Les tumeurs du thorax sont des croissances anormales qui peuvent être bénignes ou malignes, situées dans la cavité thoracique, affectant les poumons, le médiastin, le cœur, la plèvre ou les vaisseaux sanguins.
Tumeurs ou un cancer du pancréas. Selon les types de ilôt des cellules présentes dans les tumeurs, peut être plusieurs hormones sécrétées par des cellules alpha du pancréas : Glucagon ; INSULIN de BETA du pancréas ; et des cellules de la somatostatine SOMATOSTATIN-SECRETING. La plupart sont des sauf le insulin-producing tumeurs malignes (insulinome).
Nouvelle croissance anormale des néoplasmes malins des tissus. Montrent un degré plus élevé de anaplasia et avoir les propriétés d'invasion et les métastases, comparé à des néoplasmes bénins.
Tumeurs contenant cyst-like formations ou produire Mucin ou de sérum.
Tumeurs ou un cancer de la peau.
Deux ou plusieurs excroissance anormale de tissus survenant simultanément et présumé être d'origine. Le néoplasmes peut être histologie pareil ou pas, et peut être consulté dans le même ou sites différents.
Tumeurs ou les cancers du rein.
Excroissance anormale de tissu qui suivez une précédente Néoplasme mais ne sont pas des métastases du dernier. La deuxième Néoplasme peut avoir le même ou autre type histologique et peuvent survenir dans les même ou les différents organes comme la précédente Néoplasme mais dans tous les cas résulte d'une indépendante événement oncogènes. Le développement du deuxième Néoplasme peuvent ou non être liées au traitement pour la dernière Néoplasme depuis risques génétiques ou facteurs prédisposants peuvent vraiment être la cause.
Un adénocarcinome produisant Mucin dans des quantités significatives de Dorland, 27. (Éditeur)
Tumeurs ou un cancer de la thyroïde GLAND.
Conditions pouvant causer la prolifération hématologique des échantillons de tissus hemopoietically actif ou de tissus embryonnaires a hemopoietic potentiel. Ça implique de Dysrégulation multipotent myéloïde des cellules souches, le plus souvent provoqués par une mutation dans le JAK2 tyrosine kinase des protéines.
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)
Une accumulation d ’ air ou gaz dans l'épanchement CAVITY, pouvant apparaître spontanément soit suite à un traumatisme ou processus pathologique. Le gaz peut également être présenté, pendant... PNEUMOTHORAX délibérément.
Obstruction d ’ une artère pulmonaire ou un de ses succursales par une embolie.
Une maladie hétérogène où le coeur est incapable à pomper suffisamment de sang pour rencontrer le besoin métabolique du corps. Insuffisance cardiaque peut être causée par défauts de structure, des anomalies fonctionnelles (DYSFUNCTION ventriculaire), ou une soudaine surcharge au-delà de sa capacité. Insuffisance cardiaque chronique est plus commun que insuffisance cardiaque aiguë due soudain insulte à la fonction cardiaque, tels qu ’ INFARCTION.
Pénétrant le rayonnement émis électromagnétique électrons orbitale quand la protection interne de l'atome sont survoltés et libérez l'énergie rayonnante. Radio ondes varient entre 1 h à 22 nm. Dur radios sont la plus haute énergie, plus courte longueur d'ondes radios. Doux radios ou Grenz rayons sont moins énergique et plus par la longueur. Les ondes courtes fin de la radio été rudes dépasse du spectre RAYS longueur d'onde portée. La distinction entre les rayons gamma et des rayons X est basé sur leur source de radiation.
X-ray projection de large groupe de personnes pour des maladies des poumons et cœur par radiographie du thorax.
X-ray visualisation de la poitrine et organes de la cavité thoracique. C'est pas limité à la visualisation des poumons.

Les tumeurs du thorax se réfèrent à toute croissance anormale dans la région du thorax, qui comprend les poumons, la plèvre (membrane qui recouvre les poumons), le médiastin (la zone entre les poumons), le cœur et les vaisseaux sanguins. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs pulmonaires peuvent être classées en deux types principaux : les carcinomes pulmonaires, qui se développent à partir des cellules des poumons, et les sarcomes pulmonaires, qui se développent à partir des tissus de soutien. Les carcinomes pulmonaires sont plus fréquents et peuvent être further classés en deux types : le cancer du poumon à petites cellules et le cancer du poumon non à petites cellules.

Les tumeurs de la plèvre, également connues sous le nom de mésothéliomes, peuvent être causées par l'exposition à l'amiante. Les tumeurs du médiastin peuvent inclure des lymphomes, des thymomes et des tumeurs neurogènes.

Les symptômes des tumeurs du thorax dépendent de leur emplacement et de leur taille. Ils peuvent inclure une toux persistante, des douleurs thoraciques, des difficultés respiratoires, une perte de poids inexpliquée, des sueurs nocturnes et des hoquets fréquents. Le traitement dépend du type et du stade de la tumeur, et peut inclure une chirurgie, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une thérapie ciblée.

Les tumeurs du pancréas sont des croissances anormales qui se forment dans le tissu du pancréas. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne se propagent pas à d'autres parties du corps et peuvent souvent être traitées par une intervention chirurgicale. Cependant, certaines tumeurs bénignes peuvent devenir cancéreuses avec le temps.

