Nécrose de tissu pulmonaire c'est un motif par le manque d'oxygène ou vascularisation. La cause la plus fréquente de infarctus pulmonaire est un caillot sanguin dans les poumons.
Obstruction d ’ une artère pulmonaire ou un de ses succursales par une embolie.
Composés, généralement hormonale, par voie orale, afin de bloquer l ’ ovulation et prévenir la survenue de la grossesse. Les hormones sont généralement œstrogènes ou de la progestérone ou les deux.
Contraceptifs oraux hormonaux efficace qui doivent leur préparatifs.
Associations thérapeutiques fixe pour être administré par voie orale.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Substances chimiques ou les agents avec l ’ activité contraceptive chez les femelles. Utiliser de contraceptif féminin agents en général ou pour lesquels il n ’ existe aucune direction.
Contraceptifs oraux qui doivent leur efficacité pour les préparations synthétique.
Une hormone synthétique progestational avec des actions similaires à ceux de progestérone et de deux fois plus puissant que ses ou racémique (+) - (norgestrel) est utilisée pour la contraception, le contrôle de perturbations des menstruations, et le traitement de l'endométriose.
Une accumulation d ’ air ou gaz dans l'épanchement CAVITY, pouvant apparaître spontanément soit suite à un traumatisme ou processus pathologique. Le gaz peut également être présenté, pendant... PNEUMOTHORAX délibérément.
Une maladie hétérogène où le coeur est incapable à pomper suffisamment de sang pour rencontrer le besoin métabolique du corps. Insuffisance cardiaque peut être causée par défauts de structure, des anomalies fonctionnelles (DYSFUNCTION ventriculaire), ou une soudaine surcharge au-delà de sa capacité. Insuffisance cardiaque chronique est plus commun que insuffisance cardiaque aiguë due soudain insulte à la fonction cardiaque, tels qu ’ INFARCTION.
Pénétrant le rayonnement émis électromagnétique électrons orbitale quand la protection interne de l'atome sont survoltés et libérez l'énergie rayonnante. Radio ondes varient entre 1 h à 22 nm. Dur radios sont la plus haute énergie, plus courte longueur d'ondes radios. Doux radios ou Grenz rayons sont moins énergique et plus par la longueur. Les ondes courtes fin de la radio été rudes dépasse du spectre RAYS longueur d'onde portée. La distinction entre les rayons gamma et des rayons X est basé sur leur source de radiation.
X-ray projection de large groupe de personnes pour des maladies des poumons et cœur par radiographie du thorax.
X-ray visualisation de la poitrine et organes de la cavité thoracique. C'est pas limité à la visualisation des poumons.

La pulmonary infarction, également connue sous le nom d'infarctus du poumon, est un type de lésion tissulaire qui se produit lorsqu'il y a une interruption de l'apport sanguin dans une partie du poumon. Cela entraîne la mort des cellules pulmonaires en raison d'un manque d'oxygène et de nutriments, ce qui peut provoquer une inflammation et la formation d'un tissu cicatriciel.

Les causes les plus fréquentes de pulmonary infarction sont les caillots sanguins qui se forment ailleurs dans le corps (généralement dans les jambes) et qui se déplacent ensuite vers les vaisseaux sanguins des poumons, où ils bloquent l'apport sanguin. D'autres causes peuvent inclure des maladies cardiovasculaires, des troubles de la coagulation sanguine, des tumeurs malignes et l'utilisation de contraceptifs hormonaux.

Les symptômes de la pulmonary infarction peuvent varier en fonction de la gravité de la lésion et de la taille de la zone touchée. Les symptômes courants comprennent une douleur thoracique aiguë, souvent décrite comme une douleur poignardante ou une sensation de brûlure, qui peut s'aggraver en respirant profondément ou en toussant. D'autres symptômes peuvent inclure une toux soudaine et persistante avec des expectorations teintées de sang, une respiration rapide et superficielle, une fièvre, des frissons, des sueurs nocturnes et une douleur à l'abdomen ou aux jambes.

