques se réfèrent à une analyse concernant les mutations ou d'autres petites molécules dissociant d ’ interactions connues.
Aucun de certains animaux qui constituent la famille Suidae et inclut stout-bodied mammifères omnivores, petite, avec la peau épaisse, habituellement couvert de poils épais, un très long museau mobile, et petite queue. Le général Babyrousa, Phacochoerus (les cloportes) et Sus, celui-ci contenant le cochon domestique (voir SUS Scrofa).
C'est un un antimétabolite isomère (de l ’ adénine 6-aminopurine).
La partie d'une cellule qui contient le cytoplasme et petits éléments circulant à l 'exclusion de la cellule noyau ; mitochondries ; et grand vacuoles. (Glick, Glossaire de biochimie et biologie moléculaire, 1990)
Rupture de la structure secondaire d'acides nucléiques par la chaleur, pH extrêmes ou traitement chimique, ADN double brin est "fondu" par dissociation de la non-covalent liaisons hydrogène et interactions hydrophobe. Dénaturé ADN semble être un monobrin structure souple. Les effets de l'ARN sont similaires sur une dénaturation quoique moins prononcées et largement réversible.
Le type espèces de PNEUMOVIRUS et une grande cause de maladie respiratoire plus faible chez les nourrissons et jeunes enfants. Fréquente cadeaux avec bronchite bronchopneumonie et est ensuite et caractérisée par une fièvre, toux, dyspnée, respiration sifflante et pâleur.
Une maladie marquée par plusieurs cas de l ’ augmentation de la résorption osseuse excessive suivie de tentatives de réparation, entraînant une faiblesse, difforme os de masse. La surcharge architecture de l'os suppose une mosaïque schéma dans lequel les fibres prendre petit bonheur la chance au lieu de symétrie parallèle.
Séquence d'ARN qui servent de modèles pour la synthèse des protéines. Bactérienne sont généralement mRNAs transcriptions en primaire qu'elles ne nécessitent aucun traitement. Eucaryotes Post-Transcriptional mRNA est synthétisés dans le noyau et doit être transplantée dans le cytoplasme pour traduction. La plupart eucaryotes polyadenylic mRNAs ont une séquence de l'acide dans le 3 'fin, dénommés le Poly (A) queue. Le fonctionnement de cette queue n'est pas connu pour certains, mais cela pourrait jouer un rôle dans l'export de mature mRNA du noyau ainsi que pour aider stabiliser des mRNA molécules par retarding leur dégradation dans le cytoplasme.
Des complexes de protéines RNA-binding avec acides ribonucléique (ARN).
Une sévère, souvent mortelle, chez l'homme causée par le virus de la fièvre hémorragique Crimean-Congo, de fièvre hémorragique Crimean-Congo (virus).
Les évolutions du taux de produit chimique ou systèmes physiques.
La souris de lignée Balb/c est une souche inbred de souris laboureuses, largement utilisées dans la recherche biomédicale, caractérisée par un génotype et un phénotype uniformes, une susceptibilité accrue aux tumeurs et à certaines maladies infectieuses, et une réponse immunitaire distinctive aux stimuli antigéniques.
Groupe de alpharetroviruses (ALPHARETROVIRUS) qui produit sarcomata et les autres tumeurs chez les poulets et autres volaille et aussi chez les pigeons, des canards, des rats.
Membres de la classe de composés composé de AMINO ACIDS peptide sont unis par les liens entre les acides aminés à l'intérieur linéaire, ramifiés ou cyclique. OLIGOPEPTIDES sont composés de structures environ 2-12 acides aminés. Polypeptides se composent d ’ environ 13 ans ou plus acides aminés, protéines sont linéaires polypeptides qui sont normalement synthétisé sur les ribosomes.
La somme des poids de tous les atomes dans une molécule.
Production de nouvelles dispositions de l ’ ADN par différents mécanismes comme assortiment et la ségrégation, traversant fini ; GENE conversion ; GENETIC transformation ; GENETIC conjugaison ; GENETIC transduction ; ou mixte une infection virale.
Enzyme du virus de l'immunodéficience humaine qui est requis pour post-translational clivage du précurseur polyprotéique viral gag et gag-pol fonctionnelle virale dans des essais cliniques menés avec la protéase du VIH est une assemblée. Protéase Aspartic codée par les acides terminus de la pol Gene.
Libération d'un virus de la cellule hôte travaux de l'Assemblée et à une maturation VIRUS suivants peuvent survenir par. Sortie lyse de la cellule hôte, exocytose en herbe, ou à travers la membrane plasmatique.
Microscopie dans lequel les échantillons sont premier taché immunocytochemically et a examiné en utilisant un microscope électronique. Immunoelectron au microscope est largement utilisé dans le diagnostic dans le cadre de la virologie HPV très sensible.
Electrophoresis dans lequel un Polyacrylamide gel est utilisé comme la diffusion médium.
Une supplémentation en acides aminés essentiels qui est nécessaire pour la production de l ’ histamine.
Une seule chaîne de désoxyribonucléotides qui survient chez certaines bactéries et virus. Normalement, ça existe comme un cercle fermé de façon covalente.
Les relations de groupes d'organismes comme reflété par leur matériel génétique.
Chlorure de magnésium. Un composé inorganique composé d 'un et deux ions de chlorure de magnésium. Le composé est utilisées en médecine comme une source d'ions magnésium, qui sont essentielles pour de nombreuses activités cellulaires. Ceci a également été utilisé comme une vraie catharsis... et en alliage.
Virus dont le matériel génétique est l'ARN.
Une espèce de ALPHARETROVIRUS provoquant une anémie de volaille.
Glycoprotéine de Sendai, para-influenza, de la maladie de Newcastle, et les autres virus qui participe en liant le virus à des récepteurs, la protéine H.N. possède à la fois d ’ hémagglutinine et neuraminidase activité.
La biosynthèse de peptides et PROTEINS sur ribosomes, réalisé par coursier, via transfert ARN est accusé d'une charge virale ARN AMINO ACIDS proteinogenic standard.
Cellule LINES dérivé de la lignée cellulaire CV-1 par transformation avec une réplication origine défectueux SV40 virus mutant de type sauvage, codant pour l ’ antigène (antigènes, grand T polyomavirus transformant). Ils sont utilisés pour le clonage et transfection. (La lignée cellulaire CV-1 proviennent le rein d'un adulte mâle africain Singe Vert CERCOPITHECUS Aethiops) (.)
Un Ribonuclease ça exactement clive le fraction ARN d'ARN : Des hybrides d'ADN. Ça a été isolé par une large variété de facteurs D'organismes vivants et eucaryotes comme rétrovirus.
Une espèce de bêta-lactamases, Facultatively bactéries anaérobies, des bacilles (anaérobies à Gram-négatif) Facultatively tiges généralement trouvé dans la partie basse de l'intestin de les animaux à sang chaud. C'est habituellement nonpathogenic, mais certaines souches sont connues pour entraîner des infections pyogène. Pathogène DIARRHEA et souches (virotypes) sont classés par des mécanismes pathogène telles que Escherichia coli entérotoxinogène (toxines), etc.
Un plan pour créer des MUTATION génétique. Elle peut survenir spontanément, soit être stimulé par les mutagènes.
Examens diagnostiques impliquant immunoglobuline réactions.
La séquence au 5 'fin de l'ARN messager qui ne produit pas un code pour ribosome. Cette séquence contient le site de liaison et autres transcription et traduction réguler séquences.
Test antigène de tissus en utilisant une méthode directe des anticorps, conjuguée avec la teinture fluorescente, DIRECTS (technique d ’ anticorps) ou indirect mode, par la formation de antigen-antibody complexe qui est ensuite étiquetés fluorescein-conjugated anti-immunoglobulin anticorps (technique d ’ anticorps fluorescentes, INDIRECT). Le tissu est a examiné par microscopie à fluorescence.
Famille d'ARN virus qui infecte oiseaux et les mammifères et encode le enzyme Transcriptases inverses ! La famille contient sept genera : DELTARETROVIRUS ; LENTIVIRUS ; rétrovirus TYPE B, de mammifères ALPHARETROVIRUS GAMMARETROVIRUS ; ; ; rétrovirus TYPE D ; et SPUMAVIRUS. Une caractéristique essentielle du rétrovirus la synthèse de la biologie est une copie du génome ADN qui est intégré dans les ADN. Après l'intégration c'est parfois non exprimées mais maintenu dans un état latent (PROVIRUSES).

Les protéines Nucléocapside, également connues sous le nom de protéines N, sont des protéines structurelles importantes dans la composition de certains virus. Dans un virus, elles jouent un rôle crucial en se liant à l'acide nucléique (ARN ou ADN) pour former une structure protectrice appelée nucléocapside. Cette structure protège l'acide nucléique du virus des enzymes et des défenses de l'hôte qui tenteraient de dégrader ou de neutraliser l'acide nucléique.

Dans le contexte de la réplication virale, les protéines Nucléocapside sont également souvent responsables du packaging de l'acide nucléique du virus dans les particules virales nouvellement formées pendant le processus d'assemblage et de libération. Ces protéines peuvent également jouer un rôle dans la régulation de la réplication et de la transcription du génome viral, ainsi que dans l'inhibition de la réponse immunitaire de l'hôte.

Les protéines Nucléocapside sont souvent ciblées par les vaccins et les thérapies antivirales en raison de leur importance critique dans le cycle de vie du virus. Par exemple, dans le cas du SARS-CoV-2 (le virus responsable de la COVID-19), les protéines Nucléocapside sont souvent utilisées comme antigènes pour développer des tests sérologiques et des vaccins.

La nucléocapside est une structure composée d'un nucléoprotéine, qui consiste en une molécule d'ARN viral entourée d'une ou plusieurs protéines. Dans le contexte de la virologie, la nucléocapside se réfère spécifiquement à la structure protectrice qui entoure l'acide nucléique (ADN ou ARN) du virus. Cette structure est importante pour la réplication et la transcription du matériel génétique viral, ainsi que pour la protection de celui-ci contre les défenses de l'hôte. La nucléocapside est souvent une structure stable et résistante qui peut survivre à des conditions environnementales difficiles, ce qui facilite la transmission du virus d'un hôte à un autre.

Les protéines du core viral se réfèrent aux protéines structurelles internes qui forment le noyau ou la partie centrale d'un virus. Ces protéines jouent un rôle crucial dans la composition de la capside, qui est la couche protectrice entourant le matériel génétique du virus. Les protéines du core viral sont souvent responsables de la reconnaissance et de la liaison à des récepteurs spécifiques sur les cellules hôtes, facilitant ainsi l'entrée du virus dans ces cellules. Elles peuvent également être impliquées dans la réplication, l'assemblage et la libération du virus. Un exemple bien connu de protéines du core viral est celui des protéines capsides des virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui causent le sida.

Un capside est une structure protectrice constituée de protéines qui entoure le génome d'un virus. Il s'agit d'une couche extérieure rigide ou semi-rigide qui protège l'acide nucléique du virus contre les enzymes et autres agents dégradants présents dans l'environnement extracellulaire. Le capside est généralement constitué de plusieurs copies d'une ou quelques protéines différentes, qui s'assemblent pour former une structure géométrique symétrique.

Le capside joue un rôle important dans la reconnaissance et l'entrée du virus dans la cellule hôte. Il contient souvent des sites de liaison spécifiques aux récepteurs qui permettent au virus d'interagir avec les molécules situées à la surface de la cellule hôte, déclenchant ainsi le processus d'infection.

Le capside est l'une des deux principales structures constituant un virus, l'autre étant l'enveloppe virale, une membrane lipidique qui peut être présente chez certains virus et absente chez d'autres. Les virus dont le génome est entouré par un capside mais pas par une enveloppe sont appelés virus nus ou non enveloppés.

Le gène "gag" du virus d'immunodéficience humaine (VIH) code pour la production de protéines structurales importantes qui forment la matrice et le capside du virion. Ces protéines comprennent la p24, la p17 et la p7, entre autres. La protéine p24 est particulièrement importante car elle est largement utilisée comme marqueur de charge virale dans les tests de dépistage du VIH. Les produits du gène gag sont essentiels à l'assemblage et au bourgeonnement des nouveaux virions à partir des cellules infectées.

Le virus Hantaan, également connu sous le nom de virus de la fièvre hémorragique de Corée ou HFRS ( Hemorrhagic Fever with Renal Syndrome), est un type de virus à ARN appartenant à la famille des Bunyaviridae et au genre Hantavirus. Il est généralement transmis à l'homme par contact avec les excréments, l'urine ou la salive de rongeurs infectés, en particulier le rat de rizière asiatique (Rattus norvegicus).

Le virus Hantaan provoque une maladie grave caractérisée par une fièvre soudaine, des maux de tête intenses, des douleurs musculaires et articulaires, des nausées, des vomissements, des troubles rénaux aigus et, dans certains cas, une insuffisance rénale aiguë. Dans les formes sévères de la maladie, des hémorragies internes peuvent également survenir.

Le diagnostic du virus Hantaan repose sur la détection d'anticorps spécifiques dans le sang du patient ou sur l'isolement du virus à partir d'un échantillon de sang ou d'autres fluides corporels. Le traitement est principalement symptomatique et peut inclure des soins de soutien tels que la réhydratation, le contrôle de la pression artérielle et le traitement des complications rénales.

Il n'existe actuellement aucun vaccin disponible pour prévenir l'infection par le virus Hantaan. Les mesures préventives comprennent l'évitement du contact avec les rongeurs infectés, la réduction de leur population dans les zones résidentielles et professionnelles, ainsi que la prise de précautions lors de la manipulation de matériaux susceptibles d'être contaminés par le virus.

L'ARN viral (acide ribonucléique viral) est le matériel génétique présent dans les virus qui utilisent l'ARN comme matériel génétique, à la place de l'ADN. L'ARN viral peut être de simple brin ou double brin et peut avoir différentes structures en fonction du type de virus.

Les virus à ARN peuvent être classés en plusieurs groupes en fonction de leur structure et de leur cycle de réplication, notamment:

1. Les virus à ARN monocaténaire (ARNmc) positif : l'ARN viral peut servir directement de matrice pour la synthèse des protéines après avoir été traduit en acides aminés par les ribosomes de la cellule hôte.
2. Les virus à ARN monocaténaire (ARNmc) négatif : l'ARN viral ne peut pas être directement utilisé pour la synthèse des protéines et doit d'abord être transcrit en ARNmc positif par une ARN polymérase spécifique du virus.
3. Les virus à ARN bicaténaire (ARNbc) : ils possèdent deux brins complémentaires d'ARN qui peuvent être soit segmentés (comme dans le cas de la grippe) ou non segmentés.

Les virus à ARN sont responsables de nombreuses maladies humaines, animales et végétales importantes sur le plan épidémiologique et socio-économique, telles que la grippe, le rhume, l'hépatite C, la poliomyélite, la rougeole, la rubéole, la sida, etc.

Les produits gène gag sont des protéines régulatrices virales codées par le gène gag dans les rétrovirus, y compris le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Le gène gag code pour une polyprotéine qui est clivée en plusieurs protéines structurelles majeures du virion. Ces protéines comprennent la matrice (MA), le capside (CA) et la nucléocapside (NC).

La protéine de matrice forme une couche interne qui recouvre l'enveloppe virale et interagit avec les lipides membranaires. La protéine de capside est la principale composante du noyau viral et joue un rôle crucial dans l'assemblage et la libération du virus. Enfin, la nucléocapside se lie à l'ARN génomique viral et protège contre les enzymes nucléases qui dégradent l'ARN.

Les protéines gag sont essentielles pour le cycle de réplication du rétrovirus et constituent donc des cibles importantes pour le développement de médicaments antirétroviraux.

Le Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS) est une maladie causée par un coronavirus, appelé le virus du SRAS (SARS-CoV). Ce virus se transmet principalement par les gouttelettes respiratoires produites lors de la toux ou des éternuements d'une personne infectée. Il peut également se propager en touchant une surface contaminée puis en se touchant le visage.

Les symptômes du SRAS peuvent inclure de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, une fatigue extrême, et une toux sèche qui peut progresser vers une pneumonie sévère avec difficultés respiratoires. Dans les cas graves, le SRAS peut causer des complications telles que l'insuffisance rénale aiguë et même entraîner la mort.

Le virus du SRAS a émergé pour la première fois en 2002 en Chine et a causé une épidémie mondiale avec plus de 8000 cas confirmés et près de 800 décès dans plusieurs pays. Depuis lors, il n'y a pas eu de nouvelles épidémies connues de cette maladie. Cependant, la découverte de ce virus a souligné l'importance de la surveillance et de la recherche continues sur les nouveaux agents pathogènes émergents pour prévenir et contrôler les futures épidémies.

Les protéines virales sont des molécules protéiques essentielles à la structure et à la fonction des virus. Elles jouent un rôle crucial dans presque tous les aspects du cycle de vie d'un virus, y compris l'attachement et l'entrée dans une cellule hôte, la réplication du génome viral, l'assemblage de nouvelles particules virales et la libération de ces particules pour infecter d'autres cellules.

Les protéines virales peuvent être classées en plusieurs catégories fonctionnelles :

1. Protéines de capside : Ces protéines forment la structure protectrice qui entoure le matériel génétique du virus. Elles sont souvent organisées en une structure géométrique complexe et stable.

2. Protéines d'enveloppe : Certaines espèces de virus possèdent une membrane lipidique externe, ou enveloppe virale, qui est dérivée de la membrane cellulaire de l'hôte infecté. Les protéines virales intégrées dans cette enveloppe jouent un rôle important dans le processus d'infection, comme l'attachement aux récepteurs de la cellule hôte et la fusion avec la membrane cellulaire.

3. Protéines de matrice : Ces protéines se trouvent sous la membrane lipidique externe des virus enveloppés et sont responsables de l'organisation et de la stabilité de cette membrane. Elles peuvent également participer à d'autres étapes du cycle viral, comme la réplication et l'assemblage.

4. Protéines non structurées : Ces protéines n'ont pas de rôle direct dans la structure du virus mais sont importantes pour les fonctions régulatrices et enzymatiques pendant le cycle de vie du virus. Par exemple, certaines protéines virales peuvent agir comme des polymerases, des protéases ou des ligases, catalysant des réactions chimiques essentielles à la réplication et à l'assemblage du génome viral.

5. Protéines d'évasion immunitaire : Certains virus produisent des protéines qui aident à échapper aux défenses de l'hôte, comme les interférons, qui sont des molécules clés du système immunitaire inné. Ces protéines peuvent inhiber la production ou l'activation des interférons, permettant au virus de se répliquer plus efficacement et d'éviter la détection par le système immunitaire.

En résumé, les protéines virales jouent un rôle crucial dans tous les aspects du cycle de vie des virus, y compris l'attachement aux cellules hôtes, la pénétration dans ces cellules, la réplication et l'assemblage du génome viral, et l'évasion des défenses immunitaires de l'hôte. Comprendre la structure et la fonction de ces protéines est essentiel pour développer des stratégies thérapeutiques et préventives contre les maladies infectieuses causées par les virus.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

Les protéines « doigts de zinc » sont un type de domaine structurel protéique qui se lie sélectivement au zinc et participe à divers processus cellulaires, tels que la transcription génétique, la réplication de l'ADN, la réparation de l'ADN et l'apoptose. Ces domaines sont appelés « doigts de zinc » en raison de leur structure caractéristique qui ressemble à un doigt, formée par des boucles de chaînes polypeptidiques maintenues ensemble par un ion de zinc.

Il existe plusieurs types de doigts de zinc, chacun ayant une séquence d'acides aminés et une structure tridimensionnelle spécifiques qui déterminent leur fonction et leur spécificité de liaison au zinc. Les types les plus courants comprennent les doigts de zinc C2H2, les doigts de zinc Cys2/His2 (ou « zinc-fingers » en anglais), les doigts de zinc Cys4 et les doigts de zinc TFX.

Les protéines doigts de zinc sont largement distribuées dans la nature et jouent un rôle crucial dans de nombreux processus biologiques importants. Des anomalies dans la structure ou la fonction des protéines doigts de zinc peuvent entraîner diverses maladies, telles que les cancers, les maladies neurodégénératives et les troubles du développement.

Les protéines de capside sont des protéines structurales importantes dans la composition de la capside, qui est la couche protectrice externe de certains virus. La capside entoure le matériel génétique du virus et joue un rôle crucial dans la reconnaissance et l'attachement du virus à une cellule hôte, ainsi que dans la facilitation de l'infection de la cellule hôte. Les protéines de capside sont synthétisées à partir des informations génétiques contenues dans le matériel génétique du virus et s'assemblent pour former la structure complexe de la capside. Ces protéines peuvent être organisées en une variété de formes géométriques, y compris icosaédrique et hélicoïdale, selon le type de virus.

Un assemblage viral est le processus par lequel les composants individuels d'un virus, tels que l'ARN ou l'ADN viral, la capside protéique et, dans certains cas, une enveloppe lipidique, sont assemblés pour former un virion infectieux mature. Ce processus est médié par des interactions spécifiques entre les composants viraux et peut être régulé par des facteurs hôtes. L'assemblage a généralement lieu à l'intérieur d'une cellule hôte infectée, après que le génome viral se soit répliqué et que les protéines virales aient été synthétisées. Une fois l'assemblage terminé, les virions peuvent être libérés de la cellule hôte par bourgeonnement ou par lyse de la cellule.

Il est important de noter qu'il existe différentes stratégies d'assemblage pour différents types de virus. Par exemple, certains virus à ARN simple brin (+) peuvent utiliser une stratégie d'assemblage en une seule étape, dans laquelle le génome viral et les protéines structurales s'assemblent spontanément pour former un virion infectieux. D'autres virus, tels que les rétrovirus, nécessitent plusieurs étapes pour assembler leurs composants, y compris la reverse transcription du génome ARN en ADNc et l'intégration de l'ADNc dans le génome de l'hôte.

L'assemblage viral est un domaine de recherche actif en virologie, car une meilleure compréhension de ce processus peut fournir des cibles pour le développement de nouveaux médicaments antiviraux et de stratégies d'intervention.

Le virus Bunyamwera est un membre du genre Orthobunyavirus et de la famille Peribunyaviridae. Il s'agit d'un virus à ARN enveloppé qui possède un génome segmenté tripartite. Les trois segments d'ARN sont désignés sous le nom de grand, moyen et petit segments ARN. Le virus Bunyamwera est principalement transmis aux humains et aux animaux par les moustiques du genre Aedes et Culex. Il peut provoquer une maladie fébrile légère à modérée chez l'homme, accompagnée de symptômes pseudo-grippaux tels que fièvre, maux de tête, douleurs musculaires et fatigue. Le virus Bunyamwera est également connu pour infecter les bovins, causant une maladie appelée fièvre de la vallée du Rift. Cependant, il s'agit généralement d'une infection asymptomatique chez ces animaux.

Le virus a été initialement isolé en 1943 à Bunyamwera, en Ouganda, d'où il tire son nom. Depuis lors, il a été détecté dans de nombreuses régions du monde, notamment en Afrique, en Asie et en Europe. Le virus Bunyamwera est important dans la recherche médicale car il sert de modèle pour étudier les virus à ARN segmentés et leur évolution. De plus, une meilleure compréhension de ce virus peut contribuer au développement de contre-mesures médicales telles que des vaccins et des antiviraux pour lutter contre d'autres maladies virales émergentes.

Le Virus de l'Hépatite Murine (MHV) est un type de virus à ARN simple brin de la famille des Coronaviridae. Il est connu pour infecter principalement les souris et provoquer une hépatite chez ces dernières, d'où son nom. Le MHV se lie aux récepteurs de l'acide sialique situés à la surface des cellules hôtes et utilise ensuite la protéase cellulaire pour pénétrer dans la cellule. Une fois à l'intérieur, il détourne le mécanisme de traduction cellulaire pour produire ses propres protéines et assembler de nouvelles particules virales.

Le MHV est souvent utilisé comme modèle expérimental en virologie et immunologie car il partage des caractéristiques communes avec d'autres virus à ARN, tels que le SARS-CoV et le MERS-CoV, qui peuvent également infecter les humains et causer des maladies graves. Les études sur le MHV ont contribué à améliorer notre compréhension de la pathogenèse des virus à ARN, de l'immunité innée et adaptative, ainsi que du développement de contre-mesures médicales telles que les vaccins et les antiviraux.

Une séquence d'acides aminés est une liste ordonnée d'acides aminés qui forment une chaîne polypeptidique dans une protéine. Chaque protéine a sa propre séquence unique d'acides aminés, qui est déterminée par la séquence de nucléotides dans l'ADN qui code pour cette protéine. La séquence des acides aminés est cruciale pour la structure et la fonction d'une protéine. Les différences dans les séquences d'acides aminés peuvent entraîner des différences importantes dans les propriétés de deux protéines, telles que leur activité enzymatique, leur stabilité thermique ou leur interaction avec d'autres molécules. La détermination de la séquence d'acides aminés d'une protéine est une étape clé dans l'étude de sa structure et de sa fonction.

La fièvre hémorragique avec syndrome rénal (FHSR) est une maladie virale aiguë grave caractérisée par une fièvre élevée, des hémorragies cutanées et muqueuses, et souvent un syndrome rénal. Elle est causée par des virus à arénavirus de la famille des Hantavirus. Les symptômes comprennent la fatigue, les douleurs musculaires, les maux de tête sévères, la fièvre, les nausées, les vomissements et une éruption cutanée. Dans les cas graves, la maladie peut entraîner une insuffisance rénale aiguë, un choc, une défaillance multi-viscérale et la mort. Le diagnostic est généralement posé sur la base des symptômes et confirmé par des tests de laboratoire spécifiques. Le traitement consiste principalement en un soutien médical intensif pour maintenir les fonctions vitales, tandis que l'utilisation d'antiviraux peut être bénéfique dans certains cas. La prévention est axée sur la réduction de l'exposition aux rongeurs infectés et à leurs excréments, qui sont les principaux modes de transmission du virus.

Le génome viral se réfère à l'ensemble complet de gènes ou matériel génétique qu'un virus contient. Il peut être composé d'ADN (acide désoxyribonucléique) ou d'ARN (acide ribonucléique), et peut être soit à double brin, soit à simple brin. La taille du génome viral varie considérablement selon les différents types de virus, allant de quelques kilobases à plusieurs centaines de kilobases. Le génome viral contient toutes les informations nécessaires à la réplication et à la propagation du virus dans l'hôte infecté.

La transcription inverse est un processus biologique dans lequel l'information génétique contenue dans l'ARN est convertie en ADN. C'est essentiellement le processus inverse de la transcription, où l'ADN est utilisé comme modèle pour synthétiser de l'ARN. La transcription inverse est importante car elle permet aux virus à ARN, tels que le VIH, de s'intégrer dans le génome de l'hôte et de se répliquer. Ce processus est catalysé par une enzyme appelée reverse transcriptase, qui est produite par les rétrovirus. Dans un contexte médical, la compréhension de la transcription inverse est cruciale pour le développement de thérapies antivirales efficaces.

Le coronavirus humain OC43 est un type de virus de la famille des Coronaviridae qui peut causer des infections respiratoires supérieures et inférieures chez l'homme. Il s'agit d'un virus enveloppé à ARN simple brin, qui est l'une des sept souches connues de coronavirus humains. Les symptômes associés à une infection par le coronavirus OC43 peuvent inclure un rhume, une toux, un écoulement nasal, de la fièvre et un mal de gorge. Dans certains cas, il peut également provoquer des infections plus graves telles que la bronchite et la pneumonie, en particulier chez les personnes âgées, les jeunes enfants et les personnes dont le système immunitaire est affaibli. Le coronavirus OC43 est l'une des causes les plus courantes de rhumes hivernaux. Il est transmis d'une personne à une autre par contact étroit avec des gouttelettes respiratoires infectieuses, telles que celles qui se produisent lorsque quelqu'un tousse ou éternue. Actuellement, il n'existe pas de vaccin ni de traitement spécifique pour les infections à coronavirus OC43, et le traitement est généralement symptomatique.

La rougeole est une infection virale extrêmement contagieuse qui se propage principalement par les gouttelettes respiratoires lorsque les personnes infectées toussent ou éternuent. Le virus de la rougeole est un Morbillivirus, appartenant à la famille des Paramyxoviridae. Il se réplique dans le cytoplasme des cellules de l'hôte et a une période d'incubation d'environ 10 à 14 jours.

Les symptômes de la rougeole comprennent fièvre, éruption cutanée, toux, nez qui coule, yeux rouges et sensibles à la lumière (conjonctivite). L'éruption cutanée caractéristique commence généralement derrière les oreilles et sur le front avant de s'étendre au visage et au reste du corps. Les complications peuvent inclure des infections de l'oreille, une pneumonie et une encéphalite. Dans de rares cas, la rougeole peut entraîner la mort, en particulier chez les jeunes enfants et les personnes dont le système immunitaire est affaibli.

La rougeole est prévenue par la vaccination. Il s'agit généralement d'une combinaison de vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR). La vaccination est recommandée pour tous les enfants et peut également être recommandée pour certains adultes à risque.

La réplication virale est le processus par lequel un virus produit plusieurs copies de lui-même dans une cellule hôte. Cela se produit lorsqu'un virus infecte une cellule et utilise les mécanismes cellulaires pour créer de nouvelles particules virales, qui peuvent ensuite infecter d'autres cellules et continuer le cycle de réplication.

Le processus de réplication virale peut être divisé en plusieurs étapes :

1. Attachement et pénétration : Le virus s'attache à la surface de la cellule hôte et insère son matériel génétique dans la cellule.
2. Décapsidation : Le matériel génétique du virus est libéré dans le cytoplasme de la cellule hôte.
3. Réplication du génome viral : Selon le type de virus, son génome sera soit transcrit en ARNm, soit répliqué directement.
4. Traduction : Les ARNm produits sont traduits en protéines virales par les ribosomes de la cellule hôte.
5. Assemblage et libération : Les nouveaux génomes viraux et les protéines virales s'assemblent pour former de nouvelles particules virales, qui sont ensuite libérées de la cellule hôte pour infecter d'autres cellules.