Les tumeurs malignes du pancréas sont des cancers qui se forment dans les cellules du pancréas et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les adénocarcinomes sont les types de cancer du pancréas les plus courants et représentent environ 90% de tous les cas. Ils se développent dans les cellules qui tapissent les conduits du pancréas qui produisent des enzymes digestives.

Les autres types de tumeurs malignes du pancréas comprennent les tumeurs neuroendocrines, qui se forment dans les cellules hormonales du pancréas, et les sarcomes, qui se développent dans le tissu conjonctif du pancréas.

Les symptômes des tumeurs du pancréas peuvent inclure une douleur abdominale supérieure, une perte de poids inexpliquée, une jaunisse (jaunissement de la peau et du blanc des yeux), des nausées et des vomissements. Le traitement dépend du type et de l'étendue de la tumeur, mais peut inclure une intervention chirurgicale, une chimiothérapie ou une radiothérapie.

En médecine, une tumeur est une augmentation anormale et localisée de la taille d'un tissu corporel due à une croissance cellulaire accrue. Les tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs bénignes sont généralement des masses arrondies, bien circonscrites et ne se propagent pas aux tissus environnants. Elles peuvent cependant causer des problèmes si elles compriment ou déplacent des organes vitaux.

Les tumeurs malignes, en revanche, ont tendance à envahir les tissus voisins et peuvent se propager (métastaser) vers d'autres parties du corps via le système sanguin ou lymphatique. Elles sont souvent désignées sous le terme de «cancer».

Il est important de noter que toutes les augmentations anormales de la taille d'un tissu ne sont pas nécessairement des tumeurs. Par exemple, un œdème (gonflement) ou une inflammation peuvent également entraîner une augmentation temporaire de la taille d'une zone spécifique du corps.

Les tumeurs kystiques, mucineuses et séreuses sont des types spécifiques de lésions qui peuvent se former dans divers organes du corps. Bien qu'ils aient des caractéristiques similaires, ils présentent certaines différences au niveau histopathologique.

1. Tumeurs kystiques: Ce sont des lésions remplies de fluide ou de matériel semi-solide. Les kystes peuvent être uniques ou multiples et peuvent se former dans presque tous les organes du corps. Ils peuvent être congénitaux (présents depuis la naissance) ou acquis (apparaissant plus tard dans la vie). Leur taille varie de quelques millimètres à plusieurs centimètres.

2. Tumeurs mucineuses: Ces tumeurs sont caractérisées par la production excessive de mucus, une substance visqueuse sécrétée par certaines cellules du corps. Les tumeurs mucineuses peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Elles sont souvent associées aux glandes muqueuses, telles que les poumons, le tractus gastro-intestinal et les glandes salivaires.

3. Tumeurs séreuses: Ces tumeurs produisent un liquide clair et aqueux appelé liquide séreux. Comme les tumeurs mucineuses, elles peuvent être bénignes ou malignes. Les tumeurs séreuses sont souvent trouvées dans les ovaires, où elles sont appelées cystadénomes séreux, et peuvent également se développer dans d'autres organes, comme la glande pancréatique.

Il est important de noter que ces types de tumeurs nécessitent une évaluation et un traitement appropriés par un professionnel de la santé, en fonction de leur localisation, de leur taille, de leurs caractéristiques histopathologiques et du stade de la maladie.

Les tumeurs de la peau sont des croissances anormales qui se forment dans les tissus cutanés. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs bénignes ne mettent généralement pas la vie en danger et ne se propagent pas à d'autres parties du corps, mais elles peuvent parfois causer des problèmes esthétiques ou fonctionnels. Les tumeurs malignes, en revanche, peuvent envahir les tissus environnants et se propager (métastases) à d'autres parties du corps.

Les types courants de tumeurs bénignes de la peau comprennent les naevus (grains de beauté), les kystes epidermiques, les lipomes, les fibromes, et les papillomes. Les naevus melanocytaires sont les grains de beauté les plus courants et sont généralement inoffensifs, bien que certains puissent évoluer en mélanomes malins.

Les types courants de tumeurs malignes de la peau comprennent le carcinome basocellulaire, le carcinome spinocellulaire (ou carcinome épidermoïde), et le mélanome malin. Le carcinome basocellulaire est le type le plus courant de cancer de la peau et se développe généralement à partir des cellules basales de la peau. Il se propage rarement aux autres parties du corps, mais peut détruire les tissus environnants s'il n'est pas traité. Le carcinome spinocellulaire est moins courant que le carcinome basocellulaire, mais il a un potentiel de métastase plus élevé. Le mélanome malin est le type de cancer de la peau le plus agressif et peut se propager rapidement aux autres parties du corps s'il n'est pas traité à temps.

Les facteurs de risque pour les cancers de la peau comprennent une exposition excessive au soleil, des antécédents personnels ou familiaux de cancer de la peau, une peau claire, des grains de beauté anormaux, un système immunitaire affaibli, et l'utilisation de certains médicaments. Il est important de se protéger du soleil en portant des vêtements protecteurs, en utilisant un écran solaire avec un FPS d'au moins 30, en évitant les heures les plus chaudes de la journée, et en effectuant des auto-examens réguliers de la peau pour détecter tout changement anormal.

