Une glycoprotéine sécrétée par les hormones hypophysaires GLAND antérieur adenohypophysis (,). Thyrotropine thyroïdiennes stimule GLAND iodure en augmentant le transport, la synthèse et la libération des hormones thyroïdiennes (triiodothyronine) et thyroxine. Thyrotropine se compose de deux sous-unités liées noncovalently, l'alpha et bêta. Au sein d'une espèce, la sous-unité alpha est fréquent chez l ’ hypophyse, une glycoprotéine hormones thyroïdiennes (TSH ; HORMONE lutéinisante reviennent et FSH), mais la sous-unité bêta est unique, conférant sa spécificité biologique.
Les protéines de surface cellulaire qui lient hypophysaire également nommé thyrotropine (TSH) l ’ hormone thyréotrope ou toute modification de la gâchette et intracellulaire les cellules cibles. Pfff récepteurs sont présentes dans le système nerveux et sur les cellules cibles dans la glande thyroïde. Auto-anticorps aux récepteurs de la TSH sont impliqués dans les maladies telles que maladie thyroïdienne instinct et Hashimoto thyroïdite (une maladie auto-immune).
Une glande endocrine hautement Vascularized composée de deux lobes rejoint par une fine bande de tissu avec un lobe de chaque côté du du cœur. Elle sécrète des hormones des cellules folliculaires thyroïdiennes et CALCITONIN cellules parafollicular ainsi la régulation du métabolisme et CALCIUM niveau dans le sang, respectivement.
Un tripeptide qui stimule la libération de thyrotropine et de prolactine. C'est synthétisée par les neurones du noyau para ventriculaire de HYPOTHALAMUS. Après avoir été libéré dans l'hypophyse portail circulation, trh (s'appelait TRF) de la TSH et stimule la libération du PRL antérieur GLAND pituitaire.
La principale hormone dérivés de la glande thyroïde. Thyroxine est synthétisé par le iodination de tyrosines (MONOIODOTYROSINE) et l'accouplement entre iodotyrosines (DIIODOTYROSINE) dans le thyro Globuline thyroxine est libérée de thyroglobuline par la protéolyse et sécrétée dans le sang. Thyroxine est accessoirement deiodinated pour former triiodothyronine qui exerce un large éventail d 'effet stimulant du métabolisme.
Un syndrome de sécrétion d ’ hormones thyroïdiennes anormalement bas de la thyroïde GLAND, conduisant à une diminution de BASAL TAUX métabolique. Dans sa forme la plus sévère, il y a accumulation de MUCOPOLYSACCHARIDES dans la peau et l'oedème, connu comme myxoedème.
Salivaire d'hormones thyroïdiennes de la thyroïde GLAND. Un taux élevé d'hormones thyroïdiennes augmenter BASAL TAUX métabolique.
Un recombinant glycoprotein hautement purifiées thyroid-stimulating HORMONE forme humaine, produite par technologie ADN recombinante comprenant deux sous-unités liées de manière non covalente, une sous-unité alpha de 92 résidus d ’ acides aminés comportant deux sites de N-glycosylation, et une sous-unité bêta de 118 résidus d ’ un site de N-glycosylation. La séquence des aminoacides de thyrotropine alfa est identique à celle de thyréostimuline hypophysaire humaine.
Les tests sanguins utilisé pour évaluer le fonctionnement de la glande thyroïde.
Auto-anticorps qui se lient à la thyrotropine (TSH) récepteur (récepteurs, thyrotropine) sur les cellules épithéliales thyroïdiennes, les auto-anticorps imiter TSH causant une atteinte à la production d'hormones thyroïdiennes caractéristique des tombes maladie.
Une commune des hyperplasiques diffus hyperthyroïdie avec un goitre. C'est une maladie auto-immune qui produit des anticorps contre le récepteur HORMONE thyréotrope. Ces auto-anticorps activer la TSH récepteur, stimule ainsi la thyroïde GLAND et salivaire d'hormones thyroïdiennes. Ces auto-anticorps peut également perturber des yeux (tombes Ophthalmopathy) et la peau (Graves Dermopathy).
Une T3 normalement d ’ hormones thyroïdiennes synthétique et sécrétés par la glande thyroïde à bien moindre quantité que thyroxine (T4). La plupart provient de T3 monodeiodination périphérique de T4 au 5 'position de l' anneau externe de la iodothyronine noyau. L'hormone enfin livré et utilisé par les tissus est principalement T3.
Une maladie du nourrisson ou enfance in-utero due à un déficit en hormones thyroïdiennes qui peut être provoquée par génétique ou environnemental facteurs, tels que une Dysgénésie Thyroïdienne ou chez les nouveaux-nés de mères traitées par THIOURACIL pendant la grossesse. Endémiques crétinisme est le résultat du manque d'iode. Les symptômes comprennent les maladies sévères retards de développement pur squelettique, altération de la stature, et la myxoedème.
La sous-unité bêta de l ’ hormone thyréotrope, thyrotropine. C'est un acide 112-amino glycopolypeptide d'environ 16 kD. Pleine activité biologique de la TSH requiert la lie des hétérodimères non-covalently dominant, et une sous-unité bêta.
Naturel hormones sécrétées par la thyroïde GLAND, tels que la thyroxine, et leurs analogues synthétique.
La thyroglobuline est une protéine glycosylée riche en tyrosine, sécrétée exclusivement par les cellules folliculaires de la glande thyroïde, jouant un rôle crucial dans la biosynthèse des hormones thyroïdiennes.
Processus pathologiques GLAND impliquant la thyroïde.
Test quantitative classique pour la détection de réactions antigen-antibody utilisant une substance (radiomarqué radioligand) soit directement ou indirectement à mesurer la liaison de la substance non marqué pour un anticorps spécifiques ou autres récepteurs. Non-immunogenic substances (ex : Haptens) peut être mesuré si lié à plus grand porte-avions protéines bovines (par exemple, l ’ albumine humaine sérique) gamma-globulin ou capable d'induire la formation d'anticorps.
Un élément du groupe halogène métallique qui est représenté par le signe atomique j', numéro atomique 53 et poids atomique de 126.90. C'est un élément essentiel nutritivement, particulièrement important dans la synthèse d ’ hormones thyroïdiennes. En solution, il n'y a des propriétés anti- infectieux et est utilisé par voie topique.
Un métabolite de thyroxine, formé par le périphérique monodeiodination enzymatique de T4 au 5 position de l'anneau intérieur du noyau iodothyronine.
Un hemeprotein qui catalyse le iodure oxydation du iode radicale pour the iodination de nombreux composés organiques, en particulier des protéines. CE 1.11.1.8.
Hormones sécrétées par la adenohypophysis GLAND pituitaire antérieur (,), structurellement, elles incluent polypeptide, protéines, et glycoprotéine molécules.
Composés binaire inorganique d'iode ou le... grand.
Un adénine nucléotidiques phosphate contenant un groupe qui sert à la Esterified 3 '- et 5' -positions fraction de ce sucre. C'est une deuxième messager et une clé régulateur intracellulaire, comme un médiateur d'activité pour un certain nombre d'hormones, y compris l ’ adrénaline, le glucagon, et par l'ACTH.
Protubérance anormale des deux yeux ; peuvent être dus à une glande endocrine dysfonctionnement, maligne, blessure, ou paralysie des muscles extrinsèque de l'oeil.
L 'élargissement de la thyroïde GLAND susceptibles d'augmenter d'environ 20 grammes de centaines de grammes chez les adultes humains. Goitre est observée chez les patients atteints de la fonction thyroïdienne (normal), les euthyroidism) ou déficit (une hormone surproduction (hyperthyroïdie). Goitre peuvent être congénitaux ou acquis, ni endémique sporadiques (goitre, endémique).
Une petite glande qui ne sont pas en couple situées dans la selle Turcique. Il est lié au HYPOTHALAMUS par une petite tige qui est appelé l'INFUNDIBULUM.
Le lobe glandulaire antérieure de l'hypophyse, surnommé le adenohypophysis. Elle sécrète des hormones qui régulent la ADENOHYPOPHYSEAL tels que les fonctions vitales LA CROISSANCE ; troubles du métabolisme ; et la reproduction.
Commercialement préparé réactif avec accessoire dispositifs, contenant les principaux composants et littérature nécessaire d ’ effectuer un ou plusieurs types de tests désigné ou des procédures, ils peuvent être de laboratoire ou usage personnel.
Un agent antithyroid thiourea. Propythiouracil inhibe la synthèse de thyroxine et inhibe la transformation périphérique de throxine à tri-iodothyronine. Il est utilisé dans le traitement d ’ hyperthyroïdie. (De Martindale, Pharmacopeoia supplémentaires, 30e Ed, p534)
Une technique en utilisant les anticorps présents pour identifier ou quantifying habituellement une substance. La substance d ’ être étudiés sert antigène tous les deux dans la production d'anticorps et dans le dosage des anticorps par le test substance.
Une maladie auto-immune du EYE, survenus chez des patients atteints de maladie Graves. Sous-types inclure insuffisance (inflammation de l'orbite du tissu conjonctif), (gonflement myopathiques EXTRAOCULAR et un dysfonctionnement des muscles), et mélangé congestive-myopathic Ophthalmopathy.
Un syndrome hypermetabolic causés par un excès de hormones thyroïdiennes ou endogène qui peut provenir de sources exogènes. La source de l'hormone endogène peut être une hyperplasie de la thyroïde ; tumeurs De La Thyroïde ; ou hormone-producing extrathyroidal tissus. Thyrocoxicosie est caractérisé par la tachycardie ; nervosité, poussière, sans manger ni boire ; POIDS perte ; SWEATING intolérance ; et la chaleur excessive.
Une hormone sécrétée par la lactogenic adenohypophysis GLAND pituitaire antérieur (,). C'est un polypeptide d'environ 23 kD. Outre son action sur l ’ allaitement, chez certaines espèces prolactine exerce des effets sur la reproduction, comportement maternel, du métabolisme des graisses, immunomodulation et osmoregulation. Prolactine récepteurs sont présents dans la glande mammaire, de l'hypothalamus, foie, de l ’ ovaire, du testicule, et de la prostate.
Une glande sébacée ça, chez certains animaux, agit comme complice de la glande lacrimale. La glande harderian excrète fluide qui facilite mouvement de la paupière.
La chaîne alpha, une glycoprotéine (thyrotropine ; hormones folliculo-stimulante et lutéinisante reviennent HORMONE HORMONE) ; la barrière placentaire gonadotrophine. Au sein d'une espèce, l'alpha sous-unités de ces quatre hormones sont identiques ; la nette des caractéristiques fonctionnelles de ces hormones sont déterminés par la glycoprotéine unique beta sous-unités. Les deux sous-unités, la lie des hétérodimères non-covalently, sont nécessaires pour l ’ activité biologique complet.
Récepteurs cellulaires de surface de l ’ hormone qui lient thyrotropine (trh) avec une forte affinité et détente intracellulaires influencer le comportement des cellules. Activation des récepteurs de l ’ hypophyse antérieure trh stimuler la libération de la TSH, thyrotropine (TSH) ; trh neurones la médiation des récepteurs de la neurotransmission trh.
Protéines sanguines qui se lient à tels que la thyroxine des hormones thyroïdiennes et les transporter dans le système circulatoire.
Tumeurs ou un cancer de la thyroïde GLAND.
Un agent antithyroid imidazoles. Carbimazole est métabolisée en méthimazole, qui est responsable de la antithyroid activité.
Maladie inflammatoire de la thyroïde GLAND en raison de réactions auto-immunes infiltrat lymphocytaire conduisant à de la glande. C'est caractérisé par la présence du composé circulant antigen-specific thyroïdienne cellules T et la thyroïde auto-anticorps. Les signes cliniques peuvent aller des à une thyrotoxicose selon le type de désordres auto-immuns thyroïdite.
Produits utilisés pour traiter hyperthyroïdie en réduisant la production excessive des hormones thyroïdiennes.
Un cyclized L- excessive des taux sanguins élevés de l'acide. Peut être associée à des problèmes de la glutamine ou glutathion métabolisme.
Des anticorps réagir avec self-antigens (AUTOANTIGENS) de l'organisme.
Une maladie caractérisée par une sécheresse, cireux type de gonflement (œdème) avec anomalies dépôts de MUCOPOLYSACCHARIDES dans la peau et les autres tissus. Elle est provoquée par un déficit en hormones thyroïdiennes, le peau devient bouffi autour des yeux et aux fesses. Le visage est terne et sans expression avec épaissie nez et les lèvres.
Instable isotopes d'iode cette décroissance se désintègrerait radiations. Je atomes avec 117-139 poids atomique, sauf que je 127, sont d ’ iode radioactif isotopes.
Tumeurs inhérents à l ’ hypophyse ou de metastasize GLAND. La majorité des adénomes hypophysaires néoplasmes sont, qui sont divisés en secrétant des formes. Hormone non-secreting et produire formes sont ultérieurement classés par le type d ’ hormone ils sécrètent. Adénomes hypophysaires peuvent également être caractérisée par leurs propriétés coloration (voir adénome Basophile ; adénome adénome ; et adénome Chromophobe). Les tumeurs hypophysaires peuvent comprimer adjacent, y compris les structures HYPOTHALAMUS, plusieurs nerfs crâniens, et le chiasma optique. Chiasmal compression peut entraîner bitemporal hémianopsie.
Augmentation de la taille de la thyroïde GLAND contenant plusieurs nodules nodule (thyroïde), résultant habituellement de récidives d ’ hyperplasie de la thyroïde et évolution depuis des années pour produire l'élargissement des goitres Multinodular irrégulier peut être toxique ou pourrait induire hyperthyroïdie.
Un agent antithyroid thioureylene qui inhibe la formation d'hormones thyroïdiennes en interférant avec l ’ incorporation de l'iode dans tyrosyl résidu de thyroglobuline. C'est fait en interférant avec l ’ oxydation du iodure et groupes ioniques iodotyrosyl peroxydase par l'intermédiaire de l'enzyme.
Un composé inorganique utilisée comme source d'iode en crise thyréotoxique et dans la préparation des patients pour thyrotoxique thyroïdectomie. (De Dorland, 27 e)
Une résection chirurgicale de la glande thyroïde. Dorland, 28 (éditeur)
Un domaine POU facteur qui régule expression de LA CROISSANCE HORMONE ; prolactine ; et THYROTROPIN-BETA dans les tumeurs hypophysaires GLAND antérieur.
Un polypeptide sécrétée par les adenohypophysis GLAND pituitaire antérieur (,). L ’ hormone de croissance, alias Somatropine, stimule la mitose, la différenciation cellulaire et la croissance cellulaire. Propre à l ’ hormone de croissance ont été synthétisé.
Les maladies inflammatoires de la thyroïde GLAND. Thyroïdite peuvent être classés dans la thyroïdite aiguë (,) (purulente, subaiguë et chronique granulomateuse lymphocytaire), (fibreux Riedel est), Hashimoto lymphocytaire chronique (maladie) et transitoires (POSTPARTUM thyroïdite), et autres sous-types thyroïdite auto-immune.
Une enzyme du Lyase classe qui catalyse la formation de AMP cyclique et Pyrophosphate d'ATP. CE 4.6.1.1.
Les conditions de libération des hormones thyroïdiennes anormaux chez les patients présentant une thyroïde normale apparemment GLAND pendant maladie systémique sévère traumatisme physique, et troubles psychiatriques. Cela peut être causé par la perte d'entrée ou hypothalamique endogène par effet de la drogue. Exogènes anomalie le plus fréquemment conduit à de faibles T3 HORMONE avec diminution progressive de la thyroïde ; thyroxine (T4) et taux de TSH. T3 T4 normotendus peuvent être observées chez des maladies pour lesquelles THYROXINE-BINDING globulin augmentent la synthèse et de la libération.
Bovin domestiqué les animaux du genre Bos, généralement retenu en dans le même ranch et utilisé pour la production de viande ou des produits laitiers ou pour un dur travail.
Cavité osseuse qui détient le globe oculaire et ses tissus associés et annexes.
Opaque radioactif matériau utilisé comme diagnostic auditive.
Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre question car un terme comme « Papier » ne fait pas partie des termes médicaux reconnus. Le « papier » est généralement associé au domaine de la papeterie et des matériaux, et non pas à la médecine.
Les protéines de surface cellulaire qui lient la signalisation molécules externe pour la cellule avec une forte affinité et transformer cet événement extracellulaire dans un ou plusieurs signaux intracellulaires qui modifient le comportement de la cellule cible (De Alberts, biologie moléculaire du Cell, 2e Ed, pp693-5). Récepteurs de surface, contrairement aux enzymes, ne pas traiter leurs ligands.
Diminution ou l ’ arrêt de la sécrétion de un ou plusieurs hormones de l'hypophyse antérieure (y compris LH ; ; ; Somatropine HORMONE folliculo-stimulante et la corticotrophine). Par radiations chirurgical ou l ’ ablation, tumeurs De L'Hypophyse non-secretory, des métastases de tumeurs, du myocarde, apoplexie pituitaire, ou une granulomatose interstitielle processus et d ’ autres maladies.
Un composé formant blanche, inodore deliquescent cristaux et utilisé comme complément d ’ iode radioactif (expectorant ou de son corps est aussi un diagnostic I-131), particulièrement pour la fonction thyroïdienne.
Examens que évaluer les fonctions de la glande pituitaire.
Le développement et à utiliser des techniques et équipement pour étudier ou à effectuer les réactions chimiques, avec une petite quantité de matériaux, souvent moins de 1 mg ou un millilitre.
Un dérivé nucléotidiques cyclique qui imite l'action de l'AMP cyclique endogène et est capable de emparée de la membrane cellulaire. Il a vasodilatateur propriétés et est utilisée comme stimulant cardiaque Index de Merck. (Éditeur) 11
Spontanément rémittente-récurrente inflammation de la thyroïde GLAND, caractérisé par de la fièvre ; faiblesse ; agacée gorge ; douleur sévère de la thyroïde ; et une hypertrophie des cellules glande endommagé contenant géante. La maladie fréquemment suit une infection virale.
La quantité et hypolipidémiant, sélectivement perméable membrane qui entoure le cytoplasme en facteur D'et les cellules eucaryotes.
Les évolutions du taux de produit chimique ou systèmes physiques.
Cellule ligne des dérivés de l ’ ovaire de hamster chinois (CRICETULUS, Cricetulus Griseus), l'espèce, c'est un favori pour les études cytogénétique chromosome à cause de son petit numéro. La lignée cellulaire a fourni des systèmes modèle pour l'étude des modifications génétiques dans les cellules de mammifères en culture.
Une hormone glycoprotéique des préparations contenant des gonadotrophines produit principalement par le placenta. Similaire à l'hypophyse HORMONE lutéinisante reviennent dans la structure et le fonctionnement, la choriogonadotropine est impliqué dans le maintien du corps jaune pendant la grossesse. CG se compose de deux sous-unités liées noncovalently, l'alpha et bêta. Au sein d'une espèce, la sous-unité alpha est identique à l'alpha sous-unités des trois hormones hypophysaires glycoprotéine (TSH, la LH et FSH), mais la sous-unité bêta est unique, conférant sa spécificité biologique (gonadotrophine, sous-unité BETA, HUMAN).
La distribution des fréquences portée ou dans une population (une mesure des organismes, organes ou things) qui n'a pas été sélectionné pour la présence d'une maladie ou d'une anomalie.
Retrait de tissu par vaporization, abrasion, ou la destruction des tissus chauffage incluent. Méthodes utilisées par les belles thermique micro-ondes liquides ni chauffage, glacial (CRYOABLATION), l ’ ablation, chimique et photoablation avec lasers.
Un gros sécrétée par les gonadotrophines hypophysaires GLAND antérieur adenohypophysis (,). Hormone lutéinisante régule la production par les cellules interstitielles des testicules et les ovaires. La surcharge HORMONE lutéinisante reviennent preovulatory OVULATION induit chez les femmes et la LUTEINIZATION du follicule. Lutéinisante reviennent noncovalently HORMONE se compose de deux sous-unités liées, l'alpha et bêta. Au sein d'une espèce, la sous-unité alpha est fréquent dans les trois hormones hypophysaires glycoprotéine (TSH, LH et FSH), mais la sous-unité bêta est unique, conférant sa spécificité biologique.
Le chien domestique, Canis familiaris, comprenant environ 400 races, de la famille carnivore CANIDAE. Ils sont dans le monde de la distribution et de vivre en association avec les gens. (Walker est Des mammifères du Monde, 5ème Ed, p1065)
Ces protéines sites moléculaire complexes ou sur les surfaces et cytoplasme de gonadique lutéinisante reviennent les hormones ou chorionic des préparations contenant des gonadotrophines et ainsi provoquer les cellules gonadique stéroïdes sexuels et sécrète de synthétiser le complexe est intériorisées ayant des récepteurs hormonaux positifs de la membrane plasmatique et déclenche stéroïde synthèse.
Acide aminé, spécifique des descriptions de glucides, ou les séquences nucléotides apparues dans la littérature et / ou se déposent dans et maintenu par bases de données tels que la banque de gènes GenBank, européen (EMBL laboratoire de biologie moléculaire), la Fondation de Recherche Biomedical (NBRF) ou une autre séquence référentiels.
Thyroxine niveau anormalement élevé dans le sang.

