La plus commune des mastocytose (mastocytose, cutanée) survenant principalement chez des enfants. C'est caractérisé par de multiples petites papules rouges foncées, prurit et érythème pigmenté.
Une réaction vasculaire de la peau caractérisée par l ’ érythème et formation papule due à une augmentation de la perméabilité vasculaire du germe en cause. Mécanisme peut être allergique, infection ou de tension.
Des lésions cutanées dues à des anomalies infiltration de mât. Des lymphomes cutanés mastocytose se limite à la peau sans l'implication d'autres tissus ou organes, on la trouve chez les enfants. Les trois grandes variantes sont : Urticaire pigmentaire ; cutané diffus mastocytose ; et solitaire MASTOCYTOMA de peau.
Un ensemble de troubles heterogenous caractérisée par l'augmentation anormale des cellules de mât sachant que dans la peau (mastocytose, dans les tissus manifestations extra-cutanées cutanée), impliquant plusieurs organes (mastocytose, une infection), ou chez des tumeurs solides (MASTOCYTOMA).
Héréditaire, une dégénerescence neuroepithelium progressive de la rétine caractérisée par une cécité nocturne et contraction progressive du champ visuel.
Rare, maladie chronique, papulo-vesicular caractérisée par une éruption prurigineuse constituée de différentes associations de symétrique, papulaire, érythémateux, vésiculaire, ou des lésions bulleuses. La maladie est fortement liée à la présence de HLA-B8 et HLA-DR3 antigènes. Différents auto-anticorps a été détectée dans les petits chiffres chez les patients atteints de dermatite Herpétiforme.
Prolamins dans la graine de graines de la tribu Triticeae qui inclut espèces de blé ; piqûre de ; et jambon.
C'est un syndrome de malabsorption précipitée par la prise d ’ aliments contenant ont retiré le gluten, tels que blé, de seigle, et d'orge. C'est caractérisé par l'inflammation du petit intestin, perte de structure microvillosités, échoué INTESTINAL ABSORPTION et MALNUTRITION.
Un sulfone active contre un large spectre de bactéries mais principalement employée pour ses actions contre Mycobacterium Leprae. Son mécanisme d'action est probablement similaire à celle de la famille des sulfamidés qui implique l ’ inhibition de la synthèse des acides foliques dans des organismes sensibles. Il est également utilisé avec pyriméthamine dans le traitement du paludisme. (De Martindale, supplémentaires 30 Pharmacopée ", Ed, p157-8)
La partie du milieu du petit intestin, entre le duodénum et l'iléon. Il représente environ 2 / 5 de l ’ intestin grêle sous duodénum.
Caractérisée par des maladies cutanées distributions locale ou générale de cloques. Ils sont classés selon le site et au mode de formation de bulles. Les lésions apparaître spontanément ou être déclenchée par une infection, traumatisme ou de la lumière. Étiologies incluant facteurs génétiques et immunologique. (De Scientific American Medicine, 1990)
Travaille contenant des informations articles sur des sujets dans chaque domaine de connaissances, généralement dans l'ordre alphabétique, ou un travail similaire limitée à un grand champ ou sujet. (De The ALA Glossaire Bibliothèque et information de Science, 1983)

L'urticaire pigmentaire, également connu sous le nom d'urticaire chronique idiopathique à type de piqûres d'orties, est une maladie cutanée rare et chronique caractérisée par l'apparition de papules ou plaques prurigineuses (qui démangent) et brun-jaunâtres sur la peau. Ces lésions peuvent durer plusieurs jours à quelques semaines et réapparaissent fréquemment, entraînant une évolution chronique de la maladie.

Cette affection cutanée touche principalement les adultes jeunes, entre 20 et 40 ans, avec une prédominance féminine. Les lésions apparaissent le plus souvent sur les jambes, les bras, le tronc et parfois même sur le visage.

Bien que la cause exacte de l'urticaire pigmentaire soit inconnue, il existe certainement un lien avec une activation anormale du système immunitaire. Des facteurs déclenchants tels que les infections virales, les vaccinations, le stress émotionnel, la prise de certains médicaments et l'exposition au froid ou à la pression peuvent être associés au développement de cette maladie.

Le diagnostic d'urticaire pigmentaire repose principalement sur les antécédents cliniques et l'examen physique du patient, ainsi que sur l'élimination des autres affections cutanées similaires. Dans certains cas, des tests complémentaires peuvent être demandés pour confirmer le diagnostic, tels qu'un test sanguin complet, un dosage des immunoglobulines E spécifiques ou une biopsie cutanée.

