Modification Corporelle end-expiratory pression positive survenant fréquemment chez les patients présentant une obstruction des voies aériennes. Il peut apparaître avec ou sans l ’ administration de externes end-expiratory pression positive (Positive-Pressure RESPIRATION). Elle présente une importante charge sur les muscles inspiratoire fonctionnent désavantage mécanique due à une hyperinflation. Auto-PEEP peut provoquer une hypotension profonde qui devraient être traités par la volémie intravasculaire, augmentation du temps pour l'expiration, et / ou de changer de mode assister intermittent du mode de ventilation obligatoire. (De Harrison est principes de médecine interne, 12e Ed, p1127)
Une méthode de ventilation artificielle dans laquelle la pression se maintient à augmenter le volume de gaz restant dans les poumons à la fin de l'expiration, réduisant ainsi la gare de sang par les poumons et à améliorer les échanges gazeux.
Application de la pression positive à la phase inspiratoire de respiration spontanée.
Application de la pression positive à la phase inspiratoire lorsque le patient présente une assistance respiratoire en place et est connecté à un respirateur.
Un échec à oxygène corectement subvenir à des cellules du corps et pour éliminer le CO2 d'eux. (Stedman, 25e éditeur)
Dispositifs qui couvrent le nez et la bouche de maintenir des conditions aseptiques ou pour administrer anesthésiques inhalés ou autres gaz UMDNS. (1999)
Le processus métabolique de toute cellule vivante (animales et végétales) dans laquelle l'oxygène est utilisée pour permettre une source d'énergie pour la cellule.
L'acte de respirer avec les poumons, constitué de INHALATION, ou la prise dans les poumons de ce côté-ci du mur, et de soupir, ou le renvoyer de l'air modifié qui contient plus CARBON de titane que l'air recueilli (Blakiston est Gould Medical Dictionary, 4ème ed.). Sans compter la respiration (= tissu en oxygène CONSUMPTION) ou la respiration cellulaire (= cellule RESPIRATION).
Les dispositifs mécaniques utilisé pour produire ou assist ventilation pulmonaire.
Un type de bucco-pharyngée qui fournira une alternative à l'intubation trachéale et masque standard anesthésie chez certains patients. C'est introduit dans l'hypopharynx de façon étanche autour du larynx ou pression positive, permettant ainsi une ventilation spontanée sans pénétration du larynx ou son œsophage. Il est utilisé en place d'une grille dans la routine l'anesthésie. Les avantages par rapport au standard masque une anesthésie sont mieux contrôle respiratoire, une accumulation gaz anesthésiant des fuites, une voie respiratoire pendant un brancard à la salle de réveil, et minimal postopératoire problèmes.
Sténose acquise du développement ou du larynx. Ou réduction des symptômes de la difficulté respiratoire dépend du degré de rétrécissement du larynx.
Un des effets anticonvulsivants hypnotiques et sédatifs avec. Cependant, en raison des risques liés à leur administration, sa tendance à réagir avec du plastique, et les risques associés à sa détérioration, il a surtout été remplacé par d'autres agents. C'est encore parfois utilisés pour contrôler l'état épileptique résistantes à des traitements conventionnels. (De Martindale, supplémentaires 30 Pharmacopée ", Ed, p608-9)
Appareils subsituer à organes non-fonctionnement. Ils peuvent être temporaires ou permanentes. Depuis qu'ils sont conçus pour fonctionner toujours naturelle organes ils sont remplacés, ils devraient être différenciés des prothèses ET IMPLANTS et certains types de prothèses dont aussi remplacer des parties du corps, sont fréquemment cosmétique... (,) ainsi que... capacité fonctionnelle (membres).
Un mode de la respiration artificielle qui emploie mécanique ou non-mécanique signifie pour forcer l'air entre et sorte d'les poumons. La respiration artificielle ou ventilation est utilisé chez des individus qui ont arrêté de respirer ou insuffisance respiratoire pour augmenter leur consommation d ’ oxygène (O2) et l ’ excrétion du gaz carbonique (CO2).
Des anomalies du nez acquis après la naissance de blessure ou de maladie.
Le volume d'air inspiré périmé pendant chaque cycle respiratoire normal, discret et... commun abréviations sont la télé ou V avec subscript T.
Prise en charge de patients présentant des insuffisances et avec le système cardio-vasculaire. Cela inclut l'utilisation thérapeutique de gaz médicale et leur appareil administratif, systèmes de contrôle environnemental, humidification et aérosols, assistance respiratoire, et de l'exercice, drainage broncho-pulmonaire réhabilitation respiratoire, une assistance pour la réanimation cardio-pulmonaire naturel, et la conservation artificielle mécanique, et des voies aériennes.
Une procédure impliquant la place du tube dans la trachée par la bouche ou le nez afin de fournir un patient avec l'oxygène et anesthésie.
Techniques pour effectuer la transition du respiratory-failure patient sous ventilation mécanique de ventilation spontanée, tout en respectant les critères que volume courant être au-dessus du seuil administrée (plus de 5 ml / kg), fréquence respiratoire dessous d'une même compter (moins de 30 respirations / min), et l'oxygène pression partielle être au-dessus du seuil donné (PaO2 Hg) supérieur à 50mm. Sevrage études se concentrer sur trouver méthodes pour surveiller et prédire le résultat du respirateur mécanique sevrage ainsi que trouver assistance respiratoire techniques qui faciliteront réussi le sevrage. Cadeau méthodes figurent obligatoire intermittente ventilation avec pression positive intermittente et ventilation obligatoire minute volume ventilation.
La physique ou action mécanique du diaphragme ; ; ; poumons côtes et poitrine mur pendant la respiration, l'ouragan, volume des poumons, réflexe neuronal et contrôle, mechanoreceptors, la respiration, etc.
Un gaz inodore et incolore qui ne peut être formé par le corps et est nécessaire pour la respiration cycle de plantes et animaux.
Un élément dont symbole O, numéro atomique 8 et poids atomique [15.99903 ; 15.99977]. C'est l'élément le plus abondant sur Terre et essentiel pour la respiration.
Une maladie chronique irréversible diffuse de l'obstruction. Les sous-catégories d BPCO inclure CHRONIQUE bronchite et un emphysème pulmonaire.
Le taux auquel l'oxygène est utilisé par un mouchoir ; microlitres d'oxygène STPD utilisé par milligramme de tissus / h ; la vitesse à laquelle l'oxygène pénètre dans le sang de gaz alvéolaires, égaux dans l'état d'équilibre à la consommation d'O2 par métabolisme du tissu à l ’ organisme. (Stedman, 25e Ed, p346)
Un syndrome d ’ insuffisance respiratoire mettant en jeu le pronostic vital caractérisée par progressive en l'absence de maladies, survenant généralement après connu poumon insulte systémique telle que traumatisme ou intervention chirurgicale majeure.
Une technique de la kiné respiratoire, respiration spontanée ou dans aucun des patients ventilé artificiellement, auquel la pression des voies respiratoires est maintenue au-dessus de la pression atmosphérique à travers le cycle respiratoire par pression de la ligne son état ventilatoire circuit. (Medical Dictionary [Internet]. Newcastle upon Tyne (UK) : L'Université Dept. Of Medical Oncology : Le Projet CancerWEB ; c1997-2003 [cité 2003 avril 17]. Disponibles à l ’ adresse suivante : Http : / / cancerweb.ncl.ac.uk / OMD /)
Procédure dans laquelle les patients dans un état inconscient induites par le biais de divers médicaments pour que ne souffrent pas pendant l'opération.
Hôpitaux fournissant surveillance continue et de l'attention pour une personne très malade.
Méthodes de créer des machines et équipements.
Maladie ait un court et relativement sévère sûr.
Un modèle de respiration anormale, caractérisée par alternance de périodes d ’ apnée, respiration rapide et profonde, le cycle commence avec lentes respirations peu profondes qu'augmenter progressivement en profondeur et le taux et est ensuite complétée par une période d'apnée. La période d'apnée peut durer 5 à 30 secondes, et le cycle se répète toutes les 45 secondes à 3 minutes.
Observation d'une population pour un nombre suffisant de personnes sur un nombre suffisant d'années pour générer l ’ incidence ou de taux de mortalité consécutive à la sélection du groupe d'étude.
Le chien domestique, Canis familiaris, comprenant environ 400 races, de la famille carnivore CANIDAE. Ils sont dans le monde de la distribution et de vivre en association avec les gens. (Walker est Des mammifères du Monde, 5ème Ed, p1065)
Le mouvement et les forces impliqué dans le mouvement du sang à travers l'CARDIOVASCULAR système.
Semiautonomous, se reproduire seuls organites intervenant dans le cytoplasme des cellules de la plupart, mais pas tout, eukaryotes. Chaque mitochondrion est entouré par une double membrane limitant la membrane interne est hautement invaginated, et ses projections sont appelés "cristae. Mitochondries sont les sites des réactions du processus oxydatif, entraînant la formation d'ATP. Elles contiennent distinctif, transfert RNAS ribosomes (ARN, VIREMENT) ; AMINO acyl T ARN Synthetases ; et élongation and termination facteurs. Mitochondries dépendre de gènes dans le noyau des cellules dans lequel elles résident depuis de nombreuses essentiel messager RNAS (ARN, coursier). Mitochondries sembleraient se baser sur les bactéries aérobies ça établit une relation symbiotique avec primitif protoeukaryotes. (King & Stansfield, Un Dictionary of Genetics, 4ème éditeur)
Électron transfert effectué en utilisant le système du cytochrome libérateur énergie gratuite qui est transformée en haute énergie disodique obligations.
Évaluation menée pour évaluer les résultats ou des suites de gestion et procédures utilisées dans la lutte contre la maladie afin de déterminer l'efficacité, efficacité, la tolérance et practicability de ces interventions dans des cas individuels, ou la série.
Le processus par lequel sont transportés électrons passent d'un substrat réduite à la molécule d ’ oxygène. (De Bennington, Saunders Dictionary et Encyclopédie de médecine de laboratoire et de la Technologie, 1984, p270)
Mitochondries dans les hépatocytes. Comme dans tous les mitochondries, il y a une membrane externe et une membrane interne ensemble, créant deux compartiments mitochondriale séparées : La matrice espace interne et une beaucoup plus étroit espace intermembranaire. Dans le foie mitochondrion, environ 67 % du total des protéines mitochondriales est situé dans la matrice. (De Alberts et al., biologie moléculaire du 2d Cell, Ed, p343-4)
L'absence totale ou (librement), de gaz ou le manque d'oxygène dissous élémentaire à un endroit ou d'environnement. (De Singleton & Sainsbury, Dictionary of microbiologie et biologie moléculaire, 2d éditeur)
Un antibiotique substance produite par Streptomyces espèce. Elle inhibe la respiration et mitochondriale cellulaire peut réduire les niveaux d'ATP. Antimycine A1 a été utilisé comme insecticide, pesticides, et miticide. (De Merck Index, 12e éditeur)
Vie ou les réactions métaboliques survenant dans un environnement contenant l'oxygène.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Un type de stress exercée uniformément dans toutes les directions. Sa mesure est la force exercée par unité zone Dictionnaire de McGraw-Hill. (Terms scientifique et technique, 6e éditeur)
Le volume d'air dans les poumons à la fin d'un normal, discret et expiration. C'est la somme des des résidus d'activité et le volume expiratoire EN MATIÈRE VOLUME. Fréquent abréviation est FRC.
Pression du sang sur les principales et autres vaisseaux sanguins.