La TSH (Thyroid-Stimulating Hormone) est une hormone glycoprotéique produite et sécrétée par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Elle joue un rôle crucial dans le maintien de l'homéostasie thyroïdienne en régulant la production des hormones thyroïdiennes triiodothyronine (T3) et thyroxine (T4).

La TSH agit sur le tissu thyroïdien en se liant aux récepteurs de la TSH situés à la surface des cellules folliculaires de la glande thyroïde. Cela stimule la production et la libération des hormones thyroïdiennes dans la circulation sanguine.

Le taux de TSH est souvent mesuré en médecine pour évaluer le fonctionnement de la thyroïde. Un taux de TSH élevé peut indiquer une hypothyroïdie, tandis qu'un taux bas peut suggérer une hyperthyroïdie. Cependant, il est important de noter que certains états de santé et médicaments peuvent influencer les niveaux de TSH, ce qui doit être pris en compte lors de l'interprétation des résultats des tests.

Le récepteur TRH, ou récepteur de la thyrotropin-releasing hormone, est un type de récepteur couplé aux protéines G qui se trouve à la surface des cellules. Il est activé par la libération de la thyrotropin-releasing hormone (TRH), une hormone peptidique composée de trois acides aminés, qui est produite dans l'hypothalamus et joue un rôle important dans la régulation de la fonction thyroïdienne.

Lorsque la TRH se lie au récepteur TRH, elle déclenche une série de réactions chimiques à l'intérieur de la cellule qui entraînent la libération d'autres hormones, telles que la thyréostimuline (TSH) et la prolactine, à partir de la glande pituitaire antérieure. Ces hormones régulent ensuite la production et la libération des hormones thyroïdiennes triiodothyronine (T3) et thyroxine (T4) dans la glande thyroïde.

Les récepteurs TRH sont également présents dans d'autres parties du corps, telles que le cerveau, où ils jouent un rôle dans la régulation de divers processus physiologiques, tels que l'appétit, la température corporelle et l'humeur. Les mutations du gène du récepteur TRH ont été associées à des troubles tels que l'obésité, le diabète de type 2 et les troubles de l'humeur.

La glande thyroïde est une glande endocrine majeure située dans la région anterieure du cou, plus précisément dans la partie inférieure du larynx et de la trachée. Elle est composée de deux lobes reliés par un isthme et a approximativement la forme d'un papillon. La glande thyroïde joue un rôle crucial dans la régulation du métabolisme, de la croissance et du développement de l'organisme grâce à la production de deux hormones principales : la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4), qui contiennent respectivement trois et quatre atomes d'iode.

L'iode est capté par la glande thyroïde à partir de précurseurs alimentaires, tels que le iodure, et est essentiel à la synthèse des hormones thyroïdiennes. La production et la libération de ces hormones sont régulées par l'hormone stimulant la thyroïde (TSH), sécrétée par l'antéhypophyse, une glande située à la base du cerveau.

Les hormones thyroïdiennes agissent sur presque tous les tissus de l'organisme en augmentant le taux métabolique de base, ce qui se traduit par une augmentation de la consommation d'oxygène et de la production d'énergie. Elles sont également importantes pour le développement du système nerveux central, la croissance et la différenciation cellulaire, ainsi que pour le maintien de la température corporelle et du poids corporel.

Des dysfonctionnements de la glande thyroïde peuvent entraîner des affections telles que l'hypothyroïdie (diminution de la production d'hormones thyroïdiennes) ou l'hyperthyroïdie (excès de production d'hormones thyroïdiennes), qui peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé et la qualité de vie.

L'hormone thyréotrope, également connue sous le nom d'hormone stimulante de la thyroïde (TSH), est une hormone produite et sécrétée par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. La TSH régule la fonction thyroïdienne en agissant sur le tissu thyroïdien pour stimuler la production et la libération des hormones thyroïdiennes, la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4).

La sécrétion de TSH est régulée par l'hypothalamus, qui produit de la thyréotropin-releasing hormone (TRH), une hormone qui stimule la production de TSH. La concentration de T3 et T4 dans le sang agit également sur l'hypothalamus et l'antéhypophyse pour réguler la sécrétion de TRH et de TSH, créant ainsi un système de rétroaction négative qui maintient les niveaux d'hormones thyroïdiennes dans une plage normale.

Une faible concentration de T3 et T4 entraîne une augmentation de la production de TRH et de TSH, tandis qu'une concentration élevée de ces hormones thyroïdiennes inhibe la production de TRH et de TSH. Les anomalies de la fonction thyroïdienne, telles que l'hypothyroïdie ou l'hyperthyroïdie, peuvent entraîner des perturbations de la sécrétion de TSH et des niveaux anormaux d'hormones thyroïdiennes.

La thyroxine, également connue sous le nom de T4, est une hormone produite par la glande thyroïde. Elle joue un rôle crucial dans la régulation du métabolisme, de la croissance et du développement de l'organisme. La thyroxine est synthétisée à partir de tyrosine (un acide aminé) et d'iode. Une fois sécrétée, une partie de la thyroxine se lie à des protéines de transport dans le sang, tandis que l'autre partie reste sous forme libre (FT4). Les taux anormaux de thyroxine peuvent entraîner des déséquilibres hormonaux, tels qu'une hyperthyroïdie (taux élevés) ou une hypothyroïdie (taux bas), qui peuvent provoquer divers symptômes et complications médicales.

L'hypothyroïdie est un trouble endocrinien dans lequel la glande thyroïde ne produit pas suffisamment d'hormones thyroïdiennes. Cela peut entraîner une variété de symptômes, tels que la fatigue, la prise de poids, la sensibilité au froid, la constipation, la peau sèche, la perte de cheveux, des ralentissements cognitifs et des menstruations abondantes ou irrégulières chez les femmes.

L'hypothyroïdie peut être causée par une maladie de la thyroïde elle-même, comme la thyroïdite de Hashimoto (une inflammation auto-immune de la glande thyroïde), ou par un problème avec l'hypothalamus ou l'hypophyse, qui régulent la production d'hormones thyroïdiennes.

Le diagnostic de l'hypothyroïdie est généralement posé sur la base des symptômes et des résultats d'un test sanguin qui mesure les niveaux d'hormones thyroïdiennes dans le sang. Le traitement de l'hypothyroïdie consiste souvent à prendre un médicament contenant de l'hormone thyroïdienne, ce qui peut aider à rétablir les niveaux hormonaux normaux et à soulager les symptômes.

L'hyperthyroïdie est une condition médicale dans laquelle la glande thyroïde produit et sécrète excessivement les hormones thyroïdiennes, à savoir la triiodothyronine (T3) et la thyroxine (T4). Ces hormones jouent un rôle crucial dans le métabolisme, la croissance et le développement du corps.

Lorsque la glande thyroïde devient hyperactive, elle accélère les processus métaboliques de l'organisme, entraînant une augmentation du rythme cardiaque, une intolérance à la chaleur, des tremblements, une perte de poids, des selles fréquentes et une augmentation de l'appétit. D'autres symptômes peuvent inclure des sautes d'humeur, de l'agitation, de l'insomnie, de la fatigue, des irrégularités menstruelles chez les femmes et une diminution de la libido.

Les causes courantes d'hyperthyroïdie comprennent la maladie de Basedow (une maladie auto-immune), l'augmentation du nodule thyroïdien, le goitre toxique diffus et l'inflammation de la glande thyroïde. Le diagnostic repose généralement sur une combinaison d'examens physiques, de tests sanguins pour mesurer les niveaux d'hormones thyroïdiennes et de TSH (thyrotropine stimulante), ainsi que d'imageries médicales telles que l'échographie ou la scintigraphie.

Le traitement de l'hyperthyroïdie dépend de sa cause sous-jacente. Les options thérapeutiques peuvent inclure des médicaments antithyroïdiens, des bêta-bloquants pour contrôler les symptômes cardiovasculaires, l'iode radioactif pour détruire une partie de la glande thyroïde et, dans certains cas, la chirurgie pour retirer partiellement ou complètement la glande thyroïde. Après le traitement, il est important de surveiller régulièrement les niveaux d'hormones thyroïdiennes et de TSH pour ajuster le traitement si nécessaire et prévenir les complications à long terme telles que l'hypothyroïdie.

La thyrotropine alfa, également connue sous le nom de Thyrogen, est une forme synthétique de la thyréotropine (TSH) humaine utilisée dans le diagnostic et le traitement des troubles de la glande thyroïde. La TSH est une hormone produite par l'hypophyse qui stimule la glande thyroïde pour produire les hormones thyroxine (T4) et triiodothyronine (T3).

La thyrotropine alfa est utilisée comme un agent de stimulation thyroïdienne dans les tests diagnostiques pour évaluer la fonction thyroïdienne, tels que le test de suppression de la TSH ou le test de freination à la thiourée. Ces tests peuvent aider à détecter la présence d'une hyperthyroïdie ou d'un cancer de la thyroïde.

Dans le traitement du cancer de la thyroïde, la thyrotropine alfa peut être utilisée pour stimuler la production des hormones thyroïdiennes par les cellules cancéreuses restantes après une chirurgie ou d'autres traitements, ce qui permet de détecter et de localiser ces cellules à l'aide d'imageries médicales.

La thyrotropine alfa est généralement administrée par injection intramusculaire ou sous-cutanée en deux doses séparées d'une durée de 24 heures. Les effets secondaires courants peuvent inclure des nausées, des vomissements, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, ainsi qu'une réaction locale au site d'injection.

L'exploration fonctionnelle thyroïdienne est un ensemble de tests diagnostiques utilisés pour évaluer la fonction et la structure de la glande thyroïde. Elle vise à déterminer la capacité de la glande à produire les hormones thyroïdiennes thyroxine (T4) et triiodothyronine (T3), ainsi qu'à réguler leur sécrétion grâce à l'hormone stimulant la thyroïde (TSH).

Les tests couramment inclus dans une exploration fonctionnelle thyroïdienne sont :

1. Dosage de la TSH : Il s'agit d'une analyse de sang qui mesure le taux d'hormone stimulant la thyroïde produite par l'hypophyse. Un taux élevé de TSH peut indiquer une hypothyroïdie, tandis qu'un taux bas peut suggérer une hyperthyroïdie.

2. Dosage des hormones thyroïdiennes libres (FT4 et FT3) : Ces analyses de sang mesurent les niveaux d'hormones thyroïdiennes actives dans le sang. Des taux anormalement élevés ou bas peuvent indiquer une hyperthyroïdie ou une hypothyroïdie, respectivement.

3. Test de radio-iode (scan) : Cette procédure consiste à administrer une faible dose de iode radioactif (I-123 ou I-131) par voie orale, puis à utiliser un scanner pour suivre la distribution du iode dans la glande thyroïde. Ce test permet d'identifier les nodules chauds (qui captent excessivement le iode), froids (qui ne capturent pas le iode) ou fonctionnels normaux.

4. Test de stimulation à la TSH : Il s'agit d'une injection intraveineuse d'hormone stimulant la thyroïde recombinante humaine (rhTSH), suivie d'un dosage des hormones thyroïdiennes libres. Ce test permet de déterminer si une glande thyroïde supprimée par un traitement antérieur fonctionne correctement.

5. Test de la thyroglobuline (Tg) : Cette analyse de sang mesure les niveaux de thyroglobuline, une protéine produite par les cellules thyroïdiennes. Des taux élevés peuvent indiquer une récidive ou une persistance d'une maladie thyroïdienne après un traitement.

6. Test de marqueurs tumoraux : D'autres analyses de sang, telles que le dosage des anticorps anti-thyroglobuline (TgAb) et des anticorps anti-peroxydase thyroïdienne (TPOAb), peuvent être utiles pour diagnostiquer et surveiller certaines affections thyroïdiennes, telles que la maladie de Basedow ou le cancer de la thyroïde.

En conclusion, les tests de diagnostic des troubles thyroïdiens comprennent une variété d'analyses de sang, d'imageries et d'autres procédures qui aident à évaluer la fonction thyroïdienne, à détecter les anomalies structurelles et à diagnostiquer les maladies thyroïdiennes. Les résultats de ces tests sont généralement interprétés en combinaison avec l'anamnèse du patient, l'examen physique et d'autres facteurs cliniques pour établir un diagnostic précis et recommander le traitement approprié.

Les immunoglobulines thyréostimulantes (TSI), également connues sous le nom d'anticorps thyréostimulants, sont des auto-anticorps qui imitent l'hormone thyréostimuline (TSH) et stimulent la fonction thyroïdienne. Ils sont spécifiquement associés à la maladie de Graves, une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire produit des anticorps contre la glande thyroïde.

Les TSI se lient aux récepteurs de la TSH sur les cellules thyroïdiennes et activent la production et la sécrétion des hormones thyroïdiennes, entraînant une hyperthyroïdie. Les niveaux élevés de TSI sont un marqueur diagnostique important pour la maladie de Graves et peuvent être détectés par des tests sanguins.

Il est important de noter que les immunoglobulines thyréostimulantes ne doivent pas être confondues avec l'hormone thyréostimuline (TSH) elle-même, qui est produite par l'hypophyse et régule la fonction thyroïdienne.

La maladie de Basedow, également connue sous le nom de Graves' disease, est une maladie auto-immune qui affecte la glande thyroïde. Elle se caractérise par une production excessive d'hormones thyroïdiennes (hyperthyroïdie), ce qui peut entraîner une accélération du métabolisme et une variété de symptômes, tels qu'une intolérance à la chaleur, une augmentation de l'appétit avec perte de poids, des tremblements, une augmentation du rythme cardiaque, de l'anxiété, de l'insomnie et une fatigue accrue.