Le diagnostic de pulmonary infarction repose généralement sur les antécédents médicaux du patient, un examen physique, des tests d'imagerie tels qu'une radiographie thoracique ou une tomodensitométrie (TDM), et des analyses sanguines. Le traitement dépend de la cause sous-jacente de la lésion et peut inclure des médicaments anticoagulants pour prévenir la formation de caillots sanguins, des analgésiques pour soulager la douleur thoracique, des antibiotiques pour traiter une éventuelle infection bactérienne et une oxygénothérapie pour aider à améliorer l'apport d'oxygène aux poumons. Dans les cas graves, une hospitalisation peut être nécessaire pour surveiller de près le patient et fournir des soins de soutien intensifs.

L'embolie pulmonaire est un événement médical potentiellement mortel qui se produit lorsqu'un caillot sanguin (ou thrombus) se détache d'une veine profonde, généralement dans les jambes, et voyage à travers le système circulatoire jusqu'aux artères pulmonaires. Une fois dans les poumons, le caillot peut bloquer partiellement ou complètement le flux sanguin, entraînant une diminution de l'oxygénation du sang et une augmentation de la pression dans les vaisseaux sanguins pulmonaires.

Les symptômes typiques d'une embolie pulmonaire comprennent une douleur thoracique aiguë, un essoufflement soudain, une toux avec ou sans expectoration sanglante (hémoptysie), une tachycardie (pouls rapide) et, dans les cas graves, une hypotension artérielle, une syncope ou même un arrêt cardiaque. Le diagnostic repose sur des examens d'imagerie tels que la radiographie pulmonaire, l'échocardiogramme et le scanner thoracique, ainsi que sur des tests sanguins pour mesurer les gaz du sang et détecter des marqueurs de dommages aux vaisseaux sanguins.

Le traitement standard de l'embolie pulmonaire consiste en l'administration d'anticoagulants, tels que l'héparine ou les anticoagulants oraux directs (DOAC), pour prévenir la formation de nouveaux caillots sanguins et favoriser la dissolution des caillots existants. Dans certains cas graves, une thrombolyse (utilisation de médicaments tissulaires plasminogènes pour dissoudre les caillots) ou une intervention chirurgicale (embolectomie pulmonaire) peut être nécessaire pour éliminer le caillot et rétablir la circulation sanguine.

La prévention de l'embolie pulmonaire repose sur des mesures telles que la mobilisation précoce après une intervention chirurgicale, l'utilisation d'anticoagulants prophylactiques chez les patients à risque élevé et le port de bas de contention pour favoriser la circulation sanguine dans les membres inférieurs.

Les contraceptifs oraux, également connus sous le nom de « pilules contraceptives », sont des médicaments qui contiennent des hormones féminines (œstrogènes et progestatifs) conçus pour prévenir la grossesse. Ils fonctionnent en empêchant l'ovulation, épaississant la glaire cervicale pour empêcher les spermatozoïdes de pénétrer dans l'utérus, et en rendant la muqueuse utérine inhospitalière à l'implantation d'un ovule fécondé. Les contraceptifs oraux sont disponibles sur prescription médicale et doivent être pris quotidiennement à peu près au même moment chaque jour pour assurer leur efficacité. Il existe différents types de pilules contraceptives, chacune ayant ses propres avantages, inconvénients et risques potentiels, qui doivent être soigneusement examinés avec un professionnel de la santé avant leur utilisation.

Les contraceptifs oraux hormonaux, également connus sous le nom de « pilules contraceptives », sont des formulations pharmaceutiques contenant des hormones synthétiques qui imitent l'action des œstrogènes et de la progestérone dans l'organisme. Ils sont conçus pour interférer avec le processus naturel de reproduction en empêchant l'ovulation, en épaississant la glaire cervicale pour rendre plus difficile la traversée des spermatozoïdes ou en modifiant la muqueuse utérine pour prévenir l'implantation d'un ovule fécondé.

Les contraceptifs oraux hormonaux se présentent généralement sous deux formes : les combinaisons œstro-progestatives et les progestatifs seuls (mini-pilules). Les combinaisons œstro-progestatives contiennent à la fois un dérivé d'œstrogène et un dérivé de progestérone, tandis que les mini-pilules ne contiennent qu'un progestatif. Chaque type a ses avantages et ses inconvénients, et le choix du contraceptif oral hormonal dépend souvent des préférences personnelles, des antécédents médicaux et des besoins de chaque individu.