La « Respiration avec Pression Positive Intrinsèque » (RRPPI ou IPPB en anglais) est un terme médical qui décrit une forme de ventilation mécanique dans laquelle une pression positive est générée dans les voies aériennes pendant l'expiration, ce qui favorise l'ouverture des voies aériennes distales et facilite l'élimination des sécrétions. Cette technique est souvent utilisée chez les patients atteints de maladies pulmonaires obstructives telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ou l'emphysème, qui ont des difficultés à respirer et à éliminer les sécrétions de leurs poumons.

La RRPPI est généralement administrée à l'aide d'un appareil spécialisé qui délivre une pression positive constante ou intermittente dans les voies aériennes, ce qui permet d'augmenter le volume pulmonaire et de réduire la résistance des voies aériantes. Cette technique peut également être utilisée pour administrer des médicaments inhalés, tels que des bronchodilatateurs ou des corticostéroïdes, directement dans les poumons du patient.

Il est important de noter que la RRPPI doit être prescrite et supervisée par un professionnel de santé qualifié, tel qu'un médecin ou un thérapeute respiratoire, pour assurer une utilisation appropriée et éviter les complications potentielles telles que les barotraumatismes ou les pneumothorax.

La ventilation sous pression positive (VPPS) est une forme de ventilation mécanique utilisée dans le traitement des troubles respiratoires aigus et chroniques. Dans ce mode de ventilation, de l'air ou un mélange gazeux est insufflé dans les poumons du patient par l'intermédiaire d'un ventilateur, créant une pression positive dans les voies respiratoires. Cela permet aux poumons de se gonfler et facilite l'échange de gaz.

Au cours de la VPPS, un certain niveau de pression positive est maintenu dans les voies respiratoires après chaque expiration, ce qui contribue à maintenir les alvéoles ouvertes et à améliorer la ventilation. Cela peut être particulièrement bénéfique pour les patients atteints de maladies pulmonaires obstructives telles que l'emphysème ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), où l'obstruction des voies respiratoires peut entraver l'expiration et entraîner une distension alvéolaire.

La VPPS est généralement administrée via un tube endotrachéal ou une trachéostomie, et le niveau de pression et d'autres paramètres sont soigneusement ajustés en fonction des besoins individuels du patient. Bien que la VPPS puisse être très efficace pour soutenir la ventilation et l'oxygénation, elle peut également entraîner des complications potentielles telles que des lésions barotraumatiques, une inflammation pulmonaire et une infection. Par conséquent, un suivi et une surveillance étroits sont essentiels pour garantir la sécurité et l'efficacité du traitement.

La respiration sous pression positive intermittente (IPPB) est une forme de thérapie ventilatoire qui consiste à fournir de l'air ou un mélange gazeux enrichi en oxygène à des patients par l'intermédiaire d'un appareil qui délivre des impulsions de pression positive à intervalles réguliers. Cette méthode est souvent utilisée dans les milieux hospitaliers et cliniques pour aider les patients ayant des difficultés respiratoires, comme ceux qui souffrent de maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC), de fibrose kystique, de bronchite ou d'emphysème.

L'IPPB vise à améliorer l'expansion pulmonaire, à favoriser la clearance des sécrétions et à augmenter les échanges gazeux dans les poumons. L'appareil utilisé pour cette thérapie est équipé d'un masque ou d'un embout buccal que le patient place sur sa bouche et son nez, permettant ainsi l'entrée de l'air sous pression dans les voies respiratoires. La pression positive crée une force qui aide à maintenir les voies aériennes supérieures ouvertes, facilitant ainsi l'inhalation et l'exhalation.

Les impulsions de pression positive sont généralement délivrées pendant la phase inspiratoire du cycle respiratoire, bien que certaines méthodes puissent également inclure une pression positive durant la phase expiratoire. La fréquence et l'intensité des impulsions peuvent être ajustées en fonction des besoins spécifiques du patient, telles que sa capacité respiratoire et son niveau de confort.

En plus d'améliorer la ventilation pulmonaire, l'IPPB peut également être utilisée pour administrer des médicaments inhalés, tels que des bronchodilatateurs ou des stéroïdes, directement dans les voies respiratoires. Cela permet une distribution plus efficace et une absorption accrue de ces médicaments, ce qui peut entraîner une amélioration des symptômes associés à des affections pulmonaires telles que l'asthme ou la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC).