D'autres signes courants de la maladie de Basedow peuvent inclure un gonflement des yeux (exophtalmie) et une sensibilité à la lumière, due à une inflammation des muscles oculaires et du tissu adipeux derrière les yeux. Dans certains cas, cette affection peut également entraîner une augmentation de la taille de la glande thyroïde (goitre).

La maladie de Basedow est généralement traitée par des médicaments qui réduisent la production d'hormones thyroïdiennes, tels que les inhibiteurs de la thyroperoxydase ou les bêta-bloquants. Dans certains cas, une ablation chirurgicale de la glande thyroïde (thyroïdectomie) peut être recommandée. La maladie de Basedow peut toucher des personnes de tous âges et de tous sexes, mais elle est plus fréquente chez les femmes entre 20 et 40 ans.

La triiodothyronine (T3) est une hormone thyroïdienne essentielle à la régulation du métabolisme, du développement et de la croissance des organismes. Elle est produite par la glande thyroïde soit directement, soit à partir de la thyroxine (T4) via l'action d'un déiodinase en périphérie.

La T3 possède une activité biologique plus forte que la T4 car elle se lie plus étroitement aux récepteurs nucléaires et stimule ainsi la transcription des gènes cibles. Son taux sanguin est régulé par l'hormone de libération de la thyroxine (TRH) produite par l'hypothalamus, qui stimule la sécrétion de thyréostimuline (TSH) par l'antéhypophyse, entraînant une augmentation de la production et de la libération des hormones thyroïdiennes.

Des niveaux anormaux de T3 peuvent indiquer un dysfonctionnement thyroïdien, comme l'hyperthyroïdie ou l'hypothyroïdie. Des taux élevés de T3 peuvent accélérer le métabolisme, entraînant une perte de poids, une augmentation du rythme cardiaque, des tremblements et une irritabilité, tandis que des niveaux bas peuvent ralentir le métabolisme, provoquant une prise de poids, une fatigue, une sensibilité au froid, une constipation et une dépression.

L'hypothyroïdie congénitale est une condition médicale où un nouveau-né naît avec une thyroïde sous-active ou inexistante, ce qui entraîne une production insuffisante d'hormones thyroïdiennes. Ces hormones sont cruciales pour le développement et la croissance normaux du cerveau et du corps.

L'hypothyroïdie congénitale peut être causée par des facteurs génétiques ou environnementaux, tels qu'un défaut dans le développement de la glande thyroïde pendant la grossesse, une carence en iode (un élément essentiel à la production d'hormones thyroïdiennes) ou l'exposition de la mère à certains médicaments ou substances chimiques pendant la grossesse.

Les symptômes de l'hypothyroïdie congénitale peuvent inclure une faible activité, un retard de croissance, une constipation, une somnolence excessive, une peau sèche et jaunâtre (jaunisse), une fontanelle (espace mou à l'avant du crâne) élargie, un visage bouffi et une langue élargie.

Si elle n'est pas traitée rapidement, cette condition peut entraîner des problèmes de développement mental et physique graves et permanents. Le traitement consiste généralement en un apport quotidien de levothyroxine, une hormone thyroïdienne synthétique, qui compense le manque d'hormones thyroïdiennes produites par la glande thyroïde du bébé. Avec un traitement et un suivi appropriés, les enfants atteints d'hypothyroïdie congénitale peuvent se développer et grandir normalement.

La sous-unité bêta de la thyrotropine, également connue sous le nom de TSHβ (beta-sous-unité de la thyréostimuline), est une protéine qui forme une partie essentielle de la molécule de l'hormone thyréostimuline (TSH). La TSH est produite et sécrétée par l'antéhypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Elle joue un rôle crucial dans la régulation de la fonction thyroïdienne en stimulant la production des hormones thyroïdiennes triiodothyronine (T3) et thyroxine (T4) par la glande thyroïde.

La TSH est composée de deux sous-unités, alpha et bêta. La sous-unité alpha est commune à plusieurs autres hormones peptidiques, telles que l'hormone folliculo-stimulante (FSH), l'hormone lutéinisante (LH) et l'hormone de libération de la corticotrophine (CRH). En revanche, la sous-unité bêta est unique à chaque hormone. Ainsi, la détermination de la séquence d'acides aminés spécifique de TSHβ permet d'identifier et de distinguer la TSH des autres hormones glycoprotéiques.

La sous-unité bêta de la thyrotropine est codée par le gène TSHB, situé sur le chromosome 1 humain. Des mutations dans ce gène peuvent entraîner une production altérée ou absente de TSHβ, ce qui peut se traduire par des troubles de la fonction thyroïdienne et des anomalies du développement physique et mental. Par conséquent, une compréhension approfondie de la structure et de la fonction de la sous-unité bêta de la thyrotropine est essentielle pour diagnostiquer et traiter les affections associées à des perturbations du système endocrinien.

Les hormones thyroïdiennes sont des régulateurs métaboliques essentiels dans le corps humain, produits par la glande thyroïde. Il existe trois types principaux d'hormones thyroïdiennes: la triiodothyronine (T3), la thyroxine (T4) et la calcitonine.

La T3 et la T4 sont des iodothyronines dérivées de l'acide aminé tyrosine et contiennent respectivement trois ou quatre atomes d'iode. Elles jouent un rôle crucial dans la régulation du métabolisme basal, la croissance et le développement, la différenciation cellulaire, et maintiennent l'homéostasie du corps.

La calcitonine, quant à elle, est une petite protéine qui aide à réguler les niveaux de calcium et de phosphate dans le sang en inhibant l'activité des ostéoclastes, cellules responsables de la résorption osseuse.

Des anomalies dans la production ou la fonction des hormones thyroïdiennes peuvent entraîner divers troubles de santé, y compris l'hypothyroïdie (faible activité thyroïdienne) et l'hyperthyroïdie (activité thyroïdienne excessive).

La thyroglobuline est une protéine de grande taille produite par les cellules folliculaires de la glande thyroïde. Elle joue un rôle crucial dans la biosynthèse des hormones thyroïdiennes, en particulier la thyroxine (T4) et la triiodothyronine (T3). La thyroglobuline sert de matrice où les iodures sont combinés avec des tyrosines pour former des précurseurs d'hormones thyroïdiennes.

Après la libération d'hormones thyroïdiennes, la thyroglobuline reste dans le colloïde du follicule thyroïdien. Lorsque la glande thyroïde est stimulée par l'hormone thyréotropine (TSH) sécrétée par l'antéhypophyse, les cellules folliculaires absorbent le colloïde et dégradent la thyroglobuline pour libérer davantage d'hormones thyroïdiennes dans la circulation sanguine.

Dans le contexte clinique, la thyroglobuline est utilisée comme marqueur tumoral pour surveiller les patients atteints de cancer différencié de la thyroïde. Les taux sériques de thyroglobuline sont généralement faibles ou indétectables chez les personnes en bonne santé, mais peuvent augmenter en présence d'une récidive ou d'une progression du cancer thyroïdien. La mesure de la thyroglobuline après le traitement chirurgical et la thérapie à l'iode radioactif permet une évaluation plus précise du risque de récidive et aide à guider les décisions thérapeutiques ultérieures.

Les maladies de la thyroïde sont un groupe de conditions qui affectent la glande thyroïde, une petite glande en forme de papillon située dans la base du cou. La thyroïde est responsable de la production des hormones thyroxine (T4) et triiodothyronine (T3), qui régulent le métabolisme, la croissance et le développement du corps.

Les maladies de la thyroïde peuvent entraîner une production excessive d'hormones thyroïdiennes (hyperthyroïdie) ou une production insuffisante (hypothyroïdie). Les symptômes de l'hyperthyroïdie peuvent inclure une augmentation du rythme cardiaque, une intolérance à la chaleur, des tremblements, une perte de poids et une anxiété accrue. Les symptômes de l'hypothyroïdie peuvent inclure une prise de poids, une fatigue, une sensibilité au froid, une sécheresse de la peau et une constipation.

Les maladies de la thyroïde peuvent également inclure des nodules thyroïdiens, qui sont des gonflements ou des bosses sur la glande thyroïde, et le cancer de la thyroïde. Le traitement dépendra du type et de la gravité de la maladie thyroïdienne. Il peut inclure des médicaments, une intervention chirurgicale, une thérapie radioactive ou une combinaison de ces options.

Un dosage radioimmunologique (RIA) est une méthode sensible et spécifique de mesure quantitative des concentrations d'une substance, généralement une hormone ou un médicament, dans un échantillon biologique. Cette technique repose sur l'utilisation d'un anticorps spécifique qui se lie à la substance d'intérêt, appelée analyte.

Dans un RIA, l'échantillon est mélangé avec une quantité connue de l'analyte marqué radioactivement (généralement avec un isotope de faible énergie et courte demi-vie, comme l'iode 125). Ce mélange est ensuite incubé pour permettre à l'anticorps de se lier à l'analyte, qu'il soit présent dans l'échantillon ou sous forme marquée.

Après l'incubation, un séparateur d'immunoprécipitation est ajouté pour précipiter les complexes anticorps-analyte, qui peuvent être séparés du liquide résiduel par centrifugation ou filtration. Le niveau de radioactivité dans le surnageant et le précipité est mesuré à l'aide d'un détecteur de gamma.

La quantité d'analyte présente dans l'échantillon est inversement proportionnelle à la quantité de radioactivité détectée dans le surnageant, ce qui permet de calculer sa concentration en utilisant une courbe de calibration établie avec des standards connus.

Les RIA ont été largement remplacés par d'autres méthodes plus modernes et plus simples, telles que les dosages immuno-enzymatiques (EIA) ou les tests immunochimiluminescents (CLIA), qui n'utilisent pas de matières radioactives. Cependant, ils restent utiles dans certaines applications spécialisées où une grande sensibilité est requise.

L'iode est un élément chimique (symbole I, numéro atomique 53) qui est essentiel pour la vie humaine et animale. Il est surtout connu pour son rôle dans la production d'hormones thyroïdiennes par la glande thyroïde. Ces hormones sont cruciales pour le développement et le fonctionnement normal du cerveau, du système nerveux, de la croissance et du métabolisme.

L'iode se trouve en petites quantités dans certains aliments tels que les fruits de mer, les algues et les produits laitiers. Il peut également être trouvé sous forme de suppléments ou ajouté au sel de table comme iodure de potassium pour aider à prévenir les carences en iode.

Une carence en iode peut entraîner une maladie appelée goitre, qui se caractérise par un élargissement de la glande thyroïde. Dans des cas plus graves, une carence en iode peut entraîner des problèmes mentaux et physiques, en particulier chez les nourrissons et les jeunes enfants. D'autre part, un apport excessif d'iode peut également être nocif et provoquer une thyrotoxicose, une affection caractérisée par une production excessive d'hormones thyroïdiennes.

La triiodothyronine reverse (rT3) est une hormone thyroïdienne inactive qui est produite en petites quantités dans le corps. Elle est créée lorsque l'hormone thyroïdienne active, la triiodothyronine (T3), se lie à une protéine de transport appelée iodothyronine désiodase de type 3 (DIO3).

La rT3 a une structure similaire à la T3, mais elle ne peut pas se lier aux récepteurs des hormones thyroïdiennes et n'a donc pas d'activité biologique. En fait, la rT3 est considérée comme une forme inactive de T3.

Cependant, la rT3 joue un rôle important dans le maintien de l'homéostasie des hormones thyroïdiennes en régulant les niveaux de T3 et de thyroxine (T4) dans le corps. Lorsque les niveaux de T3 sont élevés, la production de rT3 est augmentée pour aider à réduire les niveaux de T3 et maintenir l'équilibre hormonal.

Des niveaux anormalement élevés ou faibles de rT3 peuvent être un indicateur de problèmes de santé sous-jacents, tels que des troubles thyroïdiens ou des maladies chroniques. Par exemple, des niveaux élevés de rT3 ont été observés dans certaines conditions telles que l'hypothyroïdie, la maladie de Cushing, le syndrome néphrotique et l'insuffisance cardiaque congestive.

L'iodure peroxydase (IPO) est une enzyme hémi-hème contenant du cuivre qui joue un rôle crucial dans la biosynthèse des hormones thyroïdiennes dans la glande thyroïde. Elle catalyse les réactions d'oxydoréduction, en particulier la réaction entre l'iodure et l'eau oxygénée pour produire de l'iode élémentaire et du peroxyde d'hydrogène. L'iode libéré est ensuite utilisé pour ioder les tyrosines des protéines thyroglobulines, un processus essentiel à la production des hormones triiodothyronine (T3) et thyroxine (T4). La peroxydase d'iodure est également exprimée dans d'autres tissus en dehors de la glande thyroïde, où elle participe à divers processus physiologiques et immunitaires.

Les hormones anté-hypophysaires, également connues sous le nom d'hormones adénohypophysaires, sont des substances régulatrices produites et sécrétées par l'antéhypophyse, qui est la glande endocrine située à la base du cerveau. L'antéhypophyse se compose de deux parties : l'adénohypophyse et la neurohypophyse. Les hormones anté-hypophysaires sont produites par l'adénohypophyse.

Il existe plusieurs types d'hormones anté-hypophysaires, chacune ayant un rôle spécifique dans la régulation des processus physiologiques de l'organisme :

1. Hormone de croissance (GH ou somatotropine) : stimule la croissance et le métabolisme des protéines, des glucides et des lipides dans l'organisme.
2. Thyrotropin (TSH) : régule la fonction thyroïdienne en stimulant la production et la sécrétion des hormones thyroïdiennes.
3. Adrénocorticotrope (ACTH) : contrôle la sécrétion des hormones stéroïdes par les glandes surrénales, y compris le cortisol et d'autres glucocorticoïdes, ainsi que les androgènes.
4. Prolactine (PRL) : stimule la production de lait chez les femmes pendant la période post-partum.
5. Folliculo-stimulante (FSH) : joue un rôle dans la régulation du cycle menstruel et la spermatogenèse.
6. Luteinizante (LH) : stimule la production d'hormones sexuelles, comme les œstrogènes et la testostérone, et déclenche l'ovulation chez les femmes.
7. Hormone melanotrope (MSH) : impliquée dans la régulation de l'appétit, du sommeil et de la pigmentation de la peau.
8. Endorphines et enképhalines : neurotransmetteurs opioïdes qui jouent un rôle dans la modulation de la douleur et des émotions.
9. Ocytocine : hormone impliquée dans l'accouchement, l'allaitement maternel et les comportements sociaux, tels que la reconnaissance et l'attachement.
10. Vasopressine (ADH) : régule la pression artérielle et le volume sanguin en contrôlant la réabsorption d'eau dans les reins.

Les iodures sont des composés chimiques qui contiennent un ion iodure (I-), qui est un atome d'iode avec une charge négative. Dans le contexte médical, les iodures sont souvent utilisés dans les traitements médicaux et de santé.

L'iodure de potassium est l'un des iodures les plus couramment utilisés en médecine. Il est souvent prescrit pour prévenir ou traiter une carence en iode, qui peut entraîner une maladie thyroïdienne. L'iode est un nutriment essentiel pour la production d'hormones thyroïdiennes, et une carence en iode peut entraîner une hypothyroïdie, une augmentation de la taille de la glande thyroïde (goitre) et des retards de développement chez les nourrissons et les enfants.

Les iodures peuvent également être utilisés comme antiseptiques topiques pour prévenir ou traiter les infections cutanées, en raison de leurs propriétés antibactériennes et antifongiques. Cependant, l'utilisation d'iodures à des fins médicales doit être supervisée par un professionnel de la santé, car une consommation excessive d'iode peut entraîner une hyperthyroïdie et d'autres effets secondaires indésirables.

Je suis désolé, mais la terminologie «amp cyclique» ne semble pas correspondre à un terme ou une expression médicale établie. Il est possible que vous ayez fait une faute d'orthographe ou que vous vous référiez à un terme spécifique à une certaine spécialité médicale.

Cependant, le terme «amplificateur cyclique» (cyclic amplifier en anglais) est utilisé en biologie moléculaire pour décrire un appareil de laboratoire qui permet d'amplifier des acides nucléiques (ADN ou ARN) à l'aide d'une réaction en chaîne par polymérase (PCR).

Si vous cherchiez une information différente, pouvez-vous svp fournir plus de détails ou vérifier l'orthographe du terme pour que je puisse vous aider davantage ?

L'exophtalmie est un terme médical qui décrit la projection ou la saillie anormale du globe oculaire hors de son orbite, ce qui donne l'apparence d'yeux sortants. Cette condition peut affecter un ou les deux yeux et entraîner une modification de l'apparence des paupières et des tissus environnants.

L'exophtalmie peut être causée par plusieurs facteurs, notamment des affections thyroïdiennes (comme la maladie de Basedow ou le Graves'), des tumeurs orbitaires, des inflammations, des infections, des traumatismes ou une augmentation de la pression dans l'orbite. Les symptômes associés à l'exophtalmie peuvent inclure une vision floue, une douleur oculaire, une sensibilité à la lumière, un larmoiement accru et des difficultés à fermer complètement les paupières.