L'utilisation régulière et correcte des contraceptifs oraux hormonaux est globalement sûre et efficace pour prévenir la grossesse, avec un taux d'échec inférieur à 1 % lorsqu'ils sont utilisés de manière optimale. Cependant, il convient de noter que les contraceptifs oraux hormonaux ne protègent pas contre les infections sexuellement transmissibles (IST) et doivent être associés à des méthodes de barrière, telles que le préservatif, pour une protection optimale contre les IST.

Comme tout médicament, les contraceptifs oraux hormonaux peuvent entraîner des effets secondaires et des risques potentiels. Les effets indésirables courants comprennent des saignements irréguliers, des nausées, des maux de tête, des seins douloureux ou enflés, une prise de poids et une humeur changeante. Dans de rares cas, les contraceptifs oraux hormonaux peuvent augmenter le risque de thromboembolie veineuse (TEV), c'est-à-dire la formation d'un caillot sanguin dans une veine, qui peut entraîner des complications graves telles que des embolies pulmonaires ou des accidents vasculaires cérébraux. Les femmes présentant des facteurs de risque de TEV, tels qu'une histoire personnelle ou familiale de thrombose veineuse, un âge avancé, une obésité morbide, une hypertension artérielle sévère, un tabagisme ou une fibrillation auriculaire, doivent faire l'objet d'une évaluation attentive avant de commencer à prendre des contraceptifs oraux hormonaux.

Les contraceptifs oraux combinés (COC) sont disponibles sous différentes formulations, avec des dosages et des types d'hormones variables. Les COC les plus couramment prescrits contiennent de l'éthinylestradiol à une dose comprise entre 20 et 35 microgrammes et un progestatif, tel que le lévonorgestrel, le norgestimate, le désogestrel, la drospirénone ou le gestodène. Les COC contenant de faibles doses d'éthinylestradiol (20 microgrammes) sont associés à un risque réduit de TEV par rapport aux COC contenant des doses plus élevées (35 microgrammes). Cependant, les COC contenant des progestatifs de troisième et quatrième générations, tels que la drospirénone et le désogestrel, peuvent être associés à un risque accru de TEV par rapport aux COC contenant des progestatifs de deuxième génération, tels que le lévonorgestrel.

Les contraceptifs oraux progestatifs (POP) ne contiennent qu'une seule hormone, un progestatif, et sont disponibles sous différentes formulations. Les POP les plus couramment prescrits contiennent du lévonorgestrel, de la noréthistérone ou de la médroxyprogestérone acétate. Les POP sont associés à un risque réduit de TEV par rapport aux COC, en particulier chez les femmes présentant des facteurs de risque tels que l'obésité, le tabagisme et l'âge avancé. Cependant, les POP peuvent ne pas être aussi efficaces que les COC pour prévenir la grossesse, en particulier chez les femmes présentant un cycle menstruel irrégulier ou une masse corporelle élevée.

Les contraceptifs oraux d'urgence (COU) sont des médicaments qui peuvent être utilisés après un rapport sexuel non protégé pour prévenir une grossesse non désirée. Les deux types de COU les plus couramment utilisés sont la levonorgestrel et l'acétate d'ulipristal. La levonorgestrel est disponible en vente libre aux États-Unis pour les femmes âgées de 15 ans et plus, tandis que l'acétate d'ulipristal nécessite une prescription médicale. Les COU sont généralement considérés comme sûrs et efficaces, mais ils peuvent ne pas être aussi efficaces que les contraceptifs oraux réguliers pour prévenir la grossesse.

Les contraceptifs oraux peuvent également avoir des avantages pour la santé en dehors de la planification familiale. Par exemple, certaines études ont suggéré que les COC peuvent réduire le risque de cancer de l'ovaire et de l'endomètre, tandis que d'autres études ont montré qu'ils peuvent améliorer les symptômes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) et de l'acné. Cependant, il est important de noter que les contraceptifs oraux ne sont pas sans risques et qu'ils peuvent augmenter le risque de certaines maladies, telles que les accidents vasculaires cérébraux, les caillots sanguins et les maladies du foie.