Bien qu'il s'agisse d'une technique utile pour le traitement de diverses affections respiratoires, il est important de noter que l'IPPB nécessite une formation et un ajustement appropriés pour assurer son utilisation sécuritaire et efficace. Les prestataires de soins de santé doivent évaluer attentivement les risques et les avantages potentiels de cette thérapie pour chaque patient, en tenant compte des facteurs tels que l'âge, la condition physique et les antécédents médicaux.

La Ventilation Sous Pression Positive Intermittente (VPPI) est une forme de ventilation mécanique qui consiste à fournir des cycles répétés et réguliers d'air ou de gaz respiratoire sous pression positive dans les voies respiratoires, suivis de périodes où la pression est diminuée ou égale à la pression atmosphérique.

Dans ce procédé, un ventilateur mécanique aide le patient à inspirer et à expirer, en délivrant des impulsions de pression positive pendant l'inspiration (pression positive inspiratoire - PPI) et en diminuant la pression ou en la laissant égale à la pression atmosphérique pendant l'expiration (pression positive expiratoire - PPE).

La VPPI est souvent utilisée pour traiter les patients atteints d'insuffisance respiratoire aiguë ou chronique, telle que l'insuffisance respiratoire liée à une maladie neuromusculaire, à une pneumonie, à un œdème pulmonaire ou à une détresse respiratoire aiguë. Elle permet d'améliorer les échanges gazeux, de diminuer l'effort respiratoire et de réduire le travail des muscles respiratoires, ce qui peut contribuer à prévenir l'atrophie musculaire et faciliter la récupération.

Il est important de noter que la VPPI doit être correctement ajustée et surveillée pour éviter les complications potentielles, telles que le barotrauma, les lésions pulmonaires ou l'hyperinflation des poumons.

L'insuffisance respiratoire est un terme médical qui décrit une condition où les poumons ne sont pas capables d'assurer un échange gazeux adéquat, entraînant ainsi une mauvaise oxygénation du sang et/ou une accumulation de dioxyde de carbone dans le corps. Cela peut être causé par diverses maladies ou affections qui affectent la fonction pulmonaire, telles que l'emphysème, la bronchite chronique, la fibrose kystique, la pneumonie, l'asthme sévère, la sclérose systémique, les malformations congénitales des poumons ou de la cage thoracique, ou encore par une paralysie des muscles respiratoires.

Les symptômes courants de l'insuffisance respiratoire comprennent : essoufflement au repos ou à l'effort, fatigue, confusion, toux fréquente, respiration rapide et superficielle, respiration sifflante, cyanose (coloration bleue des lèvres et de la peau due à un manque d'oxygène), et dans les cas graves, coma.

Le traitement de l'insuffisance respiratoire dépend de sa cause sous-jacente. Il peut inclure des médicaments, de l'oxygénothérapie, une ventilation mécanique, une réadaptation pulmonaire, ou même une transplantation pulmonaire dans les cas les plus sévères.

Dans un contexte médical, un masque est un dispositif de protection qui couvre le nez, la bouche et parfois le menton. Il est utilisé pour prévenir la transmission des infections entre les individus en bloquant les gouttelettes respiratoires produites lors de la toux, de l'éternuement ou de la parole. Les masques peuvent être fabriqués à partir de différents matériaux et il existe plusieurs types, tels que les masques chirurgicaux et les masques N95. Les masques chirurgicaux sont conçus pour protéger l'environnement des gouttelettes expulsées par le porteur, tandis que les masques N95 sont conçus pour filtrer à la fois les gouttelettes et les particules en suspension dans l'air, offrant une meilleure protection contre l'inhalation de particules infectieuses.

La respiration cellulaire est un processus biochimique essentiel à la vie de toutes les cellules, où l'énergie est produite sous forme d'ATP (adénosine triphosphate) en décomposant des nutriments organiques tels que le glucose en présence d'oxygène. Il s'agit d'une série de réactions métaboliques qui se produisent dans la mitochondrie des cellules eucaryotes et dans le cytoplasme des procaryotes.

Ce processus comprend trois stades principaux : la glycolyse, le cycle de Krebs (ou cycle de l'acide citrique) et la chaîne respiratoire avec phosphorylation oxydative. Durant la glycolyse, qui se produit dans le cytoplasme, le glucose est décomposé en deux molécules de pyruvate, libérant une petite quantité d'énergie.

Ensuite, dans les mitochondries, le cycle de Krebs oxyde le pyruvate produisant du CO2 et de l'eau tout en générant des électrons à haut potentiel d'hydrogène. Ces électrons sont ensuite transférés le long de la chaîne respiratoire, une série de protéines transportant les électrons et pompant des protons hors de la matrice mitochondriale, créant un gradient de protons à travers la membrane interne mitochondriale.

La phosphorylation oxydative se produit alors, où l'ATP synthétase utilise l'énergie du flux des protons pour produire de l'ATP à partir d'ADP et de phosphate inorganique. L'oxygène est le principal accepteur final des électrons dans cette chaîne, ce qui explique pourquoi il est crucial pour la respiration cellulaire.

Dans des conditions anaérobies, certaines cellules peuvent effectuer une fermentation pour régénérer les transporteurs d'électrons et produire de l'ATP, mais à un rythme beaucoup plus lent et avec moins d'efficacité énergétique que la respiration cellulaire.

La respiration, dans un contexte médical, fait référence au processus d'échange gazeux entre l'air et le sang dans les poumons. Il consiste en deux phases principales : l'inspiration (ou l'acte de respirer dans) et l'expiration (ou l'acte de respirer).

Pendant l'inspiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se contractent, ce qui entraîne une augmentation du volume de la cavité thoracique. Cela provoque une baisse de la pression à l'intérieur de la cavité thoracique, permettant à l'air de pénétrer dans les poumons par les voies respiratoires. L'oxygène présent dans l'air inspiré se dissout ensuite dans le sang et se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges.

Au cours de l'expiration, le diaphragme et les muscles intercostaux se relâchent, ce qui entraîne une diminution du volume de la cavité thoracique et une augmentation de la pression à l'intérieur de celle-ci. Cela force l'air chargé en dioxyde de carbone (un déchet produit par les cellules du corps) à quitter les poumons par les voies respiratoires.

Des problèmes respiratoires peuvent survenir lorsque ce processus est altéré ou interrompu, comme dans des affections telles que l'asthme, la bronchite, l'emphysème et la pneumonie.

Un respirateur artificiel, également connu sous le nom de ventilateur mécanique, est un appareil médico-technique qui assiste ou remplace les fonctions respiratoires lorsque la ventilation spontanée est insuffisante ou impossible. Il est utilisé dans les unités de soins intensifs pour prendre en charge les patients atteints d'une défaillance respiratoire aiguë ou chronique, telle que l'insuffisance respiratoire due à un traumatisme, une maladie ou une intervention chirurgicale.

Le respirateur artificiel fonctionne en fournissant un mélange contrôlé de gaz médicaux (généralement de l'oxygène et de l'azote) à travers une interface patient, telle qu'un masque facial, une canule nasale ou un tube endotrachéal. Il peut être réglé pour fournir des volumes respiratoires et des fréquences spécifiques, ainsi que pour adapter la pression positive et négative dans les voies respiratoires du patient.

L'utilisation d'un respirateur artificiel nécessite une surveillance étroite et un ajustement continu des paramètres pour garantir une ventilation adéquate et minimiser les complications potentielles, telles que les lésions pulmonaires associées à la ventilation mécanique (VILI).

Un masque laryngé est un dispositif médical utilisé pour établir et maintenir la perméabilité des voies respiratoires supérieures. Il est inséré dans la bouche du patient, recouvrant le nez et la bouche, et avancé jusqu'à ce que son extrémité soit positionnée au-dessus du larynx.

Le masque laryngé est équipé d'une tubulure flexible qui se connecte à un ballon gonflable à son extrémité distale. Une fois le masque correctement positionné, le ballon est gonflé pour créer une étanchéité autour du larynx, empêchant ainsi l'air de s'échapper par les voies respiratoires supérieures et forçant l'inhalation et l'exhalation à travers la tubulure.