Le diagnostic de l'exophtalmie repose généralement sur un examen clinique approfondi, comprenant des mesures de la projection oculaire et des tests visuels. Des examens d'imagerie tels que la tomodensitométrie (TDM) ou l'imagerie par résonance magnétique (IRM) peuvent être nécessaires pour déterminer la cause sous-jacente de l'exophtalmie. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente et peut inclure des médicaments, des radiothérapies, une chirurgie ou une combinaison de ces options.

Un goitre est une augmentation de la taille de la glande thyroïde, qui peut être observée comme une masse visible ou un grossissement au niveau du cou. La glande thyroïde est située dans la partie inférieure de votre cou et produit des hormones essentielles à la régulation du métabolisme, de la croissance et du développement.

Les goitres peuvent être causés par divers facteurs, notamment un manque d'iode dans l'alimentation, une production excessive ou insuffisante d'hormones thyroïdiennes, des nodules thyroïdiens (petites excroissances anormales) ou encore une inflammation de la glande. Les symptômes associés au goitre peuvent inclure des difficultés à avaler, une respiration sifflante, une toux persistante et éventuellement des douleurs dans la région du cou.

Il existe différents types de goitres, tels que le goitre endémique (lié au manque d'iode), le goitre sporadique (non lié au manque d'iode), le goitre nodulaire (causé par des nodules thyroïdiens) et le goitre associé à une maladie de Basedow (une maladie auto-immune qui provoque une hyperthyroïdie). Le traitement dépendra du type et de la cause sous-jacente du goitre.

L'hypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle est composée de deux parties principales : l'antéhypophyse (ou adénohypophyse) et la posthypophyse (ou neurohypophyse).

L'antéhypophyse produit et sécrète plusieurs hormones différentes, dont certaines régulent le fonctionnement d'autres glandes endocrines dans le corps. Les hormones sécrétées par l'antéhypophyse comprennent la thyrotropine (TSH), l'adrénotropine (ACTH), la prolactine, la somatotropine (GH ou hormone de croissance) et les gonadotrophines folliculo-stimulante (FSH) et lutéinisante (LH).

La posthypophyse stocke et libère deux hormones produites dans l'hypothalamus : l'ocytocine et la vasopressine (également appelée hormone antidiurétique ou ADH). L'ocytocine provoque des contractions utérines pendant le travail et favorise également la libération de lait maternel. La vasopressine régule la concentration d'eau dans le sang en affectant la perméabilité des tubules rénaux à l'eau.

En résumé, l'hypophyse joue un rôle crucial dans la régulation de nombreuses fonctions corporelles importantes, telles que la croissance, le développement sexuel, la réponse au stress et l'homéostasie hydrique.

L'adénohypophyse, également connue sous le nom de glande pituitaire antérieure, est une petite glande endocrine située à la base du cerveau. Elle produit et sécrète plusieurs hormones importantes qui régulent divers processus corporels. Ces hormones comprennent :

1. Hormone de croissance (GH): stimule la croissance et le métabolisme des protéines dans les tissus corporels.
2. Prolactine (PRL): stimule la production de lait chez les femmes allaitantes.
3. Thyrotropin (TSH): régule la fonction thyroïdienne en stimulant la production des hormones thyroïdiennes T3 et T4.
4. Adrénocorticotrope (ACTH): stimule la libération d'hormones stéroïdes par les glandes surrénales.
5. Folliculo-stimulante (FSH): régule la fonction des organes reproducteurs en stimulant la croissance des follicules ovariens et la production de spermatozoïdes.
6. Luteinizing (LH): stimule la maturation des ovules et la libération d'œstrogènes et de progestérone dans les ovaires, ainsi que la production de testostérone dans les testicules.
7. Endorphines: jouent un rôle dans la régulation de l'humeur et de la douleur.
8. Ocytocine: stimule l'accouchement et la lactation.
9. Vasopressine (ADH): régule l'équilibre hydrique et la pression artérielle en contrôlant la réabsorption d'eau dans les reins.

L'adénohypophyse est régulée par l'hypothalamus, qui libère des facteurs de libération et d'inhibition pour contrôler la production et la sécrétion d'hormones par l'adénohypophyse.

Les trousses de réactifs pour diagnostic, également connues sous le nom de tests de diagnostic rapides ou RDT, sont des dispositifs médicaux conçus pour fournir des résultats diagnostiques simples et rapides pour une variété de conditions médicales. Elles contiennent généralement tous les réactifs et matériaux nécessaires pour effectuer un test spécifique, y compris des échantillons de sang, d'urine ou de salive.

Les trousses de réactifs pour diagnostic sont souvent utilisées dans les milieux cliniques pour détecter rapidement la présence d'agents infectieux tels que les bactéries, les virus, les parasites et les champignons. Elles peuvent également être utilisées pour dépister des maladies telles que le VIH, l'hépatite, la grippe et la syphilis.

Les trousses de réactifs pour diagnostic sont conçues pour être faciles à utiliser, même pour les professionnels de santé sans formation spécialisée en laboratoire. Elles offrent des avantages tels qu'une réduction du temps d'attente pour les résultats, une diminution de la dépendance aux laboratoires centralisés et une amélioration de l'accès aux tests dans les zones rurales ou éloignées.

Cependant, il est important de noter que les trousses de réactifs pour diagnostic doivent être utilisées correctement et avec précaution pour garantir des résultats fiables et précis. Les professionnels de santé doivent suivre attentivement les instructions du fabricant et interpréter les résultats dans le contexte clinique approprié.

Le propylthiouracile est un médicament antithyroïdien qui est principalement utilisé pour traiter l'hyperthyroïdie, une condition dans laquelle la glande thyroïde produit trop d'hormones thyroïdiennes. Il fonctionne en inhibant la production des hormones thyroïdiennes triiodothyronine (T3) et thyroxine (T4).

Le propylthiouracile agit en bloquant l'enzyme peroxydase thyroïdienne, qui est nécessaire à la synthèse des hormones thyroïdiennes. Il peut également empêcher la conversion de T4 en T3 dans les tissus périphériques.

Les effets du propylthiouracile commencent généralement à se manifester dans les 1 à 3 heures suivant l'ingestion, et sa durée d'action est d'environ 4 à 6 semaines. Les effets secondaires courants du médicament comprennent des nausées, des vomissements, des éruptions cutanées, des démangeaisons, une perte de goût et une douleur ou une sensibilité au site d'administration.

Dans de rares cas, le propylthiouracile peut provoquer des effets secondaires graves, tels qu'une réaction allergique potentiellement mortelle connue sous le nom de syndrome de DRESS (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques), une maladie du foie ou une anomalie des globules blancs. Par conséquent, les patients qui prennent ce médicament doivent être surveillés de près pour détecter tout signe d'effets secondaires graves.

Un dosage immunologique, également connu sous le nom d'immunoessai, est un test de laboratoire qui mesure la concentration ou l'activité d'une substance spécifique, appelée analyte, dans un échantillon biologique en utilisant des méthodes immunochimiques. Les analytes peuvent inclure des antigènes, des anticorps, des hormones, des protéines, des drogues et d'autres molécules.

Les dosages immunologiques reposent sur l'interaction spécifique entre un antigène et un anticorps pour détecter ou quantifier la présence de l'analyte dans l'échantillon. Il existe différents types de dosages immunologiques, tels que les ELISA (Enzyme-Linked Immunosorbent Assay), les RIA (Radioimmunoassay), les Western blots et les immunofluorescences.

Ces tests sont largement utilisés en médecine pour diagnostiquer des maladies, surveiller l'efficacité du traitement, détecter la présence de drogues ou d'alcool dans le sang, et évaluer la fonction thyroïdienne, parmi d'autres applications. Les résultats des dosages immunologiques doivent être interprétés en tenant compte des valeurs de référence établies pour chaque analyte et du contexte clinique du patient.

L'ophtalmopathie de Basedow est une maladie oculaire auto-immune qui se produit généralement en association avec la maladie de Basedow, également connue sous le nom de Graves' disease. Cette maladie affecte la glande thyroïde et provoque une hyperthyroïdie.

Dans l'ophtalmopathie de Basedow, le système immunitaire attaque les tissus autour des yeux, entraînant un gonflement et une inflammation des muscles oculaires et du tissu adipeux derrière le globe oculaire. Cela peut causer une variété de symptômes, y compris des yeux exorbités (protrusion des globes oculaires), un regard fixe ou écarquillé, une vision double, une sensibilité à la lumière, une rougeur et un gonflement des paupières, et une douleur oculaire.

Les personnes atteintes d'ophtalmopathie de Basedow peuvent également présenter des symptômes systémiques tels qu'une hyperthyroïdie, une perte de poids, une augmentation du rythme cardiaque, une transpiration accrue, et des tremblements.

Le traitement de l'ophtalmopathie de Basedow dépend de la gravité des symptômes et peut inclure des corticostéroïdes, des immunosuppresseurs, des radiothérapies ou une chirurgie pour corriger les problèmes oculaires. Le traitement de la maladie sous-jacente de Basedow est également important pour gérer cette condition.

La thyrotoxicose est un état clinico-biologique caractérisé par un excès d'hormones thyroïdiennes (triiodothyronine ou T3 et/ou thyroxine ou T4) dans l'organisme. Cela se produit généralement en raison d'une hyperactivité de la glande thyroïde, une condition connue sous le nom d'hyperthyroïdie. Les symptômes peuvent inclure une augmentation du rythme cardiaque (tachycardie), de l'intolérance à la chaleur, des tremblements, de l'agitation, de l'insomnie, une perte de poids malgré un appétit accru, et des modifications des habitudes intestinales. Dans certains cas, il peut également y avoir une augmentation de la pression artérielle, de la fatigue, de la faiblesse musculaire, et dans les stades avancés, de l'atonie cardiaque. Le diagnostic est établi par des tests sanguins qui mesurent les niveaux d'hormones thyroïdiennes et de thyréostimuline (TSH).

La prolactine est une hormone polypeptidique, sécrétée par la glande pituitaire antérieure (adénohypophyse), qui joue un rôle crucial dans la physiologie de la reproduction. Sa fonction principale est d'induire et de maintenir la lactation après l'accouchement, d'où son nom de "hormone de la lactation". Cependant, elle a également d'autres rôles dans le corps, tels que la régulation du système immunitaire, la croissance des cellules mammaires pendant le développement pubertaire et la grossesse, ainsi que l'influence sur les comportements sexuels et maternel.

Dans des conditions normales, la sécrétion de prolactine est stimulée par la succion du mamelon, l'ocytocine, le stress, l'exercice physique, l'hypoglycémie et certaines hormones thyroïdiennes. En revanche, les œstrogènes et la dopamine inhibent sa libération. Des taux anormalement élevés de prolactine peuvent entraîner une galactorrhée (écoulement mammaire inapproprié) chez les femmes et les hommes, ainsi que des irrégularités menstruelles et une diminution de la libido chez les femmes. Des taux bas de prolactine sont généralement asymptomatiques mais peuvent être associés à une insuffisance hypophysaire.

Des affections médicales telles que l'adénome de la glande pituitaire (un type de tumeur bénigne) ou certains médicaments, comme les antidépresseurs et les antipsychotiques, peuvent entraîner une hyperprolactinémie (taux élevés de prolactine). Ces conditions nécessitent un traitement approprié pour normaliser les taux de prolactine et prévenir d'éventuelles complications.

La glande de Harder, également connue sous le nom de glande bulbourethrale ou glande de Cowper, est une petite glande situées juste en dessous de la prostate dans les hommes. Elle fait partie du système reproducteur masculin et se compose de deux structures qui sécrètent un liquide clair et visqueux déchargé dans l'urètre pendant le rapport sexuel. Ce liquide, appelé pré-éjaculat ou lubrifiant, sert à lubrifier et à neutraliser l'acidité de l'urètre avant l'éjaculation, facilitant ainsi le mouvement des spermatozoïdes lors de l'activité sexuelle. Les sécrétions de la glande de Harder contiennent également certaines enzymes et protéines qui protègent et nourrissent les spermatozoïdes.

Les sous-unités alpha des hormones glycoprotéiques sont des protéines qui forment la partie régulatrice des hormones glycoprotéiques. Ces hormones comprennent l'hormone folliculo-stimulante (FSH), l'hormone lutéinisante (LH), l'hormone chorionique gonadotrope humaine (hCG), et la thyréostimuline (TSH). Chaque type d'hormone glycoprotéique est composé d'une sous-unité alpha et d'une sous-unité bêta spécifiques. Les sous-unités alpha sont identiques pour chaque type d'hormone, tandis que les sous-unités bêta sont différentes et confèrent la spécificité hormonale.

La sous-unité alpha est composée de deux domaines : un domaine α-helix et un domaine β-plié. Le domaine α-helix est responsable de l'interaction avec la sous-unité bêta, tandis que le domaine β-plié est impliqué dans la reconnaissance des récepteurs hormonaux. Les sous-unités alpha sont produites par les cellules endocrines et sont ensuite associées aux sous-unités bêta pour former les hormones glycoprotéiques matures.

Les hormones glycoprotéiques jouent un rôle important dans la régulation de divers processus physiologiques, tels que la reproduction, la croissance et le développement, et la fonction thyroïdienne. Les déséquilibres dans les niveaux d'hormones glycoprotéiques peuvent entraîner des troubles endocriniens et métaboliques.

Le récepteur TRH, ou récepteur de la thyrotropin-releasing hormone, est un type de récepteur couplé aux protéines G qui se trouve à la surface des cellules. Il est activé par la libération de la thyrotropin-releasing hormone (TRH), une hormone peptidique composée de trois acides aminés, qui est produite dans l'hypothalamus et joue un rôle important dans la régulation de la fonction thyroïdienne.

Lorsque la TRH se lie au récepteur TRH, elle déclenche une série de réactions chimiques à l'intérieur de la cellule qui entraînent la libération d'autres hormones, telles que la thyréostimuline (TSH) et la prolactine, à partir de la glande pituitaire antérieure. Ces hormones régulent ensuite la production et la libération des hormones thyroïdiennes triiodothyronine (T3) et thyroxine (T4) dans la glande thyroïde.

Les récepteurs TRH sont également présents dans d'autres parties du corps, telles que le cerveau, où ils jouent un rôle dans la régulation de divers processus physiologiques, tels que l'appétit, la température corporelle et l'humeur. Les mutations du gène du récepteur TRH ont été associées à des troubles tels que l'obésité, le diabète de type 2 et les troubles de l'humeur.

Les protéines de liaison à la thyroxine, également connues sous le nom de transporteurs de thyroxine ou TBP (de leur nom en anglais Thyroxine-Binding Proteins), sont des molécules protéiques sériques qui se lient et transportent la thyroxine (T4) et la triiodothyronine (T3), les hormones thyroïdiennes, dans le sang.

Il existe trois principaux types de protéines de liaison à la thyroxine : la globuline liant la thyroxine (TBG), la transthyrétine (préalbumine) et l'albumine sérique. La TBG est la protéine de liaison à la thyroxine la plus abondante, suivie par l'albumine et la transthyrétine.

La liaison des hormones thyroïdiennes aux protéines de liaison à la thyroxine permet d'assurer leur transport et leur distribution dans tout l'organisme, ainsi que de réguler leur biodisponibilité et leur activité biologique. Seule une petite fraction des hormones thyroïdiennes circulantes est sous forme libre (non liée), qui est la forme active et capable de se lier aux récepteurs cellulaires pour exercer ses effets physiologiques.

Les protéines de liaison à la thyroxine peuvent être affectées par divers facteurs, tels que les maladies chroniques, les médicaments, l'hormonothérapie substitutive et la grossesse, ce qui peut entraîner des variations des niveaux d'hormones thyroïdiennes circulantes et influencer le diagnostic et le traitement des troubles de la fonction thyroïdienne.

Les tumeurs de la thyroïde sont des growths anormaux qui se développent dans la glande thyroïde, une petite glande en forme de papillon située à la base du cou. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs bénignes de la thyroïde sont courantes et ne mettent généralement pas la vie en danger. Elles peuvent inclure des adénomes, qui sont des growths solides ou remplis de liquide qui se développent dans les cellules folliculaires de la glande thyroïde. Les nodules thyroïdiens sont également une forme courante de tumeur bénigne et peuvent être solitaires ou multiples.

Les tumeurs malignes de la thyroide, en revanche, sont des cancers qui peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les types courants de cancer de la thyroïde comprennent le carcinome papillaire, le carcinome folliculaire, le carcinome médullaire et le carcinome anaplasique.

Les symptômes des tumeurs de la thyroïde peuvent inclure un nodule ou une masse visible dans le cou, une gêne ou une douleur dans le cou, des difficultés à avaler ou à respirer, et un enrouement de la voix. Cependant, de nombreuses tumeurs thyroïdiennes ne présentent aucun symptôme et sont découvertes lors d'examens médicaux de routine.

Le diagnostic des tumeurs de la thyroïde implique généralement une combinaison de tests, y compris une échographie, une biopsie à l'aiguille fine (FNA) et une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend du type et de la gravité de la tumeur et peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie, une radiothérapie ou une thérapie médicamenteuse.

Le carbimazole est un médicament antithyroïdien qui est principalement utilisé pour traiter l'hyperthyroïdie, une condition dans laquelle la glande thyroïde produit trop d'hormones thyroïdiennes. Le carbimazole fonctionne en inhibant la production d'hormones thyroïdiennes dans la glande thyroïde.