Le traitement de l'urticaire pigmentaire vise principalement à soulager les symptômes et à améliorer la qualité de vie du patient. Les antihistaminiques H1 sélectifs sont généralement le traitement de première ligne, tandis que d'autres options thérapeutiques telles que les corticostéroïdes systémiques, l'immunosuppresseurs ou les immunomodulateurs peuvent être envisagées en cas de réponse insuffisante au traitement initial.

En résumé, l'urticaire pigmentaire est une affection cutanée chronique caractérisée par des éruptions prurigineuses et urticariennes associées à des facteurs déclenchants spécifiques. Le diagnostic repose sur les antécédents cliniques et l'examen physique, ainsi que sur l'élimination d'autres affections cutanées similaires. Le traitement vise principalement à soulager les symptômes et à améliorer la qualité de vie du patient, en utilisant des antihistaminiques H1 sélectifs comme traitement de première ligne.

L'urticaire est une éruption cutanée caractérisée par des papules rouges, prurigineuses (qui démangent), et souvent transitoires, variant en taille de quelques millimètres à plusieurs centimètres. Ces lésions cutanées sont généralement provoquées par la libération d'histamine due à une réaction immunologique ou non immunologique à divers stimuli tels que les allergènes alimentaires, les médicaments, le froid, la chaleur, la pression, l'exercice, le stress émotionnel ou encore certaines infections. Les lésions d'urticaire apparaissent et disparaissent rapidement, souvent dans un délai de quelques heures, mais peuvent persister pendant des jours, voire des semaines ou des mois dans certains cas chroniques. L'urticaire aiguë est généralement autolimitée et dure moins de six semaines, tandis que l'urticaire chronique persiste au-delà de six semaines.

Il existe plusieurs types d'urticaire, y compris l'urticaire papuleuse, l'urticaire angio-œdème (qui peut affecter les tissus sous-cutanés et provoquer un gonflement), et l'urticaire cholinergique (provoquée par la transpiration ou l'exercice). Le traitement de l'urticaire implique généralement d'identifier et d'éviter les déclencheurs, ainsi que l'utilisation de médicaments antihistaminiques pour soulager les symptômes. Dans certains cas graves, des corticostéroïdes ou d'autres traitements peuvent être nécessaires.

La mastocytose cutanée est un trouble rare et généralement bénin qui affecte le système immunitaire. Il se caractérise par une accumulation anormale et excessive de cellules appelées mastocytes dans la peau. Les mastocytes sont des granulocytes, un type de globule blanc, qui jouent un rôle crucial dans la réponse immunitaire de l'organisme en libérant des médiateurs chimiques tels que l'histamine, la leucotriène et la prostaglandine.

Dans la mastocytose cutanée, ces cellules s'accumulent dans la peau, provoquant une variété de symptômes cutanés, y compris des rougeurs, des démangeaisons, des éruptions cutanées, des gonflements et des lésions cutanées. Les lésions cutanées peuvent prendre diverses formes, telles que des macules, des papules, des plaques ou des nodules, selon la gravité de la maladie.

La mastocytose cutanée peut être classée en deux types principaux : la mastocytose cutanée maculopapuleuse (MCP) et la mastocytose cutanée diffuse (MCD). La MCP est le type le plus courant et se caractérise par des lésions cutanées limitées à certaines parties du corps, tandis que la MCD affecte une grande partie de la peau.

La cause exacte de la mastocytose cutanée n'est pas entièrement comprise, mais on pense qu'elle est liée à des mutations génétiques qui entraînent une prolifération anormale des mastocytes. Le diagnostic de la maladie repose sur l'examen clinique, les tests cutanés et les analyses de sang pour détecter la présence excessive de mastocytes.

Le traitement de la mastocytose cutanée vise à soulager les symptômes et à prévenir les complications graves telles que les réactions anaphylactiques. Les options de traitement comprennent l'utilisation d'antihistaminiques, de corticostéroïdes topiques ou systémiques, de médicaments qui inhibent la libération de médiateurs inflammatoires des mastocytes et de photothérapie. Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever les lésions cutanées.