En conclusion, les contraceptifs oraux sont des médicaments qui peuvent être utilisés pour prévenir une grossesse non désirée. Ils sont disponibles sous différentes formes, telles que les pilules, les patchs et les anneaux vaginaux, et ils fonctionnent en empêchant l'ovulation, en épaississant la glaire cervicale ou en modifiant l'endomètre. Les contraceptifs oraux peuvent également avoir des avantages pour la santé en dehors de la planification familiale, mais ils ne sont pas sans risques et doivent être utilisés avec prudence. Il est important de consulter un professionnel de la santé avant de commencer à utiliser des contraceptifs oraux pour déterminer le type le plus approprié et pour discuter des risques et des avantages.

Les contraceptifs oraux combinés (COC) sont un type de pilule contraceptive qui contient deux hormones synthétiques, un est un estrogène et l'autre une progestérone. Ces hormones modifient le cycle menstruel en empêchant l'ovulation, épaississant la glaire cervicale pour prévenir la pénétration des spermatozoïdes dans l'utérus et en affinissant la muqueuse utérine pour rendre difficile l'implantation d'un ovule fécondé. Les COC sont généralement pris quotidiennement pendant 21 jours, suivis d'une période sans pilule de sept jours durant laquelle survient une menstruation. Ils sont considérés comme très efficaces lorsqu'ils sont utilisés correctement, avec un taux d'échec de moins de 1% par an. Cependant, des oublis fréquents peuvent réduire leur efficacité. Les COC peuvent également offrir des avantages supplémentaires tels que la régulation du cycle menstruel, la réduction de l'acné et la protection contre les kystes ovariens et le cancer de l'endomètre. Toutefois, ils peuvent présenter des risques pour certaines femmes, notamment celles qui fument, ont plus de 35 ans ou présentent des facteurs de risque cardiovasculaires.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

Les contraceptifs féminins sont des méthodes, des dispositifs ou des médicaments utilisés par les femmes pour prévenir la grossesse. Ils fonctionnent en interférant avec le processus de reproduction soit en empêchant l'ovulation, en rendant difficile la nidation de l'œuf fécondé dans l'utérus ou en augmentant la viscosité des sécrétions cervicales pour empêcher les spermatozoïdes d'atteindre l'ovule.

Voici quelques exemples courants de contraceptifs féminins :

1. Contraceptifs oraux (pilules): Ce sont des préparations hormonales qui contiennent soit un mélange d'estrogène et de progestatif, soit uniquement du progestatif. Elles agissent en empêchant l'ovulation, en épaississant la glaire cervicale pour prévenir la pénétration des spermatozoïdes ou en modifiant la muqueuse utérine pour empêcher l'implantation de l'œuf fécondé.

2. Dispositifs intra-utérins (DIU): Il s'agit de petits dispositifs en plastique ou en cuivre insérés dans l'utérus par un professionnel de la santé. Les DIU au cuivre peuvent être laissés en place pendant plusieurs années et provoquent une inflammation locale qui inhibe la nidation de l'œuf fécondé. Les DIU hormonaux, quant à eux, libèrent une petite quantité de progestatif qui épaissit la glaire cervicale et rend difficile le passage des spermatozoïdes.

3. Patchs contraceptifs : Ce sont des dispositifs adhésifs contenant des hormones (estrogène et progestatif) que les femmes appliquent sur la peau. Ils fonctionnent de manière similaire aux pilules contraceptives en inhibant l'ovulation, mais avec une libération d'hormones plus continue.

4. Anneaux vaginaux : Ces anneaux flexibles en plastique contiennent des hormones (estrogène et progestatif) que les femmes insèrent dans le vagin. Ils fonctionnent également en inhibant l'ovulation, mais avec une libération d'hormones plus continue.

5. Implants contraceptifs : Il s'agit de petits bâtonnets en plastique contenant des hormones (progestatif) que les professionnels de la santé insèrent sous la peau du bras. Ils fonctionnent en inhibant l'ovulation, mais avec une libération d'hormones plus continue.

6. Pilules du lendemain : Ce sont des médicaments à base d'hormones (progestatif) que les femmes peuvent prendre dans les 72 heures suivant un rapport sexuel non protégé pour prévenir une grossesse non désirée. Elles fonctionnent en retardant ou en empêchant l'ovulation, en modifiant la glaire cervicale pour rendre plus difficile la migration des spermatozoïdes ou en altérant l'endomètre pour rendre plus difficile l'implantation de l'embryon.

