Conditions caractérisée par une altération de la fonction gustatif ou perception. Troubles du goût sont fréquemment associés à l'olfaction DISORDERS potentiel supplémentaire. Étiologies incluant maladies métaboliques ; drogue HEPATIQUE ; et affections (ex : Voie goût IVRESSE Bud autour des maladies ; sang-froid maladies ; GLOSSOPHARYNGEAL sang-froid maladies ; et cerveau STEM maladies).
Perte ou altération de la capacité à sentir. Ça peut être causée par maladies ; para-nasales courage olfactif SINUS maladies respiratoires virale TRACT INFECTIONS ; ; ; ; traumatisme cranio-cérébral fumer et d ’ autres maladies.
Ovoïde corps repose sur l'assiette de l'os ethmoïde cribiforme où le courage olfactif s'est arrêté là. Le centre olfactif... contient plusieurs types de cellules nerveuses y compris les cellules mitrale, le nerf olfactif dendrites synapses... formant le glomérules olfactif. L'accessoire bulbe olfactif, qui reçoit la projection de l'orgue vomeronasal vomeronasal via le nerf, est également ici.
Neurones dans l'épithélium aux protéines (récepteurs olfactifs, odorant) qui unissent, et ainsi détecter, odorants. Ces neurones envoient leurs dendrites à la surface de l'épithélium avec les récepteurs odorant apical non-motile résidant dans les cils vibratiles. Leur Unmyelinated axones synapse dans le sens olfactif BULB du cerveau.
Le 1er nerf cranien le nerf olfactif évoquant le odorat. C'est formé par les axones de neurones récepteurs olfactifs quel projet de l'épithélium olfactif (dans l ’ épithélium nasale) à la BULB olfactif.
La capacité à détecter des senteurs ou les odeurs, tels que la fonction de neurones récepteurs olfactifs.
L'instabilité portions de substances perceptible par l'odorat. (Grant & Hackh est Chemical Dictionary, 5ème e)
Un omniprésent, protéine présente dans cytoplasmique neurones récepteurs olfactifs mature de tous les vertébrés. C'est un modulateur olfactif voie transduction du signal.
Protéines, généralement d'après les cils de neurones récepteurs olfactifs, qui se lie spécifiquement odorant molécules et détente réponses dans les neurones. Le grand nombre de récepteurs différents odorant semble émaner de plusieurs familles de gènes ou subfamilies plutôt que d ’ ADN réarrangement.
Un grand trouble affectif marquée par d'importantes sautes d'humeur (épisodes maniaques ou épisodes dépressifs majeurs) et une tendance à la rémission et récidive.
Maladie psychiatrique ou maladies se manifestant par dans le processus adaptational exprimée principalement comme des anomalies de la pensée, sentiment et comportement produisant soit souffrance ou une atteinte fonctionnelle.
Grande et invalidant persistante.
Ces désordres qui ont un trouble de l ’ humeur comme leur principale caractéristique.
Blessures traumatiques au courage olfactif. Cela peut entraîner un dysfonctionnement olfactif divers incluant une perte totale de l'odorat.
Classification des catégorique DISORDERS mentale en fonction des critères se couche avec signe particulier. Il est produit par l'Association Américaine de Psychiatrie. (Diagnostiques du DSM-IV, page xxii)
Une tumeur neuroblastome olfactif provenant de l ’ épithélium olfactif supérieur de la cavité nasale et lame criblée. C'est peu fréquente (3 % des tumeurs) et rarement nasale est associée à la production d'hormones (par exemple, syndrome de Cushing, SIADH). Elle a une forte tendance à multiples récurrences locales et des métastases osseuses. (De Hollande et al., 3rd Cancer Medicine, Ed, p1245 ; J Laryngol Otol ; 112 Juil. 1998 (7) : 628-33)
Complice Chemoreceptor organe qui est séparée de la muqueuse olfactif principal. C'est situé à la base de la cloison nasale près du vomer. À 4 et le signal chimique (tels que PHEROMONES) à la CENTRALE le système nerveux influant ainsi sur la reproduction et un comportement social. Chez l'homme, la plupart de ses structures sauf le canal vomeronasal subir régression après la naissance.
Équipe organes sensoriels connecté à l'antérieur segments de ARTHROPODS qui les aident naviguer à travers l ’ environnement.
Marqué dépression dans l'évolution période et caractérisé par des hallucinations, délires, paranoïa, et agitation.