Ce dispositif est souvent utilisé lors des procédures médicales ou chirurgicales qui nécessitent une intubation difficile ou impossible, permettant ainsi d'assurer la ventilation du patient de manière sûre et efficace. Cependant, il convient de noter que le masque laryngé peut entraîner un certain niveau d'inconfort pour le patient et doit être manipulé avec soin pour éviter les dommages aux tissus environnants.

La laryngosténose est un rétrécissement ou un resserrement anormal de l'ouverture du larynx (l'entrée de la trachée dans le cou). Cette condition peut causer des difficultés à respirer, en particulier pendant l'inspiration. La laryngosténose peut être congénitale (présente à la naissance) ou acquise (développée plus tard dans la vie). Les causes courantes de laryngosténose acquise comprennent les infections respiratoires, les traumatismes, les tumeurs et l'inflammation chronique. Les symptômes peuvent inclure une toux sifflante, des difficultés à respirer, en particulier pendant l'exercice ou le rire, et une voix rauque ou enrouée. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale ou des thérapies de dilatation.

La paraldéhyde est un médicament qui était utilisé dans le passé, principalement pour ses propriétés sédatives et hypnotiques. Il s'agit d'une solution composée d'acétaldéhyde et d'eau, avec une petite quantité d'alcool méthylique et d'acide acétique. La paraldéhyde a été largement utilisée comme traitement pour l'insomnie, l'agitation et les convulsions, en particulier chez les enfants.

Cependant, son utilisation est devenue moins courante en raison des risques associés à son administration et de la disponibilité d'autres médicaments plus sûrs et plus efficaces. L'administration de paraldéhyde nécessite une injection intramusculaire ou sous-cutanée, ce qui peut être douloureux et entraîner des réactions locales désagréables. De plus, la paraldéhyde a un effet irritant sur les tissus et peut provoquer des nécroses lorsqu'elle est injectée par voie intraveineuse.

En raison de ces risques et du développement de médicaments alternatifs plus sûrs, la paraldéhyde n'est plus largement utilisée dans la pratique médicale actuelle.

Un organe artificiel est un dispositif mécanique ou électronique qui est implanté dans le corps pour remplacer un organe naturel qui ne fonctionne plus correctement ou a échoué. Ces dispositifs sont conçus pour imiter les fonctions des organes naturels aussi étroitement que possible. Les exemples d'organes artificiels incluent les pompes à insuline pour le pancréas, les stimulateurs cardiaques pour le cœur, les prothèses auditives pour l'oreille interne, et les membres artificiels pour les bras ou les jambes. Dans certains cas, comme avec les reins artificiels, le dispositif est utilisé temporairement jusqu'à ce qu'un organe naturel soit disponible pour une transplantation. Cependant, dans d'autres cas, comme avec certaines prothèses, l'organe artificiel peut être utilisé de façon permanente.

La ventilation artificielle est une intervention médicale qui consiste à assister ou à remplacer la fonction respiratoire d'une personne en utilisant des équipements mécaniques. Elle est souvent utilisée lorsqu'une personne ne peut maintenir seule une respiration adéquate, comme dans le cas d'une insuffisance respiratoire aiguë ou d'une défaillance cardiaque.

Il existe deux types de ventilation artificielle : la ventilation invasive et la ventilation non invasive. La ventilation invasive implique l'utilisation d'un tube endotrachéal inséré dans la trachée pour fournir de l'air ou du dioxyde de carbone à et à partir des poumons. La ventilation non invasive, en revanche, utilise une interface masque faciale ou nasale pour délivrer l'air sous pression sans introduire de tube dans la trachée.

L'objectif principal de la ventilation artificielle est de maintenir des niveaux adéquats d'oxygénation et de dioxyde de carbone élimination, tout en permettant au patient de se reposer et de guérir des conditions sous-jacentes qui ont conduit à l'échec respiratoire.

Les anomalies morphologiques acquises du nez se réfèrent à des changements anormaux dans la forme ou la structure du nez qui résultent d'une blessure, d'une maladie ou d'un processus de vieillissement. Ces anomalies peuvent affecter l'apparence esthétique du nez ainsi que sa fonction.

Les exemples d'anomalies morphologiques acquises du nez comprennent :

1. La déviation de la cloison nasale : Il s'agit d'une courbure anormale de la paroi qui sépare les deux narines. Cette condition peut résulter d'un traumatisme ou d'un processus inflammatoire et peut entraîner des difficultés respiratoires.
2. Le nez crochu : Il s'agit d'une déformation du nez qui se produit lorsque la pointe du nez est courbée vers le bas. Cette condition peut être causée par un traumatisme ou un processus de vieillissement.
3. La bosse nasale : Il s'agit d'une saillie osseuse ou cartilagineuse sur le pont du nez. Cette condition peut résulter d'un traumatisme ou être due à une croissance anormale des os et des cartilages du nez.
4. Les narines élargies : Il s'agit d'une anomalie qui se produit lorsque les ouvertures des narines sont agrandies ou déformées. Cette condition peut être causée par un traumatisme, une maladie ou un processus de vieillissement.
5. Le nez creux : Il s'agit d'une dépression ou d'un creux sur le dos du nez. Cette condition peut résulter d'un traumatisme ou être due à une perte de tissu osseux ou cartilagineux.

Le traitement des anomalies morphologiques acquises du nez dépend de la cause sous-jacente et de la gravité de la condition. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie reconstructive, les médicaments et les thérapies physiques.

En médecine, le terme "volume courant" fait référence à la quantité de liquide, généralement d'air ou de sang, qui circule dans et hors d'un organe ou d'une cavité du corps pendant une période déterminée. Il s'agit essentiellement du débit du fluide au cours d'un cycle respiratoire ou cardiaque.

Dans le contexte de la fonction pulmonaire, le volume courant est le volume d'air inhalé et exhalé pendant la respiration normale, à savoir l'inspiration et l'expiration régulières sans effort supplémentaire. Il ne comprend pas les volumes additionnels inspirés ou expirés lors de manœuvres forcées telles que la toux ou les efforts de respiration profonde. Le volume courant est d'environ 500 millilitres (ml) chez l'adulte en moyenne.

Dans le contexte cardiovasculaire, le volume courant se réfère au volume d'oxygène ou de sang pompé par le cœur dans un cycle complet (systole et diastole). Il est utilisé pour évaluer la performance cardiaque et peut être calculé en divisant le débit cardiaque (la quantité totale de sang pompée par le cœur en une minute) par le nombre de battements cardiaques par minute.

Un traitement respiratoire est un ensemble de procédures et de stratégies médicales utilisées pour améliorer la fonction respiratoire et soulager les symptômes liés à des affections pulmonaires ou à d'autres problèmes de santé qui affectent la capacité à respirer. Les traitements respiratoires peuvent inclure une variété de méthodes, telles que :

1. Oxygénothérapie : Administration d'oxygène supplémentaire par masque ou canule nasale pour aider à maintenir des niveaux adéquats d'oxygène dans le sang.
2. Ventilation mécanique : Utilisation de ventilateurs mécaniques pour assister ou remplacer la fonction respiratoire chez les patients qui ne peuvent pas respirer par eux-mêmes, en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë ou chronique.
3. Médicaments : Utilisation de bronchodilatateurs, corticostéroïdes, et/ou antibiotiques pour traiter des affections sous-jacentes telles que l'asthme, la bronchite chronique, la pneumonie ou d'autres infections pulmonaires.
4. Aérosolthérapie : Administration de médicaments sous forme de particules fines par nébuliseur ou inhalateur pour atteindre directement les voies respiratoires et améliorer la fonction pulmonaire.
5. Physiothérapie respiratoire : Utilisation d'exercices de respiration, de techniques de désencombrement des poumons et de postures spécifiques pour favoriser l'expansion pulmonaire, améliorer la clairance des sécrétions et réduire le risque d'infections pulmonaires.
6. Chirurgie : Interventions chirurgicales telles que la résection pulmonaire, la transplantation pulmonaire ou la réparation de déformations thoraciques pour améliorer la fonction respiratoire et traiter des affections graves.
7. Oxygénothérapie : Administration d'oxygène supplémentaire par masque ou canule nasale pour soutenir la ventilation et améliorer l'apport en oxygène aux tissus en cas de défaillance respiratoire aiguë ou chronique.
8. Ventilation mécanique : Utilisation d'un ventilateur mécanique pour assister ou remplacer la fonction respiratoire en cas de détresse respiratoire aiguë ou d'insuffisance respiratoire sévère.