Les tumeurs primitives multiples (TPM) est un terme utilisé en oncologie pour décrire une situation où plusieurs types différents de tumeurs malignes se développent simultanément ou séquentiellement chez un même patient, sans preuve de métastases à partir d'une tumeur primitive initiale. Chaque tumeur est considérée comme indépendante et primaire, d'où le nom de "tumeurs primitives multiples".

Cette condition est relativement rare et peut être causée par des facteurs génétiques ou environnementaux. Dans certains cas, les TPM peuvent être associées à des syndromes héréditaires tels que le syndrome de Li-Fraumeni, le syndrome de Von Hippel-Lindau, et d'autres prédispositions génétiques au cancer.

Le diagnostic et la prise en charge des TPM peuvent être complexes, nécessitant une évaluation approfondie par une équipe multidisciplinaire de spécialistes pour déterminer le type et l'origine de chaque tumeur, ainsi que les options de traitement appropriées pour chacune d'entre elles.

Les tumeurs rénales sont des croissances anormales dans ou sur les reins. Elles peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les tumeurs rénales bénignes ne se propagent pas généralement à d'autres parties du corps et peuvent ne pas nécessiter de traitement, selon leur taille et leur localisation. Cependant, certaines tumeurs rénales bénignes peuvent causer des problèmes si elles pressent ou endommagent les tissus environnants.

Les tumeurs rénales malignes, également connues sous le nom de cancer du rein, se développent dans les cellules du rein et peuvent se propager à d'autres parties du corps. Le type le plus courant de cancer du rein est le carcinome à cellules rénales, qui représente environ 80 à 85% des cas. D'autres types comprennent le sarcome du rein, le lymphome du rein et le cancer des cellules transitionnelles du haut appareil urinaire.

Les facteurs de risque de développer un cancer du rein comprennent le tabagisme, l'obésité, l'hypertension artérielle, l'exposition à certaines substances chimiques et les antécédents familiaux de cancer du rein. Les symptômes peuvent inclure du sang dans les urines, des douleurs au dos ou aux flancs, une perte de poids inexpliquée, une fièvre persistante et une fatigue extrême. Le traitement dépend du stade et du grade de la tumeur, ainsi que de la santé globale du patient. Les options de traitement peuvent inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et l'immunothérapie.

Une seconde tumeur primitive (STP) est définie comme une nouvelle tumeur maligne qui survient chez un patient pendant ou après la prise en charge d'une tumeur maligne précédente, lorsque cette nouvelle tumeur n'est pas considérée comme une récidive locale, régionale ou à distance de la tumeur initiale et qu'elle n'est pas non plus considérée comme un métastase de la tumeur initiale.

En d'autres termes, il s'agit d'une tumeur distincte et indépendante qui se développe chez un patient atteint d'un cancer préexistant. Les STP peuvent survenir simultanément ou séquentiellement par rapport à la tumeur initiale. Elles peuvent être diagnostiquées avant, pendant ou après le traitement de la tumeur primitive initiale.

Le diagnostic et la prise en charge des STP sont complexes, car elles peuvent être influencées par les antécédents de traitement du cancer initial, y compris la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. De plus, certaines thérapies contre le cancer peuvent augmenter le risque de développer des STP en raison de leur effet mutagène sur les cellules saines. Par conséquent, une évaluation approfondie est nécessaire pour déterminer le plan de traitement optimal pour chaque patient atteint d'une STP.

Un adénocarcinome mucineux est un type rare de cancer qui se développe dans les glandes muqueuses du corps. Il est appelé "mucineux" car il produit et sécrète une substance visqueuse appelée mucine. Ce type d'adénocarcinome a tendance à se développer plus lentement que d'autres types de cancers, mais il peut néanmoins être très invasif et se propager à d'autres parties du corps.

Les adénocarcinomes mucineux peuvent se produire dans diverses parties du corps, y compris les poumons, le pancréas, l'estomac, le côlon et le rectum. Les symptômes dépendent de la localisation du cancer, mais peuvent inclure des douleurs abdominales, une perte d'appétit, une perte de poids involontaire, des nausées ou des vomissements, des changements dans les habitudes intestinales et des saignements rectaux.

Le traitement dépend du stade et de la localisation du cancer, mais peut inclure une chirurgie pour enlever la tumeur, une radiothérapie ou une chimiothérapie pour détruire les cellules cancéreuses. Dans certains cas, une combinaison de ces traitements peut être utilisée pour obtenir les meilleurs résultats possibles.

Il est important de noter que le pronostic dépend du stade et de la localisation du cancer au moment du diagnostic, ainsi que de la réponse du patient au traitement. Les patients atteints d'un adénocarcinome mucineux doivent travailler en étroite collaboration avec leur équipe médicale pour élaborer un plan de traitement personnalisé et obtenir les soins dont ils ont besoin pour gérer leur maladie.

Les tumeurs de la thyroïde sont des growths anormaux qui se développent dans la glande thyroïde, une petite glande en forme de papillon située à la base du cou. Ces tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses).