La réplication virale est un processus complexe qui dépend fortement des mécanismes cellulaires de l'hôte. Les virus ont évolué pour exploiter ces mécanismes à leur avantage, ce qui rend difficile le développement de traitements efficaces contre les infections virales.

Une séquence nucléotidique est l'ordre spécifique et linéaire d'une série de nucléotides dans une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN. Chaque nucléotide se compose d'un sucre (désoxyribose dans le cas de l'ADN et ribose dans le cas de l'ARN), d'un groupe phosphate et d'une base azotée. Les bases azotées peuvent être adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et thymine (T) dans l'ADN, tandis que dans l'ARN, la thymine est remplacée par l'uracile (U).

La séquence nucléotidique d'une molécule d'ADN ou d'ARN contient des informations génétiques cruciales qui déterminent les caractéristiques et les fonctions de tous les organismes vivants. La décodage de ces séquences, appelée génomique, est essentiel pour comprendre la biologie moléculaire, la médecine et la recherche biologique en général.

Le VIH-1 (virus de l'immunodéficience humaine de type 1) est un rétrovirus qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) en infectant et en détruisant les cellules du système immunitaire, en particulier les lymphocytes T CD4+. Il se transmet principalement par contact avec des fluides corporels infectés, tels que le sang, le sperme, les sécrétions vaginales et le lait maternel.

Le VIH-1 est un virus enveloppé à ARN simple brin qui se réplique en utilisant une enzyme appelée transcriptase inverse pour convertir son génome d'ARN en ADN, qui peut ensuite s'intégrer dans l'ADN de la cellule hôte. Cela permet au virus de se répliquer avec la cellule hôte et de produire de nouveaux virions infectieux.

Le VIH-1 est classé en plusieurs groupes et sous-types, qui diffèrent par leur distribution géographique et leurs propriétés immunologiques. Le groupe M est le plus répandu et comprend la majorité des souches circulant dans le monde. Les sous-types du groupe M comprennent B, A, C, D, CRF01_AE, CRF02_AG et d'autres.

Le diagnostic du VIH-1 est généralement posé par détection d'anticorps contre le virus dans le sang ou par détection directe de l'ARN viral ou de l'ADN proviral dans les échantillons cliniques. Il n'existe actuellement aucun vaccin préventif contre le VIH-1, mais des médicaments antirétroviraux (ARV) peuvent être utilisés pour traiter et contrôler l'infection.

Le Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS) est une maladie respiratoire aigüe et grave causée par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV). Il se caractérise par l'apparition soudaine d'une fièvre supérieure à 38°C, accompagnée de symptômes respiratoires tels que la toux, la dyspnée (essoufflement) et des infiltrats pulmonaires observés sur une radiographie thoracique. Le SRAS peut évoluer vers une détresse respiratoire aigüe, nécessitant souvent une ventilation mécanique et une admission en soins intensifs. Il peut également entraîner des complications extrapulmonaires, telles que une insuffisance rénale aiguë, une défaillance multi-viscérale et la mort dans les cas graves. Le SRAS est transmissible d'homme à homme, principalement par les gouttelettes respiratoires produites lors de la toux ou des éternuements.

Un virion est la forme extérieure et complète d'un virus. Il se compose du matériel génétique du virus (ARN ou ADN) enfermé dans une coque de protéines appelée capside. Certains virus ont également une enveloppe lipidique externe qui est dérivée de l'hôte cellulaire infecté. Les virions sont la forme infectieuse des virus, capables de se lier et d'infecter les cellules hôtes pour assurer leur réplication.

La bronchite infectieuse virale est une inflammation des voies respiratoires inférieures, plus spécifiquement des bronches, causée par une infection virale. Les virus les plus couramment impliqués sont ceux de la grippe et du rhume. Cette infection entraîne une toux productive, une congestion thoracique, une respiration sifflante et parfois de la fièvre.

La bronchite virale est généralement autolimitée et disparaît d'elle-même en une à deux semaines. Le traitement vise principalement à soulager les symptômes avec des médicaments en vente libre tels que des analgésiques, des antipyrétiques et des expectorants. Il est également recommandé de se reposer et de maintenir une hydratation adéquate.

Il est important de noter que la bronchite bactérienne peut survenir comme complication d'une bronchite virale, en particulier chez les personnes atteintes de maladies sous-jacentes des voies respiratoires ou chez les fumeurs. Dans ces cas, des antibiotiques peuvent être prescrits pour traiter l'infection bactérienne sous-jacente.

Il est également recommandé de se faire vacciner contre la grippe chaque année pour réduire le risque de contracter la bronchite virale due au virus de la grippe. Une bonne hygiène des mains et des mesures d'évitement telles que se couvrir la bouche et le nez en toussant ou éternuant peuvent également aider à prévenir la propagation du virus.

L'ARN de transfert de lysine (tRNA-Lys) est un type spécifique d'acide ribonucléique (ARN) qui joue un rôle crucial dans la traduction du code génétique en protéines. Plus précisément, il s'agit d'un ARN de transfert (tRNA) qui transporte l'acide aminé lysine vers le site de fixation de l'ARN ribosomal pendant la synthèse des protéines.

Les tRNAs sont des molécules d'ARN non codantes qui se lient à des acides aminés spécifiques et les transportent vers le ribosome, où ils sont incorporés dans une chaîne polypeptidique en croissance pendant la traduction de l'ARN messager (ARNm) en protéines. Chaque tRNA possède une séquence d'anticodon à trois nucléotides qui s'apparie avec un codon spécifique sur l'ARNm, ce qui permet la bonne correspondance entre les acides aminés et les codons appropriés.

Le tRNA-Lys est responsable du transport de l'acide aminé lysine vers le site d'incorporation de l'ARN ribosomal pendant la synthèse des protéines. Il existe plusieurs isoformes de tRNA-Lys dans les cellules, chacune avec un anticodon différent qui s'apparie avec l'un des codons pour la lysine sur l'ARNm. Ces isoformes sont essentiels pour assurer une traduction précise et efficace du code génétique en protéines fonctionnelles.

Des mutations ou des altérations dans les gènes qui codent pour le tRNA-Lys peuvent entraîner des maladies génétiques graves, telles que la maladie mitochondriale de MELAS (mitochondrial encephalomyopathy, lactic acidosis, and stroke-like episodes) et la neuropathie sensorimotrice autosomique dominante 4 (HSMN4). Ces maladies sont caractérisées par une variété de symptômes neurologiques, tels que des crises d'épilepsie, des troubles cognitifs, des faiblesses musculaires et des problèmes sensoriels.

Les anticorps antiviraux sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à une infection virale. Ils sont spécifiquement conçus pour se lier à des parties spécifiques du virus, appelées antigènes, et les neutraliser, empêchant ainsi le virus de pénétrer dans les cellules saines et de se répliquer.

Les anticorps antiviraux peuvent être détectés dans le sang plusieurs jours après l'infection et sont souvent utilisés comme marqueurs pour diagnostiquer une infection virale. Ils peuvent également fournir une protection immunitaire à long terme contre une réinfection par le même virus, ce qui est important pour le développement de vaccins efficaces.

Certaines thérapies antivirales comprennent des anticorps monoclonaux, qui sont des anticorps artificiels créés en laboratoire pour imiter les anticorps naturels produits par l'organisme. Ces anticorps monoclonaux peuvent être utilisés comme traitement contre certaines infections virales graves, telles que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de l'hépatite C.

Les cellules Vero sont une lignée cellulaire continue dérivée d'épithélium kidney de singe africain (espèce *Chlorocebus sabaeus*). Elles sont largement utilisées dans la recherche biomédicale, y compris pour les études de virologie et la production de vaccins. Les cellules Vero sont permissives à un large éventail de virus, ce qui signifie qu'elles peuvent être infectées par et soutenir la réplication d'un grand nombre de types de virus.

En raison de leur stabilité et de leur capacité à se diviser indéfiniment en culture, les cellules Vero sont souvent utilisées dans la production de vaccins pour cultiver des virus atténués ou inactivés. Les vaccins contre la polio, la rougeole, les oreillons et la rubéole sont tous produits en utilisant des lignées cellulaires Vero.

Cependant, il est important de noter que comme les cellules Vero sont dérivées d'une espèce non humaine, il y a un risque théorique que des agents pathogènes spécifiques à l'espèce puissent se répliquer dans ces cellules et être transmis aux humains par inadvertance. Pour cette raison, les vaccins produits en utilisant des cellules Vero doivent subir des tests rigoureux pour démontrer qu'ils sont sûrs et efficaces avant d'être approuvés pour une utilisation chez l'homme.

Une lignée cellulaire est un groupe homogène de cellules dérivées d'un seul type de cellule d'origine, qui se divisent et se reproduisent de manière continue dans des conditions de culture en laboratoire. Ces cellules sont capables de maintenir certaines caractéristiques spécifiques à leur type cellulaire d'origine, telles que la forme, les fonctions et les marqueurs moléculaires, même après plusieurs générations.

Les lignées cellulaires sont largement utilisées dans la recherche biomédicale pour étudier divers processus cellulaires et moléculaires, tester de nouveaux médicaments, développer des thérapies et comprendre les mécanismes sous-jacents aux maladies humaines. Il est important de noter que certaines lignées cellulaires peuvent présenter des anomalies chromosomiques ou génétiques dues à leur manipulation en laboratoire, ce qui peut limiter leur utilisation dans certains contextes expérimentaux ou cliniques.

Arterivirus est un genre de virus à simple brin d'ARN appartenant à la famille des Arteriviridae et à l'ordre des Nidovirales. Ces virus infectent une variété d'hôtes, y compris les mammifères et les oiseaux. Les arterivirus sont responsables de diverses maladies chez les animaux, notamment la péritonite infectieuse porcine (PIP) chez les porcs, l'équin broncho-pneumonie virale (EBPV) chez les chevaux et la lactate déshydrogénase élevée syndrome (LDHS) chez les hamsters.

Les arterivirus ont une enveloppe virale et un génome d'environ 12 à 16 kilobases composé d'ARN linéaire non segmenté de polarité positive. Leur génome code pour plusieurs protéines structurales et non structurales, y compris une protéine de réplicase qui joue un rôle clé dans la réplication virale.

Les arterivirus se répliquent dans le cytoplasme des cellules hôtes et ont développé divers mécanismes pour échapper à la détection et à la réponse immunitaire de l'hôte. Ils sont transmis par contact direct entre les animaux infectés ou par des vecteurs mécaniques tels que les insectes.

Actuellement, il n'existe aucun traitement spécifique pour les infections à arterivirus chez les animaux, et la prévention repose sur des mesures de biosécurité strictes telles que l'isolement des animaux infectés, la désinfection des équipements et des surfaces contaminées, et la vaccination.

Bunyaviridae est une famille de virus à ARN monocaténaire appartenant à l'ordre des Bunyavirales. Ces virus sont généralement transmis par des arthropodes, tels que les tiques et les moustiques, et peuvent infecter une variété d'hôtes animaux et humains. Les membres de cette famille comprennent plusieurs genres qui causent des maladies graves chez l'homme, telles que la fièvre de Crimée-Congo, le virus de la fièvre du Nil occidental, le virus de Hantan et le virus Rift Valley. Les virus Bunyaviridae ont une enveloppe virale et un génome segmenté en trois parties : L (grande), M (moyenne) et S (petite). Chaque segment code pour une protéine structurelle et une protéine non structurelle. Ces virus présentent une grande diversité génétique et sont répartis dans le monde entier, principalement dans les zones tropicales et subtropicales.

L'ADN viral fait référence à l'acide désoxyribonucléique (ADN) qui est présent dans le génome des virus. Le génome d'un virus peut être composé d'ADN ou d'ARN (acide ribonucléique). Les virus à ADN ont leur matériel génétique sous forme d'ADN, soit en double brin (dsDNA), soit en simple brin (ssDNA).

Les virus à ADN peuvent infecter les cellules humaines et utiliser le mécanisme de réplication de la cellule hôte pour se multiplier. Certains virus à ADN peuvent s'intégrer dans le génome de la cellule hôte et devenir partie intégrante du matériel génétique de la cellule. Cela peut entraîner des changements permanents dans les cellules infectées et peut contribuer au développement de certaines maladies, telles que le cancer.

Il est important de noter que la présence d'ADN viral dans l'organisme ne signifie pas nécessairement qu'une personne est malade ou présentera des symptômes. Cependant, dans certains cas, l'ADN viral peut entraîner une infection active et provoquer des maladies.

La peste bovine est une maladie virale extrêmement contagieuse et grave qui affecte les bovidés, y compris les bovins, les buffles, les bisons et les antilopes. Elle est causée par le virus de la peste bovine (BPBV), un membre du genre Morbillivirus dans la famille Paramyxoviridae.

Le BPBV infecte les cellules du système respiratoire et multiplie rapidement, provoquant une forte réaction immunitaire qui peut entraîner des lésions pulmonaires sévères et une pneumonie mortelle. Les symptômes courants de la peste bovine comprennent la fièvre, une toux sèche et persistante, un écoulement nasal purulent, une perte d'appétit et une baisse de production de lait chez les vaches laitières. Les animaux infectés peuvent également présenter des signes de dépression, de diarrhée et de boiterie en raison d'une inflammation des articulations.

La maladie se propage rapidement dans les populations non vaccinées par contact direct avec des animaux infectés ou par inhalation de gouttelettes respiratoires contaminées. Elle peut également être transmise indirectement par le biais d'aliments et d'eau contaminés, ainsi que par l'intermédiaire de vêtements, d'équipements et de véhicules souillés.

La peste bovine est considérée comme une maladie éradiquée depuis 2011 grâce à des efforts de vaccination et de contrôle internationaux coordonnés. Cependant, il reste important de maintenir des mesures de biosécurité strictes pour prévenir toute réintroduction de la maladie dans les populations animales.

Le virus de la stomatite vésiculaire d'Indiana (VSIV) est une espèce de rhabdovirus qui cause une maladie virale appelée stomatite vésiculaire. Cette maladie affecte principalement les équidés (chevaux, ânes et mules), ainsi que les bovins, les porcs et parfois les humains. Chez les animaux, la maladie se manifeste par l'apparition de vésicules ou de petites lésions remplies de liquide sur la muqueuse de la bouche, des lèvres, du nez et des mamelles. Chez l'homme, l'infection peut provoquer des symptômes pseudo-grippaux tels que fièvre, maux de tête, douleurs musculaires et éruptions cutanées sur les muqueuses ou la peau exposée. Le VSIV est généralement transmis par contact direct avec des animaux infectés ou par des insectes vecteurs, tels que les mouches et les moustiques. Il est important de noter que bien que le VSIV puisse causer des maladies chez l'homme et les animaux, il n'est pas considéré comme un agent d'une zoonose importante.

'Cercopithecus Aethiops' est le nom latin de l'espèce pour le singe vert africain. Il appartient au genre Cercopithecus et à la famille des Cercopithecidae. Le singe vert africain est originaire d'Afrique subsaharienne et se trouve dans une grande variété d'habitats, y compris les forêts, les savanes et les zones humides.

Ces primates omnivores ont une longue queue qui peut être aussi longue que leur corps et sont connus pour leurs mouvements gracieux et agiles dans les arbres. Ils ont un pelage vert olive à brun avec des touffes de poils blanches ou jaunes sur le visage et les oreilles. Les singes verts africains vivent en groupes sociaux dirigés par un mâle dominant et se nourrissent d'une grande variété d'aliments, y compris les fruits, les feuilles, les insectes et les petits vertébrés.

Leur communication est complexe et comprend une variété de vocalisations, des expressions faciales et des gestes. Les singes verts africains sont également connus pour leur intelligence et ont été observés utilisant des outils dans la nature. Malheureusement, ces primates sont menacés par la perte d'habitat due à la déforestation et à l'expansion agricole, ainsi que par la chasse illégale pour la viande de brousse et le commerce des animaux de compagnie exotiques.

Le Myxovirus Parainfluenzae Type 1, également connu sous le nom de virus Paraínfluenzavirus humano tipo 1, est un agent pathogène respiratoire appartenant à la famille des Paramyxoviridae. Il est l'un des principaux agents étiologiques des maladies des voies respiratoires supérieures (MVRS) chez les enfants, telles que la bronchiolite, la laryngotrachéite et la pneumonie.

Le virus se transmet par contact direct avec des sécrétions respiratoires infectées ou par inhalation de gouttelettes en suspension dans l'air. Après une période d'incubation de 2 à 4 jours, les symptômes apparaissent et peuvent inclure fièvre, mal de gorge, toux, nez qui coule et écoulement nasal. Dans certains cas, une infection des voies respiratoires inférieures peut se produire, entraînant une bronchite ou une pneumonie.

Le diagnostic du Myxovirus Parainfluenzae Type 1 est généralement posé par détection de l'ARN viral dans des échantillons respiratoires à l'aide d'une technique de réaction en chaîne par polymérase (PCR). Il n'existe actuellement aucun traitement antiviral spécifique contre ce virus, et le traitement est principalement symptomatique. Les mesures préventives comprennent l'hygiène des mains régulière, l'évitement des contacts étroits avec les personnes malades et la vaccination contre d'autres agents pathogènes respiratoires.

Le syndrome dysgénésique et respiratoire porcin (SDRP) est une maladie virale très contagieuse qui affecte les porcs domestiques. Il est causé par le virus de la peste porcine, un membre de la famille des Arteriviridae. Le SDRP est responsable de graves pertes économiques dans l'industrie porcine en raison de ses effets dévastateurs sur la santé et la productivité des porcs.

Le virus du SDRP attaque le système immunitaire des porcs, les rendant vulnérables à d'autres infections. Les symptômes cliniques du SDRP peuvent varier considérablement, allant de manifestations respiratoires légères à graves, telles que la toux et la difficulté à respirer, à des problèmes réproductifs tels que des avortements spontanés, une diminution de la fertilité et une augmentation de la mortalité des porcelets.

Le virus du SDRP se transmet facilement entre les porcs par contact direct ou indirect avec des sécrétions respiratoires infectées, telles que la salive, les éternuements et les excréments. Il peut également être transmis par le biais de la semence des mâles infectés lors de l'insémination artificielle.

Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique contre le SDRP, bien que des vaccins soient disponibles pour réduire la gravité de la maladie et limiter sa propagation. Les mesures de biosécurité strictes, telles que la limitation des mouvements d'animaux et l'hygiène rigoureuse, sont essentielles pour prévenir et contrôler la propagation du virus du SDRP dans les troupeaux porcins.

Le virus Puumala, également connu sous le nom de Hantavirus Puumala (PUUV), est un type de hantavirus qui cause la fièvre hémorragique avec syndrome rénal (FHSR) ou néphropathie épidémique dans certaines régions d'Europe. Ce virus est typiquement transmis à l'homme par l'inhalation de particules en suspension dans l'air contaminées par les excréments, l'urine ou la salive de rongeurs infectés, principalement la souris sylvestre (Apodemus flavicollis).

Les symptômes de l'infection à virus Puumala peuvent inclure une fièvre soudaine, des maux de tête intenses, des douleurs musculaires et articulaires, des nausées, des vomissements, une fatigue sévère, une éruption cutanée et une altération de la fonction rénale. Dans certains cas, l'infection peut entraîner une insuffisance rénale aiguë nécessitant une dialyse. Il n'existe actuellement aucun traitement antiviral spécifique contre le virus Puumala, et le traitement est principalement axé sur les symptômes et le soutien de la fonction rénale.

La prévention des infections à virus Puumala implique généralement des mesures visant à réduire l'exposition aux rongeurs infectés et à leurs déchets, telles que le stockage approprié des aliments, la fermeture hermétique des conteneurs de stockage, la réparation des fissures et des trous dans les murs et les sols, et l'utilisation d'équipements de protection individuelle lors de l'accès à des zones susceptibles d'être contaminées par des rongeurs.

Un antigène viral est une substance présente à la surface ou à l'intérieur d'un virus qui peut être reconnue par le système immunitaire du corps comme étant étrangère. Lorsqu'un virus infecte un hôte, il libère ses antigènes, ce qui déclenche une réponse immunitaire de la part de l'organisme. Le système immunitaire produit des anticorps spécifiques qui se lient aux antigènes viraux pour aider à neutraliser et à éliminer le virus de l'organisme.

Les antigènes viraux peuvent être classés en deux catégories principales : les antigènes structuraux et les antigènes non structuraux. Les antigènes structuraux sont des protéines qui font partie de la structure externe ou interne du virus, telles que les protéines de capside ou d'enveloppe. Les antigènes non structuraux sont des protéines qui sont produites à l'intérieur de la cellule hôte infectée par le virus et qui jouent un rôle dans la réplication virale.

Les antigènes viraux sont souvent utilisés comme cibles pour les vaccins contre les infections virales. En exposant le système immunitaire à des antigènes viraux inactivés ou atténués, on peut induire une réponse immunitaire protectrice qui empêche l'infection future par le virus. Les tests de dépistage sérologique peuvent également détecter la présence d'anticorps spécifiques contre des antigènes viraux, ce qui peut indiquer une infection antérieure ou en cours par un virus donné.

Les nucléoprotéines sont des complexes composés de protéines et d'acides nucléiques (ADN ou ARN). Elles jouent un rôle crucial dans la régulation de divers processus cellulaires, tels que la réplication, la transcription et la traduction de l'information génétique. Les nucléoprotéines peuvent être classées en différentes catégories en fonction de leur composition et de leurs fonctions, notamment les histones, qui sont des protéines impliquées dans la structure de la chromatine, et les ribonucléoprotéines, qui contiennent de l'ARN. Les nucléoprotéines peuvent également être associées à des virus, où elles forment le noyau protéique de la capside virale et protègent l'acide nucléique du virus.

Les protéines virales structurelles sont des protéines qui jouent un rôle crucial dans la composition de la capside et de l'enveloppe du virus. Elles sont essentielles à la formation de la structure externe du virus et assurent sa protection, ainsi que la protection de son matériel génétique. Les protéines virales structurelles peuvent être classées en trois catégories principales : les protéines de capside, qui forment la coque protectrice autour du matériel génétique du virus ; les protéines d'enveloppe, qui constituent la membrane externe du virus et facilitent l'entrée et la sortie du virus des cellules hôtes ; et les protéines de matrice, qui se trouvent entre la capside et l'enveloppe et fournissent une structure supplémentaire au virus. Ensemble, ces protéines travaillent pour assurer la réplication et la propagation du virus dans l'organisme hôte.

Les Tospovirus sont des virus à ARN simple brin appartenant à la famille des Bunyaviridae. Ils ont une enveloppe virale et sont transmis par des thrips (insectes piqueurs-suceurs). Les tospovirus causent des maladies graves chez les plantes, entraînant souvent des pertes de rendement importantes dans l'agriculture. Le virus de la maladie du dépérissement de l'épidémie (TSWV) est le membre le plus connu et le plus répandu de ce genre. Les tospovirus infectent une large gamme de plantes hôtes, y compris les cultures maraîchères, les arbres fruitiers, les légumineuses, les céréales et les fleurs ornementales.

La conformation d'acide nucléique fait référence à la structure tridimensionnelle que prend une molécule d'acide nucléique, comme l'ADN ou l'ARN, en fonction de la manière dont ses sucres et ses bases sont liés les uns aux autres. La conformation la plus courante de l'ADN est la double hélice de B-DNA, dans laquelle deux brins antiparallèles d'acide nucléique s'enroulent l'un autour de l'autre en formant des paires de bases complémentaires. Cependant, l'ADN et l'ARN peuvent adopter une variété de conformations différentes, y compris l'A-DNA, le Z-DNA, l'ADN triplex et les structures d'ARN à boucle en puits. Ces différentes conformations peuvent influencer la fonction des acides nucléiques dans des processus tels que la réplication, la transcription et la traduction de l'ADN.

La recombinaison des protéines est un processus biologique au cours duquel des segments d'ADN sont échangés entre deux molécules différentes de ADN, généralement dans le génome d'un organisme. Ce processus est médié par certaines protéines spécifiques qui jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et l'échange de segments d'ADN compatibles.

Dans le contexte médical, la recombinaison des protéines est particulièrement importante dans le domaine de la thérapie génique. Les scientifiques peuvent exploiter ce processus pour introduire des gènes sains dans les cellules d'un patient atteint d'une maladie génétique, en utilisant des vecteurs viraux tels que les virus adéno-associés (AAV). Ces vecteurs sont modifiés de manière à inclure le gène thérapeutique souhaité ainsi que des protéines de recombinaison spécifiques qui favorisent l'intégration du gène dans le génome du patient.

Cependant, il est important de noter que la recombinaison des protéines peut également avoir des implications négatives en médecine, telles que la résistance aux médicaments. Par exemple, les bactéries peuvent utiliser des protéines de recombinaison pour échanger des gènes de résistance aux antibiotiques entre elles, ce qui complique le traitement des infections bactériennes.

En résumé, la recombinaison des protéines est un processus biologique important impliquant l'échange de segments d'ADN entre molécules différentes de ADN, médié par certaines protéines spécifiques. Ce processus peut être exploité à des fins thérapeutiques dans le domaine de la médecine, mais il peut également avoir des implications négatives telles que la résistance aux médicaments.

Orthobunyavirus est un genre de virus à ARN monocaténaire appartenant à la famille des Peribunyaviridae. Ces virus sont souvent transmis par les moustiques et peuvent causer une variété de maladies chez l'homme et les animaux. Les symptômes de ces maladies peuvent varier considérablement, allant d'une fièvre légère à des complications graves telles que l'encéphalite ou la méningo-encéphalite.

Les Orthobunyavirus sont enveloppés et ont un diamètre d'environ 100 nanomètres. Leur génome est segmenté en trois parties : petite (S), moyenne (M) et grande (L). La capside du virus contient des protéines de nucléocapside qui se lient à l'ARN viral, et une protéine d'enveloppe externe appelée glycoprotéine.

Les maladies causées par les Orthobunyavirus comprennent la fièvre du Nil occidental, la fièvre de Californie, la fièvre de La Crosse et l'encéphalite de Jamestown Canyon. Le contrôle des moustiques est une stratégie importante pour prévenir la transmission de ces virus à l'homme.

Il convient de noter que les informations sur les virus et les maladies peuvent changer à mesure que de nouvelles recherches sont publiées, il est donc important de consulter des sources fiables pour obtenir des informations à jour.

Phlebovirus est un genre de virus à ARN simple brin de la famille des Bunyaviridae. Ces virus sont transmis principalement par les arthropodes, tels que les tiques et les moustiques, et peuvent causer des maladies chez l'homme et les animaux. Les symptômes varient selon le type de Phlebovirus, mais peuvent inclure de la fièvre, des douleurs musculaires, des maux de tête, et une éruption cutanée. Certains types de Phlebovirus sont associés à des maladies graves, telles que la fièvre hémorragique de Crimée-Congo et le virus du Nil occidental. Les Phlebovirus sont généralement traités en soulageant les symptômes, car il n'existe pas de traitement antiviral spécifique pour ces infections.

Rhabdoviridae est une famille de virus à ARN monocaténaire à sens négatif qui infectent une large gamme d'hôtes, y compris les animaux, les plantes et les invertébrés. Les membres de cette famille comprennent des virus importants tels que le virus de la rage, le virus de la fièvre de la Vallée du Rift et le virus de la maladie de Newcastle.

Les virus de la famille Rhabdoviridae ont une forme caractéristique de bâtonnet ou de virion bacilliforme et sont souvent entourés d'une enveloppe lipidique. Le génome des rhabdovirus code pour cinq protéines structurales majeures: la nucléoprotéine (N), la phosphoprotéine (P), la matrice protéine (M), la glycoprotéine (G) et la polymérase ARN dépendante de l'ARN-L (L).

Les rhabdovirus se répliquent dans le cytoplasme des cellules hôtes et utilisent un mécanisme de transcription et de réplication complexe impliquant la formation d'inclusions nucléaires. Les virus de cette famille sont souvent transmis par des vecteurs tels que les moustiques, les tiques et les acariens, ainsi que par contact direct avec des fluides corporels infectés ou des animaux infectés.

Les maladies causées par les rhabdovirus peuvent varier considérablement en termes de gravité, allant d'infections asymptomatiques à des maladies graves et potentiellement mortelles. Les symptômes dépendent du type de virus et de l'hôte infecté. Par exemple, le virus de la rage peut causer une encéphalite grave chez les humains et les animaux, tandis que le virus de la maladie de Newcastle est souvent associé à des maladies respiratoires et neurologiques chez les oiseaux.

Le Marburgvirus est un agent pathogène à filaments non segmentés, appartenant au genre Marburgvirus dans la famille Filoviridae. Il est responsable d'une fièvre hémorragique virale grave et hautement infectieuse connue sous le nom de fièvre de Marburg. Le virus se transmet généralement à l'homme par contact direct avec les chauves-souris frugivores infectées ou par l'exposition à des fluides corporels ou des surfaces contaminées par le virus provenant d'une personne malade. Les symptômes de la fièvre de Marburg comprennent une fièvre élevée, des maux de tête intenses, des myalgies, des douleurs abdominales et articulaires, des vomissements sévères, une diarrhée sanglante, des éruptions cutanées et, dans certains cas, des hémorragies internes et externes. Le taux de létalité de la fièvre de Marburg varie généralement entre 24 % et 88 %, selon les souches du virus et le traitement reçu par les patients. Il n'existe actuellement aucun vaccin ou traitement antiviral spécifique contre cette maladie, et la prise en charge des patients repose principalement sur des mesures de soutien intensif pour maintenir les fonctions vitales et prévenir les complications.