Les troubles du goût, également connus sous le nom de dysgeusie, sont des conditions médicales qui affectent la capacité d'une personne à goûter et à apprécier les saveurs des aliments. Ces troubles peuvent être causés par divers facteurs, tels que des lésions nerveuses, une infection, une maladie systémique ou des effets secondaires de certains médicaments.

Les symptômes des troubles du goût peuvent varier d'une personne à l'autre, mais ils comprennent souvent une altération de la perception des saveurs, une sensation métallique ou désagréable dans la bouche, et dans les cas graves, une perte complète du goût. Les troubles du goût peuvent avoir un impact significatif sur la qualité de vie d'une personne, en affectant sa capacité à apprécier la nourriture et à maintenir un régime alimentaire équilibré.

Le diagnostic des troubles du goût implique généralement une évaluation approfondie de l'historique médical d'une personne, ainsi que des tests sensoriels pour évaluer la fonction gustative. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente des troubles et peut inclure des changements de régime alimentaire, des thérapies sensorielles ou des médicaments pour soulager les symptômes.

Les troubles de l'olfaction, également connus sous le nom d'anomalies de l'odorat, se réfèrent à des conditions médicales qui affectent la capacité d'une personne à sentir ou à interpréter correctement les odeurs. Ces troubles peuvent être causés par divers facteurs, tels que des dommages au système nerveux, des infections, des traumatismes crâniens, des tumeurs cérébrales, l'exposition à certains produits chimiques ou la consommation de tabac.

Les troubles de l'olfaction peuvent se manifester par une perte complète de l'odorat (anosmie), une réduction de la capacité à sentir les odeurs (hyposmie) ou une distorsion des odeurs (parosmie). Dans certains cas, les personnes atteintes de ces troubles peuvent également présenter une perception altérée du goût, car l'odorat joue un rôle important dans la perception des saveurs.

Les troubles de l'olfaction peuvent avoir un impact significatif sur la qualité de vie d'une personne, affectant sa capacité à détecter les dangers potentiels tels que les fuites de gaz ou les aliments avariés, ainsi que son expérience gustative et olfactive globale. Ils peuvent également être associés à des problèmes psychologiques tels que la dépression et l'anxiété.

Le diagnostic et le traitement des troubles de l'olfaction dépendent de leur cause sous-jacente. Dans certains cas, ils peuvent s'améliorer spontanément avec le temps, tandis que dans d'autres, une intervention médicale ou chirurgicale peut être nécessaire pour corriger le problème.

Le bulbe olfactif est une structure anatomique située dans la partie antérieure et inférieure du cerveau. Il fait partie du système nerveux central et est directement relié à l'épithélium nasal. Le bulbe olfactif est responsable de l'odorat, car il reçoit les informations olfactives provenant de l'environnement et les transmet au cerveau pour leur traitement et leur interprétation.

Le bulbe olfactif se compose de deux parties principales : le glomérule olfactif et les bulbes olfactifs latéraux. Le glomérule olfactif est une structure située dans la muqueuse nasale qui contient les récepteurs olfactifs. Ces récepteurs sont sensibles aux molécules odorantes présentes dans l'air inspiré, et ils déclenchent des impulsions nerveuses lorsqu'ils sont stimulés.

Les bulbes olfactifs latéraux sont des structures situées dans le cerveau qui reçoivent les impulsions nerveuses provenant du glomérule olfactif. Ils contiennent des neurones mitraux et des neurones granulaires, qui traitent et intègrent les informations olfactives avant de les transmettre à d'autres structures cérébrales pour une analyse plus poussée.