L'intubation trachéale est un processus médical dans lequel un tube endotrachéal est inséré dans la trachée d'un patient pour établir et maintenir une voie respiratoire artificielle. Ce tube, généralement en plastique flexible, permet au médecin de fournir du dioxygène et d'évacuer le dioxyde de carbone pendant et après une intervention chirurgicale, une anesthésie générale, une urgence respiratoire ou d'autres situations critiques où le patient ne peut maintenir seul une respiration adéquate.

L'intubation trachéale est effectuée sous anesthésie locale ou générale et nécessite des compétences et des connaissances spécialisées pour assurer la sécurité et le confort du patient. Le médecin insère délicatement le tube dans la bouche ou le nez du patient, le faisant glisser dans la trachée en évitant les structures voisines telles que les cordes vocales. Une fois le tube correctement positionné, il est fixé en place pour prévenir tout mouvement indésirable.

Les complications potentielles de l'intubation trachéale comprennent des dommages aux dents, à la muqueuse buccale, aux cordes vocales et aux structures voisines, ainsi que des infections, une hypoxie et une hypertension pulmonaire. Cependant, lorsqu'elle est effectuée correctement par un professionnel qualifié, l'intubation trachéale est considérée comme une procédure sûre et essentielle dans de nombreux contextes médicaux et chirurgicaux.

Le sevrage ventilateur, également connu sous le nom de weaning de la ventilation mécanique, est un processus progressif et soigneusement contrôlé visant à réduire et finalement à éliminer la dépendance d'un patient aux ventilateurs mécaniques qui fournissent une assistance respiratoire.

Ce processus implique généralement de diminuer progressivement le niveau de support respiratoire fourni par le ventilateur, tout en surveillant attentivement les signes vitaux et la fonction pulmonaire du patient. Le but est d'aider le patient à rétablir sa propre capacité respiratoire et à reprendre une respiration spontanée et adéquate.

Le sevrage ventilateur peut être effectué en utilisant différentes stratégies, telles que la réduction progressive de la fraction d'oxygène inspirée (FiO2), la diminution du volume courant ou de la pression positive inspiratoire, et l'augmentation des pauses inspiratoires. Le processus de sevrage ventilateur doit être individualisé pour chaque patient en fonction de sa condition médicale sous-jacente, de son état respiratoire actuel et de sa réponse à la thérapie de ventilation mécanique.

Le succès du sevrage ventilateur dépend de nombreux facteurs, notamment la gravité de la maladie pulmonaire sous-jacente, la durée de la ventilation mécanique, l'âge et la force musculaire du patient. Une surveillance étroite et une évaluation régulière sont essentielles pour garantir un sevrage réussi et éviter les complications telles que la détresse respiratoire aiguë, l'insuffisance cardiaque ou le décès.

La mécanique respiratoire est un terme utilisé en médecine et en physiologie pour décrire les forces et les mouvements impliqués dans la ventilation, c'est-à-dire le processus d'inhalation et d'exhalation de l'air. Il s'agit essentiellement de la partie du fonctionnement du système respiratoire qui concerne la manière dont les poumons se gonflent et se dégonflent.

Cela implique principalement deux processus :

1. Les mouvements de la cage thoracique (thorax) : Pendant l'inhalation, les muscles intercostaux et le diaphragme se contractent, ce qui entraîne l'expansion de la cage thoracique. Cela crée un espace négatif qui aspire l'air dans les poumons. Lors de l'expiration, ces muscles se relâchent, permettant à la cage thoracique de revenir à sa position initiale et de pousser l'air hors des poumons.

2. Les mouvements des poumons : Les poumons sont élastiques et ont tendance à se rétracter vers leur forme dégonflée lorsque les forces extérieures (comme la pression atmosphérique) ne les maintiennent pas étendus. Pendant l'inhalation, l'air pénètre dans les poumons en raison de la différence de pression entre l'intérieur et l'extérieur des poumons. Pendant l'expiration, l'élasticité des poumons expulse naturellement l'air.

La mécanique respiratoire peut être affectée par diverses conditions médicales telles que la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique), l'asthme, la fibrose kystique et d'autres maladies pulmonaires ou neuromusculaires. Elle est souvent évaluée en mesurant les volumes pulmonaires et les débits, qui peuvent fournir des informations sur la fonction pulmonaire et aider au diagnostic et à la gestion de ces conditions.

Le dioxyde de carbone, également connu sous le nom de CO2, est un gaz inorganique composé d'un atome de carbone et de deux atomes d'oxygène. Il est naturellement présent dans l'atmosphère terrestre à des concentrations d'environ 0,04% en volume.

Dans le contexte médical, le dioxyde de carbone est peut-être mieux connu pour son rôle dans la respiration cellulaire et le transport des gaz dans le sang. Les poumons expirent normalement environ 5 à 6% de CO2 lors de la respiration, ce qui reflète l'importance du métabolisme cellulaire dans la production de ce gaz.

Dans le sang, le dioxyde de carbone se lie à l'hémoglobine dans les globules rouges et est transporté vers les poumons où il est expiré. Une partie du CO2 est également transportée sous forme de bicarbonate dans le plasma sanguin.

Des niveaux anormalement élevés de dioxyde de carbone dans le sang peuvent entraîner une acidose respiratoire, qui peut être causée par une maladie pulmonaire obstructive ou restrictive, une insuffisance respiratoire ou une intoxication au monoxyde de carbone. Des niveaux anormalement bas de CO2 peuvent entraîner une alcalose respiratoire, qui peut être causée par une hyperventilation excessive.

En bref, le dioxyde de carbone est un gaz important dans la physiologie humaine normale et anormale, jouant un rôle crucial dans la régulation du pH sanguin et du transport des gaz.

L'oxygène est un gaz inodore, incolore et insipide qui constitue environ 21% des molécules dans l'atmosphère terrestre. Médicalement parlant, l'oxygène est un élément essentiel pour la vie car il joue un rôle crucial dans le processus de respiration.

Les globules rouges du sang absorbent l'oxygène dans les poumons et le transportent vers les cellules de tous les tissus corporels. Dans ces cellules, l'oxygène est utilisé dans la production d'énergie par un processus appelé la respiration cellulaire. Cette énergie est nécessaire au maintien des fonctions vitales du corps telles que la circulation sanguine, la digestion et le fonctionnement du cerveau.

Lorsque le niveau d'oxygène dans le sang est insuffisant, par exemple en cas de maladies pulmonaires ou cardiaques, d'anémie sévère ou à haute altitude, une supplémentation en oxygène peut être nécessaire pour prévenir les lésions tissulaires et assurer le bon fonctionnement des organes.

La Broncho-Pneumopathie Chronique Obstructive (BPCO) est une maladie pulmonaire progressive et souvent évitable caractérisée par une obstruction chronique des voies aériennes. Elle est généralement causée par l'inhalation de substances nocives, principalement la fumée du tabac. Les symptômes typiques comprennent une toux persistante, la production de mucus, une respiration sifflante et un essoufflement. La BPCO ne peut pas être guérie, mais son évolution peut être ralentie et ses symptômes atténués grâce à des traitements médicaux appropriés, tels que l'administration de bronchodilatateurs et de corticostéroïdes inhalés, ainsi qu'à la cessation du tabagisme. La maladie peut également entraîner d'autres complications, telles que des exacerbations fréquentes, une insuffisance respiratoire chronique et une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires.