L'ARN de transfert de proline (tRNAPro ou tRNA^Pro) est un type spécifique d'acide ribonucléique (ARN) qui joue un rôle crucial dans la traduction de l'ARN messager (ARNm) en une chaîne polypeptidique pendant la biosynthèse des protéines.

Pendant ce processus, l'ARNtPro se lie spécifiquement à l'acide aminé proline et le transporte vers le ribosome, où il est incorporé dans la chaîne polypeptidique en croissance selon les instructions codées dans l'ARNm.

L'ARNtPro, comme tous les autres ARN de transfert, possède une structure caractéristique en feuille de trèfle avec des extrémités 5' et 3', une boucle anticodon qui se lie à l'ARNm et une queue CCA à l'extrémité 3' qui se lie à l'aminoacyl-ARNt synthétase pour l'activation de l'acide aminé.

Il existe plusieurs isoformes d'ARNtPro dans un génome donné, chacune avec des séquences nucléotidiques légèrement différentes mais une fonction commune de transporter la proline vers le site de traduction.

La famille Coronaviridae comprend des virus à ARN simple brin enveloppés qui causent des maladies chez les humains et divers animaux. Ils sont nommés pour leur apparence sous un microscope électronique, où ils présentent une couronne distinctive de petites projections virales. Les coronavirus peuvent causer une gamme de maladies, allant du rhume banal à des infections plus graves telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le coronavirus le plus récemment identifié, SARS-CoV-2, est responsable de la pandémie actuelle de COVID-19. Les coronavirus se répliquent dans le cytoplasme des cellules hôtes et ont un génome d'environ 26 à 32 kilobases.

Arenaviridae est une famille de virus à ARN monocaténaire à enveloppe qui causent des maladies chez les humains et d'autres mammifères. Ils sont nommés d'après leur apparence caractéristique en microscopie électronique, qui ressemble à du sable (arena en espagnol). Les arenavirus ont un génome bipartite, composé de deux segments d'ARN différents, chacun codant pour plusieurs protéines.

Les arenavirus peuvent causer des maladies graves chez l'homme, notamment la fièvre hémorragique argentine, la fièvre hémorragique vénézuélienne, le lymphocytic choriomeningitis (LCM) et d'autres affections moins courantes. Les symptômes de ces maladies peuvent varier mais comprennent souvent de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires, des éruptions cutanées, des saignements internes et des lésions organiques. Certains arenavirus peuvent également provoquer des maladies neurologiques telles que l'encéphalite ou la méningite.

Les arenavirus se transmettent généralement par contact direct avec les excréments ou les sécrétions d'animaux infectés, tels que les rongeurs. Dans de rares cas, ils peuvent également être transmis par inhalation de particules virales en suspension dans l'air ou par transmission interhumaine, notamment par contact avec des liquides organiques contaminés par le virus.

Il n'existe actuellement aucun vaccin disponible contre la plupart des arenavirus, bien que des vaccins soient en cours de développement pour certaines souches. Le traitement des maladies à arenavirus repose généralement sur un soutien médical intensif et des mesures visant à prévenir les complications. Dans certains cas, des antiviraux peuvent être utilisés pour traiter l'infection.

Le Coronavirus bovin (BCoV) est un type de virus appartenant à la famille des Coronaviridae. Il est connu pour causer des maladies respiratoires et gastro-intestinales chez les bovins, y compris les vaches, les taureaux et les veaux. Les symptômes peuvent varier mais peuvent inclure la diarrhée, la toux, l'écoulement nasal, la fièvre et une diminution de l'appétit. Dans les cas graves, il peut entraîner une pneumonie et la mort, en particulier chez les jeunes animaux.

Le BCoV est généralement transmis par contact direct avec des matières fécales ou des sécrétions respiratoires infectées. Il peut également être transmis indirectement via l'environnement contaminé, comme l'eau et la nourriture. Les bovins infectés peuvent excréter le virus pendant plusieurs semaines, même s'ils ne présentent pas de symptômes évidents.

Il est important de noter que bien que le BCoV puisse causer des maladies graves chez les bovins, il ne représente généralement pas une menace pour la santé humaine. Cependant, comme avec tous les virus, il est important de prendre des précautions appropriées lors de la manipulation des animaux infectés et de maintenir une bonne hygiène pour prévenir la propagation de l'infection.

Morbillivirus est un genre de virus à ARN monocaténaire de la famille des Paramyxoviridae. Il comprend plusieurs virus qui causent des maladies graves chez les animaux et parfois aussi chez l'homme. Les membres les plus notables de ce genre comprennent le virus de la rougeole, qui cause la rougeole chez l'homme ; le virus de la morve, qui cause la morve chez les bovidés ; le virus de la peste des petits ruminants, qui cause la peste des petits ruminants chez les moutons et les chèvres ; et le virus du phoque de l'Atlantique, qui cause une maladie mortelle chez les phoques. Les morbillivirus se propagent généralement par contact direct entre les animaux infectés et ceux qui ne le sont pas, et ils peuvent entraîner des taux de mortalité élevés chez les populations d'animaux sensibles.

Paramyxoviridae est une famille de virus à ARN monocaténaire à sens négatif qui comprend un certain nombre de virus importants sur le plan médical, tels que les virus respiratoires syncytiaux (VRS), les virus de la grippe, les virus de la parotidite epidémique (oreillons) et le virus de la rougeole. Ces virus sont responsables d'une gamme de maladies allant du rhume banal à des maladies graves telles que la bronchiolite, la pneumonie, l'encéphalite et la méningite. Les membres de cette famille ont une structure enveloppée et présentent des projections glycoprotéiques sur leur surface qui sont importantes pour la fixation et l'entrée dans les cellules hôtes. La réplication du virus se produit dans le cytoplasme de la cellule hôte, et il est connu que certains membres de cette famille peuvent avoir des effets cytopathiques importants sur les cellules infectées.

Le virus Sindbis est un type d'arbovirus (virus transmis par les arthropodes) de la famille des Togaviridae et du genre Alphavirus. Il est nommé d'après le village de Sindbis en Finlande, où il a été initialement isolé en 1952. Ce virus est largement répandu dans les régions tropicales et tempérées d'Europe, d'Asie, d'Afrique et d'Australie.

Le virus Sindbis se transmet généralement à l'homme par la piqûre de moustiques infectés, en particulier les espèces du genre Culex. Après une période d'incubation de 5 à 14 jours, l'infection peut provoquer une maladie bénigne connue sous le nom de «fièvre de Pogosta» ou «syndrome Sindbis», qui se caractérise par des symptômes pseudo-grippaux tels que fièvre, maux de tête, douleurs musculaires et articulaires, éruptions cutanées et fatigue. Dans la plupart des cas, les personnes infectées ne présentent aucun symptôme ou ne ressentent qu'une légère maladie qui se résout spontanément en quelques jours à deux semaines.

Cependant, dans de rares cas, le virus Sindbis peut provoquer des complications telles que la méningite aseptique (inflammation des membranes protectrices du cerveau et de la moelle épinière) ou la myélite transverse (inflammation de la moelle épinière). Ces complications sont généralement auto-limitantes et n'entraînent pas de séquelles permanentes.

Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique ni vaccin disponible contre le virus Sindbis. Le traitement est principalement symptomatique et vise à soulager les symptômes désagréables tels que la fièvre, les douleurs musculaires et articulaires, et l'hydratation adéquate. La prévention des piqûres de moustiques, qui sont le vecteur du virus Sindbis, est essentielle pour réduire le risque d'infection.

Les protéines de l'enveloppe virale sont des protéines qui se trouvent sur la surface extérieure de certains virus. Elles font partie de la couche protectrice externe du virus, appelée enveloppe virale ou capside, qui entoure le matériel génétique du virus. Ces protéines peuvent jouer un rôle crucial dans l'infection des cellules hôtes, car elles interagissent avec les récepteurs de la membrane cellulaire pour faciliter l'entrée du virus dans la cellule.

Les protéines de l'enveloppe virale peuvent également être ciblées par le système immunitaire de l'hôte, ce qui peut entraîner une réponse immunitaire protectrice contre l'infection. Cependant, certains virus ont évolué des mécanismes pour éviter la reconnaissance et la neutralisation de leurs protéines d'enveloppe par le système immunitaire, ce qui peut rendre certaines infections virales difficiles à traiter ou à prévenir.

Il est important de noter que tous les virus ne possèdent pas une enveloppe virale et donc des protéines d'enveloppe. Les virus sans enveloppe sont appelés virus nus ou non enveloppés. Ces derniers ont généralement une capside protectrice rigide qui entoure leur matériel génétique, mais ils ne possèdent pas de membrane externe lipidique et des protéines d'enveloppe associées.

Le coronavirus humain 229E, également connu sous le nom de HCoV-229E, est un type de virus respiratoire qui cause des infections des voies respiratoires supérieures chez l'homme. Il s'agit d'un membre du genre Betacoronavirus et fait partie de la famille des Coronaviridae.

Les coronavirus sont des virus enveloppés à ARN simple brin, qui ont une apparence caractéristique sous un microscope électronique comme étant couronnés de petites projections en forme de pics. Le HCoV-229E est l'un des sept coronavirus humains connus et est responsable d'environ 15 à 30 % des rhumes communs.

Le HCoV-229E a été initialement isolé en 1966 à partir d'un échantillon de nasopharynx prélevé sur un patient atteint d'une maladie respiratoire bénigne. Depuis lors, il a été détecté dans le monde entier et est considéré comme un agent pathogène endémique chez l'homme.

Bien que la plupart des infections à HCoV-229E soient bénignes et se résolvent spontanément en une à deux semaines, ce virus peut également provoquer des maladies plus graves, telles que la bronchite et la pneumonie, chez certaines populations vulnérables, telles que les personnes âgées, les jeunes enfants et les personnes immunodéprimées.

Il est important de noter que le HCoV-229E est différent du SARS-CoV-2, qui est à l'origine de la pandémie de COVID-19. Bien que les deux virus appartiennent au même genre de Betacoronavirus, ils sont génétiquement et antigéniquement distincts et causent des maladies différentes.

Je suis désolé, mais il n'y a pas de définition médicale établie pour le terme « Virus Sin Nombre ». Il semble que ce soit un terme utilisé dans certains contextes pour se référer à un hantavirus non identifié ou à un syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) d'origine inconnue. Cependant, sans plus de contexte, il est difficile de fournir une définition précise.

Les hantavirus sont une famille de virus qui peuvent causer diverses maladies, y compris la fièvre hémorragique avec syndrome rénal et la maladie pulmonaire hantavirale (HPS). La plupart des gens contractent ces maladies en entrant en contact avec les excréments, l'urine ou la salive de rongeurs infectés.

Le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) est une maladie causée par un coronavirus. Il s'agit d'une infection pulmonaire grave qui peut être fatale. Le SRAS s'est manifesté pour la première fois en Asie du Sud-Est en 2002 et s'est rapidement propagé dans le monde entier, provoquant une épidémie mondiale avant d'être maîtrisé.

Si vous cherchez des informations sur un type spécifique de virus ou de maladie, pouvez-vous me fournir plus de détails ? Je serai heureux de vous aider si possible.

Le terme "Respirovirus" est un nom de genre utilisé en virologie pour décrire un groupe de virus à ARN simple brin à sens négatif qui peuvent causer des infections respiratoires chez l'homme et les animaux. Les Respirovirus appartiennent à la famille des Paramyxoviridae et comprennent trois espèces reconnues par l'ICTV (International Committee on Taxonomy of Viruses) : le virus de la parainfluenza humaine de type 1, le virus de la parainfluenza humaine de type 3 et le virus de Sendai.

Ces virus sont responsables d'une variété de maladies respiratoires, allant du rhume banal à des infections plus graves telles que la bronchiolite et la pneumonie, en particulier chez les jeunes enfants, les personnes âgées et les individus immunodéprimés. Les Respirovirus se transmettent généralement par contact direct avec des gouttelettes respiratoires infectieuses ou par contact indirect avec des surfaces contaminées.

Les Respirovirus possèdent une enveloppe virale externe et un génome d'environ 15 kilobases qui code pour six protéines structurales : la nucléoprotéine (N), la phosphoprotéine (P), la matrice (M), la fusion (F) et les glycoprotéines d'hémagglutination-neuraminidase (HN). Ces protéines jouent un rôle crucial dans l'assemblage, la budgétisation et l'entrée du virus dans les cellules hôtes.

Les vaccins et les antiviraux sont disponibles pour prévenir ou traiter certaines infections à Respirovirus, comme le vaccin contre la parainfluenza humaine de type 1 et le médicament antiviral rimantadine pour le virus de la grippe C (qui est un autre membre des Paramyxoviridae mais pas un Respirovirus). La recherche se poursuit pour développer de nouvelles stratégies thérapeutiques et préventives contre les infections à Respirovirus.

Les protéines virales matrice sont des protéines structurales essentielles à la réplication et à l'infectiosité de nombreux virus. Elles forment une couche structurelle située juste sous la membrane lipidique externe du virion, ou particule virale. Dans les virus enveloppés, les protéines matrice jouent un rôle crucial dans la médiation de l'assemblage et du bourgeonnement des virions à partir de la membrane cellulaire hôte. Elles peuvent également être impliquées dans la régulation de la fusion membranaire, nécessaire à l'entrée du virus dans les cellules hôtes. Les protéines matrice sont souvent organisées en une structure hexagonale ou pentagonale et peuvent interagir avec d'autres protéines virales ainsi qu'avec des composants de la membrane cellulaire.

ELISA est l'acronyme pour "Enzyme-Linked Immunosorbent Assay". Il s'agit d'un test immunologique quantitatif utilisé en médecine et en biologie moléculaire pour détecter et mesurer la présence d'une substance antigénique spécifique, telle qu'un anticorps ou une protéine, dans un échantillon de sang ou d'autres fluides corporels.

Le test ELISA fonctionne en liant l'antigène ciblé à une plaque de wells, qui est ensuite exposée à des anticorps marqués avec une enzyme spécifique. Si l'antigène ciblé est présent dans l'échantillon, les anticorps se lieront à l'antigène et formeront un complexe immun. Un substrat pour l'enzyme est ensuite ajouté, ce qui entraîne une réaction enzymatique qui produit un signal colorimétrique ou luminescent détectable.

L'intensité du signal est directement proportionnelle à la quantité d'antigène présente dans l'échantillon, ce qui permet de mesurer la concentration de l'antigène avec une grande précision et sensibilité. Les tests ELISA sont largement utilisés pour le diagnostic de diverses maladies infectieuses, y compris les infections virales telles que le VIH, l'hépatite B et C, et la syphilis, ainsi que pour la détection d'allergènes et de marqueurs tumoraux.

Les gènes viraux se réfèrent aux segments d'ADN ou d'ARN qui composent le génome des virus et codent pour les protéines virales essentielles à leur réplication, infection et propagation. Ces gènes peuvent inclure ceux responsables de la production de capside (protéines structurelles formant l'enveloppe du virus), des enzymes de réplication et de transcription, ainsi que des protéines régulatrices impliquées dans le contrôle du cycle de vie viral.

Dans certains cas, les gènes viraux peuvent également coder pour des facteurs de pathogénicité, tels que des protéines qui suppriment la réponse immunitaire de l'hôte ou favorisent la libération et la transmission du virus. L'étude des gènes viraux est cruciale pour comprendre les mécanismes d'infection et de pathogenèse des virus, ce qui permet le développement de stratégies thérapeutiques et préventives ciblées contre ces agents infectieux.

Les coronavirus sont une famille de virus qui peuvent provoquer des maladies allant d'un simple rhume à des affections plus graves telles qu'une pneumonie. Ils tirent leur nom du latin « corona », ce qui signifie « couronne » ou « halo », en raison de la forme caractéristique de ces virus vus au microscope électronique, qui possèdent des protubérances en forme de pétales donnant l'apparence d'une couronne.

Les coronavirus sont communs chez les animaux et peuvent infecter les humains. Les coronavirus humains se transmettent généralement d'une personne à l'autre par le biais de gouttelettes respiratoires, comme celles générées lorsqu'une personne tousse ou éternue. Il est également possible de contracter un coronavirus en touchant une surface contaminée par le virus et ensuite en se touchant la bouche, le nez ou les yeux avant de se laver les mains.

Les symptômes d'une infection à coronavirus peuvent inclure :
- Fièvre
- Toux
- Difficultés respiratoires
- Douleurs thoraciques

Dans certains cas, une infection à coronavirus peut entraîner une maladie plus grave, comme une pneumonie ou une insuffisance respiratoire aiguë, voire le décès. Les personnes les plus à risque de développer des formes graves d'infection à coronavirus sont les personnes âgées et celles souffrant de maladies chroniques telles que le diabète, l'asthme ou une maladie cardiovasculaire.

Il existe actuellement plusieurs types de coronavirus qui peuvent infecter les humains, dont certains ont été à l'origine d'épidémies importantes ces dernières années, comme le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) en 2003 et le Middle East Respiratory Syndrome (MERS) en 2012. En décembre 2019, un nouveau type de coronavirus, appelé SARS-CoV-2, est apparu en Chine et a été à l'origine d'une épidémie mondiale de pneumonie, appelée COVID-19.

La peste bovine est une maladie infectieuse contagieuse et grave causée par le bacille de la peste bovine (Mycobacterium bovis). Elle affecte principalement les bovins, mais peut également toucher d'autres espèces animales telles que les buffles, les moutons, les chèvres, les cerfs, les antilopes et même les humains dans de rares cas.

La maladie se transmet principalement par voie aérienne, lorsque les animaux inhalent des gouttelettes infectées émises par un animal malade lorsqu'il tousse ou éternue. La transmission peut également se faire par contact direct avec des tissus infectés, comme la consommation de lait non pasteurisé provenant d'une vache infectée.

Les symptômes de la peste bovine comprennent la fièvre, une perte d'appétit, une faiblesse générale, une toux sèche et persistante, des difficultés respiratoires, une diarrhée sévère et une perte de poids importante. Dans les cas graves, la maladie peut entraîner la mort en quelques semaines.

La peste bovine a été éradiquée dans la plupart des pays industrialisés grâce à des programmes de vaccination et d'abattage systématiques des animaux infectés. Cependant, elle reste un problème important dans certaines régions du monde, en particulier en Afrique et en Asie.

Sigmodontinae est une sous-famille de rongeurs de la famille des Cricetidae, qui comprend environ 300 espèces réparties dans plus de 70 genres. Ils sont également connus sous le nom de souris sigmodontines ou nouveaux mondes.

Les membres de Sigmodontinae se trouvent principalement en Amérique du Sud, avec quelques représentants en Amérique centrale et en Amérique du Nord. Ces rongeurs sont généralement petits à moyens, avec une longueur totale du corps allant de 5 à 30 cm et un poids allant de 10 grammes à plus d'un kilogramme.

Les caractéristiques distinctives de Sigmodontinae comprennent des crânes graciles, une arcade zygomatique étroite, des molaires hypsodontes (à couronne haute) avec des cuspides pointues et un sillon lingual profond.

Les espèces de Sigmodontinae occupent une grande variété d'habitats, y compris les forêts tropicales, les prairies, les déserts, les marécages et les zones humides. Ils sont généralement herbivores ou omnivores, se nourrissant de graines, de fruits, d'insectes et d'autres matières végétales.

Sigmodontinae est une sous-famille diversifiée qui comprend des rongeurs bien connus tels que les souris à poche (genre Phyllotis), les rats palmistes (genre Oryzomys) et les rats de poche (genre Thomomys). Certaines espèces sont importantes pour la recherche médicale en tant qu'organismes modèles, tandis que d'autres ont une importance économique en tant que ravageurs des cultures ou des réservoirs de maladies.

Il est important de noter que les membres de Sigmodontinae peuvent être porteurs de zoonoses, c'est-à-dire de maladies qui peuvent se transmettre entre les animaux et les humains. Par conséquent, il est essentiel de manipuler ces rongeurs avec soin et d'éviter tout contact direct avec eux ou leurs excréments pour minimiser le risque de transmission de maladies.

Un nucleopolyhedrovirus est un type de virus qui infecte principalement les insectes, appartenant à la famille des Baculoviridae. Ces virus sont caractérisés par leur génome double brin d'ADN et un enveloppe protéique protectrice appelée nucléocapside. Ils ont un cycle de réplication complexe qui implique la production de deux types de particules virales : les virions polyédriques (PP) et les virions occlusionnaires (PO). Les PP sont responsables de l'infection initiale et sont libérés lorsque le virus infecté insecte hôte se désintègre. Les PO contiennent plusieurs noyaux viraux et sont hautement résistants aux facteurs environnementaux, permettant ainsi la transmission du virus à d'autres insectes hôtes.

Les nucleopolyhedrovirus sont étudiés en raison de leur potentiel en tant qu'agents de contrôle biologique des ravageurs agricoles et forestiers. En effet, certains nucleopolyhedrovirus spécifiques à des espèces peuvent infecter et tuer des insectes nuisibles sans affecter les autres organismes non ciblés. Cependant, il est important de noter que l'utilisation de ces virus comme agents de contrôle biologique doit être évaluée avec soin pour éviter tout impact négatif sur l'environnement.

Le gène "gag" est un terme utilisé dans la virologie pour désigner un gène spécifique présent dans certains virus, y compris le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le sida. Ce gène code pour une protéine structurelle majeure du virus, appelée protéine Gag.

La protéine Gag est multifonctionnelle et joue un rôle crucial dans la réplication du virus. Elle est responsable de la formation de la capside virale, qui protège le matériel génétique du virus lorsqu'il quitte une cellule infectée pour en infecter une autre. La protéine Gag est également importante pour l'assemblage et le bourgeonnement des particules virales à partir de la membrane plasmique de la cellule hôte.

Le gène "gag" est donc un élément clé dans la compréhension de la réplication du virus du VIH et constitue une cible importante pour le développement de thérapies antirétrovirales visant à arrêter la propagation du virus.

Dans le contexte médical, un "site de fixation" fait référence à l'endroit spécifique où un organisme étranger, comme une bactérie ou un virus, s'attache et se multiplie dans le corps. Cela peut également faire référence au point d'ancrage d'une prothèse ou d'un dispositif médical à l'intérieur du corps.

Par exemple, dans le cas d'une infection, les bactéries peuvent se fixer sur un site spécifique dans le corps, comme la muqueuse des voies respiratoires ou le tractus gastro-intestinal, et s'y multiplier, entraînant une infection.

Dans le cas d'une prothèse articulaire, le site de fixation fait référence à l'endroit où la prothèse est attachée à l'os ou au tissu environnant pour assurer sa stabilité et sa fonction.

Il est important de noter que le site de fixation peut être un facteur critique dans le développement d'infections ou de complications liées aux dispositifs médicaux, car il peut fournir un point d'entrée pour les bactéries ou autres agents pathogènes.

La leucoencéphalite sclérosante subaiguë (LES) est une maladie rare et généralement progressive du système nerveux central qui implique une inflammation et une dégénération des gaines de myéline entourant les fibres nerveuses dans le cerveau blanc. La cause exacte de la LES est inconnue, mais elle est souvent associée à une infection virale préalable ou à une réaction auto-immune.

Les symptômes de la LES peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre et dépendent de la région du cerveau affectée. Les premiers symptômes peuvent inclure des maux de tête, une fatigue extrême, des changements de comportement ou de personnalité, des problèmes de coordination et d'équilibre, des difficultés de concentration et de mémoire, ainsi que des problèmes de vision.

La LES est généralement diagnostiquée en utilisant une combinaison de tests d'imagerie cérébrale, tels qu'une imagerie par résonance magnétique (IRM), et des analyses de liquide céphalo-rachidien pour détecter les marqueurs inflammatoires et infectieux.

Le traitement de la LES vise à gérer les symptômes et à ralentir la progression de la maladie. Les options de traitement peuvent inclure des corticostéroïdes pour réduire l'inflammation, des immunosuppresseurs pour supprimer le système immunitaire, ainsi que des médicaments antiviraux et antibiotiques pour traiter toute infection sous-jacente.

La LES peut être une maladie débilitante et dans certains cas, elle peut entraîner une invalidité permanente ou même la mort. Cependant, avec un diagnostic et un traitement précoces, il est possible de ralentir la progression de la maladie et d'améliorer la qualité de vie des patients atteints de LES.

Les Vesiculovirus sont un genre de virus à ARN monocaténaire de la famille des Rhabdoviridae. Ils sont l'une des sept familles de virus qui causent des maladies chez l'homme et les animaux, connues sous le nom de virus à arénavirus, filovirus, bunyavirus, nairovirus, phlebovirus, hantavirus et vesiculovirus.

Les Vesiculovirus sont des virus enveloppés qui ont une forme bacilliforme caractéristique avec des extrémités coniques pointues. Ils mesurent environ 170 à 200 nanomètres de long et 65 à 80 nanomètres de diamètre.

Les Vesiculovirus sont responsables d'une variété de maladies chez les animaux, notamment la fièvre de la vallée du Rift, la maladie de Gould, l'isolement de Chandipura et la stomatite vésiculaire. Chez l'homme, le virus de la stomatite vésiculaire est le seul Vesiculovirus connu pour causer une maladie, qui se manifeste par des lésions vésiculeuses douloureuses dans et autour de la bouche.

Les Vesiculovirus sont transmis aux humains et aux animaux par contact direct avec des sécrétions infectées ou des matériaux contaminés, tels que les aliments et l'eau. Ils peuvent également être transmis par les insectes vecteurs, tels que les moustiques et les mouches noires.

Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique contre les infections à Vesiculovirus. Le traitement est généralement symptomatique et vise à soulager les symptômes de la maladie. La prévention des infections à Vesiculovirus repose sur la mise en œuvre de mesures d'hygiène adéquates, telles que le lavage des mains régulier et l'évitement du contact avec des personnes ou des animaux malades.

La encéfalitis viral de California, también conocida como encefalitis por el virus de La Crosse (LACV), es una infección viral que afecta al sistema nervioso central, específicamente al cerebro. Es causada por el virus de La Crosse, un tipo de virus arbovirus que se transmite a los humanos a través de la picadura de mosquitos infectados, especialmente del género Aedes.

La enfermedad es llamada "California" porque fue identificada por primera vez en California en la década de 1970, aunque ahora se sabe que ocurre en gran parte del este de los Estados Unidos y en partes del Medio Oeste. Los síntomas de la encéfalitis viral de California suelen aparecer dentro de una semana después de la picadura del mosquito infectado y pueden incluir fiebre, dolor de cabeza, náuseas, vómitos, fatiga, rigidez en el cuello y fotofobia (sensibilidad a la luz). En casos más graves, la enfermedad puede causar convulsiones, coma e incluso la muerte.

El tratamiento de la encéfalitis viral de California generalmente se centra en el alivio de los síntomas y el control de las complicaciones. No existe un tratamiento específico para el virus en sí. La prevención es importante y puede incluir medidas como el uso de repelente de mosquitos, la eliminación de agua estancada alrededor de los hogares y la aplicación de insecticidas para controlar las poblaciones de mosquitos.

Arteriviridae est une famille de virus à ARN monocaténaire enveloppés qui infectent principalement les mammifères. Les membres de cette famille comprennent des virus tels que le virus de la diarrhée virale porcine (PDV), le virus de la pneumonie équine (ECoV), et le virus de l'immunodéficience simienne (SIV).

Les arterivirus ont un génome d'environ 12 à 16 kilobases et codent pour plusieurs protéines non structururales et structurales. Ils ont une réplication virale complexe qui implique la formation de structures membranaires distinctives dans le cytoplasme des cellules infectées.

Les arterivirus sont transmis par contact direct entre les animaux infectés et sains, ainsi que par des vecteurs mécaniques tels que les acariens ou les insectes. Les infections peuvent entraîner une gamme de maladies cliniques, allant de maladies respiratoires et gastro-intestinales légères à des maladies systémiques graves et mortelles.

Le contrôle des infections par les arterivirus repose sur la prévention, y compris l'isolement des animaux infectés, la biosécurité accrue et la vaccination. Cependant, il n'existe actuellement aucun vaccin disponible pour la plupart des infections à arterivirus chez les animaux.

Les vaccins antiviraux sont des préparations biologiques conçues pour induire une réponse immunitaire active spécifique contre les virus, offrant ainsi une protection contre l'infection ou atténuant la gravité de la maladie. Ils contiennent généralement des agents infectieux inactivés ou affaiblis qui ne peuvent pas causer la maladie mais sont toujours capables d'être reconnus par notre système immunitaire. Une fois exposé à ces agents via le vaccin, notre corps développe une mémoire immunologique, ce qui signifie qu'il peut rapidement et efficacement combattre l'infection réelle si nous y sommes ultérieurement exposés.

Les vaccins antiviraux jouent un rôle crucial dans la prévention de nombreuses maladies virales graves, telles que la varicelle, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite et l'influenza. De nouveaux vaccins antiviraux sont continuellement développés et mis au point pour faire face aux nouvelles menaces virales émergentes ou pour améliorer l'efficacité des vaccins existants.

Les acides nucléiques sont des biomolécules essentielles à la vie qui transportent et stockent l'information génétique dans les cellules. Il existe deux types d'acides nucléiques : l'ADN (acide désoxyribonucléique) et l'ARN (acide ribonucléique).

L'ADN est une molécule en double hélice composée de quatre nucleotides différents, qui sont des chaînes de sucre, de phosphate et d'une base azotée. Les bases azotées peuvent être adénine (A), guanine (G), cytosine (C) ou thymine (T). Dans l'ADN, l'adénine s'apparie toujours avec la thymine et la guanine avec la cytosine. Cette structure en double hélice est stable et permet la conservation et la réplication de l'information génétique.

L'ARN, quant à lui, est une molécule monocaténaire (simple brin) composée également de quatre nucleotides différents : adénine (A), guanine (G), cytosine (C) et uracile (U). Dans l'ARN, l'adénine s'apparie avec l'uracile. L'ARN joue un rôle clé dans la traduction de l'information génétique en protéines.