La mastocytose est un trouble rare des tissus conjonctifs caractérisé par l'accumulation anormale et anormalement élevée de mast cells (cellules qui contiennent des granules remplis de médiateurs chimiques comme l'histamine) dans la peau ou d'autres organes. Cette maladie peut affecter les personnes de tous âges, mais elle est le plus souvent diagnostiquée chez les enfants et les jeunes adultes.

Les symptômes de la mastocytose peuvent varier considérablement en fonction de la gravité et de l'emplacement de l'accumulation de mast cells. Les symptômes cutanés courants comprennent des démangeaisons, des rougeurs, une sensation de brûlure ou un gonflement de la peau, ainsi que des lésions cutanées qui peuvent prendre diverses formes (par exemple, macules, papules, plaques).

Les symptômes systémiques peuvent inclure des troubles gastro-intestinaux (nausées, vomissements, diarrhée), des problèmes cardiovasculaires (baisse de la tension artérielle, accélération du rythme cardiaque), des difficultés respiratoires, des étourdissements, une fatigue extrême et des douleurs osseuses. Dans les cas graves, une crise mastocytaire peut survenir, entraînant une libération massive de médiateurs chimiques par les mast cells, ce qui peut mettre la vie en danger si elle n'est pas traitée rapidement et efficacement.

Le diagnostic de la mastocytose repose généralement sur des tests sanguins, des biopsies cutanées ou d'autres organes affectés, ainsi que sur l'évaluation des symptômes du patient. Le traitement dépend de la gravité et de l'étendue de la maladie, mais peut inclure des antihistaminiques, des corticostéroïdes, des médicaments qui stabilisent les mast cells, des réductions de déclencheurs environnementaux et, dans certains cas, une intervention chirurgicale.

La rétinite pigmentaire (RP) est un groupe de maladies génétiques oculaires qui affectent la rétine, une membrane nerveuse située à l'arrière de l'œil qui détecte la lumière et envoie des signaux au cerveau via le nerf optique. Ces signaux sont interprétés par le cerveau comme des images visuelles.

Dans la rétinite pigmentaire, les cellules photoréceptrices de la rétine, appelées bâtonnets et cônes, se détériorent progressivement. Les bâtonnets sont principalement responsables de la vision nocturne et périphérique, tandis que les cônes sont responsables de la vision centrale et des couleurs. Lorsque ces cellules dégénèrent, cela entraîne une perte de vision progressive, commençant souvent par la vision nocturne et la vision périphérique (également appelée vision tunnel).

La progression de la maladie varie considérablement d'une personne à l'autre. Chez certaines personnes, la perte de vision peut progresser relativement lentement sur plusieurs décennies, tandis que chez d'autres, la perte de vision peut être plus rapide et sévère. Dans les cas graves, la rétinite pigmentaire peut entraîner une cécité complète.

Actuellement, il n'existe pas de traitement curatif pour la rétinite pigmentaire. Cependant, des recherches sont en cours pour développer des thérapies géniques et d'autres approches visant à ralentir ou arrêter la progression de la maladie.

La dermatite herpétiforme est une maladie cutanée rare associée à la maladie cœliaque, une intolérance au gluten. Elle se caractérise par des éruptions cutanées prurigineuses (démangeaisons) avec des vésicules et des bulles groupées sur la peau, souvent symétriques et localisées sur les coudes, les genoux, le dos et le haut du torse. Les lésions peuvent être déclenchées par le stress émotionnel, l'exposition au soleil ou une alimentation riche en gluten.

La maladie est plus fréquente chez les hommes que chez les femmes et touche généralement les adultes entre 20 et 40 ans. Le diagnostic repose sur l'observation des lésions cutanées typiques, associée à la présence d'IgA dans le derme papillaire, détectée par immunofluorescence directe.

Le traitement de la dermatite herpétiforme implique un régime strict sans gluten et l'utilisation de médicaments pour contrôler les symptômes cutanés, tels que la dapsone ou des stéroïdes topiques. Bien que le régime sans gluten puisse prendre plusieurs mois à soulager complètement les symptômes cutanés, il est essentiel pour prévenir les complications associées à la maladie cœliaque, telles que des lésions intestinales et une mauvaise absorption des nutriments.

Le gluten est un mélange de protéines retrouvées dans certaines céréales, notamment le blé, l'orge et le seigle. Il est composé de deux types de protéines principales : les prolamines et les glutélines. Dans le blé, la prolamine s'appelle l'gliadine.

Le gluten confère à la pâte sa texture élastique et chewy, ce qui en fait un ingrédient clé dans de nombreuses préparations culinaires à base de céréales, comme le pain, les pâtes, les gâteaux et les biscuits.