Les tumeurs bénignes de la thyroïde sont courantes et ne mettent généralement pas la vie en danger. Elles peuvent inclure des adénomes, qui sont des growths solides ou remplis de liquide qui se développent dans les cellules folliculaires de la glande thyroïde. Les nodules thyroïdiens sont également une forme courante de tumeur bénigne et peuvent être solitaires ou multiples.

Les tumeurs malignes de la thyroide, en revanche, sont des cancers qui peuvent se propager à d'autres parties du corps. Les types courants de cancer de la thyroïde comprennent le carcinome papillaire, le carcinome folliculaire, le carcinome médullaire et le carcinome anaplasique.

Les symptômes des tumeurs de la thyroïde peuvent inclure un nodule ou une masse visible dans le cou, une gêne ou une douleur dans le cou, des difficultés à avaler ou à respirer, et un enrouement de la voix. Cependant, de nombreuses tumeurs thyroïdiennes ne présentent aucun symptôme et sont découvertes lors d'examens médicaux de routine.

Le diagnostic des tumeurs de la thyroïde implique généralement une combinaison de tests, y compris une échographie, une biopsie à l'aiguille fine (FNA) et une tomodensitométrie (TDM) ou une imagerie par résonance magnétique (IRM). Le traitement dépend du type et de la gravité de la tumeur et peut inclure une surveillance attentive, une chirurgie, une radiothérapie ou une thérapie médicamenteuse.

Les syndromes myéloprolifératifs (SMP) représentent un groupe de troubles hématologiques caractérisés par la prolifération clonale d'un ou plusieurs types de cellules myéloïdes dans la moelle osseuse. Cela conduit à une production excessive de globules blancs, de plaquettes et/ou d'érythrocytes immatures. Les SMP comprennent :

1. La polycythémie vraie (PV): Une augmentation du nombre de globules rouges dans le sang, souvent accompagnée d'une surproduction de globules blancs et/ou de plaquettes.
2. La thrombocytose essentielle (TE): Une élévation anormale du nombre de plaquettes dans le sang sans cause sous-jacente évidente.
3. La myélofibrose primitive (MFP): Un trouble caractérisé par une prolifération excessive de cellules myéloïdes immatures, entraînant une fibrose de la moelle osseuse et une cytopénie.
4. La leucémie myélomonocytaire chronique (LMMC): Une maladie rare dans laquelle il y a une prolifération excessive de cellules myéloïdes immatures, entraînant une augmentation du nombre de globules blancs dans le sang.
5. La néoplasie myéloproliférative atypique (NMPA): Un diagnostic utilisé lorsqu'un patient présente des caractéristiques de SMP mais ne répond pas aux critères diagnostiques spécifiques d'aucune des catégories ci-dessus.

Les SMP peuvent entraîner une augmentation du risque de thrombose, d'hémorragie et de transformation en leucémie aiguë myéloïde (LAM). Le traitement dépend du type et de la gravité de la maladie et peut inclure des médicaments, une thérapie ciblée, une greffe de cellules souches ou une surveillance attentive.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

Un pneumothorax est une condition médicale où il y a la présence d'air dans la cavité pleurale, l'espace entre les poumons et la paroi thoracique. Cet espace est normalement rempli de liquide, appelé le liquide pleural, qui permet aux poumons de glisser facilement lors de la respiration. Lorsque de l'air s'infiltre dans cet espace, il crée une pression sur les poumons, ce qui entraîne une partie ou la totalité du poumon à se collapser.

Il existe deux types principaux de pneumothorax : le pneumothorax spontané et le pneumothorax traumatique. Le pneumothorax spontané se produit sans cause évidente, en particulier chez les personnes atteintes d'une maladie pulmonaire sous-jacente telle que l'emphysème ou la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Le pneumothorax traumatique est causé par une blessure directe à la poitrine, comme lors d'un accident de voiture ou d'une plaie par arme blanche ou par balle.

Les symptômes du pneumothorax peuvent inclure une douleur thoracique soudaine et aiguë, essoufflement, palpitations, fatigue, anxiété, toux et respiration rapide. Dans les cas graves, le pneumothorax peut entraîner une détresse respiratoire aiguë et une insuffisance cardiaque. Le diagnostic est généralement posé par une radiographie thoracique ou une tomodensitométrie (TDM) de la poitrine.

Le traitement du pneumothorax peut inclure l'observation, l'administration d'oxygène, l'insertion d'une aiguille ou d'un tube dans la cavité pleurale pour évacuer l'air accumulé et, dans les cas graves, une intervention chirurgicale. La prévention du pneumothorax peut inclure l'arrêt du tabagisme et le traitement des maladies pulmonaires sous-jacentes.

L'embolie pulmonaire est un événement médical potentiellement mortel qui se produit lorsqu'un caillot sanguin (ou thrombus) se détache d'une veine profonde, généralement dans les jambes, et voyage à travers le système circulatoire jusqu'aux artères pulmonaires. Une fois dans les poumons, le caillot peut bloquer partiellement ou complètement le flux sanguin, entraînant une diminution de l'oxygénation du sang et une augmentation de la pression dans les vaisseaux sanguins pulmonaires.