Les acides nucléiques sont donc des molécules indispensables à la transmission et à l'expression de l'information génétique, ce qui les rend fondamentales pour la biologie et la médecine.

La fièvre de la vallée du Rift (FVR) est une maladie virale zoonotique, ce qui signifie qu'elle peut être transmise des animaux aux humains. Elle est causée par le virus de la fièvre de la vallée du Rift (VFR), un membre de la famille des Bunyaviridae. Ce virus est généralement transmis à l'homme par contact avec des animaux infectés ou par la piqûre d'un moustique infecté.

Les symptômes de la FVR chez l'homme peuvent varier considérablement, allant d'une forme légère avec fièvre, maux de tête et douleurs musculaires à une forme grave caractérisée par une détérioration rapide de l'état général, des hémorragies internes et externes, une méningo-encéphalite et une insuffisance rénale aiguë. La forme sévère de la maladie est souvent fatale.

Chez les animaux, en particulier les ruminants (comme les moutons, les chèvres et les bovins), l'infection peut entraîner une mortalité élevée, une perte de production laitière et des avortements.

La FVR est endémique dans certaines régions d'Afrique et s'est propagée à certaines parties du Moyen-Orient. Il n'existe actuellement aucun vaccin approuvé pour une utilisation chez l'homme, bien que des vaccins soient disponibles pour protéger les animaux contre la maladie. La prévention et le contrôle de la FVR impliquent généralement des mesures visant à réduire l'exposition aux moustiques vecteurs et aux animaux infectés.

La transcription génétique est un processus biologique essentiel à la biologie cellulaire, impliqué dans la production d'une copie d'un brin d'ARN (acide ribonucléique) à partir d'un brin complémentaire d'ADN (acide désoxyribonucléique). Ce processus est catalysé par une enzyme appelée ARN polymérase, qui lit la séquence de nucléotides sur l'ADN et synthétise un brin complémentaire d'ARN en utilisant des nucléotides libres dans le cytoplasme.

L'ARN produit pendant ce processus est appelé ARN pré-messager (pré-mRNA), qui subit ensuite plusieurs étapes de traitement, y compris l'épissage des introns et la polyadénylation, pour former un ARN messager mature (mRNA). Ce mRNA sert ensuite de modèle pour la traduction en une protéine spécifique dans le processus de biosynthèse des protéines.

La transcription génétique est donc un processus crucial qui permet aux informations génétiques codées dans l'ADN de s'exprimer sous forme de protéines fonctionnelles, nécessaires au maintien de la structure et de la fonction cellulaires, ainsi qu'à la régulation des processus métaboliques et de développement.

L'ARN-transcriptase inverse (ARN-RT) du VIH est une enzyme essentielle au cycle de réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Cette enzyme permet au matériel génétique du VIH, qui est un ARN, de se transformer en ADN, ce qui lui permet de s'intégrer dans l'ADN de la cellule hôte et de produire de nouvelles particules virales.

L'ARN-RT du VIH est une cible privilégiée pour les médicaments antirétroviraux, qui sont utilisés pour traiter le SIDA. Ces médicaments inhibent l'activité de l'ARN-RT et empêchent ainsi la réplication du virus.

Il existe deux types d'inhibiteurs de transcriptase inverse (ITI) : les ITI nucléosidiques (NRTI) et les ITI non nucléosidiques (NNRTI). Les NRTI sont analogues nucléosidiques qui imitent les nucléotides naturels et se lient à l'ARN-RT, provoquant des mutations dans la chaîne d'ADN naissante. Cela empêche la poursuite de la synthèse d'ADN et donc la réplication du virus. Les NNRTI se lient directement au site actif de l'ARN-RT, ce qui inhibe son activité enzymatique et empêche également la réplication du virus.

En résumé, l'ARN-transcriptase inverse (ARN-RT) du VIH est une enzyme essentielle au cycle de réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Les inhibiteurs de transcriptase inverse (ITI) sont des médicaments antirétroviraux qui ciblent cette enzyme et empêchent la réplication du virus.

La gastro-entérite transmissible (Gastroenteritis Virus ou GEV en anglais) est un virus responsable d'une infection intestinale aiguë caractérisée par des vomissements et de la diarrhée. Ce virus appartient à la famille des Caliciviridae et se transmet principalement par voie féco-orale, c'est-à-dire par ingestion d'aliments ou d'eau contaminés par des matières fécales. Les norovirus sont un exemple de virus responsables de gastro-entérites transmissibles et sont souvent à l'origine d'épidémies dans des endroits fermés tels que les écoles, les hôpitaux et les maisons de retraite. La maladie est généralement bénigne mais peut entraîner une déshydratation sévère chez les nourrissons, les jeunes enfants et les personnes âgées en raison de la perte importante de liquides due aux vomissements et à la diarrhée.

Arenavirus, Nouveau Monde, également connu sous le nom d'arenavirus des Amériques, est un genre de virus à arène qui se rencontre principalement en Amérique du Sud et en Amérique centrale. Ces virus sont transmis aux humains par l'intermédiaire de rongeurs sauvages infectés, en particulier les souris et les rats. Les arenavirus du Nouveau Monde peuvent causer des maladies graves chez l'homme, telles que la fièvre hémorragique virale, qui se caractérise par une fièvre élevée, des douleurs musculaires, des maux de tête, des vomissements, des diarrhées, des éruptions cutanées et une défaillance d'organes multiples.

Les arenavirus du Nouveau Monde comprennent plusieurs souches différentes, chacune étant associée à un hôte animal spécifique. Les souches les plus connues sont le virus Junín (JUNV), qui est responsable de la fièvre hémorragique argentine ; le virus Machupo (MACV), qui cause la fièvre hémorragique bolivienne ; le virus Guanarito (GTOV), qui est à l'origine de la fièvre hémorragique vénézuélienne ; et le virus Sabiá (SABV), qui a été associé à des cas sporadiques de fièvre hémorragique au Brésil.

Il n'existe actuellement aucun traitement antiviral spécifique contre les arenavirus du Nouveau Monde, bien que des soins de soutien intensifs puissent améliorer les chances de survie des patients atteints de fièvre hémorragique virale. La prévention de l'infection repose sur la réduction de l'exposition aux rongeurs infectés et à leurs excréments, ainsi que sur la mise en œuvre de mesures d'hygiène appropriées, telles que le lavage des mains régulier et la cuisson adéquate des aliments.

La maladie de Lacrosse, également connue sous le nom de virus de la fièvre de La Crosse, est une infection virale transmise par les moustiques. Le virus est nommé d'après la ville de La Crosse dans le Wisconsin, où il a été identifié pour la première fois en 1963.

Le virus de la fièvre de La Crosse est un type d'alphavirus qui appartient à la famille des Togaviridae. Il est principalement transmis aux humains par les piqûres de moustiques du genre Aedes, en particulier Aedes triseriatus (connu sous le nom de moustique des bois ou moustique des chênes). Ces moustiques se nourrissent souvent d'insectes qui transportent le virus, tels que les tiques et les mouches.

Les symptômes de la maladie de La Crosse comprennent généralement une fièvre soudaine et élevée, des maux de tête sévères, des nausées, des vomissements et une fatigue extrême. Dans certains cas, les patients peuvent également développer des convulsions, une raideur de la nuque, une désorientation ou une paralysie temporaire. Les symptômes apparaissent généralement dans les 5 à 15 jours suivant l'infection et durent généralement entre 2 et 7 jours.

La plupart des personnes infectées par le virus de la fièvre de La Crosse se rétablissent complètement sans traitement spécifique. Cependant, dans certains cas graves, l'infection peut entraîner une inflammation du cerveau (encéphalite) ou une méningite, qui peuvent être mortelles ou entraîner des dommages permanents au cerveau.

Le virus de la fièvre de La Crosse est principalement présent dans les régions du centre et de l'est des États-Unis, en particulier dans les zones boisées et humides où vivent les moustiques qui propagent l'infection. Les mesures préventives comprennent l'utilisation de répulsifs contre les moustiques, le port de vêtements protecteurs et la suppression des sites de reproduction des moustiques autour des habitations. Il n'existe actuellement aucun vaccin disponible pour prévenir l'infection par le virus de la fièvre de La Crosse.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre question. Le terme "Virus Mason-Pfizer, Singe" ne correspond à aucune définition médicale établie ou reconnu. Il est possible que vous fassiez référence au virus de la vaccine (ou vaccinia), qui est un membre du genre Orthopoxvirus et qui peut infecter plusieurs espèces, y compris les singes et les humains. Cependant, il n'y a pas de relation avec la société Pfizer ou Mason dans le nom de ce virus. Si vous cherchez des informations sur un autre sujet, pouvez-vous svp préciser votre question ?

La dimérisation est un processus moléculaire où deux molécules identiques ou similaires se combinent pour former un dimère, qui est essentiellement une molécule composée de deux sous-unités. Ce processus joue un rôle crucial dans la régulation de diverses fonctions cellulaires et est également important dans le contexte de la pharmacologie et de la thérapie ciblée.

Dans le contexte médical, la dimérisation peut être particulièrement pertinente pour les protéines qui doivent se dimériser pour exercer leur fonction biologique appropriée. Dans certains cas, des médicaments peuvent être conçus pour interférer avec ce processus de dimérisation, soit en favorisant la formation d'un dimère inactif ou en empêchant la formation d'un dimère actif, ce qui entraîne une altération de l'activité de la protéine et peut conduire à un effet thérapeutique.

Cependant, il est important de noter que la dimérisation n'est pas exclusivement pertinente dans le contexte médical et qu'elle joue également un rôle crucial dans d'autres domaines scientifiques tels que la biochimie et la biophysique.

La fièvre hémorragique américaine (FHA) est un terme général utilisé pour décrire une variété de virus à transmission vectorielle qui peuvent provoquer des maladies graves chez l'homme, caractérisées par de la fièvre et des hémorragies. Les virus responsables de la FHA appartiennent à quatre familles différentes : Arenaviridae, Bunyaviridae, Filoviridae et Flaviviridae.

Les maladies les plus connues associées à la FHA comprennent la fièvre de la vallée du Rift (FVR), causée par un bunyavirus; la fièvre hémorragique argentine, bolivienne, brésilienne et vénézuélienne, qui sont toutes causées par des arenavirus; la dengue, causée par un flavivirus; et Ebola et Marburg, qui sont causées par des filovirus.

Les symptômes de la FHA peuvent varier selon le virus spécifique, mais ils comprennent généralement une fièvre soudaine, des maux de tête intenses, des douleurs musculaires et articulaires, et des éruptions cutanées. Dans les cas graves, la maladie peut entraîner une défaillance organique multiple et la mort.

La transmission de ces virus se produit généralement par contact avec des animaux infectés ou leurs excréments, ainsi que par les piqûres de moustiques ou de tiques infectés. Le traitement de la FHA est principalement symptomatique, car il n'existe pas de traitements spécifiques pour la plupart des virus responsables. La prévention repose sur la réduction de l'exposition aux vecteurs et aux animaux infectés, ainsi que sur la vaccination lorsqu'elle est disponible.

En génétique, une mutation est une modification permanente et héréditaire de la séquence nucléotidique d'un gène ou d'une région chromosomique. Elle peut entraîner des changements dans la structure et la fonction des protéines codées par ce gène, conduisant ainsi à une variété de phénotypes, allant de neutres (sans effet apparent) à délétères (causant des maladies génétiques). Les mutations peuvent être causées par des erreurs spontanées lors de la réplication de l'ADN, l'exposition à des agents mutagènes tels que les radiations ou certains produits chimiques, ou encore par des mécanismes de recombinaison génétique.

Il existe différents types de mutations, telles que les substitutions (remplacement d'un nucléotide par un autre), les délétions (suppression d'une ou plusieurs paires de bases) et les insertions (ajout d'une ou plusieurs paires de bases). Les conséquences des mutations sur la santé humaine peuvent être très variables, allant de maladies rares à des affections courantes telles que le cancer.

Le clonage moléculaire est une technique de laboratoire qui permet de créer plusieurs copies identiques d'un fragment d'ADN spécifique. Cette méthode implique l'utilisation de divers outils et processus moléculaires, tels que des enzymes de restriction, des ligases, des vecteurs d'ADN (comme des plasmides ou des phages) et des hôtes cellulaires appropriés.

Le fragment d'ADN à cloner est d'abord coupé de sa source originale en utilisant des enzymes de restriction, qui reconnaissent et coupent l'ADN à des séquences spécifiques. Le vecteur d'ADN est également coupé en utilisant les mêmes enzymes de restriction pour créer des extrémités compatibles avec le fragment d'ADN cible. Les deux sont ensuite mélangés dans une réaction de ligation, où une ligase (une enzyme qui joint les extrémités de l'ADN) est utilisée pour fusionner le fragment d'ADN et le vecteur ensemble.

Le produit final de cette réaction est un nouvel ADN hybride, composé du vecteur et du fragment d'ADN cloné. Ce nouvel ADN est ensuite introduit dans un hôte cellulaire approprié (comme une bactérie ou une levure), où il peut se répliquer et produire de nombreuses copies identiques du fragment d'ADN original.

Le clonage moléculaire est largement utilisé en recherche biologique pour étudier la fonction des gènes, produire des protéines recombinantes à grande échelle, et développer des tests diagnostiques et thérapeutiques.

Le Virus de la Leucémie Murine Moloney (MLV) est un rétrovirus qui cause des leucémies et d'autres maladies malignes chez les souris. Il a été découvert en 1950 par John J. Moloney et Norman W. Graff dans une souche de souris suisses albinos. Le MLV est un membre du genre Gammaretrovirus, qui comprend également le virus de la leucémie féline (FLV) et le virus de l'immunodéficience humaine (VIH).

Le génome du MLV se compose de deux molécules d'ARN simple brin encapsidées dans une capside protéique. Le génome code pour trois glycoprotéines structurales, qui forment l'enveloppe virale, et quatre protéines non structurales, qui sont associées à la réplication du virus.

L'infection par le MLV se produit lorsque le virus pénètre dans une cellule hôte et que son ARN génomique est reverse-transcrit en ADN double brin par l'enzyme reverse transcriptase. L'ADN viral s'intègre ensuite dans le génome de la cellule hôte, où il peut rester latent ou être exprimé pour produire de nouveaux virus.

L'infection par le MLV peut entraîner une gamme de maladies, en fonction du type de cellules infectées et de l'activité des gènes viraux. Les souris infectées peuvent développer des leucémies aiguës ou chroniques, ainsi que d'autres cancers tels que des lymphomes et des sarcomes. Le MLV peut également causer une immunodéficience en infectant les cellules du système immunitaire.

Le Virus de la Leucémie Murine Moloney est un modèle important pour étudier la biologie des rétrovirus et la pathogenèse des maladies virales. Il a également été utilisé dans le développement de thérapies géniques, car il peut être utilisé pour transporter des gènes thérapeutiques dans les cellules cibles.

Cricetinae est un terme utilisé en taxonomie pour désigner une sous-famille de rongeurs appartenant à la famille des Muridae. Cette sous-famille comprend les hamsters, qui sont de petits mammifères nocturnes avec des poches à joues extensibles utilisées pour le transport et le stockage de nourriture. Les hamsters sont souvent élevés comme animaux de compagnie en raison de leur taille relativement petite, de leur tempérament doux et de leurs besoins d'entretien relativement simples.

Les membres de la sous-famille Cricetinae se caractérisent par une série de traits anatomiques distincts, notamment des incisives supérieures qui sont orientées vers le bas et vers l'avant, ce qui leur permet de mâcher efficacement les aliments. Ils ont également un os hyoïde modifié qui soutient la musculature de la gorge et facilite la mastication et l'ingestion de nourriture sèche.

Les hamsters sont originaires d'Europe, d'Asie et du Moyen-Orient, où ils occupent une variété d'habitats, y compris les déserts, les prairies et les zones montagneuses. Ils sont principalement herbivores, se nourrissant d'une grande variété de graines, de fruits, de légumes et d'herbes, bien que certains puissent également manger des insectes ou d'autres petits animaux.

Dans l'ensemble, la sous-famille Cricetinae est un groupe diversifié de rongeurs qui sont largement étudiés pour leur comportement, leur écologie et leur physiologie. Leur utilisation comme animaux de laboratoire a également contribué à des avancées importantes dans les domaines de la recherche biomédicale et de la médecine humaine.

Un déterminant antigénique est une partie spécifique d'une molécule, généralement une protéine ou un polysaccharide, qui est reconnue et réagit avec des anticorps ou des lymphocytes T dans le système immunitaire. Ces déterminants sont également connus sous le nom d'épitopes. Ils peuvent être liés à la surface de cellules infectées par des virus ou des bactéries, ou ils peuvent faire partie de molécules toxiques ou étrangères libres dans l'organisme. Les déterminants antigéniques sont importants dans le développement de vaccins et de tests diagnostiques car ils permettent de cibler spécifiquement les réponses immunitaires contre des agents pathogènes ou des substances spécifiques.

Un arenavirus est un type de virus appartenant à la famille Arenaviridae. Ces virus ont une enveloppe virale et un génome à ARN bisegmenté. Ils sont souvent associés à des hôtes réservoirs, qui sont généralement des rongeurs, et peuvent être transmis à l'homme par contact avec les excréments de ces animaux ou par inhalation de poussières contaminées.

Les arenavirus peuvent causer une variété de maladies chez l'homme, allant de fièvres hémorragiques virales sévères à des symptômes moins graves tels que la fatigue, les maux de tête et les douleurs musculaires. Certains exemples bien connus d'arenavirus incluent le virus Lassa, qui est endémique en Afrique de l'Ouest, et le virus Junín, qui est responsable de la fièvre hémorragique argentine.

Il est important de noter que les arenavirus peuvent être très dangereux et même mortels pour l'homme, il est donc crucial de prendre des précautions appropriées lors de la manipulation de ces virus en laboratoire et de consulter un médecin si vous pensez avoir été exposé à un arenavirus.

Je suis désolé, mais "spodopteres" ne correspond pas à un terme médical spécifique. Il s'agit plutôt d'un nom de genre pour des espèces d'insectes lépidoptères, également connus sous le nom de « vers de la luzerne » ou « teignes des crucifères ». Ces insectes sont souvent considérés comme des ravageurs dans l'agriculture en raison de leur capacité à endommager divers types de cultures. Si vous cherchiez une information médicale, pouvez-vous s'il vous plaît me fournir plus de détails ou vérifier l'orthographe du terme ? Je suis là pour vous aider.

Le virus Junín est un agent pathogène qui cause la maladie connue sous le nom de fièvre hémorragique argentine. Il s'agit d'une infection virale aiguë grave et souvent mortelle, endémique dans certaines régions rurales du centre de l'Argentine. Le virus appartient à la famille des Arenaviridae et est transmis à l'homme par contact avec les excréments ou l'urine d'un réservoir animal naturel, qui est généralement une souris des champs (Calomys musculinus).

Les symptômes de la fièvre hémorragique argentine causée par le virus Junín peuvent inclure une fièvre soudaine, des maux de tête intenses, des douleurs musculaires et articulaires, des nausées, des vomissements, des éruptions cutanées, ainsi que des hémorragies internes et externes dans les cas graves. Le diagnostic repose généralement sur la détection du virus ou de ses antigènes dans le sang ou d'anticorps spécifiques dans le sérum.

Le traitement de la fièvre hémorragique argentine implique des soins de soutien intensifs, tels que la réhydratation et la gestion des complications hémorragiques. Un vaccin, appelé Candid#1, est disponible en Argentine pour prévenir l'infection par le virus Junín chez les personnes à haut risque, comme les travailleurs agricoles dans les zones endémiques. La ribavirine, un médicament antiviral, s'est également révélée efficace pour traiter cette infection lorsqu'elle est administrée tôt après l'apparition des symptômes.

Le virus Nipah est un virus zoonotique (c'est-à-dire qu'il se transmet des animaux aux humains) qui peut également se propager d'homme à homme. Il appartient au genre Henipavirus et à la famille Paramyxoviridae. Ce virus est originaire de fruits bats frugivores (Pteropus spp., aussi appelés roussettes).

Le virus Nipah est responsable d'infections graves chez l'homme et peut entraîner une encéphalite avec un taux de mortalité pouvant atteindre 75%. Les symptômes cliniques chez l'homme peuvent varier de la forme asymptomatique à la maladie sévère, avec fièvre, céphalées, vomissements et troubles neurologiques tels que la confusion, les convulsions et le coma.

La transmission du virus Nipah se produit principalement par l'ingestion de fruits contaminés par les excréments ou les sécrétions de chauves-souris infectées, ou par un contact étroit avec des porcs infectés ou leurs sécrétions (salive, urine, etc.). Les épidémies humaines peuvent également être associées à la consommation de sève de palmier date palme infectée par les chauves-souris.

Le virus Nipah peut se propager d'homme à homme par contact direct avec des liquides biologiques ou par aérosolisation des sécrétions respiratoires des patients infectés. Il n'existe actuellement pas de traitement antiviral spécifique contre le virus Nipah, et la prise en charge repose principalement sur les soins de soutien. Des vaccins sont à l'étude mais aucun n'est encore disponible pour une utilisation générale.

La prévention des infections à virus Nipah repose sur la réduction de l'exposition aux sources animales du virus, notamment en évitant la consommation de fruits crus ou mal lavés dans les zones où le virus circule, et en limitant le contact avec les porcs et les chauves-souris. La mise en œuvre de mesures d'hygiène strictes, telles que le port de masques et de gants de protection, est également recommandée pour les professionnels de santé soignant des patients infectés par le virus Nipah.

ARN (acide ribonucléique) est une molécule présente dans toutes les cellules vivantes et certains virus. Il s'agit d'un acide nucléique, tout comme l'ADN, mais il a une structure et une composition chimique différentes.

L'ARN se compose de chaînes de nucléotides qui contiennent un sucre pentose appelé ribose, ainsi que des bases azotées : adénine (A), uracile (U), cytosine (C) et guanine (G).

Il existe plusieurs types d'ARN, chacun ayant une fonction spécifique dans la cellule. Les principaux types sont :

* ARN messager (ARNm) : il s'agit d'une copie de l'ADN qui sort du noyau et se rend vers les ribosomes pour servir de matrice à la synthèse des protéines.
* ARN de transfert (ARNt) : ce sont de petites molécules qui transportent les acides aminés jusqu'aux ribosomes pendant la synthèse des protéines.
* ARN ribosomique (ARNr) : il s'agit d'une composante structurelle des ribosomes, où se déroule la synthèse des protéines.
* ARN interférent (ARNi) : ce sont de petites molécules qui régulent l'expression des gènes en inhibant la traduction de l'ARNm en protéines.

L'ARN joue un rôle crucial dans la transmission de l'information génétique et dans la régulation de l'expression des gènes, ce qui en fait une cible importante pour le développement de thérapies et de médicaments.

Le White Spot Syndrome Virus (WSSV) est un virus d'importance majeure dans le domaine de la pathologie des crustacés. Il est responsable d'une maladie mortelle et hautement contagieuse, affectant principalement les crevettes marines et d'eau douce. Le virus se caractérise par l'apparition de petites taches blanches sur la carapace des crustacés infectés, d'où il tire son nom.

Le WSSV est un membre de la famille des Baculoviridae et possède un génome à double brin d'ADN circulaire. Il est capable de se répliquer dans presque tous les types cellulaires des crustacés, ce qui entraîne une large gamme d'hôtes parmi ces animaux, y compris les crevettes pénéides, les écrevisses et les homards.

La transmission du virus se produit généralement par voie horizontale, via l'ingestion d'aliments contaminés ou de matières fécales infectées, mais aussi par voie verticale, de la mère à ses œufs ou larves. Les signes cliniques de l'infection comprennent une décoloration de la carapace, une perte d'appétit, une faiblesse, une nage désorientée et, finalement, la mort des crustacés infectés en quelques jours seulement après l'apparition des premiers symptômes.

Il n'existe actuellement aucun traitement ou vaccin efficace contre le WSSV, ce qui rend sa prévention et sa gestion particulièrement critiques dans les industries aquacoles pour éviter de graves pertes économiques. Les mesures de biosécurité telles que la limitation des mouvements d'animaux vivants, le nettoyage et la désinfection réguliers des équipements et des installations, ainsi qu'une surveillance étroite des populations de crustacés sont essentielles pour minimiser les risques de propagation de cette maladie dévastatrice.

Le Virus Respiratoire Syncytial Bovin (VRSB) est un membre de la famille des Pneumoviridae et du genre Orthopneumovirus, qui est étroitement lié au Virus Respiratoire Syncytial Humain (VRS). Il est connu pour causer des infections respiratoires chez les bovins, y compris les veaux et les génisses. Le VRSB est responsable de la diarrhée et de la maladie respiratoire bovine, qui peuvent entraîner une morbidité élevée et des taux de mortalité importants chez les jeunes animaux. Les symptômes cliniques comprennent la toux, l'écoulement nasal, la fièvre, la difficulté à respirer et la perte d'appétit. Le VRSB se transmet par contact direct avec des sécrétions respiratoires ou des fomites contaminées. Il est à noter que bien que le VRSB ne représente pas une menace pour la santé humaine, il peut être utilisé comme modèle expérimental pour étudier les infections à VRS chez l'homme.

La régulation de l'expression génique virale est un processus complexe et crucial dans le cycle de vie des virus. Il décrit la manière dont les virus contrôlent l

Un chaperon moléculaire est une protéine qui assiste et régule le pliage et l'assemblage corrects d'autres protéines dans les cellules vivantes. Ils aident à prévenir l'agrégation des protéines mal pliées et favorisent leur dégradation si un repliage correct ne peut être accompli. Les chaperons moléculaires jouent donc un rôle crucial dans la protection de l'intégrité du proteome cellulaire et dans la prévention des maladies liées à des protéines mal pliées, telles que les maladies neurodégénératives.

Les chaperons moléculaires sont souvent classés en fonction de leur taille et de leur structure. Les plus étudiés comprennent les chaperonnes de la famille des chocs thermiques (HSP), comme Hsp60, Hsp70 et Hsp90. Ces protéines sont hautement conservées dans divers organismes vivants, ce qui témoigne de leur importance fonctionnelle cruciale.

Les chaperons moléculaires peuvent se lier aux protéines clientes à différents stades du processus de pliage, depuis la traduction des ARNm jusqu'à l'assemblage et au transport des complexes multiprotéiques vers leurs destinations intracellulaires. Leur activité est généralement régulée par des changements dans les interactions protéine-protéine, la modification post-traductionnelle et l'énergie fournie par l'hydrolyse de l'ATP.

Dans l'ensemble, les chaperons moléculaires sont essentiels pour maintenir l'homéostasie protéique et prévenir le stress cellulaire associé aux protéines mal pliées. Leur dysfonctionnement a été lié à diverses affections pathologiques, notamment les maladies neurodégénératives, la fibrose kystique, le cancer et les infections virales.

La protéine de pointe (Spike) est une protéine structuralement importante qui se trouve sur la surface des coronavirus, y compris le SARS-CoV-2, qui cause la COVID-19. Elle a un rôle crucial dans l'infection des cellules hôtes. La protéine de pointe est composée de deux sous-unités, S1 et S2. La sous-unité S1 contient le domaine de liaison au récepteur qui se lie à l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 (ACE2) sur la membrane des cellules hôtes, tandis que la sous-unité S2 est responsable de la fusion de la membrane virale avec la membrane cellulaire.

La protéine de pointe est également appelée "glycoprotéine" car elle est recouverte de glucides (des sucres) qui aident à la protéger des attaques du système immunitaire et facilitent sa liaison aux récepteurs cellulaires. La structure complexe de cette protéine en fait une cible privilégiée pour le développement de vaccins et de thérapies contre les infections à coronavirus.

La maladie des vaches carrées, également connue sous le nom de maladie du virus de la vaccine ou simplement de "maladie du carré", est une maladie virale contagieuse courante chez les bovins domestiques et sauvages. Elle est causée par le virus de la vaccine, qui appartient à la famille des Poxviridae et au genre des Orthopoxvirus, le même genre que le virus variolique (variola) qui cause la variole chez l'homme.

La maladie des vaches carrées se caractérise par l'apparition de lésions cutanées et muqueuses typiques, telles que des pustules et des croûtes, sur le visage, les oreilles, la muqueuse nasale et buccale, ainsi que sur les mamelles et les parties génitales. Ces lésions peuvent être douloureuses et entraîner une perte de poids, une baisse de production laitière et, dans les cas graves, la mort des animaux infectés.

La maladie est généralement transmise par contact direct avec des animaux infectés ou par l'intermédiaire de vecteurs mécaniques tels que les mouches et les taons. Les bovins de tous âges peuvent être infectés, mais les jeunes animaux sont les plus susceptibles de développer une maladie grave.

Bien qu'il n'existe actuellement aucun traitement spécifique contre la maladie des vaches carrées, des vaccins efficaces sont disponibles pour prévenir l'infection et réduire la propagation de la maladie. Il est important de noter que le virus de la vaccine peut également infecter les humains, bien que cela soit extrêmement rare et généralement associé à une exposition professionnelle à des animaux infectés ou à des produits d'origine animale contaminés.

La peste des petits ruminants (PPR) est une maladie virale hautement contagieuse qui affecte principalement les petites ruminants tels que les moutons, les chèvres et parfois certaines espèces de cerfs et d'antilopes. Elle est causée par le virus Peste-des-petits-ruminants (PPRV), qui appartient à la famille des Paramyxoviridae et au genre Morbillivirus, ce qui signifie qu'il est apparenté au virus de la rougeole chez l'homme.

Le PPRV se propage principalement par contact direct entre les animaux infectés, via des sécrétions respiratoires ou des excréments. Les symptômes cliniques comprennent de la fièvre, une inflammation des muqueuses (conjonctivite, rhinite et stomatite), des signes respiratoires (toux, difficultés respiratoires), des diarrhées sévères et une baisse de production laitière. Dans les cas graves, le PPR peut entraîner des taux de mortalité élevés, en particulier chez les jeunes animaux.