Le carbimazole est converti en son métabolite actif, le thiamazole, après l'ingestion. Le thiamazole inhibe la peroxydase thyroïdienne, une enzyme qui joue un rôle clé dans la production d'hormones thyroïdiennes. En inhibant cette enzyme, le carbimazole réduit la quantité d'hormones thyroïdiennes produites par la glande thyroïde.

Le carbimazole est disponible sous forme de comprimés et est généralement pris par voie orale deux à trois fois par jour. La dose initiale dépend de la gravité de l'hyperthyroïdie, mais elle peut être ajustée en fonction de la réponse du patient au traitement. Les effets du carbimazole peuvent prendre plusieurs semaines à se manifester, il est donc important de continuer à le prendre régulièrement même si les symptômes ne s'améliorent pas immédiatement.

Les effets secondaires courants du carbimazole comprennent des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des éruptions cutanées et une perte de goût. Dans de rares cas, le carbimazole peut provoquer des réactions allergiques graves, telles que des gonflements du visage, de la langue ou de la gorge, ou une éruption cutanée sévère. Si vous ressentez l'un de ces symptômes, consultez immédiatement un médecin.

Le carbimazole est généralement bien toléré, mais il peut interagir avec d'autres médicaments, notamment les anticoagulants, les anti-inflammatoires non stéroïdiens et les corticostéroïdes. Informez votre médecin de tous les médicaments que vous prenez avant de commencer le traitement par carbimazole.

En résumé, le carbimazole est un médicament utilisé pour traiter l'hyperthyroïdie en réduisant la production d'hormones thyroïdiennes. Il est généralement bien toléré, mais il peut provoquer des effets secondaires et interagir avec d'autres médicaments. Si vous prenez du carbimazole, suivez les instructions de votre médecin et informez-le de tous les autres médicaments que vous prenez.

La thyroïdite auto-immune est un terme général utilisé pour décrire les affections dans lesquelles le système immunitaire du corps attaque la glande thyroïde, entraînant une inflammation et des dommages à cette glande. Il existe plusieurs types de thyroïdite auto-immune, dont les plus courants sont la maladie de Hashimoto et la thyroïdite de Basedow.

Dans la maladie de Hashimoto, également appelée thyroïdite chronique, le corps produit des anticorps qui attaquent les enzymes thyroïdiens, ce qui perturbe la production d'hormones thyroïdiennes. Cela conduit souvent à une hypothyroïdie, c'est-à-dire une faible activité thyroïdienne.

Dans la thyroïdite de Basedow, également appelée Graves' disease, le corps produit des anticorps qui stimulent excessivement la glande thyroïde, entraînant une hyperthyroïdie, c'est-à-dire une activité thyroïdienne excessive.

Les symptômes de la thyroïdite auto-immune peuvent varier en fonction du type et de la gravité de la maladie. Ils peuvent inclure la fatigue, la prise ou la perte de poids, les changements d'humeur, la sensibilité au froid ou à la chaleur, l'enflement du cou (goitre), et dans le cas de la thyroïdite de Basedow, des yeux exorbités ou un regard fixe.

Le traitement dépend du type et de la gravité de la maladie. Il peut inclure des médicaments pour réguler les niveaux d'hormones thyroïdiennes, des médicaments pour supprimer l'activité du système immunitaire, ou dans certains cas, une intervention chirurgicale pour enlever une partie ou la totalité de la glande thyroïde.

Les antithyroïdiens sont des médicaments utilisés pour traiter les maladies thyroïdiennes en which ils aident à réguler la production d'hormones thyroïdiennes. Il existe trois principaux types d'antithyroïdiens :

1. Thionamides (methimazole et propylthiouracile) : Ces médicaments fonctionnent en inhibant la production d'hormones thyroïdiennes en empêchant la thyroperoxydase de ioder les tyrosines sur la thyroglobuline.
2. Iodure : L'iode est un élément essentiel à la production d'hormones thyroïdiennes. En administrant des doses élevées d'iode, on peut inhiber temporairement la fonction thyroïdienne. Cela peut être utile dans le traitement de l'hyperthyroïdie avant une intervention chirurgicale ou en cas d'urgence pour prévenir une crise thyréotoxique.
3. Lithium : Le lithium est un sel qui peut également inhiber la production d'hormones thyroïdiennes. Il est utilisé dans le traitement de l'hyperthyroïdie, en particulier dans les cas où les thionamides ne sont pas tolérés ou sont inefficaces.

Les antithyroïdiens sont généralement bien tolérés, mais peuvent entraîner des effets secondaires tels que des éruptions cutanées, des douleurs articulaires, des nausées et des vomissements. Dans de rares cas, ils peuvent provoquer une agranulocytose ou une hépatite. Les patients prenant des antithyroïdiens doivent être surveillés régulièrement pour détecter tout effet secondaire et ajuster la posologie en conséquence.

L'acide glutaminique est un composé chimique qui est dérivé de la glutamine, qui est un acide aminé non essentiel. Plus précisément, l'acide glutaminique est le produit de la décarboxylation de la glutamine et est donc une forme ionisée de la glutamine.

Dans le corps humain, l'acide glutaminique joue un rôle important dans le métabolisme énergétique des cellules, en particulier dans les cellules du cerveau, du foie et des muscles squelettiques. Il peut être utilisé comme source de carbone et d'azote pour la synthèse d'autres molécules, telles que les acides aminés et les nucléotides.

L'acide glutaminique est également un précurseur important du neurotransmetteur excitateur glutamate, qui est impliqué dans de nombreux processus cérébraux tels que l'apprentissage, la mémoire et la cognition. Des niveaux anormaux de glutamate peuvent être associés à des conditions neurologiques telles que l'épilepsie, la migraine et les lésions cérébrales traumatiques.

En résumé, l'acide glutaminique est un composé chimique important qui joue un rôle clé dans le métabolisme énergétique et la synthèse de molécules essentielles dans le corps humain. Il est également un précurseur important du neurotransmetteur excitateur glutamate, qui est impliqué dans de nombreux processus cérébraux.

Les auto-anticorps sont des anticorps produits par le système immunitaire qui ciblent et attaquent les propres cellules, tissus ou molécules d'un organisme. Normalement, le système immunitaire est capable de distinguer entre les substances étrangères (antigènes) et les composants du soi, et il ne produit pas de réponse immunitaire contre ces derniers.

Cependant, dans certaines conditions, telles que les maladies auto-immunes, le système immunitaire peut commencer à produire des auto-anticorps qui attaquent et détruisent les tissus sains. Les auto-anticorps peuvent être dirigés contre une grande variété de substances, y compris les protéines, les acides nucléiques, les lipides et les glucides.

La présence d'auto-anticorps dans le sang peut indiquer une maladie auto-immune sous-jacente ou une autre condition médicale. Les tests de dépistage des auto-anticorps sont souvent utilisés pour aider au diagnostic et à la surveillance des maladies auto-immunes telles que le lupus érythémateux disséminé, la polyarthrite rhumatoïde, la sclérodermie et la thyroïdite auto-immune.

Il est important de noter que la présence d'auto-anticorps ne signifie pas nécessairement qu'une personne a une maladie auto-immune ou va développer des symptômes associés à une telle maladie. Certains auto-anticorps peuvent être détectés chez des personnes en bonne santé, et d'autres conditions médicales peuvent également entraîner la production d'auto-anticorps. Par conséquent, les résultats des tests doivent être interprétés dans le contexte de l'histoire clinique et des symptômes du patient.

Le myxœdème est un terme médical désignant une affection cutanée caractérisée par une accumulation excessive d'une substance visqueuse et gélatineuse appelée mucine dans le tissu conjonctif sous-cutané. Cette condition est généralement associée à l'hypothyroïdie, un état pathologique dans lequel la glande thyroïde ne produit pas suffisamment d'hormones thyroïdiennes.

L'hypothyroïdie peut être causée par divers facteurs, tels que des maladies auto-immunes, une intervention chirurgicale, une radiothérapie ou des dommages à la glande thyroïde due à une carence en iode. Lorsque l'hypothyroïdie persiste pendant une longue période, elle peut entraîner une accumulation de mucine dans le tissu sous-cutané, ce qui conduit au développement du myxœdème.

Les symptômes courants du myxœdème comprennent un gonflement et une induration de la peau, en particulier sur le visage, les mains et les pieds. La peau peut devenir pâle, froide et sèche, avec une texture semblable à celle d'une orange. Les patients peuvent également présenter des signes d'hypothyroïdie tels qu'une prise de poids, une fatigue extrême, une intolérance au froid, une constipation et une dépression.

Le traitement du myxœdème implique la correction de l'hypothyroïdie sous-jacente en administrant des hormones thyroïdiennes de remplacement. Cela permet non seulement de réduire les symptômes cutanés associés au myxœdème, mais aussi d'améliorer les autres manifestations cliniques de l'hypothyroïdie.

Les radio-isotopes d'iode sont des variantes isotopiques instables de l'iode qui émettent des radiations. Ils sont largement utilisés en médecine nucléaire à des fins diagnostiques et thérapeutiques. Le plus couramment utilisé est l'iode 131 (131I), qui se désintègre en xénon 131 (131Xe) en émettant des rayons bêta et gamma.

Dans le diagnostic, l'iode radioactif est souvent utilisé pour les scintigraphies thyroïdiennes ou les imageries de la thyroïde. Après ingestion ou injection, il s'accumule préférentiellement dans la glande thyroïde. Ensuite, une caméra à scintillation détecte les émissions de rayons gamma pour produire des images de la glande, aidant ainsi à identifier d'éventuelles anomalies telles que des nodules ou un goitre.

En thérapie, l'iode 131 est utilisé dans le traitement du cancer de la thyroïde. Il fonctionne en détruisant les cellules cancéreuses de la glande thyroïde qui absorbent l'iode. Cependant, ce traitement peut également affecter les tissus sains de la glande thyroïde, entraînant des effets secondaires tels qu'une hypothyroïdie.

D'autres radio-isotopes d'iode moins couramment utilisés comprennent l'iode 123 (123I) et l'iode 125 (125I). L'iode 123 est un émetteur de rayons gamma pur, ce qui le rend idéal pour les études thyroïdiennes à faible dose de radiation. L'iode 125, quant à lui, émet des rayons gamma de basse énergie et a une demi-vie plus longue, ce qui en fait un choix approprié pour certaines applications en médecine nucléaire telles que la thérapie interne vectorisée.

Les tumeurs de l'hypophyse sont des growths anormaux qui se développent dans la glande pituitaire, une petite glande endocrine située à la base du cerveau. La plupart des tumeurs de l'hypophyse sont bénignes (non cancéreuses) et sont appelées adénomes hypophysaires.

Les adénomes hypophysaires peuvent varier en taille, allant de petits à grands, et peuvent produire des hormones supplémentaires qui peuvent affecter les niveaux d'hormones dans le corps. Les symptômes associés aux tumeurs de l'hypophyse dépendent du type de tumeur, de sa taille et de la quantité d'hormones qu'elle produit.

Les types courants de tumeurs de l'hypophyse comprennent :

* Adénomes non sécrétants : Ces tumeurs ne produisent pas d'hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en raison de leur taille, qui peut comprimer les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Adénomes sécrétants : Ces tumeurs produisent des hormones supplémentaires et peuvent causer des symptômes en fonction du type d'hormone qu'elles produisent. Par exemple, les adénomes producteurs de prolactine peuvent entraîner une production excessive de lait maternel chez les femmes et une baisse de la libido chez les hommes et les femmes. Les adénomes producteurs d'hormone de croissance peuvent entraîner une acromégalie, caractérisée par une augmentation de la taille des mains, des pieds et du visage.
* Tumeurs hypophysaires invasives : Ces tumeurs se développent rapidement et peuvent envahir les structures voisines du cerveau. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision.
* Craniopharyngiomes : Ce sont des tumeurs bénignes qui se développent à partir des restes embryonnaires situés près de la glande pituitaire. Les symptômes peuvent inclure des maux de tête, une vision floue ou une perte de vision, ainsi qu'une prise de poids et une fatigue excessive.

Le traitement dépend du type et de la taille de la tumeur, ainsi que de l'âge et de l'état général du patient. Les options de traitement peuvent inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses ou une thérapie médicamenteuse pour contrôler la production d'hormones. Dans certains cas, une combinaison de traitements peut être recommandée.

Un goitre nodulaire est un type de goitre (une augmentation de la taille de la glande thyroïde) dans lequel des nodules, ou des gonflements anormaux, se forment sur la glande. Ces nodules peuvent être solides ou remplis de liquide et peuvent varier en taille. Dans certains cas, un goitre nodulaire peut contenir un seul nodule (goitre nodulaire unique), tandis que dans d'autres, il peut y avoir plusieurs nodules (goitre multinodulaire).

La plupart des goitres nodulaires sont bénins et ne causent pas de symptômes graves. Cependant, certains nodules peuvent être cancéreux. Les facteurs de risque de cancer thyroïdien dans un goitre nodulaire comprennent l'âge avancé, le sexe masculin, l'exposition aux radiations et une histoire familiale de cancer thyroïdien.

Les symptômes d'un goitre nodulaire peuvent inclure une bosse ou une masse visible dans le cou, des difficultés à avaler ou à respirer, une voix rauque ou enrouée, et des douleurs dans le cou. Dans certains cas, un goitre nodulaire peut également entraîner une hyperthyroïdie (une production excessive d'hormones thyroïdiennes) ou une hypothyroïdie (une production insuffisante d'hormones thyroïdiennes).

Le diagnostic d'un goitre nodulaire est généralement posé à l'aide d'une combinaison de tests, y compris une palpation de la glande thyroïde, une échographie thyroïdienne, une scintigraphie thyroïdienne et une biopsie à l'aiguille fine. Le traitement dépend de la taille et de la nature des nodules, ainsi que de la présence ou non d'une hyperthyroïdie ou d'une hypothyroïdie. Les options de traitement peuvent inclure une surveillance attentive, une thérapie médicamenteuse, une ablation chirurgicale de tout ou partie de la glande thyroïde, ou une combinaison de ces approches.

Thiamazole, également connu sous le nom de méthimazole, est un médicament antithyroïdien couramment utilisé pour traiter l'hyperthyroïdie, une condition dans laquelle la glande thyroïde produit trop d'hormones thyroïdiennes. Le thiamazole fonctionne en inhibant la production d'hormones thyroïdiennes dans la glande thyroïde. Il est disponible sous forme de comprimés et est généralement prescrit pour une utilisation à long terme. Les effets secondaires courants du thiamazole peuvent inclure des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des éruptions cutanées et des maux de tête. Dans de rares cas, il peut provoquer une réaction allergique grave ou affecter le nombre de cellules sanguines dans l'organisme. Il est important de suivre attentivement les instructions posologiques et de consulter régulièrement un médecin pour surveiller la fonction thyroïdienne et les effets secondaires pendant le traitement par thiamazole.

L'iodure de potassium est un composé chimique qui contient du potassium et de l'iode. Il est souvent utilisé en médecine comme supplément d'iode pour prévenir ou traiter les carences en iode. L'iode est un nutriment essentiel nécessaire à la production des hormones thyroïdiennes dans le corps. Une carence en iode peut entraîner une augmentation de la taille de la glande thyroïde (goitre) et divers autres problèmes de santé, tels que des troubles mentaux et de croissance chez les enfants.

L'iodure de potassium est également utilisé comme médicament pour traiter certaines overdoses de composés radioactifs de l'iode, tels que ceux qui peuvent survenir après un accident nucléaire ou une exposition à des sources radioactives. Il fonctionne en remplaçant l'iode radioactif dans la glande thyroïde par de l'iode non radioactif, réduisant ainsi l'exposition aux radiations.

En plus de ses utilisations médicales, l'iodure de potassium est également utilisé dans l'industrie alimentaire comme conservateur et agent de blanchiment, et dans la photographie comme agent de développement des films.

La thyroïdectomie est une procédure chirurgicale où tout ou partie de la glande thyroïde est retirée. Cette intervention peut être réalisée pour diverses raisons, y compris le traitement du cancer de la thyroïde, des nodules thyroïdiens volumineux ou compliqués, de l'hyperthyroïdie sévère qui ne répond pas aux autres traitements, ou de goitres qui causent des problèmes respiratoires ou déglutition. Après la thyroïdectomie, le patient devra généralement prendre des hormones thyroïdiennes sous forme de médicaments pour remplacer les hormones que sa glande thyroïde ne peut plus produire.

Le facteur de transcription Pit-1, également connu sous le nom de POU1F1 (acide aminé précurseur de l'unité 1 de type POU), est une protéine qui joue un rôle crucial dans la régulation de l'expression des gènes associés à la croissance et au développement de certaines structures de l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau.

Pit-1 est un facteur de transcription spécifique qui se lie à l'ADN et active ou réprime la transcription des gènes cibles en régulant la machinerie moléculaire nécessaire à la synthèse des protéines. Il appartient à la famille des facteurs de transcription POU, qui sont caractérisés par une région de liaison à l'ADN conservée appelée domaine POU.

Dans le contexte de l'hypophyse, Pit-1 est essentiel pour la différenciation et la fonction des cellules somatotrophes, qui sécrètent l'hormone de croissance (GH), des cellules lactotropes, qui produisent la prolactine (PRL), et des cellules thyrotropes, qui synthétisent la thyréostimuline (TSH). Des mutations dans le gène Pit-1 peuvent entraîner des troubles de la croissance et du développement, tels que le nanisme sévère et l'insuffisance hypophysaire combinée.