Les symptômes typiques d'une embolie pulmonaire comprennent une douleur thoracique aiguë, un essoufflement soudain, une toux avec ou sans expectoration sanglante (hémoptysie), une tachycardie (pouls rapide) et, dans les cas graves, une hypotension artérielle, une syncope ou même un arrêt cardiaque. Le diagnostic repose sur des examens d'imagerie tels que la radiographie pulmonaire, l'échocardiogramme et le scanner thoracique, ainsi que sur des tests sanguins pour mesurer les gaz du sang et détecter des marqueurs de dommages aux vaisseaux sanguins.

Le traitement standard de l'embolie pulmonaire consiste en l'administration d'anticoagulants, tels que l'héparine ou les anticoagulants oraux directs (DOAC), pour prévenir la formation de nouveaux caillots sanguins et favoriser la dissolution des caillots existants. Dans certains cas graves, une thrombolyse (utilisation de médicaments tissulaires plasminogènes pour dissoudre les caillots) ou une intervention chirurgicale (embolectomie pulmonaire) peut être nécessaire pour éliminer le caillot et rétablir la circulation sanguine.

La prévention de l'embolie pulmonaire repose sur des mesures telles que la mobilisation précoce après une intervention chirurgicale, l'utilisation d'anticoagulants prophylactiques chez les patients à risque élevé et le port de bas de contention pour favoriser la circulation sanguine dans les membres inférieurs.

La « insuffisance cardiaque » est un terme médical qui décrit l'incapacité du cœur à pomper le sang de manière adéquate pour répondre aux besoins métaboliques de l'organisme. Cela peut être dû à une diminution de la force de contraction du muscle cardiaque ou à une augmentation de la rigidité de la paroi cardiaque, ce qui entraîne une accumulation de liquide dans les poumons et/ou d'autres parties du corps. Les symptômes courants de l'insuffisance cardiaque comprennent l'essoufflement, la fatigue, l'enflure des jambes et des chevilles, et une toux sèche et persistante. Il existe différents types et stades d'insuffisance cardiaque, en fonction de la gravité de la maladie et de la partie du cœur qui est affectée. Le traitement peut inclure des modifications du mode de vie, des médicaments, des procédures ou une intervention chirurgicale pour améliorer la fonction cardiaque et réduire les symptômes.

Les rayons X sont une forme courante d'imagerie médicale utilisant des ondes électromagnétiques à haute énergie et de courte longueur d'onde pour produire des images détaillées des structures internes du corps humain. Ils passent à travers le corps et sont absorbés dans différentes proportions par différents tissus, ce qui permet de distinguer les os, les organes mous, l'air et d'autres matériaux dans le corps sur une radiographie ou une image fluoroscopique. Les rayons X sont généralement considérés comme sûrs lorsqu'ils sont utilisés à des doses appropriées, mais ils peuvent présenter des risques pour la santé, notamment un risque accru de cancer, s'ils sont utilisés de manière excessive ou inappropriée.

Le dépistage radiologique thoracique fait référence à l'utilisation de techniques d'imagerie, telles que la radiographie pulmonaire ou le scanner thoracique, pour détecter des anomalies ou des affections pulmonaires chez des individus asymptomatiques ou présentant un risque accru de développer une maladie pulmonaire. L'objectif principal du dépistage radiologique thoracique est d'identifier précocement les pathologies pulmonaires, telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), le cancer du poumon et les fibroses pulmonaires, afin de mettre en œuvre des interventions thérapeutiques précoces et améliorer ainsi les issues cliniques.

Dans le cas spécifique du cancer du poumon, le dépistage radiologique thoracique est recommandé par les directives médicales pour certains groupes à haut risque, tels que les fumeurs actuels et anciens présentant un historique tabagique significatif. Le scanner thoracique à faible dose est généralement l'outil de dépistage privilégié en raison de sa sensibilité accrue par rapport à la radiographie pulmonaire pour détecter les lésions précoces du cancer du poumon. Cependant, il est important de noter que le dépistage systématique n'est pas recommandé pour l'ensemble de la population en raison des risques potentiels associés aux radiations et aux fausses découvertes qui peuvent entraîner des interventions inutiles et des anxiétés indues.

En résumé, le dépistage radiologique thoracique est une procédure médicale visant à identifier précocement les affections pulmonaires chez des individus asymptomatiques ou à haut risque en utilisant des techniques d'imagerie telles que la radiographie pulmonaire et le scanner thoracique. Il est crucial de peser les avantages et les inconvénients du dépistage et de cibler les populations à haut risque pour optimiser les bénéfices potentiels tout en minimisant les risques associés aux procédures de dépistage.

Une radiographie thoracique, également appelée radiographie de la poitrine, est un examen d'imagerie médicale utilisant des rayons X pour produire des images du cœur, des vaisseaux sanguins, des poumons, des os de la cage thoracique, des côtes et des diaphragmes. Il s'agit d'un outil diagnostique commun utilisé pour détecter une variété de conditions médicales telles que les pneumonies, les emphysèmes, les fibroses pulmonaires, les cancer du poumon, les maladies cardiovasculaires et les fractures costales. Pendant l'examen, le patient est généralement assis ou debout avec les bras levés. Un technologue en radiologie positionne le patient et prend une image à l'aide d'une machine à rayons X. L'image résultante aide les médecins à évaluer l'état des organes et des tissus du thorax et à poser un diagnostic ou à surveiller la réponse au traitement.