7. Dispositifs intra-utérins (DIU) : Ce sont des dispositifs en forme de T que les professionnels de la santé insèrent dans l'utérus pour prévenir une grossesse non désirée. Ils fonctionnent en modifiant la glaire cervicale pour rendre plus difficile la migration des spermatozoïdes ou en altérant l'endomètre pour rendre plus difficile l'implantation de l'embryon. Il existe deux types de DIU : le cuivre et le miel. Le DIU au cuivre est hormonal et dure jusqu'à 10 ans, tandis que le DIU au miel est non hormonal et dure jusqu'à 5 ans.

8. Stérilet hormonal : Ce sont des dispositifs en forme de T que les professionnels de la santé insèrent dans l'utérus pour prévenir une grossesse non désirée. Ils fonctionnent en libérant une petite quantité d'hormones qui modifient la glaire cervicale pour rendre plus difficile la migration des spermatozoïdes ou en altérant l'endomètre pour rendre plus difficile l'implantation de l'embryon. Ils durent jusqu'à 5 ans.

9. Implant : Ce sont des petits bâtonnets que les professionnels de la santé insèrent sous la peau pour prévenir une grossesse non désirée. Ils fonctionnent en libérant une petite quantité d'hormones qui empêchent l'ovulation ou modifient la glaire cervicale pour rendre plus difficile la migration des spermatozoïdes. Ils durent jusqu'à 3 ans.

10. Injection : Ce sont des injections de progestatifs que les professionnels de la santé administrent tous les trois mois pour prévenir une grossesse non désirée. Elles fonctionnent en empêchant l'ovulation ou en modifiant la glaire cervicale pour rendre plus difficile la migration des spermatozoïdes.

11. Pilule du lendemain : Ce sont des pilules que les femmes peuvent prendre dans les 72 heures suivant un rapport sexuel non protégé pour prévenir une grossesse non désirée. Elles fonctionnent en empêchant l'ovulation ou en modifiant la glaire cervicale pour rendre plus difficile la migration des spermatozoïdes.

12. Anneau vaginal : Ce sont des anneaux en plastique que les femmes peuvent insérer dans le vagin pour prévenir une grossesse non désirée. Ils fonctionnent en libérant une petite quantité d'hormones qui empêchent l'ovulation ou modifient la glaire cervicale pour rendre plus difficile la migration des spermatozoïdes.

13. Patch contraceptif : Ce sont des patchs que les femmes peuvent coller sur leur peau pour prévenir une grossesse non désirée. Ils fonctionnent en libérant une petite quantité d'hormones qui empêchent l'ovulation ou modifient la glaire cervicale pour rendre plus difficile la migration des spermatozoïdes.

14. Dispositifs intra-utérins (DIU) : Ce sont des dispositifs en forme de T que les professionnels de la santé peuvent insérer dans l'utérus des femmes pour prévenir une grossesse non désirée. Ils fonctionnent en empêchant l'ovulation ou en modifiant la glaire cervicale pour rendre plus difficile la migration des spermatozoïdes.

15. Stérilet : Ce sont des dispositifs en forme de T que les professionnels de la santé peuvent insérer dans l'utérus des femmes pour prévenir une grossesse non désirée. Ils fonctionnent en empêchant l'ovulation ou en modifiant la glaire cervicale pour rendre plus difficile la migration des spermatozoïdes.

16. Vasectomie : Ce sont des interventions chirurgicales que les professionnels de la santé peuvent pratiquer sur les hommes pour prévenir une grossesse non désirée. Elles consistent à couper et à ligaturer les canaux déférents, qui transportent les spermatozoïdes des testicules vers l'urètre.

17. Ligature des trompes : Ce sont des interventions chirurgicales que les professionnels de la santé peuvent pratiquer sur les femmes pour prévenir une grossesse non désirée. Elles consistent à couper et à ligaturer les trompes de Fallope, qui transportent les ovules des ovaires vers l'utérus.

18. Contraception d'urgence : Ce sont des méthodes contraceptives que les femmes peuvent utiliser après un rapport sexuel non protégé pour prévenir une grossesse non désirée. Elles comprennent la pilule du lendemain

Les contraceptifs oraux synthétiques, également connus sous le nom de « pilules contraceptives », sont des médicaments qui contiennent des hormones synthétiques conçues pour imiter les effets des hormones naturelles du corps humain - l'estradiol (un estrogène) et le progestatif. Ils sont principalement utilisés comme méthode de contraception pour prévenir la grossesse.