L'hormone de croissance, également connue sous le nom de somatotropine, est une hormone peptidique sécrétée par les cellules somatotropes de l'antéhypophyse (une glande endocrine située à la base du cerveau). Elle joue un rôle crucial dans la croissance et le développement des organismes vivants, en particulier pendant l'enfance et l'adolescence.

L'hormone de croissance stimule la production d'autres hormones et protéines importantes, telles que l'insuline-like growth factor-1 (IGF-1), qui favorisent la croissance des tissus corporels, y compris les os, les muscles et les organes internes. Elle régule également le métabolisme des glucides, des lipides et des protéines, influençant ainsi l'utilisation de l'énergie par l'organisme.

Un déficit en hormone de croissance peut entraîner un retard de croissance et un développement insuffisant chez les enfants, tandis qu'un excès d'hormone de croissance peut provoquer une croissance excessive (acromégalie) chez les adultes. Des niveaux anormaux d'hormone de croissance peuvent également être associés à d'autres problèmes de santé, tels que le diabète, l'obésité et certaines maladies cardiovasculaires.

La thyroïdite est un terme général utilisé pour décrire l'inflammation de la glande thyroïde. Il existe plusieurs types de thyroïdites, chacune ayant des causes et des caractéristiques différentes. Certains types peuvent provoquer une hyperthyroïdie (activité excessive de la glande thyroïde), tandis que d'autres peuvent entraîner une hypothyroïdie (activité insuffisante de la glande thyroïde). Dans certains cas, une thyroïdite peut évoluer vers une hypothyroïdie permanente. Les symptômes peuvent inclure une douleur ou une sensibilité au niveau de la glande thyroïde, une fatigue, des changements de poids, des modifications du rythme cardiaque et des menstruations irrégulières. Le diagnostic est généralement posé sur la base d'une combinaison d'antécédents médicaux, d'examen physique, d'analyses de sang et d'imagerie médicale.

L'adénylate cyclase est une enzyme membranaire qui joue un rôle clé dans la conversion de l'ATP (adénosine triphosphate) en AMPc (adénosine monophosphate cyclique). Ce processus est important dans la signalisation cellulaire et la régulation de diverses fonctions cellulaires, telles que la contraction musculaire, la sécrétion d'hormones et la transmission neuronale.

L'adénylate cyclase est activée par des stimuli extracellulaires tels que les hormones, les neurotransmetteurs et les facteurs de croissance, qui se lient à des récepteurs spécifiques sur la membrane cellulaire. Cette liaison déclenche une cascade de réactions chimiques qui aboutit à l'activation de l'adénylate cyclase et à la production d'AMPc.

L'AMPc, à son tour, agit comme un second messager intracellulaire pour réguler divers processus cellulaires, tels que l'activation de protéines kinases, l'ouverture de canaux ioniques et la modulation de la transcription génique.

Il existe plusieurs isoformes d'adénylate cyclase qui sont exprimées dans différents types de cellules et qui sont régulées par des mécanismes moléculaires spécifiques. Des anomalies dans l'activité de l'adénylate cyclase ont été associées à diverses maladies, telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète et les troubles neuropsychiatriques.

Le syndrome euthyroïdien est un terme utilisé en médecine pour décrire un état où les taux d'hormones thyroïdiennes (T3 et T4) et de thyréostimuline (TSH) sont dans les limites normales, mais il y a quand même des signes et symptômes suggestifs d'une fonction thyroïdienne anormale. Ce syndrome est souvent observé dans certaines conditions médicales, telles que la maladie de Basedow en rémission, après le traitement de l'hypothyroïdie ou de l'hyperthyroïdie, et dans certains états inflammatoires ou maladies chroniques. Les patients atteints du syndrome euthyroïdien peuvent présenter des symptômes tels qu'une fatigue, une prise de poids, une intolérance au froid, une constipation, une sécheresse cutanée et des cheveux, une faiblesse musculaire, une dépression ou un ralentissement cognitif, qui sont généralement associés à l'hypothyroïdie. Cependant, comme les tests de laboratoire sont normaux, le diagnostic peut être difficile et nécessiter une évaluation clinique approfondie.

Le terme "bovins" fait référence à un groupe d'espèces de grands mammifères ruminants qui sont principalement élevés pour leur viande, leur lait et leur cuir. Les bovins comprennent les vaches, les taureaux, les buffles et les bisons.

Les bovins sont membres de la famille Bovidae et de la sous-famille Bovinae. Ils sont caractérisés par leurs corps robustes, leur tête large avec des cornes qui poussent à partir du front, et leur système digestif complexe qui leur permet de digérer une grande variété de plantes.

Les bovins sont souvent utilisés dans l'agriculture pour la production de produits laitiers, de viande et de cuir. Ils sont également importants dans certaines cultures pour leur valeur symbolique et religieuse. Les bovins peuvent être élevés en extérieur dans des pâturages ou en intérieur dans des étables, selon le système d'élevage pratiqué.

Il est important de noter que les soins appropriés doivent être prodigués aux bovins pour assurer leur bien-être et leur santé. Cela comprend la fourniture d'une alimentation adéquate, d'un abri, de soins vétérinaires et d'une manipulation respectueuse.

En termes médicaux, l'orbite se réfère à la cavité osseuse dans le crâne qui abrite et protège l'œil ainsi que les structures associées. C'est essentiellement un socket composé de plusieurs os, y compris le frontal, sphenoid, zygomatique (os malaire), et maxillaire supérieur.

L'orbite contient non seulement l'œil mais aussi les muscles qui contrôlent ses mouvements (les muscles extraoculaires), les nerfs crâniens qui fournissent l'innervation sensorielle et motrice, des vaisseaux sanguins, la glande lacrymale pour la production de larmes, et le canal nasolacrimal par où les larmes s'écoulent.

Des affections telles que les fractures, les tumeurs, les infections ou l'inflammation peuvent affecter l'orbite, pouvant entraîner une variété de symptômes allant d'une simple douleur à des problèmes visuels graves.

L'acide iopanoïque est un agent de contraste utilisé dans les procédures de radiographie pour améliorer la visibilité des structures internes du corps. Il s'agit d'un composé organique iodé qui, une fois ingéré ou injecté, se distribue dans le plasma sanguin et est éliminé par les reins dans l'urine.

Lorsqu'il est exposé aux rayons X, l'acide iopanoïque absorbe les rayonnements et apparaît opaque sur les images radiographiques, ce qui permet de distinguer clairement les organes et les tissus où il s'est accumulé. Cette propriété en fait un outil précieux pour le diagnostic de diverses affections médicales, telles que les maladies du foie, des voies biliaires, du pancréas et des reins.

Cependant, l'utilisation de l'acide iopanoïque n'est pas dénuée de risques. Comme d'autres agents de contraste iodés, il peut provoquer des réactions allergiques chez certaines personnes, allant de symptômes légers tels que des rougeurs et des démangeaisons cutanées à des réactions plus graves telles que des difficultés respiratoires ou une chute de la pression artérielle. Dans de rares cas, il peut également entraîner une insuffisance rénale aiguë, en particulier chez les personnes atteintes d'une fonction rénale préexistante réduite.

En raison de ces risques potentiels, l'utilisation de l'acide iopanoïque est généralement réservée aux situations où les bénéfices diagnostiques l'emportent sur les risques pour le patient. Les professionnels de la santé doivent évaluer attentivement les antécédents médicaux et les facteurs de risque du patient avant de prescrire cet agent de contraste et surveiller étroitement leur état pendant et après l'administration.

Je suis désolé, mais il semble y avoir une certaine confusion dans votre demande. Le terme "Papier" ne fait pas partie des définitions médicales. Il se réfère simplement au matériau fabriqué à partir de fibres de cellulose, utilisé pour écrire, imprimer ou dessiner. Si vous cherchez une information médicale, pouvez-vous s'il vous plaît me fournir plus de détails ou clarifier votre question? Je suis là pour aider.

Les récepteurs aux antigènes des cellules B, également connus sous le nom de récepteurs d'immunoglobuline (Ig) ou récepteurs B-cellulaire spécifiques d'antigène, sont des molécules de surface exprimées par les lymphocytes B qui leur permettent de reconnaître et de se lier sélectivement aux antigènes. Ces récepteurs sont composés de chaînes polypeptidiques lourdes et légères, qui forment une structure en forme de Y avec deux bras d'immunoglobuline variable (IgV) et un bras constant. Les régions variables des chaînes lourdes et légères contiennent des sites de liaison à l'antigène hautement spécifiques, qui sont générés par un processus de recombinaison somatique au cours du développement des cellules B dans la moelle osseuse. Une fois activées par la reconnaissance d'un antigène approprié, les cellules B peuvent se différencier en plasmocytes et produire des anticorps solubles qui maintiennent l'immunité humorale contre les agents pathogènes et autres substances étrangères.

L'hypopituitarisme est un trouble endocrinien caractérisé par la production insuffisante d'une ou plusieurs hormones hypophysaires. La glande pituitaire, également appelée hypophyse, est une petite glande située à la base du cerveau qui régule plusieurs autres glandes endocrines dans le corps en libérant des hormones spécifiques.

Les types d'hormones hypophysaires affectées peuvent inclure :

1. Hormone de croissance (GH)
2. Thyrotropine ou TSH (Thyroid-stimulating hormone)
3. Adrénocorticotrope ou ACTH (Adrenocorticotropic hormone)
4. Prolactine (PRL)
5. Follicle-stimulating hormone (FSH) et Luteinizing hormone (LH), qui régulent la fonction reproductive
6. Melanocyte-stimulating hormone (MSH)

Les causes de l'hypopituitarisme peuvent être congénitales ou acquises. Les causes congénitales comprennent des anomalies chromosomiques, des malformations congénitales et des mutations génétiques. Les causes acquises peuvent inclure des tumeurs hypophysaires, des traumatismes crâniens, des infections, des accidents vasculaires cérébraux, des interventions chirurgicales ou des radiothérapies au cerveau, ainsi que certaines maladies systémiques telles que la maladie de Sheehan et l'histiocytose.

Les symptômes de l'hypopituitarisme dépendent du type d'hormone hypophysaire touchée et peuvent inclure une petite taille, une fatigue extrême, une faiblesse musculaire, une sensibilité au froid, une perte de poids ou une prise de poids, des menstruations irrégulières ou l'absence de menstruation chez les femmes, une diminution de la libido et une dysfonction érectile chez les hommes, un assèchement de la peau, une perte de cheveux, une vision floue et des maux de tête.

Le diagnostic de l'hypopituitarisme repose sur l'évaluation clinique, les tests hormonaux et l'imagerie médicale. Le traitement dépend de la cause sous-jacente et vise à remplacer les hormones manquantes ou insuffisantes par des médicaments appropriés. Dans certains cas, une intervention chirurgicale ou une radiothérapie peuvent être nécessaires pour traiter la cause sous-jacente de l'hypopituitarisme.

L'iodure de sodium est un sel inorganique composé d'ions sodium (Na+) et d'iodure (I-). Il est souvent utilisé en médecine et en industrie. Dans le domaine médical, il est fréquemment prescrit comme supplément d'iode pour prévenir ou traiter les carences en iode. L'iode est un élément essentiel à la production d'hormones thyroïdiennes dans le corps. Une carence en iode peut entraîner une augmentation de la taille de la glande thyroïde (goitre) et divers autres problèmes de santé, y compris des troubles cognitifs et physiques, en particulier chez les nourrissons et les jeunes enfants.

L'iodure de sodium est également utilisé comme désinfectant et antiseptique topique pour traiter les brûlures et les plaies cutanées. Il peut aider à prévenir l'infection et à favoriser la guérison en réduisant la croissance bactérienne dans les zones touchées.

Il est important de noter que l'utilisation de l'iodure de sodium doit être supervisée par un professionnel de la santé, car une consommation excessive peut entraîner des effets indésirables tels qu'une thyroïde hyperactive (hyperthyroïdie), des nausées, une éruption cutanée et d'autres problèmes de santé.

L'exploration fonctionnelle hypophysaire est un ensemble de tests diagnostiques utilisés pour évaluer la fonction et la sécrétion hormonale de l'hypophyse, une glande endocrine située à la base du cerveau. Ces tests permettent de détecter d'éventuels dysfonctionnements ou maladies affectant l'hypophyse et les glandes qui en dépendent, telles que la thyroïde, les surrénales, les ovaires et les testicules.

Les tests peuvent inclure :

1. Tests de stimulation : Ils consistent à administrer des substances spécifiques pour stimuler la sécrétion hormonale de l'hypophyse et mesurer la réponse des glandes cibles. Par exemple, le test de stimulation à la CRH (corticotrophin-releasing hormone) permet d'évaluer la fonction de l'axe hypothalamo-hypophysaire corticosurrénalien.
2. Tests de suppression : Ces tests consistent à inhiber la sécrétion hormonale pour évaluer la capacité de l'hypophyse à répondre correctement aux stimuli. Par exemple, le test de suppression à la dexaméthasone permet d'identifier un dysfonctionnement de l'axe hypothalamo-hypophysaire corticosurrénalien.
3. Mesure des taux hormonaux : Les taux sanguins de certaines hormones, telles que la prolactine, la TSH (thyroid-stimulating hormone), l'ACTH (adrenocorticotropic hormone), la FSH (follicle-stimulating hormone), la LH (luteinizing hormone) et la GH (growth hormone), sont mesurés pour évaluer la fonction hypophysaire.
4. Imagerie médicale : L'IRM (imagerie par résonance magnétique) ou le scanner peuvent être utilisés pour visualiser la structure de l'hypophyse et détecter d'éventuelles anomalies, telles que des adénomes hypophysaires.

Les résultats de ces tests permettent au médecin de poser un diagnostic et de proposer un traitement adapté en cas de dysfonctionnement hypophysaire.

Je suis désolé, mais le terme "microchimie" ne semble pas avoir une définition médicale établie. Le terme "microchimie" est généralement utilisé dans le contexte de l'analyse chimique à petite échelle, comme dans l'étude des composants chimiques d'un échantillon à un niveau microscopique. Il peut être utilisé en médecine légale pour analyser les preuves, ou en biologie et en médecine pour étudier les processus biochimiques au niveau cellulaire. Cependant, il n'y a pas de définition médicale spécifique associée à ce terme.

La dibutyryl adénosine monophosphate cyclique (db-cAMP) est une forme stable et liposoluble de l'adénosine monophosphate cyclique (cAMP), un important second messager intracellulaire dans les cellules vivantes. Le cAMP joue un rôle crucial dans la transduction des signaux, régulant divers processus physiologiques tels que le métabolisme, l'excitabilité cellulaire et la prolifération cellulaire.

La db-cAMP est synthétisée en laboratoire en traitant l'AMP avec de l'anhydride butyrique, ce qui entraîne l'esterification des groupes hydroxyles de l'AMP par des chaînes butyryle. Cette modification rend le cAMP plus lipophile, permettant ainsi une meilleure pénétration cellulaire et une durée d'action prolongée par rapport au cAMP non modifié.

Dans un contexte médical et biologique, la db-cAMP est souvent utilisée dans les expériences de recherche pour étudier les effets du cAMP sur divers types de cellules et processus physiologiques. Cependant, il n'est pas couramment utilisé comme traitement thérapeutique chez l'homme en raison des risques potentiels d'effets indésirables systémiques associés à la manipulation du cAMP dans tout l'organisme.

La thyroïdite subaiguë, également connue sous le nom de thyroïdite de De Quervain, est une forme d'inflammation de la glande thyroïde. Elle est généralement causée par une infection virale et se caractérise par une douleur et une sensibilité de la région de la thyroïde, ainsi que par une augmentation de la taille de la glande. La thyroïdite subaiguë peut également entraîner une production excessive d'hormones thyroïdiennes (hyperthyroïdie) suivie d'une période d'hypothyroïdie, au cours de laquelle la glande thyroïde ne produit pas suffisamment d'hormones. Ces phases peuvent entraîner des symptômes tels qu'une fatigue accrue, une prise de poids, une sensibilité au froid, une sécheresse de la peau et des cheveux, ainsi que des troubles de l'humeur. Dans la plupart des cas, la thyroïdite subaiguë se résout spontanément en quelques mois, mais dans certains cas, un traitement médicamenteux peut être nécessaire pour gérer les symptômes.

La membrane cellulaire, également appelée membrane plasmique ou membrane cytoplasmique, est une fine bicouche lipidique qui entoure les cellules. Elle joue un rôle crucial dans la protection de l'intégrité structurelle et fonctionnelle de la cellule en régulant la circulation des substances à travers elle. La membrane cellulaire est sélectivement perméable, ce qui signifie qu'elle permet le passage de certaines molécules tout en empêchant celui d'autres.

Elle est composée principalement de phospholipides, de cholestérol et de protéines. Les phospholipides forment la structure de base de la membrane, s'organisant en une bicouche où les têtes polaires hydrophiles sont orientées vers l'extérieur (vers l'eau) et les queues hydrophobes vers l'intérieur. Le cholestérol aide à maintenir la fluidité de la membrane dans différentes conditions thermiques. Les protéines membranaires peuvent être intégrées dans la bicouche ou associées à sa surface, jouant divers rôles tels que le transport des molécules, l'adhésion cellulaire, la reconnaissance et la signalisation cellulaires.