Le bulbe olfactif est donc un élément clé du système sensoriel de l'odorat, car il permet de détecter et d'identifier les odeurs présentes dans l'environnement. Des troubles du bulbe olfactif peuvent entraîner des pertes de l'odorat ou des distorsions olfactives, ce qui peut avoir un impact significatif sur la qualité de vie et la sécurité des personnes concernées.

Les neurorécepteurs olfactifs sont un type spécifique de récepteurs situés dans la muqueuse olfactive, qui se trouve dans la cavité nasale. Ces récepteurs sont responsables de la détection et de l'identification des différentes odeurs que nous percevons. Ils transduisent les stimuli chimiques en signaux électriques, qui sont ensuite transmis au cerveau via le nerf olfactif. Cette interaction initie la perception consciente de l'odeur. Les neurorécepteurs olfactifs forment une partie cruciale du système sensoriel olfactif et jouent un rôle important dans notre expérience quotidienne des odeurs et de l'environnement qui nous entoure.

Le nerf olfactif, également connu sous le nom de premier nerf crânien, est un faisceau de neurones sensoriels responsables de la perception des odeurs. Il émerge directement du cerveau (du bulbe olfactif) sans passer par la moelle épinière, ce qui en fait une exception dans le système nerveux périphérique.

Les récepteurs olfactifs sont situés dans les muqueuses de la cavité nasale. Lorsqu'une molécule odorante se lie à un récepteur, cela déclenche une série d'événements qui aboutissent à l'envoi d'un signal électrique vers le bulbe olfactif. Les neurones du nerf olfactif transmettent ensuite ce signal au cerveau, plus précisément vers les zones limbiques et corticales, où il est interprété comme une odeur spécifique.

Le nerf olfactif joue un rôle crucial dans notre expérience sensorielle et émotionnelle, car il est étroitement lié aux souvenirs et aux associations émotionnelles. Des dommages au nerf olfactif peuvent entraîner une perte complète ou partielle de l'odorat, appelée anosmie ou hyposmie respectivement.

L'odorat est le sens qui permet de percevoir et de discriminer les odeurs, grâce aux récepteurs olfactifs situés dans la muqueuse olfactive du nez. Ces récepteurs sont stimulés par les molécules odorantes présentes dans l'air inspiré, qui se lient à des protéines spécifiques appelées récepteurs olfactifs.

Lorsqu'une molécule odorante se lie à un récepteur olfactif, cela déclenche une cascade de réactions chimiques qui aboutissent à l'activation d'un neurone sensoriel. Ce neurone transmet ensuite l'information au cerveau, où elle est analysée et interprétée dans le cortex olfactif.

L'odorat joue un rôle important dans la reconnaissance des odeurs familières, telles que celles des aliments ou des parfums, mais aussi dans la détection de dangers potentiels, tels que les odeurs de gaz ou de fumée. Des troubles de l'odorat peuvent être associés à certaines maladies neurologiques ou respiratoires, et sont souvent considérés comme un signe précoce de la maladie d'Alzheimer ou de Parkinson.

En termes médicaux, une « odeur » se réfère généralement à l'perception olfactive d'une substance ou d'un phénomène. Il s'agit essentiellement de la capacité d'une personne à sentir et à identifier différents types de parfums, d'arômes ou de mauvaises odeurs dans l'environnement.

Les odeurs peuvent être causées par des substances volatiles qui se évaporent dans l'air et sont détectés par les récepteurs olfactifs dans le nez. Ces récepteurs envoient ensuite des signaux au cerveau, qui interprète ces signaux comme des odeurs spécifiques.