Thorax, Thoiry, Heures de France, 1984, 250 p. (ISBN 2-85385-122-2, BNF 35713496, lire en ligne) (en) Russell S. Ronson, ... Les tumeurs du médiastin postérieur comprennent principalement les tumeurs nerveuses (les plus fréquentes des tumeurs du ... et les tumeurs germinales (18 %). Les tumeurs secondaires sont plus fréquentes que les tumeurs primitives et sont généralement ... Une tumeur médiastinale est une tumeur, bénigne ou maligne, localisée dans le médiastin. Les tumeurs médiastinales sont ...
Les goitres de la thyroïde peuvent plonger au travers de l'orifice supérieur du thorax. Des tumeurs mésothéliales, des ... Ouverture supérieure du thorax L'ouverture supérieure du thorax (ou défilé cervicothoracique ou orifice supérieur du thorax ou ... orifice d'entrée du thorax ou circonférence supérieure du thorax ou sommet du thorax ou orifice thoracique supérieur ou ... L'ouverture supérieure du thorax est un orifice elliptique osseux rigide. Vu de dessus elle a la forme d'un cœur de carte à ...
Lorsque la maladie est localisée au thorax, la prise en charge dépend à la fois de l'extension ganglionnaire et de la ... En conséquence, les termes « tumeur de l'apex pulmonaire », « tumeur de Pancoast-Tobias » et « tumeur de Pancoast » sont ... Tumeur du compartiment antérieur TDM d'une tumeur de Pancoast gauche envahissant l'arc antérieur de la 1re et de la 2e côte ( ... Tumeur de Pancoast-Tobias Tumeur de l'apex pulmonaire droit. Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir Wikidata ...
Les tumeurs fibreuses solitaires peuvent en effet être très volumineuses, en particulier dans le thorax et l'abdomen, où leur ... L'OMS classe ainsi les tumeurs fibreuses solitaires comme des tumeurs de malignité intermédiaire. La proportion de tumeurs ... Les tumeurs fibreuses solitaires sont responsables de moins de 2 % des tumeurs des tissus mous. La cause est inconnue. Un ... H. Bégueret, « Tumeur fibreuse solitaire », sur Respir.com, 10 mai 2006 (consulté le 22 septembre 2016). « Tumeur fibreuse ...
... thorax), les tumeurs de la paroi abdominale et les tumeurs intra-abdominales (ou mésentériques). En fait, les tumeurs desmoïdes ... Les cas rapportés de tumeurs multiples ou de tumeurs récidivant sont rarissimes. Ces tumeurs ne se transforment pas en cancer ... La tumeur desmoïde n'a pas de potentiel métastatique. La tumeur desmoïde se développe préférentiellement dans les grands droits ... Ces examens permettent de suspecter une tumeur desmoïde, mais peinent à définir les limites précises de la tumeur, notamment en ...
Tumeurs bénignes (exérèse de nævus) Tumeurs malignes (carcinome basocellulaire, carcinome spinocellulaire, mélanome...) Tumeurs ... Touchant toutes les régions anatomiques, excepté l'intérieur du crâne, du thorax et de l'abdomen, son champ d'action est vaste ... Dans ces localisations multiples, elle traite des conséquences de traumatismes ou d'infections, de tumeurs, ainsi que des ... après exérèse de tumeurs ou post-chirurgie délabrante) Pansements en stérile pour les brûlés en attente de greffe de peau ...
Damadian, ainsi que Larry Minkoff et Michael Goldsmith, ont obtenu l'image d'une tumeur dans le thorax d'une souris en 1976. ... a signalé que les tumeurs et les tissus normaux pouvaient être distingués in vivo par RMN. Les méthodes initiales de Damadian ... qui a permis d'identifier une tumeur primaire dans la poitrine du patient, un foie anormal et un cancer secondaire dans ses os ...
... à un zona au niveau du thorax et des lombaires, et provoquer des douleurs dorsales dans ces régions. Les tumeurs, cancéreuses ... Ce procédé permet au médecin de détecter la présence d'une hernie discale ou d'une tumeur rachidienne, ou encore de voir si la ... Il en résulte une douleur qui débute au niveau des fesses et qui peut se propager jusqu'aux genoux et au thorax. ... Les radiographies révèlent les problèmes affectant les os, telles que les infections, les tumeurs osseuses, ou encore les ...
... en outre le malade avait autrefois reçu un coup de fleuret et il en avait gardé au thorax une petite tumeur fistulisée et ...
L'intervention est le plus souvent réalisée pour un cancer du poumon localisé au thorax, lorsque la tumeur est proche de la ... Ces éléments sont susceptibles d'être envahis en cas de tumeur localement avancée et en ce cas d'être retirés, en partie ou en ... La patiente était une enfant de 12 ans, victime d'un écrasement du thorax par une carriole, et qui souffrait de pneumopathies ... En cas d'envahissement de la paroi thoracique par la tumeur, une pariétectomie peut être associée au geste pulmonaire de ...