Le diagnostic de la peste des petits ruminants repose généralement sur l'identification du virus ou de ses antigènes par des méthodes de laboratoire telles que la réaction en chaîne par polymérase (PCR) ou l'immunofluorescence. Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique pour cette maladie, et les efforts de contrôle reposent principalement sur la vaccination des animaux sensibles et la mise en œuvre de mesures de biosécurité strictes pour prévenir la propagation du virus.

La peste des petits ruminants est présente dans de nombreux pays d'Afrique, du Moyen-Orient et d'Asie. Elle représente une menace importante pour la santé animale et la sécurité alimentaire mondiale, en particulier dans les régions où l'élevage extensif est pratiqué et où les ressources vétérinaires sont limitées. L'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) a classé le PPR parmi les maladies prioritaires à éradiquer au niveau mondial d'ici 2030.

L'antigène HBc, ou antigène du core de l'hépatite B, est une protéine structurale produite par le virus de l'hépatite B (VHB) pendant son cycle de réplication. Il se compose de deux parties : le core pré-S2 et le core pré-S1. L'antigène HBc est un marqueur important de l'infection par le VHB, car il peut être détecté dans le sang pendant la phase aiguë de l'infection, avant que les anticorps ne soient produits.

L'antigène HBc existe sous deux formes : l'antigène HBc total (HBcAg) et l'antigène HBc soluble (HBcAb). L'antigène HBc total est la forme native de la protéine, qui se trouve à l'intérieur du virus. Il peut être détecté dans le sang pendant la phase aiguë de l'infection et disparaît généralement après la guérison ou la résolution de l'infection.

L'antigène HBc soluble, en revanche, est une forme modifiée de la protéine qui se trouve à l'extérieur du virus. Il peut être détecté dans le sang pendant la phase aiguë et chronique de l'infection. La présence d'anticorps contre l'antigène HBc soluble (anti-HBc) indique une infection passée ou actuelle par le VHB.

L'antigène HBc est important dans le diagnostic et la surveillance de l'infection par le VHB, ainsi que dans le développement de vaccins contre cette maladie.

Je suis désolé, mais la phrase "Cadre Lecture Ouvert" ne correspond pas à une définition médicale établie. Le terme "cadre de lecture ouvert" peut être utilisé dans un contexte littéraire ou universitaire pour décrire un cadre théorique ou conceptuel qui est large et inclusif, permettant différentes interprétations et perspectives.

Cependant, si vous cherchez des informations médicales sur un sujet spécifique, n'hésitez pas à me fournir plus de détails et je ferai de mon mieux pour vous aider.

Le zinc est un oligo-élément essentiel qui joue un rôle crucial dans plusieurs fonctions physiologiques importantes dans le corps humain. Il est présent dans tous les tissus corporels et participe à la synthèse des protéines, la cicatrisation des plaies, la fonction immunitaire, la perception du goût et de l'odorat, ainsi que la division cellulaire et la croissance. Le zinc est également un antioxydant qui aide à protéger les cellules contre les dommages causés par les radicaux libres.

Les aliments riches en zinc comprennent les huîtres, le bœuf, le porc, le volaille, les haricots, les noix et les produits laitiers. Le déficit en zinc peut entraîner une variété de problèmes de santé, tels qu'une diminution de l'immunité, des retards de croissance, des problèmes de peau et des troubles de la vision. D'autre part, un apport excessif en zinc peut être toxique et entraîner des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales et d'autres symptômes.

En médecine, le zinc est souvent utilisé pour traiter les brûlures, les plaies chroniques, le diabète et certaines maladies infectieuses. Il est également disponible sous forme de supplément pour prévenir ou traiter les carences en zinc.

Les amorces d'ADN sont de courtes séquences de nucléotides, généralement entre 15 et 30 bases, qui sont utilisées en biologie moléculaire pour initier la réplication ou l'amplification d'une région spécifique d'une molécule d'ADN. Elles sont conçues pour être complémentaires à la séquence d'ADN cible et se lier spécifiquement à celle-ci grâce aux interactions entre les bases azotées complémentaires (A-T et C-G).

Les amorces d'ADN sont couramment utilisées dans des techniques telles que la réaction en chaîne par polymérase (PCR) ou la séquençage de l'ADN. Dans ces méthodes, les amorces d'ADN se lient aux extrémités des brins d'ADN cibles et servent de point de départ pour la synthèse de nouveaux brins d'ADN par une ADN polymérase.

Les amorces d'ADN sont généralement synthétisées chimiquement en laboratoire et peuvent être modifiées chimiquement pour inclure des marqueurs fluorescents ou des groupes chimiques qui permettent de les détecter ou de les séparer par électrophorèse sur gel.

Les maladies des rongeurs se réfèrent à un large éventail d'affections qui affectent les rongeurs, tels que les souris, les rats, les hamsters, les cobayes et les chinchillas. Ces maladies peuvent être infectieuses, causées par des bactéries, des virus, des champignons ou des parasites, ou non infectieuses, résultant de facteurs tels que les lésions, les troubles métaboliques ou le vieillissement.

Les maladies infectieuses courantes chez les rongeurs comprennent la salmonellose, la leptospirose, la yersinose, la dermatophytose (teigne), la giardiase et certaines types de vers intestinaux. Les rongeurs peuvent également être porteurs de zoonoses, qui sont des maladies qui peuvent se propager des animaux aux humains, comme la fièvre pourprée des montagnes Rocheuses, la tularémie et la leptospirose.

Les maladies non infectieuses courantes chez les rongeurs comprennent les tumeurs, les maladies dentaires, les maladies respiratoires, les maladies cardiovasculaires et les maladies dégénératives liées à l'âge. Les rongeurs peuvent également développer des problèmes de comportement, tels que la morsure et le grattage excessifs, qui peuvent être causés par le stress, l'ennui ou la douleur.

Il est important de noter que certaines maladies des rongeurs peuvent se propager aux humains et à d'autres animaux, il est donc crucial de manipuler les rongeurs avec soin et de maintenir un environnement propre et sain pour eux. Si vous soupçonnez que votre rongeur est malade, il est recommandé de consulter un vétérinaire expérimenté dans le traitement des animaux exotiques pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.

Les protéines de fusion recombinantes sont des biomolécules artificielles créées en combinant les séquences d'acides aminés de deux ou plusieurs protéines différentes par la technologie de génie génétique. Cette méthode permet de combiner les propriétés fonctionnelles de chaque protéine, créant ainsi une nouvelle entité avec des caractéristiques uniques et souhaitables pour des applications spécifiques en médecine et en biologie moléculaire.

Dans le contexte médical, ces protéines de fusion recombinantes sont souvent utilisées dans le développement de thérapies innovantes, telles que les traitements contre le cancer et les maladies rares. Elles peuvent également être employées comme vaccins, agents diagnostiques ou outils de recherche pour mieux comprendre les processus biologiques complexes.

L'un des exemples les plus connus de protéines de fusion recombinantes est le facteur VIII recombinant, utilisé dans le traitement de l'hémophilie A. Il s'agit d'une combinaison de deux domaines fonctionnels du facteur VIII humain, permettant une activité prolongée et une production plus efficace par génie génétique, comparativement au facteur VIII dérivé du plasma.

Le Syndrome Dysgénésique et Respiratoire Porcin (SDRP) est une maladie virale hautement contagieuse qui affecte le système respiratoire et reproductif des porcs. Il s'agit d'une maladie émergente qui a été détectée pour la première fois en Europe dans les années 1990 et s'est depuis propagée dans de nombreux pays à travers le monde.

Le virus responsable du SDRP est un virus ARN de la famille des Arteriviridae. Il se transmet principalement par contact direct entre animaux, mais peut également être transmis par voie aérienne sur de courtes distances ou par l'intermédiaire de matériel contaminé.

Les symptômes du SDRP peuvent varier considérablement selon l'âge et l'état immunitaire des animaux infectés. Les porcelets nés de femelles infectées pendant la gestation peuvent présenter des malformations congénitales, une croissance ralentie, une augmentation de la mortalité précoce et un retard de développement. Chez les porcs plus âgés, les symptômes respiratoires sont plus fréquents et peuvent inclure une toux sèche, des difficultés respiratoires, une congestion nasale et une augmentation du rythme respiratoire. Les porcs infectés peuvent également présenter des symptômes réproductifs tels qu'une diminution de la fertilité, une augmentation des avortements et une mortalité accrue chez les porcelets nouveau-nés.

Le diagnostic du SDRP repose sur l'identification du virus par PCR ou par sérologie. Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique contre le SDRP, et la prévention repose principalement sur des mesures de biosécurité strictes telles que la restriction des mouvements d'animaux, l'utilisation de zones de quarantaine et la vaccination.

Un corps d'inclusion virale est une structure intracellulaire distinctive qui se forme pendant l'infection virale. Il s'agit essentiellement d'une accumulation anormale de matériel viral et d'éléments cellulaires dans le cytoplasme de la cellule hôte. Ces corps sont souvent associés à certaines infections virales, en particulier celles causées par les herpèsvirus, les rhabdovirus, et les poxvirus.

Les corps d'inclusion peuvent varier dans leur apparence, selon le type de virus infectieux. Certains sont uniformément denses, tandis que d'autres contiennent des structures plus complexes. Ils peuvent être observés en utilisant des techniques de coloration histologiques spéciales ou par microscopie électronique.

Dans le contexte médical, la présence de corps d'inclusion virale peut aider au diagnostic de certaines infections virales, bien que ce ne soit pas toujours un indicateur spécifique d'une infection particulière. D'autres tests de laboratoire peuvent être nécessaires pour confirmer le diagnostic et identifier le virus en cause.

Les anticorps bispécifiques sont un type d'immunothérapie qui peuvent se lier à deux cibles différentes simultanément. Ils sont conçus pour avoir deux sites de liaison, chacun capable de se fixer à des protéines ou des cellules spécifiques. Cette capacité leur permet de servir de pont entre deux types de cellules, généralement les cellules cancéreuses et les cellules immunitaires, telles que les lymphocytes T.

En se liant aux deux cibles, les anticorps bispécifiques peuvent activer le système immunitaire pour attaquer et détruire les cellules cancéreuses. Ils ont été développés comme une stratégie thérapeutique prometteuse dans le traitement de divers types de cancer, car ils peuvent contourner les mécanismes de défense des cellules cancéreuses qui empêchent souvent le système immunitaire de les reconnaître et de les attaquer.

Cependant, il est important de noter que l'utilisation d'anticorps bispécifiques peut également entraîner des effets secondaires graves, tels que la libération de cytokines, qui peuvent provoquer une inflammation systémique et des réactions indésirables. Par conséquent, leur utilisation doit être soigneusement surveillée et gérée pour minimiser les risques associés.

Les précurseurs de protéines, également connus sous le nom de protéines précurseures ou prégéniques, se réfèrent à des molécules protéiques qui sont synthétisées dans le réticulum endoplasmique (RE) et sont ultérieurement traitées par modification post-traductionnelle pour produire une protéine mature fonctionnellement active. Ces précurseurs de protéines peuvent contenir des séquences signalétiques, telles que les séquences signales N-terminales qui dirigent la protéine vers le RE, et d'autres domaines qui sont clivés ou modifiés pendant le traitement post-traductionnel.

Un exemple bien connu de précurseur de protéine est la proinsuline, qui est une molécule précurseur de l'hormone insuline. La proinsuline est une chaîne polypeptidique unique qui contient les séquences d'acides aminés de l'insuline et du peptide C connectées par des segments de liaison. Après la synthèse de la proinsuline dans le RE, elle subit des modifications post-traductionnelles, y compris la glycosylation et la formation disulfure, avant d'être clivée en insuline et peptide C par une enzyme appelée prohormone convertase.

Dans l'ensemble, les précurseurs de protéines sont des molécules importantes dans la biosynthèse des protéines et jouent un rôle crucial dans la régulation de divers processus cellulaires et physiologiques.

La structure tertiaire d'une protéine se réfère à l'organisation spatiale des différents segments de la chaîne polypeptidique qui forment la protéine. Cela inclut les arrangements tridimensionnels des différents acides aminés et des régions flexibles ou rigides de la molécule, tels que les hélices alpha, les feuillets bêta et les boucles. La structure tertiaire est déterminée par les interactions non covalentes entre résidus d'acides aminés, y compris les liaisons hydrogène, les interactions ioniques, les forces de Van der Waals et les ponts disulfures. Elle est influencée par des facteurs tels que le pH, la température et la présence de certains ions ou molécules. La structure tertiaire joue un rôle crucial dans la fonction d'une protéine, car elle détermine sa forme active et son site actif, où les réactions chimiques ont lieu.

Ebolavirus est un genre de virus à filamentuments négatifs à simple brin qui appartient à la famille des Filoviridae. Il comprend cinq espèces différentes, dont le virus Ebola (anciennement appelé Zaire ebolavirus) et le virus du Sud-Est asiatique (ou Bundibugyo ebolavirus), qui sont responsables de la fièvre hémorragique virale d'Ebola chez l'homme. Ces virus peuvent provoquer une maladie grave, caractérisée par une forte fièvre, des myalgies, des céphalées, des vomissements, des diarrhées, une éruption cutanée et une insuffisance multiviscérale. Le taux de létalité peut atteindre 90% dans certaines flambées épidémiques. Les réservoirs naturels connus d'Ebolavirus sont des chauves-souris frugivores, qui peuvent transmettre le virus aux humains et à d'autres animaux, tels que les singes et les antilopes, par contact direct avec des fluides corporels infectés ou des surfaces contaminées.

Le virus de la forêt de Semliki est un alphavirus appartenant à la famille des Togaviridae. Il est nommé d'après la forêt de Semliki en Ouganda, où il a été initialement isolé. Ce virus est principalement transmis par les moustiques et infecte une variété d'hôtes, y compris les humains, bien que les infections humaines soient rares.

Le virus de la forêt de Semliki est connu pour causer des maladies chez les animaux, en particulier les primates non humains. Chez ces hôtes, il peut provoquer une encéphalite mortelle. Cependant, lorsque les humains sont infectés, ils présentent généralement des symptômes pseudo-grippaux légers à modérés, tels que de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, et une éruption cutanée.

Il est important de noter que le virus de la forêt de Semliki est souvent étudié dans les laboratoires de recherche en raison de sa capacité à provoquer une infection persistante dans les cellules cultivées, ce qui en fait un modèle utile pour l'étude des infections virales et de la réponse immunitaire. Cependant, il est important de manipuler ce virus avec soin en raison de son potentiel pathogène.

Les plasmides sont des molécules d'ADN extrachromosomiques double brin, circulaires et autonomes qui se répliquent indépendamment du chromosome dans les bactéries. Ils peuvent également être trouvés dans certains archées et organismes eucaryotes. Les plasmides sont souvent associés à des fonctions particulières telles que la résistance aux antibiotiques, la dégradation des molécules organiques ou la production de toxines. Ils peuvent être transférés entre bactéries par conjugaison, transformation ou transduction, ce qui en fait des vecteurs importants pour l'échange de gènes et la propagation de caractères phénotypiques dans les populations bactériennes. Les plasmides ont une grande importance en biotechnologie et en génie génétique en raison de leur utilité en tant que vecteurs clonage et d'expression des gènes.

La délétion séquentielle est un terme utilisé en génétique et médecine moléculaire pour décrire la perte d'une séquence particulière de nucléotides dans une région spécifique du génome. Cela se produit lorsque des sections répétées de l'ADN, appelées répétitions en tandem, sont instables et ont tendance à se contractre, entraînant ainsi la suppression d'une partie du matériel génétique.

Dans une délétion séquentielle, cette perte de nucléotides se produit non pas une fois mais plusieurs fois de manière consécutive, ce qui entraîne l'effacement progressif d'une plus grande portion du gène ou de la région régulatrice. Cette répétition de délétions peut conduire à des mutations plus complexes et graves, augmentant ainsi le risque de développer certaines maladies génétiques.

Il est important de noter que les délétions séquentielles sont souvent associées aux expansions répétitives de nucléotides (ERN), qui sont des mutations génétiques caractérisées par la présence d'une section répétée anormalement longue d'un ou plusieurs nucléotides dans une région spécifique du génome. Les ERNs sont souvent liées à un large éventail de maladies neurodégénératives et neuromusculaires, telles que la maladie de Huntington, la sclérose latérale amyotrophique (SLA) et la myopathie facio-scapulo-humérale.

Le Myxovirus Parainfluenzae de type 3, également connu sous le nom de virus Parainfluenza de type 3 (PIV3), est un agent pathogène humain courant qui appartient à la famille des Paramyxoviridae. Il est responsable d'infections respiratoires aiguës souvent bénignes, mais peut également entraîner des maladies plus graves chez les nourrissons, les jeunes enfants et les personnes immunodéprimées.

Le PIV3 est un virus enveloppé à ARN simple brin de sens négatif qui se réplique dans le cytoplasme des cellules hôtes. Il présente une morphologie typique en forme de bâtonnet et possède deux glycoprotéines de surface, l'hémagglutinine-neuraminidase (HN) et la fusion (F), qui sont essentielles à l'entrée du virus dans les cellules hôtes.

Les manifestations cliniques du PIV3 varient considérablement, allant d'un simple rhume à une bronchiolite sévère ou une pneumonie. Les symptômes courants comprennent la fièvre, la toux, l'écoulement nasal, les éternuements et la difficulté à respirer. Dans les cas plus graves, le PIV3 peut provoquer une détresse respiratoire et nécessiter une hospitalisation, en particulier chez les nourrissons prématurés ou ceux souffrant de maladies sous-jacentes.

Le diagnostic du PIV3 repose généralement sur la détection du génome viral par RT-PCR (réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse) ou sur la culture du virus à partir d'échantillons respiratoires. Il n'existe actuellement aucun vaccin disponible contre le PIV3, bien que des efforts de recherche soient en cours pour développer un vaccin efficace. Le traitement est principalement symptomatique et peut inclure l'oxygénothérapie, les bronchodilatateurs et les liquides intraveineux pour prévenir la déshydratation.

Un modèle moléculaire est un outil utilisé en chimie et en biologie pour représenter visuellement la structure tridimensionnelle d'une molécule. Il peut être construit à partir de matériaux réels, tels que des balles et des bâtons, ou créé numériquement sur un ordinateur.

Les modèles moléculaires aident les scientifiques à comprendre comment les atomes sont liés les uns aux autres dans une molécule et comment ils interagissent entre eux. Ils peuvent être utilisés pour étudier la forme d'une molécule, son arrangement spatial, sa flexibilité et ses propriétés chimiques.

Dans un modèle moléculaire physique, les atomes sont représentés par des boules de différentes couleurs (selon leur type) et les liaisons chimiques entre eux sont représentées par des bâtons ou des tiges rigides. Dans un modèle numérique, ces éléments sont représentés à l'écran sous forme de graphismes 3D.

Les modèles moléculaires sont particulièrement utiles dans les domaines de la chimie organique, de la biochimie et de la pharmacologie, où ils permettent d'étudier la structure des protéines, des acides nucléiques (ADN et ARN) et des autres molécules biologiques complexes.

La maladie de Newcastle est une infection virale hautement contagieuse qui affecte principalement les oiseaux, mais peut également rarement infecter les humains. Le virus responsable est un paramyxovirus de type 1 (PVM-1) connu sous le nom de virus de la maladie de Newcastle ou Virus Newcastle Disease (NDV).

Chez les oiseaux, la maladie de Newcastle peut provoquer une gamme de symptômes, allant d'une forme légère avec des signes respiratoires et digestifs mineurs à une forme sévère entraînant une mortalité élevée. Les signes cliniques peuvent inclure des difficultés respiratoires, une baisse de production d'œufs, une diarrhée verte, une paralysie et une léthargie.

Chez l'homme, la maladie de Newcastle est généralement bénigne et se manifeste par des symptômes pseudo-grippaux tels que fièvre, maux de tête, douleurs corporelles et fatigue. Cependant, dans de rares cas, une forme plus grave de la maladie peut survenir, entraînant des complications oculaires ou neurologiques graves.

La transmission du virus aux humains se produit généralement par contact direct avec des sécrétions respiratoires ou des excréments d'oiseaux infectés, ou par l'ingestion de volailles mal cuites. Les professionnels de la santé et les personnes travaillant dans l'industrie avicole sont considérés comme à risque plus élevé d'infection.

Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique pour la maladie de Newcastle chez l'homme, et le traitement est généralement symptomatique. La prévention des infections humaines implique des mesures d'hygiène telles que le lavage des mains régulier et la cuisson complète des volailles avant de les manger.

Je suis désolé, mais il n'existe pas de terme médical reconnu appelé "virus rage". Il est possible que vous cherchiez des informations sur la «colère des virus», qui est un terme utilisé pour décrire une réponse immunitaire excessive et agressive à une infection virale. Cependant, ce n'est pas non plus un terme médical formellement reconnu.

Dans certains contextes, "virus rage" peut être mal utilisé comme une description informelle de la colère ou de l'agitation ressentie par quelqu'un qui souffre d'une infection virale grave et invalidante. Cependant, il est important de noter que ces symptômes ne sont pas causés directement par le virus lui-même, mais plutôt par la réponse du système immunitaire à l'infection.

Si vous cherchez des informations sur une infection virale spécifique ou ses symptômes, je serais heureux de vous fournir plus d'informations à ce sujet.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre question. Le terme "Virus Congo" ne fait pas référence à une maladie ou à un agent pathogène spécifique en médecine. Il est possible que vous fassiez référence au virus de la fièvre hémorragique de Marburg, qui a été découvert pour la première fois en 1967 dans des singes importés d'Ouganda et détenus dans un laboratoire de recherche à Marbourg, en Allemagne. Plus tard, il y a eu des épidémies en République démocratique du Congo (alors appelée Zaïre) et dans d'autres pays africains. Ce virus peut causer une maladie grave chez l'homme, caractérisée par une fièvre hémorragique sévère, des douleurs, des vomissements et, dans certains cas, des saignements internes et externes. Cependant, il est important de noter que chaque cas doit être évalué individuellement et qu'une évaluation médicale appropriée devrait être recherchée pour obtenir un diagnostic précis.

Une réaction croisée, dans le contexte de l'allergologie, se réfère à une réponse immunologique adverse qui se produit lorsqu'un individu allergique est exposé à des antigènes (substances étrangères) qui sont différents de ceux qui ont initialement déclenché la sensibilisation du système immunitaire. Cependant, ces nouveaux antigènes partagent des similitudes structurales avec les allergènes d'origine, provoquant une réponse immunitaire croisée.

Dans le mécanisme de cette réaction, les IgE (immunoglobulines E), qui sont des anticorps spécifiques produits par le système immunitaire en réponse à l'exposition initiale à un allergène, se lient aux récepteurs des mast cells (cellules mésentériques) et des basophiles. Lors d'une exposition ultérieure à un antigène similaire, ces IgE reconnaissent l'antigène étranger et déclenchent la dégranulation des cellules, entraînant la libération de médiateurs chimiques tels que l'histamine.

Ces médiateurs provoquent une cascade de réactions physiologiques qui aboutissent aux symptômes typiques d'une réaction allergique, tels que des démangeaisons, un écoulement nasal, des éternuements, une respiration sifflante et, dans les cas graves, un choc anaphylactique.

Les exemples courants de réactions croisées incluent la sensibilité aux pollens de certains arbres, herbes et mauvaises herbes, qui peut entraîner des réactions allergiques à certains aliments crus comme les pommes, les carottes, le céleri ou les noix. Cette condition est souvent appelée syndrome d'allergie orale (SAC). Une autre forme courante de réaction croisée se produit entre les allergies au latex et certains aliments tels que l'avocat, la banane, le kiwi et le châtaignier.

La séquence d'acides aminés homologue se réfère à la similarité dans l'ordre des acides aminés dans les protéines ou les gènes de différentes espèces. Cette similitude est due au fait que ces protéines ou gènes partagent un ancêtre commun et ont évolué à partir d'une séquence originale par une série de mutations.

Dans le contexte des acides aminés, l'homologie signifie que les deux séquences partagent une similitude dans la position et le type d'acides aminés qui se produisent à ces positions. Plus la similarité est grande entre les deux séquences, plus il est probable qu'elles soient étroitement liées sur le plan évolutif.

L'homologie de la séquence d'acides aminés est souvent utilisée dans l'étude de l'évolution des protéines et des gènes, ainsi que dans la recherche de fonctions pour les nouvelles protéines ou gènes. Elle peut également être utilisée dans le développement de médicaments et de thérapies, en identifiant des cibles potentielles pour les traitements et en comprenant comment ces cibles interagissent avec d'autres molécules dans le corps.

Baculoviridae est une famille de virus qui infectent principalement les insectes, en particulier les lépidoptères (papillons et mites). Ces virus sont caractérisés par leur génome à double brin d'ADN circulaire et par la présence d'une structure unique appelée nucléocapside baculovirale, qui est encapsidée dans une enveloppe virale.

Les baculovirus sont divisés en deux genres principaux : les Nucleopolyhedrovirus (NPV) et les Granulovirus (GV). Les NPV ont des particules virales (virions) de grande taille, appelées polyèdres occlusifs, qui contiennent de nombreuses enveloppes virales. En revanche, les GV ont des virions plus petits, appelés granules occlusifs, qui ne contiennent qu'une seule enveloppe virale.

Les baculovirus sont largement utilisés dans la recherche biomédicale et biotechnologique en raison de leur capacité à infecter et à tuer sélectivement certaines cellules d'insectes, ce qui les rend utiles comme agents de contrôle des ravageurs. De plus, ils peuvent être utilisés pour produire des protéines recombinantes à grande échelle dans des systèmes d'expression virale.

Cependant, il est important de noter que les baculovirus ne sont pas considérés comme étant pathogènes pour les humains ou les animaux à sang chaud, et qu'ils ne présentent donc aucun risque pour la santé publique.

La "LTR sequence" ou "long terminal repeat sequence" du VIH (virus de l'immunodéficience humaine) se réfère à des séquences répétées de nucléotides situées aux extrémités de l'ADN proviral du virus. Ces séquences LTR sont essentielles pour la réplication et l'intégration du génome viral dans celui de l'hôte.

La séquence LTR est divisée en trois régions distinctes : U3 (unique 3'), R (répétition) et U5 (unique 5'). La région U3 contient des sites d'initiation de la transcription, tandis que la région U5 contient un site de terminaison de la transcription. La région R est identique aux deux extrémités du génome viral.

Lorsque le virus infecte une cellule hôte, l'ARN viral est reverse-transcrit en ADN par l'enzyme reverse transcriptase. Cette forme d'ADN est alors intégrée dans le génome de la cellule hôte grâce à l'action de l'intégrase virale, qui utilise les séquences LTR comme site d'intégration.

Les médicaments antirétroviraux utilisés pour traiter l'infection par le VIH ciblent souvent des étapes spécifiques du cycle de réplication virale, y compris la transcription inverse et l'intégration. Certains inhibiteurs d'intégrase sont conçus pour se lier à la région LTR et empêcher l'intégration de l'ADN viral dans le génome de la cellule hôte, ce qui peut aider à prévenir la propagation du virus.

La mutagénèse ponctuelle dirigée est une technique de génie génétique qui consiste à introduire des modifications spécifiques et ciblées dans l'ADN d'un organisme en utilisant des méthodes chimiques ou enzymatiques. Cette technique permet aux chercheurs de créer des mutations ponctuelles, c'est-à-dire des changements dans une seule base nucléotidique spécifique de l'ADN, ce qui peut entraîner des modifications dans la séquence d'acides aminés d'une protéine et, par conséquent, modifier sa fonction.

La mutagénèse ponctuelle dirigée est souvent utilisée pour étudier les fonctions des gènes et des protéines, ainsi que pour créer des modèles animaux de maladies humaines. Cette technique implique généralement la création d'un oligonucléotide, qui est un court brin d'ADN synthétisé en laboratoire, contenant la mutation souhaitée. Cet oligonucléotide est ensuite utilisé pour remplacer la séquence d'ADN correspondante dans le génome de l'organisme cible.

La mutagénèse ponctuelle dirigée peut être effectuée en utilisant une variété de méthodes, y compris la recombinaison homologue, la transfection de plasmides ou la modification de l'ADN par des enzymes de restriction. Ces méthodes permettent aux chercheurs de cibler spécifiquement les gènes et les régions d'ADN qu'ils souhaitent modifier, ce qui rend cette technique très précise et efficace pour étudier les fonctions des gènes et des protéines.

Les phosphoprotéines sont des protéines qui ont été modifiées par l'ajout d'un groupe phosphate. Cette modification post-traductionnelle est réversible et joue un rôle crucial dans la régulation de divers processus cellulaires, tels que le contrôle de la signalisation cellulaire, du métabolisme, de la transcription, de la traduction et de l'apoptose.

L'ajout d'un groupe phosphate à une protéine est catalysé par des enzymes appelées kinases, tandis que le processus inverse, qui consiste à retirer le groupe phosphate, est catalysé par des phosphatases. Ces modifications peuvent entraîner des changements conformationnels dans la protéine, ce qui peut affecter son activité enzymatique, ses interactions avec d'autres protéines ou son localisation cellulaire.

L'analyse des profils de phosphorylation des protéines est donc un domaine important de la recherche biomédicale, car elle peut fournir des informations sur les voies de signalisation cellulaires qui sont actives dans différents états physiologiques et pathologiques.

ARVICOLINAE est une sous-famille de rongeurs dans la famille Cricetidae, qui comprend des campagnols, lemmings et hamsters de terre. Ces petits mammifères ont un corps court et arrondi, avec une courte queue et des pattes courtes. Ils sont souvent trouvés dans les habitats humides tels que les marécages, les prairies et les forêts. Les membres d'Arvicolinae sont herbivores et se nourrissent principalement de plantes aquatiques, de racines et de graines. Certains d'entre eux ont des habitudes de reproduction rapides et peuvent avoir plusieurs portées par an.