Dans un contexte clinique, l'évaluation des capacités olfactives peut être importante pour diagnostiquer certaines conditions médicales. Par exemple, une perte complète de l'odorat (anosmie) ou une altération significative de la capacité à détecter les odeurs (hyposmie) peuvent indiquer des problèmes neurologiques sous-jacents tels que des lésions cérébrales, des maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson ou la maladie d'Alzheimer, ou même une infection au COVID-19.

En outre, certaines affections cutanées peuvent également être associées à des odeurs caractéristiques, comme l'odeur sucrée dans le diabète non contrôlé (cétone) ou l'odeur fruitée dans la jaunisse due à une accumulation de composés chimiques appelés cétones.

L'Olfactory Marker Protein (OMP) est une protéine hautement exprimée dans les neurones récepteurs olfactifs situés dans la muqueuse nasale. Elle joue un rôle crucial dans le processus de l'olfaction et est souvent utilisée comme marqueur des neurones sensoriels olfactifs. La protéine est également exprimée à des niveaux plus faibles dans d'autres types de cellules, telles que les cellules de Leydig dans les testicules et certaines cellules du système nerveux central. Cependant, son rôle dans ces contextes est moins bien compris.

Un récepteur olfactif, également connu sous le nom de récepteur d'odeur, est un type de protéine réceptrice trouvée dans les cellules ciliées situées dans la muqueuse olfactive des narines. Ces récepteurs sont responsables de la détection et de l'identification des différentes odeurs que nous percevons.

Chaque récepteur olfactif est capable de se lier à certaines molécules odorantes spécifiques, qui sont transportées vers les narines lorsque nous respirons. Lorsqu'une molécule odorante se lie à un récepteur olfactif, cela déclenche une série de réactions chimiques qui finissent par activer le nerf olfactif. Ce signal est ensuite transmis au cerveau, où il est interprété comme une odeur particulière.

Il existe des milliers de types différents de récepteurs olfactifs dans le nez humain, ce qui permet à notre système olfactif de détecter et de distinguer un grand nombre d'odeurs différentes. Cependant, la fonction exacte de chaque type de récepteur olfactif n'est pas encore entièrement comprise, et des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pleinement le mécanisme de la perception de l'odorat.

Le trouble bipolaire, anciennement connu sous le nom de psychose maniaco-dépressive, est un trouble de l'humeur caractérisé par des épisodes extrêmes de dépression et d'excitation ou d'agitation. Ces épisodes peuvent être séparés par des périodes de humeur et de fonctionnement normaux.

Les épisodes maniaques peuvent inclure une humeur anormalement et persistante élevée, une irritabilité excessive ou un comportement hyperactif, une inflammation du jugement et des décisions imprudentes. Ces symptômes sont suffisamment graves pour perturber le fonctionnement social ou professionnel habituel ou nécessiter une hospitalisation pour assurer la sécurité de la personne.

Les épisodes dépressifs comprennent une humeur dépressive, une perte d'intérêt ou de plaisir dans presque toutes les activités, des changements importants dans l'appétit ou le poids, une insomnie ou un sommeil excessif, une agitation ou une lenteur accrue, la fatigue ou la perte d'énergie, des sentiments de dévalorisation ou d'inutilité, des difficultés à se concentrer, des pensées récurrentes de mort et des tentatives de suicide.

Le trouble bipolaire est souvent associé à des problèmes cognitifs, des troubles anxieux et des abus de substances. Il peut entraîner une altération significative du fonctionnement social, professionnel ou scolaire. Le diagnostic est établi sur la base d'un examen psychiatrique approfondi et d'une anamnèse détaillée. Le traitement comprend généralement une combinaison de médicaments et de thérapies psychologiques.

Les troubles mentaux, également connus sous le nom de troubles psychologiques ou psychiatriques, sont des désordres qui affectent l'humeur, la pensée et le comportement. Ils peuvent perturber la capacité d'une personne à fonctionner correctement dans sa vie quotidienne, causant souvent un stress important pour la personne atteinte et ses proches.