... à thorax ouvert sur un animal à l'aide d'un roseau introduit dans la trachée,,. Vers 1878-1880 William MacEwen décrit une ... de lésions ou tumeurs oropharyngées, d'irradiation ou de brûlures du cou ; l'examen apprécie la mobilité du cou et de la ... Soulèvement du thorax de façon symétrique et immobilité de l'abdomen. La présence de condensation dans le tube à l'expiration ... un traumatisme du thorax ou du diaphragme ; une paralysie musculaire, comme dans les tétraplégies, les myopathies et les autres ...
... tumeur fibreuse solitaire, lipome, liposarcome, tumeurs germinales...). Les tumeurs épithéliales thymiques sont classées selon ... à l'intérieur du thorax plutôt que dans le cou), d'un adénome parathyroïdien lui aussi ectopique, mais encore d'un lipome ou ... Coupe frontale ; la tumeur est à l'intersection des lignes rouges. Coupe sagittale ; la tumeur est à l'intersection des lignes ... Les tumeurs neuroendocrines thymiques sont encore une autre entité, très rare (moins de 5 % des tumeurs thymiques et moins de ...
Tumeur maligne de sièges autres et mal définis (C76.0) Tête, face et cou (C76.1) Thorax (C76.2) Abdomen (C76.3) Pelvis (C76.4) ... Tumeur maligne de la vulve (C52) Tumeur maligne du vagin (C53) Tumeur maligne du col de l'utérus (C54) Tumeur maligne du corps ... Tumeur maligne du placenta (C60) Tumeur maligne de la verge (C61) Tumeur maligne de la prostate (C62) Tumeur maligne du ... Tumeur maligne de l'œil et de ses annexes (C70) Tumeur maligne des méninges (C71) Tumeur maligne de l'encéphale (C72) Tumeur ...
Le terme « fibrome » est réservé aux tumeurs bénignes, alors que les tumeurs malignes sont appelées fibrosarcomes. Les exemples ... le thorax ou les aisselles. Dans le langage courant, « fibrome » est fréquemment - mais improprement - employé pour léïomyome, ... Tumeur fibromateuse du pied, d'origine indéterminée et douloureuse, grossissant depuis un an et plus encore depuis 3 mois, ... Opération du cas présenté ci-contre ; exérèse de la tumeur. Sur les autres projets Wikimedia : Fibrome, sur Wikimedia Commons ...
... thorax, sein Journal de médecine de l'Ouest, Section de médecine de la Société académique de Nantes, 1872 Journal de médecine ... Étude sur les tumeurs fibro-kystiques et les kystes de l'utérus (1880) Les preuves médicales des guérisons miraculeuses Voies ...
... évocatrices de tumeurs, une dilatation du thorax compatible avec de l'emphysème ou une broncho-pneumopathie chronique ... à petites cellules Les tumeurs secondaires sont des métastases d'une tumeur maligne atteignant un autre organe. Les tumeurs ... Les tumeurs malignes pulmonaires primitives, d'origine bronchique, recouvrent de nombreux types histologiques. On distingue ... Les tumeurs bénignes pulmonaires, rares, recouvrent plusieurs types histologiques bénins : hamartochondromes myoblastomes ...
Le premier examen échographique permet d'exclure des malformations de l'utérus et des tumeurs génitales, de déterminer le ... thorax, extrémités). Le 2e examen a pour but principal l'observation de l'anatomie fœtale, afin de montrer directement des ...
1866-1932.) (1933) Traitement radio-chirurgical des tumeurs du massif maxilla-facial (1932) À Propos du traitement ... L'Exploration radiologique du thorax et le diagnostic de la tuberculose pulmonaire (1912) Officier de la Légion d'honneur Ordre ... physiothérapique des sciatiques (1930) Polyadénopathie axillaire néoplasique, symptomatique d'une minuscule tumeur du sein ...
... tumeur frontière de l'ovaire TFPI : tissue factor pathway inhibitor TFT : traumatisme fermé du thorax Tg : thyroglobuline TG : ... Lymphocytes infiltrant la tumeur) TILE : Test itératif de latence à l'endormissement TIO : tension intraoculaire TIPMP : tumeur ... tumeur vésicale infiltrant le muscle TVM : thrombose veineuse musculaire TVNIM : tumeur vésicale n'infiltrant pas le muscle ... trou maculaire ou Tumeur TMC : trapézo-métacarpienne (articulation) TME : test de maintien à l'éveil (trouble du sommeil) ou ...
Ces tumeurs étant très actives, il existe un grand nombre de mitoses avoisinant des plages de nécrose. Les cancers à petites ... à l'intérieur du thorax : toux, essoufflement, voire un syndrome cave supérieur par compression des vaisseaux. Les syndromes ... Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Le diagnostic histologique doit être obtenu par une biopsie de la tumeur. Celle- ... Ils sont le plus souvent de siège hilaire ou médiastino-pulmonaire ; plus rarement, ils peuvent se présenter comme une tumeur ...
... avec une tumeur localisée au thorax mais trop avancée pour pouvoir bénéficier d'un traitement chirurgical, et 30 % avec une ... Thorax, BMJ Publishing Group, vol. 57, no 1,‎ janvier 2002, p. 20-28 (PMID 11809985, DOI 10.1136/thorax.57.1.20) (en) N. Murray ... et ils sont indépendants de la taille de la tumeur. Ils sont dus à une production de diverses substances par la tumeur comme ... sécrétion anormale d'hormone antidiurétique par la tumeur). Les tumeurs du sommet du poumon peuvent (syndrome de Pancoast- ...