La membrane cellulaire est donc un élément clé dans les processus vitaux de la cellule, assurant l'équilibre osmotique, participant aux réactions enzymatiques, facilitant la communication intercellulaire et protégeant contre les agents pathogènes.

En médecine et en pharmacologie, la cinétique fait référence à l'étude des changements quantitatifs dans la concentration d'une substance (comme un médicament) dans le corps au fil du temps. Cela inclut les processus d'absorption, de distribution, de métabolisme et d'excrétion de cette substance.

1. Absorption: Il s'agit du processus par lequel une substance est prise par l'organisme, généralement à travers la muqueuse gastro-intestinale après ingestion orale.

2. Distribution: C'est le processus par lequel une substance se déplace dans différents tissus et fluides corporels.

3. Métabolisme: Il s'agit du processus par lequel l'organisme décompose ou modifie la substance, souvent pour la rendre plus facile à éliminer. Ce processus peut également activer ou désactiver certains médicaments.

4. Excrétion: C'est le processus d'élimination de la substance du corps, généralement par les reins dans l'urine, mais aussi par les poumons, la peau et les intestins.

La cinétique est utilisée pour prédire comment une dose unique ou répétée d'un médicament affectera le patient, ce qui aide à déterminer la posologie appropriée et le schéma posologique.

Je suis désolé, mais la requête « Cellules Cho » ne correspond à aucun terme médical reconnu. Il est possible que vous ayez fait une faute d'orthographe ou utilisé un raccourci ou un langage SMS qui n'est pas compris dans ce contexte.

Si vous cherchez des informations sur les cellules souches, également appelées « cellules staminales » en français, je peux vous fournir une définition :

Les cellules souches sont des cellules indifférenciées qui ont la capacité de se diviser et de renouveler sans limite certaines populations cellulaires. Elles peuvent également donner naissance à des cellules spécialisées (différenciation) en fonction des besoins de l'organisme. On distingue deux types de cellules souches : les cellules souches embryonnaires, présentes dans l'embryon aux premiers stades de développement, et les cellules souches adultes, que l'on trouve chez l'adulte dans certains tissus (moelle osseuse, peau, etc.). Les cellules souches sont étudiées en médecine régénérative pour leurs potentialités thérapeutiques.

Si cela ne correspond pas à votre recherche initiale, pouvez-vous svp fournir plus de détails ou vérifier l'orthographe du terme que vous cherchez ? Je suis là pour vous aider.

La gonadotrophine chorionique (hCG) est une hormone glycoprotéique produite pendant la grossesse. Elle est sécrétée par le trophoblaste, qui est une cellule du placenta. L'hormone hCG joue un rôle crucial dans la maintenance de la grossesse en stimulant la production des hormones stéroïdes sexuelles dans le corps jaune des ovaires, ce qui permet de soutenir la croissance et le développement du fœtus.

L'hormone hCG peut être détectée dans l'urine ou le sang dès environ 10 jours après la conception, ce qui en fait un marqueur utile pour le diagnostic de grossesse précoce. Les tests de grossesse à domicile fonctionnent en détectant la présence d'hCG dans l'urine, tandis que les tests sanguins peuvent mesurer avec précision la quantité d'hCG dans le sang.

En plus de son rôle dans la grossesse, l'hormone hCG est également utilisée en médecine pour diagnostiquer et traiter certaines conditions médicales. Par exemple, les taux élevés d'hCG peuvent indiquer une grossesse multiple ou une tumeur germinale maligne, tandis que des injections d'hCG sont parfois utilisées pour stimuler la production de spermatozoïdes ou d'ovules dans le cadre d'un traitement de fertilité.

En médecine et en laboratoire, une valeur de référence, également appelée valeur normale ou plage de référence, est la concentration ou la mesure d'une substance ou d'un paramètre dans un échantillon de population saine et en bonne santé. Il est utilisé comme point de comparaison pour interpréter les résultats des tests de laboratoire chez les patients.

Les valeurs de référence sont généralement exprimées sous la forme d'une plage, indiquant une fourchette acceptable de valeurs pour un paramètre spécifique. Ces plages sont déterminées par des études statistiques sur des échantillons représentatifs de populations saines.

Il est important de noter que les valeurs de référence peuvent varier en fonction de plusieurs facteurs, tels que l'âge, le sexe, la race, la grossesse et d'autres conditions médicales préexistantes. Par conséquent, il est essentiel de tenir compte de ces facteurs lors de l'interprétation des résultats des tests de laboratoire par rapport aux valeurs de référence.

Si les résultats d'un test de laboratoire sont en dehors de la plage de référence, cela peut indiquer une anomalie ou une condition médicale sous-jacente qui nécessite une évaluation et un traitement supplémentaires. Cependant, il est également possible que des résultats faussement positifs ou négatifs se produisent en raison de facteurs techniques ou pré-analytiques, tels que des erreurs de prélèvement d'échantillons ou une mauvaise conservation. Par conséquent, les résultats doivent être interprétés avec prudence et en consultation avec un professionnel de la santé qualifié.

L'ablation est un terme médical qui décrit le processus de enlever ou de détruire des tissus corporels. Il existe différentes techniques d'ablation, chacune ayant ses propres indications et risques.

Voici quelques-unes des techniques d'ablation les plus courantes :

1. Ablation par radiofréquence (ARF) : Cette technique utilise l'énergie des ondes radio pour produire de la chaleur et détruire les tissus anormaux. Elle est souvent utilisée pour traiter les lésions cardiaques, l'arthrite et le cancer.
2. Cryoablation : Cette technique utilise le froid extrême pour détruire les tissus anormaux. Elle est souvent utilisée pour traiter le cancer de la prostate, du sein et du foie.
3. Ablation par laser : Cette technique utilise un faisceau de lumière concentré pour produire de la chaleur et détruire les tissus anormaux. Elle est souvent utilisée pour traiter le cancer de la peau, des voies respiratoires et du foie.
4. Électrochirurgie : Cette technique utilise un courant électrique à haute fréquence pour couper ou coaguler les tissus. Elle est souvent utilisée pendant les chirurgies pour arrêter les saignements et enlever les tissus anormaux.
5. Ablation par ultrasons : Cette technique utilise des ondes sonores à haute fréquence pour produire de la chaleur et détruire les tissus anormaux. Elle est souvent utilisée pour traiter le cancer du foie, des reins et des os.
6. Chimiablation : Cette technique utilise des médicaments anticancéreux pour détruire les tissus cancéreux. Elle est souvent utilisée en combinaison avec d'autres techniques d'ablation pour traiter le cancer.

Chacune de ces techniques a ses avantages et ses inconvénients, et le choix de la méthode dépendra de plusieurs facteurs, tels que la localisation et l'étendue de la maladie, les antécédents médicaux du patient, sa condition physique générale et ses préférences personnelles. Il est important de discuter avec son médecin pour déterminer la meilleure option de traitement.

L'hormone lutéinisante (LH) est une hormone pituitaire glycoprotéique qui joue un rôle crucial dans la régulation du système reproducteur chez les mammifères. Chez les femmes, juste avant l'ovulation, il y a une forte augmentation de la LH connue sous le nom de pic de LH. Cela déclenche la libération d'un ovule mature par l'ovaire, un processus appelé ovulation.

Dans le corps masculin, la LH stimule les cellules interstitielles dans les testicules pour produire et sécréter de la testostérone, une hormone androgène essentielle au développement des caractères sexuels secondaires mâles.

La production et la libération de LH sont contrôlées par l'hypothalamus via l'hormone de libération de gonadotrophine (GnRH). Des niveaux élevés d'œstrogènes ou de testostérone dans le sang inhibent la production de GnRH, ce qui entraîne une diminution de la sécrétion de LH. Cela fait partie d'un système de rétroaction négative qui aide à réguler les niveaux hormonaux dans l'organisme.

Je suis désolé, "chiens" est un terme général qui fait référence à une espèce spécifique d'animaux domestiques et non à une condition ou à un état médical. Les chiens (Canis lupus familiaris) sont des mammifères carnivores de la famille des Canidae. Ils sont souvent considérés comme les plus anciens animaux domestiqués par l'homme, depuis probablement 20 000 à 40 000 ans. Les chiens existent en plusieurs races, tailles et formes, avec des variations significatives dans leur apparence, leur tempérament et leurs capacités. Ils sont souvent élevés comme animaux de compagnie en raison de leur loyauté, de leur intelligence et de leur capacité à être formés.

Si vous cherchez une définition médicale ou des informations sur un sujet spécifique, veuillez me fournir plus de détails afin que je puisse vous aider au mieux.

Les récepteurs de la gonadolibérine, également connus sous le nom de récepteurs de la gonadotrophine releasing hormone (GnRH), sont des protéines membranaires qui se trouvent à la surface des cellules hypothalamiques dans le cerveau. Ils jouent un rôle crucial dans la régulation de la reproduction et du développement sexuel en se liant à la gonadolibérine, une hormone peptidique libérée par l'hypothalamus.

La liaison de la gonadolibérine à son récepteur déclenche une cascade de réactions biochimiques qui aboutissent à la libération de deux hormones pituitaires importantes : la follicle-stimulating hormone (FSH) et la luteinizing hormone (LH). Ces hormones agissent ensuite sur les gonades (ovaires chez les femmes et testicules chez les hommes) pour stimuler la production d'hormones sexuelles et la spermatogenèse ou l'ovulation.

Les récepteurs de la gonadolibérine sont des cibles importantes pour le développement de médicaments utilisés dans le traitement de divers troubles endocriniens et reproductifs, tels que le cancer de la prostate, l'infertilité et les troubles menstruels.

Les données de séquence moléculaire se réfèrent aux informations génétiques ou protéomiques qui décrivent l'ordre des unités constitutives d'une molécule biologique spécifique. Dans le contexte de la génétique, cela peut inclure les séquences d'ADN ou d'ARN, qui sont composées d'une série de nucléotides (adénine, thymine, guanine et cytosine pour l'ADN; adénine, uracile, guanine et cytosine pour l'ARN). Dans le contexte de la protéomique, cela peut inclure la séquence d'acides aminés qui composent une protéine.

Ces données sont cruciales dans divers domaines de la recherche biologique et médicale, y compris la génétique, la biologie moléculaire, la médecine personnalisée, la pharmacologie et la pathologie. Elles peuvent aider à identifier des mutations ou des variations spécifiques qui peuvent être associées à des maladies particulières, à prédire la structure et la fonction des protéines, à développer de nouveaux médicaments ciblés, et à comprendre l'évolution et la diversité biologique.

Les technologies modernes telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS) ont rendu possible l'acquisition rapide et économique de vastes quantités de données de séquence moléculaire, ce qui a révolutionné ces domaines de recherche. Cependant, l'interprétation et l'analyse de ces données restent un défi important, nécessitant des méthodes bioinformatiques sophistiquées et une expertise spécialisée.

L'hyperthyroxinémie est un terme médical qui décrit une concentration anormalement élevée de thyroxine (T4), une hormone thyroïdienne, dans le sang. La thyroxine joue un rôle crucial dans la régulation du métabolisme de l'organisme. Un taux excessif peut accélérer le métabolisme, entraînant une série de symptômes, tels qu'une augmentation du rythme cardiaque, une intolérance à la chaleur, des tremblements, une perte de poids et de l'anxiété. Cette condition peut être causée par diverses affections, y compris les maladies thyroïdiennes telles que l'hyperthyroïdie ou le goitre toxique diffus. Il est important de diagnostiquer et de traiter rapidement une hyperthyroxinémie pour prévenir d'éventuelles complications médicales graves.