Les troubles mentaux comprennent une large gamme de conditions telles que les troubles anxieux (comme le trouble panique ou la phobie spécifique), les troubles dépressifs, les schizophrénies, les troubles bipolaires, les troubles liés à l'utilisation de substances, les troubles psychotiques, les troubles de l'alimentation (comme l'anorexie nervosa ou la boulimie), les troubles du spectre autistique, et bien d'autres.

Ces conditions sont souvent associées à des changements biochimiques dans le cerveau et peuvent être influencées par plusieurs facteurs tels que la génétique, l'environnement, le stress et les expériences traumatiques. Il est important de noter que ces troubles ne sont pas simplement «dans la tête» des personnes qui en souffrent; ils sont réels et peuvent être très graves.

La plupart des troubles mentaux peuvent être traités avec succès avec une combinaison de médicaments, de thérapies psychologiques ou comportementales, et de soutien social et émotionnel. L'accès aux soins de santé mentale est crucial pour les personnes atteintes de ces troubles afin qu'elles puissent mener une vie productive et épanouissante.

Les Troubles anxieux sont un groupe de conditions mentales caractérisées par des sentiments excessifs de peur, d'inquiétude et d'anxiété qui interfèrent avec la vie quotidienne. Ces troubles peuvent inclure des symptômes physiques tels que des palpitations cardiaques, des sueurs, des tremblements, des fatigues et des troubles du sommeil. Les exemples de troubles anxieux comprennent le trouble d'anxiété généralisée (TAG), les troubles de panique, l'agoraphobie, le trouble d'anxiété sociale, le trouble de stress post-traumatique (TSPT) et le trouble obsessionnel-compulsif (TOC). Les causes peuvent être génétiques, environnementales ou liées à une maladie sous-jacente. Le diagnostic est généralement posé sur la base des symptômes et de l'histoire médicale du patient. Le traitement peut inclure une thérapie cognitivo-comportementale, des médicaments ou une combinaison des deux.

Les troubles de l'humeur sont des désordres mentaux caractérisés par des altérations durables et marquées de l'humeur, c'est-à-dire de l'état d'esprit ou du sentiment dominant d'un individu, qui affectent sa perception de la vie, ses pensées, son comportement et sa capacité à fonctionner. Les deux humeurs principales sont la joie et la tristesse, mais il existe également d'autres humeurs comme la colère, la peur ou le dégoût.

Les troubles de l'humeur peuvent se manifester sous différentes formes, les plus courantes étant la dépression majeure et le trouble bipolaire (anciennement appelé psychose maniaco-dépressive). Dans la dépression majeure, l'individu éprouve une humeur extrêmement triste, pessimiste ou vide pendant une période prolongée, associée à une perte d'intérêt ou de plaisir pour les activités quotidiennes, des troubles du sommeil et de l'appétit, une fatigue accrue, des difficultés de concentration, des sentiments de dévalorisation ou de culpabilité excessifs, des pensées de mort ou de suicide récurrentes.

Dans le trouble bipolaire, l'individu alterne entre des phases dépressives et des phases d'humeur euphorique ou irritable, appelées manies ou hypomanies. Pendant les phases maniaques, la personne peut présenter une hyperactivité, une logorrhée (flot de paroles ininterrompu), une distractibilité accrue, des idées de grandeur, un sentiment d'invulnérabilité, des comportements impulsifs ou à risque, une diminution du besoin de sommeil et une distorsion du jugement.

Les troubles de l'humeur peuvent être causés par une combinaison de facteurs génétiques, biologiques, environnementaux et psychosociaux. Ils nécessitent un traitement spécialisé, qui peut inclure des médicaments (antidépresseurs, stabilisateurs de l'humeur, antipsychotiques) et une thérapie cognitivo-comportementale ou interpersonnelle. Une prise en charge précoce et adéquate permet de réduire les risques de rechute et d'améliorer la qualité de vie des personnes atteintes.