En médecine, l'importance d'Arvicolinae réside dans leur rôle en tant que réservoirs et hôtes intermédiaires pour divers agents pathogènes qui peuvent affecter les humains et les animaux domestiques. Par exemple, certains membres de cette sous-famille peuvent être porteurs de hantavirus, qui peuvent causer une maladie pulmonaire grave chez l'homme. De plus, certaines espèces peuvent héberger des parasites tels que les tiques et les puces, qui peuvent transmettre des maladies telles que la maladie de Lyme et la peste bubonique.

En général, il est important de comprendre l'écologie et le comportement d'Arvicolinae pour mieux gérer les risques pour la santé publique associés à ces animaux.

Les protéines virales non structurelles (NS, pour Non-Structural Proteins) sont des protéines codées par le génome d'un virus qui ne font pas partie de la structure mature du virion. Contrairement aux protéines structurales, qui forment la capside et l'enveloppe du virus et sont souvent utilisées pour classifier les virus, les protéines NS n'ont pas de fonctions structurelles directes. Elles jouent plutôt des rôles clés dans le cycle de réplication virale, notamment en participant à la transcription, la traduction, la réplication et l'assemblage du génome viral.

Les protéines NS peuvent agir comme enzymes ou facteurs d'assemblage, ou encore participer à la régulation de l'expression des gènes du virus. Elles sont souvent ciblées par les défenses immunitaires de l'hôte et constituent donc des candidats intéressants pour le développement de vaccins et d'antiviraux. Cependant, leur rôle dans le cycle viral peut également être détourné par certains virus pour favoriser leur réplication et échapper à la réponse immunitaire de l'hôte.

La transfection est un processus de laboratoire dans le domaine de la biologie moléculaire où des matériels génétiques tels que l'ADN ou l'ARN sont introduits dans des cellules vivantes. Cela permet aux chercheurs d'ajouter, modifier ou étudier l'expression des gènes dans ces cellules. Les méthodes de transfection comprennent l'utilisation de vecteurs viraux, de lipides ou d'électroporation. Il est important de noter que la transfection ne se produit pas naturellement et nécessite une intervention humaine pour introduire les matériels génétiques dans les cellules.

Le virus de Lassa est un type de virus à ARN monocaténaire de la famille des Arenaviridae. Il est responsable de la fièvre de Lassa, une maladie infectieuse endémique en Afrique de l'Ouest. Le réservoir naturel du virus est un rongeur, le rat à mangues (Mastomys natalensis).

La transmission du virus se produit généralement par contact avec des aliments, de l'eau ou des matériaux contaminés par les excréments ou l'urine de rongeurs infectés. La transmission interhumaine peut également se produire via des gouttelettes respiratoires ou des contacts directs avec des fluides corporels d'une personne infectée, en particulier dans un contexte hospitalier lorsque les précautions standard de contrôle des infections ne sont pas respectées.

Les symptômes de la fièvre de Lassa peuvent varier considérablement, allant de légers à sévères. Les manifestations courantes comprennent une fièvre élevée, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, des nausées, des vomissements, des diarrhées, des éruptions cutanées et des saignements internes dans les cas graves. Environ 1% à 2% des infections peuvent entraîner la mort, en particulier chez les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées.

Il n'existe actuellement aucun vaccin approuvé pour prévenir l'infection par le virus de Lassa. Le traitement repose sur des soins de soutien, tels que la réhydratation et la gestion des complications, ainsi que sur l'utilisation d'antiviraux spécifiques, comme le ribavirine, qui peuvent être bénéfiques lorsqu'ils sont administrés tôt dans l'évolution de la maladie.

La conformation protéique fait référence à la forme tridimensionnelle spécifique qu'une protéine adopte en raison de l'arrangement spatial particulier de ses chaînes d'acides aminés. Cette structure tridimensionnelle est déterminée par la séquence de acides aminés dans la protéine, ainsi que par des interactions entre ces acides aminés, y compris les liaisons hydrogène, les interactions hydrophobes et les ponts disulfure.

La conformation protéique est cruciale pour la fonction d'une protéine, car elle détermine la manière dont la protéine interagit avec d'autres molécules dans la cellule. Les changements dans la conformation protéique peuvent entraîner des maladies, telles que les maladies neurodégénératives et les maladies cardiovasculaires. La conformation protéique peut être étudiée à l'aide de diverses techniques expérimentales, y compris la cristallographie aux rayons X, la résonance magnétique nucléaire (RMN) et la microscopie électronique cryogénique.

Les cellules HeLa sont une lignée cellulaire immortelle et cancéreuse dérivée des tissus d'une patiente atteinte d'un cancer du col de l'utérus nommée Henrietta Lacks. Ces cellules ont la capacité de se diviser indéfiniment en laboratoire, ce qui les rend extrêmement utiles pour la recherche médicale et biologique.

Les cellules HeLa ont été largement utilisées dans une variété d'applications, y compris la découverte des vaccins contre la polio, l'étude de la division cellulaire, la réplication de l'ADN, la cartographie du génome humain, et la recherche sur le cancer, les maladies infectieuses, la toxicologie, et bien d'autres.

Il est important de noter que les cellules HeLa sont souvent utilisées sans le consentement des membres vivants de la famille de Henrietta Lacks, ce qui a soulevé des questions éthiques complexes concernant la confidentialité, l'utilisation et la propriété des tissus humains à des fins de recherche.

La rougeole est une maladie infectieuse extrêmement contagieuse causée par le virus de la rougeole. Elle se propage principalement par les gouttelettes respiratoires lorsqu'une personne infectée tousse ou éternue. Les symptômes apparaissent généralement 10 à 14 jours après l'exposition et comprennent une fièvre élevée, des yeux rouges et larmoyants, un nez qui coule, une toux sèche, des taches blanches à l'intérieur de la bouche appelées «taches de Koplik», et une éruption cutanée qui commence sur le visage et se propage au reste du corps. Il n'existe actuellement aucun traitement spécifique contre la rougeole, mais des mesures de soutien peuvent être prises pour soulager les symptômes. La prévention repose sur la vaccination.

Je suis désolé, mais "Penaeidae" ne correspond pas à un terme médical. Il s'agit plutôt d'une famille de crustacés décapodes, également connus sous le nom de crevettes. Plus précisément, ce sont des crevettes marines que l'on trouve dans les eaux tropicales et subtropicales du monde entier. Si vous aviez une question concernant un terme médical, n'hésitez pas à me la poser à nouveau et je ferai de mon mieux pour vous fournir une réponse précise et utile.

Un vecteur génétique est un outil utilisé en génétique moléculaire pour introduire des gènes ou des fragments d'ADN spécifiques dans des cellules cibles. Il s'agit généralement d'un agent viral ou bactérien modifié qui a été désarmé, de sorte qu'il ne peut plus causer de maladie, mais conserve sa capacité à infecter et à introduire son propre matériel génétique dans les cellules hôtes.

Les vecteurs génétiques sont couramment utilisés dans la recherche biomédicale pour étudier l'expression des gènes, la fonction des protéines et les mécanismes de régulation de l'expression génétique. Ils peuvent également être utilisés en thérapie génique pour introduire des gènes thérapeutiques dans des cellules humaines afin de traiter ou de prévenir des maladies causées par des mutations génétiques.

Les vecteurs viraux les plus couramment utilisés sont les virus adéno-associés (AAV), les virus lentiviraux et les rétrovirus. Les vecteurs bactériens comprennent les plasmides, qui sont des petites molécules d'ADN circulaires que les bactéries utilisent pour transférer du matériel génétique entre elles.

Il est important de noter que l'utilisation de vecteurs génétiques comporte certains risques, tels que l'insertion aléatoire de gènes dans le génome de l'hôte, ce qui peut entraîner des mutations indésirables ou la activation de gènes oncogéniques. Par conséquent, il est essentiel de mettre en place des protocoles de sécurité rigoureux pour minimiser ces risques et garantir l'innocuité des applications thérapeutiques des vecteurs génétiques.

Les virus défectueux, également connus sous le nom de viruses déficientes ou defective interfering particles (DIPs), sont des versions dégénérées ou altérées d'un virus qui ont perdu la capacité de se répliquer de manière autonome. Ils manquent généralement de certaines parties de leur génome nécessaires à la réplication complète, telles que des gènes essentiels ou des segments d'ARN/ADN. Par conséquent, ils dépendent des virus helper (aides) normaux et fonctionnels pour compléter leur cycle de réplication.

Les virus défectueux peuvent interférer avec la réplication des virus helper en raison de leur capacité à se lier aux molécules d'ARN/ADN ou aux protéines nécessaires à la réplication, ce qui entraîne une diminution de l'efficacité de la réplication des virus helper et, par conséquent, une réduction de la production virale.

Les virus défectueux sont souvent étudiés dans le cadre de la recherche sur les vaccins et les thérapies antivirales, car ils peuvent offrir une protection contre les infections virales en induisant une réponse immunitaire spécifique au virus sans provoquer de maladie. Cependant, leur utilisation dans les applications cliniques est encore à l'étude et nécessite des recherches supplémentaires pour évaluer leur sécurité et leur efficacité.

Les protéines de liaison à l'ARN sont des protéines qui se lient spécifiquement à l'acide ribonucléique (ARN) pour réguler divers processus cellulaires, tels que la transcription, le traitement de l'ARN, la traduction et la dégradation de l'ARN. Ces protéines jouent un rôle crucial dans la reconnaissance et la manipulation des ARN dans la cellule. Elles peuvent se lier à différentes régions d'un ARN, y compris les promoteurs, les introns, les exons, les sites de clivage et les extrémités, pour assurer une régulation précise de l'expression des gènes. Les protéines de liaison à l'ARN comprennent des facteurs de transcription, des protéines de splicing, des protéines de transport nucléaire et des protéines de dégradation de l'ARN.

Le Virus Respiratoire Syncytial (VRS) est un virus à ARN simple brin de la famille des Pneumoviridae. Il est l'un des principaux agents responsables des infections respiratoires aiguës, particulièrement chez les nourrissons et les jeunes enfants. Le VRS infecte généralement les cellules épithéliales des voies respiratoires supérieures et inférieures, entraînant une gamme de symptômes allant du simple rhume à une bronchiolite ou une pneumonie sévère.

Le virus se transmet facilement d'une personne à l'autre par contact direct avec des gouttelettes respiratoires infectées, par exemple lorsqu'une personne infectée tousse ou éternue. Les symptômes de la maladie causée par le VRS apparaissent généralement dans les 4 à 6 jours suivant l'exposition et peuvent inclure une toux, un nez qui coule ou bouché, une fièvre légère à modérée, des maux de gorge et des maux de tête. Dans les cas plus graves, surtout chez les nourrissons prématurés, les enfants souffrant d'affections cardiaques ou pulmonaires sous-jacentes, et les personnes âgées ou immunodéprimées, le VRS peut provoquer une inflammation des voies respiratoires inférieures, entraînant une difficulté à respirer et une détresse respiratoire.

Actuellement, il n'existe pas de vaccin disponible contre le VRS, mais des traitements symptomatiques peuvent être administrés pour soulager les symptômes et prévenir les complications. Les mesures de prévention comprennent le lavage régulier des mains, l'évitement des contacts étroits avec des personnes malades et le maintien d'un environnement propre et bien ventilé.

La réaction de neutralisation est un processus dans le domaine de l'immunologie qui se produit lorsqu'un anticorps se lie spécifiquement à un antigène, entraînant la neutralisation ou l'inactivation de ce dernier. Cela se produit généralement lorsque l'anticorps se lie aux sites actifs du pathogène (comme une bactérie ou un virus), empêchant ainsi le pathogène de se lier et d'infecter les cellules hôtes.

Ce processus est crucial dans la réponse immunitaire adaptative, où des lymphocytes B spécifiques produisent des anticorps après avoir été activés par la reconnaissance d'un antigène étranger. Les anticorps neutralisants sont particulièrement importants dans la défense contre les virus et les toxines bactériennes, car ils peuvent prévenir l'infection initiale ou limiter la propagation de l'infection en empêchant le pathogène de se lier aux cellules hôtes.

La réaction de neutralisation est souvent utilisée dans les tests de laboratoire pour détecter et mesurer la présence d'anticorps spécifiques contre un antigène donné, ce qui peut être utile dans le diagnostic des maladies infectieuses et l'évaluation de l'efficacité des vaccins.

La "RNA-directed DNA polymerase" est une enzyme qui catalyse la synthèse d'ADN en utilisant un brin d'ARN comme matrice. Cette enzyme joue un rôle clé dans le processus de transcription inverse, où l'information génétique contenue dans l'ARN est convertie en ADN. Elle est largement utilisée en biotechnologie, notamment dans les tests de diagnostic moléculaire et dans la thérapie génique. La reverse transcriptase, une enzyme virale bien connue, est un exemple de RNA-directed DNA polymerase.

RNA Réplicase est une enzyme qui est responsable de la copie ou de la réplication de l'ARN. Il s'agit d'un type d'enzyme RNA dépendante qui utilise un brin d'ARN comme modèle pour synthétiser un nouvel ARN complémentaire. Cette enzyme joue un rôle crucial dans la réplication des virus à ARN, tels que les coronavirus et les rhinovirus, qui utilisent l'ARN comme matériel génétique au lieu de l'ADN.

Les réplicases d'ARN sont généralement composées de plusieurs sous-unités protéiques et peuvent avoir une activité associée de transcriptase inverse, permettant la conversion de l'ARN en ADN. Ces enzymes sont des cibles importantes pour le développement de médicaments antiviraux, car elles sont essentielles au cycle de réplication virale et ne sont pas présentes dans les cellules hôtes.

Il est important de noter que la définition d'une RNA Réplicase peut varier en fonction du contexte spécifique, comme le type de virus ou d'organisme dont il est question.

Les glycoprotéines sont des molécules complexes qui combinent des protéines avec des oligosaccharides, c'est-à-dire des chaînes de sucres simples. Ces molécules sont largement répandues dans la nature et jouent un rôle crucial dans de nombreux processus biologiques.

Dans le corps humain, les glycoprotéines sont présentes à la surface de la membrane cellulaire où elles participent à la reconnaissance et à l'interaction entre les cellules. Elles peuvent aussi être sécrétées dans le sang et d'autres fluides corporels, où elles servent de transporteurs pour des hormones, des enzymes et d'autres molécules bioactives.

Les glycoprotéines sont également importantes dans le système immunitaire, où elles aident à identifier les agents pathogènes étrangers et à déclencher une réponse immune. De plus, certaines glycoprotéines sont des marqueurs de maladies spécifiques et peuvent être utilisées dans le diagnostic et le suivi des affections médicales.

La structure des glycoprotéines est hautement variable et dépend de la séquence d'acides aminés de la protéine sous-jacente ainsi que de la composition et de l'arrangement des sucres qui y sont attachés. Cette variabilité permet aux glycoprotéines de remplir une grande diversité de fonctions dans l'organisme.

La relation structure-activité (SAR, Structure-Activity Relationship) est un principe fondamental en pharmacologie et toxicologie qui décrit la relation entre les caractéristiques structurales d'une molécule donnée (généralement un médicament ou une substance chimique) et ses effets biologiques spécifiques. En d'autres termes, il s'agit de l'étude des relations entre la structure chimique d'une molécule et son activité biologique, y compris son affinité pour des cibles spécifiques (telles que les récepteurs ou enzymes) et sa toxicité.

L'analyse de la relation structure-activité permet aux scientifiques d'identifier et de prédire les propriétés pharmacologiques et toxicologiques d'une molécule, ce qui facilite le processus de conception et de développement de médicaments. En modifiant la structure chimique d'une molécule, il est possible d'optimiser ses effets thérapeutiques tout en minimisant ses effets indésirables ou sa toxicité.

La relation structure-activité peut être représentée sous forme de graphiques, de tableaux ou de modèles mathématiques qui montrent comment différentes modifications structurales affectent l'activité biologique d'une molécule. Ces informations peuvent ensuite être utilisées pour guider la conception rationnelle de nouveaux composés chimiques ayant des propriétés pharmacologiques et toxicologiques optimisées.

Il est important de noter que la relation structure-activité n'est pas toujours linéaire ou prévisible, car d'autres facteurs tels que la biodisponibilité, la distribution, le métabolisme et l'excrétion peuvent également influencer les effets biologiques d'une molécule. Par conséquent, une compréhension approfondie de ces facteurs est essentielle pour développer des médicaments sûrs et efficaces.

L'alignement des séquences en génétique et en bioinformatique est un processus permettant d'identifier et d'afficher les similitudes entre deux ou plusieurs séquences biologiques, telles que l'ADN, l'ARN ou les protéines. Cette méthode consiste à aligner les séquences de nucléotides ou d'acides aminés de manière à mettre en évidence les régions similaires et les correspondances entre elles.

L'alignement des séquences peut être utilisé pour diverses applications, telles que l'identification des gènes et des fonctions protéiques, la détection de mutations et de variations génétiques, la phylogénie moléculaire et l'analyse évolutive.

Il existe deux types d'alignement de séquences : l'alignement global et l'alignement local. L'alignement global compare l'intégralité des séquences et est utilisé pour aligner des séquences complètes, tandis que l'alignement local ne compare qu'une partie des séquences et est utilisé pour identifier les régions similaires entre des séquences partiellement homologues.

Les algorithmes d'alignement de séquences utilisent des matrices de score pour évaluer la similarité entre les nucléotides ou les acides aminés correspondants, en attribuant des scores plus élevés aux paires de résidus similaires et des scores plus faibles ou négatifs aux paires dissemblables. Les algorithmes peuvent également inclure des pénalités pour les écarts entre les séquences, tels que les insertions et les délétions.

Les méthodes d'alignement de séquences comprennent la méthode de Needleman-Wunsch pour l'alignement global et la méthode de Smith-Waterman pour l'alignement local, ainsi que des algorithmes plus rapides tels que BLAST (Basic Local Alignment Search Tool) et FASTA.

La centrifugation en gradient de densité est une technique de séparation utilisée dans le domaine de la biologie et de la médecine. Elle consiste à utiliser une force centrifuge pour séparer des particules ou des molécules en fonction de leur masse et de leur taille, mais aussi de leur densité.

Cette technique utilise un milieu de densité contrôlée, constitué d'une solution de saccharose ou de percoll par exemple, dans laquelle on dispose l'échantillon à séparer. Lors de la centrifugation, les particules ou molécules se déplacent à travers le gradient de densité et s'arrêtent à un niveau correspondant à leur propre densité.

Cette méthode est couramment utilisée pour séparer des fractions cellulaires hétérogènes telles que les sous-populations de cellules sanguines ou les différents organites présents dans une cellule. Elle permet également de purifier des virus, des exosomes ou des ARN messagers.

Il est important de noter que la centrifugation en gradient de densité nécessite un matériel spécifique et doit être réalisée avec soin pour éviter toute contamination ou dommage aux échantillons.

Dans le contexte médical, un « culture virus » ne fait pas référence à un type spécifique de virus ou d'agent infectieux. Il s'agit plutôt d'un terme utilisé dans les sciences sociales et comportementales pour décrire l'influence des normes, des valeurs et des pratiques partagées au sein d'une communauté ou d'une organisation sur le comportement et les croyances de ses membres.

Cependant, il est important de noter que dans certains contextes, en particulier dans les médias populaires et la culture Internet, le terme « culture virus » peut être utilisé de manière informelle pour décrire une idée, un comportement ou une tendance qui se propage rapidement et devient largement adopté au sein d'un groupe ou d'une population.

Dans aucun cas, cependant, le terme « culture virus » ne fait référence à un agent pathogène ou infectieux dans la médecine ou la biologie.

La spécificité des anticorps, dans le contexte de l'immunologie et de la médecine, se réfère à la capacité d'un type particulier d'anticorps à se lier uniquement à une cible ou à un antigène spécifique. Cela signifie qu'un anticorps spécifique ne réagira et ne se liera qu'avec un épitope ou une structure moléculaire particulière sur l'antigène, à l'exclusion de tous les autres antigènes ou épitopes.

Cette propriété est cruciale dans le diagnostic et la thérapie des maladies, en particulier dans le domaine des tests sérologiques pour détecter la présence d'anticorps spécifiques contre un pathogène donné. Par exemple, dans les tests de dépistage du VIH, des anticorps spécifiques au virus du sida sont recherchés pour confirmer une infection.

En outre, la spécificité des anticorps est également importante en thérapie, où des anticorps monoclonaux hautement spécifiques peuvent être générés pour cibler et traiter des maladies telles que le cancer ou les maladies auto-immunes. Ces anticorps sont conçus pour se lier uniquement aux cellules cancéreuses ou aux molécules impliquées dans la maladie, minimisant ainsi les dommages collatéraux sur les cellules saines.

En résumé, la spécificité des anticorps est un concept clé en immunologie et en médecine, qui décrit la capacité d'un type particulier d'anticorps à se lier de manière sélective à une cible ou à un antigène spécifique. Cette propriété est essentielle pour le diagnostic et le traitement des maladies.

Les techniques de double hybride sont des méthodes de biologie moléculaire utilisées pour étudier les interactions entre deux séquences d'ADN ou d'ARN spécifiques. Ces techniques impliquent généralement la création de deux constructions plasmidiques différentes : l'une contenant une séquence d'ADN régulateur (promoteur, enhancer, etc.) liée à un gène rapporteur, et l'autre contenant une séquence d'ADN cible liée à une séquence de reconnaissance pour une protéine de fusion ADN-protéine de liaison à l'ADN (par exemple, la gal4-ADN-protéine de liaison à l'ADN).

Lorsque les deux plasmides sont transfectés dans des cellules hôtes appropriées, telles que des levures, et que les protéines de fusion correspondantes interagissent avec les séquences d'ADN régulateur et cible, le gène rapporteur est activé, ce qui permet la détection et l'analyse de l'interaction entre les deux séquences d'intérêt.

Les techniques de double hybride sont largement utilisées dans l'étude des interactions protéine-ADN, protéine-protéine et ARN-protéine, ainsi que dans la découverte de nouveaux gènes et dans l'analyse fonctionnelle de promoteurs et d'enhancers.

Il est important de noter qu'il existe plusieurs variantes des techniques de double hybride, telles que les tests de double hybride yeast two-hybrid (Y2H) et les tests de double hybride mammalian two-hybrid (M2H), qui diffèrent dans la façon dont elles sont mises en œuvre et dans les systèmes cellulaires utilisés pour les exécuter.

Je suis désolé, "Suidae" ne correspond pas à un terme médical spécifique. Il s'agit plutôt d'un terme taxonomique dans la zoologie qui fait référence à la famille des porcs et des sangliers. Cette famille comprend diverses espèces de suidés, y compris le sanglier (Sus scrofa) et le cochon domestique (Sus scrofa domesticus). Si vous cherchiez une définition médicale ou liée à la santé, pourriez-vous svp vérifier si l'orthographe est correcte ou fournir plus de détails ? Je suis là pour aider.

Je suis désolé, mais la combinaison "Amino-2 Purine" ne correspond à aucun terme médical ou biochimique reconnu. Les acides aminés et les purines sont deux classes différentes de molécules organiques importantes pour la vie, mais elles ne forment pas ensemble un terme médical ou biochimique standard.

Les acides aminés sont les blocs de construction des protéines, tandis que les purines sont des bases azotées qui font partie de l'ADN et de l'ARN, ainsi que d'autres molécules importantes comme l'ATP (adénosine triphosphate).

Si vous cherchiez des informations sur un sujet spécifique lié aux acides aminés ou aux purines, je serais heureux de vous aider avec cela.

Le cytoplasme est la substance fluide et colloïdale comprise dans la membrane plasmique d'une cellule, excluant le noyau et les autres organites délimités par une membrane. Il est composé de deux parties : la cytosol (liquide aqueux) et les organites non membranaires tels que les ribosomes, les inclusions cytoplasmiques et le cytosquelette. Le cytoplasme est le siège de nombreuses réactions métaboliques et abrite également des structures qui participent à la division cellulaire, au mouvement cellulaire et à la communication intercellulaire.

La dénaturation des acides nucléiques est un processus qui se produit lorsque vous exposez l'ADN ou l'ARN à des conditions extrêmes, telles qu'une chaleur élevée, des agents chimiques agressifs ou des changements de pH. Cela entraîne la séparation des deux brins d'acide nucléique en rompant les liaisons hydrogène entre eux, ce qui modifie leur structure tridimensionnelle normale. Dans le cas d'une dénaturation acide spécifiquement, cela se réfère généralement à l'exposition de l'acide nucléique à des conditions de pH très bas (inférieur à 5,0), ce qui peut également affaiblir ou briser ces liaisons hydrogène et provoquer la dénaturation.

Il est important de noter que la dénaturation des acides nucléiques est souvent un événement indésirable dans de nombreux contextes de recherche biomédicale, car elle peut interférer avec des processus tels que la réplication de l'ADN et la transcription de l'ARN. Cependant, il existe également des situations où la dénaturation intentionnelle des acides nucléiques est souhaitable, comme dans les techniques de PCR (réaction en chaîne par polymérase) où la séparation des brins d'ADN est une étape clé du processus.

En bref, la dénaturation acide des acides nucléiques fait référence au processus de séparation des deux brins d'acide nucléique en exposant l'ADN ou l'ARN à des conditions de pH très bas, ce qui entraîne la modification de leur structure tridimensionnelle normale.

Le Virus Respiratoire Syncytial Humain (VRS) est un virus à ARN simple brin de la famille des Pneumoviridae. Il est l'agent pathogène le plus courant responsable des infections respiratoires aiguës chez les nourrissons et les jeunes enfants, bien que tous les âges puissent être affectés. Le VRS se réplique dans les cellules épithéliales du tractus respiratoire inférieur et supérieur.

Les infections peuvent varier de légères à graves, allant d'un simple rhume à une bronchiolite ou une pneumonie. Les symptômes courants incluent la toux, l'écoulement nasal, la fièvre, la respiration rapide et superficielle, et dans les cas plus sévères, une détresse respiratoire. Le VRS est très contagieux et se propage généralement par contact direct avec des gouttelettes infectées ou par contact avec des surfaces contaminées.

Le diagnostic peut être posé par détection du génome viral dans des échantillons respiratoires à l'aide de techniques de biologie moléculaire, telles que la PCR en temps réel. Actuellement, il n'existe pas de vaccin disponible contre le VRS, mais des traitements symptomatiques peuvent être proposés pour soulager les complications respiratoires. Des mesures d'hygiène strictes, telles que le lavage des mains fréquent et l'évitement des contacts étroits avec des personnes malades, sont recommandées pour prévenir la transmission du virus.

La maladie de Paget des os est une affection caractérisée par un remodelage osseux anormal et excessif, entraînant des os fragiles et déformés. Dans cette maladie, les ostéoclastes, qui sont des cellules responsables de la résorption osseuse, deviennent hyperactifs et décomposent l'os à un rythme accéléré. Les ostéoblastes, qui sont responsables de la formation osseuse, tentent de compenser ce processus en produisant du tissu osseux plus rapidement, mais le nouveau tissu osseux est souvent moins organisé et plus fragile que le tissu osseux normal.

Les symptômes de la maladie de Paget des os peuvent inclure des douleurs osseuses, des déformations osseuses, des fractures osseuses fréquentes, des compressions nerveuses, une perte auditive et une augmentation de la température corporelle. Les zones les plus couramment touchées sont le crâne, les vertèbres, le bassin, les fémurs et les tibias.

La cause exacte de cette maladie est inconnue, mais il existe des facteurs de risque connus tels que l'âge avancé, le sexe masculin, la génétique et certaines expositions environnementales telles que la présence du virus de la vaccine dans l'organisme. Le diagnostic de la maladie de Paget des os est généralement posé sur la base d'une combinaison de signes cliniques, de résultats d'imagerie et de tests sanguins spécifiques.

Le traitement de cette maladie dépend de sa gravité et de l'étendue des dommages osseux. Les options thérapeutiques peuvent inclure des médicaments pour soulager la douleur, des bisphosphonates pour ralentir le remodelage osseux anormal, et dans certains cas, une chirurgie pour corriger les déformations osseuses ou stabiliser les fractures.

ARN messager (ARNm) est une molécule d'acide ribonucléique simple brin qui transporte l'information génétique codée dans l'ADN vers les ribosomes, où elle dirige la synthèse des protéines. Après la transcription de l'ADN en ARNm dans le noyau cellulaire, ce dernier est transloqué dans le cytoplasme et fixé aux ribosomes. Les codons (séquences de trois nucléotides) de l'ARNm sont alors traduits en acides aminés spécifiques qui forment des chaînes polypeptidiques, qui à leur tour se replient pour former des protéines fonctionnelles. Les ARNm peuvent être régulés au niveau de la transcription, du traitement post-transcriptionnel et de la dégradation, ce qui permet une régulation fine de l'expression génique.

Dans le contexte actuel, les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont été développés en utilisant des morceaux d'ARNm synthétiques qui codent pour une protéine spécifique du virus SARS-CoV-2. Lorsque ces vaccins sont administrés, les cellules humaines produisent cette protéine virale étrangère, ce qui déclenche une réponse immunitaire protectrice contre l'infection par le vrai virus.

Une ribonucléoprotéine (RNP) est une molécule complexe composée d'un ARN (acide ribonucléique) associé à une ou plusieurs protéines. Ce complexe joue un rôle crucial dans divers processus cellulaires, tels que la régulation de l'expression des gènes, la traduction des ARN messagers en protéines et le traitement des ARN. Les RNP peuvent être classées en différentes catégories selon leur fonction et la nature de leurs composants. Par exemple, les ribosomes, qui sont responsables de la synthèse des protéines, sont eux-mêmes des RNP composées d'ARN ribosomique et de plusieurs protéines ribosomiques associées. D'autres exemples incluent les complexes spliceosomes, qui catalysent l'excision des introns et la jonction des exons dans les ARN pré-messagers, ainsi que les petites RNP (snRNP), qui sont impliquées dans divers processus de régulation post-transcriptionnelle.