Si la tumeur est située plus bas dans l'abdomen, elle peut provoquer des douleurs abdominales et des ballonnements. Une tumeur ... Ganglioneurome CT-scan d'un large ganglioneurome dans le thorax Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir ... Chaque symptôme dépend de l'emplacement de la tumeur et des organes voisins affectés. Par exemple, une tumeur dans la poitrine ... Si la tumeur est présente depuis longtemps et appuie sur la moelle épinière ou cause d'autres symptômes, elle peut causer des ...
... des atteintes du thorax cartilagineux existent (tumeur, infection, inflammation). La radiographie de thorax ne peut mettre en ... La radiographie du thorax est un examen grossier qui projette une structure 3D, le thorax et son contenu, sur une surface 2D. ... La radiographie du thorax est une technique d'imagerie médicale à base de rayons X permettant de diagnostiquer des pathologies ... L'aspect technique de la radiographie du thorax se fonde sur la projection de rayons X à travers le corps pour atteindre une ...
Le degré de malignité de la tumeur dépend de plusieurs facteurs dont la surface mésothéliale totale de la cavité pleurale dont ... Même si le mésothéliome peut être dépisté par une simple radiographie du thorax, l'examen de référence est le scanner ... Approximativement un cinquième à un tiers de tous les mésothéliomes sont des tumeurs péritonéales. En France, en 2014, un ... Le diagnostic est fait par l'analyse anatomopatholique d'un échantillon de la tumeur prélevée par biopsie pleurale ou par ...
... à une moitié du thorax, et dans le champ d'une seule radiothérapie ; autrement, il est classé au stade extensif. TX : Tumeur ne ... à distance Les tumeurs in situ sont classées de stade 0. Toutes les tumeurs métastatiques sont classées stade IV. Les autres se ... y compris la tumeur de Pancoast), le diaphragme, le nerf phrénique, la plèvre médiastinale ou le péricarde ; ou une tumeur dans ... Les tumeurs avec ces caractéristiques sont classées T2a si leur dimension est de 5 cm ou moins) T3: T > ou égal à 7 cm ; ou ...
Elle peut être le siège de diverses affections : hyperthyroïdie, hypothyroïdie, tumeur maligne ou tumeur bénigne. On peut ... à travers l'orifice supérieur du thorax. Plongeants ou non, les goitres peuvent être (rarement) compressifs, lorsque le volume ... Les tumeurs de la thyroïde se présentent sous la forme d'un nodule thyroïdien, qui peut être bénigne (adénome de la thyroïde) ...
T1 : tumeur de 5 cm ou moins dans son plus grand diamètre T1a : tumeur superficielle T1b : tumeur profonde T2a : tumeur ... localisés dans le thorax, 9 % dans le rétropéritoine, 8 % dans le pelvis et 6 % dans le reste de l'abdomen) tête et cou : 11 % ... Les sarcomes sont des tumeurs malignes développées aux dépens des tissus de soutien (tumeur mésenchymateuse). Le type ... Elle répertorie les tumeurs bénignes et malignes des tissus mous en 12 grandes classes secondairement subdivisées en 113 sous- ...
En cas de tumeur maligne, le traitement est celui du type anatomo-pathologique du type du cancer décidé en réunion de ... La radiographie du thorax met en évidence l'hydrothorax tandis que l'échographie abdominale montre une ascite. Ces épanchements ... Le fibrome ovarien, lésion bénigne développée aux dépens du stroma ovarien, est la tumeur la plus fréquemment observée dans ce ... Le syndrome de Demons-Meigs est une tumeur bénigne de l'ovaire avec des épanchements liquides dans plusieurs cavités. On ...
La douleur est typiquement prolongée et migratrice (par exemple d'abord au milieu du thorax, puis allant sur un côté, puis ... Tumeurs médiastinales Pneumomédiastin Médiastinite Traumatisme Toute maladie de la paroi thoracique peut provoquer une douleur ... Suivant sa localisation, on parle de douleurs : rétrosternales : derrière le sternum, c'est-à-dire au centre du thorax ; latéro ... sur le côté ; basithoraciques : en bas du thorax. Aussi appelée « angine de poitrine », la douleur, dans les cas typiques, est ...
T Tumeur primitive T0 Pas de signe de tumeur primitive Tis Carcinome in situ T1 Tumeur envahissant la lamina propria ou la sous ... de l'entrée dans le thorax jusqu'à la bifurcation trachéale, vers 24 cm des arcades dentaires), M1b pour les localisations sous ... Par ailleurs on recherchera une récidive de la tumeur œsophagienne, ou une autre tumeur œsophagienne, par fibroscopie ... T2 Tumeur envahissant la musculeuse propre T3 Tumeur envahissant l'adventice T4 Tumeur envahissant les structures adjacentes N ...

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