Les lésions du nerf olfactif, également connues sous le nom de nerf crânien I, concernent les dommages ou les dysfonctionnements de ce nerf qui est principalement responsable de la perception de l'odorat. Le nerf olfactif est unique car il est exposé à l'environnement dans la cavité nasale, ce qui le rend plus sujet aux dommages que d'autres nerfs crâniens.

Les lésions du nerf olfactif peuvent résulter de divers facteurs, tels que des traumatimes crâniens, des tumeurs, des infections, des sinusites chroniques, des maladies dégénératives ou des expositions à des substances chimiques nocives. Les symptômes les plus courants associés aux lésions du nerf olfactif sont une perte complète ou partielle de l'odorat (anosmie ou hyposmie), une distorsion des odeurs (parosmie) et des maux de tête.

Le diagnostic des lésions du nerf olfactif implique généralement un examen physique complet, y compris un examen neurologique approfondi, ainsi que des tests spécialisés tels qu'une évaluation de l'odorat (olfactométrie). Le traitement dépend de la cause sous-jacente et peut inclure une surveillance attentive, une thérapie de réadaptation de l'odorat, des médicaments ou une intervention chirurgicale. Dans certains cas, les lésions du nerf olfactif peuvent être permanentes et entraîner une perte d'odorat irréversible.

Le DSM-IV (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, Fourth Edition) est un manuel publié par l'Association Américaine de Psychiatrie (American Psychiatric Association). Il fournit des critères diagnostiques pour les troubles mentaux et comportementaux reconnus par la profession médicale. Les catégories diagnostiques du DSM-IV sont basées sur des recherches cliniques, psychologiques, neuroscientifiques et épidémiologiques. Il est largement utilisé en psychiatrie, en psychologie et dans d'autres domaines de la santé mentale pour aider à diagnostiquer et à traiter les troubles mentaux.

Le DSM-IV est organisé en plusieurs chapitres qui regroupent des troubles similaires sur le plan clinique ou théorique. Chaque trouble est décrit par une série de critères diagnostiques spécifiques, comprenant des symptômes et des caractéristiques cliniques nécessaires pour poser un diagnostic. Le manuel comprend également des informations sur les troubles associés, les facteurs de risque, le cours évolutif, la prévalence, la famille et l'histoire culturelle, ainsi que des directives pour le diagnostic différentiel.

Le DSM-IV a été publié en 1994 et a été largement utilisé pendant plus d'une décennie avant d'être remplacé par le DSM-5 en 2013. Il est important de noter que les classifications et les critères diagnostiques du DSM sont révisés régulièrement pour refléter les avancées dans la recherche sur les troubles mentaux.

L'esthésioneuroblastome olfactif, également connu sous le nom de esthesioneuroblastoma ou d'esthesioneuroblastoma, est une tumeur rare et agressive qui se développe dans la muqueuse olfactive à l'intérieur des narines. Cette tumeur provient des cellules nerveuses sensorielles qui détectent les odeurs, appelées neurones sensoriels olfactifs. L'esthésioneuroblastome olfactif se développe généralement dans la région supérieure des fosses nasales, près du cerveau.

Les symptômes de cette tumeur peuvent inclure :

1. Congestion ou obstruction nasale persistante
2. Saignements de nez fréquents et inexpliqués
3. Douleurs faciales ou headaches
4. Perte de l'odorat (anosmie)
5. Vision floue ou double vision
6. Protrusion du globe oculaire (exophtalmie)

Le diagnostic de l'esthésioneuroblastome olfactif repose sur des examens d'imagerie tels que la tomodensitométrie (TDM) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM), ainsi que sur une biopsie pour confirmer le type de tumeur. Le traitement peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, suivie d'une radiothérapie et/ou d'une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses restantes. Malgré le traitement, l'esthésioneuroblastome olfactif peut récidiver localement ou se propager à d'autres parties du corps. Par conséquent, une surveillance et un suivi réguliers sont essentiels pour détecter toute récidive précoce et assurer les meilleurs résultats de traitement possibles.