Il existe deux types principaux de pilules contraceptives : les combinaisons d'œstrogènes et de progestatifs, et les mini-pilules (qui ne contiennent que un progestatif). Les combinaisons œstroprogestatives fonctionnent en supprimant l'ovulation, épaississant la glaire cervicale pour empêcher le sperme de pénétrer dans l'utérus et modifiant la muqueuse utérine pour rendre difficile l'implantation d'un ovule fécondé. Les mini-pilules fonctionnent principalement en épaississant la glaire cervicale et en modifiant légèrement l'endomètre, mais elles ne suppriment pas toujours l'ovulation.

Les contraceptifs oraux synthétiques sont généralement sûrs et efficaces lorsqu'ils sont utilisés correctement. Cependant, ils peuvent présenter certains risques et effets secondaires, tels que des saignements irréguliers, des nausées, des seins douloureux, une humeur changeante, une augmentation de l'appétit et un risque accru de caillots sanguins, en particulier chez les femmes qui fument ou qui ont certains facteurs de risque cardiovasculaires. Il est important que les utilisateurs discutent avec leur fournisseur de soins de santé des avantages et des risques potentiels avant de commencer à prendre des contraceptifs oraux synthétiques.

Le lévonorgestrel est un progestatif synthétique utilisé dans diverses formulations pharmaceutiques, y compris les contraceptifs d'urgence et les thérapies hormonales pour traiter des conditions telles que le syndrome prémenstruel (SPM), l'endométriose et l'aménorrhée. Il agit en se liant aux récepteurs des progestatifs dans l'organisme, imitant les effets de la progestérone naturelle.

Dans le contexte des contraceptifs d'urgence, le lévonorgestrel est disponible sous forme de comprimés à 1,5 mg qui doivent être pris aussi rapidement que possible après un rapport sexuel non protégé ou une méthode de contraception échouée. Il fonctionne en retardant l'ovulation, en épaississant la glaire cervicale pour empêcher les spermatozoïdes d'atteindre l'ovule et en altérant l'endomètre pour réduire les chances de nidation.

Il est important de noter que le lévonorgestrel ne met pas fin à une grossesse établie et doit être utilisé dans les 72 heures suivant un rapport sexuel non protégé pour être le plus efficace. Comme tout médicament, il peut entraîner des effets secondaires, tels que des nausées, des vomissements, des maux de tête, des douleurs abdominales et des menstruations irrégulières. Les personnes doivent consulter un professionnel de la santé avant de prendre du lévonorgestrel ou tout autre médicament.

Un pneumothorax est une condition médicale où il y a la présence d'air dans la cavité pleurale, l'espace entre les poumons et la paroi thoracique. Cet espace est normalement rempli de liquide, appelé le liquide pleural, qui permet aux poumons de glisser facilement lors de la respiration. Lorsque de l'air s'infiltre dans cet espace, il crée une pression sur les poumons, ce qui entraîne une partie ou la totalité du poumon à se collapser.

Il existe deux types principaux de pneumothorax : le pneumothorax spontané et le pneumothorax traumatique. Le pneumothorax spontané se produit sans cause évidente, en particulier chez les personnes atteintes d'une maladie pulmonaire sous-jacente telle que l'emphysème ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Le pneumothorax traumatique est causé par une blessure directe à la poitrine, comme lors d'un accident de voiture ou d'une plaie par arme blanche ou par balle.

Les symptômes du pneumothorax peuvent inclure une douleur thoracique soudaine et aiguë, essoufflement, palpitations, fatigue, anxiété, toux et respiration rapide. Dans les cas graves, le pneumothorax peut entraîner une détresse respiratoire aiguë et une insuffisance cardiaque. Le diagnostic est généralement posé par une radiographie thoracique ou une tomodensitométrie (TDM) de la poitrine.