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Cet article est une ébauche concernant la Chine, le Tibet et la monarchie. Vous pouvez partager vos connaissances en l'améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. Ngawang Tshülthrim Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (septembre 2018). Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références » En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ? Ngawang Tshülthrim (tibétain : ངག་དབང་ཚུལ་ཁྲིམས, Wylie : ngag dbang tshul khrims ; chinois : 阿旺楚臣) né en 1721 et mort en 1791 est un régent du Tibet sous la tutelle de la Dynastie Qing, il dirige sous le règne de l'Empereur Qianlong, de 1777 à 1786. Il règne également pendant que Jamphel Gyatso porte le titre de ...
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L'aéroport de Lukala (code IATA : TSH • code OACI : FZUK) est un aéroport de la province de Kasaï dans la ville de Tshikapa en ...
TSH), l'hormone adrénocorticotrope (ACTH), la mélano-stimuline (MSH), des endorphines, et d'autres hormones (beta-lipotropine ... les cellules thyrotropes sécrètent la TSH ; les cellules gonadotropes sécrètent la LH et la FSH ; les cellules corticotropes ...
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C'est pour cela que l'on dosera le taux de cortisol dans le sang, la TSH ainsi que la T4l. On peut alors traiter ces déficits ... Cette situation ne s'accompagne d'hyponatrémie que dans les formes sévères, avec une TSH très élevée. Il y a alors une ... Plusieurs lignées pituitaires antérieures sont touchées : ACTH et TSH notamment. Il en découle -entre autres- une hyponatrémie ...
en) Fiche langue[tsh]dans la base de données linguistique Ethnologue. (en) Edward Brye, A rapid appraisal language survey of ... Tsuvan, SIL International, Yaoundé, 2001, 15 p. Langues au Cameroun (en) Fiche langue[tsh]dans la base de données linguistique ...
en) Fiche langue[tsh]dans la base de données linguistique Ethnologue. Dictionnaire des villages du Margui-Wandala, ORSTOM, ...
Il y assura la direction du Département TSH, trois années durant. Il est membre du conseil scientifique de l'Institut des ...
Devant [ts], [tsh], [s] et [z], [i] a un allophone [ɿ]. La voyelle centrale [ə] a un allophone [ɯ] : les consonnes sont : Le ...
... (TSH) est un système des hôpitaux à Toronto. Les hôpitaux sont le Scarborough General Hospital et le ...
... tsh › ou ‹ ts ›. ‹ e › se prononce [ə] dans les syllabes fermées et [ɛ] le reste du temps. ‹ au › est parfois retranscrit ‹ oo ...
... qui régule la sécrétion de TSH et de prolactine. Un troisième groupe de neurones projette hors de l'hypothalamus, dans une ...
... tsh › couramment utilisé y est remplacé par la lettre ‹ c ›. Les lettres ‹ q ›, ‹ r › et ‹ x › ne sont quant à elles utilisés ...
TSH est un sigle qui peut désigner : tsh, un trigramme de lalphabet latin ; TSH (Tableaux synoptiques de lhistoire), un ... Sur les autres projets Wikimedia : tsh, sur le Wiktionnaire Cette page dhomonymie répertorie les différents sujets et articles ...
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Interpr tation r sultats TSH / T3 / T4; Forum de discussion destiné aux patients souffrant de maladies thyroïdiennes et ... TSH : 0.02 (0.38-5.33) T3 : 2.8 (2.5/3.9) Idem que sous cynomel T4 : 12.5 (6.0/11.0) Je suis tr s tonn e que ma TSH sois si ... Interpr tation r sultats TSH / T3 / T4 Sujet: [url=t57224] Interpr tation r sultats TSH / T3 / T4. [/url].. dans le forum: ... Concernant la TSH, quand on a longtemps eu une TSH basse, les cellules de lhypophyse qui le fabriquent se sont atrophi es, et ...
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Fatigue chronique vous poussant à vouloir dormir régulièrement, moral dans les chaussettes, transit ralenti voir même une constipation, troubles des cycles menstruels, tendance à la frilosité…. Vous souffrez peut-être de ce que lon appelle : une hypothyroïdie. La thyroïde est une glande située à lavant de la gorge tout en bas du cou. Elle participe au. ...
TSH ULTRA SENSIBLE. Dépistage dun dysfonctionnement thyroïdien ou suivi thérapeutique. Examen de 1ère intention. ...
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Lessentiel nest pas de gagner, mais de participer ! Jeudi 14 avril 2016 à 20h15, en direct sur France 2, François Hollande a respecté au pied de la lettre la devise de lOlympisme, puisquil a, en effet, participé à lémission Dialogues citoyens !
Huile synthèse TSH 5W30 (C2) 1L Huile synthèse TSC ex TSH 5W40 (C4) 1L ... TSH 5W-30 est destiné à la lubrification des moteurs essence et diesel très. hautes performances équipés ou non de systèmes de ... quantité de Huile synthèse TSH 5W30 (C2) 5L. Ajouter au panier. UGS : MINTSH5W305L Catégorie : Huile moteur automobile ...
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TSH ;. - Parathormone (dans le cadre du domaine dintervention en néphrologie).. -Béta-HCG ...
Hydrac TSH 720Z *Année de construction: 2013 LH Eferding-OÖ.Mitte, Perg ...
50 Go : 1 900 TSh. 200 Go : 6 900 TSh. 2 To : 24 900 TSh. 6 To : 74 900 TSh. 12 To : 149 900 TSh ...
Fausse-couche ou infertilité, faut-il doser les anti-TPO si la TSH est normale ? juin 2019. ... Si la patiente a une TSH normale, la recherche danti-TPO naurait probablement plus sa place y compris chez les patientes avec ... En euthyroïdie (TSH entre 0,44 et 3,63 et T4L entre 10 et 21) ... faut-il doser les anti-TPO si la TSH est normale ? ...
TSH Qualiticien - Lieu du d partement : Landes (40) - Offre consult e 15 fois ...
Grade : TSH de 1 re classe (3 me grade) selon la grille indiciaire de la fonction publique Hospitali re ... TSH de 1 re classe (3 me grade). Grille indiciaire de la fonction publique hospitali re (* NES du personnel technique ... Navigation, vous tes ici : Accueil ➠ Documentation ➠ * NES du personnel technique hospitalier ➠ Liste des corps ➠ TSH de 1 re ...
Ménopause : plus de risques de démence avec le TSH ? Ménopause : une femme sur deux se sent mal informée ...
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La TSH : 0,15 à 5 UI mUI/L ( attention, les mesures diffèrent selon les laboratoires) ...
TSH et dACTH . Ces neurones projettent aussi sur lA.H.L., activant des neurones dont les médiateurs accroissent lappétit : ... TSH (et donc dhormones thyroïdiennes), d ACTH (et donc de glycocorticoides et dandrogènes surrénaliens) ainsi que le système ... TSH - Hormones thyroïdiennes. Jimagine comme plausible, sans savoir même si cela a été exploré, que laxe GnRH - FSH/LH - ...
TSH (thyréostimuline).. 128. Acide urique (urate).. 129. Vitamine B (tous les tests). ...
Surveillance de la TSH et des concentrations sériques de T3 et T4 et adaptation si besoin, de la posologie des hormones ... la posologie est à adapter selon les résultats de la TSH, après environ 6 à 8 semaines de prise à posologie constante. Un ... Le contrôle de la TSH doit être réalisé entre 6 et 8 semaines après le changement, sauf chez les femmes enceintes où les ... Par la suite, la dose devra être ajustée en fonction des résultats cliniques et des taux dhormones thyroïdiennes et de TSH. ...
du taux de thyréostimuline (TSH) doivent être réalisés initialement. puis 1, 3, 6 et 12 semaines après le début du traitement ...
Etude de la polarisation des récepteurs de la FSH de la LH et de la TSH dans les cellules MDCK by Isabelle Beau supervised by ... Genetique du recepteur de la tsh dans la pathologie thyroidienne by Nicolas de Roux supervised by Micheline Misrahi - Paris 11 ... Etude des mécanismes du clivage et du relargage de lectodomaine du récepteur de la TSH by Simon de Bernard supervised by ... Etude des mécanismes de maturation et du trafic intracellulaire du récepteur de la TSH by Mylène Quellari supervised by ...
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Son dépistage seffectue par le dosage de la TSH dans le sang. ... vérifie lefficacité du traitement par un dosage sanguin de TSH ...
Quelqun a déjà eu une oestrogène très basse?? Ma FSH et TSH sont super belles...Jai fait cette prise de sang à J3... ...
Devenir obstétrical des femmes euthyroïdiennes traitées par FIV en fonction de la TSH. Dans le cadre du Congrès En direct de ...
Reference: TSH-NIGHT Date estimee livraison : 13/12/2023 - 18/12/2023 ...
  • C'est ce qu'on appelle un dosage de la TSH. (hypothyroidie.eu)
  • Cas particulier des patients atteints d'hypothyroïdie centrale (insuffisance hypophysaire) : le dosage de la TSH est non contributif et devra être remplacé par le dosage de la T4 libre. (doctissimo.fr)
  • Son dépistage s'effectue par le dosage de la TSH dans le sang. (empruntis.com)
  • Devant une suspicion de nodule thyroïdien, deux examens s'imposent : le dosage de la TSH et l'échographie thyroïdienne. (lequotidiendumedecin.fr)
  • C'est ce qui explique que le dosage sanguin de la TSH (thyréostimuline), l'hormone contrôle la production d'hormones par la thyroïde, reste normal dans la plupart des cas. (santemagazine.fr)
  • Le dosage de la TSH est devenu le premier examen hormonal prescrit en France en raison de la fréquence de l'hypothyroïdie dans la population générale et des symptômes cliniques qui peuvent être très variés. (medscape.com)
  • Par exemple, on a régulièrement en consultation des femmes qui demandent un dosage de TSH après une prise de poids, car elles sont persuadées qu'il s'agit d'une conséquence d'une hypothyroidie. (medscape.com)
  • consulter votre médecin pour faire un bilan thyroïdien, dont un dosage de la TSH . (topsante.com)
  • La TSH peut effectivement se trouver légèrement élevée, mais il peut s'agir tout simplement d'une conséquence de la prise de poids et non l'inverse. (medscape.com)
  • Il faut savoir que la TSH peut s'élever très facilement dans de nombreuses situations : une prise de poids rapide, une infection virale ou bactérienne, un stress, important, une hospitalisation, une intervention chirurgicale…Il s'agit d'une adaptation de la fonction thyroïdienne et non pas d'une anomalie de la fonction thyroïdienne. (medscape.com)
  • Elle rappelle que ces déséquilibres thyroïdiens doivent faire l'objet d'une adaptation de la posologie qui permettent constater une normalisation de la TSH et que tout ceci avait fait l'objet d'une note d'information publiée sur son site ainsi que d'un courrier envoyé aux médecins prescripteurs. (caducee.net)
  • On y mesure le taux d'une substance appelée TSH. (familiprix.com)
  • Ce n'est pas le taux de TSH (qui intervient dans la définition d'une hyper ou hypothyroïdie) mais c'est le taux de T4 élevé qui est corrélé au risque de FA. (medscape.com)
  • Si la patiente a une TSH normale, la recherche d'anti-TPO n'aurait probablement plus sa place y compris chez les patientes avec une infertilité ou des antécédents de fausses-couches, même à répétition. (gyneco-online.com)
  • Si la TSH est haute ou normale, il peut s'agir d'un cancer. (lequotidiendumedecin.fr)
  • 173 cas atypiques avec des symptômes d'hyper ou d'hypothyroïdie mais une TSH normale ont également été caractérisés. (caducee.net)
  • Il convient d'envisager ici une dose inférieure à celle requise pour un remplacement complet et qui ne suffit pas à rétablir complètement la valeur normale de la TSH. (lefigaro.fr)
  • Une fonction thyroïdienne normale était définie par une TSH entre 0,45 to 4,49 mUI/L. Une hypothyroïdie subclinique comme une TSH entre 4,5 et 19,9 mUI/L avec un T4 libre dans les limites de la normale. (medscape.com)
  • La production d'hormones T3 et T4 par la thyroïde est régulée par la TSH (Thyroid Stimulating Hormone ou thyréostimuline), une hormone sécrétée par l'hypophyse (une glande située à la base du cerveau, elle-même contrôlée par l'hypothalamus et l'hormone TRH). (pharmaciengiphar.com)
  • Étant donné que certains patients sous traitement présentent des concentrations élevées de T4 et T4L, une mesure de la concentration sérique de base de la thyréostimuline (TSH : thyroid-stimulating hormone) constitue une base plus fiable pour la détermination de procédures thérapeutiques ultérieures. (lefigaro.fr)
  • Sa posologie est ajustée pour obtenir un taux sanguin de TSH normal. (vidal.fr)
  • Lorsque les taux sanguins d'hormones thyroïdiennes chutent, le taux sanguin de TSH augmente pour inciter la thyroïde à produire plus de T3/T4. (pharmaciengiphar.com)
  • Si le taux sanguin d'hormones thyroïdiennes est trop élevé, le taux sanguin de TSH chute pour ralentir l'activité de la thyroïde. (pharmaciengiphar.com)
  • Concernant la TSH, quand on a longtemps eu une TSH basse, les cellules de l'hypophyse qui le fabriquent se sont atrophi es, et mettent du temps red marrer. (forum-thyroide.net)
  • Ne pas s'inqui ter devant une TSH basse, il faut surtout regarder la T4 et T3 (sans prendre la thyroxine avant la prise de sang). (forum-thyroide.net)
  • « Si la TSH est basse, il s'agit très probablement d'un adénome toxique, qu'on identifiera par la scintigraphie, rappelle la Pr Borson-Chazot. (lequotidiendumedecin.fr)
  • Je viens a l instant d'avoir mes r sultats de tsh et t4 ( pas encore la t3) tsh a 2.06 et t4 a 12 donc tr s bas avec l'alternance de 100 et 112. (forum-thyroide.net)
  • Par la suite, la dose devra être ajustée en fonction des résultats cliniques et des taux d'hormones thyroïdiennes et de TSH. (doctissimo.fr)
  • La dose devra être augmentée progressivement toutes les 2 à 4 semaines en fonction des résultats cliniques et des taux d'hormones thyroïdiennes et de TSH jusqu'à ce que la dose permettant une substitution complète soit atteinte. (doctissimo.fr)
  • Ultérieurement, la dose doit être ajustée individuellement en fonction des résultats cliniques, des valeurs de l'hormone thyroïdienne et de la TSH. (lefigaro.fr)
  • La thyréostimuline (TSH) est une glycoprotéine de l'hypophyse dont le rôle est de stimuler la sécrétion des hormones thyroïdiennes en agissant sur les cellules de la glande thyroïde. (hypothyroidie.eu)
  • La détermination de ces anticorps permet de confirmer le diagnostic de la maladie de Basedow, mais elle est surtout utile au suivi de son évolution sous traitement puisque le risque de rechutes est lié au niveau d'activité des autoanticorps anti-récepteur de la TSH. (ac.be)
  • Cette étude a également montré une réduction significative des anticorps typiques de Hashimoto (anticorps TPO, TPO = peroxydase thyroïdienne) et également de la valeur de la TSH (une valeur accrue indique un sous-fonctionnement de la glande thyroïde). (helloblog.fr)
  • la posologie est à adapter selon les résultats de la TSH, après environ 6 à 8 semaines de prise à posologie constante. (doctissimo.fr)
  • La prise de compl ment alimentaire ou d' aliments simultan s peut provoquer une variation de la tsh. (forum-thyroide.net)
  • Sous 112 de levothyrox je suis a 0,30 de tsh pour une norme de 0,36 a 4,20. (forum-thyroide.net)
  • Depuis 1 an ou 2, ma TSH fait le yo-yo avec des passages hyper/hypo malgr des adaptations tr s fines de dosages de levothyrox. (forum-thyroide.net)
  • Pour accéder aux contenus publiés sur Edimark.fr vous devez posséder un compte et vous identifier au moyen d'un email et d'un mot de passe. (edimark.fr)
  • On ne peut pas prendre le risque de laisser les patients sans traitement, alors que dans le cas de l'hypothyroïdie, il n'y a pas de danger à attendre quelques semaines pour vérifier qu'il y a bien une hausse de la TSH. (medscape.com)
  • 166 cas d'hypothyroïdie et 57 cas d'hyperthyroïdie ont pu être confirmés par l'analyse de la TSH dont les valeurs étaient en dehors des normes. (caducee.net)
  • J'avais peur de rajouter de la tachycardie avec une tsh a 0,30 mais je me sentais plut t bien dans l'ensemble. (forum-thyroide.net)
  • La TSH à l'état basal n'était pas corrélée au développement de la FA chez les patients euthyroïdiens ou ayant une hypothyroïdie subclinique. (medscape.com)
  • Les taux dits « normaux » de TSH fluctuent entre 0,4 et 4 mUI/l ce qui en fait une fourchette assez large. (revuegenesis.fr)
  • Taux de TSH effondré. (vulgaris-medical.com)
  • Home › Forums › Endocrinologie - Diabète › Taux de TSH effondré. (vulgaris-medical.com)
  • J'ai un taux de TSH nul, je n'ai plus de glande thyroïde et je prend des hormones thyroïdiennes de synthèse depuis 6 ans (200 µ) et j'ai pris 32 kg. (vulgaris-medical.com)
  • Comme le taux est effondré, mon dosage a été ramené à 175 µ le TSH est toujours nul, mais je perd mes cheveux, je suis fatiguée, mes ongles sont effrités et pour ne pas grossir encore, je ne dois presque plus rien manger. (vulgaris-medical.com)
  • Si le taux de TSH est anormal , il doit être recontrôlé en y associant un dosage de la T4L et une recherche d'anticorps anti-TPO. (afmthyroide.fr)
  • Mon traitement est stabilisé et je fais une prise de sang tous les 3/4 mois pour évaluer mon taux de TSH. (cheminots.net)
  • Un taux de TSH élevé signifie généralement que la quantité d'hormones thyroïdiennes est insuffisante. (msdmanuals.com)
  • De même, un très faible taux de TSH signifie généralement qu'elles sont présentes en trop grande quantité. (msdmanuals.com)
  • Ce n'est pas le taux de TSH (qui intervient dans la définition d'une hyper ou hypothyroïdie) mais c'est le taux de T4 élevé qui est corrélé au risque de FA. (medscape.com)
  • La thyréostimuline (TSH), qui stimule la glande thyroïde. (indexsante.ca)
  • Si l'hypophyse détecte trop peu d'hormones thyroïdiennes dans le sang, elle libère plus de TSH, afin de stimuler la glande thyroïde pour qu'elle produise plus d'hormones thyroïdiennes. (msdmanuals.com)
  • Cell surface proteins that bind pituitary THYROTROPIN (also named thyroid stimulating hormone or TSH) and trigger intracellular changes of the target cells. (bvsalud.org)
  • La fonction principale de la TSH, hormone glycoprotéique formée par l'association non covalente de 2 sous unités alpha et béta, est de réguler la synthèse et la libération des hormones thyroïdiennes. (revuegenesis.fr)
  • Ces étapes, notamment la libération, sont activées par la TSH dont la sécrétion est freinée par les hormones thyroïdiennes. (pharmacorama.com)
  • La production de thyroglobuline débute dès 4-6 semaines de gestation, celle de TSH à 12 semaines, et celle des hormones thyroïdiennes à 18-20 semaines. (lllfrance.org)
  • A l'inverse une TSH abaissée ne signe pas une hyperthyroïdie. (revuegenesis.fr)
  • La TSH peut effectivement se trouver légèrement élevée, mais il peut s'agir tout simplement d'une conséquence de la prise de poids et non l'inverse. (medscape.com)
  • Lors des Journées REFMAR 2016, l'intérêt d'un groupe de travail pluridisciplinaire sur le sujet des tempêtes et submersions historiques (TSH) a été souligné. (shom.fr)
  • Bonjour ta tsh a t longue remonter entre d cembre 2015 et mars 2016 malgr le passage en hypo au niveau des t4, c'est assez courant. (forum-thyroide.net)
  • Une TSH basse avec une FT4 normale, peut se rencontrer lors de prises médicamenteuses, de stress chronique ou dépression. (revuegenesis.fr)
  • Si la T4L est normale, il s'agit probablement de l'effet TSH Like des HCG lors du premier trimestre avec normalisation progressive de la TSH lors du second trimestre. (revuegenesis.fr)
  • Par ailleurs, la TSH peut être transitoirement augmentée sans diminution de la T4L et redevenir normale par la suite (par exemple au cours d'une thyroïdite subaiguë, au décours de certaines maladies aigues non thyroïdiennes ou lors du traitement par lithium ou amiodarone). (afmthyroide.fr)
  • Je vous fais le bilan de ce traitement et de son volution, sachant que je viens de recevoir le r sultat de ma derni re prise de sang o ma tsh replonge. (forum-thyroide.net)
  • Il est recommandé de doser à nouveau la TSH et la T4L à distance après les dosages initiaux avant de décider de débuter, ou non, un traitement. (revuegenesis.fr)
  • Si la TSH est anormale, le biologiste pourra doser la T4 libre à partir du même prélèvement sanguin, sans avoir besoin de repiquer le malade. (medscape.com)
  • La TSH peut être élevée avec T4L élevée, il s'agit alors d'un adénome hypophysaire thyréotrope. (revuegenesis.fr)
  • J'ai vu le produit " tee shirt pull-in tsh bassclubblack " moins cher ailleurs. (sgambato.fr)
  • Pour une TSH entre 0,4 et 4 mUI/L, pas de traitement. (revuegenesis.fr)
  • 2,5 et une surveillance mensuelle de la TSH et T4L pour adapter le traitement pendant la grossesse (généralement augmentation des doses de 25%)3. (revuegenesis.fr)
  • On ne peut pas prendre le risque de laisser les patients sans traitement, alors que dans le cas de l'hypothyroïdie, il n'y a pas de danger à attendre quelques semaines pour vérifier qu'il y a bien une hausse de la TSH. (medscape.com)
  • Ainsi en cas de dépression sévère la TSH peut être abaissée sans qu'il y ait d'hyperthyroïdie. (revuegenesis.fr)
  • Moi qui n'ai plus de glande du tout, on me descend à 175 µ et on parle de encore le diminuer parce qu'il n'y a de TSH. (vulgaris-medical.com)
  • dans le cerveau, produit une hormone appelée la TSH. (msdmanuals.com)
  • S'il y a trop d'hormones thyroïdiennes dans le sang, l'hypophyse libère moins de TSH. (msdmanuals.com)
  • Le GT-TSH s'organise sous forme de sous-groupes techniques et s'intéresse plus spécifiquement aux sujets détaillés ci-dessous. (shom.fr)
  • À noter que la TSH augmente physiologiquement avec l'âge et au cours des surcharges pondérales. (afmthyroide.fr)
  • Approche phylogénétique des relations structure-fonction du récepteur de la TSH. (sfendocrino.org)
  • Sur les autres projets Wikimedia : tsh, sur le Wiktionnaire Cette page d'homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. (wikipedia.org)