L'organe voméronasal, également connu sous le nom d'organe de Jacobson, est un petit organe olfactif accessoire chez les animaux et certains humains. Il est situé dans la partie antérieure de la cavité nasale, à l'intérieur du septum nasal, et est responsable de la détection des phéromones, qui sont des substances chimiques spécifiques libérées par les animaux pour communiquer entre eux.

L'organe voméronasal se compose d'un réseau de tubes remplis de liquide et de cellules sensorielles spécialisées, appelées neurones sensoriels voméronasaux. Ces neurones sont connectés à des fibres nerveuses qui transmettent les informations olfactives au cerveau, en particulier au système limbique, qui est responsable de la régulation des émotions et du comportement social.

Chez certains animaux, l'organe voméronasal joue un rôle important dans la reconnaissance des partenaires sexuels, la hiérarchie sociale, le marquage territorial et d'autres comportements liés aux phéromones. Chez les humains, son existence est controversée car il n'est pas complètement développé chez tous les individus, et sa fonction reste incertaine. Cependant, certaines études suggèrent qu'il pourrait être impliqué dans la détection des phéromones sexuelles ou dans d'autres comportements sociaux.

Les antennes des arthropodes sont des organes sensoriels situés sur la tête des membres de ce phylum, qui comprend les insectes, les acariens, les crustacés et d'autres animaux similaires. Ces structures longues et segmentées sont utilisées pour détecter une variété de stimuli environnementaux, tels que les odeurs, les goûts, les vibrations, les textures et d'autres signaux chimiques et tactiles.

Les antennes des arthropodes se composent généralement d'un certain nombre de segments ou de articles, qui peuvent varier en forme, en taille et en structure selon l'espèce. Chez certains arthropodes, les antennes sont couvertes de soies ou de poils sensoriels, qui augmentent la surface de l'organe et permettent une détection plus fine des stimuli.

Les antennes jouent un rôle important dans le comportement des arthropodes, y compris la communication, la recherche de nourriture, la reproduction et l'évitement des prédateurs. Par exemple, les insectes sociaux comme les abeilles et les fourmis utilisent leurs antennes pour communiquer entre eux en détectant les phéromones émises par d'autres membres de la colonie. De même, les crustacés tels que les homards et les crevettes utilisent leurs antennes pour localiser des proies et des partenaires sexuels dans l'obscurité des fonds marins.

Dans l'ensemble, les antennes des arthropodes sont des organes sensoriels complexes et essentiels qui jouent un rôle crucial dans la perception de l'environnement et le comportement de ces animaux fascinants.

Le Trouble Dépressif Majeur (également connu sous le nom de Depression Majeur ou Dépression Clinique) est un trouble de l'humeur grave caractérisé par des sentiments persistants de tristesse, d'anxiété ou d'un sentiment vide, accompagnés d'une perte d'intérêt ou de plaisir pour la majorité des activités. Cela affecte considérablement le fonctionnement quotidien, interfère avec la capacité à travailler, étudier, manger, dormir et s'amuser.

Les symptômes doivent être présents pendant au moins deux semaines et peuvent inclure :

1. Humeur dépressive la plupart du temps
2. Perte d'intérêt ou de plaisir dans presque toutes les activités
3. Perte ou gain de poids significatif
4. Insomnie ou hypersomnie
5. Agitation ou ralentissement psychomoteur
6. Fatigue ou perte d'énergie
7. Sentiments de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée
8. Diminution de l'aptitude à penser ou à se concentrer, ou indécision
9. Pensées récurrentes de mort, de suicide sans plan spécifique ou une tentative de suicide ou un plan précis pour se suicider

Pour poser le diagnostic, ces symptômes ne doivent pas être dus aux effets physiologiques directs d'une substance (par exemple, une drogue, un médicament) ou d'une autre affection médicale générale. Le trouble dépressif majeur peut survenir une seule fois dans la vie ou se répéter plusieurs fois.

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