Le traitement du pneumothorax peut inclure l'observation, l'administration d'oxygène, l'insertion d'une aiguille ou d'un tube dans la cavité pleurale pour évacuer l'air accumulé et, dans les cas graves, une intervention chirurgicale. La prévention du pneumothorax peut inclure l'arrêt du tabagisme et le traitement des maladies pulmonaires sous-jacentes.

La « insuffisance cardiaque » est un terme médical qui décrit l'incapacité du cœur à pomper le sang de manière adéquate pour répondre aux besoins métaboliques de l'organisme. Cela peut être dû à une diminution de la force de contraction du muscle cardiaque ou à une augmentation de la rigidité de la paroi cardiaque, ce qui entraîne une accumulation de liquide dans les poumons et/ou d'autres parties du corps. Les symptômes courants de l'insuffisance cardiaque comprennent l'essoufflement, la fatigue, l'enflure des jambes et des chevilles, et une toux sèche et persistante. Il existe différents types et stades d'insuffisance cardiaque, en fonction de la gravité de la maladie et de la partie du cœur qui est affectée. Le traitement peut inclure des modifications du mode de vie, des médicaments, des procédures ou une intervention chirurgicale pour améliorer la fonction cardiaque et réduire les symptômes.

Les rayons X sont une forme courante d'imagerie médicale utilisant des ondes électromagnétiques à haute énergie et de courte longueur d'onde pour produire des images détaillées des structures internes du corps humain. Ils passent à travers le corps et sont absorbés dans différentes proportions par différents tissus, ce qui permet de distinguer les os, les organes mous, l'air et d'autres matériaux dans le corps sur une radiographie ou une image fluoroscopique. Les rayons X sont généralement considérés comme sûrs lorsqu'ils sont utilisés à des doses appropriées, mais ils peuvent présenter des risques pour la santé, notamment un risque accru de cancer, s'ils sont utilisés de manière excessive ou inappropriée.

Le dépistage radiologique thoracique fait référence à l'utilisation de techniques d'imagerie, telles que la radiographie pulmonaire ou le scanner thoracique, pour détecter des anomalies ou des affections pulmonaires chez des individus asymptomatiques ou présentant un risque accru de développer une maladie pulmonaire. L'objectif principal du dépistage radiologique thoracique est d'identifier précocement les pathologies pulmonaires, telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), le cancer du poumon et les fibroses pulmonaires, afin de mettre en œuvre des interventions thérapeutiques précoces et améliorer ainsi les issues cliniques.

Dans le cas spécifique du cancer du poumon, le dépistage radiologique thoracique est recommandé par les directives médicales pour certains groupes à haut risque, tels que les fumeurs actuels et anciens présentant un historique tabagique significatif. Le scanner thoracique à faible dose est généralement l'outil de dépistage privilégié en raison de sa sensibilité accrue par rapport à la radiographie pulmonaire pour détecter les lésions précoces du cancer du poumon. Cependant, il est important de noter que le dépistage systématique n'est pas recommandé pour l'ensemble de la population en raison des risques potentiels associés aux radiations et aux fausses découvertes qui peuvent entraîner des interventions inutiles et des anxiétés indues.

En résumé, le dépistage radiologique thoracique est une procédure médicale visant à identifier précocement les affections pulmonaires chez des individus asymptomatiques ou à haut risque en utilisant des techniques d'imagerie telles que la radiographie pulmonaire et le scanner thoracique. Il est crucial de peser les avantages et les inconvénients du dépistage et de cibler les populations à haut risque pour optimiser les bénéfices potentiels tout en minimisant les risques associés aux procédures de dépistage.

Une radiographie thoracique, également appelée radiographie de la poitrine, est un examen d'imagerie médicale utilisant des rayons X pour produire des images du cœur, des vaisseaux sanguins, des poumons, des os de la cage thoracique, des côtes et des diaphragmes. Il s'agit d'un outil diagnostique commun utilisé pour détecter une variété de conditions médicales telles que les pneumonies, les emphysèmes, les fibroses pulmonaires, les cancer du poumon, les maladies cardiovasculaires et les fractures costales. Pendant l'examen, le patient est généralement assis ou debout avec les bras levés. Un technologue en radiologie positionne le patient et prend une image à l'aide d'une machine à rayons X. L'image résultante aide les médecins à évaluer l'état des organes et des tissus du thorax et à poser un diagnostic ou à surveiller la réponse au traitement.

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