La consommation d'oxygène, également connue sous le nom de consommation d'oxygène par minute (MO2), fait référence à la quantité d'oxygène qu'un organisme ou un tissu particulier utilise par minute. Il s'agit d'une mesure importante en médecine et en physiologie, car elle reflète le métabolisme cellulaire et l'activité fonctionnelle des organes.

La consommation d'oxygène est généralement mesurée en unités de millilitres par minute (ml/min) et peut être calculée en mesurant la différence entre la quantité d'oxygène inspiré et expiré par un individu pendant une certaine période. Cette valeur est souvent utilisée dans le contexte des soins intensifs pour surveiller l'état de patients gravement malades, tels que ceux qui sont sous ventilation mécanique ou qui souffrent d'une insuffisance cardiaque ou pulmonaire.

En général, une consommation d'oxygène plus élevée indique un métabolisme accru et peut être observée pendant l'exercice, le stress thermique ou mental, les infections et d'autres états pathologiques. En revanche, une consommation d'oxygène faible peut indiquer une maladie sous-jacente, telle qu'une insuffisance cardiaque congestive, une pneumonie ou un sepsis. Par conséquent, la mesure de la consommation d'oxygène est un outil important pour évaluer l'état clinique des patients et surveiller leur réponse au traitement.

Le Syndrome de Détresse Respiratoire de l'Adulte (SDRA) est une forme grave de défaillance respiratoire aiguë caractérisée par une inflammation pulmonaire diffuse, une perméabilité alvéolo-capillaire accrue et une compliance pulmonaire diminuée. Il en résulte une hypoxémie sévère malgré des concentrations élevées de fraction d'oxygène inspiré (FiO2), souvent associée à une hypercapnie.

Le SDRA est généralement causé par une lésion pulmonaire directe ou indirecte, telle qu'une pneumonie bactérienne ou virale, une aspiration de liquide gastrique, une infection sévère, un traumatisme thoracique, une inhalation de fumées toxiques ou une réaction immunitaire excessive.

Les symptômes du SDRA comprennent une dyspnée sévère, une tachypnée, une hypoxémie réfractaire à l'oxygénothérapie, des crépitants pulmonaires diffus, une cyanose et éventuellement une instabilité hémodynamique. Le diagnostic est posé sur la base de critères cliniques, radiologiques et gazométriques spécifiques.

Le traitement du SDRA repose principalement sur des mesures de support respiratoire telles que la ventilation mécanique protectrice à faible volume courant et faible pression positive, l'oxygénothérapie à haut débit, la pronation positionnelle et éventuellement l' ECMO (oxygénation par membrane extracorporelle). Des thérapies adjuvantes peuvent inclure des corticostéroïdes, des agents anti-inflammatoires et des antibiotiques à large spectre.

La ventilation sous pression positive continue (CPAP) est une forme de thérapie de support respiratoire qui utilise une pression d'air constante pour maintenir les voies respiratoires supérieures d'un patient ouvertes et faciliter la ventilation. Contrairement à la ventilation mécanique, qui alterne entre l'inspiration et l'expiration, la CPAP ne fournit qu'une pression positive continue pendant toute la durée du cycle respiratoire.

Cette thérapie est souvent utilisée pour traiter l'apnée obstructive du sommeil, une condition dans laquelle le relâchement des muscles de la gorge entraîne une obstruction partielle ou complète des voies respiratoires pendant le sommeil. En fournissant une pression positive constante, la CPAP empêche les voies respiratoires de s'effondrer et permet au patient de respirer normalement.

Le dispositif utilisé pour la CPAP consiste en un petit compresseur d'air qui est connecté à un masque facial ou nasal que le patient porte pendant le sommeil. Le compresseur délivre une pression d'air constante dans les voies respiratoires du patient, ce qui permet de maintenir les voies aériennes supérieures ouvertes et de réduire l'apnée et l'hypopnée.

En plus de traiter l'apnée obstructive du sommeil, la CPAP peut également être utilisée pour traiter d'autres conditions telles que la pneumonie, l'insuffisance cardiaque congestive et les traumatismes thoraciques. Cependant, il est important de noter que la CPAP doit être prescrite par un médecin et que son utilisation doit être supervisée par un professionnel de la santé qualifié.

L'anesthesie générale est un type d'anesthésie qui entraîne une perte totale de conscience et de sensibilité pendant une procédure médicale. Elle est généralement administrée par inhalation ou injection d'un mélange de médicaments anesthésiques, qui agissent sur le système nerveux central pour induire et maintenir l'état d'inconscience.

L'anesthésie générale est souvent utilisée pendant les chirurgies majeures, car elle permet de bloquer la douleur et de provoquer une amnésie, ce qui signifie que le patient ne se souviendra pas de l'intervention. Elle peut également être utilisée pour des procédures diagnostiques ou thérapeutiques qui nécessitent une immobilité complète du patient, telles que les examens d'imagerie par résonance magnétique (IRM) ou les traitements de radiothérapie.

L'anesthésie générale comporte certains risques, tels que des réactions allergiques aux médicaments anesthésiques, des problèmes respiratoires ou cardiovasculaires, et des nausées ou vomissements après l'intervention. Cependant, ces complications sont rares et les anesthésistes prennent généralement des précautions pour minimiser les risques en évaluant soigneusement l'état de santé du patient avant la procédure et en surveillant étroitement ses signes vitaux pendant et après l'anesthésie.

Les unités de soins intensifs (USI), également connues sous le nom de services de soins critiques, sont des départements spécialisés dans les hôpitaux qui offrent des soins médicaux et infirmiers continus et intensifs aux patients présentant des conditions potentiellement mortelles ou qui nécessitent une surveillance étroite et un traitement actif. Les USI sont équipées de technologies avancées et d'un personnel hautement qualifié pour surveiller et prendre en charge les fonctions vitales des patients, telles que la respiration, la circulation sanguine et le fonctionnement neurologique.

Les patients admis dans les USI peuvent souffrir de diverses affections graves, notamment des insuffisances cardiaques, pulmonaires ou rénales, des lésions cérébrales traumatiques, des brûlures étendues, des infections sévères et des complications post-opératoires. Les soins dans les USI sont généralement prodigués par une équipe multidisciplinaire de médecins spécialistes, d'infirmières, de techniciens et d'autres professionnels de la santé qui travaillent en étroite collaboration pour assurer des soins optimaux et personnalisés aux patients.

Les caractéristiques distinctives des USI comprennent une surveillance continue des signes vitaux, l'administration de médicaments et de fluides par voie intraveineuse, la ventilation mécanique, les dialyses rénales et d'autres procédures invasives ou non invasives. Les patients dans les USI bénéficient également d'un ratio infirmier/patient plus élevé pour garantir une attention et des soins individualisés.

Dans l'ensemble, les unités de soins intensifs jouent un rôle crucial dans la prise en charge des patients gravement malades ou blessés, en offrant des soins spécialisés et intensifs qui peuvent faire la différence entre la vie et la mort.

La conception d'équipements médicaux fait référence au processus de planification, de création et de production d'appareils, d'instruments ou de dispositifs médicaux qui sont utilisés pour prévenir, diagnostiquer ou traiter des conditions médicales. Ce domaine interdisciplinaire implique une combinaison de connaissances en ingénierie, en ergonomie, en sciences humaines et en soins de santé.