Certaines personnes ne peuvent pas tolérer le gluten en raison d'une affection appelée la maladie coeliaque ou d'une sensibilité au gluten non celiaque. Chez ces personnes, la consommation de gluten déclenche une réaction immunitaire qui endommage les parois de l'intestin grêle, entraînant des symptômes tels que diarrhée, ballonnements, douleurs abdominales et fatigue. Le seul traitement pour ces conditions est un régime strict sans gluten à vie.

Il convient de noter qu'il existe également une tendance actuelle au "régime sans gluten" adopté par certaines personnes qui ne souffrent pas de maladie coeliaque ou de sensibilité au gluten, mais qui cherchent simplement à améliorer leur santé globale ou à perdre du poids. Cependant, il n'existe aucune preuve scientifique solide démontrant que l'évitement du gluten est bénéfique pour la population générale qui ne présente pas de problèmes de santé liés au gluten.

La maladie cœliaque est une maladie auto-immune dans laquelle la consommation de gluten déclenche une réaction immunitaire qui endommage les parois de l'intestin grêle. Le gluten est un mélange de protéines que l'on trouve dans certaines céréales comme le blé, l'orge et le seigle.

Lorsqu'une personne atteinte de la maladie cœliaque consomme du gluten, son système immunitaire attaque et endommage les villosités intestinales, qui sont des petites structures en forme de doigt dans l'intestin grêle qui aident à absorber les nutriments. Cet endommagement peut entraîner une malabsorption des nutriments, ce qui peut entraîner une variété de symptômes tels que la diarrhée, la fatigue, la perte de poids, des douleurs abdominales et des carences nutritionnelles.

La maladie cœliaque est une affection à vie qui nécessite un régime strict sans gluten pour gérer les symptômes et prévenir les complications. Si elle n'est pas traitée, la maladie cœliaque peut entraîner des complications graves telles que l'ostéoporose, une faible densité osseuse, des anomalies neurologiques et dans de rares cas, certains types de cancer.

La dapsone est un médicament antibactérien et anti-inflammatoire utilisé principalement pour traiter les infections cutanées telles que le dermatite herpétiforme, la leishmaniose cutanée et viscérale, et certaines formes de pneumonie. Il est également utilisé dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde et de la maladie de Hansen (lèpre). La dapsone agit en inhibant la production de certains composés chimiques qui contribuent à l'inflammation et aux dommages tissulaires.

Les effets secondaires courants de la dapsone peuvent inclure des nausées, des vomissements, une perte d'appétit, des maux de tête, des étourdissements, des éruptions cutanées et des changements dans la vision. Les effets secondaires graves peuvent inclure une anémie hémolytique (destruction des globules rouges), une méthémoglobinémie (formation d'une forme anormale de l'hémoglobine qui ne peut pas transporter l'oxygène) et une neuropathie périphérique (dommages aux nerfs situés en dehors du cerveau et de la moelle épinière).

La dapsone est disponible sous forme de comprimés et doit être prise sous la surveillance d'un médecin, car elle peut interagir avec d'autres médicaments et avoir des effets secondaires graves. Il est important de suivre les instructions posologiques de votre médecin et de signaler tout symptôme inhabituel ou préoccupant pendant le traitement.

Le jéjunum est une partie du petit intestin dans le système gastro-intestinal humain. Il s'étend du duodénum (la première partie de l'intestin grêle) à l'iléon (la troisième et dernière partie). Le jéjunum est généralement considéré comme la section médiane de l'intestin grêle et représente environ 2/5 de sa longueur totale.

Il est situé dans la cavité abdominale, principalement dans la région supérieure gauche. Le jéjunum est responsable de l'absorption des nutriments, y compris les glucides, les protéines, les lipides, les vitamines et les minéraux, à partir du chyme (le mélange semi-flu de nourriture partiellement digérée et de sucs gastriques) qui passe à travers lui après avoir quitté l'estomac.

Le jéjunum se caractérise par sa structure hautement vascularisée, avec des plis longitudinaux (ou valves circulaires) qui augmentent la surface d'absorption. Ces caractéristiques structurelles permettent une absorption efficace des nutriments dans le corps.