La Fièvre Hémorragique de Crimée-Congo (FHCC) est une maladie virale aiguë grave causée par le virus Nairovirus, qui appartient à la famille des Bunyaviridae. La FHCC se caractérise principalement par l'apparition soudaine d'une forte fièvre, suivie de douleurs musculaires et articulaires, de maux de tête sévères, de faiblesse générale, de saignements cutanés et des muqueuses, ainsi que de possibles hémorragies internes.

Le virus se transmet généralement à l'homme par contact avec du bétail infecté ou par la piqûre d'une tique hygromante du genre Hyalomma, qui est le vecteur principal de transmission. Les symptômes apparaissent en moyenne une semaine après l'infection et peuvent durer deux à trois semaines. Le taux de mortalité associé à la FHCC varie entre 10% et 40%, selon les sources et la qualité des soins médicaux prodigués.

La prévention de la FHCC repose sur la protection contre les piqûres de tiques, l'utilisation de vêtements protecteurs lors du contact avec le bétail infecté, ainsi que sur la mise en place de mesures d'hygiène strictes pour éviter la transmission interhumaine. Actuellement, il n'existe pas de vaccin ou de traitement spécifique contre cette maladie, et les soins consistent principalement à soutenir les fonctions vitales du patient jusqu'à ce que l'organisme élimine le virus.

En médecine et en pharmacologie, la cinétique fait référence à l'étude des changements quantitatifs dans la concentration d'une substance (comme un médicament) dans le corps au fil du temps. Cela inclut les processus d'absorption, de distribution, de métabolisme et d'excrétion de cette substance.

1. Absorption: Il s'agit du processus par lequel une substance est prise par l'organisme, généralement à travers la muqueuse gastro-intestinale après ingestion orale.

2. Distribution: C'est le processus par lequel une substance se déplace dans différents tissus et fluides corporels.

3. Métabolisme: Il s'agit du processus par lequel l'organisme décompose ou modifie la substance, souvent pour la rendre plus facile à éliminer. Ce processus peut également activer ou désactiver certains médicaments.

4. Excrétion: C'est le processus d'élimination de la substance du corps, généralement par les reins dans l'urine, mais aussi par les poumons, la peau et les intestins.

La cinétique est utilisée pour prédire comment une dose unique ou répétée d'un médicament affectera le patient, ce qui aide à déterminer la posologie appropriée et le schéma posologique.

Balb C est une souche inbred de souris de laboratoire largement utilisée dans la recherche biomédicale. Ces souris sont appelées ainsi en raison de leur lieu d'origine, le laboratoire de l'Université de Berkeley, où elles ont été développées à l'origine.

Les souries Balb C sont connues pour leur système immunitaire particulier. Elles présentent une réponse immune Th2 dominante, ce qui signifie qu'elles sont plus susceptibles de développer des réponses allergiques et asthmatiformes. En outre, elles ont également tendance à être plus sensibles à certains types de tumeurs que d'autres souches de souris.

Ces caractéristiques immunitaires uniques en font un modèle idéal pour étudier diverses affections, y compris les maladies auto-immunes, l'asthme et le cancer. De plus, comme elles sont inbredées, c'est-à-dire que chaque souris de cette souche est génétiquement identique à toutes les autres, elles offrent une base cohérente pour la recherche expérimentale.

Cependant, il est important de noter que les résultats obtenus sur des modèles animaux comme les souris Balb C peuvent ne pas toujours se traduire directement chez l'homme en raison des différences fondamentales entre les espèces.

Le virus du sarcome aviaire, également connu sous le nom de virus de l'avian sarcoma (ASV), est un rétrovirus qui cause des tumeurs malignes chez les oiseaux. Il s'agit d'un oncovirus qui appartient à la famille des Retroviridae et au genre Alpharetrovirus. Ce virus est étroitement lié au virus de la leucose aviaire (ALV), mais il se distingue par sa capacité à induire des sarcomes chez les oiseaux infectés.

Le virus du sarcome aviaire est capable d'intégrer son matériel génétique dans le génome de l'hôte, ce qui peut entraîner une transformation maligne des cellules et la formation de tumeurs. Les tumeurs induites par l'ASV peuvent se développer dans divers tissus, y compris les muscles, les os, les vaisseaux sanguins et le tissu conjonctif.

L'infection par l'ASV est courante chez les oiseaux d'élevage tels que les poulets et les canards, ainsi que chez certains oiseaux sauvages. La transmission du virus se produit généralement par contact direct avec des sécrétions ou des excrétions infectées, telles que la salive, le sang, les larmes ou les fientes.

Il est important de noter que le virus du sarcome aviaire ne présente aucun risque pour la santé humaine, car il est spécifique aux oiseaux et ne peut pas infecter les mammifères, y compris les humains.

Les peptides sont de courtes chaînes d'acides aminés, liés entre eux par des liaisons peptidiques. Ils peuvent contenir jusqu'à environ 50 acides aminés. Les peptides sont produits naturellement dans le corps humain et jouent un rôle crucial dans de nombreuses fonctions biologiques, y compris la signalisation cellulaire et la régulation hormonale. Ils peuvent également être synthétisés en laboratoire pour une utilisation dans la recherche médicale et pharmaceutique. Les peptides sont souvent utilisés comme médicaments car ils peuvent se lier sélectivement à des récepteurs spécifiques et moduler leur activité, ce qui peut entraîner une variété d'effets thérapeutiques.

Il existe de nombreux types différents de peptides, chacun ayant des propriétés et des fonctions uniques. Certains peptides sont des hormones, comme l'insuline et l'hormone de croissance, tandis que d'autres ont des effets anti-inflammatoires ou antimicrobiens. Les peptides peuvent également être utilisés pour traiter une variété de conditions médicales, telles que la douleur, l'arthrite, les maladies cardiovasculaires et le cancer.

Dans l'ensemble, les peptides sont des molécules importantes qui jouent un rôle clé dans de nombreux processus biologiques et ont des applications prometteuses dans le domaine médical et pharmaceutique.

La masse moléculaire est un concept utilisé en chimie et en biochimie qui représente la masse d'une molécule. Elle est généralement exprimée en unités de masse atomique unifiée (u), également appelées dalton (Da).

La masse moléculaire d'une molécule est déterminée en additionnant les masses molaires des atomes qui la composent. La masse molaire d'un atome est elle-même définie comme la masse d'un atome en grammes divisée par sa quantité de substance, exprimée en moles.

Par exemple, l'eau est composée de deux atomes d'hydrogène et un atome d'oxygène. La masse molaire de l'hydrogène est d'environ 1 u et celle de l'oxygène est d'environ 16 u. Ainsi, la masse moléculaire de l'eau est d'environ 18 u (2 x 1 u pour l'hydrogène + 16 u pour l'oxygène).

La détermination de la masse moléculaire est importante en médecine et en biochimie, par exemple dans l'identification et la caractérisation des protéines et des autres biomolécules.

La recombinaison génétique est un processus biologique qui se produit pendant la méiose, une forme spécialisée de division cellulaire qui conduit à la production de cellules sexuelles (gamètes) dans les organismes supérieurs. Ce processus implique l'échange réciproque de segments d'ADN entre deux molécules d'ADN homologues, résultant en des combinaisons uniques et nouvelles de gènes sur chaque molécule.

La recombinaison génétique est importante pour la diversité génétique au sein d'une population, car elle permet la création de nouveaux arrangements de gènes sur les chromosomes. Ces nouveaux arrangements peuvent conférer des avantages évolutifs aux organismes qui les portent, tels qu'une meilleure adaptation à l'environnement ou une résistance accrue aux maladies.

Le processus de recombinaison génétique implique plusieurs étapes, y compris la synapse des chromosomes homologues, la formation de chiasmas (points où les chromosomes s'entrecroisent), l'échange de segments d'ADN entre les molécules d'ADN homologues et la séparation finale des chromosomes homologues. Ce processus est médié par une série de protéines spécialisées qui reconnaissent et lient les séquences d'ADN homologues, catalysant ainsi l'échange de segments d'ADN entre elles.

La recombinaison génétique peut également se produire dans des cellules somatiques (cellules non sexuelles) en réponse à des dommages à l'ADN ou lors de processus tels que la réparation de brèches dans l'ADN. Ce type de recombinaison génétique est appelé recombinaison homologue et peut contribuer à la stabilité du génome en réparant les dommages à l'ADN.

Cependant, une recombinaison génétique excessive ou incorrecte peut entraîner des mutations et des instabilités chromosomiques, ce qui peut conduire au développement de maladies telles que le cancer. Par conséquent, la régulation de la recombinaison génétique est essentielle pour maintenir l'intégrité du génome et prévenir les maladies associées à des mutations et des instabilités chromosomiques.

L'enzyme HIV Protease est une protéase virale essentielle à la réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), qui cause le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA). Cette enzyme joue un rôle crucial dans la maturation et la libération des nouveaux virions du VIH à partir des cellules infectées.

Le VIH utilise l'ARN comme matériel génétique, qui doit être converti en ADN par une enzyme appelée reverse transcriptase avant d'être intégré dans le génome de la cellule hôte. Une fois que l'intégration a eu lieu, les gènes viraux sont transcrits et traduits pour produire des polyprotéines non fonctionnelles. HIV Protease est responsable de cliver ces polyprotéines en fragments plus petits et fonctionnels qui peuvent s'assembler pour former de nouveaux virions matures.

En raison de son rôle essentiel dans le cycle de réplication du VIH, HIV Protease est considérée comme une cible importante pour le développement d'inhibiteurs de protéases, qui sont largement utilisés dans le traitement de l'infection par le VIH. Ces médicaments se lient spécifiquement à l'enzyme et empêchent sa fonction, entraînant la production de virions immatures et non infectieux.

La «libération de virus» dans un contexte médical fait référence au processus par lequel les virus infectieux sont libérés à partir des cellules hôtes qu'ils ont préalablement infectées et utilisées pour se répliquer. Après s'être attaché à une cellule hôte et avoir été internalisé, un virus utilise les ressources de la cellule pour produire de nombreuses copies de lui-même. Une fois que suffisamment de virions (formes infectieuses individuelles d'un virus) sont produits, le virus peut employer divers mécanismes pour les libérer dans le milieu extracellulaire, prêts à infecter d'autres cellules hôtes.

Les mécanismes de libération de virus peuvent inclure la lyse (la rupture) des membranes cellulaires, entraînant la mort de la cellule hôte et la libération passive des virions; ou l'utilisation de mécanismes plus actifs tels que l'exocytose, où les virions sont emballés dans des vésicules et expulsés de manière contrôlée par la cellule. La libération de virus est un aspect crucial du cycle de réplication virale et constitue une cible importante pour le développement de thérapies antivirales visant à arrêter la propagation de l'infection.

La microscopie immunoélectronique est une technique de microscopie avancée qui combine l'utilisation d'antibodies marqués avec un microscope électronique pour détecter et localiser des antigènes spécifiques dans des échantillons biologiques à l'échelle ultrastructurale. Cette méthode permet une visualisation précise de la distribution et de la localisation subcellulaires des protéines et d'autres molécules d'intérêt dans les tissus, les cellules ou les organites.

Le processus implique généralement plusieurs étapes :

1. Préparation de l'échantillon : Les échantillons sont préparés en fixant et en sectionnant des tissus ou des cellules, suivis d'un traitement pour permeabiliser les membranes cellulaires et faciliter la pénétration des anticorps.
2. Marquage immunologique : Les échantillons sont incubés avec des anticorps primaires spécifiques de l'antigène d'intérêt, qui sont ensuite détectés à l'aide d'anticorps secondaires marqués avec des particules d'or ou d'autres étiquettes pouvant être visualisées au microscope électronique.
3. Visualisation : Les échantillons sont examinés sous un microscope électronique, ce qui permet une résolution et une précision accrues par rapport à la microscopie optique traditionnelle. La localisation des particules d'or révèle la distribution de l'antigène dans l'échantillon.

Cette technique est largement utilisée en recherche biomédicale pour étudier la structure et la fonction des cellules, ainsi que pour déterminer l'expression et la localisation des protéines dans divers processus pathologiques et physiologiques.

L'électrophorèse sur gel de polyacrylamide (PAGE) est une technique de laboratoire couramment utilisée dans le domaine du testing et de la recherche médico-légales, ainsi que dans les sciences biologiques, y compris la génétique et la biologie moléculaire. Elle permet la séparation et l'analyse des macromolécules, telles que les protéines et l'ADN, en fonction de leur taille et de leur charge.

Le processus implique la création d'un gel de polyacrylamide, qui est un réseau tridimensionnel de polymères synthétiques. Ce gel sert de matrice pour la séparation des macromolécules. Les échantillons contenant les molécules à séparer sont placés dans des puits creusés dans le gel. Un courant électrique est ensuite appliqué, ce qui entraîne le mouvement des molécules vers la cathode (pôle négatif) ou l'anode (pôle positif), selon leur charge. Les molécules plus petites se déplacent généralement plus rapidement à travers le gel que les molécules plus grandes, ce qui permet de les séparer en fonction de leur taille.

La PAGE est souvent utilisée dans des applications telles que l'analyse des protéines et l'étude de la structure et de la fonction des protéines, ainsi que dans le séquençage de l'ADN et l'analyse de fragments d'ADN. Elle peut également être utilisée pour détecter et identifier des modifications post-traductionnelles des protéines, telles que les phosphorylations et les glycosylations.

Dans le contexte médical, la PAGE est souvent utilisée dans le diagnostic et la recherche de maladies génétiques et infectieuses. Par exemple, elle peut être utilisée pour identifier des mutations spécifiques dans l'ADN qui sont associées à certaines maladies héréditaires. Elle peut également être utilisée pour détecter et identifier des agents pathogènes tels que les virus et les bactéries en analysant des échantillons de tissus ou de fluides corporels.

L'histidine est un acide aminé essentiel, ce qui signifie qu'il est indispensable à l'organisme mais ne peut être synthétisé par celui-ci et doit donc être apporté par l'alimentation. Sa formule chimique est C6H9N3O2.

L'histidine joue un rôle important dans plusieurs processus physiologiques, notamment la régulation du pH cellulaire grâce à sa capacité à capter ou libérer des ions hydrogène (protons) en fonction de l'environnement. Elle intervient également dans la synthèse de certaines molécules telles que l'hémoglobine, les hormones et les neurotransmetteurs.

Un apport adéquat en histidine est crucial pour le développement et la croissance normaux, en particulier chez les nourrissons et les enfants. Des carences en histidine peuvent entraîner une diminution de l'appétit, des retards de croissance, des troubles neurologiques et immunitaires.

Les sources alimentaires d'histidine comprennent la viande rouge, la volaille, le poisson, les œufs, les produits laitiers, les légumineuses, les noix et certaines céréales complètes.

L'ADN monocaténaire est une forme d'acide désoxyribonucléique qui ne contient qu'une seule chaîne ou brin de nucléotides. Dans la plupart des cellules, l'ADN existe sous forme de double hélice, composée de deux brins complémentaires qui s'enroulent ensemble. Cependant, dans certaines circonstances, comme lors du processus de réplication ou de réparation de l'ADN, il peut être temporairement présenté sous forme monocaténaire.

L'ADN monocaténaire est également observé dans certains virus à ADN, tels que les parvovirus, qui ont un génome d'ADN simple brin. Dans ces virus, l'ADN monocaténaire est la forme infectieuse et doit être converti en double brin pour permettre la réplication et la transcription de son génome.

Il convient de noter que l'ADN monocaténaire est plus fragile et sujet à la dégradation par les nucléases, qui sont des enzymes qui coupent l'ADN, que l'ADN double brin. Par conséquent, il doit être stabilisé et protégé pour maintenir son intégrité structurelle et fonctionnelle.

La phylogénie est une discipline scientifique qui étudie et reconstruit l'histoire évolutive des espèces ou groupes d'organismes vivants, en se basant sur leurs caractères biologiques partagés. Elle vise à déterminer les relations de parenté entre ces différents taxons (unités systématiques) et à établir leur arbre évolutif, appelé également phylogramme ou cladogramme.

Dans un contexte médical, la phylogénie peut être utilisée pour comprendre l'évolution des agents pathogènes, tels que les virus, bactéries ou parasites. Cette approche permet de mieux appréhender leur diversité génétique, l'origine et la diffusion des épidémies, ainsi que d'identifier les facteurs responsables de leur virulence ou résistance aux traitements. En conséquence, elle contribue au développement de stratégies préventives et thérapeutiques plus efficaces contre les maladies infectieuses.

Le chlorure de magnésium est un composé chimique qui se compose d'ions magnésium et d'ions chlorure. Le magnésium est un minéral essentiel pour le corps humain, jouant un rôle important dans de nombreuses fonctions corporelles, telles que la régulation de la fonction musculaire et nerveuse, la production d'énergie et la synthèse des protéines. Le chlorure est également un électrolyte essentiel qui aide à maintenir l'équilibre hydrique et électrolytique dans le corps.

Le chlorure de magnésium est souvent utilisé comme supplément nutritionnel pour prévenir ou traiter les carences en magnésium. Il peut être trouvé sous forme de poudre ou de solution, et il est généralement pris par voie orale. Cependant, il est important de noter que des doses élevées de chlorure de magnésium peuvent entraîner des effets secondaires indésirables, tels que des nausées, des diarrhées et des crampes musculaires.

En outre, le chlorure de magnésium peut interagir avec certains médicaments, tels que les antibiotiques, les diurétiques et les médicaments contre l'hypertension artérielle. Par conséquent, il est important de consulter un professionnel de la santé avant de prendre des suppléments de chlorure de magnésium, en particulier si vous avez des problèmes de santé sous-jacents ou si vous prenez d'autres médicaments.

L'Avian Myeloblastosis Virus (AMV) est un type de rétrovirus qui affecte les oiseaux, en particulier les poulets. Il est classé dans le genre des Alpharetrovirus et appartient à la famille des Retroviridae. Le virus se réplique en insérant son matériel génétique sous forme d'ARN dans celui de l'hôte, puis en le convertissant en ADN grâce à une enzyme appelée transcriptase inverse.

Le AMV est connu pour provoquer une maladie appelée myéloblastose aviaire, qui est un cancer des cellules souches hématopoïétiques dans la moelle osseuse. Cela conduit à une prolifération anormale et incontrôlable de globules blancs immatures, ou myéloblastes, entraînant une leucémie. Les oiseaux infectés peuvent présenter des symptômes tels qu'une fatigue extrême, une perte d'appétit, un gonflement du foie et de la rate, une augmentation du nombre de globules blancs dans le sang et éventuellement la mort.

Le AMV est également utilisé en recherche scientifique comme outil pour étudier la biologie des rétrovirus et la fonction des gènes cellulaires. Il a été important dans le développement de la compréhension des mécanismes moléculaires de la réplication des rétrovirus, de la transcription inverse et de l'intégration du génome viral dans celui de l'hôte.

Je suis désolé, mais la requête « Protéine Hn » est trop vague. Il existe plusieurs protéines désignées par le préfixe « Hn », telles que les protéines HnRNP (protéines associées aux granules nucléaires ribonucléoprotéiques hétérogènes) ou les histones H1, H2A, H2B, H3 et H4. Chacune d'entre elles a des fonctions et des caractéristiques distinctes dans le contexte de la biologie moléculaire et cellulaire.

Par exemple :

- Les protéines HnRNP sont associées aux granules nucléaires ribonucléoprotéiques hétérogènes (HnRNP) et jouent un rôle important dans le traitement des ARN messagers précurseurs (pré-ARNm) dans le noyau cellulaire. Elles sont également associées à divers processus tels que l'épissage de l'ARN, la régulation de la transcription et la stabilité de l'ARN.

- Les histones H1, H2A, H2B, H3 et H4 sont des protéines structurelles importantes dans la chromatine, où elles aident à compacter l'ADN en nucléosomes. Chacune d'entre elles a une fonction spécifique dans le complexe de l'octamère d'histones et contribue à la structure et à la régulation de l'expression des gènes.

Pour obtenir une réponse plus précise, veuillez fournir une définition plus complète ou spécifier le type de protéine Hn auquel vous faites référence.

La biosynthèse des protéines est le processus biologique au cours duquel une protéine est synthétisée à partir d'un acide aminé. Ce processus se déroule en deux étapes principales: la transcription et la traduction.

La transcription est la première étape de la biosynthèse des protéines, au cours de laquelle l'information génétique codée dans l'ADN est utilisée pour synthétiser un brin complémentaire d'ARN messager (ARNm). Cette étape a lieu dans le noyau cellulaire.

La traduction est la deuxième étape de la biosynthèse des protéines, au cours de laquelle l'ARNm est utilisé comme modèle pour synthétiser une chaîne polypeptidique dans le cytoplasme. Cette étape a lieu sur les ribosomes, qui sont des complexes d'ARN ribosomal et de protéines situés dans le cytoplasme.

Au cours de la traduction, chaque codon (une séquence de trois nucléotides) de l'ARNm spécifie un acide aminé particulier qui doit être ajouté à la chaîne polypeptidique en croissance. Cette information est déchiffrée par des ARN de transfert (ARNt), qui transportent les acides aminés correspondants vers le site actif du ribosome.

La biosynthèse des protéines est un processus complexe et régulé qui joue un rôle crucial dans la croissance, le développement et la fonction cellulaire normaux. Des anomalies dans ce processus peuvent entraîner une variété de maladies, y compris des maladies génétiques et des cancers.

Je suis désolé, mais la combinaison de termes "Cellules Cos" ne renvoie à aucune définition médicale établie. Il est possible que vous ayez voulu dire «cellules souches» (stem cells en anglais), qui sont des cellules indifférenciées capables de se différencier en divers types de cellules spécialisées dans le corps. Elles jouent un rôle crucial dans la croissance, la réparation et la régénération des tissus. Si vous cherchiez une information spécifique sur les cellules souches ou sur un autre sujet médical, n'hésitez pas à me fournir plus de détails et je ferai de mon mieux pour vous aider.

La ribonucléase H est un type d'enzyme qui coupe ou clive spécifiquement l'ARN dans les acides ribonucléiques hybrides (ARN/DNA), où l'ARN est associé à de l'ADN. Cette enzyme joue un rôle crucial dans la réplication et la transcription des virus, ainsi que dans le métabolisme des ARN cellulaires.

Il existe deux principaux types de ribonucléases H : la ribonucléase H1 et la ribonucléase H2. La ribonucléase H1 clive l'ARN au milieu d'une séquence ARN/DNA hybride, tandis que la ribonucléase H2 clive généralement l'ARN à l'extrémité 5' de la région hybride.

La ribonucléase H est essentielle pour plusieurs processus cellulaires, tels que la réparation des dommages à l'ADN et la régulation de l'expression génétique. Elle est également ciblée par certains médicaments antiviraux, car elle intervient dans le cycle de réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH).

Escherichia coli (E. coli) est une bactérie gram-negative, anaérobie facultative, en forme de bâtonnet, appartenant à la famille des Enterobacteriaceae. Elle est souvent trouvée dans le tractus gastro-intestinal inférieur des humains et des animaux warms blooded. La plupart des souches d'E. coli sont inoffensives et font partie de la flore intestinale normale, mais certaines souches peuvent causer des maladies graves telles que des infections urinaires, des méningites, des septicémies et des gastro-entérites. La souche la plus courante responsable d'infections diarrhéiques est E. coli entérotoxigénique (ETEC). Une autre souche préoccupante est E. coli producteur de shigatoxines (STEC), y compris la souche hautement virulente O157:H7, qui peut provoquer des colites hémorragiques et le syndrome hémolytique et urémique. Les infections à E. coli sont généralement traitées avec des antibiotiques, mais certaines souches sont résistantes aux médicaments couramment utilisés.

La mutagénèse est un processus par lequel l'ADN (acide désoxyribonucléique) d'un organisme est modifié, entraînant des modifications génétiques héréditaires. Ces modifications peuvent être causées par des agents physiques ou chimiques appelés mutagènes. Les mutations peuvent entraîner une variété d'effets, allant de neutre à nocif pour l'organisme. Elles jouent un rôle important dans l'évolution et la diversité génétique, mais elles peuvent également contribuer au développement de maladies, en particulier le cancer.

Il existe différents types de mutations, y compris les point mutations (qui affectent une seule base nucléotidique), les délétions (perte d'une partie de la séquence d'ADN) et les insertions (ajout d'une partie de la séquence d'ADN). La mutagénèse est un domaine important de l'étude de la génétique et de la biologie moléculaire, car elle peut nous aider à comprendre comment fonctionnent les gènes et comment ils peuvent être affectés par des facteurs environnementaux.

Les tests sérologiques sont des examens de laboratoire qui détectent la présence d'anticorps spécifiques dans le sang. Ils sont utilisés pour identifier si une personne a déjà été exposée à un agent infectieux, comme un virus ou une bactérie, et a développé une réponse immunitaire contre celui-ci. Les anticorps sont des protéines produites par le système immunitaire en réponse à la présence d'une substance étrangère, telle qu'un agent pathogène.

Les tests sérologiques peuvent être utiles pour diagnostiquer certaines maladies infectieuses, en particulier celles qui peuvent ne pas présenter de symptômes évidents ou dont les symptômes peuvent être similaires à ceux d'autres affections. Ils peuvent également être utilisés pour surveiller la propagation d'une maladie dans une population et pour évaluer l'efficacité des vaccins.

Cependant, il est important de noter que les tests sérologiques ne détectent pas toujours les infections actives, car il peut y avoir un délai entre l'exposition à un agent pathogène et la production d'anticorps détectables. De plus, certains facteurs peuvent affecter la sensibilité et la spécificité des tests sérologiques, ce qui peut entraîner des résultats faussement positifs ou négatifs. Par conséquent, les résultats des tests sérologiques doivent être interprétés avec prudence et en conjonction avec d'autres informations cliniques pertinentes.

Je suis désolé, "Régions 5" non traduites ne semble pas être une terminologie ou un concept reconnu dans le domaine médical. Il est possible que ce terme soit utilisé dans un contexte spécifique à une certaine étude, recherche, ou dans un document en particulier, dans ce cas, je vous recommande de chercher la source d'origine pour avoir une définition claire et précise. Sinon, il est possible que ce ne soit pas une expression médicale correcte ou couramment utilisée.

La technique des anticorps fluorescents, également connue sous le nom d'immunofluorescence, est une méthode de laboratoire utilisée en médecine et en biologie pour détecter et localiser les antigènes spécifiques dans des échantillons tels que des tissus, des cellules ou des fluides corporels. Cette technique implique l'utilisation d'anticorps marqués avec des colorants fluorescents, tels que la FITC (fluorescéine isothiocyanate) ou le TRITC (tétraméthylrhodamine isothiocyanate).

Les anticorps sont des protéines produites par le système immunitaire qui reconnaissent et se lient spécifiquement à des molécules étrangères, appelées antigènes. Dans la technique des anticorps fluorescents, les anticorps marqués sont incubés avec l'échantillon d'intérêt, ce qui permet aux anticorps de se lier aux antigènes correspondants. Ensuite, l'échantillon est examiné sous un microscope à fluorescence, qui utilise une lumière excitatrice pour activer les colorants fluorescents et produire une image lumineuse des sites d'antigène marqués.

Cette technique est largement utilisée en recherche et en médecine diagnostique pour détecter la présence et la distribution d'un large éventail d'antigènes, y compris les protéines, les sucres et les lipides. Elle peut être utilisée pour diagnostiquer une variété de maladies, telles que les infections bactériennes ou virales, les maladies auto-immunes et le cancer.

La famille de virus Rétroviridae comprend des virus à ARN monocaténaire qui ont la capacité unique de transcoder leur matériel génétique en ADN, un processus appelé transcription inverse. Ce sont des virus enveloppés avec une capside icosaédrique protégeant le génome viral. Les rétrovirus sont associés à diverses maladies chez l'homme et les animaux, y compris le sida chez l'homme, causé par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Le cycle réplicatif des rétrovirus implique une entrée dans l'hôte cellulaire, la transcription inverse du génome ARN en ADN bicaténaire par l'enzyme reverse transcriptase, l'intégration de l'ADN viral dans le génome de l'hôte par l'enzyme integrase, et ensuite la transcription et la traduction des gènes viraux pour produire de nouvelles particules virales.