La conception d'équipements médicaux vise à produire des équipements qui sont non seulement efficaces sur le plan clinique mais aussi sûrs, conviviaux et accessibles aux professionnels de la santé et aux patients. Les facteurs importants pris en compte lors de la conception d'équipements médicaux comprennent :

1. Sécurité: les équipements doivent être conçus pour minimiser le risque de blessures ou de dommages aux patients, aux utilisateurs et aux tiers. Cela implique souvent des tests rigoureux et une certification réglementaire.
2. Efficacité: les équipements doivent être capables d'effectuer les tâches pour lesquelles ils ont été conçus avec précision, rapidité et fiabilité.
3. Facilité d'utilisation: les équipements doivent être intuitifs et faciles à utiliser, même pour les utilisateurs inexpérimentés. Cela peut inclure des fonctionnalités telles que des écrans tactiles, des menus simples et des commandes claires.
4. Ergonomie: les équipements doivent être conçus pour minimiser la fatigue et le stress de l'utilisateur, en prenant en compte des facteurs tels que la hauteur, la portée et la posture.
5. Accessibilité: les équipements doivent être accessibles aux personnes handicapées ou ayant des besoins spéciaux, conformément aux normes d'accessibilité telles que l'Americans with Disabilities Act (ADA).
6. Durabilité: les équipements doivent être conçus pour résister à une utilisation intensive et à long terme, y compris des facteurs tels que la température, l'humidité et les chocs.
7. Sécurité: les équipements doivent être conçus pour minimiser les risques de blessures ou de dommages, par exemple en utilisant des matériaux non toxiques et des conceptions sans pièges.
8. Maintenance: les équipements doivent être faciles à entretenir et à réparer, avec des pièces de rechange disponibles et un support technique compétent.

Une maladie aiguë est un type de trouble médical qui se développe rapidement et présente des symptômes graves pendant une période relativement courte. Contrairement aux maladies chroniques, qui peuvent durer des mois ou des années, les maladies aiguës ont tendance à durer quelques jours ou semaines au maximum.

Les maladies aiguës peuvent être causées par une variété de facteurs, notamment des infections, des blessures, des réactions allergiques ou des événements médicaux soudains tels qu'un accident vasculaire cérébral ou une crise cardiaque. Les symptômes d'une maladie aiguë peuvent inclure de la fièvre, des douleurs, de l'inflammation, de la fatigue et d'autres signes de malaise.

Dans la plupart des cas, les maladies aiguës peuvent être traitées avec des médicaments ou d'autres interventions médicales et les patients se rétablissent complètement en quelques jours ou semaines. Cependant, certaines maladies aiguës peuvent entraîner des complications graves ou même la mort si elles ne sont pas traitées rapidement et efficacement.

Il est important de consulter un professionnel de la santé dès que possible si vous pensez souffrir d'une maladie aiguë, car un diagnostic et un traitement précoces peuvent améliorer les chances de rétablissement complet.

La respiration de Cheyne-Stokes est un type de trouble respiratoire caractérisé par des cycles réguliers et progressifs d'augmentation et de diminution de la profondeur et de la fréquence des respirations, suivis d'une apnée ou d'une pause respiratoire. Ces cycles se répètent généralement toutes les 30 secondes à deux minutes.

Au début du cycle, les respirations sont superficielles et s'approfondissent progressivement jusqu'à atteindre une profondeur maximale, puis diminuent à nouveau jusqu'à l'apnée. Ce modèle de respiration est souvent observé chez les personnes atteintes d'insuffisance cardiaque congestive sévère, d'accident vasculaire cérébral, d'infections cérébrales ou de tumeurs cérébrales.

La respiration de Cheyne-Stokes peut également se produire pendant le sommeil paradoxal chez les personnes en bonne santé, mais elle est généralement normale dans ce contexte et ne cause pas de symptômes. Cependant, lorsqu'elle survient en dehors du sommeil paradoxal ou est associée à une maladie sous-jacente, elle peut entraîner des conséquences graves telles qu'une privation d'oxygène, une fatigue excessive et une augmentation du risque de décès.

Les études prospectives, également connues sous le nom d'études de cohorte ou d'études longitudinales, sont un type de recherche médico-épidémiologique dans laquelle les sujets sont suivis au fil du temps pour évaluer l'incidence ou le développement de divers facteurs de risque et maladies. Contrairement aux études rétrospectives, qui examinent des événements passés, les études prospectives commencent par un groupe de participants en bonne santé ou sans la maladie d'intérêt et les suivent pour déterminer quels facteurs peuvent contribuer au développement de cette maladie.

Ces études sont considérées comme offrant des preuves plus solides que les études rétrospectives, car elles permettent aux chercheurs de collecter des données sur les expositions et les résultats au même moment, ce qui réduit le risque de biais de rappel. Cependant, elles peuvent être longues, coûteuses et complexes à mener, car elles nécessitent un suivi régulier des participants pendant une période prolongée.

Les études prospectives sont souvent utilisées pour examiner l'association entre les facteurs de risque modifiables, tels que le tabagisme, la consommation d'alcool et l'activité physique, et le développement de maladies chroniques telles que le cancer, les maladies cardiovasculaires et les troubles neurodégénératifs.

Je suis désolé, "chiens" est un terme général qui fait référence à une espèce spécifique d'animaux domestiques et non à une condition ou à un état médical. Les chiens (Canis lupus familiaris) sont des mammifères carnivores de la famille des Canidae. Ils sont souvent considérés comme les plus anciens animaux domestiqués par l'homme, depuis probablement 20 000 à 40 000 ans. Les chiens existent en plusieurs races, tailles et formes, avec des variations significatives dans leur apparence, leur tempérament et leurs capacités. Ils sont souvent élevés comme animaux de compagnie en raison de leur loyauté, de leur intelligence et de leur capacité à être formés.

Si vous cherchez une définition médicale ou des informations sur un sujet spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

La hemodynamique est une branche de la physiologie qui étudie la circulation du sang dans le système cardiovasculaire, en se concentrant sur les principes physiques qui régissent le flux sanguin, tels que la pression artérielle, la résistance vasculaire, la précharge et la postcharge, le débit cardiaque et l'oxygénation du sang. Elle examine également les réponses du corps à des changements aigus ou chroniques dans ces paramètres, tels que l'exercice, l'émotion, les maladies cardiovasculaires et pulmonaires, ainsi que les effets de divers médicaments sur le système cardiovasculaire. Les professionnels de la santé utilisent souvent des mesures hémodynamiques pour évaluer l'état cardiovasculaire d'un patient et guider le traitement clinique.

Les mitochondries sont des organites présents dans la plupart des cellules eucaryotes (cellules avec un noyau), à l'exception des cellules rouges du sang. Ils sont souvent décrits comme les "centrales électriques" de la cellule car ils sont responsables de la production d'énergie sous forme d'ATP (adénosine triphosphate) via un processus appelé respiration cellulaire.

Les mitochondries ont leur propre ADN, distinct du noyau de la cellule, bien qu'une grande partie des protéines qui composent les mitochondries soient codées par les gènes situés dans le noyau. Elles jouent également un rôle crucial dans d'autres processus cellulaires, tels que le métabolisme des lipides et des acides aminés, la synthèse de certains composants du sang, le contrôle de la mort cellulaire programmée (apoptose), et peuvent même jouer un rôle dans le vieillissement et certaines maladies.

Les mitochondries ne sont pas statiques mais dynamiques : elles se divisent, fusionnent, se déplacent et changent de forme en réponse aux besoins énergétiques de la cellule. Des anomalies dans ces processus peuvent contribuer à diverses maladies mitochondriales héréditaires.

La phosphorylation oxydative est un processus métabolique essentiel dans les cellules vivantes, où l'énergie chimique stockée dans les molécules de nutriments est convertie en adénosine triphosphate (ATP), la principale source d'énergie pour les processus cellulaires. Elle se produit dans les mitochondries, les centrales électriques des cellules.

Le processus implique deux grandes réactions simultanées : l'oxydation des nutriments (généralement du glucose ou des acides gras) et la phosphorylation de l'ADP pour produire de l'ATP. La première réaction est catalysée par une série d'enzymes dans la chaîne respiratoire, aboutissant à la production d'eau et d'énergie chimique sous forme de gradient de protons à travers la membrane mitochondriale interne. Cette énergie est ensuite utilisée pour conduire la synthèse d'ATP à partir d'ADP et de phosphate inorganique (Pi) par une enzyme, l'ATP synthase.

La phosphorylation oxydative est donc le processus par lequel la respiration cellulaire convertit l'énergie chimique des nutriments en énergie biologiquement utilisable sous forme d'ATP, reliant ainsi les voies métaboliques du catabolisme et de l'anabolisme.