Les dermatoses vésiculobulleuses sont un groupe de troubles cutanés caractérisés par la présence de cloques (vésicules) et de grandes bulles remplies de liquide sur la peau. Ces lésions cutanées se produisent lorsque la barrière protectrice de la peau est endommagée, entraînant une séparation anormale des couches supérieures et inférieures de la peau.

Ces affections peuvent être classées en deux catégories principales : les dermatoses vésiculobulleuses immunologiques et non immunologiques. Les dermatoses vésiculobulleuses immunologiques sont causées par des réactions anormales du système immunitaire, tandis que les dermatoses vésiculobulleuses non immunologiques sont dues à des causes génétiques, des irritants ou des maladies sous-jacentes.

Les exemples de dermatoses vésiculobulleuses incluent le pemphigus, la pemphigoïde bulleuse, le dermatite herpétiforme et l'épidermolyse bulleuse. Les symptômes peuvent varier en fonction du type spécifique de dermatose vésiculobulleuse, mais comprennent généralement des démangeaisons, une douleur cutanée, des rougeurs et l'apparition de cloques ou de bulles remplies de liquide. Le traitement dépend du type spécifique de dermatose vésiculobulleuse et peut inclure des médicaments topiques ou systémiques pour contrôler l'inflammation, des soins de la peau pour prévenir les infections et des mesures visant à éviter les déclencheurs connus.

Je suis désolé, "Encyclopedias as Topic" n'est pas une définition médicale. Il s'agit plutôt d'une catégorie de sujets dans la classification MeSH (Medical Subject Headings) utilisée pour indexer les articles de bibliographie en médecine et en sciences de la santé. Cette catégorie comprend des encyclopédies médicales générales ou spécialisées, des dictionnaires médicaux, des manuels médicaux et d'autres ressources similaires. Cependant, il ne s'agit pas d'une définition médicale à proprement parler.

Il peut exister aussi une kératose plantaire, des papules comme pour une urticaire chronique ou d'autres lésions semblables à ... un "prurigo pigmentaire",. La biopsie cutanée montre des caractéristiques histopathologiques : fente sous-épithéliale contenant ...
Xanthome papuleuxs Histiocytose sinusale Lymphadénopathie massive Urticaire pigmentaire (UP) Histiocytose céphalique bénigne( ...
... par infiltrat cellulaire syphilis secondaire lichen plan urticaire pigmentaire granulome annulaire papulose atrophiante maligne ... œdémateuses urticaire papuleuse prurigo strophulus érythème polymorphe acrodermite papuleuse infantile (maladie de Gianotto- ...
... urticaire pigmentaire (UP) histiocytose éruptive généralisée (ou HEG) sarcoïdose lichénoïde. Histiocytose Histiocytose non ...
... syndrome Urticaire chronique avec macroglobulinémie Urticaire familiale au froid Urticaire pigmentaire Urticaire-surdité- ... Rétine pigmentaire retard mental surdité Rétine telangiectasies hypogammaglobulinemie Rétinite pigmentaire Rétinite pigmentaire ... retard mental Rétinite pigmentaire, surdité Rétinite pigmentaire, surdité-hypogénitalisme Rétinite ponctuée albescente ... syndrome de MURCS association Muscle atrophie ataxie rétinite pigmentaire diabete Muscle-œil-cerveau, syndrome Muscles ceinture ...
... næviques nævus pigmentaire maladie de Recklinghausen acanthosis nigricans incontinentia pigmenti urticaire pigmentaire Portail ...
... urticaire pigmentaire(UP), car confusion possible avec la forme micronodulaire multiple de XGJ, cette dernière n'activant ...
... qui est une urticaire à la friction. - le pseudo-signe de Darier consistant en une contraction des muscles pilo-érecteurs lors ... dans l'urticaire pigmentaire (l'une des formes cliniques les plus fréquentes de mastocytose). Le frottement de ces lésions ...
Bien qu'il existe des signes distinctifs tels que l'urticaire pigmentaire qui est caractéristique de la mastocytose, des ... apparition facile d'ecchymoses rougeur cutanée démangeaisons chroniques urticaire récidivante Cardiovasculaires vertiges, ...
La peau est le seul tissu atteint dans les mastocytoses cutanées à type d'urticaire pigmentaire (UP), affections observées ... une chute de tension sans urticaire, en particulier chez l'homme). La mesure du taux de tryptase sérique (c'est-à-dire dans le ...

Pas de FAQ disponibles qui correspondent au "urticaire pigmentaire"

Pas de images disponibles qui correspondent au "urticaire pigmentaire"