Le gène M code la protéine de la matrice qui aurait pour rôle d'interagir entre les protéines d'enveloppe et la nucléocapside. ... Ces trois protéines forment avec l'ARN viral la nucléocapside (ou holonucléocapside). La nucléoprotéine forme avec l'ARN un ... Une fois le virus attaché, la protéine de fusion est activée, insère un de ces domaines dans la membrane cellulaire et ... Les gènes F et HN codent respectivement la protéine de fusion F et l'hémagglutinine-neuraminidase HN, qui sont les deux ...
Les protéines nucléocapside p7 (NC) protègent l'ARN viral en le recouvrant. La protéine p6 est exclue de la capside et se ... Dans cette capside : la nucléocapside, formée de l'ARN viral, des protéines de nucléocapside, de la transcriptase inverse et de ... Les protéines de structure du virus (matrice, capside et nucléocapside) sont produites sous forme de polyprotéines dénommées ... Ceci va libérer la Matrice de la Capside et de la Nucléocapside, cette dernière restant fixée sur l'ARN viral. Les protéines de ...
La protéine ou les protéines de nucléocapside NC ou NCp7 sont des protéines de structure chez les rétrovirus, comme le virus de ... La protéine de nucléocapside NCp7 est donc produite et présente seulement chez les virions matures. La protéine de ... La protéine de nucléocapside NCp7 effectue ses fonctions dans des conditions environnementales très précises. En effet, elle ... Elle demeure une protéine à cibler prioritairemet dans la lutte contre le VIH. Le gène codant la protéine NCp7 se retrouve dans ...
La nucléocapside est formée de deux protéines de capside paralogue, qui entourent étroitement le génome. Remarquablement, la ... déshydratation de l'ADN génomique par les principales protéines de capside le transforme d'ADN B en ADN A. (en) Cet article est ...
... les nucléosomes et les protéines de la nucléocapside virale. Les nucléoprotéines ont tendance à être chargées positivement, ... Protéine de liaison à l'ADN Protéine de liaison à l'ARN (en) MeSH Nucleoproteins >Graeme K. Hunter G. K. (2000): Vital Forces. ... Par exemple, les RNP dans les snRNP ont un motif de liaison à l'ARN dans leur protéine de liaison à l'ARN. Les résidus d'acides ... Les protéines associées à l'ADN sont les histones et les protamines ; les nucléoprotéines résultantes sont situées dans les ...
... qui code les protéines de la nucléocapside. Le taux de mutation pour les segments L, M et S est estimé respectivement à 0,58 × ... Les protéines de l'enveloppe forment de petites projections d'environ 5 à 10 nm de long. Les nucléocapsides sont filamenteuses ... On pense que le virus pénètre dans les cellules hôtes à l'aide de la nucléoline (en), une protéine de surface. Compte tenu du ...
... et une protéine non structurale NSs (polarité positive),. La nucléocapside est constituée par la nucléoprotéine N associée aux ... Le segment L (large) code la protéine L, une polymérase. Le segment M (medium) code des glycoprotéines (Gn et Gc) et une ... appelé Clone 13 et présentant une délétion sur le gène codant la protéine NS : alors que le virus complet comptait normalement ... protéine non structurale NSm. Comme chez les autres phlébovirus, le troisième segment ou segment S (small) a une organisation ...
Le génome viral est polyadénylé à son extrémité 3' et son extrémité 5' est liée de façon covalente à une petite protéine virale ... La nucléocapside contient une molécule unique d'ARN génomique. Le génome est constitué d'une molécule unique d'environ 7 500 ... Sur la partie 5' du cadre de lecture se trouvent les séquences codant les 4 protéines structurales du virus (VP1 à VP4) qui ... Elle est formée de 60 protomères, tétramères impliquant chacun un exemplaire des protéines structurales du virus (VP1, VP2, VP3 ...
Cette dernière est constituée de l'ARN génomique, à l'état dimérique, entièrement recouvert de protéines de nucléocapside ( ... à 100nm contenant une nucléocapside icosaédrique Possède une ADN polymérase ARN-dépendante L'ADN proviral est nucléaire Le ... est un virus globulaire possédant une nucléocapside centrale. ...
La protéine N du SARS-CoV est la protéine de la nucléocapside du coronavirus responsable du syndrome respiratoire aigu sévère ( ... La protéine N est responsable de l'arrangement en hélice de l'ARN viral. En plus de sa fonction structurale, la protéine N ... On a fait des expériences pour développer des vaccins à base de la protéine N complète, à base de peptide de la protéine N et ... interagir avec les protéines de l'hôte. Par exemple, la région correspondant aux acides aminés 161 à 210 de la protéine ...
C'est la protéine la plus abondante dans le virus. Elle forme la nucléocapside en se liant tout le long de l'ARN génomique. ... C'est pourquoi la protéine N est la plus nombreuse et la protéine L est la moins nombreuse dans le virus. Les protéines sont ... Protéine large L : Cette protéine forme avec la protéine P l'ARN polymérase ARN-dépendant faisant partie du complexe de ... mais aussi un site d'interaction avec la protéine STAT1,. Protéine V : La principale fonction de cette protéine est de bloquer ...
Les matériaux du noyau sont entourés d'une nucléocapside de symétrie isocaédrique de T = 4, et d'environ 40 nm de diamètre. Des ... Il possède une membrane lipidique avec une glycoprotéine de surface et des protéines réparties sur le pourtour extérieur. ...
La protéine de capside C conditionne alors l'ARN viral sens nouvellement produit pour former la nucléocapside des virions ... La protéine d'enveloppe E est alors glycosylée tandis que la protéine prM (« prémembranaire ») est clivée en protéine M par la ... L'ARN du génome est lié aux protéines de capside C, longues de 105 résidus d'acides aminés, pour former la nucléocapside. Les ... Les protéines structurales sont situées près de l'extrémité 5' du génome viral et sont clivées en protéines fonctionnelles par ...
... un nucléocapside de forme icosaédrique composé de protéines. Le nucléocapside entoure l'ADN viral et une ADN polymérase, qui a ... Il existe quatre gènes codants connus dans le génome, ils sont appelés C, X, P et S. La protéine du core est codée par le gène ... La protéine correspondante est donc synthétisée par les cellules. Un des avantages majeurs d'un tel vaccin est l'expression à ... La protéine kinase, activée par l'IFN α, phosphoryle une sous-unité du facteur d'initiation eIF-2 (eucaryotic Initiation Factor ...
Protéine E (enveloppe) ; Protéine M (membrane) ; Protéine N (nucléocapside) ; c'est elle qui enveloppe et protège l'ARN viral ( ... Ensuite des protéines S sont incorporées. La protéine M dirige la plupart des interactions protéine-protéine nécessaires à ... D'abord, une protéine N (nucléocapside) se fixe à une copie d'ARN et l'empaquette dans une protéine M (membrane) qui donne sa ... le SARS-CoV-2 possède quatre protéines structurales : Protéine S (dite protéine spike, spicule ou protéine spiculaire) : elle ...
D'abord, une protéine N (nucléocapside) se fixe à une copie d'ARN et l'empaquète dans une protéine M (membrane) qui donne sa ... Ensuite des protéines S sont incorporées. La protéine M dirige la plupart des interactions protéine-protéine nécessaires à ... être davantage une protéine structurale qu'une protéine accessoire. Au même titre que les protéines S, M, E et N, la protéine ... à activer la protéine GATA-3 au profit de l'évasion immunitaire du SARS-CoV-2. Sous l'influence de la protéine S, la protéine ...
... nucléocapside). Certains, notamment ceux du sous-groupe A du genre Betacoronavirus, ont une protéine HE (hémagglutinine ... Le cytoplasme de la cellule hôte se remplit de protéines et d'ARN viraux ; (a) La protéine N aide à lier l'ARN génomique pour ... via la protéine de translocation, et se positionnent du côté opposé ; (b) avec la liaison entre la capside et les protéines M, ... où toutes les protéines virales sont attachées. Les coronavirus ont une protéine non structurale - une protéase - qui est ...
... la protéine N de nucléocapside, la protéine S de spicule, la protéine M de membrane et la protéine E d'enveloppe. Il existe ... La protéine N, pour nucléocapside, est une protéine qui est retrouvée à la fois dans le noyau et le cytoplasme et que l'on a ... à trois passages ainsi qu'une longue partie carboxy-terminale qui peut interagir avec la protéine de nucléocapside. La protéine ... De plus, la protéine de nucléocapside serait impliquée au niveau de la modulation de différentes voies de signalisation ...
La nucléocapside du virus de l'herpès B, formée de 6 protéines, est icosaédrique (T = 16) et se compose de 150 hexagones et 12 ... Le tégument contenant au moins 14 protéines virales se situe entre la capside et l'enveloppe. Les protéines du tégument sont ... Les protéines dans le tégument sont la thymidine kinase, la thymidylate synthase, la dUTP diphosphatase, la ribonucléase ... réductase, l'ADN polymérase, l'ADN Hélicase, l'ADN Primase et les protéines kinases,. Le génome du virus de l'herpès B a été ...
Les deux tiers comprenant l'extrémité 5' du génome codent des protéines non structurelles et les protéines structurelles sont ... Les trimères sont ancrés dans la membrane par une zone cytoplasmique E2 qui est associée à la nucléocapside. La taille du ... à un ARN messager subgénomique qui est traduit en protéines structurelles. Le virus de la forêt de Semliki se transmet ...
Une protéine S ou protéine majeure de 24 kDa (= antigène HBs), une protéine moyenne de 34 kDa et une grande protéine de 39 kDa ... Translocation de la nucléocapside vers le noyau grâce à des signaux de localisation nucléaire portés par l'antigène HBc. ... En parallèle, les différents ARNm viraux sont traduits en protéines virales. Les protéines d'enveloppe et la protéine PréC sont ... à des protéines de surface. Son enveloppe porte notamment l'antigène de surface HBs, ou protéine HBsAg, tandis que sa partie ...
Structure générique d'un virus de la grippe A indiquant l'agencement de 10 protéines virales. La protéine PB1-F2 et les huit ... La membrane virale, chargée de cholestérol et hérissée de glycoprotéines, renferme la nucléocapside, qui contient des ... la protéine PB2 de l'ARN polymérase se lie à la coiffe de l'extrémité 5' d'un ARN pré-messager cellulaire. La protéine PA clive ... les protéines accessoires et l'ARN polymérase ARN-dépendante (étape 2). Ces protéines et l'ARN viral forment un complexe ...
... protéines codées par le virus, S et M. La glycoprotéine S comprend les grandes projections de surface, tandis que la protéine M ... qui est responsable de la symétrie hélicoïdale de la nucléocapside qui renferme l'ARN génomique. La famille Coronaviridae est ... un deuxième type de projections de surface composé de la protéine hémagglutinine-estérase. Une autre protéine structurelle ... est une protéine transmembranaire. Les torovirus (anciennement classés dans cette famille) et un sous-ensemble de coronavirus ( ...
L'ARN viral forme une nucléocapside avec la protéine de capside C de 12 kDa. Cette nucléocapside est enveloppée dans une ... protéine de capside C de 105 résidus d'acides aminés ; protéine de prémembrane prM de 187 résidus ; protéine d'enveloppe E de ... La protéine IFITM3 (en) est une protéine transmembranaire des cellules capable de protéger ces dernières de l'infection virale ... Coupe d'un virion de virus Zika (à gauche) montrant les protéines d'enveloppe E représentées en rouge et les protéines de ...
Celui-ci code une polyprotéine qui est clivée pour produire des protéines structurales, la nucléocapside( C ), les ... Les protéines codées sont E (enveloppe), M (protéines de membrane), C (Protéines de capside) et NS (protéines non-structurales ... Pour ce faire, on utilise la région codant les protéines E et NS1 du virus, ou l'extrémité 3' non codante de l'ARN. On utilise ... Grâce à ces protéines, le virus est capable d'infecter et de se répliquer dans une cellule hôte. Le virus de la fièvre jaune ...
... et code la protéine de la nucléocapside,,. Le génome a des séquences terminales redondantes, les séquences étant répétées aux ... Les protéines représentent 50 % de leur masse et les lipides de 20 à 30 %. La ribonucléocapside est filamenteuse, d'une ...
La protéine de nucléocapside virale est détectée dans l'appendice et le tissu mammaire respectivement de 2 patients covid long ... L'ARN du virus et la protéine de nucléocapside sont retrouvés dans la muqueuse intestinale jusque 7 mois après le diagnostic ( ... L'ARN du SRAS-CoV-2 et la protéine Spike ont été détectés dans les selles de nouveau-nés nés de mères ayant résolu le COVID-19 ... ce qui suggère la possibilité de réservoirs viraux intestinaux persistants (article de mai 2022). L'antigène de la protéine ...
... code les protéines de la nucléocapside) ; le gène pol (code la transcriptase inverse) ; le gène env (code les protéines de ... C'est donc sur ces 2 protéines là que vont agir les produits de traduction de gènes oncogènes (protéines précoces). Exemple : ... En temps normal le cycle cellulaire est contrôlé en phase G1 par la protéine pRb qui forme un complexe avec E2F et bloque ... Ces produits peuvent intervenir dans la réplication, être des répresseurs transcriptionnels, se lier à d'autres protéines de la ...
... la protéine matrice (M), la nucléoprotéine ou nucléocapside (N), la protéine large (L) et la phosphoprotéine (P). La ... La nucléocapside ou nucléoprotéine (N) est une protéine qui entoure l'ARN. Le virus de la stomatite vésiculaire est un ... La protéine M de VSV joue un rôle dans les premières phases de l'infection virale en l'aidant à éviter les programmes ... La protéine G se lie à la phosphatidylsérine qui est une composante quasi universelle de la membrane cellulaire chez les ...
2 protéines d'enveloppe d'un cœur : matrice + capside + nucléocapside (constitués de différentes protéines) d'un génome : Il ... Ils vont être utilisés soit pour former le génome de nouveaux virus, soit pour donner les protéines de structure et les enzymes ... dans cette plante on a isolé la transpartine qui est un stimulant de la protéine kinase C, mais qui n'a pas d'effet promoteur ...
Le génome code quatre protéines non structurales, la capside et deux protéines d'enveloppe. Ceci est caractéristique de tous ... sont constitués d'une enveloppe icosaédrique et d'une nucléocapside. Il a un génome non segmenté, constitué d'une seule ... Ce brin sous-génomique est traduit en protéines structurales. Les virus s'assemblent à la surface des cellules hôtes et ... L'ARN génomique est partiellement traduit à l'extrémité 5' pour produire les protéines non structurales qui sont ensuite ...
  • Il s'agit des protéines de pointe S ou Spike et la nucléocapside. (culturefemme.com)
  • Les Britanniques constatent maintenant que le vaccin altère la capacité de l'organisme à produire des anticorps après l'infection, non seulement contre la protéine spike, mais aussi contre d'autres parties du virus. (doppagne.net)
  • À long terme, les personnes vaccinées sont beaucoup plus vulnérables à d'éventuelles mutations de la protéine spike, même si elles ont déjà été infectées et guéries une ou plusieurs fois. (doppagne.net)
  • D'une part, la séquence génétique du virus est manipulée de toutes pièces par l'humain et d'autre part, ce sont nos cellules qui produisent l'élément de surface du virus SARS-CoV-2 (Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2), la protéine spike , que notre système immunitaire va apprendre à reconnaître. (reseauinternational.net)
  • Cet ARNm non naturel se retrouve dans le cytosol où il est traduit pour produire une protéine spike de structure modifiée qui va s'intégrer dans la membrane pour être exposée à la surface de la cellule. (reseauinternational.net)
  • Les cellules ainsi modifiées génétiquement de manière a priori transitoire deviennent alors porteuses d'un nouvel élément de surface étranger, la protéine spike. (reseauinternational.net)
  • A la différence des autres vaccins utilisés aujourd'hui contre le SARS -CoV2 qui ciblent la protéine Spike présente sur l'enveloppe du virus, le candidat-vaccin OVX033, développé par la biotech française Osivax, vise la protéine de nucléocapside (N) du virus. (medscape.com)
  • Si cibler la protéine Spike a permis d'élaborer rapidement des vaccins dans un contexte de pandémie mondiale, cette protéine change d'un variant à l'autre, ce qui peut rendre un vaccin moins efficace vis-à-vis d'un nouveau variant. (medscape.com)
  • Si, effectivement, il existe des lots contenant de l'ARNm - parce que les flacons ont été bien confectionnés et congelés - pourquoi ne pas proposer, alors, à tous les interrogateurs que nous sommes, des photographies, en bonne et due forme, de la très célèbre protéine Spike - à savoir des photographies en très haute définition… et reproductibles. (xochipelli.fr)
  • Les anticorps sont de grandes biomolécules qui se lient aux protéines d'agents pathogènes comme le Sars-CoV-2 et qui les mettent hors d'état de nuire. (psi.ch)
  • Le génie génétique a bouleversé ces recherches en fabriquant des protéines sur mesure : les antigènes ou les anticorps recombinants. (lasantesemesure.fr)
  • Les vaccins existants basés sur la protéine de pointe génèrent des anticorps multiclonaux contre différents épitopes de la protéine de pointe. (medicalunivers.com)
  • Car, dans le système immunitaire humain, c'est le contact avec ces protéines virales qui déclenche la formation d'anticorps. (psi.ch)
  • Autre aspect pratique: ils s'arriment aussi bien à des protéines virales produites artificiellement qu'à des protéines virales naturelles. (psi.ch)
  • Contrairement au test PCR, il axera l'analyse sur les protéines virales. (culturefemme.com)
  • Les particules virales font environ 42 nm (0,000000042 m), également appelées particules de Dane, elles sont constituées d'une membrane lipidique avec plusieurs types d'antigènes viraux (protéines virales). (doctonat.com)
  • Il utilise une protéine recombinante représentant l'antigène de la nucléocapside (N) afin de déterminer la présence d'anticorps anti-SARS-CoV-2. (watersofself-ascension.ca)
  • Si l'échantillon contient l'antigène SARS-CoV-2, la protéine de nucléocapside de l'antigène sera combinée avec des particules recouvertes d'anticorps monoclonaux. (normanbio.com)
  • Les personnes vaccinées ne semblent pas produire d'anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l'enveloppe du virus, qui est un élément crucial de la réaction chez les personnes non vaccinées. (doppagne.net)
  • La protéine HN est responsable de l'attachement du virus à la cellule, en se liant aux acides sialiques cellulaires. (wikipedia.org)
  • D'autres, connues des scientifiques sous le nom de mutations non synonymes, modifient la composition en acides aminés des protéines. (medicalunivers.com)
  • Dans les laboratoires du PSI, les chercheurs produisent des protéines du nouveau coronavirus Sars-CoV-2. (psi.ch)
  • Mais à cette époque, les protéines du coronavirus ne sont pas disponibles sur le marché en qualité et en quantité suffisantes. (psi.ch)
  • Jacopo Marino, biologiste au PSI, en train de vérifier la bonne croissance de ses cultures cellulaires, ou sont produites des protéines de coronavirus pour l'Hôpital universitaire de Zurich. (psi.ch)
  • Gebhard Schertler demande à son collaborateur Jacopo Marino de monter une équipe afin de produire des protéines de coronavirus pour son collègue de Zurich. (psi.ch)
  • Les coronavirus sont nommés ainsi, car en microscopie électronique l'organisation des protéines de surface du virus fait penser à la couronne solaire. (indicateurclinique.com)
  • Ce complexe est entouré par une capside constituée de la protéine majeure p24 et de la protéine de matrice p15 située entre la capside et l'enveloppe virale. (ac.be)
  • Un triple marquage immunohistochimique pour la protéine de la nucléocapside virale (NP), l'insuline et le glucagon a également été effectué. (afsfa.org)
  • La membrane virale entoure une nucléocapside composée de l'ADN virale et d'autres composants essentiels, pour sa réplication à l'intérieur des cellules hôtes. (doctonat.com)
  • La nucléocapside migre vers le noyau et fusionne avec la membrane nucléaire libérant l'ADN virale dans le noyau. (doctonat.com)
  • enveloppe virale qui prend naissance au cours de la traversée des membranes cellulaires et constituée d'un mélange d'éléments cellulaires et d'origine virale, essentiellement des lipides et des protéines. (virologie-uclouvain.be)
  • Le nucléocapside est l'ensemble formé de la capside du virus (présente chez les virus nus ou enveloppés, l'enveloppe ou péplos n'étant pas la capside, mais une enveloppe lipoprotéique entourant la capside) et du génome viral (ARN ou ADN). (dbpedia.org)
  • Le Dr Leclerc et son équipe travaillent présentement à mieux comprendre comment la nucléocapside du virus du VHC est modifiée par la cellule hôte et portons un intérêt particulier sur la palmitoylation (ajout d'un lipide sur la protéine) qui semble être très importante pour le bourgeonnement du virus. (ulaval.ca)
  • Dans la conclusion de l'article, les auteurs écrivent: «Nous avons constaté que la protéine de pointe inhibait de manière marquée la formation de foyers BRCA1 et 53BP1 (Figure 3D-G). Ensemble, ces données montrent que la protéine de pointe pleine longueur du SRAS-CoV-2 inhibe la réparation des dommages à l'ADN en entravant le recrutement de la protéine de réparation de l'ADN. (profession-gendarme.com)
  • Mais en présence de la protéine de pointe du vaccin, l'efficacité du NHEJ est supprimée jusqu'à 90 % , ce qui signifie qu'il est incapable de faire son travail en raison de la capacité supprimée à recruter des protéines pour la réparation. (profession-gendarme.com)
  • En outre, l'équipe a quantifié les protéines solubles de la pointe (S) et de la nucléocapside (NC) du SRAS-CoV-2 (antigènes du SRAS-CoV-2) ainsi que les niveaux d'immunoglobulines (Ig)G et IgM provoqués en réponse à ces antigènes. (ma-clinique.fr)
  • Les différences de séquence d'acides aminés (environ 3 %) observées entre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 de la souche originale de Wuhan (GenBank # YP_009724390) et un isolat Omicron de Norvège le 3 janvier 2022 (GenBank # UOU35996.1) sont les résultats de deux ans d'évolution du virus sur sa protéine de pointe. (medicalunivers.com)
  • les auteurs ont comparé les séquences de protéines de pointe de la souche Wuhan et d'une variante d'Omicron. (medicalunivers.com)
  • Comparé à d'autres parties du génome du virus, le gène qui code pour la protéine de pointe évolue plus rapidement, car la protéine de pointe se trouve à la surface du virus et subit une pression de sélection beaucoup plus importante. (medicalunivers.com)
  • Cela pose un problème pour les vaccins actuels et tous les futurs vaccins basés sur la protéine de pointe. (medicalunivers.com)
  • La protéine de pointe à évolution rapide rendrait probablement les vaccins existants et tout nouveau vaccin moins efficaces. (medicalunivers.com)
  • La liaison à l'antigène de la protéine de pointe (S1) a montré des niveaux significatifs pour l'immunoglobuline (Ig) G, tandis que l'IgG/IgM de la nucléocapside n'a pas été provoquée. (nouscitoyens.ca)
  • Les gènes F et HN codent respectivement la protéine de fusion F et l'hémagglutinine-neuraminidase HN, qui sont les deux protéines d'enveloppe du virus et qui participent au mécanisme d'entrée du virus dans la cellule hôte (ou cellule cible. (wikipedia.org)
  • Le génome du BLV, composé de deux molécules d'ARN monocaténaires identiques, est associé à la protéine de nucléocapside p12, ainsi qu'à plusieurs copies de l'enzyme transcriptase inverse. (ac.be)
  • De nombreuses mutations de l'ARN du SRAS-CoV-2 ne modifient aucune des protéines dont le virus a besoin pour survivre et proliférer. (medicalunivers.com)
  • Parce que les protéines sont des molécules biologiques indispensables à la découverte et au développement des prochains vaccins, biomédicaments et réactifs de diagnostic, elles sont une des clés de nos futurs. (synthelis.com)
  • Ces trois protéines forment avec l'ARN viral la nucléocapside (ou holonucléocapside). (wikipedia.org)
  • L'ARN est associé à une protéine N (nucléocapside). (indicateurclinique.com)
  • Chez le virus de la rage, la nucléocapside est une structure 'souple' comportant le génome, les nucléoprotéines qui sont étroitement associées à l'ARN génomique, la polymérase, et une phosphoprotéine. (virologie-uclouvain.be)
  • Des arbres phylogénétiques ont été établis d'après l'étude des séquences de gènes codant pour ces deux protéines, et montrent là encore une forte ressemblance entre les virus issus des mêmes régions géographiques ou des mêmes hôtes. (e-l-i-z.com)
  • Une fois le virus attaché, la protéine de fusion est activée, insère un de ces domaines dans la membrane cellulaire et s'ensuivent des mécanismes rapprochant les deux membranes et les fusionnant… Le gène M code la protéine de la matrice qui aurait pour rôle d'interagir entre les protéines d'enveloppe et la nucléocapside. (wikipedia.org)
  • Pour ses séries de tests, le médecin a besoin de fragments de virus sous une forme pure et, plus précisément, de ses protéines. (psi.ch)
  • Le matériel génétique du Sars-CoV-2 est composé d'une molécule d'ARN monocaténaire qui contient le plan directeur pour différentes protéines du virus. (psi.ch)
  • La structure macromoléculaire du virus est intimement liée à son origine et la connaissance de certaines protéines clefs du SARS-CoV-2 permettra d'aborder les façons de doser ce virus ou de révéler sa présence dans les fluides corporels (article partie 2, à venir). (indicateurclinique.com)
  • Le test antigénique EBS SARS-CoV-2 Ag Rapid Test permet, en 10 minutes, de détecter de manière fiable les protéines de la nucléocapside (N) du virus SARS-CoV-2 . (eurobio-scientific.org)
  • la protéine de la nucléocapside (interne), dont la spécificité antigénique est commune à toutes les souches de virus rabiques et à d'autres Rhabdovirus, et qui caractérise l'appartenance au genre Lyssavirus. (e-l-i-z.com)
  • Ensuite, il fusionne avec la membrane , libérant la nucléocapside dans la cytosol (le milieu cellulaire). (doctonat.com)
  • La technologie acellulaire de Synthelis est particulièrement efficace pour produire en grande quantité des protéines membranaires complexes. (synthelis.com)
  • Le génome code six protéines principales. (wikipedia.org)
  • Cette dernière code pour différentes protéines de régulation. (ac.be)
  • Ce test rapide immunochromatographique in vitro permet la détection qualitative des antigènes de la protéine de la nucléocapside (N) du SARS-CoV-2 dans les échantillons de prélèvements nasaux. (biogyne.fr)
  • A l'origine, dans le domaine des maladies neurodégénératives pour l'étude de certaines protéines du système nerveux. (psi.ch)
  • La carte de test rapide d'antigène SARS-CoV-2 est un immunodosage à flux latéral destiné à la détection comparative de la protéine de nucléocapside du SRAS-CoV-2 dans des échantillons d'écouvillon NP. (rapidtestandtrace.ca)
  • Nom du produit】 Kit de test de protéine C-réactive à gamme complète (FR-CRP) (immunofluorescence) 【Spécifications de l'emballage】 25 Essais/Boîte 【Stockage et stabilité】 Scellé : Le kit doit être stocké à 4-30℃, valable 24 mois. (normanbio.com)
  • Les intégrines sont des protéines transmembranaires, formées d'une sous-unité α et d'une sous-unité β, qui sont impliquées dans de nombreuses caractéristiques du cancer. (unistra.fr)
  • La première étape de l'expérience spatiale consistait à cultiver dans des conditions spatiales des structures cristallines de protéines d'une taille et d'une pureté uniques pour leur étude ultérieure sur Terre. (kosmosnews.fr)
  • Barcelone, Espagne - Première molécule d'une nouvelle classe thérapeutique visant la nucléocapside du virus de l'hépatite B (VHB), le NVR 3-778 s'est montré efficace et bien toléré après seulement quatre semaines de traitement. (medscape.com)
  • Les clés sont des cellules particulaires, des fragments d'une protéine fabriquée par une cellule. (soleilverseau.com)
  • L'équipe a évalué l'immunité médiée par les cellules SARS-CoV-2 T en analysant les cellules CD154+ 4-1BB+ spécifiques à la protéine de pointe trouvées dans T. hein cellules. (covid-19.tn)
  • De plus, le pic réactif T hein les cellules ont été identifiées par T. comparable hein cellules restimulées en recouvrant la partie N-terminale ou C-terminale de la protéine de pointe SARS-CoV-2 à T hein cellules qui ne réagissent qu'en présence de diméthylsulfoxyde (DMSO). (covid-19.tn)
  • Une fois le virus attaché, la protéine de fusion est activée, insère un de ces domaines dans la membrane cellulaire et s'ensuivent des mécanismes rapprochant les deux membranes et les fusionnant… Le gène M code la protéine de la matrice qui aurait pour rôle d'interagir entre les protéines d'enveloppe et la nucléocapside. (wikipedia.org)
  • Assia Mouhand a rejoint l'équipe du Dr. Pau Bernado, au Centre de Biochimie Structurale à Montpellier, pour un stage post-doctoral sous la direction du Dr. Nathalie Sibille, et son travail se focalise maintenant sur l'étude du rôle du domaine C-terminal (qui est intrinsèquement désordonné) des récepteurs couplés aux protéines G dans l'induction du signal cellulaire. (sfbbm.fr)
  • Le domaine MA présente aussi de nombreux signaux nécessaires à l'adressage de Gag à diverses membranes cellulaires, comme les sites d'interactions avec les protéines adaptatrices de la clathrine AP-2 et AP-3, ou l'interaction avec la glycoprotéine d'enveloppe virale. (inserm.fr)
  • Lors de sa thèse, elle s'est intéressée au rôle de la protéine de nucléocapside du VIH-1 dans l'assemblage et le bourgeonnement du VIH à travers de l'interaction de cette protéine avec différents partenaires en utilisant la technique RMN. (sfbbm.fr)
  • Présente à l'intérieur du virus, cette protéine est produite en grande quantité lorsque celui-ci se réplique. (anses.fr)
  • if ( localStorage.getItem(skinItemId ) ) { Créa le en est sûr tous les continents alors que les arn viraux sont capturés par les domaines nc nucléocapside de. (mipolsud.com)
  • Si l'échantillon contient l'antigène SARS-CoV-2, la protéine de nucléocapside de l'antigène sera combinée avec des particules recouvertes d'anticorps monoclonaux. (normanbio.com)
  • Les cristaux de protéines cultivées devraient être étudiés en détail à l'aide de diverses méthodes cristallographiques pour déterminer la structure de différentes souches de protéines et sélectionner les médicaments appropriés. (kosmosnews.fr)
  • CA forme le cœur conique, contenant le génome viral formé d'un dimère d'ARN génomique (ARNg) recouvert de molécules NC, des ARN de transfert cellulaires nécessaires à l'initiation de sa réplication, ainsi que les enzymes codées par Pol (PR, RT et IN) et des protéines régulatrices associées à Gag, comme Vpr. (inserm.fr)
  • Nemecek, D., Qiao, J., Mindich, L., Steven, C. et Heymann, J.B. La protéine protectrice accessoire P7 et la polymérase P2 présentent des sites de liaison mutuellement occlusifs à l'intérieur du procapside du bactériophage ~ 6. (aaafasso.fr)

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