En médecine et en santé mentale, l'issue du traitement, également appelée résultat du traitement ou issue de la prise en charge, se réfère au changement dans l'état de santé d'un patient après avoir reçu des soins médicaux, des interventions thérapeutiques ou des services de santé mentale. Il s'agit de l'effet global ou du bénéfice obtenu grâce à ces procédures, qui peuvent être mesurées en termes d'amélioration des symptômes, de réduction de la douleur, de prévention de complications, de restauration des fonctions corporelles ou mentales, d'augmentation de la qualité de vie et de réadaptation sociale. L'issue du traitement peut être évaluée en utilisant différents critères et outils d'évaluation, selon la nature de la maladie, des lésions ou des troubles en question. Elle est généralement déterminée par une combinaison de facteurs objectifs (tels que les tests de laboratoire ou les mesures physiologiques) et subjectifs (tels que les auto-évaluations du patient ou les observations du clinicien). Une issue favorable du traitement est considérée comme un résultat positif, tandis qu'une issue défavorable ou négative indique l'absence d'amélioration ou la détérioration de l'état de santé du patient.

Les mitochondries du foie se réfèrent aux mitochondries contenues dans les cellules hépatiques (hépatocytes). Les mitochondries sont des organites présents dans la plupart des cellules eucaryotes, y compris les cellules du foie. Elles jouent un rôle crucial dans la production d'énergie sous forme d'ATP (adénosine triphosphate) grâce au processus de respiration cellulaire.

Dans le foie, les mitochondries sont particulièrement importantes car elles participent à plusieurs fonctions métaboliques vitales telles que la gluconéogenèse (la production de glucose), la β-oxydation des acides gras (le processus par lequel les graisses sont décomposées pour produire de l'énergie), et la synthèse des acides aminés. Elles contribuent également au maintien de l'homéostasie calcique dans les hépatocytes.

Les mitochondries du foie peuvent être affectées par divers facteurs, tels que les maladies hépatiques, la consommation d'alcool, l'exposition à des toxines et le vieillissement, ce qui peut entraîner une dysfonction mitochondriale. Cette dernière est liée à plusieurs troubles hépatiques, y compris la stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD), l'hépatite alcoolique et les maladies hépatiques induites par des médicaments.

L'ananaérobiose est un état ou un processus biologique dans lequel les organismes, appelés anaérobies, peuvent vivre et se développer en l'absence d'oxygène. Ces organismes obtiennent de l'énergie en décomposant des composés organiques grâce à un processus de fermentation qui ne nécessite pas d'oxygène.

Il existe deux types d'organismes anaérobies : les obligatoires et les facultatifs. Les organismes anaérobies obligatoires ne peuvent survivre en présence d'oxygène, tandis que les organismes anaérobies facultatifs peuvent tolérer ou même préférer des environnements sans oxygène, mais peuvent également survivre en présence d'oxygène.

Dans le contexte médical, l'anaérobiose est importante car certains organismes anaérobies peuvent causer des infections graves et difficiles à traiter. Ces infections peuvent survenir lorsque les tissus corporels sont privés d'oxygène, par exemple en raison d'une mauvaise circulation sanguine ou d'une infection. Les antibiotiques sont souvent utilisés pour traiter ces infections, mais il est important de choisir des antibiotiques qui sont actifs contre les organismes anaérobies spécifiques impliqués dans l'infection.

L'antimycine A est un inhibiteur de la chaîne respiratoire mitochondriale qui se lie de manière irréversible à la Qi sité du complexe III et inhibe le transfert d'électrons, entraînant une production réduite d'ATP et un coupable accru de production de radicaux libres. Il s'agit d'une toxine produite par certains types de champignons et est utilisée en recherche biomédicale pour étudier la fonction mitochondriale et le stress oxydatif. Elle peut également avoir des applications potentielles dans le traitement du cancer en ciblant la survie des cellules cancéreuses qui dépendent fortement de la fonction mitochondriale.

Aérobiose est un terme utilisé en biologie et en médecine pour décrire la croissance et le développement des organismes qui nécessitent de l'oxygène dans leur environnement pour survivre. Ce terme est souvent utilisé en relation avec les moisissures, les champignons et d'autres micro-organismes qui peuvent se développer dans des environnements intérieurs humides et mal ventilés.

Dans le contexte médical, l'aérobiose peut être un facteur important dans le développement de certaines affections respiratoires, telles que l'asthme et les allergies. Les spores et les particules produites par les moisissures aérobies peuvent être inhalées et déclencher des réactions allergiques ou irritatives dans les voies respiratoires, entraînant une inflammation et une difficulté à respirer.

Par conséquent, il est important de maintenir un environnement intérieur propre et bien ventilé pour minimiser l'exposition aux moisissures aérobies et réduire le risque de développer des problèmes respiratoires liés à l'aérobiose.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

En médecine, la pression est généralement définie comme la force exercée par un objet sur une surface donnée. L'unité de mesure standard pour la pression est le pascal (Pa), qui équivaut à une force d'une newton (N) répartie sur une surface d'un mètre carré (m²).

Cependant, dans un contexte clinique, la pression est souvent utilisée pour décrire deux concepts spécifiques:

1. La pression artérielle: c'est la force que le sang exerce sur les parois des vaisseaux sanguins. Elle est mesurée en millimètres de mercure (mmHg) et se compose de deux parties - la pression systolique (la pression maximale lorsque le cœur bat) et la pression diastolique (la pression minimale entre les battements cardiaques).

2. La pression intracrânienne (ICP): c'est la pression à l'intérieur du crâne. Une ICP normale se situe généralement entre 5 et 15 mmHg. Des niveaux anormalement élevés peuvent indiquer un traumatisme crânien, une tumeur cérébrale ou d'autres affections neurologiques graves.

La Capacité Residuelle Functionnelle (CRF), ou Capacité Fonctionnelle Résiduelle en français, est un terme utilisé en médecine pour décrire les fonctions physiques et mentales qu'une personne atteinte d'une maladie chronique ou d'un handicap est toujours capable de réaliser, même après avoir subi des limitations importantes.

La CRF prend en compte l'ensemble des capacités fonctionnelles préservées d'un patient, y compris ses capacités physiques (comme la force musculaire, la flexibilité, l'endurance), sensorielles (comme la vue, l'ouïe, le toucher) et cognitives (comme l'attention, la mémoire, le jugement).

L'évaluation de la CRF permet aux professionnels de santé d'identifier les activités que le patient peut encore réaliser de manière autonome, ainsi que celles qui nécessiteront des aides ou des adaptations. Cela permet également de déterminer les besoins en termes de réadaptation et de soutien pour aider le patient à maintenir sa qualité de vie et son autonomie aussi longtemps que possible.

Il est important de noter que la CRF peut varier considérablement d'une personne à l'autre, même si elles sont atteintes de la même maladie ou du même handicap. Elle dépend de nombreux facteurs, tels que l'âge, le sexe, les antécédents médicaux, les traitements reçus et le soutien social disponible.

La pression sanguine, également appelée tension artérielle, est la force exercée par le sang sur les parois des artères lorsqu'il est pompé par le cœur. Elle est mesurée en millimètres de mercure (mmHg) et s'exprime généralement sous la forme de deux chiffres : la pression systolique (le chiffre supérieur) et la pression diastolique (le chiffre inférieur).

La pression systolique représente la pression dans les artères lorsque le cœur se contracte et pompe le sang dans le corps. La pression diastolique, quant à elle, correspond à la pression dans les artères entre deux contractions cardiaques, lorsque le cœur est en phase de relaxation et se remplit de sang.

Une pression sanguine normale se situe généralement autour de 120/80 mmHg. Des valeurs supérieures à 130/80 mmHg peuvent être considérées comme étant en pré-hypertension, tandis que des valeurs supérieures à 140/90 mmHg sont généralement associées à une hypertension artérielle. Une pression sanguine élevée peut entraîner divers problèmes de santé, tels que des maladies cardiovasculaires, des accidents vasculaires cérébraux et des lésions rénales.

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